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LES BONNES ASSOCIATIONS POUR MAIGRIR

Tous les aliments que nous consommons vont être utilisés au niveau cellulaire, soit pour nous donner de l’énergie (glucides/sucres
ou lipides/graisses) soit pour la structure de notre organisme (protéines et également les lipides).

Ces aliments doivent donc être ‘découpés’ afin d’être assimilés dans nos cellules et ce sont les enzymes digestives qui s’y opèrent.

Cependant chaque groupe d’aliment (protéines, glucides et lipides) requiert des enzymes différentes. Il existe une multitude d’enzymes mais
les plus importantes sont les peptidases (ou protéases) pour 'découpent' les protéines en acide aminé; l'amylase agit sur l'amidon des glucides
et les lipases, quant à elles, scindent les lipides en acides gras. Le but de ce 'découpage' est de réduire dans son maximum les aliments que
nous mangeons afin qu'ils puissent pénétrer dans chacune de nos cellules et être utilisés à bon escient. Si ce processus se fait mal, les aliments
ne peuvent pénétrer dans nos cellules, et risquer ainsi de provoquer des carences.

Favoriser les bonnes combinaisons alimentaires permet donc non seulement de brûler plus rapidement et correctement
les graisses mais assure surtout une bonne assimilation des nutriments en prévenant des problèmes digestifs (ballonnements, renvois,
gaz, inflammations, mauvaises digestion, etc.) et en empêchant de surcroit, une prise de poids.

Les protéines

Les protéines (qu’elles soient animale : viande, poisson, fromage, volaille, fromage, œuf, laitage) ou d’origine végétale (soja, olives, avocat, noix,
noisettes, amandes, etc.) sont digérées par lessucs acides au niveau de l’estomac qui libère de l'acide chlorhydrique (HCI) d'un pH 2 à 4,
donc très acide.

Une fois découpées, les protéines deviennent des acides aminés (si une protéine est comparée à un mur, les acides aminés sont comparés aux
briques fabriquant ce mur) et c’est sous cette forme qu’ils arriveront dans l’intestin grêle pour y être transportés dans le sang (en passant
préalablement par le foie, maître du nettoyage).

Les glucides

Leurs rôles est d’apporter de l’énergie à l’organisme qui sera utilisable soit sous forme de sucres rapides (fruits, sucre de table) soit sous forme
de sucres lents, assimilable sur une plus longue durée (pâtes, pains, pommes de terre, carottes, betteraves, bananes, etc.).

Table:
Les glucides sont digérés à l'aide de sucs alcalins et d'enzymes différents de ceux sollicités par les protéines. La digestion des glucides se fait
donc en milieu basique, principalement dans labouche (amylase salivaire pH 7 à 8) et le duodénum (début de l’intestin grêle) grâce aux sucs
digestifs provenant du pancréas (pH 7 à 8).

Cette association est malheureusement très répandue et particulièrement désastreuse pour les enfants car elle provoque des désordres ORL
importants et récidivants, comme les otites, rhinites, bronchites, bronchiolites et angines. Exemple un repas de féculents (pâtes, riz ou purée par
exemple) avec un yaourt sucré en dessert.

Le mélange pâtes (nécessitant des sucs basiques) & yaourt (nécessitant des sucs acides) est donc incompatible.

De plus le mélange pâtes (sucre lent) & yaourt (sucre rapide) est également incompatible. Cela donne dans cet exemple alimentaire
une double incompatibilité majeure.

On voit donc que le mélange glucides-protéine est incompatible. N’ayant jusqu’à preuve du contraire qu’un seul estomac, nous ne pouvons lui
réclamer d’être à la fois basique et acide pour dégrader en même temps glucides et protéines.

Ceci va à l'encontre de la démarche alimentaire actuellement très courante, qui est d'associer presque systématiquement poisson ou viande
avec riz, jambon avec purée, steak avec frites, etc...

Les lipides

Les lipides (plus communément appelés graisses) servent pour l’énergie (1g de graisse produit 9'000 calories) mais ils servent surtout à
la fabrication des membranes cellulaires, des gaines de myéline indispensables à la conduction de l’influx nerveux, à la fabrication
des hormones, etc. ils sont donc indispensables.

