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UNIVERSITÉ LICUNGO

FACULTÉ DʹEDUCATION

COURS DE FRANCÊS

CARLOS FERNANDO MELECO


CASTIGO MUSSAVENE MARRUCANE
FRANCISCO VICENTE GEMA
RITA DA GILDA MUTOMBO

PRATIQUE DE LʹÉCRIT

MECANISMES DE TEXTUALISATION

BEIRA

2023
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CARLOS FERNANDO MELECO


CASTIGO MUSSAVENE MARRUCANE
FRANCISCO VICENTE GEMA
RITA DA GILDA MUTOMBO

PRATIQUE DE LʹÉCRIT

Travail de scientifique a présenté au


Département de Langue et Communication
dans matière de Pratique de l’écrit , du
caractère évaluatif

MSC։ TONELA ZEFERINO

BEIRA
2023
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Table de matière
Introduction ..................................................................................................................................... 4

Objectifs .......................................................................................................................................... 4

Structure du travail .......................................................................................................................... 4

Méthodologie ................................................................................................................................... 4

Mécanismes de textualisation....................................................................................................... 5

2. Types de mécanismes ........................................................................................................... 6

2.1 MÉCANISMES DE CONNEXION....................................................................................... 6

2.2 MÉCANISMES DE COHÉSION NOMINALE. ............................................................. 6

2.3 MÉCANISMES DE COHÉSION VERBALE ....................................................................... 8

2.3 MÉCANISMES D'ÉNONCIATION ................................................................................ 9

2.4.1 VOIX ................................................................................................................................... 9

3. Facteurs de textualité .............................................................................................................. 11

3.1. La cohérence textuelle. ........................................................................................................ 11

3.2. La cohésion textuelle ........................................................................................................... 11

3.3. L'intentionnalité................................................................................................................... 11

3.4. L'acceptabilité ..................................................................................................................... 12

3.5. Caractère informatif ............................................................................................................ 12

3.6. La pertinence ....................................................................................................................... 12

3. IMPORTANCE DE MECANISMES DE TEXTUALISATION ....................................... 12

Conclusion .............................................................................................................................. 13

Bibliographies ......................................................................................................................... 14
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Introduction
Dans ce travail de pratique de l’écrit nous allons aborder sur mécanismes de textualisation, où on
va définir la textualisation comme l'ensemble des procédures de la "mise en discours" qui
précède la manifestation dans une langue naturelle, dans un autre système de signes ou
simultanément dans plusieurs systèmes, aussi on va maçonner les mécanismes et les facteurs de
textualisation et à la fin son importance .

Objectifs
Général
 Analyser les mécanismes de textualisation .

Spécifiques
 Identifier les mécanismes de textualisation
 Différencier les mécanismes et les facteurs de textualisation
 Comprendre l’importance des mécanismes de textualisation

Structure du travail

 Introduction
 Développement
 Conclusion et
 Bibliographie

Méthodologie
Selon Fonseca (2002). Méthodologie c’est l’étude de l’organisation, de chemin à suivre pour
réaliser une recherche ou une étude . Donc pour faire ce travail nous avons recourir a la
méthodologie bibliographique .
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Mécanismes de textualisation

1. C’est quoi textualisation ?

Selon Jean-Paul (2002). La textualisation est l'ensemble des procédures de la "mise en discours"
qui précède la manifestation (dans une langue naturelle, dans un autre système de signes ou
simultanément dans plusieurs systèmes). Elle peut se produire à tout moment du parcours
génératif. Elle est soumise aux contraintes de la "mise en signes" qui la suit.

La textualisation n'est pas l'aboutissement du parcours génératif mais un arrêt de ce parcours qui
peut se produire à un moment quelconque du processus. Lorsque la manifestation s'effectue dans
une langue naturelle, la textualisation s'accompagne d'une mise en forme préalable qui anticipe la
contrainte de linéarisation de la langue (par exemple pour la distribution des éléments spatio-
temporels).
La textualisation subit en général les contraintes à venir de la manifestation au niveau de la forme
de l'expression qui soumet la forme du contenu (le contenu étant lui-même indifférent à cette
procédure) au mode de manifestation choisi. Ce contenu peut d'ailleurs trouver sa forme dans des
manifestations mixtes (graphismes et textes pour la bande dessinée ; langue, intonation, gestualité,
proxémique, jeux de lumières pour le théâtre).
C'est au niveau de la textualisation que se situe l'articulation de la narratologie greimassienne
avec la linguistique (sur les mécanismes de cette articulation l'Ecole de Paris tient encore des
propos largement programmatiques). Les structures interphrastiques de la textualisation verbale y
rencontrent celles que l'on peut découvrir empiriquement par la classique "analyse du discours".
Il convient de bien prendre garde à l'emploi particulier du mot "texte" dans la narratologie
greimassienne car il est bien différent de son sens habituel d'énoncé. C'est une grandeur qui est
considérée antérieurement à son analyse. Il équivaut à la représentation sémantique du discours.

