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Ce journal, aura-t-il une influence suffisante sur les

décisions futures du gouvernement?

Degré de Langues modernes

Professeur: Antonio Gaspar Galán

Clara Nso: 721491@unizar.es

Viviana Omedes: 780022@unizar.es

Isabel Calavia: 778435@unizar.es


Résumés

Français

Dans ce travail, on observe comment l’éditorial d’un spécifique journal utilise le


discours pour informer, de la meilleure façon possible, d’une réalité conformément à
son idéologie. Pour que le message soit concis et cohérent, et qu’il attire un grand
nombre de lecteurs, l’auteur doit tenir compte non seulement des informations dont il
dispose, mais aussi de la personne à qui ces informations sont destinées, c’est-à-dire, à
quel public il veut que cette information arrive et lui influence d’une manière ou d’une
autre. De cette façon, on voit comment l’auteur choisit certains arguments et organise le
texte selon un ordre logique et facile à comprendre pour pouvoir susciter une réaction à
ses lecteurs.

Español

En este trabajo, observamos cómo el editorial de un determinado periódico aprovecha


el discurso para informar, de la mejor manera posible, de una realidad de acuerdo a su
ideología. Para conseguir transmitir el mensaje de una manera concisa y coherente, y
que este atraiga a un gran número de lectores, el autor no solo tiene que tener en cuenta
la información de la que dispone, sino también a quién va dirigida esta información, es
decir, a qué público quiere que esta información llegue y le influya de alguna manera.
De esta forma, vemos cómo el autor escoge unos determinados argumentos y organiza
el texto siguiendo un orden lógico y fácil de entender para poder suscitar una reacción a
sus lectores.

Entrée d’index:

Mots-clés : Information, discours journaliste, stratégies, langue, citoyens.

Palabras clave: Información, discurso periodístico, estrategias, lengua, ciudadanos.


Index

1.Introduction

2.Histoire du journal

3.Le discours médiatique

3.1. Société et domaines d’activité

3.2. Le dispositif et le contrat médiatique

3.3. Les contraintes discursives de l’énonciation journalistique

3.4. Les contraintes de l’explication

4. Polyphonie et types de discours

4.1. Les participants

4.2. Rapports entre discours citant et discours cité

5. L’énonciation

6. L’argumentation

7.La rhétorique

7.1.Composants essentielles de la rhétorique

7.2. Les processus de création et structure du discours

8. Analyse du texte

8.1 Discours médiatique

8.1.1. Société et domaines d’activité

8.1.2. Le dispositif et le contrat médiatique

8.1.3. Les contraintes discursives de l’énonciation journalistique

8.1.4. Les contraintes de l’explication

8.2. La polyphonie

8.2.1. Les participants

8.2.3. Les rapports ​entre discours citant et discours cité


8.3. L’énonciation

8.4. L’argumentation
8.5. La rhétorique
9. Conclusion
1. Introduction

L’incendie de Rouen a été un accident industriel qui a eu un impact considérable sur le


monde entier, en particulier sur la population française qui a été au courant de tout ce
qui s’est passé à Lubrizol depuis l’incendie. C’est la raison pour laquelle toute la presse
française a été au courant de ce qui s’est passé et s’est chargée de rapporter tout ce qui
s’est passé à Rouen d’un point de vue politique, économique, social ou
environnemental. Ce travail va analyser un article éditorial de l’Ouest-France (un
journal français soucieux de défendre les valeurs sociales et d’informer ses lecteurs avec
la vérité) du point de vue de la langue pour comprendre pourquoi l’auteur de l’article,
Philippe Lemoine, s’exprime de la manière dont il le fait. L’analyse de l’article se fait
en tenant compte, en premier lieu, du discours médiatique qui aide à comprendre
l’équilibre entre l’information que l’on veut transmettre et le sensationnalisme avec
lequel l’auteur veut attirer le lecteur. Deuxièmement, la polyphonie pour savoir quel
type de discours utilise l’auteur de l’article. Troisièmement, l’énonciation qui sert à
connaître le sujet de l’article, la situation communicative, les circonstances spatiales
temporelles et qui est le protagoniste de l’article. Ensuite, l’argumentation qui sert à
savoir quelles sont les raisons qui conduisent Philippe Lemoine à penser et à s’exprimer
de la manière dont il le fait. Enfin, la rhétorique pour savoir comment l’auteur attire les
lecteurs.