Les lipides proviennent soit du monde végétal (olive, tournesol, soja, lin, etc.) soit du monde animal (viande, poisson, le beurre, la crème
fraîche, etc.)

Les graisses sont découpées au niveau du duodénum par la bile qui est un produit alcalin de sécrétion du foie (la bile s’accumule dans la
vésicule biliaire).
Pour plus d’informations sur les huiles, veuillez consulter la rubrique : Les huiles alimentaires

En cas de consommation d’aliments non-compatibles les uns avec les autres, le système digestif nécessitera beaucoup d’énergie afin de
dégrader ces aliments. Il en résultera une perte d’énergie (le fameux coup de pompe après les repas) et une carence en vitamines, protéines,
etc.

La conséquence sera que le système digestif ne fonctionnera pas correctement, ces aliments stagneront en premier dans l’estomac puis dans
les intestins (difficulté à digérer, renvois, éructations) Un processus de fermentation et de putréfaction en résultera.

L’organisme s’auto-empoissonnera petit à petit, générant une prise de poids, douleurs musculaires (dues à l’acidité
musculaire), arthrites, ballonnements, inflammation de tout genre,baisse de l’immunité, etc.

Les neuf règles de base

1. N'associez pas les protéines et les glucides au cours d'un même repas : leurs enzymes respectifs se contrarient et se neutralisent.

2. Les légumes sont à privilégier avec les protéines et les glucides.

3. Les fruits ne doivent PAS être consommé durant un repas, jus de fruit y compris, SAUF, les pommes ou les fruits cuits : ex : compotes,
tartes, etc.

4. Les fruits doivent être consommés seuls soit une heure avant un repas, soit une heure après un repas sinon risquent de fermentation.

5. Après avoir consommé des glucides (sucres), il est conseillé d’attendre au minimum deux heures avant de manger des protéines.

6. Si vous avez mangé des protéines, attendez trois heures avant de consommer des glucides car il faut quatre heures aux protéines avant
d’atteindre l’intestin grêle, alors que les glucides font le trajet en deux heures seulement.

7. Un verre de jus de fruit (orange, raisin, etc.) ou de vin bloquera la digestion basique des féculents par son acidité. Ces mêmes boissons
seront digérées lors d’un repas à base de protéines qui se digèrent en milieu acide, l'association sera plus acceptable.

8. Une boisson chaude en fin de repas (ex : tisane) retarde la digestion car elle dilue les sucs digestifs présents.

9. Eviter les boissons froides (ou glacées) durant un repas car elles créent un choc thermique dans l'organisme. A consommer à température
ambiante, surtout l'été.
© Rédacteur : Lilyane Clémente, naturopathe
Dernière mise à jour : janvier 2008

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Régime sans faim: le régime dissocié


mercredi 22 février 2012 par naturallybio | 54 Commentaires
Qu’est-ce que le régime dissociée ?

Le régime dissocié repose sur l´idée de ne pas mélanger certains groupes d’ aliments(tableau aliments dissociés) qui font grossir plus que s´ils sont mangés séparément. Bien qu´il n’existe aucune base scientifique pour
justifier cette idée, le régime favorise la diminution de l’apport calorique, et une répartition plus logique des éléments nutritifs, en fonction des besoins énergétiques de notre corps tout au long de la journée. Cela résulte en une
perte de poids relativement rapide qui nous permettra atteindre notre poids idéal sans faim et avec des digestions plus légères…

Quels sont les aliments qui ne peuvent pas être mélangés dans le régime dissocié ? Règles du régime dissocié.

 Ne pas mélanger les aliments riches en protéines (viande, poisson, oeufs, lait …) avec les glucides (céréales et farines comme le pain, pâtes, riz, légumineuses comme les lentilles …).

 Ne pas mélanger les aliments gras (huiles, noix, beurre …) avec les protéines. Cuisiner sur plaque la viande et le poisson, éviter les aliments frits.