Les mécanismes de textualisation contribuent à donner au texte sa cohérence linéaire ou


thématique, par-delà l’hétérogénéité infrastructurelle, par le jeu des processus isotopiques de
connexion et de cohésion nominale.
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2. Types de mécanismes

Les mécanismes de textualisation sont chargés d'établir la cohérence thématique, et sont articulés
à la linéarité du texte, comme déjà mentionné. Parmi ces mécanismes, nous avons le connexion,
cohésion nominale et cohésion verbale.

2.1 MÉCANISMES DE CONNEXION

La fonction de ces mécanismes est de marquer les articulations majeures de la progression


thématique, c'est-à-dire relations existantes entre les différents niveaux d'organisation d'un texte.
Votre réalisation est terminée par des organisateurs textuels, applicables aux transitions entre
séquences textuelles, entre les phrases d'une séquence ou aux articulations les plus locales entre
les phrases. aussi ces les organisateurs peuvent articuler deux ou plusieurs phrases syntaxiques en
une seule phrase graphique, exercer une fonction de liaison (juxtaposition, coordination) ou
d'agencement (subordination) (BRONCKART, 1999, p. 264-268).

Les organisateurs de texte peuvent être regroupés en quatre grandes catégories : a- les adverbes
ou syntagmes adverbiaux à caractère transphrastique; b- un sous-ensemble de phrases
prépositionnelles ; c conjonctions ou phrases de coordination ; d- conjonctions ou locutions
subordonnées.
Pour Koch (2001, p. 62-70 ; 2002, p. 133-141), l'enchaînement de segments textuels (le
connexion) est établi à travers des ressources linguistiques appelées Articulateurs Textuels
(organisateurs textuels de Bronckart), qui permettent d'établir des relations sémantiques et/ou
discursif entre des phrases, des énoncés ou des séquences plus longues du texte.

2.2 MÉCANISMES DE COHÉSION NOMINALE.

Les mécanismes de cohésion nominale marquent des relations de dépendance et/ou de


discontinuité entre deux sous-ensembles de constituants internes aux structures de phrases. Ils ont
pour fonction d'introduirede nouveaux thèmes et/ou personnages (fonction d'introduction), d'une
part, et celui d'assurer leur reprendre ou son remplacement dans l'élaboration du texte (fonction
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de reprise). cette réalisation il est constitué d'unités appelées anaphores (BRONCKART, 1999, p.
268-271).
La cohésion nominale est faite par deux catégories d'anaphores : a- anaphores pronominales :
pronoms personnel, relatif, démonstratif, possessif, réflexif et ellipse ; b- anaphores nominales :
syntagmes nominaux de différents types.
La cohésion nominale, pour Koch (2002, p. 79), se fait par le processus de référencement, la
compréhension des le référencement comme activité discursive, considérée comme le résultat de
l'opération quin effectue lorsqu'un terme est utilisé ou qu'une situation discursive référentielle est
créée pour désigner, représenter ou suggérer quelque chose. Dans ce cas, les entités ne sont pas
considérées comme des objets du monde, mais comme objets de discours.
La fonction d'introduction est généralement remplie par une phrase nominale indéfinie; la
fonction de résumé, par les diverses anaphores pronominales, syntagmes nominaux définis,
marqué » ou « possessif ».
Selon Koch (2001, p. 45-48 ; 2002, p. 85-106) énumère les stratégies de cohésion nominale
suivantes (référence):
a) Expressions définies ou groupes nominaux - formes linguistiques constituées, dans
minimum, un déterminant (défini ou démonstratif), suivi d'un nom. Le choix d'une description
précise particulière peut révéler au lecteur les opinions, les croyances et attitudes du producteur
de texte, l'aidant dans la construction du sens ;
b) Nominalisations - ce sont des formes nominalisées (noms verbaux), à travers le qui fait
référence au verbe et aux arguments de la phrase précédente ;
c) Expressions synonymes ou quasi-synonymes - est le remplacement dans le texte
d'expressions par des mots synonymes ;
d) Noms génériques - ces éléments qui peuvent être des noyaux de phrases nominales qui font
référence à un grand nombre d'entités. Exemples : visage, chose, individu, entreprise, personne,
train, section, etc. ;
e) Hyperonymes ou indicateurs de classe - ce sont des mots généraux utilisés pour désigner
tous une classe d'êtres ou pour englober les membres d'un groupe;
f) Même item lexical, avec ou sans changement de déterminant – c'est-à-dire le même mot ;
g) Anaphore indirecte - consiste en l'utilisation d'expressions définies anaphoriques, sans
référent explicite dans le texte, mais inférable à partir d'éléments explicites qu'il contient ;
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h) Points de suspension – omission d'un terme ou d'une expression facilement compréhensible