2. Histoire du journal

À la fin du IXème siècle, Emmanuel Desgrées du Loû et l’abbé Trochu fondent un


journal pour appeler les habitants de l’Ouest de France à rallier la République, à donner
consistance et pérennité à l’action sociale à laquelle ils se dévouent. Ça n’est pas visible
pour tout le monde parce que c’est une époque oú l’idée républicaine est tout récent et
oú la restauration peuplent encore les nuits des nostalgiques.
Ces deux personnages constatent la faiblesse des industries, la désertification des
campagnes, etc. Ils vont utiliser la presse comme un instrument pour agir sur l’opinion
et sur les pouvoirs. L’Ouest-Éclair naît de la volonté de la démocratie et de la justice
sociale. Le développement finira après la Grande Guerre qui posera des problèmes
d’organisation inextricables. En 1832, la zone actuelle d’Ouest-France est entièrement
couverte. L’Ouest-Éclair deviennent le premier quotidien régional de France.
Après quelques années, en 1990 uest-France avait une réforme juridique pour assurer
son indépendance. Selon l’Assemblée de 1901 ce journal devenait dépendant d’une
association à but non lucratif ​présidée par Pierre-Henri Teitgen et après par Jacques
Duquesne.
Ouest-France est publié par SIPA-Ouest France, une groupe de presse original créé par
François Hutin. Cette groupe comprend quatre autres quotidiens, Presse-Océan, Le
Courrier de l'Ouest et Le Maine libre,La Presse de la Manche ; 79 hebdomadaires
locaux à travers sa filiale Publihebdos ; la société Spir Communication, éditrice de
journaux gratuits et de sites Internet ; la régie publicitaire Précom ; les Éditions
Ouest-France ; le quotidien gratuit 20 minutes, en association avec le groupe de presse
norvégien Schibsted. Le groupe est aussi propriétaire des radios Hit West, Cristal,
Cocktail FM et Océane FM.
Cette société française est géré depuis 1990 par une association, « Association pour le
soutien des principes de la démocratie humaniste », présidée par Jacques Duquesne.
François Hutin a créé cette association loi 1901, à but non lucratif, pour protéger
Ouest-France de ses idéaux de communication (liberté d’expression, honnêteté,
véracité).Cette organisation garantit l'indépendance du journal.

Les articles trouvés dans ce journal sont axés sur la politique, l’économie, la santé, les
questions commerciales, les questions sociales, la technologie, le sport, la mode, et la
cuisine. Et reposent sur la paix, la justice, la justice et le respect des différentes
personnes et institutions.

Bien qu’il utilise de nouvelles technologies pour diffuser son information (audio, vidéo)
il reste fidèle à sa politique de communication (en évitant le sensationnalisme, en
exprimant l’important, en comparant l’information).

Le journal Ouest-France est l’un des journaux les plus importants en France, il a plus de
2 millions de lecteurs dans le monde entier, et il a beaucoup de prestige, parce qu’il a
été l’un des premiers quotidiens français; ne se concentre pas seulement sur la région de
la Bretagne, mais sur les 53 éditions qu’il a, six ou huit se concentrent sur les nouvelles
internationales, nationales et commune; et ils s’inquiètent que les lecteurs soient bien
informés.

3. Le discours médiatique

3.1. Société et domaines d’activité

Une société est formée par différent sphères d’activités (économie, politique,
médiatique…). On va centrer sur la sphère médiatique qui, comme toutes les sphères
d’activité, fonctionne selon une double logique (la logique symbolique et
pragmatique).

D’une part, la logique symbolique de la sphère médiatique est renforcer la


démocratique, informer d’une manière la plus idéale possible sur les événements qui
se produisent dans la société et contribuer au débat social et politique par la mise en
scène de la confrontation des idées.

D’autre part, la logique pragmatique doit capter le plus nombre du public pour tirer
de profits économiques.

Ici, il y a là une contradiction avec le souci de bien informer, puisque du moment


que l’information est de plus en plus précise, il y a de moins en moins de lecteurs.

3.2. Le dispositif et le contrat médiatique

L’information médiatique est déterminée par un dispositif dont les caractéristiques sont
les suivantes:

- Une instance de production composite par divers acteurs (journalistes,


rédacteurs en chef, direction de l’organe d’information, etc.). Nous ne savons
pas très bien qui est le responsable de l’information, puisque cette information
vient de plusieurs sources en même temps et elle est toujours conditionnée.
Cette instance se compose des cinq rôles suivants : rôle chercheur
d’information qui cherche les sources de ces informations (réseau avec les
agences de presse, envoyés spéciaux, relais d’indicateurs etc.) ; rôle
pourvoyeur d’information qui sélectionne les informations recueillies en
fonction de certains critères ; rôle transmetteur d’information qui rapporte
l’information en fonction de visées d’effet, et en jouant sur des manières de
décrire et de raconter ; rôle commentateur d’information qui produire un
discours explicatif tentant d’établir des relations de cause à effet entre les
événements rapportés ; rôle provocateur de débats qui confronte différents
points de vues.
- Une instance de réception qui n’a pas des rôles spécifiques, de sorte qu’on doit
imaginer qu’il existe un public idéal et, à partir de là, on va construire un
discours à ce public idéal.

