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DRT 1009 Droit international public général

Table des matières


Thème 1 : L’ordre juridique international..............................................................................................2
1. La définition du droit international publique (DIP).....................................................................3
2. Les origines du DIP......................................................................................................................3
3. L’évolution du DIP......................................................................................................................4
4. L’ordre juridique international...................................................................................................6
5. La réception du DI......................................................................................................................9
6. La mise en œuvre du DIP............................................................................................................9
7. Les domaines spécialisés du DIP.................................................................................................9

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Thème 1 : L’ordre juridique international

Table des matières :

1. La définition du droit international public (DIP)

2. Les origines du DIP

3. L’évolution du DIP

4. L’ordre juridique international

5. La réception du DIP

6. La mise en œuvre du DIP

7. Les domaines spécialisés du DIP

Tableaux :

 Les ambassadeurs de Hans Holbein le Jeune.


On y voit des objets symbolisant les enjeux internationaux,
représentant la période d’expansion du monde avec l’idée
soudassent de devenir maitre de certains territoires qui avait
une autre raison d’être.
Droit internationaux euros-centriques : Ambassadeurs de
France et de Royaume Unis.

Concept de souveraineté : idée importante du droit internationaux : on est des souverains égaux.
Née au 15/16ème siècle.

Concepts fondateurs avec le consentement de ce qui est l’ordre juridique international.

Egalité et souverains : principes qui a permis l’expansion du droit international.

Droit international permet aussi des relations et des communications entre les états : les 193 pays ne
voient pas les choses de la même manière mais grâce aux nations unis notamment il ont au moins un
canal de communication commun.

 La bataille de Cherbourg d’Edouard Monnet.


Le navire Alabama en train de s’écrouler (de
confédéré) dans le cadre de la guerre civile
américaine détruisait bcp de navire de l’union des
Etats Unis.
Moment important : destruction de ce bateau a
généré un différend entre les USA et le RU : Recours
en 1972 à l’arbitrage qui est siégé à Genève. Pour la
1ere fois on voit que les Etats procurent le règlement
de leur différent par un compromis et dont la réponse est apportée par une tierce partie.

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 De la force vers les moyens pacifiques de règlement des différends.
19ème siècle du droit international, 19ème siècle ou pour la première fois on parle de droit
international publique. Et on commence à réfléchir au droit international comme étant
une discipline à part.

 Guernica de Pablo Picasso 1937.


Cri du cœur contre le bombardement du
régime nazi dans le cadre de la guerre civile
espagnole dans la ville de Guernica. Contre
les effets de l’usage de la force, de l’usage de
la guerre. Au-delàs de n’importe quel
système juridique c’est l’individu qui doit être
protégé. Ce n’est qu’en 45 que dans le droit international l’individu commence à jouer un
rôle. Même si l’individus, même aujourd’hui n’a pas de personnalité juridique à l’instar d’un
état. C’est dans le cadre d’un traité qu’un individu peut se comparer devant une cour
internationale.

1. La définition du droit international publique (DIP)

Ensemble de règle que régissent les rapports entre les Etats. Sans oublier les autres acteurs : le DI
régi de plus en plus des rapport avec des entité autres que des Etats (OI, ONG)

Une fiction collective et nécessaire à l’origine, dans une société international décentralisée qui se
trouve à mi-chemin entre l’ordre et le désordre.

 Décentralisé car chaque état est souverain et égaux. Contrairement au droit des individus :
verticalité du système, autorité centrale. En DI il n’y a pas d’autorité centrale, ce sont els
Etats qui s’organisent comme ils veulent. Pas d’organe exécutif dans le DI. On est parfois
coincé ; traités bilatéraux et quelques conventions multilatérales (très peu surtout depuis les
années 2000 : déclin de création de nouveaux droits, tendance régionalisme du droit (ex :
MERCOSUR))
Mais il existe quand même un cœur unique : Droit international GENERAL : unité de l’ordre
juridique.
Confrontation du fait qu’il s’agit d’un ordre décentralisé mais général.

Le DIP comme « l’ensemble des normes et des institutions destinées à régir la société international »

L’absence d’un « code de droit international »

On s’interroge sur quelles sont les conséquences des violations des règles.

