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INTRODUCTION
Dans bon nombre de langues, la zone initiale de l'énoncé revêt une impor-
tance particulière du point de vue discursif. Il est relativement naturel - il suffit
pour s'en convaincre de se référer aux théories de l'iconicité - que soient placés
dans cette position des constituants qui assurent une liaison avec le contexte
antérieur, qu'il s'agisse des éléments thématiques, par exemple, ou des connec-
teurs. Cette zone reçoit également, de façon privilégiée, des unités qui ont une
portée large vers l'aval du texte, dépassant les limites de la phrase ou de la
proposition. Ces relations ne sont évidemment pas biunivoques : la position
initiale peut remplir d'autres fonctions discursives et pragmatiques, et, inverse-
ment, la progression du dynamisme communicatif n'est pas toujours réalisée
dans une linéarisation qui respecterait systématiquement l'ordre thème/rhème.
Force est de constater toutefois la très grande diversité des constituants suscep-
tibles d'occuper cette position privilégiée : diversité morphologique (syntagmes
nominaux, adjectivaux, adverbiaux) et diversité syntaxique d'une part, ces
constituants pouvant se trouver plus ou moins intégrés à la structure proposi-
tionnelle, jusqu'à être dotés d'un statut d'éléments périphériques, même si, à
l'écrit, la ponctuation ne permet guère de signaler ces gradations ; diversité des
relations sémantiques, d'autre part, que ces unités entretiennent avec le
contexte, en particulier avec le contexte de droite : des circonstants détachés aux
éléments topicalisés, en passant par les modalisateurs d'énoncé ou dénoncia-
tion, les domaines auxquels renvoient les expressions de la zone initiale sont
évidemment très différents. Il n'est donc pas surprenant que les fonctions
discursives soient également très diverses, liées qu'elles sont, en grande partie,
à ces propriétés morphosyntaxiques et sémantiques. C'est ce niveau textuel que
nous essayerons de mettre en relation avec les caractéristiques qui relèvent du
incoi FRANÇAISE 14 8 3 1
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Bussche, 1988 ; Furukawa, 1996) ; ceci nous permettra de constater que ces
distinctions vont d'ordinaire de pair avec des variations dans le type de
contenu auquel ces expressions renvoient. À partir des structures subordon-
nées, dans lesquelles la prédication apparaît sous la forme d'une proposition
complète, dotée d'un sujet et d'un syntagme verbal, on peut établir la hiérarchi-
sation suivante :
1.2. Un autre critère doit également être envisagé, d'ordre sémantique, qui
prendrait en compte le lien établi entre la construction détachée et le contexte
de droite ; il y a là un facteur important, dans une comparaison possible avec
les cadres de discours, des caractéristiques communes pouvant apparaître.
1.3. Il est difficile d'établir des relations systématiques entre ces catégories
sémantiques et les diverses caractéristiques formelles énumérées plus haut.
Ainsi, si les constructions absolues sont plutôt descriptives, elles n'en sont pas
moins compatibles avec des contextes dans lesquels elles peuvent prendre
valeur circonstancielle ( menottes aux poignets , il ne pouvait plus bouger). En ce
sens, ce sont sûrement les participes et certains adjectifs qui correspondent à la
plus large gamme de possibilités.
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grand degré de liberté par rapport au contexte immédiat et jouent, par là même,
un rôle textuel plus large. La prise en compte de ces deux types de propriétés
(référence à un sujet sous-jacent, valeurs déterminées par le contexte de droite)
conduit à considérer que ces expressions sont dotées des deux grandes caracté-
ristiques relevées par M. Charolles (2003), qui, comparant les cadres de discours
et les anaphores, constate : « Les deux grands systèmes de relations qui inter-
viennent dans la cohésion extraphrastique sont donc étroitement liés, sauf
qu'ils tirent dans deux directions opposées : les anaphores et les connecteurs
tirent vers l'amont, les adverbiaux cadratifs vers l'aval, avec, bien entendu,
toutes sortes de formes qui tirent dans les deux sens... » (p. 45). Les construc-
tions détachées méritent ainsi une attention particulière, dans la mesure où
elles peuvent remplir ces deux fonctions, du moins dans bon nombre de cas. Le
sujet sous-jacent et certains types de complémentation assurent la continuité
référentielle, tandis que le contenu sémantique, dans le cas des valeurs circons-
tancielles, joue un rôle dans la portée vers l'aval du texte.
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l'anaphore elle , comme thème des trois dernières phrases et les adjectifs anté-
posés, tout en renvoyant à ce réfèrent, entretiennent une relation d'opposition
avec le contexte de droite, relation qui pourrait être rendue par des subordon-
nées (Bien qu'elle soit unique, ...) :
(1) Il pourrait suffire, pour y parvenir, de demeurer fidèle à un événement, une
rencontre, une singularité. Unique, chacune contient un infini. Circonscrite et déli-
mitée. elle ne cesse pourtant de se poursuivre. Isolée, elle est inépuisable.
