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1.Introduction
2.Histoire du journal
5. L’énonciation
6. L’argumentation
7.La rhétorique
8. Analyse du texte
8.2. La polyphonie
8.4. L’argumentation
8.5. La rhétorique
9. Conclusion
1. Introduction
2. Histoire du journal
Les articles trouvés dans ce journal sont axés sur la politique, l’économie, la santé, les
questions commerciales, les questions sociales, la technologie, le sport, la mode, et la
cuisine. Et reposent sur la paix, la justice, la justice et le respect des différentes
personnes et institutions.
Bien qu’il utilise de nouvelles technologies pour diffuser son information (audio, vidéo)
il reste fidèle à sa politique de communication (en évitant le sensationnalisme, en
exprimant l’important, en comparant l’information).
Le journal Ouest-France est l’un des journaux les plus importants en France, il a plus de
2 millions de lecteurs dans le monde entier, et il a beaucoup de prestige, parce qu’il a
été l’un des premiers quotidiens français; ne se concentre pas seulement sur la région de
la Bretagne, mais sur les 53 éditions qu’il a, six ou huit se concentrent sur les nouvelles
internationales, nationales et commune; et ils s’inquiètent que les lecteurs soient bien
informés.
3. Le discours médiatique
Une société est formée par différent sphères d’activités (économie, politique,
médiatique…). On va centrer sur la sphère médiatique qui, comme toutes les sphères
d’activité, fonctionne selon une double logique (la logique symbolique et
pragmatique).
D’autre part, la logique pragmatique doit capter le plus nombre du public pour tirer
de profits économiques.
L’information médiatique est déterminée par un dispositif dont les caractéristiques sont
les suivantes:
Il y a des enjeux discursifs du control médiatique dont il faut tenir compte, l’enjeu de
crédibilité (informer de la manière la plus crédible possible) et l’enjeu de captation
(informer pour capter le plus grand nombre de récepteurs possible). Aucun ne doit
dépasser l’autre, car s’il y a trop d’information spécifique, les gens peuvent ne pas
comprendre, et s’il y a trop de sensationnalisme, l’information n’est pas crédible.
On parle de polyphonie en tant que stratégie, les énoncés ne sont souvent pas
homogènes comme on a tendance à les considérer. Parfois, il y a une pluralité de voix,
par exemple : « déjà-dit » et « à dire ». De sorte qu’on doit comprendre qui est
responsable de chaque partie du discours et comment les énoncés peuvent être
imbriqués les uns dans les autres.
Les participants dans le discours sont les suivants : le locuteur, il va créer le discours, de
manière qu’il est le responsable de l’énoncé; l’allocutaire, il est la personne à qui le
discours est adressé; énonciateur, il assure le contenu à l’intérieur du discours et se porte
garant de sa vérité.
5. L’énonciation
Pour analyser l’énonciation il faut tenir compte les suivants éléments : le protagoniste,
c’est une acte individuelle, de sorte que ce n’est pas la même chose si parle un personne
que si parle une autre personne ; la situation de communication, on parle d’un certaine
manière en dépendant de la situation, c’est pour ça que la situation conditionne le
discours ; les circonstances spatio-temporelles, il faut utiliser les verbes d’une manière
ou d’une autre ; et les condition général de la production/réception du message.
6. L’argumentation
La langue possède des termes à contenu conceptuel. Ils renvoient à des entités du
monde, leurs qualités et les actions qui peuvent les impliquer (noms, adjectifs,
verbes…). Aussi la langue possède des termes à contenu procédural. Ils renvoient à des
termes qui fournissent les indications pour interpréter les énoncés (pronoms personnels,
conjonctions, adverbes, certains verbes…). Ils permettent d’établir des relations entre
les éléments de la phrase.
Tout énoncé contient un aspect thématique (le sujet dont on parle) et une orientation
argumentative (conclusion suggérée au destinataire). Par exemple : Pierre dit à Paul: «
C’est un bon livre ». I ci, l’assertion informative sur l’objet livre c’est « Il est intéressant
», et l’orientation argumentative du destinataire vers la conclusion c’est « Je te
recommande de lire ce livre ».
