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Séquence n°2:

Bilbo le hobbit de J.R.R. Tolkien

Regarder le monde, inventer des mondes

: imaginer des univers nouveaux

CORPUS
Bilbo le hobbit de J.R.R. Tolkien

L’Odyssée d’Homère (extraits)

Récits de la mythologie grecque


DIRE
Lire à haute voix un passage choisi
ÉCRIRE Écrire un nouvel épisode de Bilbo

LIRE
Bilbo le hobbit de J.R.R. Tolkien
OUTILS DE - Les relations entre Les mots

LANGUE - Les gures de l’analogie

- Le vocabulaire de la lecture analytique: initiation

- Revoir la fonction complément circonstanciel

Chapitre I : Une fête inattendue. Bilbo Bessac, un jeune hobbit riche et respecté, engage un jour de
beau temps la conversation avec un vieillard qui se révele être le fameux Gandalf. Celui-ci est à la
recherche de quelqu'un souhaitant vivre une aventure. Mais dans la Comté, le pays des Hobbits, les
aventures, on n'en veut pas.
Malgré tout, le lendemain, Bilbo se retrouve à servir le thé chez lui à treize nains joyeux,
accompagnés de Gandalf. Ceux-ci, comme l'explique Thorin, leur chef, veulent récupérer leur trésor
volé par Smaug le Dragon, là-bas, très loin à l'Est, dans la Montagne Solitaire.
Après que Gandalf ait donné une carte de la montagne et la clé d'une porte secrète à Thorin, celui-ci
explique à Bilbo leur but et la raison de leur présence chez lui : grâce à une astuce tenue secrète de
Gandalf, Bilbo est reconnu par les nains comme un cambrioleur professionnel qui les aidera à voler,
ou à récupérer (peu importe), le trésor des Nains.
Après une soirée mouvementée pour le paisible Bilbo, celui-ci se retrouve emporté, bien malgré lui,
dans l'aventure et part se coucher tard dans la nuit, après avoir promis un déjeuner copieux à tous
les nains le lendemain

1.À quel peuple le jeune Bilbo appartient-il ?


2. Comment se nomme cet homme ?
3. Que lui propose cet homme ?
4. Qui vient prendre le thé chez lui le lendemain ?
5.Combien sont-ils ?
6. comment se nomme leur chef ?
7. Que veulent-ils récupérer ?
8. Comment se nomme le dragon ?
9. Qui donne la carte de la montagne et la clé d’une porte secrète ?
10.À qui les donne-t-il ?
fi

Chapitre I :Bilbo Bessac, un jeune …………...... riche et respecté, engage un jour de beau temps la
conversation avec un vieillard qui se révèle être le fameux …………....…….. Celui-ci est à la
recherche de quelqu'un souhaitant vivre une …………....…….. Mais dans la Comté, le pays des
Hobbits, les …………....……., on n'en veut pas.
Malgré tout, le lendemain, Bilbo se retrouve à servir le thé chez lui à …………....…….
…………....……. joyeux, accompagnés de …………....…….. Ceux-ci, comme l'explique
…………....……., leur chef, veulent récupérer leur …………....……. volé par …………....……. le
Dragon, là-bas, très loin à l'Est, dans la Montagne Solitaire.
Après que …………....……. ait donné une carte de la montagne et la clé d'une porte secrète à
…………....……., celui-ci explique à Bilbo leur but et la raison de leur présence chez lui : grâce à une
astuce tenue secrète de …………....……., Bilbo est reconnu par les …………....……. comme un
cambrioleur professionnel qui les aidera à voler, ou à récupérer (peu importe), le …………....……..
Après une soirée mouvementée pour le paisible Bilbo, celui-ci se retrouve emporté, bien malgré lui,
dans l'aventure et part se coucher tard dans la nuit, après avoir promis un déjeuner copieux à tous le
lendemain

Chapitre II : Rôti de mouton.


Le lendemain du terrible mercredi, Bilbo découvre que les nains sont partis sans lui.
Malheureusement, Gandalf arrive pour lui annoncer que les nains l'attendent plus loin. Bilbo n'a plus
le choix et doit partir en catastrophe. La compagnie quitte donc la Colline sur des poneys.
Nos amis traversent donc les Terres Désolées sans problème., jusqu'à un soir de tempête où les
nains se retrouvent sans provisions ni feu et sans Gandalf (disparu on ne sait où). Un feu de camp
proche semblant annoncer de bonnes choses, Bilbo est envoyé en éclaireur. Il rencontre alors trois
trolls des Montagnes affamés.
Les uns après les autres, les nains tombent dans les pièges des trolls, et ce n'est que grâce à
l'arrivée secrète de Gandalf pour semer la discorde entre les trolls, que la compagnie est sauvée. Ils
découvrent alors, après que les trolls aient été statufiés par la lumière du jour, la cachette de ceux-ci,
pleine de provisions.
1. Qui annonce à Bilbo que les nains sont partis sans lui ?
2. Comment s’appelle les terres qu’ils traversent sans problème?
3. Un soir de tempête, qu’est-ce qui vient à manquer ?
4. Qui disparaît ?
5. Qu’aperçoivent-t-il au loin?
6. Quelles créatures rencontrent-ils alors?
7. Combien de créature rencontrent-ils?
8. Qui fait alors son arrivée secrète?
9. Comment parvient-t-il à sauver les nains
10. Que découvrent-ils alors dans la cachette

Chapitre II : Le lendemain du terrible mercredi, Bilbo découvre que les nains sont partis sans lui.
Malheureusement, …………....……. arrive pour lui annoncer que les nains l'attendent plus loin. Bilbo
n'a plus le choix et doit partir en catastrophe. La compagnie quitte donc la Colline sur des poneys.
Nos amis traversent donc les Terres …………....……. sans problème, jusqu'à un soir de tempête où
les nains se retrouvent sans …………....……. ni …………....……. et sans …………....……. (disparu
on ne sait où). Un ………….…………....……... proche semblant annoncer de bonnes choses, Bilbo
est envoyé en éclaireur. Il rencontre alors …………....……. …………....……. des Montagnes affamés.
Les uns après les autres, les nains tombent dans les pièges des …………....……., et ce n'est que
grâce à l'arrivée secrète de …………....……. pour semer la discorde entre les …………....……., que
la compagnie est sauvée. Ils découvrent alors, après que les trolls aient été …………....……. par la
lumière du jour, la cachette de ceux-ci, pleine de …………....……..

1. Après quoi Bilbo soupire-t-il le plus ?


2.Qu’est-ce qu’il finit encore par s’amenuiser?
3. Comment se nomme la maison que recherche Gandalf ?

4. Dans quelle vallée se trouve-t-elle ?


5. Quel peuple abrite cette vallée ?
6. Comment se nomme le chef de ce peuple ?
7. Par qui les épées volées aux trolls ont-elles été forgées ?
8. Qui examine alors la carte de Thorin ?
9. Quelle information importante leur révèle l’examen de la carte ?
10. Quelle montagne entament-il la traversée le lendemain ?
Chapitre III : Le moral de la troupe est au plus bas. Bilbo soupire de plus en plus après sa
…………....……., les nains ont pris conscience du danger qui pouvait les guetter à tout moment. Et
les …………....……., malgré celles prises aux Trolls s'amenuisent.
Heureusement, Gandalf est à la recherche de la dernière Maison ……………...……. à l'Ouest des
Montagnes, dans la vallée de …………....………. , un lieu peuplé d'……………...……. où la petite
compagnie pourra faire une courte pause, avant la traversée des Montagnes de ……………...……..
Les nains et Bilbo sous la direction de Gandalf atteignent ……………...……. dans la soirée et sont
accueillis par les chansons espiègles des ……………...……. cachés dans les sous-bois. Puis ils
pénètrent enfin dans la dernière Maison ……………...……., demeure d'……………...……. et havre
de paix.
Là, ils apprennent que les épées volées aux trolls ont étés forgées par les ……………...……. et ne
sont autres que Glamdring et Orcrist de Gondolin, « Assommoir à Ennemis », ancienne épée du roi
de Gondolin, et « le Pourfendeuse de Gobelins ». Puis, alors que nous sommes la veille du solstice
d'été, ……………...……. examine la carte de Thorin au clair de lune et apparaissent alors des
caractères en lettres lunaires qui donnent, sous forme d'énigmes, de nouvelles informations sur
……………...……. de la Montagne.
La compagnie, heureuse de cette nouvelle décide de prendre congé d'……………...……. le
lendemain, et repart, ressourcée et bien reposée grâce aux soins d'Elrond, vers l'Est pour entamer la
traversée des Montagnes de ……………...……..

Chapitre III : Une brève halte. Le moral de la troupe est au plus bas. Bilbo soupire de plus en plus
après sa bouilloire, les nains ont pris conscience du danger qui pouvait les guetter à tout moment. Et
les provisions, malgré celles prises aux Trolls s'amenuisent.
Heureusement, Gandalf est à la recherche de la dernière Maison Hospitalière à l'Ouest des
Montagnes, dans la vallée de Fendeval , un lieu peuplé d'Elfes où la petite compagnie pourra faire
une courte pause, avant la traversée des Montagnes de Brume. Les nains et Bilbo sous la direction
de Gandalf atteignent Fendeval dans la soirée et sont accueillis par les chansons espiègles des Elfes
cachés dans les sous-bois. Puis ils pénètrent enfin dans la dernière Maison Hospitalière, demeure
d'Elrond et havre de paix.
Là, ils apprennent que les épées volées aux trolls ont étés forgées par les Elfes et ne sont autres que
Glamdring et Orcrist de Gondolin, « Assommoir à Ennemis », ancienne épée du roi de Gondolin, et
« le Pourfendeuse de Gobelins ». Puis, alors que nous sommes la veille du solstice d'été, Elrond
examine la carte de Thorin au clair de lune et apparaissent alors des caractères en lettres lunaires
qui donnent, sous forme d'énigmes, de nouvelles informations sur l'entrée de la Montagne.
La compagnie, heureuse de cette nouvelle décide de prendre congé d'Elrond le lendemain, et repart,
ressourcée et bien reposée grâce aux soins d'Elrond, vers l'Est pour entamer la traversée des
Montagnes de Brume.

Chapitre IV : Sur la colline et sous la colline. Un orage oblige le groupe à se réfugier dans les
Montagnes de Brume. Ils tombent sur une caverne pleine de gobelins qui les prennent en chasse.
Bilbo est séparé du groupe et tombe assommé.
Chapitre V : Énigmes dans le noir. Dans le noir, il attrape un anneau qu’il met dans sa poche. Il fait
la rencontre de Gollum qu’il doit affronter dans un duel d’énigmes. Bilbo le remporte. Il découvre
également le pouvoir d’invisibilité de l’anneau quand il le passe à son doigt, et parvient ainsi à
s’enfuir alors que Gollum comptait le tuer.
Chapitre VI : Bilbo retrouve ses compagnons. Ils sortent de l’autre

côté des Montagnes de Brume. Mais, en arrivant dans une clairière, ils sont attaqués par des loups
géants, les wargs, et par des gobelins. Le groupe monte dans les arbres et est sauvé par l’arrivée
des aigles géants qui les emmènent.

1. Qu’est-ce qui oblige le groupe à se réfugier dans les montagnes de Brume ?


2. Où atterrissent-ils ?
3. Sur qui tombent-ils ?
4. Qui est alors séparé du groupe et assommé ?
5. Qu’attrape ce personnage dans le noir ?
6. Quel est le pouvoir de cet objet ?
7. Qui Bilbo rencontre-t-il alors ?
8. Par qui Bilbo et ses compagnons sont-ils attaqués dans les montagnes de Brume ?(deux
réponses)
9. Où se réfugient-ils ?
10. Qui vient alors les sauver ?

Chapitre IV : Un ……………...……..
oblige le groupe à se réfugier dans les Montagnes de Brume. Ils tombent sur une ……………...……..
pleine de ……………...…….. qui les prennent en chasse. ……………...……..
est séparé du groupe et tombe assommé.
Chapitre V : Dans le noir, il attrape un ……………...……..
qu’il met dans sa poche. Il fait la rencontre de ……………...……..
qu’il doit affronter dans un duel d’énigmes. Bilbo le remporte. Il découvre également le pouvoir
……………...…….. de l’anneau quand il le passe à son doigt, et parvient ainsi à s’enfuir alors que
……………...…….. comptait le tuer.
Chapitre VI : Bilbo retrouve ses compagnons. Ils sortent de l’autre
côté des Montagnes de Brume. Mais, en arrivant dans une clairière, ils sont attaqués par des
……………...……..géants, les wargs, et par des ……………...…….. . Le groupe monte dans les
……………...…….. et est sauvé par l’arrivée des ……………...……..……………...…….. qui les
emmènent.

Chapitre VII : Une étrange demeure. Les compagnons poursuivent leur route et rencontrent Beorn,
un homme qui a le pouvoir de se changer en ours. Il leur fournit du matériel et leur donne des
conseils. Les compagnons voyagent jusqu’à la lisière de la forêt de Grand Peur. Gandalf prend
congé.
Chapitre VIII : Mouches et araignées. Bilbo et ses nains se retrouvent livrés à eux-même dans La
Forêt de Grand Peur, cette très inquiétante forêt envahie par les maléfices et abritant une colonie
de charmantes araignées mangeuses d'hommes. Les vivres de Beorn ne tardent pas à s'épuiser...
De plus, Bombur qui est tombé dans l'eau a été pris d'un étrange sortilège qui l'a endormi ; les nains
doivent donc porter son corps pesant pendant plusieurs jours, jusqu'à ce qu'il se réveille enfin.
Affamés, assoiffés et découragés, nos nains finissent par apercevoir les lumières d'un banquet
d'elfes des bois. Hélas ! Les elfes disparaissent à chaque tentative d'approche des nains. Et jouant
de malchance, nos amis s'éloignent du sentier et finissent par être capturés par les araignées
géantes qui peuplent cette sombre, très sombre forêt.
Bilbo est le seul à ne pas être capturé et, à l'aide de sa petite épée et de son anneau, il délivre les
nains par sa seule ruse et sa seule force. Ainsi, presque tous les nains car des elfes ont fait
prisonnier Thorin avant l'attaque des araignées
Chapitre IX : Treize Tonneaux à la dérive. Les compagnons sont capturés par des Elfes sylvains.
Seul Bilbo parvient à se soustraire à la capture. Il finit par délivrer tous les nains et les aide à s’enfuir
en les cachant dans des tonneaux vides qui doivent descendre la rivière.
Chapitre X : Un chaleureux accueil. Les tonneaux suivent la rivière jusqu’au Bourg-du-Lac,appelé
aussi Esgaroth. Le groupe est bien accueilli mais décide de repartir.

Chapitre VII :Les compagnons poursuivent leur route et rencontrent ……………...……..……., un


homme qui a le pouvoir de se changer en ……………...……..……. Il leur fournit du matériel et leur

donne des conseils. Les compagnons voyagent jusqu’à la lisière de la forêt.