2. Les origines du DIP

 Le DIP aussi ancien que certaines formes de formation politiques (ex : Egypte, Mésopotamie,
les cités grecques, l’empire romain…)

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 Témoignages des traités qui datent d’environs 2,500 av JC (entre Royaume d’Elba (Syrie du
Nord) et Royaume d’Aboussal (Euphrate)

 Le traité de Qadesh entre l’empire Égyptienne (Ramsès II) et l’empire de Hittites (Hattusili III)
en date de 1258 av J.-C., le plus ancien traité de paix survécu à ce jour

 L’instauration de la diplomatie (la dignité et l’inviolabilité reconnus aux représentants de la


puissance avec laquelle on traite (Thucydide 460-400 av JC)

 Exemples de proxénie (le droit consulaire) ou amphyctionies (les institutions de règlement


des différends) des cités grecques ; le jus fetiale (instaurant le principe de l’inviolabilité de
l’ambassadeur) et enfin le jus gentium (le droit des gens) dans l’empire romain

 Le DIP au moyen Age entre féodalisme et la papauté

 L’importance des cités-Etats en Italie à la Renaissance

 Les découvertes du XV-XVII siècles par les empires Portugais et Espagnol, et plus tard par les
Hollandais, les Français et les Anglais ; les thèses civilisatrices et l’idée de jus communications
dans les écrits de Vitoria et Suarez ; mare liberum v mare clausum

 Les guerres de religions au XVI-XVII siècles en Europe aboutissant à la naissance de la


conception moderne de l’Etat souverain, articulée sur les principes de territorialité et
d’égalité, et exprimée dans les Traités de Westphalie (1648) et réaffirmée lors du Congrès de
Vienne (1815)

3. L’évolution du DIP

 Le DIP se libère progressivement du droit naturel au fil des siècles

 L’exposé moderne du « droit des gens » par Emmerich de Vattel (1758) et le terme « droit
international » est utilisé pour la première fois par Jeremy Bentham (1789)

 Les États ont recours de plus en plus les moyens juridiques disponibles pour faire valoir leurs
droits plutôt que les moyens coercitives (e.g. les arbitrages sous le Traité Jay de 1794,
l’arbitrage Alabama de 1872)

 Vers la fin du 19è siècles, tout le territoire de notre planète est découvert et relève d’un état
souverain

 Le colonialisme contribue directement aux hostilités, conflits armés et différends qui se


produit par la suite

 Le DIP est bouleversé au fil du temps (la révolution industrielle, les grandes guerres
mondiales, la fin du colonialisme et l’émergences de nouveaux Etats, la fin de la guerre froide
et enfin la mondialisation.)

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 Les conférences de la Haye de 1899 et 1907 : Les Etats essayent d’estomper la chasse aux
armements et établissent la Cour permanente d’arbitrage (CPA) pour faciliter le règlement
de leurs différends

 L’éclatement de la 1ere guerre mondiale (1914-1918) et l’établissement par la suite de la


société des Nation (SdN) et de la Cour permanente internationale de Justice (CPIJ), la
première juridiction permanente

 L’interdiction au recours à la force en DIP (Pacte Kellog-Briad de 1928)

 L’éclatement de la 2ème guerre mondiale (1939-1945) et l’établissement par la suite de


l’Organisation des Nations Unies (ONU)

 La multiplication des acteurs et la complexité croissante de problèmes sociétaux que le DIP


est appelé à résoudre (écologie)

 Les nouvelles menaces véritablement globales, alors que les règles et principes n’ont pas été
formulés

 Les interactions entre le privé et le public : les lignes qui divisent ce qui est public et privés
déjà difficile à l’échelle interne l’est encore plus à l’échelle internationale

 Si la souveraineté reste toujours au cœur du DIP, il s’agit désormais d’une souveraineté


réinventée pour les besoins de la coopération de plus en plus accrue et de menaces qui
ciblent la communauté internationale dans son ensemble et exigent une réponse
coordonnée.

 La société internationale selon la conception classique : « Le droit international régit les


rapports entre les Etats indépendants. Les règles de droit liant les Etats procèdent donc de la
volonté de ceux-ci, volonté manifestée dans les conventions ou dans les usages acceptés
généralement comme consacrant des principes de droit et établis en vu de régler la
coexistence de ces communautés indépendantes ou en vue de la poursuite de buts
communs. Les limitations de l’indépendance des Etats ne se présument donc pas »
Lotus (France c. Turquie), arrêt du 7 septembre 1927, C.P.I.J. Recueil Ser.A, p.18

La société du Lotus remise en question : ce serait un adage dépassé selon le jugge simma :

