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MASTER 1

TD DE TOXICOLOGIE
DETERMINATION DE LA DOSE LETALE 50 (DL50)

Que signifie DL50?


Les lettres DL désignent la « dose létale ». La dose létale 50 ou dose létale médiane (DL50) est
la quantité d'une matière, administrée en une seule fois, qui cause la mort de 50 % (la moitié)
d'un groupe d'animaux d'essai. La DL50 est une façon de mesurer le potentiel toxique à court
terme (toxicité aiguë) d'une matière.

La DL50 ou la concentration létale médiane aussi appelée concentration létale 50 (CL50,


cas des substances gazeuses), est un indicateur quantitatif de la toxicité d'une substance. Cette
notion s'applique également aux irradiations.

La DL50 permet de mesurer la toxicité d'une substance et d'établir des classes de toxicité.

Quelles sont les notions voisines ?


S'il s'agit d'une substance inhalée, on parle de concentration létale 50 (CL50 ou CLt50) pour
exprimer la concentration du toxique dans l'air inspiré et causant la mort de 50 % des
animaux. La CL50 est exprimée en mg·min/m³.

Sur le même modèle, on parle aussi de l'IC50 (ou (ICt50), qui mesure la dose dite semi-
incapacitante, à laquelle 50 % de la population exposée est paralysée ou assommée.

On parle aussi parfois de :

 DL01 : dose de substance causant la mort de 1 % de la population des animaux d'essai ;


 DL100 : dose de substance causant la mort de 100 % de la population des animaux
d'essai ;
 DLmin. : dose de substance la plus faible causant la létalité ;
 DTmin. : dose de substance la plus faible causant un effet toxique.

Pourquoi la DL50 et la CL50 sont-elles des mesures de


toxicité aiguë?
La toxicité aiguë est la capacité d'un produit (substance) d'engendrer des effets nocifs
relativement tôt après l'administration par voie orale d'un produit ou d'une exposition de
quatre heures à un produit chimique dans l'air. On définit généralement « relativement tôt » en

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termes de minutes, d'heures (jusqu'à 24) ou de jours (jusqu'à environ deux semaines), mais
rarement plus.

Comment mesure-t-on la DL50 et la CL50?


En 1927, J.W. Trevan a tenté de trouver un moyen d'estimer la capacité d'intoxication relative
des médicaments utilisés à l'époque. Il a élaboré la DL50, parce que l'utilisation de la mort
comme « réponse » permet la comparaison de produits chimiques qui empoisonnent
l'organisme de différentes façons. Depuis les premiers travaux de Trevan, d'autres
scientifiques ont élaboré différentes méthodes plus rapides et plus directes de mesure de la
DL50.

La substance peut être administrée aux animaux par la bouche (voie orale); en l'appliquant sur
la peau (voie cutanée); en l'injectant à différents endroits, comme dans des veines (voie
intraveineuse, i.v.), dans des muscles (voie intramusculaire, i.m.) ou dans l'abdomen (voie
intrapéritonéale).

Cependant, le paramètre de létalité le plus souvent mesuré est la DL50 par voie orale, car il est
beaucoup plus facile et moins coûteux d'administrer une substance à un animal par la bouche.
Toutefois, les résultats des études portant sur l'administration par voie orale sont importants
en ce qui concerne les médicaments, les intoxications alimentaires et les intoxications
domestiques accidentelles.

La DL50 mesurée est identifiée comme une DL50 (voie orale), une DL50 (voie cutanée), une
DL50 (i. v.), etc., selon le cas.

Les chercheurs peuvent effectuer les essais avec n'importe quelle espèce animale, mais ils
utilisent le plus souvent des rats ou des souris. Ils utilisent aussi d'autres espèces : chiens,
hamsters, chats, cochons d'Inde, lapins et singes.