……………...……..……….. . ……………...……..…… prend congé.
Chapitre VIII :Bilbo et ses nains se retrouvent livrés à eux-même dans La Forêt
……………...……..……, cette très inquiétante forêt envahie par les maléfices et abritant une
colonie de charmantes ……………...……..…… mangeuses d'hommes. Les vivres de
……………...……..…… ne tardent pas à s'épuiser...
De plus, ……………...……..…… qui est tombé dans l'eau a été pris d'un étrange sortilège qui l'a
endormi ; les nains doivent donc porter son corps pesant pendant plusieurs jours, jusqu'à ce qu'il se
réveille enfin.
Affamés, assoiffés et découragés, nos nains finissent par apercevoir les lumières d'un banquet
d'elfes des bois. Hélas ! Les elfes disparaissent à chaque tentative d'approche des nains. Et jouant
de malchance, nos amis s'éloignent du sentier et finissent par être capturés par les
……………...……..…… géantes qui peuplent cette sombre, très sombre forêt.
……………...……..…… est le seul à ne pas être capturé, et il délivre les nains par sa seule ruse et sa
seule force. Ainsi, presque tous les nains car des elfes ont fait prisonnier ……………...……..……
avant l'attaque des araignées
Chapitre IX :Les compagnons sont capturés par des Elfes sylvains. Seul ……………...……..……
parvient à se soustraire à la capture. Il finit par délivrer tous les nains et les aide à s’enfuir en les
cachant dans des ……………...……..…… vides qui doivent descendre la rivière.
Chapitre X : . Les tonneaux suivent la rivière jusqu’au Bourg-du-Lac,appelé aussi Esgaroth. Le
groupe est bien accueilli mais décide de repartir.

1.Qui la compagnie rencontre-t-elle?


2. En quoi cet homme parvient-il à se transformer?
3. Comment la forêt dans laquelle ils pénètrent se nomme-t-elle?
4. Qui prend alors congés de la petite troupe?
5. Quelles créatures peuplent cette forêt?
6.Qui s’est endormi sous le coup d’un étrange sortilège?
7. Qui parvient à ne pas se faire capturer par ces créatures et à libérer les nains?
8. Qui a été fait prisonnier par les elfes sylvains avant l’attaque des créatures?
9. Qui libère les nains des elfes sylvains?
10. Dans quoi les cache-t-il?

Chapitre XI : Sur le seuil. Après des jours de voyage, les personnages arrivent dans la
Montagne Solitaire. Grâce à la carte, ils parviennent à ouvrir la porte dans la montagne.
Chapitre XII : Des nouvelles de l’intérieur. Les nains décident qu'il est temps pour Bilbo de dérober
le trésor de Smaug. Il va donc voler une belle coupe pendant la sieste du dragon. Mais celui-ci en se
réveillant, s’en rend compte et rentre dans une furie énorme...
Le lendemain, les nains décident d'envoyer à nouveau Bilbo qui, cette fois, utilise son anneau. Mais
le dragon ne se fait pas prendre une seconde fois, et il se réveille pour entamer une discussion des
plus intéressantes avec notre cambrioleur.
Bilbo mène habilement la conversation. Malgré tout, le dragon parvient à jeter le doute dans l'esprit
du hobbit, et enfin, il vexe le dragon, ce qui oblige notre hobbit à remonter le passage de toute
urgence et lui coûtera quelques légères brûlures et plus de peur que de mal.
Il raconte une partie de son récit et remarque en même temps une grive non loin, qui semble écouter.
Anxieux, il demande aux Nains de rester à l'entrée du tunnel, car il craint fortement que Smaug tente
de détruire l'autre entrée du passage, celle où ils ont trouvé refuge.
Les nains n'obéissent qu'à contre-cœur, et juste à temps, puisque au moment où ils rentrent, Smaug
détruit tout ce pan, et les nains se retrouvent bloqués à l'intérieur. Smaug prend son vol vers
Esgaroth, persuadé que les Hommes du Lac sont à l'origine de cet odieux complot.
Chapitre XIII : Une absence remarquée . Bilbo retourne dans la caverne de Smaug et découvre la
Pierre Arcane, le joyau le plus important du trésor des nains. Il s’en empare.
Chapitre XIV : Feu et eau. Smaug fonce sur la Ville en descendant la Rivière.Une formidable bataille
commence. Les hommes coupent les ponts, distribuent les armes, et se tiennent prêts à défendre leur vie,

tandis que les plus faibles sont évacués dans des embarcations. Smaug, furieux, incendie la Ville et bientôt,
il ne reste plus qu'un seul homme debout face à lui, Bard .
La grive se pose sur son épaule et lui indique le seul point faible de Smaug. C'est alors que Bard lache sa
dernière flèche qui atteint son but et trucide l'infâme dragon.
Le dragon s'abîme dans le Lac et libère des vapeurs, cachant la scène aux spectateurs ébahis par
l'exploit de Bard. Puis, alors que tous se désolent de la perte de leur capitaine, et souhaiteraient avoir
pu en faire leur Roi, Bard réapparait vivant. Mais l'heure n'est pas encore venu pour Bard de
réclamer son héritage : il lui faut d'abord s'occuper de son peuple, jeté hors de sa Ville et sans abri
tandis que l'Hiver approche. Prévenus de la disparition de Smaug, les Elfes des Bois arrivent bientôt
en quête du trésor mais, pris de pitié, décident de faire un détour par le Lac, pour porter secours aux
rescapés.

1. Comment se nomme la Montagne près de laquelle arrive la compagnie?


2. Grâce à quoi parviennent-ils à ouvrir la porte de la montagne?
3. Quel objet Bilbo doit-il voler au dragon?
4. Grâce à quoi Bilbo se rend-il auprès du dragon le lendemain?
5. Qu’aperçoit Bilbo lorsqu’il fait le récit de sa rencontre avec le dragon?
6. Vers quelle ville Smaug se rend-il après avoir enfermé les nains dans le tunnel?
7. Quel objet précieux Bilbo découvre-t-il à l’intérieur de la caverne de Smaug?
8. Comment se nomme l’homme qui se retrouve seul face à Smaug?
9. Qui vient se poser sur l’épaule de cet homme pour lui indiquer le talon d’Achille de Smaug?
10. Qui arrivent pour récupérer le trésor?

Chapitre XI : Sur le seuil. Après des jours de voyage, les personnages arrivent dans la
Montagne ……………...……..……. . Grâce à la ……………...……..……, ils parviennent à ouvrir la porte dans
la montagne.
Chapitre XII : Des nouvelles de l’intérieur. Les nains décident qu'il est temps pour Bilbo de dérober
le trésor de Smaug. Il va donc voler une belle ……………...……..…… pendant la sieste du dragon.
Mais celui-ci en se réveillant, s’en rend compte et rentre dans une furie énorme...
Il sort de la Montagne pour se venger. Les nains se réfugient d'urgence dans le passage entre la
porte et la caverne de Smaug. Finalement, le dragon retourne dans son antre, scandalisé et
profondément ulcéré.
Le lendemain, les nains décident d'envoyer à nouveau Bilbo qui, cette fois, utilise son
……………...……..……. Mais le dragon ne se fait pas prendre une seconde fois, et il se réveille pour
entamer une discussion des plus intéressantes avec notre cambrioleur. Bilbo mène habilement la
conversation. Malgré tout, le dragon parvient à jeter le doute dans l'esprit du hobbit, et enfin, il vexe
le dragon, ce qui oblige notre hobbit à remonter le passage de toute urgence et lui coûtera quelques
légères brûlures et plus de peur que de mal.
Il raconte une partie de son récit et remarque en même temps une ……………...……..…… non loin,
qui semble écouter. Anxieux, il demande aux Nains de rester à l'entrée du tunnel, car il craint
fortement que Smaug tente de détruire l'autre entrée du passage, celle où ils ont trouvé refuge.
Les nains n'obéissent qu'à contre-cœur, et juste à temps, puisque au moment où ils rentrent, Smaug
détruit tout ce pan, et les nains se retrouvent bloqués à l'intérieur. Smaug prend son vol vers
……………...……..……, persuadé que les Hommes du Lac sont à l'origine de cet odieux complot.
Chapitre XIII : Une absence remarquée . Bilbo retourne dans la caverne de Smaug et découvre la
……………...……..……, le joyau le plus important du trésor des nains. Il s’en empare.
Chapitre XIV : Feu et eau. Smaug fonce sur la Ville en descendant la Rivière.Une formidable bataille
commence. Les hommes coupent les ponts, distribuent les armes, et se tiennent prêts à défendre leur vie,
tandis que les plus faibles sont évacués dans des embarcations. Smaug, furieux, incendie la Ville et bientôt,
il ne reste plus qu'un seul homme debout face à lui, ……………...……..…… .
La ……………...……..…… se pose sur son épaule et lui indique le seul point faible de Smaug. C'est alors
que ……………...……..…… lache sa dernière flèche qui atteint son but et trucide l'infâme dragon.
Le dragon s'abîme dans le Lac et libère des vapeurs, cachant la scène aux spectateurs ébahis par
l'exploit de ……………...……..…….

Puis, alors que tous se désolent de la perte de leur capitaine, et souhaiteraient avoir pu en faire leur
Roi, ……………...……..…… réapparait vivant. Mais l'heure n'est pas encore venu pour lui de
réclamer son héritage : il lui faut d'abord s'occuper de son peuple, jeté hors de sa Ville et sans abri
tandis que l'Hiver approche. Prévenus de la disparition de Smaug, les ……………...……..……
arrivent bientôt en quête du trésor mais, pris de pitié, décident de faire un détour par le Lac, pour
porter secours aux rescapés.

Chapitre XV : L’orage se prépare. Des corbeaux géants annoncent aux nains la mort de
Smaug. Ils annoncent aussi l’arrivée des hommes et des Elfes sylvains pour réclamer leur part du
trésor. Les hommes d’Esgaroth se dirigent vers la montagne sous la conduite de Bard, mais Thorïn
refuse de partager le trésor qui lui revient de droit.
Chapitre XVI : Un voleur dans la nuit. Bilbo apporte en pleine nuit la Pierre Arcane à Bard et au
Roi des Elfes, afin qu’ils puissent négocier avec Thorïn. Gandalf revient.
Chapitre XVII : L’orage éclate. Bard et les Elfes continuent la négociation avec Thorin en utilisant
l'Arkenstone, mais celui obtient un délai pour la remise du butin. Il souhaite attendre l'arrivée de
Dáin, son cousin, et ne plus devoir ainsi partager le trésor. Bilbo se retrouve exilé hors de la
Montagne, renvoyé par un Thorin furieux. Il rejoint ainsi Bard, les Elfes ainsi que Gandalf qui est
revenu.
Entre temps, l'armée de Dáin arrive à la Montagne. Au moment où le combat va commencer, le ciel
s'obscurcit soudain de chauves-souris, dénonçant l'arrivée imminente de l'armée des Gobelins
dirigée par Bolg. Les nains s'allient alors avec les elfes et les hommes, et la Bataille des Cinq Armées
débute sur les flancs de la Montagne. La victoire paraît d'abord possible, mais le nombre de gobelins
est énorme et peu à peu ils perdent pied, malgré la sortie de Thorin et des autres nains.
C'est alors que Bilbo, qui a enfilé l'anneau dès le début de la bataille, aperçoit au loin les Aigles qui
viennent vers eux. Puis, assommé par une pierre, Bilbo s'évanouit.
Chapitre XVIII : Le voyage du retour. Quand il se réveille, Bilbo apprend la mort de Thorïn, ainsi
que celle de Bolg, le chef des gobelins, tué par Beorn. Daïn devient roi et le trésor est finalement
partagé entre les vainqueurs. Bilbo rentre chez lui.
Chapitre XIX : La dernière étape. Bilbo repasse par Fendeval et retourne dans son village. Il arrive
au moment d’une vente aux enchères de ses affaires car on le croyait mort. Il se
réinstalle dans son trou de hobbit avec l’anneau et sa part du trésor.

1. Qui annoncent aux nains la mort de Smaug?


2. Qui refuse de partager le trésor?
3. Qu’apporte Bilbo à Bard et aux rois des elfes afin de faciliter les négociations?
4. Quel personnage fait alors son retour?
5. Qui Thorin attend-il?
6. Qui dirige l’armée des Gobelins dont l’arrivée est imminente?
7. Comment s’appelle la bataille qui débute alors?
8. Qui Bilbo aperçoit-il au loi ?
9. De quels personnages Bilbo apprend-il la mort à son réveil?
10. Qui devient alors roi?
Chapitre XV : Des ……………...……..…….annoncent aux nains la mort de Smaug. Ils annoncent
aussi l’arrivée des hommes et des Elfes sylvains pour réclamer leur part du trésor. Les hommes
d’Esgaroth se dirigent vers la montagne sous la conduite de Bard, mais ……………...……..…….
refuse de partager le trésor qui lui revient de droit.

Chapitre XVI : Bilbo apporte en pleine nuit la ……………...……..…….… à Bard et au Roi des Elfes,
afin qu’ils puissent négocier avec ……………...……..……. . ……………...……..……. revient.

Chapitre XVII : L’orage éclate. Bard et les Elfes continuent la négociation avec
……………...……..……. en utilisant l'Arkenstone, mais celui obtient un délai pour la remise du butin.
Il souhaite attendre l'arrivée de ……………...……..……., son cousin, et ne plus devoir ainsi partager

le trésor. Bilbo se retrouve exilé hors de la Montagne, renvoyé par un Thorin furieux. Entre temps,
l'armée de ……………...……..……., le cousin, arrive à la Montagne. Au moment où le combat va
commencer, le ciel s'obscurcit soudain de chauves-souris, dénonçant l'arrivée imminente de l'armée
des Gobelins dirigée par ……………...……..……. . Les nains s'allient alors avec les elfes et les
hommes, et la Bataille des ……………...……..…….……………...……..…… débute sur les flancs de
la Montagne. La victoire paraît d'abord possible, mais le nombre de gobelins est énorme et peu à
peu ils perdent pied, malgré la sortie de Thorin et des autres nains. C'est alors que Bilbo, qui a enfilé
l'anneau dès le début de la bataille, aperçoit au loin les ……………...……..……. qui viennent vers
eux. Puis, assommé par une pierre, Bilbo s'évanouit.

Chapitre XVIII : Le voyage du retour. Quand il se réveille, Bilbo apprend la mort de


……………...……..……., ainsi que celle de ……………...……..……., le chef des gobelins, tué par
Beorn. ……………...……..……. devient roi et le trésor est finalement partagé entre les vainqueurs.
Bilbo rentre chez lui.

Chapitre XIX : La dernière étape. Bilbo repasse par Fendeval et retourne dans son village. Il arrive
au moment d’une vente aux enchères de ses affaires car on le croyait mort. Il se réinstalle dans son
trou de hobbit avec l’anneau et sa part du trésor.