Il y a des enjeux discursifs du control médiatique dont il faut tenir compte, l’enjeu de
crédibilité (informer de la manière la plus crédible possible) et l’enjeu de captation
(informer pour capter le plus grand nombre de récepteurs possible). Aucun ne doit
dépasser l’autre, car s’il y a trop d’information spécifique, les gens peuvent ne pas
comprendre, et s’il y a trop de sensationnalisme, l’information n’est pas crédible.

3.3. Les contraintes discursives de l’énonciation journalistique

Les caractéristiques du dispositif médiatique donnent au sujet journaliste, en tant


qu’énonciateur des instructions sur le positionnement énonciatif qu’il doit adopter.
L’enjeu de crédibilité requiert qu’il participe de distance ou de neutralité, de manière
qu’il y un effacement de l’énonciateur (il n’y a pas « Je »). Toutefois, l’enjeu de
captation le conduira parfois à prendre position

3.4. Les contraintes de l’explication

Patrick Charaudeau (2010, p.51-75) mentionne « Le discours de commentaire


journalistique s’apparente davantage à un discours de vulgarisation, sans en avoir la
prétention, car ce pourrait être contre-productif » ​. ​C’est pour ça que le discours
journalistique explicatif prend la forme de la modalité de l’affirmation. Le discours
journalistique est une activité discursive qui non seulement rapporte des faits, mais
explique aussi ​comment et ​pourquoi. ​De façon qu’une explication journaliste est une
manière de s’adresser à un auditoire peu conscient d’un sujet en particulier et d’élucider
des relations de cause à conséquence entre les faits de ce sujet. Le discours
journalistique tire sa pertinence du fait que l’on peut considérer que son énonciateur a
une connaissance de la nouvelle traitée par l’observation, l’investigation, mais le plus
souvent, il s’agit d’une façon de connaissance empirique. Ses outils d’analyse ce sont
une forme de raisonner en fonction de la connaissance du terrain, de certaines lectures
et des informations tirés de témoignages.

4. Polyphonie et types de discours

On parle de polyphonie en tant que stratégie, les énoncés ne sont souvent pas
homogènes comme on a tendance à les considérer. Parfois, il y a une pluralité de voix,
par exemple : « déjà-dit » et « à dire ». De sorte qu’on doit comprendre qui est
responsable de chaque partie du discours et comment les énoncés peuvent être
imbriqués les uns dans les autres.

4.1. Les participants

Les participants dans le discours sont les suivants : le locuteur, il va créer le discours, de
manière qu’il est le responsable de l’énoncé; l’allocutaire, il est la personne à qui le
discours est adressé; énonciateur, il assure le contenu à l’intérieur du discours et se porte
garant de sa vérité.

4.2. Rapports entre discours citant et discours cité

Il ya trois stratégies différents, le discours direct, le discours indirect et le discours


indirect libre, pour provoquer trois sensations différents. Dans ce cas, on va aborder les
rapports entre le discours citant (responsabilité du locuteur) et le discours cité
(responsabilité de l’énonciateur) de discours indirect.

Ce discours indirect enlève l’autonomie au discours cité et le subordonne à l’acte


d’énonciation du discours citant, c'est-à-dire, il y a une dépendance entre les deux. La
sensation de véracité est moins forte parce que les mots sont interprétés par le locuteur.

5. L’énonciation

C’est l’utilisation de la langue à un moment précis et d’une manière individuelle pour


un propos. Ici, on utilise des procédés linguistiques (modalisateurs, shiftères etc.).

Pour analyser l’énonciation il faut tenir compte les suivants éléments : le protagoniste,
c’est une acte individuelle, de sorte que ce n’est pas la même chose si parle un personne
que si parle une autre personne ; la situation de communication, on parle d’un certaine
manière en dépendant de la situation, c’est pour ça que la situation conditionne le
discours ; les circonstances spatio-temporelles, il faut utiliser les verbes d’une manière
ou d’une autre ; et les condition général de la production/réception du message.

6. L’argumentation

La langue possède des termes à contenu conceptuel. Ils renvoient à des entités du
monde, leurs qualités et les actions qui peuvent les impliquer (noms, adjectifs,
verbes…). Aussi la langue possède des termes à contenu procédural. Ils renvoient à des
termes qui fournissent les indications pour interpréter les énoncés (pronoms personnels,
conjonctions, adverbes, certains verbes…). Ils permettent d’établir des relations entre
les éléments de la phrase.