(R.-P. Droit, Le Monde, 24/01/9 7)
Il est intéressant de noter qu'une sorte d'équilibre semble se créer entre les deux
propriétés (lien avec l'amont, portée vers l'aval), la structuration du texte par
des constructions détachées successives autorisant des relations anaphoriques
moins rigides que l'emploi des formes de pronom sujet qu'exige une certaine
norme écrite. Dans le paragraphe suivant, la première personne apparaît sous
trois formes différentes (je, mon (mépris), moi), les relations de causalité et
d'opposition établies par les adjectifs antéposés l'emportant sur la « symétrie »
référentielle :
(2) Mais qu'ai-je gagné à ma nature réservée ? (...) Froid et sec en matière visuelle, je
n'ai rien de l'enthousiaste et du sentimental (...) Poli, laudatif. admiratif pour les
suffisances qui se proclament intelligences supérieures, mon mépris caché rit (...)
Aventureux et ordonné, passionné et méthodique, il n'y a jamais eu d'être à la fois
plus chimérique et plus positif que moi. (Chateaubriand, René )
La grande fréquence de la continuité thématique a sans doute en partie sa cause
dans le fait que les syntagmes adjectivaux, à la différence des circonstants
cadratifs, ne comportent pas de marque qui signalerait leur rôle sémantique.
Cette propriété n'autorise évidemment pas, à elle seule, à assimiler les cons-
tructions détachées à des cadres ; c'est la portée de l'expression, ainsi que son
rôle dans la structuration textuelle qu'il convient de privilégier. Si la notion de
portée semble relativement claire lorsqu'il s'agit des adverbiaux, son applica-
tion aux constructions détachées mérite une justification, la nature référentielle
et prédicative de ces dernières pouvant poser des problèmes particuliers. On
remarquera en effet que le maintien d'un thème identique en aval du texte ne
peut être tenu pour un critère déterminant, même si cette continuité va souvent
de pair avec l'ampleur de la portée ; dans un passage narratif à thème constant,
par exemple, un participe détaché peut établir une relation causale avec le
prédicat qui le suit sans que cette relation se maintienne sur l'ensemble de la
séquence (Épuisé par son travail, X décida d'aller faire un tour. Il rencontra Y. Ils
discutèrent...). D'une manière générale, on peut considérer que la relation
sémantique établie avec la suite du texte par la construction détachée peut être
évaluée de la même façon que dans le cas d'un adverbial. Qu'il s'agisse par
exemple de la causalité ou de l'hypothèse, un participe ou un adjectif détaché
ne présente pas, théoriquement, de différence fondamentale avec une subor-
donnée ou un syntagme prépositionnel. Les deux expressions en cas de réussite ,
reçu à son examen peuvent se substituer à la subordonnée dans la séquence : S'il
est reçu à son examen, il sera enfin soulagé ; il pourra s'inscrire en deuxième année ;
tout le monde le félicitera ; mais il s'agit justement d'un passage caractérisé par la
continuité référentielle. En irait-il de même si le texte ne présentait pas ce type
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Dans bon nombre de cas, les expressions que nous avons qualifiées de
descriptives peuvent être considérées comme le résultat du détachement de
constituants étroitement liés à la prédication principale, dans une relation de
type attributif. Une gradation s'établit entre les trois énoncés : il est sorti furieux
/ il est sorti, furieux / furieux , il est sorti , gradation qui conduit d'une prédication
unique à la prédication seconde (cf. Eriksson, 1980, 1993 ; Forsgren, 2000) ;
l'antéposition - pour des raisons qui relèvent davantage d'une problématique
stylistique - si elle conduit à la formation d'une prédication seconde et rend
ainsi autonome la forme adjectivale, n'entraîne pas, en raison du sémantisme
du verbe principal, la création de relations circonstancielles et conserve au
groupe antéposé une valeur attributive. Ceci est particulièrement net lorsque le
verbe indique l'apparition ou la localisation du référent :
(3) Une allumette craqua (. . .) Étroite et haute, une chambre apparut.
(]. Green, Le mauvais lieu)
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énumérés dans les groupes détachés, que la jeune enfant tient de sa mère et
ceux qu'elle doit à son père, contenus dans la prédication principale :
(6) Elle allait avoir huit ans. Grande pour son âge. blonde aux yeux bruns comme sa
mère, avec les mêmes cheveux ruisselants, aux ondes souples moirées de reflets, elle
montrait en revanche, dans le feu de ses regards, dans l'élan de ses moindres gestes,
l'ardente vitalité du jeune seigneur de Bonavent. (M. Genevoix, La forêt perdue)
de groupes prépositionnels :
(8) puis, avec un ricanement effroyable, d'un coup, ils se tuaient.