« Je trouve cette approche troublante compte tenu de la conclusion générale de la Cour figurant au
paragraphe 3 du dispositif, selon laquelle la déclaration d’indépendance « n’a pas violé le droit
international ». La logique qui sous-tend l’approche suivie par la Cour dénote une conception
ancienne et vieillie du droit international, fondée qu’elle est sur le fameux adage figurant dans l’arrêt
rendu en l’affaire du Lotus, selon lequel les limitations posées à l’indépendance d’un Etat ne se
présument pas, l’ordre juridique international étant par nature consensuel (Lotus, arrêt n 9, 1927,
C.P.J.I. série A n° 10, p. 18). Comme la Cour permanente dans l’affaire du Lotus (ibid., p. 19-21), la
Cour a conclu dans le présent avis que, en ce qui concerne un acte spécifique, il n’est pas nécessaire
de démontrer l’existence d’une règle permissive dès lors qu’il n’existe pas d’interdiction. »

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4. L’ordre juridique international

 Le DIP est fondamentalement différent du droit international privé, du droit interne de


chaque État et du droit comparé

Droit International Publique différent du Droit international privé : Cadre de logique de droit
interne.
Droit International Privé : Lorsque des personnes issues d’un Etat vont dans un autre Etat, quelle
législation s’applique ?
Localisation du droit interne applicable le plus approprié à une situation de fait (exemple : mariage
entre Ukrainien et Français au Canada puis divorce : à quelle juridiction, à quel droit interne fait-on
appel ? )
Chaque droit interne contient des règles en matière de conflit : on recherche le rattachement le plus
proche au niveau des différents systèmes juridiques internes.
Ce sont les tribunaux nationaux qui s'occupent des questions du droit international privé / Droit
international public : Cours internationales.

 Le caractère juridique, international, public et général du DIP

 Les règles et principes fondamentaux de DIP

Principes et règles fondamentaux qui régissent les rapports entre les Etats sont codifiés par des texte
exemple dans : La Charte des Nations Unis, Ils rédigent des principes (Exemple principe de s’abstenir
à l’usage de la force) / La résolution de l’assemblé générale 2625 (sur les relations amicales entre les
Etats) principes établis sur la base de la Charte des NU mais avec plus de précisions.

 La plupart des succès du DIP s’expliquent par la volonté des États de passer les intérêts de la
communauté internationale et de notre planète avant leurs propres intérêts nationaux

 La plupart des défauts du DIP s’expliquent par la nature de la société internationale qu’il est
censé régir

Paradoxalement les chefs dû à la nature de cette société formée par les Etats qui peuvent mettre leur
puissance personnelle avant l'intérêt international.

 La réciprocité et le consentement comme deux principes directeurs

Concepts permanents : Souveraineté / Réciprocité / Consentement : L'état souverain doit clairement


exprimer son consentement à faire partie d’une règle de droit (par un traité, par une pratique de
droit coutumier) Traités bilatéraux “contractuels” : on se doit la même chose entre deux Etats.

 Le développement d’une vraie communauté internationale

Esprit de communautés international : concerne tous les Etats et tous les autres acteurs du Droit
International (DI) ( Exemple lecture (cours 1)La Barcelona Traction (1970). La plupart des obligations
du DI sont des obligations "simples" non opposables à tous les États (traités bilatéraux)

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contrairement aux obligations opposables à l’ensemble de la communauté internationale où chacun
à un intérêt pour agir.

Limites et enjeux du DI :

 Droit de véto de 5 Etats (Chine, France, Russie, Royaume-Uni et États-Unis) dans les NU
(Ancien contexte ou les victorieux de la guerre devaient avoir plus de pertinence et de
responsabilité : on parle depuis longtemps de réformer cette situation qui bloque souvent
mais pour réformer ceci il faut ⅔ l'accord de l’assemblé (=193 pays) et l’accord de ces 5 :
situation presque impossible à changer) - Pas de police. Mais ne pas se concentrer que sur les
limites car le DI fonctionnent la plupart du temps sans que l’on s’en rende compte et on parle
plus souvent des échecs.
En général les Etats respectent le DI par peur des sanctions notamment économiques des
autres Etats : la diplomatie aide et les états ont des contre-mesures/sanction : de l’influence)

 La multiplication des domaines du droit international

 L’objet du DIP « à la conjonction de l’éthique et du pouvoir » (G. Scelle)

 L’humanisation du droit international : la technique et les valeurs

 Les rapports croissants entre le DIP et le droit interne de chaque État

 Peut-on parler d’un vrai ordre juridique international à vocation universelle en l’absence d’un
législateur, d’un gendarme, d’une sanction et d’un arbitre?

