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0.1 Définition
Plusieurs définitions ont été données par divers auteurs :
Landais et al. (1987) la définissaient comme «l'étude des relations qui s’établissent entre
un peuplement (3) d'animaux domestiques et son milieu, considérés comme un ensemble
soumis à l’action de l’homme, en vue d'établir les lois de fonctionnement de ce peuplement
».
la zootechnie «est une science qui étudie les animaux domestiques en bonne santé, envisage
les moyens de les y maintenir et d’augmenter leur production et qui comprend l’étude des
races, de l’alimentation, des méthodes d’élevage, de l’insémination artificielle, de l’hygiène
et de la génétique appliquée » (Office de la Langue Française,1997).
Il ne faut pas la confondre avec, la zoologie « qui a pour objet d’étude les animaux. C’est le
type d’animal en question qui différencie l’une de l’autre. Ainsi, la zootechnie s’applique aux
animaux domestiques d’élevage et la zoologie, aux animaux en général
Du point de vue de l'économie rurale, la zootechnie, est considérée comme la connaissance des
animaux appliquée aux besoins de l'homme, e c'est-à-dire qu'elle a pour objet l'étude des
préceptes qui doivent guider l'éleveur et le cultivateur dans l'entretien et l'exploitation des
animaux domestiques. En d'autres termes c'est la science qui nous enseigne les moyens
d'élever, d'entretenir, de multiplier, d'améliorer et d'utiliser les animaux domestiques, en
les appropriant mieux à leur destination spéciale et en retirant d'eux le plus de services et
de profits.
Les animaux domestiques sont ceux que l'homme a domptés, qu'il fait vivre avec lui, qui
peuvent se reproduire et se perpétuer sous sa domination, soit dans la demeure qu'il leur
assigne, soit dans les pâturages où il les conduit. L'homme profite de leurs forces, de leur
intelligence, qu'il développe, règle, modifie à son gré ; il utilise leurs produits (lait, œufs,
plumes, laine, etc.) pendant leur vie, et, après leur mort, il tire parti de leurs déchets (viande,
graisse, peau, cornes, poils, etc.).
Exemple des espèces domestiquées depuis longtemps par l'homme : l'âne (il faut bien noter
que le mulet, produit métis de l'accouplement de l'âne avec la jument, comme le bardeau, de
l'accouplement du cheval avec l'ânesse, il ne constitue ni une espèce, ni une race) ; le bœuf,
le mouton, le porc, la chèvre, le chien, le lapin (dans certains pays) et les divers oiseaux de
basse-cour.
La zootechnie spéciale envisage successivement chaque espèce domestique dont elle étudie les
races puis les procédés d’élevage et d'exploitation. II y a dans cette partie autant de sections que
d’espèces domestiques considérées, chacune donnant lieu a une animaliculture spéciale.
Certaines variations restent limitées au sujet qui les porte; d'autres sont léguées à sa
descendance. Ces dernières peuvent ainsi devenir attribut d'un nouveau groupement et acquérir,
par conséquent, une importance biologique ou économique plus ou moins grande. il est
important de distinguer toutes les variations et d'en chercher les causes. La variation et
l’hérédité sont donc le préambule indispensable de l’étude de l'individu et des groupes
zootechniques. La notion de l’individualité est une des bases de la connaissance des animaux.
Or, on ne peut la posséder complètement qu'en sachant faire la part de ce que l'individu a reçu
de ses ascendants et de ce qui lui appartient en propre et peut être du a une variation plus ou
moins profonde.
La variation se définit :l'ensemble des modifications subies par les êtres vivants à partir d'une
forme type qui est la forme dite « normale » de l’espèce ou de la race considérée.
Les variations morphologiques portent sur la taille, le poids, la conformation générale, les
proportions, la peau et ses dépendances (ou phanères), cornes, poils, plumes, sur les pelages et
les plumages, sur certaines portions du corps considérées isolément, comme la queue et les
oreilles, sur le squelette, les organes internes, etc. Elles ont lieu par augmentation ou diminution
de nombre, par accroissement ou réduction de volume, par arrêt de fonctionnement,
modification de dimensions ou de formes.