Dans chaque cas, la DL50 est exprimée en poids de produit chimique administré par
kilogramme de poids corporel de l'animal et fait mention du type d'animal utilisé ainsi que de
la voie d'exposition ou d'administration; ex. : DL50 (orale, rat) – 5 mg/kg, DL50 (cutanée,
lapin) – 5 g/kg. Donc, l'exemple « DL50 (orale, rat) – 5 mg/kg » signifie qu'une dose de
5 milligrammes de ce produit par kilogramme de poids corporel, administrée d'un seul coup
par la bouche à des rats, entraîne la mort de 50 % de l'échantillon d'essai.

Ces précisons sont d’importance capitale. En effet, la valeur réelle de la DL50 peut être
différente pour une substance donnée, selon la voie d'exposition (p. ex. orale, cutanée,
inhalation) et l’espèce animale utilisée. Par exemple, voici certaines DL50 pour le dichlorvos,
un insecticide utilisé couramment dans les bandes pesticide :

 DL50 orale (rat) : 56 mg/kg


 DL50 cutanée (rat) : 75 mg/kg
 DL50 intrapéritonéale (rat) : 15 mg/kg
 CL50 inhalation (rat) : 1,7 ppm (15 mg/m³); exposition de 4 heures
 DL50 orale (lapin) : 10 mg/kg
 DL50 orale (pigeon) : 23,7 mg/kg
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 DL50 orale (rat) : 56 mg/kg
 Orale (souris) : 61 mg/kg
 Orale (chien) : 100 mg/kg
 Orale (porc) : 157 mg/kg

Les différentes valeurs reflètent les différentes voies d'exposition. La DL50 peut être différente
pour des animaux différents. Les données ci-dessus montrent que le dichlorvos est beaucoup
moins toxique par ingestion chez le porc ou le chien que chez le rat. Le tableau 1 nous indique
que le dichlorvos est modérément toxique par ingestion (DL50 orale) et extrêmement toxique
par inhalation (CL50 inhalation) chez le rat. Le tableau 2 nous indique que le dichlorvos est
considéré très toxique par ingestion (DL50 orale) chez le rat.

Plus la DL50 est faible (sa valeur est petite), plus la substance est toxique.

Les DL50 pour animaux s'appliquent-elles aux humains?


En général, si la toxicité immédiate est semblable chez tous les types d'animaux, elle sera
probablement semblable chez les humains. Lorsque les DL50 sont différentes chez diverses
espèces animales, on doit faire des approximations et des hypothèses lors de l'estimation de la
dose mortelle probable chez les humains. Des calculs spéciaux sont utilisés pour convertir les
DL50 chez les animaux en dose mortelle possible chez les humains. Des facteurs de sécurité
de 10 000 ou de 1000 sont généralement inclus dans de tels calculs en raison de la variabilité
entre les personnes et de la manière dont elles réagissent à un produit chimique, ainsi que des
incertitudes des résultats d'essai.

Comment compare-t-on une DL50 avec une autre?


En général, plus la DL50 est petite, plus le produit chimique est toxique. Le contraire est
également vrai : plus la DL50 est élevée, plus la toxicité est faible.

La DL50 donne une mesure de la toxicité immédiate ou aiguë d'un produit chimique selon la
souche, le sexe et le groupe d'âge de l'espèce animale en question. Si on change une de ces
variables (ex. : type d'animal ou âge), la DL50 mesurée peut être différente. La DL50 n'a pas
été conçue pour donner de l'information sur les effets d'une exposition à long terme à un
produit chimique et n'est pas destinée à être utilisée à cette fin.

Lorsque vous avez trouvé la DL50, vous pouvez la comparer aux autres valeurs à l'aide d'une
échelle de toxicité. Il y a quelquefois de la confusion parce qu'il existe différentes échelles de
toxicité.