Tout énoncé contient un aspect thématique (le sujet dont on parle) et une orientation
argumentative (conclusion suggérée au destinataire). Par exemple ​: Pierre dit à Paul: «
C’est un bon livre ». I​ ci, l’assertion informative sur l’objet livre c’est ​« Il est intéressant
», ​et l’orientation argumentative du destinataire vers la conclusion c’est ​« Je te
recommande de lire ce livre ».
Dans l’argumentation, c’est important l’ordre des propositions comme les connecteurs
que l’on utilise parce que ce sont des outils de la langue qui donnent au discours son
orientation argumentative. Ils possèdent une double fonction, ils lient deux unités
sémantiques et ils confèrent un rôle argumentatif aux unités qu’ils mettent en relation.
Ces connecteurs sont des outils de la langue qui donnent au discours son orientation
argumentative, on peut trouver les suivants: énumération (d’ abord, ensuite, enfin, d’une
part, d’autre part…);conclusion (c’est pourquoi, en conclusion); reformulation
(autrement dit, en résumé…); opposition (mais, pourtant, en revanche…); explication
(en effet, car…); addition (or, d’ailleurs, en plus…).

7. La rhétorique

La rhétorique est quelque chose pratique qui va avoir la possibilité de convaincre à


travers de la langue, une discussion dialectique à travers du langage. Il y a une décision
du juge qui dépend de la manière de présenter les faits et de défendre la position.

7.1. Composants essentielles de la rhétorique

- Le logos : il représente la logique, le raisonnement et le mode de construction de


l’argumentation. Il s’adresse à l’esprit rationnel de l’interlocuteur. C’est la
connaissance de la langue et la bonne utilisation de la langue pour construire un
discours.
- L'ethos : il représente le style et l’approche qui doit prendre l’orateur pour
captiver son auditoire et gagner la confiance de son public. Pour Aristote les
caractéristiques les plus importantes sont la vertu, le bon sens et l’éthique. Il y a
deux types d’ethos: préconstruit par les discours précédents (l’image que l’on a
de la personne qui parle grâce à ses discours précédents) et construit dans le
discours (l’image que l’orateur créé avec son discours).
- Le pathos: il s’adresse à la sensibilité de l’auditoire (ses tendances, ses désirs,
ses sentiments, ses émotions ou ses valeurs). L’orateur cherche à faire ressentir à
son auditoire des passions et des valeurs (colère, amour, pitié…).

7.2. Les processus de création et structure du discours

Pour créer et structurer un discours, on va suivre ces étapes :

- L’inventio: C’est la recherche de tous les arguments qui peuvent nous servir
pour défendre notre position, un argument qui a à voir avec l’ethos (éthique), le
logos (arguments), le pathos (pathétique).
- La dispositio: C’est l’organisation de ces arguments d’une manière correcte, ici
in a exordio (introduction), narratio (présentation), confirmatio (ma position) et
peroratio ( le conclusion).
- L’élocutio : Le plan de l’expression écrite (bien écrire le texte, sans fautes) ou
orale (bien parler). C’est la recherche d’un style.

8. Analyse du texte
8.1 Discours médiatique

8.1.1. Société et domaines d’activité

Ce texte se centre sur la sphère de la médiatique. Cette sphère, comme toutes les
sphères, fonctionne selon une double logique (symbolique et pragmatique). Quant à la
logique symbolique, l’auteur exprime les doutes et la préoccupation qu’il y a sur les
citoyens en ce qui concerne le changement climatique et les conséquences que cela peut
avoir, en particulier sur la santé. Il met en scène des différents exemples de catastrophes
environnementaux pour montrer la passivité et le peu d’informations transmises par les
politiques sur ces situations qui nécessitent une action immédiate et transparence
absolue. Et, quant à la logique pragmatique, l’auteur attire l’attention des lecteurs à​
travers la peur afin qu’ils fasse prendre conscience de la pollution de l’environnement
et qu’ils craignent ses graves conséquences à venir s’il n’y a pas de changement
immédiat.

8.1.2. Le dispositif et le contrat médiatique

Quant au dispositif communicationnel, on a une instance de production compose des


cinq rôles et une instance de réception.

D’un côté, on sait que l’instance de production se trouve configurée par l’auteur de
l’article, Philippe Lemoine. Cependant, cette instance représente toujours une entité
collective (journalistes, rédacteurs en chef, direction de l’organe d’information etc.), de
sorte que l’on ne sait pas exactement qui est le responsable de cette information. En
plus, elle est conditionnée par l’idéologie du journal. Ci dessous, on va expliquer les
cinq rôles de l’instance de production :

- Rôle chercheur d’information : la source du journal est lui-même, toutefois


celui-ci mentionne, aux paragraphes sept et dix, un récent sondage que CNews a
réalisé aux citoyens français pour constater la méfiance de ceux-ci envers le
gouvernement

- Rôle pourvoyeur d’information : On peut observer que le journal a sélectionné les


informations relatives à l’environnement et le manque de transparence du
gouvernement sur cette question. C’est pour cette raison qu’il mentionne : Greta
Thunberg, une militante environnementale suédoise qui se concentre sur les risques du
changement climatique ; l’incendie de Lubrizol, une catastrophe récente qui a causé de
nombreux problèmes dans tous les domaines, mais il se concentre ici exclusivement sur
les dommages causés à l’environnement ; l’accident nucléaire de Tchernobyl de 1986,
l’une des grandes catastrophes environnementales de l’histoire et dont peu
d’informations ont été obtenues.