Contrôles de lecture :
Chapitre I
Chapitre II, III
Chapitres IV, V, VI
Chapitres VII, VIII, IX, X
Chapitres XI, XII, XIII, XIV, XV
Chapitres:XVI,XVII, XVIII, XIX

Séance 1 Un homme, un monde


Objectifs Découvrir la biographie de J.R.R. Tolkien
Support Un musée biographique
Activités Questionnaire

Leçon de révision sur les compléments circonstanciels

Phrase 1

John Ronald Reuel Tolkien est né le 3 janvier 1892 à Bloemfontein en Afrique du Sud. Il garde peu
de souvenirs de ses années là-bas, même si son biographe rapporte qu’il aurait marché sur une
tarentule, laquelle l’aurait piqué, et que cet événement pourrait être à l’origine des monstres
arachnéens que l’auteur décrits à la fois dans Bilbo le Hobbit et dans LeSeigneur des Anneaux. Si le
frère de Tolkien, qui naît deux ans plus tard, possède une excellente santé, le futur auteur supporte
de plus en plus mal le climat sud-africain, ce qui conduit sa mère à repartir en Angleterre avec ses
deux fi ls en 1895. Le père reste sur place pour mener ses affaires avec l’intention de rejoindre la
famille un peu plus tard. Mais il décède des suites d’une maladie l’année suivante.
La veuve s’installe à Sarehole Mill ,près de Birmingham. L’endroit marque Tolkien qui s’en souvient
plus tard dans sa description du trou de hobbit. En 1900, sa mère se convertit au catholicisme. La
famille déménage plusieurs fois. En 1904, on diagnostique à la mère de l’auteur un diabète qui lui est
fatal. Le jeuneTolkien a tendance à rendre la famille responsable de ce décès : la famille aurait selon
lui refusé d’aider la convertie. La mort de sa mère lui apparaît comme un véritable martyre et la
religion occupe une place de plus en plus importante dans sa vie.
Les deux orphelins sont recueillis par un ami de la famille, le père Francis Morgan. En 1905, Tolkien
rencontre Edith Bratt qui deviendra son épouse dix ans plus tard. Entre-temps, Tolkien marque un
intérêt croissant pour l’étude des langues. Il a découvert le latin et le grec avec sa mère. Il lit
également deux textes qui auront une influence déterminante sur sa future oeuvre : Beowulf et Sire
Gauvain et le Chevalier
vert. Passionné, Tolkien invente des langues, notamment le naffarin. Plus tard, il inventera les
langues elfi- ques qui sont à l’origine des mondes qu’il crée.
En décembre 1910, il obtient une bourse pour le collège d’Exeter à Oxford et approfondit son étude
des langues. En 1914, après bien des rebondissements (séparation, interdiction de se voir,
déménagement), Edith et Tolkien se fi ancent. Tolkien achève ses études.
En 1915, il est enrôlé dans l’armée et après avoir suivi un long entraînement, il embarque pour la
France et participe à la bataille de la Somme où il perd la plupart de ses amis. L’attitude des petits
hobbits face à l’horreur et l’énormité de la guerre doit sans doute beaucoup à cette expérience. Il
attrape bientôt la « fièvre des tranchées » et est rapatrié en Angleterre en 1917.
Pendant sa convalescence, Tolkien commence la rédaction de ce qui deviendra Le Silmarillion. Son fi
ls aîné, John, naît l’année suivante. À la fi n de la guerre, Tolkien est lieutenant. En 1920, il est
nommé professeur assistant (reader) de langue anglaise à l’université de Leeds, où sa famille le suit
et où naît son deuxième fi ls, Michaël. Christopher, le troisième fils, voit le jour quatre ans plus tard.
Dès 1924, Tolkien est nommé professeur d’anglais à l’université de Leeds, puis, en 1925, professeur
d’anglo-saxon à Oxford . C’est là qu’il rencontre C.S. Lewis – le futur auteur de Narnia – et se lie
d’amitié avec lui.
En 1929 naît Priscilla, l’unique fille du couple Tolkien. L’année suivante, Tolkien commence
à écrire Bilbo le Hobbit. Il aurait commencé l’oeuvre en corrigeant des copies et en écrivant sur une
page blanche : « Dans un trou vivait un hobbit. » Le roman paraît en 1937 et rencontre un
formidable succès. On lui réclame une suite alors que Tolkien aimerait faire publier Le Silmarillion.
Mais cette oeuvre énorme et complexe effraie les éditeurs. Prenant son temps, Tolkien termine en
1939 la suite réclamée de Bilbo. Cependant, l’œuvre a pris une autre direction avec le temps et est
devenue Le Seigneur des Anneaux. Le roman est finalement découpé en trois tomes qui
paraissent en 1954-1955 avec un succès tout aussi éclatant. En 1959, Tolkien prend sa retraite. Sa
femme décède en 1971. Tolkien est nommé docteur ès lettres par l’université d’Oxford. Il meurt le 2
septembre 1973 à l’âge de 81 ans.

À) Le musée biographique

Questionnaire n°1
1. Quelle est la date de naissance de J.R.R. Tolkien: Le 3 janvier 1892
2. Que signifient les initiales J.R.R.? John Ronald Reuel
3. Dans quel pays voit-il le jour?En Afrique du Sud
4. Pour quelle raison , sa mère décide-t-elle de rentrer en Angleterre?Elle ne supporte plus le climat
de l’Afrique du Sud

Questionnaire n° 2
1.Pour quelle raison le père de Tolkien ne rejoint-il pas sa famille en Angleterre? Son père meurt d’un
rhumatisme infectieux
2)Pour quelles histoires le jeune Tolkien se passionne-t-il dans sa jeune enfance?Il se passionne
pour les histoires de peau rouge et du roi Arthur
3) Que se passe-t-il dans sa vie en 1900?Il entre à la King Edwards school et sa mère se convertit au
catholicisme
4)Qu’apprend Tolkien à la King Edward’s school dès 1903?Il apprend le grec ancien, Shakespeare,
Chaucer et s’initie en autodidacte au vieil anglais

Questionnaire n°3
1)Quel drame survient dans sa vie en 1904?Sa mère meurt de complications dues au diabète le 14
novembre
2) A qui les enfants sont-ils confiés?Ses deux fils sont confiés à la garde du père Francis Morgan de
l’Oratoire de Birmingham
3) A quelle discipline Le jeune Tolkien s’intéresse-t-il de plus en plus à partir de 1905?Il s’intéresse à
la philologie, apprend le vieux norrois pour pouvoir lire dans le texte l’histoire de Sigurd et découvre
la langue gothique et le kalevala.
4) Que fait-il pour pouvoir lire dans le texte l’histoire de Sigurd? Il apprend le vieux norrois

Questionnaire n°4
1)Qui rencontre-t-il en 1908? Il rencontre une jeune fille nommée Edith bratt
2)Pour quelle raison Le père Morgan s’oppose-t-il à cette relation naissante?Le père Morgane
s’oppose à cette relation et interdit à Tolkien de continuer à la voir : il craint que son pupille ne
néglige ses études. Le protestantisme d’Edith constitue un obstacle supplémentaire.
3) Qu’obtient-il en 1910?Tolkien obtient en décembre 1910 une bourse pour rentrer à l’université
d’Oxford
4)Durant l’été 1911, Tolkien va effectuer un voyage en Suisse dont les paysages l’inspireront pour
l’écriture de Bilbo le Hobbit. Citez un extrait de la lettre, qu’il écrira en 1968, où il évoque ces
paysages.« La dégringolade le long des pierres glissante jusque dans le bois de pins »

Questionnaire n°5
1)A Oxford, Quelle étude et quelle spécialité choisit-il?Il étudie la littérature anglaise ai choisi comme
spécialités la philologie scandinave
2) Que fait-il le jour de sa majorité?Le jour de sa majorité, en 1913, tel qu’elle écrit à édite pour la
demander en mariage.
3) En 1914, Quel poème rédige-t-il?En 1914, il rédige le poème le voyage d’earendel.
4) De quel roman est-il la première graine? Ce poème est la première graine du Simarillon.

Questionnaire n°6
1) Que réussit-il en 1915?Il réussit brillamment ses examens finaux à Oxford, obtenant le first classe
honours.
2) Que se passe-t-il le 22 mars 1916?Sachant son départ pour le front, il épouse Edith le 22 mars
1916

3) Que se passe-t-il le 16 novembre 1917?Son premier fils, John Francis reuel, né le 16 novembre
1917. Il est rapatrié en Angleterre après avoir contracté la fièvre des tranchées.
4) Quelle carrière débute-t-il dès 1920? Tolkien quitte Oxford pour le nord de l’Angleterre où il
devient professeur assistant de littérature anglaise à l’université de Leeds, puis professeur en
1924

Questionnaire n°7
1) Pour qui Bilbo le Hobbit est-il initialement écrit?Il sera publié en septembre 1937
2) Quand Tolkien publie-t-il ce roman ?Très attaché à ses enfants, il écrit pour eux de nombreux
contes parmi lesquels le hobbit. C’est une ancienne étudiante qui , enthousiasmée par le
manuscrit, le met en contact avec une maison d’édition londonienne et le persuade de le faire
publier.
3) Comment se nomme la suite de Bilbo le Hobbit? Le Seigneur des anneaux
4) Quand Tolkien meurt-il? En 1973

B) Comment raconter?
« John Ronald Reuel Tolkien est né le 3 janvier 1892 à Bloemfontein en Afrique du Sud. Le futur
auteur supporte de plus en plus mal le climat sud-africain, ce qui conduit sa mère à repartir par
bateau en Angleterre avec ses deux fils en 1895. Le père reste sur place pour mener ses affaires
avec l’intention de rejoindre la famille un peu plus tard. Mais parce qu’il était de santé fragile, il
décède l’année suivante. »

1) Chaque passage souligné peut être une réponse à une question trouvée avant le jeu de la balle
et des questions/réponses. Trouvez pour chacun de ces passages la question qui aurait pu être
posée.

2) Pour chacune des questions trouvées, identifiez la circonstance: temps, lieu, manière, moyen,
but, cause.

Leçon :LES COMPLEMENTS CIRCONSTANCIELS (CC)

I. Des constituants facultatifs

Les compléments circonstanciels sont des constituants facultatifs.

Ils sont ajoutés aux constituants obligatoires (Groupe Sujet + Groupe Verbal) pour préciser les
circonstances du fait exprimé par le groupe verbal.

Ils répondent à diverses questions : où ? quand ? comment ? pourquoi ? …

II. Valeurs des compléments circonstanciels

1.Les compléments circonstanciels de temps indiquent soit un point de repère dans le temps, soit la
durée du fait exprimé par le verbe.

Ex: Tolkien est né le 3 janvier 1892. (date).

Ex: Il a vécu en Afrique du Sud pendant six ans. (durée)

On le trouve en posant la question: Quand?

2.Les compléments circonstanciels de lieu indiquent un repère dans l’espace.

Ex:On a retrouvé le dragon près de la Montagne.

On le trouve en posant la question: Où? D’où? Par où? Vers où?

Soulignez les CCL et CCT (précisez la circonstance: temps ou lieu ).

1. Il marcha pendant deux heures sous les arbres.

2. Devant moi s’étendait une vaste étendue.

3. Je suis allé passer mes vacances en Provence. J’en suis revenu il y a cinq jours.

4. On sent la fraîcheur dès que le soleil se couche.

5. Barnabé parle de ses vacances en Angleterre.

Relevez les compléments circonstanciels de lieu et de temps dans le texte suivant

Le Tonnerre, vaisseau de commerce solide et puissant, filait à bonne allure sur les eaux du Pacifique.
Le capitaine de Beaumont vint rejoindre son lieutenant sur le pont à la tombée de la nuit. À cet
instant, les deux hommes aperçurent une lueur dans le lointain, au ras de l’eau. Le capitaine ajusta
sa longue-vue. Pendant quelques secondes, il crut voir une sorte de méduse phosphorescente aussi
grande qu’une baleine. Il se frotta les yeux, croyant rêver.

3.Les CC de manière indiquent la façon de faire, l’attitude du sujet.

Ex:Gollum a agi silencieusement, avec méthode, sans laisser de traces.

On le trouve en posant la question: De quelle manière?

4.Les CC de moyen indiquent l’objet utilisé pour accomplir l’action.

Ex: Bilbo a été assommé à l’aide d’un bâton.

On le trouve en posant la question: Avec quoi? Avec quel objet?


Relevez les CC de manière et de moyen ( précisez la circonstance: manière ou moyen).

1. Ce drôle d’oiseau avance en sautillant.

2. Cette toile a été peinte à l’huile.

3. Je vais respecter scrupuleusement le mode d’emploi.

4. Le funambule s’est élancé sans filet sur le fil.

5. Le pâtissier a battu les œufs avec un fouet électrique.

6. Le spéléologue avance avec prudence dans la grotte sombre.

7. Il a agi avec une grande patience.

Relevez les CC de manière ou de moyen ( précisez la circonstance: manière ou moyen)

Olivier travaille avec application. Il corrige ses fautes au brouillon avec le dictionnaire et relit son texte
avec attention. Puis il prend une copie double, y trace un cadre avec sa règle et recopie son récit
avec le plus grand soin. Il réalise même quelques illustrations avec ses crayons de couleurs, tout en
discutant à mi-voix.

5.Les CC de cause indiquent un fait qui a provoqué le fait principal.

Ex:On a fini par l’identifier grâce à son capuchon.

On le trouve en posant la question: Pour qu’elle raison?

6. Les CC de but indiquent ce pour quoi une action est accomplie.

Ex: Pour le retrouver, les nains se sont dispersés.

On le trouve en posant la question: Dans quel but?

Soulignez les CC de cause et de But (précisez la circonstance: but ou cause).

1.Elle a rougi de honte.

2. Tu devrais faire un séjour en Angleterre pour améliorer ton anglais.

3. Il a eu une contravention à cause d’un excès de vitesse.

4. Il a été condamné à un mois de prison pour avoir insulté son voisin.

5. Tu es mort de fatigue.

6. Il se bat pour obtenir réparation du préjudice subi.


7. On rénove ce théâtre pour améliorer la sécurité.

8. Elle avance en trainant les pieds?

Relevez les passages soulignés et identifiez la circonstance

Le fleuve roulait à coups d’épaules à travers la forêt, Antonio s’avança jusqu’à la pointe de l’île. Il
toucha le chêne pour écouter ses tremblements . C’était un vieux chêne plus gros qu’un homme de
la montagne. La moitié de ses racines sortaient de l’eau. [...] Il flatta doucement l’arbre avec sa
longue main.

Jean Giono, Le Chant du monde, © Gallimard

III. Les classes grammaticales des compléments circonstanciels

- un groupe nominal (GN) :

Ex : Bilbo a rendez-vous ce mercredi.

- un groupe prépositionnel (introduit par une préposition) :

Ex : Face à Gollum, Bilbo ignore ce qu’il doit faire.

- Un adverbe:

Ex : Gandalf arrivera bientôt.

- un gérondif (construit avec en + participe présent) :

Ex : Les nains se déplace en faisant le moins de bruit possible.

- une proposition subordonnée conjonctive :

Ex : Dès qu’il rencontre Gollum, Bilbo se méfie de lui.

Identifiez la circonstance des mots et groupes de mots soulignés et donnez leurs classes
grammaticales.
1. La nuit, les étoiles brillent dans le ciel.

3. Le spéléologue avance avec prudence dans la grotte sombre.

4. Il a agi avec une grande patience.

5.Nous partirons dès que tu seras prête.

6.Je partirai parce qu'il le faut.

7. Un soir, au coucher du soleil, au fond du verger, il rêvait profondément.


8.Les soldats avancèrent sans que personne ne les vît.

Relevez les 10 Compléments circonstanciels présents dans ce texte, puis précisez la circonstance
exprimée, ainsi que la classe grammaticale de chacun d’entre eux.

Puis il frappa à la porte avec sa canne, et, lorsqu’on lui ouvrit, il demanda d’une voix rauque un verre
de rhum pour se désaltérer. Quand on le lui eut donne, il le savoura lentement, en connaisseur, tout
en observant attentivement la falaise.

Phrase n°1:Phrase n°1 : Tolkien est professeur à L’université d’Oxford,une ville située près de
Londres, lorsqu’il écrit Bilbo le Hobbit pour ses enfants. Il n’est pas encore prêt à devenir un des
auteurs les plus lus de la littérature anglo-saxonne.
Évaluation sur les compléments circonstanciels

Exercice 1 a.Relevez les CCL et CCT

b.Précisez la circonstance/2,5
1. Il marcha pendant deux heures sous les arbres.
2. Devant moi s’étendait une vaste étendue.
3. Je suis allé passer mes vacances en Provence.
4. On sent la fraîcheur dès que le soleil se couche.

