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Logzit Nacer
Université Mohamed El Bachir El Ibrahimi de Bordj Bou Arréridj - Faculté des sciences et de la Technologie.
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All content following this page was uploaded by Logzit Nacer on 10 October 2020.
Mr LOGZIT Nacer
Magister en GC et Ingénieur principal au CTH.
1. Introduction :
En plus des caractéristiques des autres ouvrages de génie civil ordinaires; les
réservoirs d'eau potables en béton armé doivent assurer au même temps la fonction
structurelle et la fonction d'étanchéité, cette dernière est généralement [2]
réglementée sur la base des exigences en matière de fuites.
2. Objectifs :
3. Approche de la méthodologie :
Cette recherche sera débutée par la description des fonctions principales des
réservoirs, et les techniques d'expertise. Après cet aperçu le point sera marqué sur
les causes probables de dégradation et de défaillance avec les conséquences
possibles, poursuivies par la méthodologie d'approche et d'intervention. Et en fin on
donnera les recommandations nécessaires pour la réussite des travaux objet de
l'expertise. Ce travail sera enrichi par illustration des dizaines de cas pathologiques
d'ouvrages expertisés par le CTH sur l'est Algérien.
Les normes et règlements [2] donnent des limites de fuites tolérés, le constat
contradictoire se fera au plus tôt 10 jours après la fin du remplissage, les pertes ne
doivent pas dépasser une valeur moyenne de 500 cm3 par mètre carré de paroi
mouillée et par jour pour un réservoir sans revêtement, et 250 cm3 pour un
réservoir muni d'un revêtement d'imperméabilisation ou d'étanchéité. Cette condition
peut être considérée comme remplie, si l'on ne constate pas de fuite apparente.
Découvrir la dégradation
Connaître l'ouvrage
Exécuter le renforcement
Le nombre de ces ouvrages est de 31, répartis sur 10 Wilayas dans l'est
Algérien : Béjaia, Constantine, Setif, Biskra, Taref, BBA, Jijel, Mila, O.E.Bouaghi, et
M'sila. Ils assurent un stockage total de l'ordre de 23150 m3, l'équivalent de 50 %
de la capacité de stockage actuelle de la ville de Setif et les villages environnants.
Sur l'ensembles des ouvrages expertisés nous avons rencontré les cas
pathologiques illustrés comme suit :
100
100
80
80
60
60
40 Fig 1: Cas pathodologiques
40
20
20
0
0
Risque déclaré par les servises de gestion 11 %
Instabilité d'ensemble et incapacité portante de l'ouvrage23 %
Aspect intérieur et extérieur dégradé67 %
Fuites plus au moins importantes 85 %
Causes Pourcentages %
Ouvrages non achevés 5
Joint water stop mal réalisé 32
Défaut d'entretient périodique 95
Ouvrages mal conçus 7
Mise en hors service 13
Eclatement de la couche d'enrobage 21
Vieillissement normal de l'ouvrage 37
Mauvaise étanchéité de la cuve 67
Défaut de reprise de bétonnage 33
Colloque National : Pathologie des Constructions : Du Diagnostic à la Réparation
Département de Génie Civil
Université Mentouri Constantine - 25 et 26 Novembre 2008
10.5 Commentaire :
11. Références