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GUIDE DE RÉVISION DE PHYSIQUE

Ch1 : Mesure physique

Unités SI: mètre, kg, seconde, ampère, Kelvin, mole, candela.

Dérivé : volume, densité.

1.2 Mesure

Incertitude = 0,5x la plus petite valeur.

Erreur aléatoire : beaucoup de lectures légèrement différentes.

Erreur expérimentale : problème avec l’appareil/la méthode de mesure.

Pourcentage d’incertitude = incertitude/valeur

Ajout de valeurs = ajout d’incertitudes.

Ch2: Mécanique

2.1 Cinématique

Vitesse = déplacement par unité de temps.

Vitesse = distance parcourue par unité de temps.

Vitesse relative = soustraire les vecteurs.

Accélération = ∆vitesse/temps

Vitesse moyenne = déplacement/temps

SUVATS:

a = (v - u)/t

s = (u + v)t/2

s = sortie + 0,5at2

v 2 = u2 + 2as

Déplacement / vitesse optique = corps se déplaçant vers la droite.

2.2 Mouvement en chute libre

Sur Terre, les corps tombent avec une accélération de 9,81 ms-2.

En tombant, la résistance de l’air vous poussera de plus en plus jusqu’à ce que vous ne
puissiez pas aller plus vite.

Surface sous un graphique vitesse-temps = déplacement.


2.4 Mouvement du projectile

SUVAT pour le mouvement horizontal: R = v cos Θ t

SUVAT pour mouvement vertical : h = v 2 sin 2 Θ/2g et t = 2vsinΘ/g

2.5 Forces et dynamique

Force gravitationnelle : W = mg. (W = poids).

Les diagrammes de corps libres montrent les forces agissant sur les objets.

2.6 Première loi du mouvement de Newton

Première loi : « Un corps restera au repos de se déplacer à vitesse constante à moins qu’une
force déséquilibrée n’agisse. »

Exemples : masse sur une corde (T = mg), parachutistes (force up = force down), voiture
(force gauche = force droite).

Équilibre translationnel : toutes les forces sont équilibrées.

2.7 Force et accélération

Momentum, ρ = mv.

Impulsion: mouvement dû à l’effet de quelque chose.

L’impulsion est le changement d’élan.

La deuxième loi du mouvement de Newton: « le taux de changement de quantité de


mouvement d’un corps est directement proportionnel à la force déséquilibrée agissant sur
ce corps, et se produit dans la même direction. »

Donc, F = mais.

2.8 La troisième loi de Newton


La troisième loi du mouvement de Newton : « si le corps A exerce une force sur le corps B,
alors le corps B exercera une force égale et opposée. »

Exemple : une boîte sur le sol, de l’eau frappant un mur.

Loi de conservation de la quantité de mouvement : « dans un système de corps isolés, la


quantité de mouvement totale est toujours la même. »

Aire sous un graphe force-temps = impulsion.

2.9 Travail, énergie, énergie

Travail effectué = force x distance déplacée dans le sens de la force.

En général: Travail = FcosΘ x ∆ s (Θ est l’angle entre s et F).

Travail effectué par une force variable: utilisez la force moyenne ou trouvez l’aire sous un
graphique force-distance.

F/∆s = K (constante de ressort).

Énergie potentielle gravitationnelle (PE): l’énergie qu’un corps a en raison de sa position au-
dessus de la Terre. PE = mgh.

Loi de conservation de l’énergie : « l’énergie ne peut être ni créée ni détruite - seulement


changée d’une forme à l’autre ».

Collision élastique : lorsque l’élan et le KE sont conversés.

Collision inélastique - quantité de mouvement/KE non conservée. Par exemple, lorsque deux
corps se collent ensemble (l’énergie est prise pour les écraser ensemble afin que KE soit
perdu).

Partage de l’énergie: lorsqu’un corps explose, la plus petite partie reçoit le plus d’énergie.

Puissance : travail effectué par unité de temps (J/s ou W).

Efficacité: (entrée / sortie de puissance) x 100 (pour un pourcentage).

2.10 Mouvement circulaire uniforme

Période (T) - temps pour un cycle.

Déplacement angulaire (Θ) - l’angle balayé par une ligne.

Vitesse angulaire (ω) - 2π/T

Fréquence (f) - 1/T.

Tous les corps se déplaçant en cercle accélèrent vers le centre.


Force centripète, F = mv 2/r = mω2r (par exemple, balle sur une ficelle, voiture dans
un virage, mur de la mort).

Ch3: Physique thermique

3.1

La taupe : 6,022 x 1023 atomes/molécules d’un élément.

Énergie interne : la matière de l’objet prend de l’énergie, les molécules vibrent davantage.
L’énergie interne totale d’une substance est le PE total et le KE aléatoire des molécules.

La chaleur circule du chaud au froid entre deux corps en contact jusqu’à ce qu’un équilibre
thermique soit atteint.

C à K : ajouter 273.

3.2 Propriétés thermiques de la matière

Capacité thermique (c): quantité de chaleur nécessaire pour élever la température d’une
substance de 1C. Unité: JC-1. Donné par: C = Q/∆T

Capacité thermique spécifique (C): quantité de chaleur nécessaire pour élever la


température de 1 kg d’une substance de 1 °C. Unité: JC-1.

Lorsque les choses changent d’état, l’énergie utilisée permet aux molécules de se déplacer
plus librement (KE est le même), de sorte que la température ne change pas.

L’ébullition a lieu dans tout le liquide, à la même température.

L’évaporation a lieu à la surface seulement, à toutes les températures. Des molécules plus
rapides s’échappent, KE moyenne diminue, la température diminue.

Chaleur latente spécifique (L): la quantité de chaleur nécessaire pour changer l’état de 1kg
du matériau sans changement de température. Unité: JKg-1. L = Q/m.

Solide à liquide : chaleur latente de fusion.

Liquide en gaz: chaleur latente de vaporisation.