Exercice 2: a.Relevez les CC de manière et de moyen


b.Précisez la circonstance/4
1. Cet élève travaille en faisant preuve de sérieux.
2. Cette toile a été peinte à l’huile.
3. Je vais respecter scrupuleusement le mode d’emploi.
4. Le funambule s’est élancé sans filet sur le fil.
5. Le pâtissier a battu les œufs avec un fouet électrique.
6. J’ai l’habitude de marcher les mains croisées dans le dos.
7. Le spéléologue avance avec prudence dans la grotte sombre.
8. Il s’est éclipsé avec discrétion.

Exercice 3: Relevez les CC de cause et de But


b.Précisez la circonstance/3,5
1.1.Elle a rougi de honte.
2. Tu devrais faire un séjour en Angleterre pour améliorer ton anglais.
3. Il a eu une contravention à cause d’un excès de vitesse.
4. Il a été condamné à un mois de prison pour avoir insulté son voisin.
5. Tu es mort de fatigue.
6. Il se bat pour obtenir réparation du préjudice subi.
7. On rénove ce théâtre pour améliorer la sécurité.
8. Grâce à leur soutien, tu as pu réaliser ton projet.
9. Il s’est levé tôt pour avoir le temps de déjeuner.
10. Ils recherchent une destination paradisiaque afin de passer des vacances reposantes.
Exercice 4: Relevez les passages soulignés et identifiez la circonstance/4

Les hommes du capitaine n’ont pas eu de mal à ramener de la nourriture.


Dans cette partie du monde, comme il y a peu d’habitants, le gibier est abondant. Bientôt, une bonne
odeur de viande grillée se répand dans la clairière. Lorsque le repas est prêt, les hommes s’assoient
joyeusement sur des rondins de bois. Les pirates dégustent le butin issu de la chasse
avec leurs sabres teintés par la rouille.
Jean Giono, Le Chant du monde, © Gallimard

Exercice 5: Identifiez la circonstance des mots et groupes de mots soulignés et donnez leurs classes
grammaticales./6
1.Les soldats avancèrent sans que personne ne les vît.

2. Je vais respecter scrupuleusement le mode d’emploi.

3. La nuit, les étoiles brillent dans le ciel.

4. Avant d'être fatigué, il fait une pause.

5. Le spéléologue avance avec prudence dans la grotte sombre.

6. Il a agi avec une grande patience.

7.Nous partirons dès que tu seras prête.

8.Je partirai parce qu'il le faut.

9. Ce soir, il rêvait profondément.

10. Je viendrai sans ma voiture.


Séance 2 Le départ de l’aventure


Objectifs Étudier la situation initiale du roman

Réviser les relations entre les mots


Support Chapitre 1
Activités Repérage des éléments précisant la situation initiale

À retenir sur le schéma narratif

Leçon sur les relations entre les mots

Phrase 2

A)Les principales informations


1. Le cadre spatio-temporel
a. Où Bilbo vit-il? (13)
b. Quels sont les autres lieux évoqués dans ce chapitre? (13,37,39)
c. Quel jour de la semaine et en quel mois cette histoire commence-t-elle? (20,29)

2. Les personnages
Bilbo
a. Quel âge a-t-il? (16)
b. Qui sont ses parents?(15)
c. Quelles sont les caractéristiques physiques d’un hobbit? (14)
d. Bilbo est normalement un personnage très accueillant. Citez un passage du chapitre pour justifier
cette affirmation. (22)
e. Mais s’il préfère la tranquillité à l’imprévu (Citez le texte). il est aussi attiré par l’aventure et il se
trahit à deux reprises. Relevez deux passages qui l’indiquent. (19)

Gandalf
a. Il est d’abord présenté par sa réputation. Relevez les passages qui le montrent. (19)
b. Son âge est vaguement évoqué à l’aide d’un nom commun.Relevez-le.(17)
c. Relevez ses caractéristiques physiques.(17)
d. Relevez sa tenue vestimentaire également.(17)

Les nains
a.Relevez les noms des 13 nains.
b. Quelle est la particularité du capuchon de Thorïn?(25)
c.Relevez la phrase, dans le même passage, qui insiste sur l’importance de ce nain.(25)
d.Montrez, en citant le texte, qu’il se montre très désagréable avec Bilbo.(25)

3.La mise en place de l’histoire


a. Dès le début du chapitre, Gandalf annonce ce qui va suivre. Relevez la phrase qui le montre.(17)
b. Résumez en une seule phrase l’aventure proposée à Bilbo.

À retenir: Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= commencer. L'incipit sert à désigner le
début d'un roman.
Il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte. En effet, il crée un monde ctif en donnant
des informations sur les personnages, le cadre spatio-temporel. Il permet de répondre aux différentes
questions : Où? Quand? Qui? Quoi? Comment? Pourquoi?

fi

Nom:
Prénom:
À retenir: Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= ................................. L'incipit sert à
désigner le ........................... d'un ............................
Il a une valeur ........................... et ........................... la suite du texte. En effet, il crée un
monde ........................... en donnant des ........................... sur les ..........................., le
cadre ...................................................... Il permet de répondre aux
différentes ........................... : Où? Quand? Qui? Quoi? Comment? Pourquoi?

B) Un drôle de trou : lecture analytique du début du premier chapitre ‘ de « Au fond d’un trou » à
« ...descendant vers la rivière. »
1. Bilbo le hobbit est souvent considéré comme un conte. Par quelle formule les contes débutent-ils
habituellement? Relevez une phrase qui pourrait s’apparenter à cette formule d’ouverture.
2. Quel nom commun est employé pour désigner l’habitat de Bilbo?
3. Ce mot est-il normalement connoté négativement ou positivement?
4. Montrez que cette description est d’abord faite négativement en relevant les adverbes de
négation.
5. Relevez chaque élément évoqué dans la description négative et retrouvez, dans la deuxième
partie de la description, son opposé.
6. Finalement, à quoi ressemble réellement ce trou? Relevez un champ lexical qui vient appuyer
cette impression ce nid douillet.

Au fond d’un trou vivait un hobbit. Non pas un trou immonde, sale et humide, rempli de bouts de
vers et de moisissures, ni encore un trou sec, dénudé, sablonneux, sans rien pour s'asseoir ni pour
se nourrir: c'était un trou de hobbit, d’où un certain confort. Sa porte, peinte en vert, était tout à fait
ronde comme un hublot, avec un étincelant bouton de cuivre jaune placé exactement au centre. Elle
s’ouvrait sur un hall en forme de tube, comme un tunnel : un tunnel très confortable et sans fumée,
avec des murs recouverts de lambris , un sol carrelé et garni de tapis, pourvu de chaises bien
astiquées et de nombreuses patères pour accrocher chapeaux et manteaux : ce hobbit aimait les
visites. Le tunnel s'enfonçait profondément , presque en ligne droite mais pas tout à fait, dans le flanc
de la colline - La Colline, comme tout le monde l'appelait à des lieues à la ronde - et de nombreuses
petites portes rondes, s’ouvraient de chaque côté, une à gauche, puis l’autre à droite. Le hobbit ne
montait jamais d’escaliers: chambres, salles de bains, caves, garde-manger ( nombreux), penderies
(il y avait des pièces entières consacrées aux vêtements), cuisines, salles à manger, - tout était au
même étage , et le long d’un même corridor. Les plus belles pièces se trouvaient toutes à gauche (en
entrant), car c’était les seules à avoir des fenêtres, des fenêtres rondes dans de belles niches, qui
donnaient sur son jardin et les prés au-delà, descendant vers la rivière.

Synthèse de l'analyse de l'incipit

Tolkien a écrit son roman comme un conte pour ses enfants. On le remarque à la première phrase : «
Au fond d’un trou vivait un hobbit.» qui ressemble à la formule d'introduction : « il était une fois un
hobbit».

L'univers du conte est aussi suggéré par le nom "trou". En effet ce mot à largement une connotation
péjorative, or il apparait ici largement positif. Cela nous plonge dans un univers différent du nôtre: le
merveilleux du conte.

Étonnamment la description de son habitat se fait d'abord de façon négative par ce qu'elle n'est pas,
comme le montre l'emploi de la négation : "non pas", "ni...". Et le reste de la description peut donc se
lire à l'envers: ce "trou" n'est pas "déplaisant", il implique même "un certain confort". Cet aspect est
renforcé par le mot de la même famille: "confortable".

Il n'est ni sale ni humide, bien au contraire car le bouton de la porte est « étincelant », les chaises
sont "astiquées". Il n’est ni « sec » puisque les murs sont "recouverts de lambris ", ni « dénudé » car
doté de « nombreuses patères », « de nombreuses petites portes ». Ce n'est pas non plus un trou
sablonneux car le "sol est carrelé et garni de tapis."

En somme, ce trou apparait comme un nid douillet, un cocon réconfortant comme l'atteste le champ
lexical de la rondeur, du cercle: "ronde" x 3, "hublot","tube","tunnel".

Synthèse de l'analyse de l'incipit

Tolkien a écrit son roman comme un conte pour ses enfants. On le remarque à la première phrase : «
..................................................................» qui ressemble à la formule d'introduction : « il était une
fois un hobbit».

L'univers du conte est aussi suggéré par le nom "................". En effet ce mot à largement une
connotation péjorative, or il apparait ici largement positif. Cela nous plonge dans un univers différent
du nôtre: le merveilleux du conte.

Étonnamment la description de son habitat se fait d'abord de façon négative par ce qu'elle n'est pas,
comme le montre l'emploi de la négation : "................", "................". Et le reste de la description peut
donc se lire à l'envers: ce "trou" n'est pas "déplaisant", il implique même
"................................................". Cet aspect est renforcé par le mot de la même famille:
"................................".

Il n'est ni sale ni humide, bien au contraire car le bouton de la porte est « .............................. », les
chaises sont "..............................". Il n’est ni « sec » puisque les murs sont ".............................. ", ni
« dénudé » car doté de « ..............................», « de ........................................................... ». Ce n'est
pas non plus un trou sablonneux car le "..........................................................."

En somme, ce trou apparait comme un nid douillet, un cocon réconfortant comme l'atteste le champ
lexical de la rondeur, du cercle: "............................." x 3,
".............................",".............................",".............................".
Leçon

1.Les synonymes et antonymes

Des synonymes sont des mots de sens identique et de même nature = Ex : voiture/ automobile

Des antonymes sont des mots de sens contraire et de même nature = Ex : Jour/nuit

2.Le champ lexical

.Un champ lexical est constitué de l’ensemble des mots qui, dans un texte, se rapportent à une
même idée ou domaine= Ex : Champ lexical de l’école = craie, cartable, tableau…

3. Les familles de mots

Une famille de mots regroupe tous les mots qui ont le même radical (racine).On les appelle des mots
dérivés.

jour, journée, abat-jour, journalier, séjour

Un mot peut-être formé de différents éléments:

- le radical;

- le préfixe, qui modifie le sens d'un mot, se place devant le radical et sert à obtenir des mots
dérivés : porter : exporter

- le suffixe, qui échange souvent la nature du mot ou en modifie parfois le sens, se place après le
radical et permet d'obtenir des mots dérivés : porter : portable

Attention !!!: Quelquefois des mots de la même famille ont seulement quelques lettres en commun
mais ils ont une idée générale commune. Ce sont bien des mots de la même famille. Lait et lacté ont
un sens commun et des lettres provenant d'un même radical d'origine latine.

4.La polysémie

Certains mots n’ont qu’une seule signification : ils sont monosémiques. C’est le cas de

mots désignant des objets ou des êtres comme porte-clés (anneau ou étui réunissant des

clés), porto (vin liquoreux produit au Portugal), poney (cheval de petite taille à l’âge

adulte), murène (poisson des mers tropicales à la morsure dangereuse), etc.

D’autres mots, très nombreux, peuvent avoir plusieurs significations : ils sont polysémiques.

Ainsi, un mot banal comme pâté peut désigner, selon Le Robert :

1. une grosse tâche d’encre ;

2. un ensemble de maisons formant un bloc ;


3. du sable mouillé moulé à l’aide d’un seau (jeu d’enfant).

5.La dénotation et la connotation

La dénotation : le sens d’un mot au dictionnaire.

La connotation : les valeurs affectives ajout es au sens d not , ce que l’on comprend au- del du
sens d not . Ces valeurs sont positives ou n gatives.

Certains mots ont presque toujours une connotation positive : bonheur, hospitalit , gu rison,
enchantement, etc.

D’autres ont presque toujours une connotation n gative : d crochage scolaire, esclavage, injustice,
horreur, maladie, etc.

6. Le sens propre et le sens figuré

- Le sens propre d’un mot est le sens concret, habituel ; c’est aussi le premier sens donné par le
dictionnaire.

Exemple : Le loup dévore la brebis.

Ici, « dévorer » est utilisé au sens propre, il veut dire « manger en déchirant avec ses dents ».

- Le sens figuré d’un mot est détourné du sens concret ; il est né d’images, de comparaisons.

Exemple : Paul dévore son livre.

Ici, « dévorer » est utilisé au sens figuré, il veut dire « lire avec passion ». Paul ne mange pas
réellement son livre.

Exercices 1 et 2 p.325
Antonymie

Complétez ces phrases à l’aide d’un antonyme des mots en gras

1. Devant la décision de l’arbitre, l’entraîneur a fait preuve de faiblesse. Et moi qui comptais sur sa
_________________________ pour me sortir de là !

2. Les textes de cet écrivain d’avant-garde sont souvent hermétiques. Les lecteurs s’attendaient à
trouver une œuvre plus _______________________.

3.La couturière exultait après le dé lé de mode; pourtant, hier, elle se _______________________


de la situation.

4. On a souvent reproché au maire sa trop grande volubilité lorsqu’il siège au conseil municipal. On
apprécierait chez lui plus de _______________________ dans ses interventions.

5. Victime de sa trop grande spontanéité, Julien a laissé échapper une parole incongrue. Il s’en
voulait de ne pas avoir su trouver les mots _______________________ dans les circonstances.

6. Avez-vous remarqué son air fat ? Quel contraste avec son frère qui semble si
_______________________ !

7. L’attitude péremptoire du chef de l’opposition tranchait nettement avec celle plutôt


_______________________ du premier ministre.

8. Ce chanteur populaire a développé un goût bien particulier pour le faste et il a laissé tomber tout
de qui relève de la _______________________.

9. Au lieu de répondre avec outrecuidance, le directeur aurait dû faire preuve de


_______________________

Synonymie

Trouvez un synonyme aux mots en gras.

1. Le mobilier de ce restaurant représente les goûts hétéroclites de son propriétaire.

2. La réaction de sa collaboratrice a médusé Charles.

3. La résistance à ce projet s’amenuise depuis la publication de l’étude sur les retombées


économiques.

4. Tous les journalistes ont dénoncé la vacuité des propos du conférencier.

5. Depuis la fermeture de l’usine de pâtes et papiers, le chômage dans cette région est endémique.

6. La littérature du terroir favorise la pérennité des traditions québécoises.

7. Le succès de cette pièce de théâtre repose sur la faconde du personnage principal.

8. En rentrant à la maison, Maude a fait une rencontre tout à fait inopinée.

9. Les employés ne savaient comment réagir à la suite de la réaction courroucée de leur


contremaître.

10. En général, l’être humain adopte un comportement grégaire.


Trouvez les synonymes des mots en gras a n d’éviter les répétitions .

Samedi dernier, nous avons passé une soirée fascinante : nous avons joué à appeler des fantô
mes ! Ce n’est pas un jeu de société comme un autre, puisque des fantômes
(______________________________) reviennent de l’au-delà pour se manifester. Moi, évidemment,
je ne crois pas aux fantômes (______________________________). Mais quand le sou noir se met
à se déplacer sur la table ou que cette dernière se met à bouger, on se demande bien quel fantôme
(______________________________) mène le jeu ! En n, ce fut une soirée intrigante qui m’a laissé
des dou- tes sur l’existence des fantômes (______________________________) !