Dans l’argumentation, c’est important l’ordre des propositions comme les connecteurs
que l’on utilise parce que ce sont des outils de la langue qui donnent au discours son
orientation argumentative. Ils possèdent une double fonction, ils lient deux unités
sémantiques et ils confèrent un rôle argumentatif aux unités qu’ils mettent en relation.
Ces connecteurs sont des outils de la langue qui donnent au discours son orientation
argumentative, on peut trouver les suivants: énumération (d’ abord, ensuite, enfin, d’une
part, d’autre part…);conclusion (c’est pourquoi, en conclusion); reformulation
(autrement dit, en résumé…); opposition (mais, pourtant, en revanche…); explication
(en effet, car…); addition (or, d’ailleurs, en plus…).
7. La rhétorique
- L’inventio: C’est la recherche de tous les arguments qui peuvent nous servir
pour défendre notre position, un argument qui a à voir avec l’ethos (éthique), le
logos (arguments), le pathos (pathétique).
- La dispositio: C’est l’organisation de ces arguments d’une manière correcte, ici
in a exordio (introduction), narratio (présentation), confirmatio (ma position) et
peroratio ( le conclusion).
- L’élocutio : Le plan de l’expression écrite (bien écrire le texte, sans fautes) ou
orale (bien parler). C’est la recherche d’un style.
8. Analyse du texte
8.1 Discours médiatique
Ce texte se centre sur la sphère de la médiatique. Cette sphère, comme toutes les
sphères, fonctionne selon une double logique (symbolique et pragmatique). Quant à la
logique symbolique, l’auteur exprime les doutes et la préoccupation qu’il y a sur les
citoyens en ce qui concerne le changement climatique et les conséquences que cela peut
avoir, en particulier sur la santé. Il met en scène des différents exemples de catastrophes
environnementaux pour montrer la passivité et le peu d’informations transmises par les
politiques sur ces situations qui nécessitent une action immédiate et transparence
absolue. Et, quant à la logique pragmatique, l’auteur attire l’attention des lecteurs à
travers la peur afin qu’ils fasse prendre conscience de la pollution de l’environnement
et qu’ils craignent ses graves conséquences à venir s’il n’y a pas de changement
immédiat.
D’un côté, on sait que l’instance de production se trouve configurée par l’auteur de
l’article, Philippe Lemoine. Cependant, cette instance représente toujours une entité
collective (journalistes, rédacteurs en chef, direction de l’organe d’information etc.), de
sorte que l’on ne sait pas exactement qui est le responsable de cette information. En
plus, elle est conditionnée par l’idéologie du journal. Ci dessous, on va expliquer les
cinq rôles de l’instance de production :
- Rôle transmetteur d’information : la manière dont les faits sont présentés suscite
un sentiment de préoccupation pour l’environnement et une certaine colère envers les
politiciens pour ne pas être clairs et pour ne pas arrêter cette pollution.
D’autre côté, l’instance de réception fait référence aux lecteurs. Comme ceux-ci sont
hétérogènes, l’instance de production doit imaginer un public idéal auquel elle va
transmettre l’information. Dans ce cas, ce public idéal est celui qui se préoccupe de la
protection de l’environnement et de la réaction du gouvernement sur cette question.
Néanmoins, on voit aussi que le journaliste prend position et, en plus, il implique le
lecteur, « Nous sommes entrés dans l'ère du soupçon; nos esprits paniquent; chez nos
concitoyens; nos dirigeants; notre santé; notre surexploitation et notre pollution;
l'effondrement de notre monde; nos ciels et nos esprits »(Ouest-France, 6 Octobre
2019). C’est une autre stratégie pour faire appel à leur préoccupation et capter le plus
grand nombre de récepteurs possible (l’enjeu de captation).
Ce texte journaliste exprime la grande incertitude qui règne dans la société pour agir
contre le réchauffement climatique et l’intervention du gouvernement envers ce sujet.