- Rôle transmetteur d’information : la manière dont les faits sont présentés suscite
un sentiment de préoccupation pour l’environnement et une certaine colère envers les
politiciens pour ne pas être clairs et pour ne pas arrêter cette pollution.

- Rôle commentateur d’information : on voit que la cause des événements rapportés


ce sont le manque de concision sur l’état réel de la planète et la passivité du
gouvernement à résoudre les problèmes de l’environnement. Et l’effet c’est l’inquiétude
que cela suscite parmi les citoyens, car ils ne savent pas comment agir correctement
face aux dangers à venir si des mesures immédiates ne sont pas prises.

- Rôle provocateur de débats : le texte montre différents points de vues sur le


réchauffement climatique, c’est pour ça qu’il y a beaucoup d’informations
contradictoires, certains se soucient de diminuer la pollution de la planète tandis que
d’autres ne croient pas que ce soit un problème grave, comme Donald Trump ​« un
président des États-Unis nier en bloc les rapports scientifiques sur l'état de notre
Terre... » ​(​Ouest-France​, 6 Octobre 2019).

D’autre côté, l’instance de réception fait référence aux lecteurs. Comme ceux-ci sont
hétérogènes, l’instance de production doit imaginer un public idéal auquel elle va
transmettre l’information. Dans ce cas, ce public idéal est celui qui se préoccupe de la
protection de l’environnement et de la réaction du gouvernement sur cette question.

On observe qu’il ya un équilibre entre l’enjeu de crédibilité et l’enjeu de captation,


parce que l’énonciateur utilise des exemples d’événements que les gens connaissent
«​Greta Thunberg et ses piques ; l'incendie de l'usine Lubrizol de Rouen ; nuage
radioactif de Tchernobyl» et, bien qu’il utilise des références pour exagérer la situation
«​nuages noirs obscurcissent n​ os ciels et nos esprits​; l'Apocalypse n'est plus une
prophétie biblique; l'effondrement de notre monde » ceux-ci ne sont pas abondants
dans le texte (​Ouest-France,​ 6 Octobre 2019).

8.1.3. Les contraintes discursives de l’énonciation journalistique

Dans ce texte, il y a un effacement de l’énonciateur, de sorte que le journaliste applique


une stratégie pour rapporter de la manière plus crédible possible (enjeu de crédibilité).
C’est pour ça que l’on trouve le pronom ​on ​« si l'on ne change pas radicalement; Si l'on
ne se pose pas davantage; on voit un ancien ministre de l'Écologie; On se souvient de
1986 »(Ouest-France​, 6 Octobre 2019)​, d​ e façon que l​ e journaliste est responsable de
l’énoncé, mais il ne l’assume pas, puisqu’il adopte une position neutre.

Néanmoins, on voit aussi que le journaliste prend position et, en plus, il implique le
lecteur, « ​Nous sommes entrés dans l'ère du soupçon; nos esprits paniquent; chez nos
concitoyens; nos dirigeants; notre santé; notre surexploitation et notre pollution;
l'effondrement de notre monde; nos ciels et nos esprits »​(Ouest-France,​ 6 Octobre
2019). C’est une autre stratégie pour faire appel à leur préoccupation et capter le plus
grand nombre de récepteurs possible (l’enjeu de captation).

8.1.4. Les contraintes de l’explication

Ce texte journaliste exprime la grande incertitude qui règne dans la société pour agir
contre le réchauffement climatique et l’intervention du gouvernement envers ce sujet.
L’énonciateur l’exprime en observant les événements qui se sont produits, comme
«l'incendie de l'usine Lubrizol de Rouen; On se souvient de 1986 et du nuage radioactif
de Tchernobyl » (Ouest-France,​ 6 Octobre 2019)​, de sorte qu’il traite des sujets que les
gens connaissent déjà, cela leur permet de mieux comprendre le message que le
journaliste veut transmettre.

L’énonciateur exprime aussi la cause et la conséquence de ces faits. Quant à la cause de


tant d’incertitude parmi les citoyens c’est le manque de sincérité de la part du
gouvernement pour élucider les véritables causes du réchauffement climatique
(surexploitation, la pollution, le manque de précautions pour éviter les accidents comme
celui de Lubrizol), son manque d’engagement à prendre des mesures immédiates, car les
uns ne font rien et les autres le banalisent. Et, quant aux conséquences, d’un part, les
citoyens s’alarment parce qu’ils ne savent pas comment réagir et agir face aux dangers
de la pollution, et d’autre part, ils ne savent pas quoi penser face à l’information
contradictoire, c’est pour ça que la méfiance envers le gouvernement grandit.