Dans les textes suivants, identifiez le champ lexical employé et relevez quatre ou cinq mots qui en
font partie .
1.Nous appr cions tous la discr tion de Lise, bien que nous d plorions sa trop grande modestie,
signe d’un manque total de confiance en elle-m me. Ainsi, lorsqu’elle doit parler en public, elle ne se
contr le plus ; elle perd le fil de ses id es m me avec son texte sous les yeux. Nous ressentons son
malaise tel point que sa g ne nous plonge dans l’embarras. Cependant, en petit comit , elle sait
faire preuve d’un humour subtil et parle quelquefois d’elle-m me, mais toujours avec beaucoup trop
de retenue. Ceux qui la connaissent mieux pr tendent qu’elle est consciente de sa valeur et que
derri re son effacement se cache un peu d’orgueil.

2.Tous les matins, l’aube, nous sommes r veill s par le chant du coq relay aussit t par les
aboiements discordants qui montent du chenil voisin. Notre voisin gagne en effet sa vie en levant,
pour les vendre, des affreux molosses qui ne m ritent pas le doux nom de « meilleur ami de l’homme
». Tous les matins, peine veill s, nous maudissons notre voisin. Nous envisageons m me de
d poser une plainte pour tapage et nuisance.
Cependant, n’allez pas croire que nous ayons une dent contre la race canine. Nous avons nous-
m me un adorable repr sentant de cette race qui s’appelle « Tr sor ». Il vient quand on l’appelle, ne
jappe pas et lape sa gamelle aussi discr tement que le ferait un chaton. Avant Tr sor, nous en avons
eu plusieurs qui – Dieu ait leur me ! – reposent tous en paix dans notre jardin.































Connotation dénotation

a) Relevez les connotations dans les phrases suivantes.

b) Indiquez si elles sont positives ou négatives.

1. Avec la n de la grève dans le transport en commun prend également n le cauchemar de la


population.

2. Parmi les jeunes adultes de ma génération, il y a de plus en plus de passionnés du cinéma


québécois.

3. Avec de telles promesses, on a l’impression que les politiciens prennent les gens pour des
innocents.

4. Par ce mariage tardif, cet homme plutôt âgé espérait assurer sa descendance par la venue d’un
rejeton.

5. Les chroniqueurs sportifs avaient quali é Guy La eur de comète blonde.

6. La dynastie Bombardier est passée de la conception de motoneiges à celle d’avions à réaction.

7. En travaillant une partie de la nuit, André a réussi à bâcler son travail : il pourra ainsi le remettre à
temps.

8. Depuis la mort de son associé, qu’il avait souvent traité de paresseux, le spectre de ce dernier
vient hanter Paul-Luc toutes les nuits.

9. Depuis que cette station de radio a changé sa programmation, ses cotes d’écoute se sont
emballées.

10. À son arrivée au moment où on ne l’attendait pas, il reçut un accueil de glace.


Famille de mot

Complétez ces phrases à l’aide d’un mot de la même famille que le mot soulignés;

1. Les pr sentations taient peine termin es que le responsable s’est mis tutoyer tout le monde.
Dans les circonstances, ce ............................................ a jet un froid dans la conversation .
2. Depuis quelques heures, la temp te s’est apais e. Cet ............................................ permettra aux
secouristes de se rendre sur place.
3. Tr s rapidement, le ciel s’est obscurci. Les touristes que nous tions n’ taient pas habitu s
un ............................................ si rapide.
4. Pendre la cr maill re contribue au maintien d’une vieille tradition.
Notre ............................................ de cr maill re commencera 18 heures jeudi prochain.
5. La navigation sur le fleuve remonte l’ poque am rindienne. cette poque, la
navigation ............................................ repr sentait la fa on rapide de se d placer.
6. Le juge d’instruction a demand aux deux parties de compara tre devant lui sans d lai.
Cette ............................................ aura certainement lieu la semaine prochaine.
7. Ce manoir appartenait aux anc tres d’une famille tablie ici depuis deux si cles. Cette
r sidence_ ............................................ fait maintenant partie de notre patrimoine culturel.
8. Certains enfants d daignent les plats qu’on leur pr sente. D’o vient
ce ............................................ qui semble si difficile surmonter ?
9. Nos voisins ont f t tard dans la nuit. Plusieurs locataires ont t d rang s par leur
tapage .............................................

1. Devant la décision de l’arbitre, l’entraîneur a fait preuve de faiblesse. Et moi qui comptais sur sa
fermeté (force, volonté) pour me sortir de là !

2. Les textes de cet écrivain d’avant-garde sont souvent hermétiques. Les lecteurs s’attendaient à
trouver une œuvre plus accessible (claire, compréhensible, simple).

3. La couturière exultait après le dé lé de mode ; pourtant, hier, elle se désespérait (se désolait) de la
situation.

4. On a souvent reproché au maire sa trop grande volubilité lorsqu’il siège au conseil municipal. On
apprécierait chez lui plus de concision (précision, sobriété) dans ses interventions.

5. Victime de sa trop grande spontanéité, Julien a laissé échapper une parole incongrue. Il s’en
voulait de ne pas avoir su trouver les mots appropriés (convenables, pertinents) dans les
circonstances.

6. Avez-vous remarqué son air fat ? Quel contraste avec son frère qui semble si modeste (effacé,
réservé) !

7. L’attitude péremptoire du chef de l’opposition tranchait nettement avec celle plutôt hésitante
(incertaine) du premier ministre.











































8. Cette étudiante fait preuve d’une curiosité insatiable pour tout ce qui touche les sciences. Quand
réussira-t-elle à assouvir (apaiser, combler, satisfaire) son avidité ?

9. Ce chanteur populaire a développé un goût bien particulier pour le faste et il a laissé tomber tout
de qui relève de la simplicité (du dépouillement, de la sobriété).

10. Au lieu de répondre avec outrecuidance, le directeur aurait dû faire preuve de réserve

1. Le mobilier de ce restaurant représente les goûts bigarrés (éclectiques, variés) de son pro-
priétaire.

2. La réaction de sa collaboratrice a stupéfait (coupé le souf e à, époustou é, renversé, stupé- é)


Charles.

3. La résistance à ce projet s’effrite (diminue, faiblit, s’affaiblit) depuis la publication de l’étude sur les
retombées économiques.

4. Tous les journalistes ont dénoncé la nullité (le vide) des propos du conférencier.

5. Depuis la fermeture de l’usine de pâtes; et papiers, le chômage dans cette région est chronique

(persistant, tenace).

6. La littérature du terroir favorise la persistance (continuité, durée, l’immuabilité) des tradi-

tions québécoises.

7. Le succès de cette pièce de théâtre repose sur la volubilité (éloquence, exubérance, verve) du
personnage principal.

8. En rentrant à la maison, Maude a fait une rencontre tout à fait imprévue (inattendue).

9. Les employés ne savaient comment réagir à la suite de la réaction déchaînée (enragée, fu-

rieuse, outrée) de leur contremaître.

10. En général, l’être humain adopte un comportement sociable (social).

1. Cette session, mon cours de géographie comporte un aspect pratique que je vais sûrement
apprécier : un voyage au barrage de Manicouagan. Ce périple est organisé en collaboration avec les
Services aux étudiants et durera une semaine. Il s’agit d’une expédition en camping et chacun doit
s’équiper en conséquence. Nous avons tous hâte à cette excursion, même si cela représente
beaucoup de travail de préparation. Au retour, chacun devra remettre une recherche de dix pages sur
différents aspects de cette randonnée.
NOTE. – En général, plusieurs réponses sont possibles. Ici, les principaux synonymes du mot
voyage sont excursion, expédition, périple et randonnée. On peut souvent utiliser ces syno- nymes
au choix.

Samedi dernier, nous avons passé une soirée fascinante : nous avons joué à appeler des fantô-
mes ! Ce n’est pas un jeu de société comme un autre, puisque des ombres reviennent de l’au- delà
pour se manifester. Moi, évidemment, je ne crois pas aux revenants. Mais quand le sou noir se met à
se déplacer sur la table ou que cette dernière se met à bouger, on se demande bien quel esprit mène
le jeu ! En n, ce fut une soirée intrigante qui m’a laissé des doutes sur l’existence des spectres !

NOTE. – En général, plusieurs réponses sont possibles. Ici, les principaux synonymes du mot
fantôme sont apparition, esprit, ombre, revenant et spectre. On peut souvent utiliser ces synonymes
au choix.

1)a)Champ lexical : l’indifférence du mari.

Mots : Sans entrain, air absent, désintéressé, s’ennuyer, détachement, insensibilité,

apathie.

b) Champ lexical : l’enthousiasme de la femme.

Mots : Exalté, ardeur, je m’emballe, chaleur, vive, énergie. Champ lexical : la tranquillité de Xavier.

2. a)

b) Champ lexical : l’agitation de Martine.

Mots : Se reposer, lit douillet, quiétude, serein, calme, dormir comme un bienheureux. Mots :
Désordre, chaos, nager dans des eaux troubles, nerveuse, en colère, émotions.

1. a)cauchemar

b) Connotation négative

c) Le mauvais rêve, le désagrément, les ennuis, etc.

2. a)passionnés

b) Connotation positive
c) Amateurs, etc

3. a Innocent

b) Connotation négative

c) Naïfs, crédules, etc.

4. a)rejeton

b) Connotation négative

c) Descendant, enfant héritier, etc.

5. a)Comète blonde

b) Connotation positive

c) Très rapide, etc.

6. a)Dynastie

b) Connotation positive

c) La famille, le groupe, etc.

7. a) Bâcler

b) Connotation négative

c) Finir, terminer, etc.

8. a) Spectre

b) Connotation négative
c) Fantôme, ombre, revenant, etc.

9. a)Se sont emballées

b) Connotation positive

c) Ont augmenté, ont grimpé, ont monté, etc.

10. a)de glace

b) Connotation négative

c) Froid, distant, réservé, etc.

Phrase n°2:Le premier chapitre du roman apporte au lecteur toutes les informations nécessaires pour
le comprendre : les personnages, le monde dans lequel ils vont évoluer et la quête qui sera la leur.

Evaluation sur les relations entre les mots

Exercice 1: Complétez ces phrases à l’aide d’un antonyme des mots en gras /Ne recopiez que
l’antonyme sur votre feuille3

1. Devant la décision de l’arbitre, l’entraîneur a fait preuve de faiblesse. Et moi qui comptais sur sa
__ pour me sortir de là !

2. Les textes de cet écrivain d’avant-garde sont souvent hermétiques. Les lecteurs s’attendaient à
trouver une œuvre plus __.

3.La couturière exultait après le défilé de mode; pourtant, hier, elle se ___ de la situation.
4. On a souvent reproché au maire sa trop grande volubilité lorsqu’il siège au conseil municipal. On
apprécierait chez lui plus de __ dans ses interventions.

5. Victime de sa trop grande spontanéité, Julien a laissé échapper une parole incongrue. Il s’en
voulait de ne pas avoir su trouver les mots __ dans les circonstances.

6. Avez-vous remarqué son air fat ? Quel contraste avec son frère qui semble si _ !

Exercice 2:Trouvez un synonyme aux mots en gras.Ne recopiez que le synonyme sur votre feuille.2

1. Le mobilier de ce restaurant représente les goûts hétéroclites…… de son propriétaire.

2. La réaction de sa collaboratrice a médusé…… Charles.

3. Tous les journalistes ont dénoncé la vacuité…. des propos du conférencier.

4. Depuis la fermeture de l’usine de pâtes et papiers, le chômage dans cette région est
endémique…… .

Exercice 3: a.Identifiez et relevez le champ lexical dominant dans ce texte.

Ce mauvais temps dura huit jours, pendant lesquels le tonnerre ne cessa de rouler dans les
profondeurs du ciel. Entre deux orages, on l’entendait encore gronder sourdement hors des limites
de l’horizon; puis, il reprenait avec une nouvelle fureur. Le ciel était zébré d’éclairs, et la foudre
frappa plusieurs arbres de l’île, entre autres un énorme pin qui s’élevait près du lac, à la lisière de la
forêt.

Jules Verne, L’Île mystérieuse

Exercice 4:a) Relevez les connotations dans les phrases suivantes.

b) Indiquez si elles sont positives ou négatives.

c) Proposez un terme de remplacement sans connotation./6

1. Avec la fin de la grève dans le transport en commun prend également fin le cauchemar de la
population.

2. Parmi les jeunes adultes de ma génération, il y a de plus en plus de passionnés du cinéma


québécois.
3. Avec de telles promesses, on a l’impression que les politiciens prennent les gens pour des
innocents.

4. Par ce mariage tardif, cet homme plutôt âgé espérait assurer sa descendance par la venue d’un
rejeton.

Exercice 5: Complétez ces phrases à l’aide d’un mot de la même famille que le mot en gras/2

1.Le brouillard opaque rendait la navigation impossible. L’___était telle qu’on voyait à peine à
quelques mètres devant le voilier.

2. On dit que l’argent avilit les gens. Pourtant, bien des gens du tiers-monde accepteraient volontiers
cet ___ pour sortir de leur pauvreté !

3. Encore une fois, avec son spectacle rempli d’émotion, cette chanteuse a réussi à ____ la salle.

4. Pour assurer un environnement salubre aux générations futures, il faut mettre en place des
mesures de ___.

Exercice 6: Le mot en mot souligné peut avoir plusieurs sens. Expliquez son sens dans chacune des
phrases suivantes./5

1. a. Nous avons brûlé de vieilles lettres. b. Nous brûlons d’envie de la rencontrer. c. Le chauffard a
brûlé un feu rouge.

2. Tourne rapidement la page de la partition. b. Le lait a tourné. c. Tournez à droite, au prochain feu.

3. a.Enzo a bon coeur. b.Louise a couru: son coeur bat très vite.

4. a.Apprends ta leçon d’histoire. b. Je lis une histoire avant de m’endormir.

Séance 4 Des trolls et des cyclopes


Objectifs Faire une étude comparative
Support Chapitre 2

Extrait de l’Odyssée d’Homère


Activités Questionnaire comparatiste

À retenir: l’intertextualité

Phrase n°4
Relisez le passage du chapitre 2 ( p.54 de « Puis l’un des poneys prit peur sans raison… » à p. 65. « 
C’était ce qui était arrivé à Hubert, Tom et Léon. », et lisez l’épisode du Cyclope.

Extrait de L’Odyss e d’Hom re.