L’énonciateur l’exprime en observant les événements qui se sont produits, comme
«l'incendie de l'usine Lubrizol de Rouen; On se souvient de 1986 et du nuage radioactif
de Tchernobyl » (Ouest-France, 6 Octobre 2019), de sorte qu’il traite des sujets que les
gens connaissent déjà, cela leur permet de mieux comprendre le message que le
journaliste veut transmettre.
8.2. La polyphonie
En général, la polyphonie est une stratégie dans laquelle les énoncés ne sont pas
homogènes, ça veut dire qu’il y a une pluralité de voix. C’est pour ça qu’on doit savoir
qui est le responsable de chaque partie du discours et comment les énoncés s’imbrique
entre eux.
8.2.1. Les participants
D’une part, le locuteur est Philippe Lemoine. Cet homme c’est le rédacteur en chef
délégué à Ouest-France en charge du dimanche ouest france et des contenus culturels et
de la magazine print en web. Vu qu’il a écrit ce texte, il est le responsable du discours.
Il parle sur la situation climatique actuelle. Comment nous, les habitants de la planète,
devrions agir et comment les sphères politiques se montrent face à ce problème et il
parle aussi de la situation actuelle des victimes de l’incendie de l’usine de Lubrizol de
Rouen.
D’autre part, l’allocutaire de ce texte fait référence principalement à la population
touchée par des accidents industriels majeurs, par exemple, l’incendie de l’usine
Lubrizol de Rouen. Aussi dans le deuxième, le troisième et le quatrième paragraphe, il
se tourne vers un public plus large en donnant son avis sur la situation climatique
actuelle du monde.
8.2.2. Les rapports entre discours citant et discours cité
La plupart du texte est un style narratif, néanmoins on peut voir une partie qui fait
référence à une enquête où on peut observer un style indirect marqué par le verbe
'’estimer '' « L
e sondage diffusé vendredi par nos confrères de C News est à ce titre
édifiant : 76 % des personnes interrogées estiment que le gouvernement n'a pas
communiqué de manière claire sur Lubrizol » ( paragraph sept) «73 % estiment même
qu'il a caché certaines informations» (paragraph dix), (Ouest-France, 6 Octobre 2019).
Pour cette raison, le discours cité el le discours citant ne sont pas nettement séparés. On
trouve une phrase complexe formée par une proposition principale «76 % des personnes
interrogées estiment» (discours citant) e t une proposition subordonnée «que le
gouvernement n'a pas communiqué de manière claire sur Lubrizol » ( discours cité). On
observe que, bien que le locuteur soit le responsable de tout le discours, celui-ci
transmet deux idées, l’idée des personnes interrogées et l’idée à propos de ce que les
personnes estiment, dans ce dernière idée le locuteur attribue la responsabilité aux
personnes. Au paragraph dix on a la même chose, «73 % estiment même» ( discours
citant, discours qui appartient au locuteur) «qu'il a caché certaines informations»
(discours cité, discours que le locuteur attribue aux citoyens).
8.3. L’énonciation
Pour pouvoir analyser l’énonciation dans ce texte il faut tenir en compte les suivants
éléments:
- Le protagoniste: Dans ce cas est l’incendie de l’usine Lubrizol de Rouen.
Lorsque cette question est abordée, elle est traitée différemment selon les
locuteurs. D’une part, il y a les victimes de l’événement qui le raconteront de
leur propre point de vue et de leur propre expérience, et toute personne
extérieure qui a reçu des informations par l’intermédiaire des médias. D’un autre
côté, il y a les journalistes et toutes les personnes qui ont enquêté sur le sujet à la
recherche de données fiables et qui se rapprochent d’une manière ou d’une autre
du lieu des faits.
- La situation de communication: L’émetteur est philippe Lemoine, le rédacteur
en chef du journal. La nouvelle de laquelle on parle, peut être trouvée sur le site
internet. La personne qui veut la lire peut le faire dans quelque part. Les mots
utilisés sont connus par tout le monde, ainsi que toute personne peut comprendre
ce que l’auteur veut dire.