3.3 Modèle cinétique d’un gaz idéal

- Les molécules sont parfaitement élastiques

-Les molécules sont parfaites, de minuscules sphères

-Les molécules sont identiques


-Il n’y a pas de forces entre les molécules, sauf lorsqu’elles entrent en collision, de sorte
qu’elles se déplacent à vitesse constante

-Les molécules sont très petites ; leur valeur totale est beaucoup plus petite que le volume
du gaz

La température est une mesure de l’ECK moyen des molécules d’un gaz idéal.

L’augmentation de la température et la diminution du volume augmentent toujours la


pression. Pression = force/surface.

Travailler sur un gaz = augmentation de KE = augmentation de la température et de la


pression.

3.4 Thermodynamique

Zéro absolu : température du gaz lorsque la pression est nulle. Le point auquel les molécules
cessent de bouger. -273C, 0K.

Un point fixe utilisé pour définir l’échelle de température est quelque chose d’observable.
Celui utilisé pour définir l’échelle de température absolue est le « point triple » de l’eau - la
température à laquelle elle existe sous forme solide, liquide et gazeuse à l’équilibre (0,01 °
C).

Équation d’état pour un gaz idéal : PV = nRT. (R = 8,31).

Isobare : pression constante.

Isochorique : volume constant.

Isotherme : température constante.

Adiabatique : pas de chaleur échangée (Q = 0).

Un gaz réel : force entre les molécules lorsque la pression/volume diminue. Cela les fait se
transformer en liquide, sauf si la température est très élevée.

3.5 Procédés thermodynamiques

Un système thermodynamique est un ensemble de corps qui peuvent travailler les uns sur
les autres et transférer de la chaleur. Dans IB, nous n’utilisons que l’exemple du piston à gaz.

Travail effectué = P x ∆V.

Le gaz fonctionne = pousse le piston = positif.

Travail effectué sur le gaz = chute du piston = négatif.

Surface sous un graphique pression-volume = le travail effectué.


Première loi de la thermodynamique : « si un gaz se dilate et se réchauffe, de la chaleur doit
avoir été ajoutée ». Il s’agit d’une déclaration du principe d’économie d’énergie.

Q = ∆U + W. (∆U est l’énergie interne, Q est la quantité de chaleur ajoutée).

Isobare : la température, l’énergie interne et le travail effectué diminuent. Q est négatif.

Isochorique: le volume reste le même, la température et l’énergie interne augmentent. Q


est positif.

Contraction adiabatique: le volume est réduit, le travail effectué est négatif, la


température / énergie interne augmente.

A-B : augmentation isochorique


de la température (le gaz devient
chaud, la chaleur ajoutée).

B-C : dilatation isobare (chaleur


ajoutée = augmentation de
l’énergie interne et du volume).

C-D : chute de température


isochore (le gaz se refroidit et
perd du travail dans
l’environnement).

D-A : compression isobare


(chaleur perdue = travail effectué sur le gaz, diminution de volume).

Travail net effectué = différence entre le travail effectué sur le gaz et le travail effectué sur le
gaz. Égal à la surface fermée sur le diagramme.

A-B : isotherme (travail effectué par gaz = gain


de chaleur).

B-C: adiabatique (le gaz fonctionne et refroidit).

C-D : isotherme (travail effectué pour qu’il


refroidisse).

D-A: adiabatique (travail effectué sur le gaz, le


gaz devient plus chaud).
3.6 Deuxième loi de la thermodynamique

Deuxième loi : « il n’est pas possible de convertir complètement la chaleur en travail ».

Cela implique que l’énergie thermique ne peut pas être transférée spontanément d’une
région de basse température à une région de haute température. La chaleur circule du
chaud au froid. Les particules volent dans des directions aléatoires. Les molécules
commencent à être ordonnées, mais commencent à entrer en collision et à devenir
désordonnées.

Réécrit: « dans tout processus thermodynamique, l’entropie totale augmente toujours »


(par exemple, un réfrigérateur: la nourriture devient plus froide, plus ordonnée. La pièce est
chauffée, moins ordonnée).

Entropie d’un système = la quantité de désordre dans le système / la propagation de


l’énergie.

Changement d’entropie, ∆S = Q/T (JK-1)

Ch4: Mouvement harmonique simple et ondes

Cycle : 1 oscillation complète (2π pour un cercle).

Position d’équilibre: l’endroit où il reposerait s’il n’était pas dérangé/déplacement = 0.

Amplitude (x0) : déplacement maximal.

Période (T): temps pris pour 1 cycle.

Fréquence (f): nombre de cycles complets en une seconde.

Fréquence angulaire (ω): ω = 2πf. (2πrads s-1 est un tour par seconde).

SHM : l’accélération est proportionnelle à la distance à partir d’un point fixe. L’accélération
est toujours dirigée vers un point fixe. a = -ω2x.

Graphe temps de déplacement: x = x0 cos ωt

Graphe vitesse-temps : v = -v0 sin ωt

Graphe temps d’accélération : a = -a0 cos ωt

Vitesse = circonférence/période = 2πr/T, mais 2πr/T = ω, donc vitesse = ω.

2
Accélération centripète = v 2/r = ω 2 r 2/ r = ω r
Accélération = -ω2x

Vitesse maximale = ωx0

V = ω√ x 0−x 2

4.2 Changements d’énergie pendant la SHM

KE est max lorsque le déplacement est nul (il est stationnaire à x 0). KEmax = 0,5mω 2 x 0 2 ou
0,5 mω 2(x 0 2 - x). PE = 0.

PE est max lorsque le bob est au déplacement le plus élevé. PE = 0.5mv 0 2 cos 2 ωt = 0.5mω
2 x 2.

Si les graphiques KE et PE sont additionnés, cela donne une valeur constante appelée
« énergie totale ». ET = mω 2 x02.

4.3 Oscillations forcées et résonance

Dans les systèmes oscillants, il y a toujours frottement et parfois résistance à l’air. Le


système doit travailler contre ceux-ci, ce qui entraîne une perte d’énergie. C’est ce qu’on
appelle « l’amortissement » (par exemple, des amortisseurs dans la suspension d’une
voiture pour absorber le choc d’une bosse).

Amortissement de la lumière : faibles forces opposées, perte d’énergie progressive,


amplitude diminue avec le temps.