Ulysse et ses compagnons poursuivent leur route et arrivent au pays des Cyclopes, ces g ants
munis d’un œil unique au milieu du front.
« Ulysse remarque une grotte et, pouss par la curiosit , d cide de l’explorer. Il part avec douze de
ses compagnons et arrive rapidement la caverne. L , ils d couvrent des fromages normes, des
vases de m tal regorgeant de lait et de nombreux agnelets.
- Servons-nous et partons disent les compagnons d’Ulysse.
- Non ! Voyons qui est l’habitant de ces lieux.
Ulysse et ses compagnons s’installent, font du feu et attendent. Quelques minutes plus tard, la terre
tremble et une ombre gigantesque se pro le sur le sol. Polyph me, le cyclope, est de retour chez lui.
Un frisson de frayeur saisit les grecs. Ils ont entendu parler des cyclopes, ls de Pos idon, dieu de la
mer. Poussant son troupeau devant lui, Polyph me entre dans la grotte qu’il referme l’aide d’une
norme pierre. Soudain, il aper oit les Grecs terroris s.
- Qui tes-vous trangers ?
- Nous sommes des guerriers revenant de Troie. Les dieux nous ont jet s sur la c te et...
- Nous, les cyclopes, ne craignons pas les dieux !
Nous leur sommes sup rieurs. Disant cela, Polyph me attrape deux des compagnons d’Ulysse leur
fracasse la t te et les d vore. Rassasi , il se couche et s’endort.
Ulysse s’interroge alors : « Vais-je le tuer avec mon glaive ? Mais comment ensuite sortir de cette
caverne ? La pierre d’entr e est si lourde que jamais nous ne pourrons la pousser... Je dois trouver
un autre moyen... »
La nuit passe. L’aube se l ve. Polyph me s’ veille. En guise de d jeuner il d vore deux autres
compagnons d’Ulysse puis sort faire pa tre son troupeau. Le soir deux grecs lui servent encore de
d ner. Ulysse s’approche alors du cyclope :
- Cyclope, accepterais-tu de ce d licieux vin ? Le g ant avale le breuvage d’un seul coup.
- Que c’est bon ! Donne-m’en encore. Comment t’appelles-tu ?
- Je me nomme personne.
- Et bien personne, moi aussi je vais te faire un cadeau ; je te mangerai le dernier, voici mon cadeau.
Puis, ivre, le cyclope s’allonge et s’endort.
Ulysse et ses compagnons se pr cipitent sur le pieu qu’ils avaient taill en l’absence du g ant. Il est
mis dans le feu, chauff au rouge et enfonc dans l’œil du cyclope. Polyph me pousseun hurlement
qui se r percute au loin. Les Grecs se cachent au fond de la grotte tandis que d’autres Cyclopes,
alert s par les cris de Polyph me, accourent.
- Que se passe t-il ? demandent-ils du dehors. Qui t’attaque ?
- C’est personne ! personne !
- Personne ? C’est alors quelque mal qui te vient du grand Zeus, dieu du ciel et de la terre,
gouverneur de l’Olympe. Nous ne pouvons rien. Invoque ton p re Pos idon notre roi. Sur ces mots,
ils repartent.
Le lendemain, Polyph me ouvre la grotte et laisse sortir son troupeau. Craignant que les grecs ne
s’ chappent, il laisse passer les b tes une une et leur caresse le dos. Mais Ulysse et ses
compagnons, rus s, se sont gliss s sous les brebis et les b liers et non sur leur dos. Un un, ils
parviennent quitter la caverne. Libres, ils atteignent le rivage, montent sur leur navire, hissent les
voiles et aussit t, voguent vers le large. Ulysse ne peut s’emp cher de s’adresser au cyclope. D’une
voix railleuse, il dit :
- Cyclope, celui qui t’a priv de ton œil est Ulysse, le ls de La rte, le vainqueur de Troie, le roi
d’Ithaque.
Polyph me, fou de douleur et de rage, s’adresse alors son p re en ces termes :
- Pos idon, s’il est vrai que je suis ton ls, fais que cet Ulysse ne rentre jamais au logis ou du
moins qu’il n’y parvienne qu’apr s de nombreux malheurs.
D’apr s Hom re, L’Odyss e, Chant IX.

Répondez ensuite aux questions suivantes :









































fi
fi







fi















fi









1. Que font Ulysse et ses compagnons dès qu’ils sont entrés dans la grotte du cyclope.
2. Que doit ramener Bilbo de son périple vers la lumière ?
3. Relevez le nom qui permet de dé nir à peu près la taille d’un cyclope.
4. Relevez le groupe de mots qui nous indique que les trolls sont très grands.
5. Que fait le cyclope à deux des compagnons d’Ulysse après leur première conversation ?
6. Pourquoi Tom en a-t-il assez de manger du mouton ?De quoi rêve-t-il ?
7. Quel objet Ulysse et ses compagnons enfoncent-ils dans l’œil du cyclope ?
8. Quel objet Thorïn enfonce-t-il dans l’œil de Hubert ?
9. Après cette étude comparative des deux extraits, que pouvez-vous en déduire sur le
travail de Tolkien?

Correction:
Relisez le passage du chapitre 2 ( p.54 de « Puis l’un des poneys prit peur sans raison… » à p. 65. « 
C’était ce qui était arrivé à Hubert, Tom et Léon. », et lisez l’épisode du Cyclope.
Répondez ensuite aux questions suivantes :
1. Que font Ulysse et ses compagnons dès qu’ils sont entrés dans la grotte du cyclope.
Ils cherchent de la nourriture.
2. Que doit ramener Bilbo de son périple vers la lumière ?
Il doit ramener de la nourriture.
3. Relevez le nom qui permet de dé nir à peu près la taille d’un cyclope. Ils sont dé nis
comme des « géants »;
4. Relevez le groupe de mots qui nous indique que les trolls sont très grands.
Ils sont appelés « Trois individus corpulents »,
5. Que fait le cyclope à deux des compagnons d’Ulysse après leur première conversation ?
Il les dévore.
6. Pourquoi Tom en a-t-il assez de manger du mouton ?De quoi rêve-t-il ?
Il en a assez car il ne mange que cela depuis plusieurs jours. Il rêve de manger de la « chair
d’humain ».
7. Quel objet Ulysse et ses compagnons enfoncent-ils dans l’œil du cyclope ?
Il lui enfonce « un pieu » « chauffé au rouge ».
8. Quel objet Thorïn enfonce-t-il dans l’œil de Hubert ?
Thoron enfonce « Une grosse branche qui s’était embrasée à un bout »
9. Après cette étude comparative des deux extraits, que pouvez-vous en déduire sur le
travail de Tolkien?
Tolkien s’est fortement inspiré de la mythologie grecque et, plus précisément, de l’Odyssée
d’Homère.

À retenir: La notion d’intertextualité se fonde sur une idée : on ne peut pas envisager un texte sans
penser à ceux qui ont été écrits auparavant. Ainsi, l’auteur construirait son texte en exploitant des
fragments de textes antérieurs. Elle nous permet de découvrir qu’une oeuvre littéraire n’est jamais
autonome. Elle est en effet in uencée par des oeuvres antérieures.

Nom:
Prénom:
À retenir: La notion d’intertextualité se ____________ sur une ___________ : on ne peut pas
envisager un texte sans _____________ à ceux qui ont été ____________ auparavant. Ainsi,
l’auteur _________________ son texte en exploitant des fragments de textes _____________. Elle
nous permet de découvrir qu’une oeuvre _____________ n’est jamais ____________. Elle est en
effet ____________ par des oeuvres ________________.

Phrase n°4:Tout auteur est forcément influencé par ses lectures. Apparemment, l'auteur de Bilbo le
Hobbit s'est inspiré de la mythologie grecque pour imaginer certains passages de son roman.
fl
fi
fi
fi
Séance 5 Une inquiétante rencontre
Objectifs Étudier le personnage de Gollum

Faire une lecture analytique

Leçon sur les gure de l’analogie

Écrire une nouvelle aventure de Bilbo


Support Chapitre 5
fi
Séance 5 Une inquiétante rencontre
Activités Intertextualité

Lecture analytique: tableau à compléter

Leçon sur les gures d’analogie

Phrase 5

A)L'intertextualité
Lisez la légende du sphinx et expliquez comment J.R.R Tolkien s'en est inspiré pour écrire le
chapitre V.

Le Sphinx est une créature célèbre de la mythologie grecque qui représente une femme au corps de
lion avec une queue de serpent et des ailes d’oiseau. C’est la fille de Typhon et d’Echidna. Son frère
est lui aussi est très connu dans les mythes grecs, puisqu’il s’agit de Cerbère, le chien à trois têtes,
gardien des Enfers. Le monstre Chimère et les harpies sont également ses sœurs.
A Thèbes, après le meurtre du roi Laïos, la déesse Héra l’envoya ravager la région. Le sphinx prit un
malin plaisir à terroriser les habitants. Son jeu préféré était de demander, à quiconque s’approchait
de lui, de résoudre une énigme qu’il avait apprit des Muses. Si la personne trouvait la bonne solution,
il partirait, dans le cas contraire il la dévorerait.
« Quel être, pourvu d’une seule voix, a d’abord quatre jambes le matin, puis deux jambes le midi, et
trois jambes le soir ? »
Mais, nul ne trouvait la réponse, sauf Œdipe qui répondit tout simplement : c’est l’homme, il se
déplace à quatre pattes enfant, sur deux jambes adulte puis sur ses deux jambes et une canne
lorsqu’il devient vieux. Alors, vaincu, le Sphinx se jeta de son rocher.

Correction:
Le sphinx, comme Gollum, ressemble à un montre.
Il est installé sur un rocher à l’instar de Gollum qui est attaché au rocher de sa grotte.
Gollum promet d’indiquer la sortie à Bilbo s’il parvient à résoudre ses énigmes. Le sphinx ne laisse
passer les voyageurs que s’ils répondent juste à son énigme.
Si Bilbo ne répond pas correctement, il est dévoré par Gollum, comme le sphinx dévore ceux qui ne
parviennent pas à résoudre ses énigmes.

B) Jeu de la balle et des questions réponses.


" là, dans les profondeurs près de l'eau sombre.." à visiblement pas un gobelin. » pp 104,105

C) Lecture analytique de l'extrait suivant: de " Au plus profond de ces lieux..." à "il voyait bien que ce
n'était aucunement un gobelin.".
-Si possible projeter le texte afin de surligner les mots.
-Demander aux élèves leurs premières sensations après la lecture de ce passage.
-Noter ces sensations et leur demander de les justifier par des mots du texte en employant un
tableau.
Les thèmes qui doivent émerger sont:
- la noirceur, l'obscurité.

fi

- Un personnage étrange (être humain?animal?)


- Un personnage dangereux qui agit sans se faire voir.
- Un lieu éloigné, profond.

Voici le tableau rempli, mais vous devez pourvoir accepter d'autres propositions si elles sont
justifiées.

La noirceur Un personnage Un personnage Un lieu éloigné et


étrange dangereux qui agit profond.
sans se faire voir.

noire créature petite et i l s e p r o m e n a i t Au plus profond de


visqueuse/ silencieusement / ces lieux/
ténébreux

ténèbres
ses pâles yeux, sans jamais causer la u n l a c , l a r g e ,
semblables à des moindre ride/ profond/
Le hobbit ne
lampes/ il prenait bien soin de là en bas/
pouvait le voir
ne jamais se laisser
quelque chose de au centre même de
découvrir par eux/
très déplaisant était la montagne./
tapi là/ Il les étranglait
ils avaient vu qu'ils
simplement par-
ses yeux pâles ne pouvaient aller
derrière/
semblables à des plus loin;
télescopes. mortellement

il arrivait que ni
gobelin ni poisson
n'en revînt.

Au plus profond de ces lieux, près de l'eau noire, vivait le vieux Gollum, une créature petite et
visqueuse. Je ne sais d'où il était venu, j'ignore qui et ce qu'il était. C'était Gollum - aussi ténébreux
que les ténèbres, à l'exception de deux grands yeux pâles et ronds - dans son visage mince. Il avait
une petite barque, et il se promenait silencieusement sur le lac ; car c'était bien un lac, large, profond
et mortellement froid. Il pagayait avec de grands pieds ballant pardessus le bord, mais sans jamais
causer la moindre ride. Non, pas lui. il cherchait de ses pâles yeux, semblables à des lampes, les
poissons aveugles, qu'il saisissait comme un éclair dans ses longs doigts. il aimait aussi la viande. Il
appréciait les gobelins, quand il pouvait s'en procurer; mais il prenait bien soin de ne jamais se
laisser découvrir par eux. Il les étranglait simplement par-derrière, si jamais ils approchaient seuls de
la rive tandis qu'il rôdait par là. Ils ne s'y hasardaient que très rarement, car ils avaient l'impression
que quelque chose de très déplaisant était tapi là en bas, au centre même de la montagne. Ils étaient
arrivés au lac quand ils creusaient leurs tunnels longtemps auparavant, et ils avaient vu qu'ils ne
pouvaient aller plus loin; leur chemin se terminait donc dans cette direction, et ils n'avaient pas de
raison d'aller par là - à moins que le Grand Gobelin ne les y envoyât. Il avait parfois envie de poisson
du lac et il arrivait que ni gobelin ni poisson n'en revînt. En fait, Gollum vivait sur un îlot de rocher
gluant au milieu du lac. A ce moment, il observait de loin Bilbo avec ses yeux pâles semblables à des
télescopes. Le hobbit ne pouvait le voir, mais lui s'interrogeait énormément au sujet de Bilbo, car il
voyait bien que ce n'était aucunement un gobelin.

D) Comment comparer?

1)Dans le passage étudié précédemment, à quoi les yeux de Gollum sont-ils comparés?

Deux réponses attendues : " des lampes" et " des télescopes".

2) Comment appelle-t-on cette gure de style qui permet de comparer deux éléments à l'aide d'un
mot/outil comme "semblables"?

Ce sont des comparaisons.

Les gures de comparaison ( ou d'analogie)

I. La comparaison

Elle est construite partir de deux l ments principaux :

-celui qui est compar est appel le compar

- celui auquel on le compare est le comparant.

- Pour qu’une comparaison puisse avoir lieu, il faut que le compar et le comparant partagent un
point commun (ou lien.)

Exemple: Les yeux de Gollum sont semblables à des lampes.

Comparé: Les yeux de Gollum

Comparant: des lampes.

Point commun: ronds et lumineux.


- Un troisi me l ment – l’outil de comparaison – est obligatoire pour signaler le rapprochement des
deux mots.

- Le mot outil est le plus souvent la conjonction "comme", les verbes : "sembler, faire penser, avoir
l’air" , les adjectifs :" pareil , semblable, tel que"

Exercices 1 et 5 p.327

II.La métaphore

Elle rapproche deux éléments sans outil comparatif.

Elle peut indiquer de manière explicite le comparé, suivi d’une ponctuation ou du verbe être :

Ex:« Horloge ! Dieu sinistre effrayant » (Ch. Baudelaire)

« Ma pensée est un perce-neige » (Ch. Cros).

On parle alors de métaphore en présence ( ou "in praesencia")

Le comparé peut également être implicite (sous-entendu) : seul le comparant est exprimé sous la
forme d’un mot pris au sens guré et imagé :

Ex: « cette pluie de fer, de feu, d’acier, de sang » (J. Prévert) est la métaphore d’un bombardement.

On parle alors de métaphore en absence ( ou "in absentia ").

Exercices 2, 3 et 4 p.327

III. La personni cation

Elle consiste à attribuer des sentiments ou des comportements humains à un lieu, un animal ou un
objet :

Ex:« Le mois d’août pesait sur le massif […] avec l’assurance d’un seigneur. » (L. Gaudé).

On l’appelle allégorie quand elle présente une idée ou un concept abstrait sous la forme d’un
personnage :

Ex:« Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. » (V. Hugo) Le poète désigne ici la mort.

Exercices

Dans chaque phrase, relève ce qui est personni é, puis relève les mots qui établissent cette
personni cation.
a. Le vent rugissait, le tonnerre grondait, la pluie nous fouettait. – b. La rivière s’étire
paresseusement le long de la plaine. – c. Entends-tu la chanson de l’eau qui bout ? – d. Le coq
règne en maître sur la basse-cour. – e. Les langues jaunes et rouges du feu dévoraient tout sur
leur passage.

2)Indiquez la notion représentée par chacune de ces allégories.

1. Le squelette armé d’une faux.

2. Cupidon et ses èches.

3. .Le vieillard au sablier.

4. Marianne et son bonnet phrygien.

5. La femme aux yeux bandés et au glaive.

6. La femme à la corne pleine de fruits.

3) A n d'expliquer les personni cations dans les phrases suivantes, donnez une version non
personni ée.