- Les circonstances spatio-temporelles: L’auteur parle d’un événement présent.
Les données dont il parle sont actuelles et c’est pour ça que les temps verbaux
utilisés sont tous en présent de l’indicatif.
8.4. L’argumentation
Comme tous les éditeurs d'un journal, cet article est une narration qui donne son opinion
d'un sujet. Dans cet occasion, l'auteur de cet article exprime son opinion sur l’incendie
à Rouen. L'auteur ne doit pas seulement conter la réalité sur l'incendie de manière
subjective, sinon qu'il doit expliquer la raison qui fait qu'il pense de cette manière, pour
cette raison, c’est un texte argumentatif. Par cet éditorial, Philippe Lemoine ( auteur de
l’article) veut montrer à ses lecteurs que le problème n’est pas seulement l’incendie de
Rouen, mais le manque d’information des français sur le sujet l’est aussi. Pendant le
développement du texte, Philippe Lemoine donne des arguments qui expliquent les
idées qu’il a. Pour bien expliquer ses idées utilise un ordre établi par l’introduction, le
corps ( thèse et antithèse) et une conclusión.
Quant à l’introduction du texte, elle est l’en-tête de l’article, il est donc en caractères
plus noirs pour souligner et se trouve dans le premier paragraphe. Ici l’auteur donne son
point de vue et commence à nous présenter le sujet, c’est pourquoi il parle de
l’incertitude des citoyens et du peu de clarté de la publicité et des politiciens.
Par rapport au corps, on a d’un côté la thèse du texte qui va du paragraphe deux au
paragraphe huit. Dans ces sept paragraphes, Philippe Lemoine parle des problèmes
climatiques qui nous touchent, et que la planète disparaîtra si nous continuons ainsi
(paragraphes deux et cinq), comme l’accident de Lubrizol augmente la pollution
(paragraphe quatre), les différentes opinions face à un même problème de personnages
publics importants (paragraphe six), l’excès d’information qui, au moment de la vérité,
ne sert pas à éclairer les citoyens, mais à les confondre davantage ( paragraphes trois et
sept), et que les citoyens sont mal informés (paragraphe huit). D’autre côté, on a
l’antithèse qui commence au paragraphe neuf et se termine au paragraphe dix. Au
départ, cela ne semble pas être l’antithèse, cependant cela l’est parce que l’exemple de
l’accident de Tchernobyl confirme que l’accident de Lubrizol n’est pas la première
catastrophe industrielle et que le gouvernement et les médias transforment toujours la
réalité (paragraphe neuf).
Et, en ce qui concerne la conclusion, Philippe Lemoine explique au paragraphe dix
qu’avec les nouvelles technologies et les réseaux sociaux, la vérité ne doit pas être
omise. Dans le dernier paragraphe, l’auteur se demande comment amener le
gouvernement à dire la vérité, sans faire pression, puisque les gens ont besoin d’être
bien informés.
8.5. La rhétorique
L’objectif principal de l’auteur est d’atteindre les gens qui vont lui lire l’article, de créer
un impact sur eux, tout en montrant son non-conformité. Pour que l’article crée un
impact sur les lectures, Philippe Lemoine utilise le logos et le pathos.
Avec le logos, l’auteur attire l’attention des lecteurs et utilise à cette fin un langage
correct et des exemples de problèmes touchant la population en général, comme par
exemple le réchauffement climatique est dans (paragraphe quatre), l’utilisation de
personnages publics comme Donald Trump, Greta Thunberg, l’ancien ministre français
de l’écologie (paragraphe six), ou l’accident de Tchernobyl (paragraphe neuf). Pour
rendre le texte crédible, utilisez des personnages publics comme l’ancien ministre de
l’écologie, Donald Trump y Greta Thunberg dans le cinquième paragraphe. Il cite
l’incendie de Lubrizol au quatrième paragraphe et le dixième paragraphe le compare à
la catastrophe de Tchernobyl.