8.2. La polyphonie

En général, la polyphonie est une stratégie dans laquelle les énoncés ne sont pas
homogènes, ça veut dire qu’il y a une pluralité de voix. C’est pour ça qu’on doit savoir
qui est le responsable de chaque partie du discours et comment les énoncés s’imbrique
entre eux.
8.2.1. Les participants
D’une part, le locuteur est Philippe Lemoine. Cet homme c’est le rédacteur en chef
délégué à Ouest-France en charge du dimanche ouest france et des contenus culturels et
de la magazine print en web. Vu qu’il a écrit ce texte, il est le responsable du discours.
Il parle sur la situation climatique actuelle. Comment nous, les habitants de la planète,
devrions agir et comment les sphères politiques se montrent face à ce problème et il
parle aussi de la situation actuelle des victimes de l’incendie de l’usine de Lubrizol de
Rouen.
D’autre part, l’allocutaire de ce texte fait référence principalement à la population
touchée par des accidents industriels majeurs, par exemple, l’incendie de l’usine
Lubrizol de Rouen. Aussi dans le deuxième, le troisième et le quatrième paragraphe, ​il
se tourne vers un public plus large en donnant son avis sur la situation climatique
actuelle du monde.
8.2.2. Les rapports ​entre discours citant et discours cité

La plupart du texte est un style narratif, néanmoins on peut voir une partie qui fait
référence à une enquête où on peut observer un style indirect marqué par le verbe
'’​estimer ​'' ​« L
​ e sondage diffusé vendredi par nos confrères de C ​ News ​est à ce titre
édifiant : 76 % des personnes interrogées estiment que le gouvernement n'a pas
communiqué de manière claire sur Lubrizol » ​( paragraph sept) «73 % estiment même
qu'il a caché certaines informations» (paragraph dix), ​(Ouest-France​, 6 Octobre 2019)​.
Pour cette raison, le discours cité el le discours citant ne sont pas nettement séparés. On
trouve une phrase complexe formée par une proposition principale ​«76 % des personnes
interrogées estiment» ​(discours citant) e​ t une proposition subordonnée ​«que le
gouvernement n'a pas communiqué de manière claire sur Lubrizol »​ (​ discours cité). On
observe que, bien que le locuteur soit le responsable de tout le discours, celui-ci
transmet deux idées, l’idée des personnes interrogées et l’idée à propos de ce que les
personnes estiment, dans ce dernière idée le locuteur attribue la responsabilité aux
personnes. Au paragraph dix on a la même chose, ​«73 % estiment même» (​ discours
citant, discours qui appartient au locuteur) ​«qu'il a caché certaines informations»
(discours cité, discours que le locuteur attribue aux citoyens).

8.3. L’énonciation

Pour pouvoir analyser l’énonciation dans ce texte il faut tenir en compte les suivants
éléments:
- Le protagoniste: Dans ce cas est l’incendie de l’usine Lubrizol de Rouen.
Lorsque cette question est abordée, elle est traitée différemment selon les
locuteurs. D’une part, il y a les victimes de l’événement qui le raconteront de
leur propre point de vue et de leur propre expérience, et toute personne
extérieure qui a reçu des informations par l’intermédiaire des médias. D’un autre
côté, il y a les journalistes et toutes les personnes qui ont enquêté sur le sujet à la
recherche de données fiables et qui se rapprochent d’une manière ou d’une autre
du lieu des faits.
- La situation de communication: L’émetteur est philippe Lemoine, le rédacteur
en chef du journal. La nouvelle de laquelle on parle, peut être trouvée sur le site
internet. La personne qui veut la lire peut le faire dans quelque part. Les mots
utilisés sont connus par tout le monde, ainsi que toute personne peut comprendre
ce que l’auteur veut dire.
- Les circonstances spatio-temporelles: L’auteur parle d’un événement présent.
Les données dont il parle sont actuelles et c’est pour ça que les temps verbaux
utilisés sont tous en présent de l’indicatif.