Amortissement critique : la force résistive est si importante qu’elle revient à sa position


d’équilibre.

Fréquence naturelle : fréquence à laquelle l’oscillation est naturelle.

Oscillation forcée: lorsque le système est forcé d’osciller à une fréquence différente.

Résonance : augmentation de l’amplitude qui fait osciller le système à sa fréquence


naturelle.

Déphasé : deux ondes identiques se déplaçant à des moments différents.

Différence de phase: la quantité par laquelle ils sont déphasés. Si c’est complètement π.

4.4 Caractéristiques des vagues

Impulsion d’onde: lorsqu’une perturbation peut être vue se déplaçant d’un bout à l’autre.
Les ondes progressives continues se déplacent avec SHM sous la forme d’une courbe
sinusoïdale.

Ondes transversales : la perturbation est perpendiculaire à la direction des ondes.

Ondes longitudinales : la perturbation est parallèle.

v = fλ (vitesse = distance/temps, donc v = λ/1/f = fλ).

Toutes les ondes électromagnétiques voyagent à la même vitesse dans l’espace libre.

4.5 Propriétés des vagues

Front d’onde : points de jonction de lignes qui sont dans une phase.

Rayons : montre la direction des vagues. Toujours perpendiculairement aux vagues.

Front d’onde circulaire : causé par une perturbation ponctuelle.

Front d’onde plan: perturbation étendue.

Réflexion : la vague frappe la barrière et rebondit. La normale est dessinée à 90 degrés.


L’angle d’incidence = angle de réflexion. Les rayons incidents et réfléchis sont dans le même
plan que la normale. Dans un changement de milieu, certaines ondes passent à travers
(transmises) et d’autres sont réfléchies.

Réfraction: il y a un changement de vitesse lorsqu’il y a un changement de milieu. L’onde


frappe la limite à un angle et il y a un changement de direction.

Loi de Snell: sin i / sin r = v1 / v2 (angles d’incidence et de réfraction)

Le rapport est appelé l’indice de réfraction. Plus grand = plus grand angle.

Diffraction : se produit lorsqu’une onde traverse une petite ouverture/ouverture. Si la


différence de trajet = d, alors l’angle de phase, = πd/λ

Ondes cohérentes = ondes identiques.

Une onde polarisée se déplace dans une direction.

4.6 Ondes stationnaires

Les pics montent et descendent mais ne progressent pas = une onde stationnaire. Se produit
lorsque des ondes identiques voyageant dans des directions opposées se superposent.

Nœud : placez sur la vague qui ne bouge pas du tout.


Anti-nœud: amplitude maximale.

<---- DANS LES AIRS

Premièrement, f1 = v/2L, λ = 2L.

Second, f2 = v/L, λ = L

Troisièmement, f3 = 2/3L
Spectre de fréquence: le plus élevé à
100Hz, 200, 300, 400 (diminutions).

<---- DANS UN TUYAU FERMÉ

F1, λ = 4L.

F2, λ = 4/3L

F3, λ = 4/5L

Spectre de fréquences: ajoutez uniquement


les nombres formés.

<--- DANS UN TUYAU OUVERT

F1, λ = 2L

F2, λ = L

F3, λ = 2/3L

4.7 L’effet Doppler

La longueur d’onde à venir est écrasée à mesure que la source la rattrape.

Fréquence observée, f 1 = e/λ1 = cf0/c - v

Ondes derrière la source, f2 = cf0/ c + v

Observateur en mouvement : la vitesse du son est plus rapide lorsqu’elle est plus proche.
Approche f1 = (c + v)f0 /c

Recul f2 = (c - v)f0 /c

L’effet Doppler s’applique également au rayonnement électromagnétique. Si les vitesses


relatives sont inférieures à la vitesse de la lumière, alors ∆f = v/c x f 0 (v = vitesse relative de
la source et de l’observateur, f0 = fréquence d’origine).

Décalage vers le rouge: la lumière qui s’éloigne a une longueur d’onde plus longue, qui est
rouge.

L’effet Doppler est utilisé dans les radars. Il réfléchit le rayonnement électromagnétique de
la voiture et la fréquence du faisceau réfléchi est utilisée pour calculer la vitesse de la
voiture.

4.8 Diffraction à une seule fente

La construction de Huygen:

Fente étroite: une ondelette passe, circulaire.

Fente large: toutes les ondelettes passent, somme de toutes les


ondelettes.

Les ondes passant à travers une petite fente se propagent.

Maximum central: directement


devant la fente. Si le point est
éloigné, les longueurs d’onde sont
parallèles et en phase, il est donc
plus lumineux (haute intensité).

Premier minimum : déplacement des


ondes en biais, afin qu’ils ne
parcourent pas tous la même
distance (s’annulent, faible
intensité).
λ
2 λ
Dérivation du premier angle minimum: sin Θ = =
b b
2

λ
Les angles sont petits; dans les radians sin Θ = Θ, donc Θ =
b

4.9 Résolution

Le critère de Rayleigh: 2 points seront résolus si le maximum central du diagramme de


diffraction formé d’un point coïncide avec le premier maximum de l’autre (lorsqu’ils se
chevauchent, ils ressemblent à un).

Si la distance entre les maxima centraux est inférieure à la moitié de la largeur des maxima,
les points ne seront pas résolus. La largeur est définie par la position du premier minimum ,
λ 1.22 λ
Θ = , ou pour une ouverture: .
b b

Augmentation de la résolution - utilisez différentes longueurs d’onde de rayonnement.

CD : les fosses font 5x107m de large. Laser 780nm. Plus petit et la différence entre les fosses
et les écarts ne sont pas reconnus. Pour résoudre, utilisez un laser de 640nm.

Microscope électronique : les points les plus proches qui peuvent être résolus sont distants
de 200 nm. Diminuer les longueurs d’onde ne fonctionne pas, pas assez visible. Utilisez des
électrons (0,02 nm) à la place - peut voir jusqu’à 0,1 nm.

Radiotélescopes: détecte le rayonnement de l’espace. Longueurs d’onde de 20 cm (ondes


radio), les télescopes doivent donc être énormes (par exemple, le télescope Lovell a un
diamètre de 76 m).