sa signification à travers des références contextuelles ;
i) Hyponymes - sont des mots qui sont liés par le sens dans un ensemble, se liant par affinité ou
en faisant partie de l'autre ;
j) Pronoms – mot qui est utilisé à la place du nom ou qui y fait référence. Toutes sortes de les
pronoms peuvent fonctionner comme une ressource pour faire référence à des termes ou des
expressions précédemment employé.

2.3 MÉCANISMES DE COHÉSION VERBALE

Les mécanismes de cohésion verbale assurent l'organisation temporelle et/ou hiérarchique des
processus (états, événements ou actions) verbalisés dans le texte et sont essentiellement exécuté
par des temps verbaux, c'est-à-dire des phrases verbales. Les constituants de ces phrases les
verbes contribuent à l'expression des relations temporelles, des nuances aspectuelles et de
certains modalisations. Les deux premiers contribuent à maintenir la cohérence thématique d'un
texte; le second, pour une cohérence pragmatique ou interactive (BRONCKART, 1999, p. 273-274).
Par conséquent, les valeurs des modalisations seront vues dans le sujet dédié aux mécanismes
énonciatifs.

Selon Bronckart (1999, p. 275-284) distingue deux types d'approches concernant le rôle des
verbes pour maintenir la cohésion : temporalité et aspectualité.
Les valeurs de temporalité sont exprimées par les déterminants des verbes (temps des verbes),
éventuellement en interaction avec certains sous-ensembles d'adverbes. La valeur d'un temps
résulte d'une décision de codifier la relation établie entre « le moment du processus », d'une part,
et soit le « moment de production », soit le « moment de référence psychologique », d'autre part.

L'aspect ou l'aspectualité est l'expression d'une propriété interne ou non relationnelle du


processus (sa durée, sa fréquence, son degré de réalisation, etc.), exprimé par les constituants du
locution verbale. Les deux principales fonctions de l'aspectualité sont : l'expression des types de
processus et l'expression des degrés d'accomplissement du processus (c'est-à-dire correspondant
au signifiant qui constitue le lexème verbal).
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Les types de processus (ou types de verbes) sont les classes générales (état, action, relation, etc.)
sens des verbes. Les types de processus sont représentés, respectivement, par les classes de
verbes suivantes : verbes à l'état l : désignent des processus stables, à l'exclusion toute forme de
changement (être, savoir, etc.) ; 2- verbes d'activité : font référence à des processus dynamique,
duratif et non-résultatif : écriture, marche, danse, etc.) ; 3-verbes de réussite : se référer à des
processus dynamiques, durables et résultants (fumer, courir, etc.) ; 4- verbes de finition : fait
référence aux processus dynamiques, non-duratifs et résultants (chute, saut, arrivée).

Les processus dynamiques (traduits par des verbes d'activité, d'accomplissement ou


d'achèvement), tour à tour, peut distinguer trois degrés de réalisation : l- inachevé : le processus
peut être repris au cours de son développement ; 2- conclusion : le processus peut être pris au
bout de sa développement; 3- réalisation totale : le processus peut être pris dans son intégralité
développement.
Le degré de réalisation totale est marqué par l'emploi des temps simples : présent, futur simple,
passé simple, etc.; l'inachevé est déductible de certains cas de temps simples, en particulier de
l'imparfait; et la conclusion est marquée par les occurrences de temps composés, lorsqu'ils ne sont
pas en relation de dépendance syntaxique avec les formes simples.
Il résulte donc de ce qui précède que la cohérence thématique dépend du bon usage des
mécanismes de textualisation, à savoir, les mécanismes de connexion, à travers les articulateurs
des contenus propositionnels, ceux énonciatifs ou discursifs-argumentatifs, et des mécanismes de
cohésion nominale et verbale.