Caractères pathologiques: ce sont les diverges façons dont se comportent les individus devant
les causes de maladies
S'il est difficile de définir avec exactitude l'individu, il n'en n'est pas de même en zootechnie ou
l'on rencontre « des organismes distincts, vivant d'une existence propre et indépendante ».
Chacun de ces organismes n'existe qu'à la condition de demeurer semblable à lui-même ; on ne
peut le diviser sans le supprimer; il est indivis; il est un. L’indépendance dont il jouit se traduit
par la possession d'attributs dits caractères individuels qui séparent chaque sujet de ses
congénères les plus voisins. L'individualité se manifeste des la naissance et s'affirme de plus en
plus au cours de la croissance et de la vie de l'animal.
Les variations morphologiques : Ce sont ceux relatifs aux variations de la forme extérieure et
de la disposition des organes. Les formes extérieures sont des plus dissemblables : taille, poids,
proportions générales, silhouette corporelle, particularités offertes par les regréons, dispositions
des poils, variations de la robe, ornementations et particularités, etc., etc., sont les
manifestations les plus habituelles des variantes individuelles. Certaines régions, comme la tète,
le dos, la croupe, fournissent des caractères distinctifs très marques. L’étude détaillée des
régions corporelles en apporte des exemples nombreux; les pelages et les plumages ne sont pas
moins riches en différenciations
Les variations fonctionnelles sont aussi étendues que les variations de la conformation
extérieure. Dans une certaine mesure même, ces deux sortes de modifications sont corrélatives,
en conséquence de la relation entre la forme, la structure et la situation des organes et leur
fonctionnement régulier.
La méthode des points est une notation chiffrée qui conduit à une appréciation
mathématiquement exacte de l'objet examine. Elle est, en principe, susceptible d'une application
très générale et convient a tout ce qui relève d'un jugement; elle est utilisée dans tous les
examens et concours où entrent des matières diverses donnant lieu a un total de points ; elle est
utilisée aussi dans l’appréciation des animaux.
Le pointage est une méthode analytique. Elle procède par une série d'examen successifs portant
sur les beautés ou caractères présentés par l'animal. La méthode est précise.
la méthode des points est utilisée : dans les concours; dans l'enseignement pratique de la
zootechnie. Elle permet l'appréciation correcte des animaux
Exemple
- Race de Jersey
- Échelle des points pour Taureaux
Note de l’état corporel (NEC)
La note de l’état corporel (NEC) est un outil simple pour ajuster l’alimentation individuelle et
l’alimentation du troupeau
Faire une évaluation de l’état nutritionnel des bovins pour ajuster leur alimentation et apprécier
leur état général de santé.
La NEC est mieux adaptée au travail de terrain car la pesée et la barymétrie comportent un certain
nombre d’inconvénients.
La NEC permet d’apprécier l’état des réserves corporelles (gras sous – cutané, masses musculaires )
qui reflète la capacité de production (croissance, lait, travail) et de reproduction de l’animal.
Comment noter ?
Par observation visuelle de certaines régions du corps (ou points anatomiques) parfaitement
identifiées et dont les configurations constituent des critères décisifs dans la détermination de la
note.
Le bâtiment d’élevage, lieu de vie des animaux durant les périodes cruciales (reproduction,
vêlages et premiers mois de vie des veaux).
Les bonnes conditions de reproduction, de santé et un bon « démarrage » des veaux sont des
facteurs déterminants pour la production de broutard, génisse ou taurillon.
En élevage, il n’y a pas de bâtiment type. Le choix se fait en fonction de nombreux critères
qui tiennent compte de la structure de l’exploitation, du troupeau, et également des objectifs et
de la sensibilité de l’éleveur. L’important c’est l’organisation et la conception de l’aire de vie
des animaux qui doit nécessairement prendre en compte l’aménagement des boxes à veaux,
parcs de vêlage et parcs d’isolement et dans certains cas l’espace des taureaux.