4.10 Polarisation

Lorsqu’une onde transversale est polarisée, la perturbation est dans un seul plan (c’est-à-
dire à travers une fente), est polarisée. À travers une fente est verticale, de sorte qu’ils ne
peuvent pas passer à travers les fentes horizontales.

Pour polariser la lumière, passez-la à travers un Polaroid (type de plastique).

Loi de Brewster: lorsque l’angle entre le rayon réfléchi et le rayon réfracté est de 90 degrés,
la polarisation est de 100%.
tan-1
Angle de Brewster, = n, lorsque n = indice de réfraction (sin i / sin r).

Lorsque la lumière traverse un polariseur, l’intensité diminue de 50%. S’il passe ensuite par
un second polariseur (un analyseur), la réduction d’intensité dépend de l’angle entre les
plans de polarisation des deux polariseurs. En parallèle, tout est transmis. Perpendiculaire,
aucun n’est transmis. Entre 0 et 90 degrés, une partie est transmise.

En passant par un analyseur, seule la composante d’amplitude dans la direction du plan de


polarisation passe par : A0 cos Θ.

L’intensité (I) est proportionnelle à A 2, donc si l’intensité originale est (I 0) alors: I = I0 cos2 Θ
(loi de Malus).

4.11 Utilisations de la polarisation

Les « substances optiquement actives » peuvent faire pivoter le plan de polarisation (par
exemple, si elles sont placées entre 2 plans, elles permettront à la lumière de passer).

L’angle de rotation est lié à la concentration de la solution de sucre. Pour trouver la


concentration, faites pivoter l’analyseur jusqu’à ce que vous trouviez la luminosité
maximale. L’angle de l’analyseur donne l’angle de rotation permettant de calculer la
concentration.

L’angle de rotation est affecté par la contrainte (quantité de force) à laquelle un matériau
est soumis. Les motifs colorés sont révélés lorsqu’ils sont vus dans une lumière polarisée, ce
qui permet une analyse des contraintes.

LCD : chaque pixel est constitué de cristaux liquides. Ils font pivoter le plan de polarisation
de 90 degrés lorsqu’une batterie n’y est pas connectée. Si le cristal liquide est placé entre
deux polariseurs croisés, il devient sombre lorsqu’une batterie est connectée.

Une image est réalisée en appliquant une différence de potentiel (connexion d’une batterie)
aux pixels sélectionnés.

Ch5: Courants électriques

Le débit = le courant. La « charge » coule. L’unité de charge est coulomb (C). La charge
circule de + (PE supérieur) à - parce que les électrons sont négatifs.

Le courant est le flux de charge (A) = charge/temps.

Différence de potentiel : la quantité de travail effectuée par unité de charge (V) en prenant
une petite charge +ve de A à B. V = W/q.

La résistance (R) ne laisse pas circuler autant de courant. R est proportionnel à L/A.

La résistivité (ρ) est la constante de proportionnalité, donc : R = ρ L/A.

Loi d’Ohm : V = IR.

Conducteur ohmique : le graphe de VI est une ligne droite. Conducteurs non ohmiques : le
graphe de VI n’est pas droit.
Sur un graphe VI ohmique, la résistance est trouvée par 1/gradient. V/I pour conducteurs
non ohmiques.

5.2 Circuits électriques

La force électromotrice (CEM) est la quantité d’énergie chimique convertie en énergie


électrique par unité de charge (V).

P.d. à travers une résistance est la quantité d’énergie électrique convertie en chaleur par
unité de charge (V).

Résistance de la cellule = résistance interne. Convertit l’énergie électrique en chaleur, moins


à convertir dans la résistance, de sorte que p.d . de résistance est supérieur au champ
électromagnétique de la cellule.

Courant de la batterie = I = ε/ R + r

Dans une batterie parfaite, puissance = énergie chimique convertie en énergie électrique
par unité de temps = εI.

La puissance dissipée est la quantité d’énergie électrique convertie en chaleur par unité de
temps. P = VI.

La puissance peut aussi être : P =I2Ret P = V2/R.

Dans un circuit série, R = R1 + R 2 + R3...

Dans un circuit parallèle : R = 1/R 1 + 1/R2 + 1/R3...

P.d. de cellules en série: V 1 + V2...

Voltmètre idéal : résistance infiniment élevée (ne prend pas de courant).

Ampèremètre idéal: résistance nulle (ne change pas le courant dans le circuit).

Capteurs électriques : appareil dont les propriétés électriques changent avec l’évolution des
conditions physiques.

Thermistance : la résistance diminue à mesure que la température augmente.

Capteur de lumière (LDR): plus de lumière signifie une résistance plus faible.

Jauge de contraintee: fil métallique mince. Si elle est étirée, la section transversale est plus
petite, ce qui donne une résistance plus élevée.

Les diviseurs de potentiel varient p.d. (ont deux résistances en série).

R2
Vsortie = Vdans x
R 1+ R 2
Par exemple, un interrupteur d’éclairage automatique: pas de lumière sur le LDR = plus de
résistance = plus desortie V = active l’interrupteur électronique pour allumer les lumières
(nécessite min. P.d.).

Les jauges de contrainte peuvent être utilisées pour mesurer combien un bâtiment est étiré
en utilisant Vout. Par exemple, sous un pont.

Ch6 : Champs et forces

La loi universelle de la gravitation de Newton : tout dans l’univers est attiré par tout le reste.
(« Chaque point passe attire une masse ponctuelle sur deux avec une force directement
proportionnelle au produit de leurs masses et inversement proportionnelle au carré de leur
séparation ».)

Constante gravitationnelle universelle, G = 6,67x10-11

m1 m2
F=G 2 (Les sphères suivent la même
r
règle.)

L’intensité du champ gravitationnel, g, est la mesure de la force qu’un corps subira dans un
champ (force par unité de masse subie par une petite masse d’essai). g = F/m. Pour la Terre,
il est de 9,81.

g = G x M/r2 pour une sphère.

Pour l’ajout de champs, utilisez Pythagore entre deux points. Par exemple:

(La ligne rouge).