Les échelles les plus couramment utilisées sont : l'échelle de Hodge et Sterner, l'échelle de
Gosselin, Smith et Hodge, l’échelle ou classification de Diezi (1989) et l(échelle de Viala. Ces
échelles présentent des différences au au niveau de l'indice de toxicité

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Exemple :« l'échelle de Hodge et Sterner » et « l'échelle de Gosselin, Smith et Hodge ». Ces
échelles diffèrent au niveau de l'indice de toxicité de chaque classe ainsi qu'au niveau des
termes utilisés pour décrire chaque classe. Par exemple, un produit chimique ayant une DL50
de 2 mg/kg serait classé « 1 » et « hautement toxique » selon l'échelle de Hodge et Sterner
(voir Tableau 1), mais il serait classé « 6 » et « super toxique » selon l'échelle de Gosselin,
Smith et Hodge (voir Tableau 2). Il est important de mentionner l'échelle à laquelle vous
faites référence lorsque vous classez un produit.

Comment réalise-t-on en pratique cette étude ?


Elle se fait en différentes étape

1. Echantillonnage ou détermination des doses seuils ou doses limites


Les souris sont réparties en cinq lots de souris vigiles. Le poids moyen de chaque lot est
déterminé. Il s’agit de lots de 5 à 10 souris mâles et femelles. Les souris d’un même lot
reçoivent 0,5 ml d’une solution à une concentration déterminée. L’administration de
différentes doses, à raison d’une dose par lot, permet de déterminer, après 24 heures, les doses
limites. Ce sont la plus forte dose provoquant 0 % de mortalité et la plus faible dose entraînant
100 % de mortalité.
Des dilutions intermédiaires sont effectuées entre ces deux doses limites et injectées à d’autres
lots de souris vigiles comprenant des mâles et des femelles afin de réaliser l’étude proprement
dite.

2. Détermination de la dose létale 50 %


Le taux de mortalité est relevé dans les 24 heures et représenté en fonction des doses de la
substance exprimée en mg/kg de poids corporel (p.c.).
Dans le cadre de notre TD, deux méthodes ont été utilisées pour sa détermination.

 Méthode graphique de Miller et Tainter (1944)


Les pourcentages de souris mortes servent à tracer la courbe de mortalité en fonction
de la dose de la substance administrée. La DL50 correspond, sur la courbe, à la concentration
qui entraîne 50 % de mortalité.

 Méthode de calcul de Dragstedt et Lang (1957)


Cette méthode repose sur le postulat suivant :
- tout animal, ayant survécu à une dose, aurait survécu à toute dose inférieure à celle qui
lui aurait été administrée.
- tout animal, ayant succombé à une dose, succomberait également à toute autre dose
supérieure.
Ainsi, pour chaque dose administrée, le pourcentage de mortalité (M%) est donné par :

Nm × 100
M [%] =
Avec : Nm + Nv

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M% = pourcentage de mortalié ; Nm = nombre de morts cumulées ; Nv = nombre de
survivants cumulés
Selon la méthode de Dragstedt et Lang, le calcul de la DL50 se fait par extrapolation, c’est-à-
dire la recherche de la valeur approximative de la dose qui correspond à 50 % de mortalité
dans un intervalle (X1 – X2). La DL50 est calculée par la formule suivante :

[50(X2 - X1) + X1Y2 – X2Y1]


DL50 =
Avec : Y2 – Y1
- X1 : dose inférieure encadrant la DL50
- X2 : dose supérieure encadrant la DL50
- Y1 : pourcentage de mortalité (M%) correspondant à X1

- Y2 : pourcentage de mortalité (M%) correspondant à X2.

Une application : Détermination de la dose létale 50 % de


Sesamum radiatum Schum. & Thonn. (Pedaliaceae)
Maintenant déterminons la DL50 d’un extrait de plante (administré par voie i.p.) à des rats
24 heures après administration i.p de l’extrait aqueux de cette plante médicinale, les
pourcentages de mortalité sont relevés et consignés dans le tableau A

 Méthode graphique de Miller et Tainter (1944)


La figure A représente la courbe de mortalité des animaux mis en expérimentation et obtenue
à partir des données consignées dans le tableau ci-dessus. Elle permet de déterminer une DL50
qui est égale à 166 ± 8 mg/kg de p.c

Selon la figure, le taux mortalité est représenté en faite par une une droite linéaire, une
fonction affine d’équation : y = 4,11Log(x) – 4,13

Sachant ici que y = 5, il suffit de résoudre cette équation pour trouver la valeur de x ou DL50.