(G. Flaubert, Salammbô)
de constructions absolues :
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groupe détaché. Dans le passage suivant, le syntagme assis dans ma chambre joue
le rôle de cadre pour l'ensemble du texte, comme le ferait le groupe préposi-
tionnel ( dans ma chambre) s'il était utilisé seul, sans participe :
(11) Assis dans ma chambre, je suis dans le quartier général du bruit de tout Г apparte-
ment. j'entends claquer toutes les portes , leur bruit m'épargne seulement
d'entendre les pas des gens qui courent d'une pièce à l'autre. (. . .) Mon père enfonce
la porte de ma chambre (. . .) On soulève le loquet de la porte d'entrée (...) à présent
va commencer un bruit plus délicat (. . .) (F. Kafka, Grand bruit)
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(19) À peine arrivée sous bois , elle prit le galop. Je fis comme elle , et je la suivis. Elle hâta
le pas dès qu'elle me sentit sur ses talons , cravacha son cheval et sans motif le lança
à fond de train. Je me mis à son allure (. . .) (id.)
Il est à noter que les subordonnées temporelles, qui ont un contenu
celui des constructions détachées participiales, paraissent assure
plus facilement que ces dernières une portée textuelle large. On peu
sur ce point (17) et (18) au passage suivant, dans lequel la proposition
voit pas sa portée limitée à la première phrase, mais sert de cadre à
du paragraphe :
(20) Aussitôt qu'il fut installé près de nous, ma vie changea, en ce sens du
en ßt deux parts. Je ne renonçai point aux habitudes prises, mais on m'en
nouvelles. J'eus des livres, des cahiers d'étude, des heures de travai
contractai qu'un goût plus vif pour les distractions (. . .) (id.)
Y. LIENS LOGIQUES
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Quel que soit le type de discours, les expressions cadratives ont pour
fonction essentielle de marquer les articulations du texte. Jouant en ce sens
un rôle identique à celui des syntagmes topicalisés, qui signalent la réactiva-
tion d'un référent ou l'introduction d'un nouveau référent dans le flux
discursif, elles délimitent des portions de texte qui se définissent par
tion à leur entourage contextuel. Si elles signalent l'ouverture d'un
espace, elles sont également, dans le fil du texte, des signaux de ferme
C'est cette double fonction, à la fois vers l'amont et vers l'aval, qui permet de
les rapprocher de certaines progressions thématiques, comme la progression
à thème éclaté, par exemple. Les constructions détachées, lorsqu'elles fonc-
tionnent comme cadres, peuvent assumer cette opération de structuration du
texte. Dans l'article suivant, qui rapporte les difficultés financières de la
société Buffalo Grill , après une introduction qui insiste sur la gravité de la
situation, les deux paragraphes qui constituent le corps de l'article débutent
par des syntagmes adjectivaux détachés qui renvoient à deux aspects succes-
sifs de l'événement. : le manque d'expérience, cause de « cafouillage » (peu
habituée...), la volonté de réagir ( soucieuse de redresser...). Ces adjectifs cadra-
tifs, à valeur causale, ont une portée qui s'étend sur l'ensemble du para-
graphe, les diverses propositions développant les conséquences du contenu
de ces prédications réduites :
(26) Buffalo Grill traverse une période de vaches maigres. Sur les six premiers mois de
l'année, près du quart du chiffre d'affaires est parti en fumée (. . .)
Peu habituée à être exposée, cette société , qui n'avait jusqu'à présent (...), se
retrouva soudain au cœur d'une tempête juridico-médiatique. Elle tenta, non sans
maladresse et cafouillage, d'établir un contre-feu (...)
Soucieuse de redresser son image. Buffalo Grill a demandé à sa nouvelle agence de
communication de mener une enquête (...) D'où il ressort que les traces de la crise
sont profondes. (...) (Le Monde, 3/10/03)
Un exemple du même ordre peut être fourni par le tex
référence aux contraintes qui pourraient freiner la fabrica
génériques en Inde. L'introduction générale est suivie
graphe, qui décrit l'activité de l'Inde dans ce domaine, les
lées par la construction détachée participiale (dotée d'une in
le deuxième paragraphe relate le changement imposé, a
construction détachée à valeur causale (membre de l'OMC...),
les deux parties étant soulignée par le connecteur or :
(27) L'Inde pourrait restreindre les possibilités de fabriquer des mé
La moitié des médicaments (...) sont des génériques fabriqués
Dotée d'une industrie pharmaceutique privée dynamique et d'u
là extrêmement souple sur les brevets. l'Inde est devenue le nu
générique (...) Les fabricants de génériques indiens les ont
divisés par dix par rapport à ceux des laboratoires occidentaux.
Or, membre de l'OMC depuis sa création. l'Inde était tenue de
en conformité avec les accords internationaux. Le 26 décembr
ment a promulgué une ordonnance amendant la législation sur l
(Le Monde, 21/03/05)
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CONCLUSION
subordonnée > infinitif > participe > adjectif > substantif> constr. absolue >
compl. « manière »
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