6.2 Potentiel gravitationnel

Potentiel gravitationnel: travail effectué par unité de masse en prenant une petite masse
d’essai d’une position de potentiel nul au point P.

L’énergie potentielle gravitationnelle est le PE gagné par un objet lorsque sa hauteur au-
dessus du sol augmente (position dans le champ gravitationnel). gh = PE/m.

Équipotentiel : déplacement le long d’un champ perpendiculaire au champ (aucun travail


effectué, aucun changement d’EP). ΔV/Δh = g. Ou gradient potentiel = intensité du champ.
Si les lignes d’équipotentiel sont plus proches, le champ est plus fort.

L’intégration de la distance du graphe M vs Force donne:

W = -GMm/R, donc potentiel (V) = W/m = -GM/r

Le gradient positif et l’intensité de champ négative donnent: g = -Δv/Δx. Les puits le


prouvent.

Ajout de potentiels = ( -GM A/r A) + (-GM B/rB)...

Lignes d’équipotentiel pour deux objets:

6.3 Vitesse d’échappement

Vitesse d’échappement : « vitesse nécessaire pour qu’un objet atteigne une distance à
laquelle il n’est plus attiré vers la terre ».

PE = -GMm/r

Perte de KE = gain en PE

1/2mv 2 = -GMm/R 2 - -GMm/RE

SubstituerR2 à l’infini : 1/2mv2 = -GMm/RE

Réarranger : Véchappement =
√ 2 GM
RE
(pour la Terre, c’est 11km/s-1)

6.4 Mouvement orbital

La gravitation fournit la force centripète pour le mouvement orbital circulaire.

Assimilation des deux équations pour la force centripète:

mω 2 r = GMm/r2

Substituer dans ω = 2π/RT:

m ¿2 r= GMm/r
Réarranger : T 2/r3 = 4π2/GM (M = masse du soleil).

Donc, pour les planètes en orbite autour du soleil, T 2 / r 3 est une constante, ou T2 r ∝3
(troisième loi de Kepler). Les planètes plus proches du soleil ont une période de temps plus
courte.

Corps en orbite : PE = -Gmm/r, KE = 1/2mv2

Équivalant : GMm/r 2 = mv2/r

Réorganiser et multiplier par 0,5 : KE = GMm/2r

L’énergie totale est PE + KE = -GMm/r + Gmm/r

Énergie totale = -GMm/2r

Les satellites
terrestres: les
satellites les plus
proches ont une
période de temps
plus courte. Les
orbites
inférieures ont
une énergie plus
faible (PE plus
faible), mais un KE
plus grand à
cause de cela.
Ainsi:

En apesanteur: dans l’espace lointain, les champs gravitationnels s’annulent en raison de la


distance. En chute libre avec une pièce, la seule force sur vous est le poids. Dans le
mouvement orbital autour de la Terre, la force d’attraction sur vous et le satellite vers la
Terre est égale.

6.5 Force électrique et champ

Force électrique : l’attraction/répulsion entre les objets.

Loi de conservation de la redevance : « la charge ne peut être ni créée ni détruite ».


La loi de Coulomb stipule que « la force subie par les charges à deux points est directement
proportionnelle au produit de leur charge, et inversement proportionnelle au carré de leur
séparation ».

F = KQ1Q 2/r2 (k = 9x109).

Champ électrique: une région de l’espace où un objet chargé subit une force due à sa
charge.

L’intensité du champ électrique est une mesure de la force qu’une charge positive subirait
par unité de charge par masse si elle était placée dans un champ. Intensité de champ : E =
F/q.

Les lignes de champ sont dans la direction qu’une charge positive se déplacerait.

Dans un champ uniforme, E = F/q entre deux plaques chargées.

Proche d’une sphère de charge, E = K x Q/r2.

Ajout de l’intensité du champ : utilisez Pythagore.

6.6 Potentiel électrique

Le potentiel électriqueen un point est la quantité de travail par unité de charge nécessaire
pour prendre une petite charge d’essai positive d’un plan de potentiel nul à un pont.

Énergie potentielle électrique : « déplacer un électron positif dans un champ augmente KE


et donc PE, lui donnant de l’énergie ».

Énergie potentielle électrique, VB = Eh

Electronvolt : l’énergie gagnée par un électron accéléré par une différence de potentiel de
1V.

E = Δ V/Δh donne l’intensité du champ et le gradient de potentiel.

Potentiel dû à une charge ponctuelle : W = kQq/r et potentiel V = kQ/r.

Le gradient de potentiel est


lié à l’intensité de champ
par : dV/dx = -E.

Équipotentiel pour un
dipôle:
6.7 Force et champ magnétiques

Les charges mobiles donnent lieu à des champs magnétiques.

Un champ magnétique est une région de l’espace où un petit aimant d’essai subit une force
de rotation.

Les lignes de champ magnétique montrent la direction à laquelle un pôle nord serait
confronté.

Densité de flux magnétique (B) : « quelle est la force d’un champ. Mesuré en Tesla (T).

Champs causés par les courants : utilisez la règle de préhension. Les doigts s’enroulent dans
la direction du champ (main de l’anneau), le pouce indique la direction actuelle. Fonctionne
uniquement pour les bobines/solénoïdes.

Force sur un conducteur porteur de courant: la force dépend de l’intensité du champ


(densité de flux), de la longueur du fil d’essai , du courant.

F = BIL.
Règle de la main gauche: FFC. Règle de la main droite: MFC.

Charges dans les champs magnétiques: la somme de toutes les forces sur les électrons = la
force totale sur un fil. La direction sur une charge de force est perpendiculaire à la direction
du mouvement, crée des chemins circulaires.

La force sur la charge q se déplaçant avec la vitesse v perpendiculaire au champ B est


donnée par: F = Bqv.

6.8 Induction électromagnétique

Un conducteur dans un champ magnétique aura des charges différentes à la fin en raison
des électrons se déplaçant dans la direction de la force, ce qui rend les atomes du réseau
positifs. Crée un p.d. entre deux extrémités; B pousse les électrons vers la gauche, E les
pousse vers la droite.

Le courant circule de haut en faible potentiel.

Connectez une batterie et un courant circulera.