8.4. L’argumentation
Comme tous les éditeurs d'un journal, cet article est une narration qui donne son opinion
d'un sujet. Dans cet occasion, l'auteur de cet article exprime son opinion sur l’incendie
à Rouen. L'auteur ne doit pas seulement conter la réalité sur l'incendie de manière
subjective, sinon qu'il doit expliquer la raison qui fait qu'il pense de cette manière, pour
cette raison, c’est un texte argumentatif. Par cet éditorial, Philippe Lemoine ( auteur de
l’article) veut montrer à ses lecteurs que le problème n’est pas seulement l’incendie de
Rouen, mais le manque d’information des français sur le sujet l’est aussi. Pendant le
développement du texte, Philippe Lemoine donne des arguments qui expliquent les
idées qu’il a. Pour bien expliquer ses idées utilise un ordre établi par l’introduction, le
corps ( thèse et antithèse) et une conclusión.
Quant à l’introduction du texte, elle est l’en-tête de l’article, il est donc en caractères
plus noirs pour souligner et se trouve dans le premier paragraphe. Ici l’auteur donne son
point de vue et commence à nous présenter le sujet, c’est pourquoi il parle de
l’incertitude des citoyens et du peu de clarté de la publicité et des politiciens.
Par rapport au corps, on a d’un côté la thèse du texte qui va du paragraphe deux au
paragraphe huit. Dans ces sept paragraphes, Philippe Lemoine parle des problèmes
climatiques qui nous touchent, et que la planète disparaîtra si nous continuons ainsi
(paragraphes deux et cinq), comme l’accident de Lubrizol augmente la pollution
(paragraphe quatre), les différentes opinions face à un même problème de personnages
publics importants (paragraphe six), l’excès d’information qui, au moment de la vérité,
ne sert pas à éclairer les citoyens, mais à les confondre davantage ( paragraphes trois et
sept), et que les citoyens sont mal informés (paragraphe huit). D’autre côté, on a
l’antithèse qui commence au paragraphe neuf et se termine au paragraphe dix. Au
départ, cela ne semble pas être l’antithèse, cependant cela l’est parce que l’exemple de
l’accident de Tchernobyl confirme que l’accident de Lubrizol n’est pas la première
catastrophe industrielle et que le gouvernement et les médias transforment toujours la
réalité (paragraphe neuf).
Et, en ce qui concerne la conclusion, Philippe Lemoine explique au paragraphe dix
qu’avec les nouvelles technologies et les réseaux sociaux, la vérité ne doit pas être
omise. Dans le dernier paragraphe, l’auteur se demande comment amener le
gouvernement à dire la vérité, sans faire pression, puisque les gens ont besoin d’être
bien informés.

8.5. La rhétorique
L’objectif principal de l’auteur est d’atteindre les gens qui vont lui lire l’article, de créer
un impact sur eux, tout en montrant son non-conformité. Pour que l’article crée un
impact sur les lectures, Philippe Lemoine utilise le logos et le pathos.
Avec le logos, l’auteur attire l’attention des lecteurs et utilise à cette fin un langage
correct et des exemples de problèmes touchant la population en général, comme par
exemple le réchauffement climatique est dans (paragraphe quatre), l’utilisation de
personnages publics comme Donald Trump, Greta Thunberg, l’ancien ministre français
de l’écologie (paragraphe six), ou l’accident de Tchernobyl (paragraphe neuf). Pour
rendre le texte crédible, utilisez des personnages publics comme l’ancien ministre de
l’écologie, Donald Trump y Greta Thunberg dans le cinquième paragraphe. Il cite
l’incendie de Lubrizol au quatrième paragraphe et le dixième paragraphe le compare à
la catastrophe de Tchernobyl.
L’auteur du texte, Philippe Lemoine, utilise le pathos pour provoquer l’empathie chez le
lecteur et qu’ils se sentent identifiés avec le cas de Lubrizol. Pour cette raison, au
paragraphe trois, il parle de beaucoup d’informations qui ne font qu’engendrer
l’incertitude, de la fin du monde si notre comportement ne change pas au paragraphe
cinq. Philippe Lemoine utilise également la quatrième étape de la création du texte pour
attirer l’attention du lecteur.
L'invention: l’auteur fait valoir tout au long de l’article que le manque de sincérité est la
raison pour laquelle les Français ne savent pas ce qui s’est passé dans l’incendie de
Rouen, et comment ils sont affectés par les dommages causés par l’incendie. Et en
même temps, il cherche à ce que tous ceux qui lisent le texte sentent qu’ils font partie du
problème. C’est pourquoi au début de l’article il parle du réchauffement climatique et
comment le nuage de fumée affecte notre santé. Un autre exemple se trouve au
paragraphe neuf, où il parle de la catastrophe de Tchernobyl, pour que les gens se
rendent compte que peu importe où se produisent les défaillances industrielles, les
politiciens et les médias agiront toujours de la même manièr. Philippe Lemoine obtient
l'objectivité grâce au logos, et le sentiment d’empathie l’obtient grâce au pathos.
La disposition: le texte se compose d’une introduction (exordio) où l’auteur présente
brièvement ce que l’article va devenir; une présentation (narratio) où est exposé le sujet,
la population française n’est pas très bien informé de ce qui s’est passé dans l’entreprise
Lubrizol; une position de l’auteur (confirmatio) où la personne qui écrit l’article donne
son point de vue, cette maison reproche aux médias et aux politiciens de la
désinformation des français sur l’incendie de Rouen, le dixième paragraphe laisse
également entendre que les nouvelles technologies devraient aider à améliorer les
médias; et la conclusion (peroratio) où l’auteur résume les points les plus importants de
l’article, que le système devrait changer et que 86% de la population française est
trompeuse par le gouvernement.
L’élocutio : le texte est bien écrit, il n’a pas des fautes d’orthographe, le langage
standard utilisé pour permettre aux personnes ayant des niveaux de connaissances
différents de lire le texte et de le comprendre; le texte est cohérent parce que les idées de
l’auteur ont une unité et sont en ordre hiérarchique. Il parle d’abord des problèmes
climatiques, ensuite du problème de Lubrizol, puis dans la mauvaise information que les
français ont et en dernier lieu les mesures qui devraient être utilisées pour arrêter ce
problème. L’article est cohérent parce que l’auteur ne change pas de sujet, à tout
moment il critique que le citoyens français n’ont pas d’informations sur l’incendie à
Rouen.Il est importa de souligner que Philippe Lemoine utilise de nombreux exemples
comme l’accident de Tchernobyl (paragraphe neuf) le nomme des figures importantes
comme Donald Trump ou Greta Thungber ( paragraphe six ) ou des enquêtes(
paragraphes huit et dix), pour donner de l’authenticité au texto.