Ex: La maison ouvrit ses yeux: on ouvrit les volets de la maison.

1.Le soleil qui voit naître et mourir la rose.

2.La fumée danse, poussée par le vent

3.Voici l’aube, il vient doucement.

4.Le jour paraît pâle et triste .

IV.La métonymie

Elle consiste à remplacer un mot par un autre, logiquement associé, pour désigner quelque chose :

-le contenant pour le contenu (boire un verre = le liquide)

-l’auteur par l’œuvre (lire un Camus = un roman de Camus)

-le lieu pour le produit (manger un cantal = un fromage du Cantal)

-la partie pour le tout (le foyer = la maison)


-la matière pour l’objet (croiser le fer = les épées)

Exercices

1)Indiquez ce que signi e réellement le mot en gras dans chacune de ces expressions.

Ex. : boire un bourgogne : un vin de Bourgogne

1. Posséder un toit.

2. Voler un Picasso.

3. Vivre de sa plume.

2)Indiquez ce que désigne chacune des métonymies en gras.

1. Paris a froid Paris a faim (P. Eluard)

2.Ni les voiles au loin descendant vers Har eur (V. Hugo)

3. J’écris dans ce pays que le sang dé gure (L. Aragon)

4.Ce cœur qui haïssait la guerre (R. Desnos)

3)Retrouvez le mode de construction des m tonymies suivantes (le tout pour la partie ou vice et
versa, le contenu pour le contenant, etc...) et identi ez la chose ou la personne d sign e.

1. O as-tu achet ces Nike ?

2. Le coll ge sera ferm demain.

3. Vous sortirez l'argenterie pour le d ner de dimanche.

4. Et c'est la casaque jaune qui franchit maintenant la ligne d'arriv e !

5. Tu n'oublieras pas d' tendre la machine au soleil avant de partir.

Bilan

Pour chaque extrait, indiquez la gure de style utilisée.( comparaison, métaphore, personni cation,
allégorie ou métonymie)

1.« C’était dans la nuit brune, / Sur le clocher jauni, / La lune / Comme un point sur un i. » (Musset)
2. J’ai glissé dans la campagne sans qu’elle s’en aperçoive. (J. Anouilh)

3. « Elle peignait ses cheveux d’or Je croyais voir

Ses patientes mains calmer un incendie » (Aragon)

4. Et ma jeunesse est morte ainsi que le printemps.

5. La lune se taisait comme vous vous taisiez. (J. Ferrat) :

6.« [Un pauvre bûcheron] appelle la Mort. Elle vient sans tarder,

Lui demande ce qu’il faut faire. » (La Fontaine)

7.« Le Pot de fer proposa / Au Pot de terre un voyage. Celui-ci s'excusa, / Disant qu'il ferait que
sage / De garder le coin du feu. » (La Fontaine, Fables, V, 2).

Écrire une nouvelle aventure de Bilbo


Vous venez de découvrir la notion d’intertextualité. Vous savez, à présent, que J.R.R Tolkien était un
grand érudit et qu’il s’est inspiré de la mythologie grecque pour écrire son roman ; c’est à vous,
maintenant, d’inventer une nouvelle aventure vécue par Bilbo et les nains en vous inspirant du mythe
grec que vous avez reçu.
Consignes: Votre récit doit faire apparaître trois paragraphes ( n’oubliez pas les alinéas):
1°Situation : Bilbo et les nains ont été sauvés des trolls par Gandalf. Ils continuent leur route quand
ils font la rencontre de… Racontez les circonstances de cette rencontre.
2° Décrivez le personnage rencontré en employant deux comparaisons que vous soulignerez et un
champ lexical de votre choix ( précisez dans la marge le thème et entourez les mots)
3 °Racontez l’aventure de Bilbo et ses compagnons au contact de ce nouveau personnage.
• Vous emploierez les temps du récit.
• Vous veillerez à présenter correctement votre devoir ( comme pour une évaluation).
• Vous serez particulièrement attentif au soin de la présentation, à la correction de l’orthographe et
de la grammaire.
• Vous prendrez soin de vous inspirer de la légende mythologique en l’adaptant à la situation du
roman. Je dois reconnaitre le mythe mais pas le lire !!!!
Ce travail est à rendre sur feuille le……………………....

Le Cerbère était un chien à trois têtes, il avait une queue de Dragon et son cou était entouré de
serpents.
Il était né de Typhon et d'Échidna. Il aidait le monstrueux Charon qui traversait le Styx avec son
bateau pour amener les ombres aux Enfers et Cerbère avait la garde de son entrée.
Il était si hideux que si durant le voyage une âme osait le regarder, elle était changée en pierre. Si un
vivant osait s'aventurer dans ce monde souterrain, le Cerbère laissait couler sur lui sa bave
vénéneuse qui le faisait mourir et il le dévorait.
Le Cerbère était gourmand et Psyché et la sibylle de Cumes réussirent l'exploit de pénétrer dans son
territoire en lui offrant un gâteau qui le plongea dans le sommeil.
Cerbère était sensible à la musique et quand Orphée venu aux Enfers pour délivrer son épouse
adorée, il exécuta sur sa lyre une mélodie si fascinante que Cerbère fut envoûté et Orphée réussit
son exploit.
Pour sa dernière épreuve, Héraclès fut chargé de le dompter, ayant été le seul jugé assez puissant
pour le faire. Hadès le dieu des Ténèbres accepta que Héraclès affronte le monstre à condition qu'il
le fasse sans armes.
Réunissant toutes ses forces, Héraclès étrangla le monstre de ses mains nues.

La Chimère, dans la mythologie grecque est la descendante de Échidna et de Typhon.


C'est un monstre qui a la tête d'un lion ou d'une chèvre et la queue d'un dragon.
Elle fut élevée par le roi de Carie, Amisodarès. Elle terrorisait tout ce qui l'environnait.
La chimère crachait des flammes et dévorait quiconque se trouvait sur son chemin.
Le roi de Lycie craignant que ce monstre ne s'attaque à ses sujets chargea Bellérophon de le
débarrasser d'un tel danger.
Bellérophon monté sur le cheval Pégase, mit du plomb au bout de ses flèches et transperça la
Chimère.
Le plomb fondit à la chaleur du feu de la Chimère et elle mourut brûlée à mort.

Les Gorgones étaient au nombre de trois, et elles étaient les filles des divinités marines Phorcys et
Céto.
Sthéno était la Puissante. Euryalé celle qui voit loin. Méduse la Souveraine.
Elles vivaient sur les bords de l'Océanos, la mer qui entourait le Monde. La méduse était la plus
connue des gorgones et la seule mortelle.
Leur apparence était effroyable. Elles avaient des ailes d'or, des cheveux en serpents, des mains de
bronze et d'énormes canines.

Les gorgones étaient affreuses et quiconque osait les regarder était dès lors changé en pierre.
Persée, fils de Zeus et Danaé, ayant accompli nombre d'exploits, fut chargé de tuer la Méduse.
Athéna, la déesse, lui fournit un bouclier qui lui servait de mirroir.
Les nymphes lui donnèrent un casque qui le rendait invisible, une paire de sandales ailées et un sac
pour y mettre la tête de la gorgone.
Ainsi Persée put s'approcher de la Méduse et lui coupa la tête. Il s'en servit pour changer en pierre le
monstre qui se proposait d'enlever Andromède enchaînée à un rocher sur l'ordre de Poséidon.
Il offrit ensuite son trophée, la tête de la gorgone, à Athéna qui s'en servait pour pétrifier ses
ennemis.

L'Hydre de Lerne, dans la mythologie grecque, c'est un serpent avec un corps de chien et qui a sept
têtes. L'odeur de son haleine était un poison absolu.
L'Hydre était la fille d'Echidna, moitié femme, moitié vipère et de Typhon un monstre lui aussi. Ces
deux parents ont aussi engendré le Sphinx, le Cerbère, la Chimère et Ortros le chien de Géryon.
Elle vivait près d'un marais où la déesse Héra l'avait elle-même élevée près de la source Amymone.
Eurysthée obligea Héraclès à tuer le monstre. Il demanda l'aide de Iolaos, car il connaissait la
réputation du monstre.
Héraclès lança des flèches enflammées pour faire sortir l'hydre de sa cachette. Puis, avec son épée,
il coupa ses têtes, mais les têtes repoussaient en double à chaque fois.
Puis Héra envoya un crabe géant, Karkinos, pour l'attaquer. Héraclès dut se défendre contre lui et
l'écraser. Il envoya Iolaos chercher des tisons qu'il jeta sur les plaies des têtes qu'il coupait pour les
empêcher de repousser. Quand il coupa la tête principale qui était immortelle, il l'enterra et mit une
grosse pierre sur la fosse.
Il trempa ses flèches dans le sang de l'Hydre pour les empoisonner. Eurysthée refusa de compter
cette victoire au palmarès de Héraclès parce qu'il avait eu l'aide de Iolaos pour tuer l'Hydre.

Phrase n°5:La rencontre de Bilbo avec Gollum ressemble à celle d'Oedipe avec le sphinx. Au début,
le hobbit ignore à quel point le créature est dangereuse, mais il comprend vite qu’elle ne souhaite
pas lui laisser la vie sauve.

Évaluation sur les gures d'analogie (comparaison)

Exercice1

1)Dans un tableau à trois colonnes, relevez le comparé, le comparant et l'outil. /6

1. Je suis belle, ô mortels! comme un rêve de pierre... (Baudelaire)

2 Les Sages quelquefois, ainsi que l’Écrevisse marchent à reculons, tournent le dos au port. (La
Fontaine)

3. L’horizon semble un rêve éblouissant où nage l’écaille de la mer, la plume du nuage. ( Hugo )

4.Le Poète est semblable au prince des nuées

Qui hante la tempête et se rit de l’archer... (Baudelaire)

Exercice2

Recopiez les phrases en complétant l'analyse qui interprètent chacune de ces métaphores./2

1. Il faut que j’ouvre au couteau le mystère […] et que j’y plonge à pleines mains (Ph. Claudel) 8 Le
mystère est comparé à un ........................................................

la recherche de la vérité devient pour le narrateur, un...................................... .

2. Et tu m’as souri doucement // Plage éclose en galets blancs (L. S. Senghor)

Le visage de l’aimée est comparé à une ..................................... ; les « galets blancs » représentent
alors ses .....................................

Exercice3

Indiquez la notion représentée par chacune de ces allégories./3

1. Le squelette armé d’une faux.

2. Cupidon et ses èches.

3. .Le vieillard au sablier.

4. Marianne et son bonnet phrygien.

5. La femme aux yeux bandés et au glaive.

6. La femme à la corne pleine de fruits.


Exercice4

A n d'expliquer les personni cations dans les phrases suivantes, donnez une version non
personni ée./2

1.Le soleil voit naître et mourir la rose.

2.La fumée danse, poussée par le vent

3.Voici l’aube, il vient doucement.

4.Le jour paraît pâle et triste .

Bilan

Pour chaque extrait, indiquez la gure de style utilisée.( comparaison, métaphore, personni cation,
allégorie ou métonymie)/5

1. La mer était là. Comme une aque immobile qui ne servait qu’à ré échir la puissance du soleil.

2. J’ai glissé dans la campagne sans qu’elle s’en aperçoive. (J. Anouilh)

3. Car la terre est un camp illuminé de milliers de feux (R. Desnos)

4. La lune se taisait comme vous vous taisiez. (J. Ferrat) :

5. Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses, // Peut gémir : le matin est neuf, neuf est le soir.
(R. Desnos).
Séance 6 Smaug
Objectifs Étudier le portrait et l’attaque du dragon

Rédiger deux parties d’une lecture analytique


Support Chapitres 11, 12 et 14
Activités A) Le portrait du dragon

B) L’attaque du dragon: lecture analytique

Phrase 6

A) Première rencontre avec Smaug


Lecture des chapitres 11 et 12 « Au seuil de la porte » (pp. 295 à 308) et « Information secrète » (pp.
309 à 340)

1. Quel est le lieu de vie du dragon ? Quels termes dont vous donnerez la nature grammaticale, en
font un lieu à éviter ?
2. Quel groupe nominal désigne la fonction du dragon, puis, quelle comparaison insiste sur son
aspect sinistre ?
3. Quelles sont les caractéristiques de son physique ? Votre relevé mettra en valeur la variété des
expansions du nom.
4. Quels termes évoquent son ronflement ? Quelles images dont vous donnerez le nom, semblent le
minimiser ?
5. Quels sont ses principaux traits de caractère ? Quelles peuvent en être les conséquences ?
6. Quelle perception sensorielle est particulièrement développée chez un dragon ?
7. Quel est le « talon d’Achille » du dragon ?

Éléments de réponse

1. Le dragon vit dans « la Montagne Solitaire ». Ce sont les adjectifs qualificatifs « menaçante » (p.
295), « sombre et silencieuse » (p. 297).

2. Il s’agit du « terrible gardien » (p. 315) et de « tel un monstrueux corbeau » (p. 339).

3. Sa corpulence (« énorme », p. 313) ; sa taille (« grand ») ; la couleur (« rouge doré ») de son corps
dont l’épaisseur équivaut à « dix boucliers » (p. 330), et du rayon de ses yeux (« rouge », p. 324) ;
une gueule (« mâchoires », « naseaux », p. 314, et des « crocs » qui sont comparés de façon
métaphorique à « des épées », p. 330) ; une « queue » qualifiée d’« immense », dont « le choc [...]
est semblable à celui de la foudre », p. 330) ; de « grandes ailes » comparées à celles de la chauve-
souris, qui lui permettent de voler (pp. 318 et 319) et dont les battements rappellent « un ouragan »
(p. 330) ; un « ventre » qualifié de « long » et de « pâle » (p. 314) ; des « griffes » (p. 315, qui sont
comparées métaphoriquement à « des lances », p. 330).

4. Ce sont les comparaisons « semblable au bruit d’une grande marmite sur le feu » et « qui faisait
penser au ronronnement de quelque gigantesque matou » (p. 131).

5. Le dragon est coléreux (sa « rage », pp. 317 et 339, et « Il brisait les rochers en morceaux,
écrasant parois et escarpements de son énorme queue », p. 339), violent, « méchant et roublard »
(p. 328) : il irait jusqu’à « déchirer » et « piétiner » le voleur de la coupe, p. 318), il « vomit son feu »
(p. 317, lance des « flammes » (p. 319, et « Son haleine brûlante »), « secoua le cœur de la
Montagne » et rugit (p. 317).

6. Il s’agit de la perception olfactive (p. 323) : « Je te sens et je sens ton air » (p. 324).

7. Une partie du poitrail de Smaug n’est pas protégée « d’écailles de fer et de gemmes dures » (p.
330

B. L’attaque du dragon : chapitre XIV de « Bientot sa vitesse fut telle... »p. 311 à « Les femmes et
les enfants taient entass s dans les embarcations charg es dans le bassin du march . »
Bient t, sa vitesse fut telle qu'ils le virent fondre sur eux comme une flamme, de plus en plus norme,
de plus en plus brillante, et les plus fous eux-m mes ne dout rent plus que les proph ties s' taient
plut t tromp es. Mais ils avaient encore un peu de temps devant eux. Tous les r cipients de la ville
furent remplis d'eau, tous les guerriers furent arm s ' fl ches et javelots furent tenus pr ts et le pont
reliant la ville la terre fut jet bas et d truit, avant que le grondement de la terrible approche de
Smaug ne dev nt retentissant et que le lac ne se couvert de rides d'un rouge de feu sous l'affreux
battement de ses ailes.