CEM induit: « la quantité d’énergie mécanique convertie en énergie électrique par unité de
charge ».

Max p.d. est lorsque la force magnétique poussant les électrons à gauche est égale à la force
électrique les poussant vers la droite.

FB = FE

La vitesse est v, l’intensité du champ est B: FB = Bev

La force électrique est due à E, et E = -dV/dx. Le champ est uniforme donc gradient de
potentiel = V/L, donc :

F E = E E = Ve/L

Ve/L = Bev

CEM induit = Blv

Dans un champ non perpendiculaire, emf = BsinΘ x Lv

Loi de Faraday : « le CEM induit est égal au taux de changement de flux. E = dφ/dt.

Flux magnétique : « mesure de l’intensité d’un champ magnétique sur une densité donnée
».

Nombre de lignes de champ de densité ∝ de flux. Tesla mètre2.

Flux coupé par unité de temps = emf = BLv.


Liaison de flux magnétique : flux total traversant un circuit formé par une boucle
conductrice fermée.

Loi de Lenz : la direction du courant induit est telle qu’il s’opposera à la charge qui le
produit. E = -dNφ/dt.

6.9 Courant alternatif

Une bobine tournant dans un champ magnétique uniforme: le champ électromagnétique


est réduit lorsque la bobine coupe le champ, et le courant dans la bobine reste le même
mais change dans le circuit de résistance après chaque demi-révolution (en raison du
déplacement de la bague de glissement).

CEM induit = flux, = BAcosΘ

Avec N tours : N = BANcosΘ

Substitut: N = BANKSωt

Pour trouver la valeur de crête, E0 = BANω

Vitesse angulaire croissante: plus court entre les pics, pics plus élevés. (Plus rapide =
changement de flux plus rapide = plus grand CEM).

Courant alternatif (AC) – bobine rotative. Courant continu (DC) - une batterie.

Pour les calculs AC, nous utilisons la moyenne quadratique (rms) car il s’agit d’une sorte de
moyenne.

Rms – la racine carrée de la moyenne des carrés.

EMF de AC varie sinusoïdale (courbe sinusoïdale), de sorte que le champ électromagnétique


rms et le courant seront les mêmes que la racine de la moyenne des carrés dans une
fonction sinusoïdale.

IRMS = I 0/ (I0√ 2 = courant de crête).

Alimentation dans les circuits AC: I rms x Vrms

Transformateur: la bobine primaire est connectée à un courant alternatif pour créer un


champ magnétique changeant dans la bobine. Rend le noyau de fer temporairement
magnétique – provoque une modification du champ magnétique et des champs
électromagnétiques dans la bobine secondaire.

N P/NS = V P/Vs
Power in = power out (pour un transformateur idéal car ils ont 100% d’efficacité), donc:

V p I p = V s Is (ce sont des valeurs rms).

6.10 Transport de l’énergie électrique

L’électricité est transférée par câble électrique. Une partie est perdue à cause de la
résistance: R = ρL / A.

Pour réduire la perte de puissance, nous réduisons le courant en augmentant la tension avant la
transmission, ou nous ajoutons plus de câbles en parallèle pour diminuer la résistance.

Les lignes électriques transportent de grands courants alternatifs qui rayonnent des champs
magnétiques. Ceux-ci peuvent induire de petits courants dans le corps humain, mais ils sont
moins nocifs que le champ magnétique terrestre (sauf s’ils sont assis sur les lignes
électriques).

Ch7 Physique atomique et nucléaire

Modèle Thomson : le modèle plum pudding. Pudding positif avec prunes négatives
(électrons).

Modèle Rutherford : comme un mini système solaire. Le défaut était que les électrons
irradiaient des ondes électromagnétiques, perdaient de l’énergie et pénétraient en spirale
dans le noyau.

Spectres atomiques: donnent de l’énergie aux atomes et ils produisent de la lumière lorsque
les électrons remontent les coquilles. Divisez la lumière pour trouver les différentes
longueurs d’onde.

Les électrons n’ont qu’une certaine quantité d’énergie en premier lieu (quantifiée). Ceci est
démontré par le spectre atomique car il ne libère que certaines quantités d’énergie (les
lignes minces). Cela signifie que seules certaines énergies sont possibles pour différents
éléments (prouve les niveaux d’énergie) – discrets.

Cela signifie que la lumière doit être quantifiée, car il ne s’agit pas d’une onde continue.

7.2 Nature quantique de la lumière

Effet photoélectrique: les électrons ne sont émis que si la source lumineuse est très
brillante. S’il est faible, nous nous attendons à ce qu’aucun électron ne soit émis. Si certains
le sont, il y a un délai car ils collectent de l’énergie. La lumière à basse fréquence
fonctionnera si elle est encore assez brillante.

Expérience sur plaque de zinc: une plaque de zinc sur un électroscope avec une lumière UV
brillante dessus. La perte d’électrons signifie moins de charge, de sorte que la feuille de
l’électroscope devrait tomber pendant l’effet photoélectrique. Mais: quand il faisait sombre,
il n’y avait pas de retard, mais tombait plus lentement. Les fréquences plus basses (malgré
l’intensité) n’émettaient pas d’électrons.

Ceux-ci sont explicables si la lumière est quantifiée.

Modèle de lumière quantique : constitué de paquets d’énergie appelés photons. E = hf pour


photon.

Les UV ont une fréquence élevée, ils donnent donc suffisamment d’énergie à la plaque de
zinc pour émettre des électrons. Une intensité plus faible signifie moins de photons, signifie
une perte d’électrons moins rapide (mais pas de retard). Basse fréquence signifie photons
de basse énergie, signifie qu’il ne peut pas libérer d’électrons.

Millikan a créé une expérience pour trouver le KE des électrons. Il a créé un champ
électrique et augmente l’énergie jusqu’à ce qu’aucun électron ne puisse passer à travers. Il a
utilisé ce potentiel d’arrêt pour trouver le KE le plus rapide :

Perte KE = gain PE

1/2mv2 = VSe

KEMAX = VS e

Intensité plus élevée = courant plus élevé, même potentiel. (Plus de plaques mais la même
quantité d’énergie VS).