2.3 MÉCANISMES D'ÉNONCIATION

La fonction des mécanismes énonciatifs est de contribuer à la clarification des positions


énonciatives et traduire les diverses évaluations sur certains aspects de la des contenus
thématiques, qui visent à guider l'interprétation du texte de ses destinataires, comme déjà il a été
dit. Ces mécanismes sont exécutés à travers de voix. Voyons chacun l'un d'eux.

2.4.1 VOIX

La première notion du phénomène « Voix » est apparue, implicitement, chez Bakhtine avec « La
Poétique de Dostoievski », à propos du « roman polyphonique ». Le sens de la voix de Bakhtine
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est ordre métaphorique, traitant de la mémoire sémantico-sociale déposée dans le mot, et que
dans tous les discours sont perçus comme des voix, car tout ce qui est dit par un énonciateur
n'appartient pas qu'à il.
La présence de voix dans un même texte est appelée dialogisme par Bakhtine (2002), polyphonie
pour Ducrot (1987) et l'intertextualité pour Kristeva (1974). La notion de polyphonie de Ducrot et
L'intertextualité de Kristeva est née de la notion de dialogisme de Bakhtine.

Le dialogisme, pour Bakhtine (2002), est le principe constitutif du langage et la condition de


sens de la parole. Ce dialogisme se produit dans l'interaction verbale établie par l'énonciateur et
énonciation, dans l'espace du texte, qu'il soit écrit ou oral. Autrement dit, les textes écrits ou
oraux sont constitué à partir d'autres textes, contenant non seulement le propre discours de
l'auteur, mais aussi le discours des autres.
La présence du discours de l'autre, selon Bakhtine (2002), peut essentiellement se produire de
deux manières : formes : directes et indirectes.

Le discours direct (DD) est compris « par le locuteur de la langue comme l'énonciation d'une
autre personne, complètement indépendante d'origine, dotée d'une construction complète.
(BAKHTIN, 2002, p. 144).
C'est un discours interactif secondaire intégré dans un autre type de discours, c'est-à-dire dans le
discours principal. Il s'agit d'une transcription littérale des mots de l'auteur source. Dans général,
est introduit par des verbes dicendi.
D'autre part, le discours indirect (ID) « écoute différemment le discours de quelqu'un d'autre ; il
intègre activement et matérialise dans sa transmission d'autres éléments et nuances que les autres
schémas ne parviennent pas à côté." (BAKHTIN, 2002, p. 159).

Cela signifie que ce type de discours peut créer différents. effets de sens, en éliminant, par
exemple, les éléments émotionnels ou affectifs présents dans le discours direct. Dans le discours
indirect, il n'y a pas de reproduction littérale du discours source.
Comme on peut le voir, les discours directs et indirects révèlent l'opinion de l'auteur produisant
un texte sur ce qu'il produit. Ainsi, on peut dire que la transmission de la parole des autres est
autant une stratégie discursive que textuelle.
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3. Facteurs de textualité

La textualité est comprise comme un ensemble de caractéristiques qui nous permettent den
connaître un texte.
Les facteurs de textualité sont les suivants : cohérence, cohésion, intentionnalité, acceptabilité,
caractère informatif et pertinence. Regardons chacun d'eux.

3.1. La cohérence textuelle.

C'est le facteur lié au sens du texte. C'est important pour votre compréhension, pour votre
compréhension. Lorsqu'un texte est produit, son auteur a à l'esprit les possibilités destinataire(s)
et, bien sûr, vouloir être compris par eux. « Chaque texte a donc son la cohérence. (CAVALCANTE,
2011, p.28).
La cohérence n'est pas une entité concrète qui peut être visualisée, soulignée ou souligné dans le
texte. C'est quelque chose de subjectif que le lecteur capture sur la base d'un ensemble d'éléments
du cotexte et en tenant compte du contexte, de la situation communicative, de son connaissances
sociocognitives et interactionnelles, en plus du matériel linguistique. Veuillez noter que le cotexte
est compris comme la surface d'un texte.