 Les différents types de glucides, à son tour ne peuvent pas être mélangés entre eux (par exemple, ne pas mélanger le riz avec les lentilles ou les pommes de terre avec les lentilles).

 Les légumes (légumes verts, oignons, courgettes, carottes, asperges …) peuvent être généralement mélangées avec tout sauf avec les fruits.

 Ne pas mélanger les fruits avec d’autres aliments, manger à part. Également, ne pas mélanger différents types de fruits (notamment acides et sucrés), manger un seul type de fruit à chaque fois. Par exemple,
ne pas mélanger les oranges (acide) avec des raisins (sucré).

 Les fruits secs ne pas mélanger avec d’autres aliments en particulier avec les protéines.

 Remplacer le sucre par de l’édulcorant et supprimer les boissons gazeuses et l’alcool.

Quand doit-on manger chaque type d’aliment ?

 Faire cinq repas: petit-déjeuner, déjeuner, repas, goûter et dîner.

 Manger les fruits au déjeuner ou à l´heure du goûter.

 Manger les fruits secs à part, dans le déjeuner ou au goûter, mais pas avec les fruits frais.

 Manger les glucides au petit déjeuner et le repas, les protéines seulement au dîner.

Combien peut-on manger dans le régime dissocié ?

Dans un premier temps, vous pouvez manger tout ce que vous voulez dans chaque repas. Il s’agit d’un régime sans faim. Une fois atteint votre poids idéal. Pour le maintenir, et á fin d´éviter l’effet « rebond”, il faut contrôler
les quantités ingérées et maintenir un mode de vie sain avec de l’exercice physique d’intensité modérée (par exemple, vingt minutes de marche suivie tous les jours).
Tableau régime alimentaire dissocié
Ce tableau donne un aperçu des aliments qui peuvent pas être mélangés dans le régime disocié . Ce tableau est un exemple, n’oubliez pas prendre conseil avec un nutritionniste, avant de commencer n’importe quel régime.

 Fruits et baies: fruits acides et semi-acides (les oranges, mandarines, citrons, limes, kiwis, ananas … blackberrys, fraises, baies …) fruits sucrés ( les abricots, pêches, raisin, pastèques, poires, pommes,
bananes… )

 Les légumes, les algues et les champignons: bette à carde, laitue, épinards … chou-fleur, chou, poireau, le céleri, l’artichaut, carotte, tomate, concombre, courgette, la courge, poivrons, asperges, l’oignon,
l’ail … champignons …

 Huiles, graisses et les fruits secs: l’huile d’olive, de tournesol, de noix de coco, de palme, le beurre, la margarine, le chocolat … noix, noisettes, cacahuètes, amandes, raisins secs, dattes …

 Glucides: céréales (blé, riz, maïs et la farine et les pâtes… ), légumes et germé (pois chiches, haricots, fèves, lentilles, haricots, soja… ), les tubercules (pommes de terre, yuka… )

 viande, poisson, fruits de mer, produits laitiers, fromage, oeufs, soja et ses
Protéines:

produits (tofu…), …
Peut-on
mélanger ?
NO NO NO
O/N NON
N N N

NON OUI OUI OUI OUI

NO NO
NON OUI OUI
N N
NO NO
NON OUI O/N
N N
NO NO
NON OUI OUI
N N
Tableau régime dissocié.
O/N: ne pas mélanger différents types du même groupe alimentaire, par exemple:

NON: des fruits acides avec des fruits acides. OUI: des fruits sucrés avec des fruits sucrés.

NON: du pain (céréales) avec des haricots (légumineuses). OUI: des pâtes (céréales) avec du pain (céréales).

Points forts du régime dissocié

 Ne pas souffrir de faim, puisqu´on peut manger jusqu’au bout, tout en respectant la combinaison d’aliments du régime.

 Digestion plus légère, étant donné que les combinaisons d’aliments sont mieux digérées.

Inconvénients du régime dissocié

 Peut provoquer des déséquilibres alimentaires et causer des carences nutritionnelles , car il ne précise pas la quantité de chaque groupe d’aliment qu’il faut consommer. Cela peut conduire, par exemple, à
consommer trop de protéines et peu de glucides et fruits. Par conséquent, ce régime ne devrait pas se prolonger trop dans le temps.