Exemples
Les parcs à veaux. C’est une zone de couchage et de surveillance spécifique pour les veaux
Le parc à veau doit permettre aux veaux de se reposer dans de bonnes conditions de confort
(surface, paillage), d’ambiance (température, ventilation, luminosité), d’abreuvement et
d’alimentation facile, Pour faciliter le travail, la visibilité des parcs à veaux doit être bonne et
accessible facilement.
Les étables : la stabulation libre paillée intégrale, la stabulation libre paillée avec aire
d’exercice raclée ou sur caillebotis, la stabulation libre à logettes et l’étable entravée.
Aucun mode de logement n’est parfait, tous représentent des avantages et des inconvénients, à
peser en fonction de vos priorités et du contexte d’exploitation, l’étable entravée ayant un
inconvénient pour les détections des chaleurs et les tétées des veaux.
Les bergeries
Construction d’abri
Le type de bergerie sera fonction des conditions du milieu, avec les matériaux locaux du pays.
La capacité varie de 0,75 – 1,5 m²/ mouton de grande taille.
Il faut habituer les animaux à la bergerie en commençant par les enfermer et en leur apportant
de l’herbe et du supplément.
Étapes de la conduite des moutons
- Dressage du troupeau: il commence à la bergerie en apportant le supplément alimentaire
- Apprendre aux moutons à se réunir pendant la journée; par l’apport d’aliments à
l’endroit où ils doivent se réunir
- Apprendre aux moutons à rester groupés, à sortir de la bergerie pour pouvoir les
conduire
- Délimiter le terrain de pâturage en parcelles
- Conduire le troupeau dans un parc, fermer la porte du parc et laisser le troupeau jusqu’au
soir.
Le mouton prospère idéalement dans un lieu ni trop chaud, ni trop froid, raisonnablement
sec et non boueux, il doit être à l’abri des prédateurs, des voleurs et des insectes.
Râtelier et mangeoires
Râteliers
Le fourrage apporté aux moutons ne doit pas être distribué à même le sol; il doit être placé dans
un râtelier ou dans une mangeoire. Le râtelier à fourrage peut être fait de bois, de bambou, du
métal ou tout autre matériau.
L’espacement des barres doit être suffisant pour permettre au mouton de passer son museau.
Mais pas excessif de manière à éviter que de grosses touffes d’herbe ne tombent par terre.
Figure : auge
Le modèle présenté ci – dessous est simple à construire et économique. D’une longueur de 2
m, il permet à 20 brebis de consommer leur ration en même temps. La fabrication d’une
mangeoire de ce type nécessite :
Figure : Mangeoire
Abreuvement et abreuvoirs
Les animaux doivent recevoir suffisamment d’eau surtout en climat chaud.
L’eau doit être propre, non minéralisée, non boueuse.
Les abreuvoirs doivent être placés à l’ombre pour que l’eau soit aussi fraîche que possible.
Le sol entourant l’abreuvoir doit être bien drainé. Il est utile d’y étaler des pierres ou des briques
à un niveau légèrement surélevé.
La hauteur de l’abreuvoir doit permettre au mouton de boire aisément. Comme les bovins et
d’autres animaux utilisent parfois le même abreuvoir, il peut être utile d’installer un abreuvoir
adapté à la taille des plus grands animaux et d’y ajouter des marches permettant au mouton d’y
accéder.
Si l’abreuvoir est trop profond, les petits risquent de s’y noyer en sautant. Pour éviter de tels
accidents, on peut placer dans l’abreuvoir, de grosses pierres sur lesquelles les petits pourront
grimper.
A moins que l’arrivée d’eau ne soit continue,, l’abreuvoir doit être fabriqué dans un matériau
étanche tel que le béton, du fer galvanisé, du plastique, tous faciles à nettoyer
Figure : Abreuvoir mixte
Les Normes d’une bergerie
Deux normes régissent la conception d’une bergerie :
1. La surface utile au sol/couple brebis – agneau(x) :
1m²/brebis + 0,25m²/agneau < 2 mois d’âge+ 0,5m²/agneau > 2 mois d’âge.