3.2. La cohésion textuelle

La cohésion textuelle est le système formé par les éléments linguistiques agencés à la surface du
texte, dans le but d'établir un lien entre les mots, les phrases et périodes, contribuant ainsi à
l'organisation de ses paragraphes et à la compréhension du lecteur (dans la modalité écrite) ou de
l'auditeur (dans la modalité orale).
Selon Xavier (2011), selon les conceptions de la Linguistique Textuelle, la la cohésion n'est pas
un facteur nécessaire pour considérer une production orale ou écrite comme texte, car son
absence ne compromet pas son sens.
Koch (1994) divise la cohésion en deux modalités majeures qui sont la cohésion cohésion
référentielle et séquentielle.

3.3. L'intentionnalité

L'intentionnalité est l'intention de l'auteur du texte oral ou écrit de produire un manifestation


linguistique avec cohésion et cohérence, afin d'atteindre certains but.
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3.4. L'acceptabilité

L'acceptabilité est le facteur de textualité lié à la réception du texte par le lecteur/auditeur, le


considérant comme une configuration acceptable, cohérente et cohésive, c'est-à-dire chargé de
sens et donc compréhensible.
Pour la linguistique textuelle, l'acceptabilité ne se limite pas au niveau de formes, puisqu'il
s'étend, de façon plus large, au plan du sens. Cela veut dire que un texte, même avec des défauts
grammaticaux, peut être acceptable tant qu'il a du sens.
L'acceptabilité fait donc référence au fait que le lecteur/auditeur accepte les intentions voulu par
le producteur du texte oral ou écrit.

3.5. Caractère informatif

Selon Marcuschi (2008, p.132). Lorsqu'un texte présente une cohérence, il a logiquement un
contenu. Par conséquent, la le lecteur/auditeur doit être capable de percevoir le message véhiculé
par le texte, d'en capter information.

3.6. La pertinence

La pertinence est le facteur de textualité qui exerce une certaine exigence pour tous les énoncés
qui forment le texte sont sujets à interprétation et compris comme parler du même sujet.

4. IMPORTANCE DE MECANISMES DE TEXTUALISATION

Selon BRONCKART, 1999, p. 264-268. La fonction de ces mécanismes est de marquer les
articulations majeures de la progression thématique, c'est-à-dire relations existantes entre les
différents niveaux d'organisation d'un texte. Votre réalisation est terminée par des
organisateurs textuels, applicables aux transitions entre séquences textuelles, entre les phrases
d'une séquence ou aux articulations les plus locales entre les phrases.
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Conclusion

Apres avoir fait le travail on a conclu que l’utilisation correct des mécanismes de textualisation
vont garantir la cohérence global de texte. Ces mécanismes contribuent à l'établissement de la
cohérence thématique, et sont articulés à la linéarité du texte, c'est-à-dire à la progression du
contenu thématique, tel qu'il est appréhendable au niveau des infrastructures.
Les mécanismes de textualisation sont réalisés par plusieurs unités linguistiques, qui sont
désignées par l'expression générique des marques textualisation. Ces marques de textualisation
sont concrètement observables dans les phrases ou dans le jonction des phrases et, en général,
jouent un rôle dans l'organisation de ces unités syntaxiques Emplacements.
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Bibliographies

BAKHTIN, M./VOLOCHÍNOV, V. N.(1999). Marxismo e filosofia da linguagem. 9 ed. São Paulo:

Hucitec, 2002. BRONCKART, Jean-Paul. Atividade de linguagem, textos e discursos: por um

interacionismo sócio-discursivo. São Paulo: EDUC,.

KOCH, Ingedore G. Villaça.(2001) .A coesão textual. 14. ed. São Paulo: Contexto.

KOCH, Ingedore G. Villaça.( 2002) . Desvendando os segredos do texto. São Paulo: Cortez,.

Bronckart, Jean-Paul (1997) Activité langagière, textes et discours. Pour un interactionisme

socio-discursif. Paris: Delach

CAVALCANTE, Mônica M.(2011) .Os sentidos do texto. São Paulo: Contexto.

MARCUSCHI, Luiz Antônio.(2008) .Produção textual, análise de gêneros e compreensão. São

Paulo: Parábola editorial,.

XAVIER, Antonio Carlos dos Santos.( 2011). Como se faz um texto: a construção da dissertação

argumentativa. 5 ed. Catanduva: Rêspel,

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