Parmi les cris, les lamentations et les clameurs des hommes, il arriva sur eux, se dirigea droit sur les
ponts et se vit d jou ! Le pont avait disparu, et ses ennemis se trouvaient dans une le plant e en
eau profonde - trop profonde, trop sombre et trop fra che pour son go t. S'il y plongeait, une vapeur
s' l verait, suffisante pour couvrir tout le pays de brouillard pendant plusieurs jours ; mais le lac tait
plus puissant que lui et l' teindrait avant qu'il n'ait pu atteindre l'autre bord.

Il repassa rugissant sur la ville. Une gr le de fl ches noires s' leva ; elles claqu rent et cliquet rent
sur ses cailles et ses joyaux, et leurs bois, enflamm s par son souffle, retomb rent en sifflant dans
le lac. Vous ne sauriez imaginer un feu d'artifice aussi beau que le spectacle de cette nuit-l . A la
vibration des arcs et aux stridences des trompettes, le cour-roux du dragon s'enflamma au point de le
rendre aveugle et fou de rage. Personne n'avait os depuis des si cles lui livrer bataille ; et ils ne
l'auraient certes pas os maintenant encore sans l'homme aux sinistres accents (il s'appelait Barde),
qui courait de tous c t s, encourageant les archers et incitant le Ma tre leur ordonner de se battre
jusqu' la derni re fl che.

La m choire du dragon lan ait des flammes. Il tournoya un moment dans les airs, haut au-dessus
d'eux, illuminant tout le lac ; les arbres proches de la rive luisaient comme du cuivre et du sang avec,
au pied, des ombres dansantes d'un noir opaque. Puis il fon a di-oit au travers de la temp te de
fl ches ; insoucieux dans sa rage et uniquement pr occup d'incendier leur ville, il ne prenait aucun
soin de tourner vers ses ennemis ses c t s cailleux.

Le feu jaillit des toits de chaume et des poutres tandis qu'il d valait, passait et revenait, bien qu'on
e t pris la pr caution de tout asperger d'eau avant son arriv e. De nouveau, cent mains jet rent de
l'eau partout o apparaissait une tincelle. Le dragon repassa en tourbillonnant. Un coup de sa
queue d fon a et fit crouler le toit de la GrandChambre. Des flammes inextinguibles s' lanc rent




dans la nuit. Une nouvelle descente, une autre encore, et une autre maison puis une autre
s'enflamm rent et tomb rent en cendres ; mais nulle fl che n'arr tait encore Smaug ni ne lui faisait
plus de mal qu'une mouche de marais.

D j des hommes sautaient de tous c t s dans l'eau. Les femmes et les enfants taient entass s
dans les embarcations charg es dans le bassin du march . Les armes taient jet es terre. Les cris
de d solation et les lamentations s' levaient l o nagu re encore les anciennes chansons au sujet
des nains c l braient la joie venir. Maintenant, les hommes maudissaient leur nom. Le Ma tre lui-
m me se tourna vers son grand bateau dor , dans l'espoir de s' loigner la rame dans la confusion
et de se sauver ainsi. Bient t, toute la ville serait abandonn e et r duite en cendres, jusqu'au niveau
du lac.

D j des hommes sautaient de tous c t s dans l'eau. Les femmes et les enfants taient entass s
dans les embarcations charg es dans le bassin du march .

1° Relevez le champ lexical du feu. Que suggère-t-il?


2°Relevez le champ lexical de l’eau. Pour quelle raison est-il ici présent? ( qui représente-t-il?)
3°Relevez le champ lexical de l’obscurité. Que effet produit-il?
4° Un des cinq sens est particulièrement présent pour suggérer l’attaque de Smaug. Identifiez-le et
relevez son champ lexical.
5°Relevez trois synonymes qui nomment la réaction effrayée des hommes.
6° Ces trois noms sont placés dans une énumération ( l’un après l’autre). Quel est l’effet de cette
énumération?
7° Relevez, à la fin du texte, une autre énumération suggère la détermination de Smaug. Relevez-la.
8°Dans le premier paragraphe, combien d’anaphores ( répétitions) de « tous » identifiez-vous? Que
peut suggérer cette anaphore?
9°Dans le premier paragraphe, combien d’anaphores ( répétitions) de « de plus en plus » » identifiez-
vous? Que peut suggérer cette anaphore?
10° Dans le premier et l’avant dernier paragraphe Tolkien emploie le même adverbe pour expliquer la
manière dont Smaug se dirige vers les hommes. Relevez-le et expliquez l’effet produit par le choix de
cette anaphore.
11° Relevez deux synonymes du nom « colère ».
12° Dans le dernier paragraphe, relevez trois anaphore d’un groupe de mots qui insiste sur la
détermination du dragon à tout détruire.

C) La lecture analytique
1)Observez les réponses aux questions précédentes, et regroupez-les autour de trois axes ou
thèmes auxquels vous donnerez un titre. Vous pouvez utiliser trois couleurs différentes pour mettre
en avant les trois axes dans les réponses.

la détermination des hommes et du dragon.


la mise en scène de ce duel.
un moment de dévastation et de mort.

2) Rédiger l’introduction à la lecture analytique en suivant l’ordre suivant:


1° On présente le titre et l’auteur
2° On résume en une phrase le passage.
3° On présente en une phrase les trois axes (ou thèmes) choisis.

4°On présente en trois phrases les axes choisis en employant les formules suivantes: Dans un
premier temps, nous verrons..., dans un second temps, nous analyserons ( examinerons)..., Enfin,
nous étudierons....

Introduction
Dans cet extrait de Bilbo le Hobbit, le narrateur nous fait le récit de l'attaque du dragon Smaug.
On remarque la détermination des hommes et du dragon lancés dans un duel mortel entre l'eau et le
feu.

Nous verrons, dans un premier temps, de quelle manière l'auteur insiste sur la détermination des
hommes et du dragon.
Dans un second temps, nous analyserons la mise en scène de ce duel.
Enfin, nous étudierons ce passage comme un moment de dévastation et de mort.

3) Récrivez l’axe 1. Faites-le suivre des réponses au questionnaire qui lui correspondent.
Faites de même pour les deux autres axes.
I.Dans cette lutte acharnée, les hommes se mobilisent pour contrer l'attaque du monstre.
Mais le dragon est lui aussi déterminé à mener cette bataille.x4

l'anaphore de l'adjectif " tous": " tous les récipients" et " tous les hommes".
l'anaphore de la locution adverbiale " de plus en plus" ,dans " de plus en plus énorme" et " de plus en
plus brillantes »,
L'anaphore de l'adverbe " droit" ( " fonça droit", " se dirigea droit")
énumération" dévalait, passait, revenait". Il semble ainsi ne jamais s'arrêter.

II.Ces deux déterminations s'affrontent dans un duel entre le bien et le mal, entre le feu et
l'eau, entre un seul dragon et tous les hommes.
L'aspect manichéen de cette lutte s'incarne dans deux champs lexicaux opposés: le feu et
l’eau.x12
l'anaphore de "eau" cinq fois et de "lac" quatre fois.
les mots "bassin", "marée".
Le feu est, quant à lui, présent à travers trois anaphores de "flammes" que l'on retrouve aussi dans
l'adjectif "enflammés" et le verbe " s'enflammèrent" . Il est aussi présent grâce aux verbes "
illuminant", "incendier".
les notations sonores. Le dragon " rugissant", il émet des "grondements ".
Les hommes par cette énumération : " les cris, les lamentations et les clameurs des hommes.".

IIICe duel est une mise à mort visuelle et sonore qui sème la mort et la dévastation./7
l’obscurité, son champ lexical: " sombre", " ombre", " noir", " opaque".
la rage de Smaug: " le courroux du dragon" et " insoucieux dans sa rage."
l'anaphore de " une autre" dans " et une autre maison puis une autre" .

Lecture analytique de l’extrait


Dans cet extrait de Bilbo le Hobbit, le narrateur nous fait le récit de l'attaque du dragon Smaug.
On remarque la détermination des hommes et du dragon lancés dans un duel mortel entre l'eau et le
feu.

Nous verrons, dans un premier temps, de quelle manière l'auteur insiste sur la détermination des
hommes et du dragon.
Dans un second temps, nous analyserons la mise en scène de ce duel.
Enfin, nous étudierons ce passage comme un moment de dévastation et de mort.

I.Dans cette lutte acharnée, les hommes se mobilisent pour contrer l'attaque du monstre.
Mais le dragon est lui aussi déterminé à mener cette bataille.x4

l'anaphore de l'adjectif " tous": " tous les récipients" et " tous les hommes".
l'anaphore de la locution adverbiale " de plus en plus" ,dans " de plus en plus énorme" et " de plus en
plus brillantes »,
L'anaphore de l'adverbe " droit" ( " fonça droit", " se dirigea droit")
énumération" dévalait, passait, revenait". Il semble ainsi ne jamais s'arrêter.

II.Ces deux déterminations s'affrontent dans un duel entre le bien et le mal, entre le feu et
l'eau, entre un seul dragon et tous les hommes.
L'aspect manichéen de cette lutte s'incarne dans deux champs lexicaux opposés: le feu et
l’eau.x12
l'anaphore de "eau" cinq fois et de "lac" quatre fois.
les mots "bassin", "marée".
Le feu est, quant à lui, présent à travers trois anaphores de "flammes" que l'on retrouve aussi dans
l'adjectif "enflammés" et le verbe " s'enflammèrent" . Il est aussi présent grâce aux verbes "
illuminant", "incendier".
les notations sonores. Le dragon " rugissant", il émet des "grondements ".
Les hommes par cette énumération : " les cris, les lamentations et les clameurs des hommes.".

IIICe duel est une mise à mort visuelle et sonore qui sème la mort et la dévastation./7
l’obscurité, son champ lexical: " sombre", " ombre", " noir", " opaque".
la rage de Smaug: " le courroux du dragon" et " insoucieux dans sa rage."
l'anaphore de " une autre" dans " et une autre maison puis une autre" .

Cette lecture analytique est à rédiger en trois paragraphes. Leur donner le premier paragraphe
rédigé et leur demandé d’écrire les deux autres; A rendre sur feuille: date à définir.

Voici la lecture analytique de ce passage. Les phrases en gras sont à recopier. Elles introduisent la
lecture analytique et les différents axes. Vous devez rédiger les axes 2 et 3 en reprenant les
éléments cités.
1° 1er paragraphe:L’introduction: récrivez l’introduction,
Dans cet extrait de Bilbo le Hobbit, le narrateur nous fait le récit de l'attaque du
dragon Smaug.
On remarque la détermination des hommes et du dragon lancés dans un duel mortel entre
l'eau et le feu.
Nous verrons, dans un premier temps, de quelle manière l'auteur insiste sur la détermination
des hommes et du dragon.
Dans un second temps, nous analyserons la mise en scène de ce duel.
Enfin, nous étudierons ce passage comme un moment de dévastation et de mort.
SAUTEZ UNE LIGNE
2°. 2ème paragraphe: L’étude de l’axe 1 : recopiez-la!
Dans cette lutte acharnée, les hommes se mobilisent pour contrer l'attaque du
monstre comme le suggère l'anaphore de l'adjectif " tous": " tous les récipients" et " tous les
hommes".
Mais l'anaphore de la locution adverbiale " de plus en plus" ,dans " de plus en plus énorme"
et " de plus en plus brillantes", nous montre que le dragon est lui aussi déterminé à mener
cette bataille.
De plus, l'anaphore de l'adverbe " droit" ( " fonça droit", " se dirigea droit") vient renforcer
cette impression.
L'emploi de trois verbes à l'imparfait duratif dans une phrase complexe juxtaposée vient
appuyer ce sentiment. Le dragon " dévalait, passait, revenait". Il semble ainsi ne jamais
s'arrêter.
SAUTEZ UNE LIGNE


3°. 3ème paragraphe, à la manière de l’axe 1 déjà rédigé, faites l’analyse de l’axe 2.
SAUTEZ UNE LIGNE
4°. 4ème paragraphe, à la manière de l’axe 1 déjà rédigé, faites l’analyse de l’axe 3.
SAUTEZ UNE LIGNE
5°. 5ème paragraphe: La conclusion: recopiez-la.
L'examen de ce passage à bien permis de montrer la détermination des hommes et de Smaug
lancés dans un duel à mort.

Phrase n°6: Le passage qui met en scène l’attaque du dragon Smaug est important. On assiste en
effet à la création d’un véritable héros, Barde: ce héros sans peur et sans reproche qui sera seul
capable d’abattre le dragon.

V. Enigmes dans l'obscurité

1. Bilbo reprend connaissance

2.

Gollum

3. Les énigmes

4. La colère de Gollum

5. Les pouvoirs de l'anneau

6. Bilbo fait preuve de courage

XII. Information secrète

1.

La récompense à gagner

2.

Bilbo seul dans la grotte

3. Smaug

4. Echanges entre Bilbo et Smaug

XII. Sortis

1. Enfermés

2.

Le trésor

3. Sortis

VI. De Charybde en Scylla

1. Bilbo recherche ses compagnons

2.

Le voyage continue

3. Les loups

4.

Les gobelins

5. Gandalf à la rescousse, une nouvelle fois


6. Fin des aventures aux Monts Brumeux

XIV. Feu et eau

1.

Ce qu'il advint de Smaug

2. Résistance

3.

La mort de Smaug

4.

Un peuple mécontent

5.

Alliances

VIl. Un curieux logis

1.

Vers l'autre côté des montagnes

2.

Le canock Beorn

3.

Beorn apporte son aide

4.

Départ pour Mirkwood

5.

Arrivée à Mirkwoord et départ de Gandalf

XV. Les nuages s'accumulent

Les nains guettent

2.

Mauvaises nouvelles

3.
Les troupes approchentI.

Chapitre 1

1.Hobbit, qui es-tu?

2.Gandalf recherche un aventurier

3.L'arrivée des nains

4.La carte de Thror

Chapitre 2

1. Le départ

2. Première étape

3. Première épreuve

Chapitre 3

VIll. Mouches et araignées

La forêt et la traversée de la rivière enchantée

2.

3.

4.

5.

6.

Bombur à l'eau

Une lumière apparaît


Les araignées

Bilbo le héros

Grillade de mouton

1.

Le départ

Au sortir de la forêt / les nains changent la

vision qu'ils avaient de Bilbo

2.

Premières étapes

3.

Première épreuve

Thorin disparu

IX. Tonneaux en liberté

Ill. Courte pause

1. En route vers la Dernière Maison Simple à

l'Ouest des Monts

2.

Capturés par des elfes

Bilbo dans le palais

Thorin retrouvé

2.

Rencontre avec des elfes

3.

Arrivée à la Dernière Maison Simple

4.

Examens des épées par Elrond et déchiffrage

de la carte de Thor
5.

A la recherche de la sortie

Dans les tonneaux

X. Un chaleureux accueil

Un étonnant spectacle

Les nains délivrés des tonneaux

IV. De la montagne et sous la montagne

1.

A travers les montagnes

2.

L'orage

3.

Dans la caverne

A Lacville, chez le roi

XI. Au seuil de la porte

4.

Les gobelins

5.

Gandalf à la rescousse

Sur la montagne solitaire

La porteXVI. Un voleur dans la nuit

1.

Les nains rassemblent le trésor

2.

Bilbo a un plan d'action

3. Le retour de Gandalf
XVII. Les nuées éclatent

1. Négociations

2.

Dain arrive

3.

Nuage noir

4,

La Bataille des Cinq Armées

XVIlI. Le voyage de retour

1.

Bilbo reprend connaissance

2.

La mort de Thorin

3. Ce qui se passa pendant l'évanouissement de

Bilbo

4. Les adieux de Bilbo

XIX. La dernière étape

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