2. La deuxième norme : la longueur d’auge/ brebis :
0,4m (toutes les brebis doivent pouvoir accéder à l’aliment distribué au même moment)
Le parc attenant à la bergerie doit avoir une surface calculée sur la base de 2 à 3 m² par tête.
L’emplacement
Bien que le choix du lieu soit souvent limité pour la construction des bâtiments devant abriter
un élevage de porcs, le choix de l’emplacement doit respecter les critères suivants :
Respecter le sens des vents dominants pour profiter d’une ventilation accrue, ainsi les
installations devront respecter l’axe Nord sud tout en respectant les pénétrations des
rayons solaires qui constituent les risques de coup de soleil entrainant le stress
thermique. De même, éviter leur exposition au froid.
L’idéal serait une construction sur un terrain légèrement en pente, pour faciliter
l’écoulement et le drainage des excréments et déjections.
Respecter le système dit du « courant » des porcs avec en amont, les cases de la
maternité et en aval les cases d’engraissement, pour faciliter l’entretien et prévenir les
maladies par le truchement du lisier.
Ces bâtiments doivent être à proximité d’un cours d’eau, tout en s’assurant que les
déjections ne devraient pas le polluer.
Le sol
On rencontre plusieurs types de sols selon que l’on se trouve en élevage traditionnelle, ou
dans un élevage de type moderne.
Dans les élevages en enclos, les sols sont souvent meubles ou damés, sujet à des
risques de creusage et de source de pathologie importantes. Ici les sujets sont souvent
salles.
On peut avoir des sols sous forme de plancher pour des élevages en pilotis nécessitant
un bois solide pour le plancher.
Des sols en béton pour des élevages moderne avec une texture légèrement rugueuse
empêchant toutes glissades des animaux. Ce dernier permet aussi d’éviter le creusage
du sol, un nettoyage facile, prévenant ainsi des nombreuses maladies et parasites.
Le sol devra assurer aussi bien l’isolation contre le froid et l’humidité.
Les murs
Les murs doivent être conçus pour retenir l’animal à l’intérieur du bâtiment ou de l’enclos,
pour cela, ils doivent avoir une hauteur convenable et être solides.
La toiture
Les toits doivent essentiellement protéger les porcs du soleil et autres intempéries. Ils peuvent
être fait en matériaux locaux (nattes chaume feuillage…) ou d’éléments manufacturés (tôles
ondulées, fibrociment …) on note qu’en régions tropicale, un toit en chaume par exemple
protège nettement mieux les animaux contre les excès de températures de façon efficace.
Les portillons
Les portillons des loges doivent être en fer logés dans des rails qui permettent un coulissage
du haut vers le bas et ceci pour éviter la détérioration de ceux –ci.
Le bâtiment devrait présenter une certaine protection grillagée sur toutes les faces pour assurer la
protection des reproducteurs contre toutes agressions ou exposition aux facteurs externes (voir
schéma).
Les murs de la façade auront 1,50m et ceux de la vue de profil auront 1,20m.
Un couloir d’alimentation d’environ 1,50m divisé en deux pentes qui permettent l’écoulement des
eaux de nettoyage.
Conception interne
Le plan intérieur d’une porcherie de production présente de part et d’autres deux rangées de loges,
dont les dimensions sont différentes, selon qu’elles hébergent un verrat, une truie, ou une loge de
parturition. Ces rangées doivent être séparées par un couloir central dit couloir d’alimentation et de
stockage.
Chaque loge pour truie, mesure 4m de long sur 1,5 m de large, munie d’une aire d’exercice de 1,5m de
large sur 3m de long.
Pour les verrats, la loge est plus large, soit 4m de long sur 3m de large munie d’une cours d’exercice
de 3m sur 3m. Ces loges de verrats se trouvent soit au milieu ou aux extrémités des rangées des loges
permettant ainsi la stimulation des chaleurs chez les truies.