9. Conclusion

Philippe Lemoine, l’auteur du journal Ouest-France, à travers l’éditorial du journal,


transmet son point de vue sur ce qui s’est passé à Rouen et sur tous les problèmes
engendrés par l’accident de Lubrizol en France. Pour pouvoir écrire l’article, Philippe
Lemoine utilise des informations véridiques qui l’aident à montrer la réalité en même
temps qu’il donne son avis, pour que tous les lecteurs (nationaux et internationaux) se
connectent à son message, réfléchissez et ayez la même opinion que lui. L’attention du
lecteur est attirée par la simplicité de ses mots (pour que tout le monde,
indépendamment de son intellect, puisse le comprendre), par sa capacité à dire la vérité
et à frapper sans avoir besoin d’être dramatique, et par l’utilisation de la forme
impersonnelle, au lieu de la première personne, pour donner l’impression au lecteur
qu’il juge les faits de manière objective. Le sujet qu’il utilise, c​ ombien les citoyens
français sont mal informés, est apprécié à tout moment parce que Philippe Lemoine veut
que tous ceux qui lisent l’éditorial se rendent compte de la gravité de l’affaire et que la
situation de suspicion peut s’aggraver si le gouvernement et les médias ne se
comportent pas ils changent. C’est pourquoi il se concentre beaucoup sur le texte et
choisit des mots qui sont clairs et précis pour atteindre l’esprit du lecteur, autre élément
sur lequel l’auteur se concentre. Les arguments de l’auteur ne sont pas complexes et
sont combinés avec de nombreux exemples afin d’accroître la crédibilité et de
démontrer que le problème de Lubrizol affecte non seulement la France, mais aussi le
monde, en raison de l’augmentation de la pollution. C’est aussi pour montrer que peu
importe où et quand de tels accidents se produisent, parce que tous les politiciens
agiront de la même manière. Philippe Lemoine, à travers cet article, veut montrer que le
monde est plongé dans le chaos et qu’il y a beaucoup d’opinions et de points de vue,
mais personne n’est capable d’affronter la réalité et de la raconter sincèrement au peuple
pour qu’ils soient prévenus de ce qui pourrait se passer. Grâce à cette analyse, on peut
dire que l’écrivain journalistique Philippe Lemoine est fidèle aux idéaux que suit le
journal Ouest-France, car il ne se contente pas de donner des informations, il s’inquiète
aussi que ses lecteurs sachent ce qui se passe autour d’eux.
Bibliographie

Charaudeau, Patrick (2010) ​«​Une éthique du discours médiatique est-elle possible ?»


Information médias théories pratiques, n​ º 27/2, 2010, p. 51-75

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https://www.eurotopics.net/fr/230559/quel-bilan-aprs-un-an-de-gilets-jaunes-?zitat=230
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FRANCE INFO. Les 75 ans d’Ouest-France: la construction d’une institution [En ligne]
24 octobre 2019
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/75-ans-ouest-franc
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Lemoine, Philippe. (6 Octobre 2019) « EDITORIAL. Dissiper l'écran de fumée »,


Ouest-France
https://www.ouest-france.fr/reflexion/editorial/edito-dissiper-l-ecran-de-fumee-6552142
OBSERVATORIO CIDADÁN DE COMUNICACIÓN. Ouest-France líder y símbolo
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https://observatoriodecomunicacion-wordpress-com.cdn.ampproject.org/v/s/observatori
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-francesa/amp/?amp_js_v=a2&amp_gsa=1&usqp=mq331AQCKAE%3D#aoh=1574436
0131487&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&amp_tf=De%20%251%24s&
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OUEST-FRANCE​. ​L’histoire de Ouest-France [En ligne] 25 octobre 2019


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https://peoplepill.com/people/francois-regis-hutin/​ (Page consultée le 23 Octobre 2019)

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