Fréquence seuil : fréquence à laquelle les photoélectrons sont libérés.

Max photoelectron KE = énergie du photon – énergie nécessaire pour la libération

KEMAX = hf – φ ( φ = fonction de travail.)

OU KEMAX = hf – hf0

Pour la fréquence des photons, changement d’énergie ΔE = hf (pour les niveaux d’énergie).

Spectre d’absorption: a des lignes blanches dans l’arc-en-ciel où l’électron a absorbé la


fréquence nécessaire pour qu’ils s’échappent. Prouve les niveaux d’énergie des électrons.

7.3 Nature ondulatoire de la lumière

Canon à électrons: le filament est rendu chaud par courant alternatif. Les électrons sont
libérés. Ils accélèrent vers l’anode en accélérant p.d. Passez à travers à vitesse constante:

V=
√ 2 Ve
m
Phosphorescence : lumière émise par les électrons lors de la descente du (des) niveau(x)
d’énergie.

Hypothèse de De Broglie : toute matière a une nature ondulatoire. Λ = h/ρ

Par exemple, les électrons passés à travers un film mince de graphite créent un motif de
diffraction (propriété ondulatoire).

Ondes de probabilité : la diffraction cartographie tous les résultats possibles.

Expérience de Davidson-Germer : un faisceau d’électrons réfléchi par un cristal de nickel.


L’angle d’intensité maximale peut être expliqué en termes d’interférence constructive entre
les ondes de De Broglie réfléchies par des couches d’atomes (hypothèse de De Broglie).

Principe d’incertitude de Heisenberg: nous ne pouvons pas connaître la quantité de


mouvement et le positif avec précision. On peut soit : passer à travers une petite fente
(connaître l’emplacement défini, mais elle sera diffractée – élan ?) soit passer à travers une
grande fente (élan défini, ne déviera pas, donc pas d’emplacement défini).

Pour la quantité de mouvement et le déplacement : Δρ Δx > h/4π

Pour l’énergie et le temps : ΔE Δt > h/4π

7.4 Modèles d’atomes quantiques

Électron dans une boîte: un électron n’est pas libre de se déplacer à l’extérieur de l’atome.
Pour modéliser cela, pensez à une ficelle serrée aux deux extrémités. Il ne peut avoir que
certaines fréquences (les harmoniques), comme un électron ne peut avoir que certaines
énergies. Pour créer un modèle quantique, considérez-le comme une onde de probabilité
piégée dans une boîte.

Modèle de Schrödinger : il s’est rendu compte que la probabilité de position des électrons
n’était pas aussi simple que l’onde sinusoïdale utilisée précédemment. La fonction d’onde
est appelée équation de Schrödinger (φ) et la probabilité de trouver l’électron est φ 2. Son
modèle a prédit la position électronique la plus probable. Il a montré que certaines
transitions énergétiques sont plus probables et pourquoi certaines raies spectrales sont plus
brillantes.
Pour l’hydrogène:

7.5 Structure nucléaire

Nuclide : combinaison proton/neutrons qui forme un noyau.

Nucléon : une particule dans le noyau

Isotope : même nombre de protons, nombre de neutrons différent.

Ions: nombre différent d’électrons.

Nombre de nucléons (A) : protons + nucléons.

Nombre de protons (Z) – protons.

Masse du noyau: trouvée à l’aide d’un spectromètre de masse. Projeté perpendiculairement


à un champ uniforme; Masse du rayon de chemin. ∝ m = BQr/v.

L’ion subit deux forces (force magnétique et force électrique) donc v = E/B.

Compter le nombre de points sur la plaque photographique est le nombre d’ions.

Expérience de diffusion de particules chargées: comme l’expérience Geiger-Marsden. Les


particules alpha déviées frappent un noyau. Le KE peut être calculé, et la distance aussi.
Pour trouver la taille du noyau, ils ont tiré des alphas plus rapides jusqu’à ce qu’ils ne
reviennent plus. Les plus rapides se sont rapprochés le plus.

Force nucléaire : force à très courte portée qui maintient le noyau ensemble (identique pour
tous les nucléons).

Énergie de liaison : quantité de travail nécessaire pour séparer un noyau. E = mc 2. L’énergie


est convertie en masse (pas KE, car le noyau ne bouge pas).
La courbe d’énergie de liaison d’un noyau est trouvée par la différence entre la masse du
noyau et la masse des pièces (le défaut de masse).

Les gros noyaux sont moins stables car ils ont plus de protons qui séparent le noyau. Tous
les systèmes essaieront d’atteindre l’énergie la plus faible possible. BE est libéré lorsqu’un
noyau est formé, donc passer à BE plus élevé signifie que de l’énergie est libérée (donc BE
plus élevé = bon / plus stable).

La masse nucléaire est mesurée en (u). 1u = 931,5 MeV.

BE = défaut de masse.

BE par nucléon = défaut de masse/nombre de nucléons.

7.6 Désintégration radioactive

Particules alpha (42H) : très ionisantes, portée courte (5cm), énergies ~5MeV. La
désintégration alpha émet 2 protons et 2 neutrons. DISCRET.

Beta Minus Decay: pas très ionisant, portée d’environ 30cm. Émet 1 neutrons et gagne un
proton. Émet une particule bêta-moins (e') et un antineutrino (v). CONTINU.

Beta Plus Désintégration: un bêta plus est un électron positif (positron). Un proton se
transforme en neutron, un neutrino est produit. Perd un proton, gagne un neutron, émet
une particule bêta plus et un neutrino. CONTINU.

Rayonnement gamma: rayonnement électromagnétique, pas de changement dans les


particules. DISCRET.

Chaîne de désintégration: quand quelque chose se désintègre en un autre noyau radioactif,


puis se désintègre à nouveau.
Le neutrino a été fait pour expliquer la désintégration bêta, car bêta ne peut pas avoir une
gamme d’énergies.

Santé: le mal des radiations peut affecter le système nerveux et peut causer la perte de
cheveux, la maladie, les saignements, la diarrhée et la mort. L’exposition à long terme peut
causer le cancer et des mutations génétiques.