 Une fois le régime finit, il peut se produire un effet «rebond» et la reprise du poids.

Exemple de menu régime dissocié

Pour une seule journée.

 Petit déjeuner: café, thé sans sucre (édulcorant). Deux tranches de pain à la tomate.

 Déjeuner: dates ou figues sèches.

 Repas:

o Entrée: salade de laitue et la carotte habillé avec de l’huile d’olive, le vinaigre et l’oignon.

o Second plat: vous pouvez choisir parmi les pâtes, le riz frit (que des légumes), les légumineuses (cuites sans viande ou des saucisses). Les sauces aux légumes (tomate …), sans fromage ou
œufs.
o Vous pouvez également faire un plat unique: par exemple salade de pâtes et de légumes habillée avec de la sauce tomate et basilic arrosé avec de l’huile d’olive, du vinaigre et du sel.

 Goûter: Fruit.

 Dîner:

o Entrées: soupes, purée, sautés, légumes frites (pommes de terre non comprises).

o Plat principal: au choix viande, poisson, fruits de mer, du poulet ou des œufs. Cuits, grillés ou bouillis.

Les bonnes combinaisons alimentaires

Je pense qu’il faut s’inspirer de la nature. Dans la nature, il est difficile de trouver des aliments qui ne possèdent pas plusieurs composants en même temps, elle les associe de façon juste. Toutefois, les aliments ont une

dominante en glucides, lipides ou protéines. Pourquoi doit-on les dissocier à l’extrême ?

Je pense qu’un excès en tout est un défaut et je préfère en général la voie du milieu. En effet, certains principes de Shelton sont très intéressants mais cette méthode, poussée à l’extrême, atteint vite ses limites.

A trop se concentrer sur la digestion, on en oublie la question de l’assimilation. Or, si la digestion est trop rapide, l’intestin grêle n’a simplement pas le temps d’assimiler les nutriments. Et l’on passe à côté de la fonction

première de l’alimentation, la nutrition des cellules.

Vous trouverez ci-après les combinaisons alimentaires respectant à la fois la physiologie digestive et une bonne assimilation.

Ce tableau recense les grandes familles d’aliments qu’il est important de distinguer :

Protéines fortes Viandes, poissons, volailles, crustacés, œufs, fromages cuits, gouda, comté

Protéines faibles Soja, légumineuses, pois frais, champignons, algues, tempeh, seitan, tofu, sésame, amandes, noisettes, …

Protéines fromages frais Yaourts, fromages blancs, chèvres frais, brebis frais, petit suisse, ricotta,…

Farineux forts Riz, pâtes, avoine, épeautre, blé, orge, seigle, pain complet, sarrasin, millet, maïs,…

Amidons faibles Biscottes, pilpil, boulgour, flocons de céréales, potimarrons, potirons, pommes de terre, patates douces, châtaignes

Acides : Citrons, oranges, pamplemousses, tomates, ananas, fruits de la passion, kiwis, myrtilles, cerises, groseilles, fraises, framboises, abricots, mûres, …
Fruits Mi-acides : pommes, poires, prunes, mangues, pêches, …
Doux : bananes, pruneaux, dattes, figues, raisins, …

Légumes verts et colorés Légumes verts ou colorés crus ou cuits

Aliments spécifiques Melons, pastèques, miel, sucres


Vous trouverez ci-après les bonnes associations avec une bonne assimilation.

Plutôt que de vous donner une liste d’aliments compatibles ou non, je préfère vous donner un tableau de synthèse qui vous permet de comprendre le principe de combinaisons alimentaires entre les grandes familles

d’aliments.

Ce tableau résume la planche élaborée par Daniel KIEFFER que l’on peut retrouver dans son livre Naturopathie la Santé pour toujours aux édition Grancher.

Le tableau ci-après indique en vert les combinaisons favorables et en rouges celles qui sont à éviter.