NB : les représentations graphiques peuvent se présentées sous diverses formes tout


simplement convertissant les données initiales (doses et taux de mortalité) en d’autres unité
de mesures. Dans le cas présent, les taux de mortalités et les doses administrées sont été
exprimés respectivement en unité probit et log(dose).

 Méthode de Dragsted et Lang (1957)


Cette méthode permet de déterminer une autre valeur de la DL50 de Sesamum radiatum
Schum. & Thonn. (Pedaliaceae).

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50 (191,832–176,58) + (176,58 x 60 –191,832 x 40)
DL50 = = 184,2 mg/kg de p.c.
60– 40

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Tableau A : Evolution du taux de mortalité des souris en fonction de la dose de
l’extrait aqueux de Sesamum radiatum Schum. & Thonn. (Pedaliaceae)
administrée.

Lots Dose (mg/kg de p.c.) Nombre de souris % de mortalité

1 0 10 0
2 24,552 10 0
3 71,846 10 10
4 114,181 10 20
5 176,580 10 40
6 191,832 10 60
7 290,333 10 60
8 371,121 10 80
9 391,558 10 90
10 575,453 10 100

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y  4,11* Log ( x )  4,13
Mortalité (Probits)

X = DL50

0
x
1.0 1.5 2.0 2.5 3.0
Esera Log [mg/kg p.c.]

Figure A : Courbe de toxicité aiguë de l’extrait aqueux de Sesamum radiatum


Schum. & Thonn. (Pedaliaceae). La courbe linéaire obtenue selon la méthode de Miller
et Tainter (1944) permet de déterminer x ou DL50 = 166 ± 8 mg/kg p.c. (n = 3).
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La répétition de cette expérience (n=3) a permis d’obtenir par cette méthode, une DL50 égale à
184,2 ± 12 mg/kg de p.c.

Discussion-conclusion
Les doses létales 50 % (DL50) déterminées selon la méthode de Miller et Tainter et celle de
Dragsted et Lang sont des valeurs statistiquement très proches (166 ± 8 et 184,2 ± 12 mg/kg
de p.c.).
En toxicologie, les substances sont classées comme suit. Une substance pharmacodynamique
dont la DL50 est inférieure à 5 mg/kg de p.c. est extrêmement toxique. Celle ayant une DL50
comprise entre 5 et 50 mg/kg de p.c. est dite très toxique. Une substance dont la DL50 se situe
entre 50 et 500 mg/kg de p.c. est toxique. Quand la DL50 est comprise entre 500 et 5000
mg/kg de p.c., la substance est peu ou faiblement toxique. Une substance dont la DL50 est
supérieure à 5000 mg/kg de p.c. n’est pas toxique.
Selon cette classification (Diezi, 1989), l’extrait aqueux de feuilles de Sesamum radiatum
Schum. & Thonn. (Peadaliaceae) administrée (i.p) chez la souris mus musculus de souche
Swiss est toxique. Sesamum radiatum Schum. & Thonn. (Peadaliaceae) a une toxicité
sensiblement égale à celle de Caesalpinia bonduc (Caeasalpiniaceae), plante également
utérotonique dont la DL50 est 166,66 mg/kg de p.c. (Datté et Offoumou, 2001). Sesamum
radiatum Schum. & Thonn. (Pedaliaceae) a une toxicité plus élevée que Erythrina
senegalensis (Fabaceae) dont la DL50 est 1663 mg/kg de p.c (Traoré et al., 2002). Par contre,
Sesamum radiatum Schum. & Thonn. (Pedaliaceae) a une toxicité moins élevée que celles
d’autres plantes médicinales telles que Securidaca longepedunculata
(Polygalaceae) et Swartzia madagascariesis (Ceasalpiniceae) ayant des DL50 respectivement
égales à 64 mg/kg de p.c. (Koné, 1980) et 5,99 mg/kg de p.c. (Traoré et al., 2002).