7.7 Demi-vie

La désintégration radioactive est un processus aléatoire et spontané et le taux de


désintégration diminue exponentiellement avec le temps.

Demi-vie: combien de temps il faut pour que la moitié du noyau se désintègre.

Taux de désintégration ∝ Nombre de noyaux non désintégrés, donc:

dN/dt = -λN (λ est la constante de désintégration).

Intégrez entre le temps 0 (N = N0) et le temps t (N = NR) :

Nt = N0e− λt (L’équation de décroissance exponentielle.)

La loi de désintégration radioactive est une fonction exponentielle. La constante de


désintégration nous indique à quelle vitesse un matériau se désintègrera. Une grande
constante de désintégration = une demi-vie plus courte.

Λ et demi-vie: t1/2 est la demi-vie, N0 est le nombre d’origine, donc:

t1/2 = N 0/2, substitut dans N 0/2 = N 0e− λt

Annuler: 1/2 = e− λt

Prendre ln: ln(1/2) = -λt 1/2

Identique à : ln(2) = λt1/2

At = A0e− λt

Mesure de la demi-vie : mesurer l’activité sur une période de temps ou modifier le nombre
de noyaux.

Datation potassium-argon : la roche est chauffée et libère de l’argon. La demi-vie est de


1,26x109 ans.

Datation au carbone: utilisez C14 / C12 pour obtenir: % maintenant = % à l’origine x e− λt . %


initial = 10-10%.

7.8 Réactions nucléaires


Transmutation : modification d’un noyau en ajoutant des nucléons.

Transmutation artificielle/induite : par exemple, azote en carbone.


14
N + 1 0n 146C + 1 1p
7 (L’azote absorbe un neutron et émet un proton.)

Fusion nucléaire : la fusion nucléaire est la principale source d’énergie solaire. C’est la
jonction de deux petits noyaux pour en former un seul. Plus grande masse = plus grand BE
(représenté par graphique).

Fission nucléaire : le noyau se divise en deux noyaux plus petits. Le BE total augmente à
nouveau.

DÉFINITIONS
La première loi de Newton : « Un corps restera au repos de se déplacer à vitesse constante à
moins qu’une force déséquilibrée n’agisse. »

La deuxième loi du mouvement de Newton: « le taux de changement de quantité de


mouvement d’un corps est directement proportionnel à la force déséquilibrée agissant sur
ce corps, et se produit dans la même direction. » F = ma.

La troisième loi du mouvement de Newton : « si le corps A exerce une force sur le corps B,
alors le corps B exercera une force égale et opposée. »

Énergie potentielle gravitationnelle (PE): l’énergie qu’un corps a en raison de sa position au-
dessus de la Terre. PE = mgh.

Loi de conservation de l’énergie : « l’énergie ne peut être ni créée ni détruite - seulement


changée d’une forme à l’autre ».

Collision élastique : lorsque l’élan et le KE sont conversés.

Puissance : travail effectué par unité de temps (J/s ou W).

Capacité thermique (c): quantité de chaleur nécessaire pour élever la température d’une
substance de 1C. Unité: JC-1. Donné par: C = Q/∆T

Capacité thermique spécifique (C): quantité de chaleur nécessaire pour élever la


température de 1 kg d’une substance de 1 °C. Unité: JC-1.

Chaleur latente spécifique (L): la quantité de chaleur nécessaire pour changer l’état de 1kg
du matériau sans changement de température. Unité: JKg-1. L = Q/m.

Zéro absolu : température du gaz lorsque la pression est nulle. Le point auquel les molécules
cessent de bouger. -273C, 0K.

Deuxième loi de la thermodynamique: le travail ne peut pas être complètement transféré


en chaleur / dans n’importe quel processus thermodynamique, l’entropie totale augmente
toujours » (par exemple, un réfrigérateur: la nourriture devient plus froide, plus ordonnée.
La pièce est chauffée, moins ordonnée).

Entropie d’un système = la quantité de désordre dans le système / la propagation de


l’énergie.

Différence de potentiel : la quantité de travail effectuée par unité de charge (V) en prenant
une petite charge +ve de A à B. V = W/q.

La force électromotrice (CEM) est la quantité d’énergie chimique convertie en énergie


électrique par unité de charge (V).

P.d. à travers une résistance est la quantité d’énergie électrique convertie en chaleur par
unité de charge (V).

La puissance dissipée est la quantité d’énergie électrique convertie en chaleur par unité de
temps. P = VI.
La loi universelle de la gravitation de Newton : tout dans l’univers est attiré par tout le reste.
(« Chaque point passe attire une masse ponctuelle sur deux avec une force directement
proportionnelle au produit de leurs masses et inversement proportionnelle au carré de leur
séparation ».)

Potentiel gravitationnel: travail effectué par unité de masse en prenant une petite masse
d’essai d’une position de potentiel nul au point P.

L’énergie potentielle gravitationnelle est le PE gagné par un objet lorsque sa hauteur au-
dessus du sol augmente (position dans le champ gravitationnel). gh = PE/m.

Vitesse d’échappement : « vitesse nécessaire pour qu’un objet atteigne une distance à
laquelle il n’est plus attiré vers la terre ».

Champ électrique: une région de l’espace où un objet chargé subit une force due à sa
charge.

L’intensité du champ électrique est une mesure de la force qu’une charge positive subirait
par unité de charge par masse si elle était placée dans un champ. Intensité de champ : E =
F/q.

Electronvolt : l’énergie gagnée par un électron accéléré par une différence de potentiel de
1V.

Un champ magnétique est une région de l’espace où un petit aimant d’essai subit une force
de rotation.

CEM induit: « la quantité d’énergie mécanique convertie en énergie électrique par unité de
charge ».

Fréquence seuil : fréquence à laquelle les photoélectrons sont libérés.

Force nucléaire : force à très courte portée qui maintient le noyau ensemble (identique pour
tous les nucléons).

Énergie de liaison : quantité de travail nécessaire pour séparer un noyau. E = mc 2. L’énergie


est convertie en masse (pas KE, car le noyau ne bouge pas).

Transmutation : modification d’un noyau en ajoutant des nucléons.

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