En guise d’illustration voici des exemples et des principes qui en découlent :

1) Manger les fruits crus loin des repas

En effet, le fruit est digéré en quelques minutes dans l’intestin, il ne fait que passer dans l’estomac. S’il est consommé en dessert il devra y rester plusieurs heures, piégé.

Cela entraîne des fatigues après le repas, des fermentations acides digestives, des gaz intestinaux et divers troubles digestifs.

Le meilleur moment pour consommer les fruits est ½ heure avant le repas ou au moins trois heures après celui-ci (10/11 h, 16 / 17 h).

2) Eviter une protéine forte avec un farineux fort ( car la digestion en milieu acide de la protéine bloquerait instantanément celle de l’amidon )

3) Ne pas mélanger au même repas un aliment acide et un farineux car l’acidité inhibe l’enzyme salivaire débutant la digestion des farineux.

Exemple de mauvais mélanges: tomates puis riz, pâtes sauce tomate…

Les combinaisons suivantes ne sont pas favorables:


Proteines fortes Farineux forts

Poisson, steak, volaille, crustacé, fromage cuit, oeuf Riz, pâte, avoine, épeautre, blé, orge, seigle, pain, sarrasin, millet

Par contre sont acceptables sur le plan digestif :

Proteines fortes Amidons faibles

Poisson, steak, volaille, crustacé, fromage cuit, oeuf Pomme de terre, potiron, châtaigne, patate douce

Proteines faibles Farineux forts

Champignon, soja, lentille, pois frais, tempeh, algue, noix, sésame, tofu, amande, noisette Riz, pâte, avoine, épeautre, blé, orge, seigle, pain,sarrasin, millet

Il est possible d’associer des protéines animales avec des amidons pour favoriser l’assimilation. (ex : poisson / pommes de terre). L’œuf peut aussi s’associer aux farineux (œuf coque / pâtes).

Les légumes cuits ou crus s’associent favorablement avec tout, sauf quelques aliments spécifiques comme le miel, le melon (voir liste ci-dessus).

Associer les protéines végétales avec les farineux est digeste, pas encrassant. C’est quelque chose à favoriser en hiver et le soir.

Les fromages frais, yaourts autres que de vache (de chèvre, soja, brebis) peuvent être associés avec des fruits ou légumes cuits ou crus. Il ne faut pas les mettre en fin de repas.

4) Les lipides sans excès accompagnent les aliments. Il en faut une trace.

5) Voici quelques combinaisons favorables au même repas qui découlent du tableau

 Légumes crus ou cuits avec des moules et des pommes de terre (mais pas des frites !)

 Potimarron gratiné au gruyère

 Légumes cuits avec semoule et pois chiches (c’est le couscous végétarien), à condition de respecter les proportions suivantes : amidons 4/5ème + légumineuses 1/5ème de la quantité totale, pour une

assimilation optimale des protéines végétales.

6) Menu type respectant les combinaisons alimentaires

Matin :

fromage blanc avec fruits (banane, pomme, poire, fruits de la saison, évitez les oranges ou mandarines en hiver car trop acide)

ou banane écrasée avec pomme râpée et poudre d’amande dégraissée

thé vert ou tisane (thym, romarin, menthe, anis vert,….)

Midi :

jus de légumes en apéritif

crudité

poisson + haricot + pomme de terre

Soir :

crudité

4/5 riz complet ou demi complet avec 1/5 de lentilles corail

ou couscous végétarien légumes cuits avec semoule 4/5 pois chiche 1/5

Le régime basé sur les combinaisons alimentaires permet de tenir compte de la physiologie de l’homme qui anatomiquement est plus proche des frugivores que des carnivores. Il est important

d’associer les aliments de façon pertinente afin de réaliser la fonction primordiale de l’alimentation : la nutrition de la cellule. C’est donc un compromis entre la physiologie de la digestion et celle de
l’assimilation qui offrira la santé. Shelton est allé très loin au point de perdre de vue l’assimilation. En s’inspirant de ses travaux sans sombrer dans l’extrême, on peut mettre en place un cadre

d’alimentation qui favorise grandement la santé.

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