L’auteur du texte, Philippe Lemoine, utilise le pathos pour provoquer l’empathie chez le
lecteur et qu’ils se sentent identifiés avec le cas de Lubrizol. Pour cette raison, au
paragraphe trois, il parle de beaucoup d’informations qui ne font qu’engendrer
l’incertitude, de la fin du monde si notre comportement ne change pas au paragraphe
cinq. Philippe Lemoine utilise également la quatrième étape de la création du texte pour
attirer l’attention du lecteur.
L'invention: l’auteur fait valoir tout au long de l’article que le manque de sincérité est la
raison pour laquelle les Français ne savent pas ce qui s’est passé dans l’incendie de
Rouen, et comment ils sont affectés par les dommages causés par l’incendie. Et en
même temps, il cherche à ce que tous ceux qui lisent le texte sentent qu’ils font partie du
problème. C’est pourquoi au début de l’article il parle du réchauffement climatique et
comment le nuage de fumée affecte notre santé. Un autre exemple se trouve au
paragraphe neuf, où il parle de la catastrophe de Tchernobyl, pour que les gens se
rendent compte que peu importe où se produisent les défaillances industrielles, les
politiciens et les médias agiront toujours de la même manièr. Philippe Lemoine obtient
l'objectivité grâce au logos, et le sentiment d’empathie l’obtient grâce au pathos.
La disposition: le texte se compose d’une introduction (exordio) où l’auteur présente
brièvement ce que l’article va devenir; une présentation (narratio) où est exposé le sujet,
la population française n’est pas très bien informé de ce qui s’est passé dans l’entreprise
Lubrizol; une position de l’auteur (confirmatio) où la personne qui écrit l’article donne
son point de vue, cette maison reproche aux médias et aux politiciens de la
désinformation des français sur l’incendie de Rouen, le dixième paragraphe laisse
également entendre que les nouvelles technologies devraient aider à améliorer les
médias; et la conclusion (peroratio) où l’auteur résume les points les plus importants de
l’article, que le système devrait changer et que 86% de la population française est
trompeuse par le gouvernement.
L’élocutio : le texte est bien écrit, il n’a pas des fautes d’orthographe, le langage
standard utilisé pour permettre aux personnes ayant des niveaux de connaissances
différents de lire le texte et de le comprendre; le texte est cohérent parce que les idées de
l’auteur ont une unité et sont en ordre hiérarchique. Il parle d’abord des problèmes
climatiques, ensuite du problème de Lubrizol, puis dans la mauvaise information que les
français ont et en dernier lieu les mesures qui devraient être utilisées pour arrêter ce
problème. L’article est cohérent parce que l’auteur ne change pas de sujet, à tout
moment il critique que le citoyens français n’ont pas d’informations sur l’incendie à
Rouen.Il est importa de souligner que Philippe Lemoine utilise de nombreux exemples
comme l’accident de Tchernobyl (paragraphe neuf) le nomme des figures importantes
comme Donald Trump ou Greta Thungber ( paragraphe six ) ou des enquêtes(
paragraphes huit et dix), pour donner de l’authenticité au texto.
9. Conclusion
EUROTOPICS. Quel bilan, après un an de ‘’gilets jaunes’’? [En ligne] 24 octobre 2019
https://www.eurotopics.net/fr/230559/quel-bilan-aprs-un-an-de-gilets-jaunes-?zitat=230
533#zitat230533 (Page consultée le 24 octobre 2019)
FRANCE INFO. Les 75 ans d’Ouest-France: la construction d’une institution [En ligne]
24 octobre 2019
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/75-ans-ouest-franc
e-construction-institution-1734771.html (Page consultée le 24 octobre 2019)
https://observatoriodecomunicacion-wordpress-com.cdn.ampproject.org/v/s/observatori
odecomunicacion.wordpress.com/2018/04/18/ouest-france-lider-y-simbolo-de-la-prensa
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F04%2F18%2Fouest-france-lider-y-simbolo-de-la-prensa-francesa%2F (Page consultée
le 24 octobre 2019)