La cage ou loge de parturition, présente des particularités exceptionnelles permettant non seulement le
chauffage des porcelets, mais aussi un système permettant d’éviter l’écrasement des porcelets
Chaque loge est munie d’une mangeoire et d’un abreuvoir pour l’alimentation du porc. Les loges de
parturition sont souvent situées vers la fin du bâtiment de production ou font suite à l’unité de
production.
Bâtiment d’engraissement
La porcherie d’engraissement présente une structure très simple.
Une vue de façade présentant des démis murs d’une hauteur de 0,8 m, la hauteur du bâtiment est de 2
m, la largeur de l’aire d’exercice est de 2 m.
De chaque côté donnant limite à l’aire d’exercice se trouve un petit canal d’évacuation des eaux
grasses et des déjections
On note ici que les mangeoires sont assez grandes et longues pour permettre le service de tous les
sujets.
Dans ces types de bâtiments, les tuyaux d’eau doivent être incrustés dans les demi – murs du couloir
central pour permettre une bonne distribution d’eau.
Matériel d’élevage
On distingue le e matériel fixe (les abreuvoirs, mangeoires, adductions d’eau, tuyaux d’arrosage), le
matériel amovible : les brouettes, les pelles, le matériel de nettoyage, les seaux, les bassines en
plastique, les futs plastiques, les balais brosses, les raclettes.
Les abreuvoirs et mangeoires sont faits en matériaux solides (ciment) pour permettre leur durabilité.
A côté des bâtiments d’élevage.
Prévoir un logement pour les bureaux et le magasin et faire un pédiluve devant chaque bâtiment.
o Choisir le rythme de production (intervalle entre deux mises bas, temps de mise
à la reproduction
o Choisir les types de bandes (multiples ou uniques)
o Choix du mode de reproduction (naturelle ou IA)
Identification des paramètres liés au logement des animaux
Définir le type de bâtiment
Déterminer la localisation (à proximité de son habitation
Choisir le Système d’élevage
Choisir le Système de distribution de l’aliment (manuel, artificiel ?)
Les avantages d’un bon élevage:
- la vente de la viande,
- du lait, de la peau,
- la vente directe de l’animal,
- la production du fumier / compost)
Les différents systèmes d’élevage :
- Réglementation en vigueur :
o Distance d’implantation des bâtiments d’élevage et de leurs annexes
o Récupération et stockage des effluents
o Epandage des effluents d’élevage et leur utilisation agronomique (code de
bonnes pratiques agricoles)
Régime sanitaire variant suivant l’intensité et la nature de la production
Ainsi elle peut être régie par :
un régime sanitaire départemental (RSD),
une réglementation des installations classées (RIC) qui peut faire l’objet
d’une :
déclaration (ICD) pour les exploitations à moindre risque,
autorisation (ICA) pour les exploitations à fort risque
Exemple
Tableau : Classification des élevages selon le nombre d’animaux
Règlement sanitaire Installations classées
Types d’animaux
départemental Déclaration Autorisation
Porcs (de plus de 30 kg) <50 50 à 450 >450
Volailles (équivalents animaux) (1) <5000 5000 à 30 000 >30 000
Lapins de plus de 30 jours <3000 3000 à 20 000 >20 000
Vaches laitières et /ou mixtes <50 50 à 100 >20
Vaches allaitantes <100 >100 -
Vaches de boucheries et jeunes
<50 50 à 400 >400
bovins
(1) poules, poulets, faisans, pintades= 1 équivalent animal
Palmipède gras en gavage = 5 équivalents animaux
Pigeons, perdrix = ¼ d’équivalent animal
Cailles = 1/8 d’équivalent animal
(2) pour les troupeaux mixtes (vaches laitières et allaitantes) le classement est déterminé selon le critère de
production laitière (>120 00 litres : autorisation) pour le nombre d’animaux , on comptabilise le nombre
de vache ayant déjà vêlé .
- Prévision de la gestion des déjections et des cadavres
Choisir le Système de recyclage et d’évacuation des déjections (dans une fosse ? quelle
est sa capacité en m3 ?)
Droits et devoir par rapport à la gestion des effluents.