L’effet toxique de Sesamum radiatum Schum. & Thonn. (Peadaliaceae) a été observé chez le
bétail mais pas encore chez l’homme (Kerharo et Adams, 1974). Cette différence serait liée
aux doses administrées et aux voies d’administration. Chez l’homme, cette espèce végétale
subit les effets thermiques lors de la cuisson. Sur le plan thérapeutique, les doses employées
par l’homme seraient faibles. Ces arguments avancés sont en accord avec ceux de Lüllmann et
al. (1998). Selon ces auteurs, l’action d’une substance pharmacodynamique dépend de
plusieurs paramètres entre autres la méthode d’extraction, la voie d’administration, les doses
administrées et les susceptibilités biologiques individuelles.
Sesamum radiatum Schum. & Thonn. (Peadaliaceae) est toxique. Cependant cette toxicité ne
saurait être un frein à son utilisation à des fins thérapeutiques car toutes les substances
pharmacodynamiques sont toxiques lorsque les doses administrées sont supraliminaires.
Aussi, pour qu’une substance possédant des effets pharmacologiques puisse éventuellement
être utilisée comme médicament, il est d’abord nécessaire que l’activité apparaisse à des doses
pour lesquelles la toxicité est négligeable.

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ANNEXES

Tableau 1 : Classes de toxicité : Échelle de Hodge et Sterner

Voies d'administration

CL50 DL50
DL50 orale
Inhalation cutanée

Terme
Indice de (une seule dose à (exposition de rats (une seule application sur la Dose probablement létale
couramment
toxicité des rats) mg/kg pendant 4 heures) ppm peau des lapins) mg/kg chez les humains
utilisé

Extrêmement 1 grain (une pincée, une


1 1 ou moins 10 ou moins 5 ou moins
toxique goutte)

2 Hautement toxique 1 à 50 10 à 100 5 à 43 4 mL (1 c. à thé)

Modérément
3 50 à 500 100 à 1000 44 à 340 30 mL (1 on. liquide)
toxique

Légèrement
4 500 à 5000 1000 à 10 000 350 à 2810 600 mL ( chopine)
toxique

Presque pas
5 5000 à 15 000 10 000 à 100 000 2820 à 22 590 1 litre (ou 1 pinte)
toxique

Relativement
6 15 000 ou plus 100 000 22 600 ou plus 1 litre ou 1 pinte)
inoffensif

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Tableau 2 : Classes de toxicité : Échelle de Gosselin, Smith et Hodge

Dose orale probablement mortelle (humain)

Indice ou classe de
Dose Pour une personne de 150 livres (70 kg)
toxicité

6- Super toxique Moins de 5 1 grain (une pincée – moins de 7 gouttes)


mg/kg

5- Extrêmement toxique 5 à 50 mg/kg 4 mL (entre 7 gouttes et 1 c. à thé)

4- Très toxique 50 à 500 mg/kg 30 mL (entre 1 c. à thé et 1 on. liquide)

3- Modérément toxique 0,5 à 5 g/kg 30 à 600 mL (entre 1 on. liquide et 1


chopine)

2- Légèrement toxique 5 à 15 g/kg 600 à 1200 mL (entre 1 chopine et 1 pinte)

1 -Presque pas toxique Plus de 15 g/kg Plus de 1200 mL (plus d'une pinte)

Tableau 3 : Classes de toxicité : Echelle de Diezi (1989)

Indice ou classe de toxicité Dose


5- Extrêmement toxique Moins de 5 mg/kg

4- Très toxique 5 à 50 mg/kg

3- Toxique 50 à 500 mg/kg

2- Peu ou faiblement toxique 500 à 5000 mg/kg

1- Pas toxique supérieure à 5000 mg/kg

Tableau 4 : Classes de toxicité : Echelle de Viala (1998)

Indice ou classe de toxicité Dose


5- Extrêmement toxique Moins de 5 mg/kg

4- Très toxique 5 à 50 mg/kg

3- Toxique 50 à 500 mg/kg

2- Peu toxique 500 à 5000 mg/kg

1- Très peu toxique ou non toxique supérieure à 5000 mg/kg

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