Les Etats légiférés (traités, coutumes où leur consentement a été requis) et sont donc censés
respecter ces règles. Même s’il n’y a pas de gendarme : conseil de sécurité, UE peut adopter des
sanctions, pression diplomatique des sanctions économiques par exemple.

Pas d’arbitre : chaque état a préalablement donné son consentement mais souvent ils ne veulent pas
d’une partie tiers règle leur affaire : ne donnent pas leur consentement

 Quelques éléments nécessaires pour conclure à l’existence d’un ordre juridique


international:
(1) le caractère contraignant des normes internationales;
(2) la hiérarchie normative et règles en matière de conflits de normes;
(3) la séparation des pouvoirs;
(4) les conséquences juridiques dans le cas de violation des normes internationales;
(5) l’existence d’une tierce partie pour le règlement des différends

Ordre intégré : caractère contraignant des normes internationales car librement consenti et accepté
par les états + règles pour les conflits au sommet normatif = maturité du DI + séparation des
pouvoirs pas aussi parfaite qu’en droit interne mais Etats et tribunaux, cours internationaux qui
interprètent ces pratiques/conditions + conséquences juridique si violation des règles internationale
notamment en matière de réparation + tierce parti pour le règlement des différend sous réserve du
consentement exprimé.

Jurisprudence : Principes interprétés et appliqués qui seront reprises : rôle secondaire mais
important

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 Quelques dialectiques au sein de l’ordre juridique international :
Sein et Sollen (Kelsen) | Lex lata et lex ferenda (Virally) | Changement et stabilité (Crawford)
| Universel et particulier (Simma) | Public et privé (Chinkin) | Droit relationnel et droit
institutionnel (Dupuy) | Coordination et coexistence (Friedmann) | La lettre et l’esprit
(Bennouna)

 Les sources du DIP :


. Les traités
. La coutume
. Les principes généraux
. Sources de droit non énoncées à l’article 38 du Statut de CIJ (les déclarations
unilatérales, la pratique des OIs)
. Moyens subsidiaires pour déterminer l’existence d’une règle de droit (la
jurisprudence et la doctrine)
. L’équité

Sources principales

 Conventions internationales et traités internationaux


 Coutumes (au sein des OI)
 Jurisprudences internationales
 Doctrine

Ce qui donne la juridicité - Formule de langage - Expression de règle de droit ou règle sociale ?

Droit interne = constitution

Droit international = pas de constitution mais d’autres sources (traités ratifiés par tout le monde,
coutume…)

La charte des NU : les traités internationaux prévalent sur les constitutions internes

(Même si en tant qu'Etat nous n’avons pas signé ou adhéré à un traité/convention, si cette dernière
relève au droit coutumier (ou principes généraux) alors elle s’applique à nous aussi)

“En cas de conflit entre les obligations nées d’accords internationaux et les obligations des Membres
de l’Organisation des Nations Unis en vue de la Charte, ces dernières prévalent” Résolution 2625
Charte des NU

Source : endroit où on va retrouver la règle applicable

Distinguer les normes sociales et les normes juridiques

La structure et la hiérarchie normatives au sein de l’ordre juridique international:

. L’absence d’une constitution selon une conception domestique (« Grundnorm »)


. La Charte des Nations Unies qui ressemble de plus près à une constitution de la
communauté internationale
. Les obligations impératives (jus cogens) (supériorité normative)
. Les obligations erga omnes (opposabilité et invocation)

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« 33. (…) Une distinction essentielle doit en particulier être établie entre les obligations des Etats
envers la communauté internationale dans son ensemble et celles qui naissent vis-à-vis d'un autre
Etat dans le cadre de la protection diplomatique. Par leur nature même, les premières concernent
tous les Etats. Vu l'importance des droits en cause, tous les Etats peuvent être considérées comme
ayant un intérêt juridique à ce que ces droits soient protégés; les obligations dont il s'agit sont des
obligations erga omnes. »

Barcelona Traction (Belgique c. Espagne), arrêt, exceptions préliminaires, C.I.J. Recueil 1970, p. 33,
par. 33

Les sujets de droit international :

 L’État
 L’organisation internationale
 Les autres entités dont la personnalité juridique internationale n’est pas reconnue mais dont
l’impact croissant sur le développement du droit international est de plus en plus évident

 La théorie positiviste volontariste


 Les théories objectivistes
 Les théories critiques
 La théorie de New Haven
 Les théories tiers-mondistes du DIP (« Third World Approaches / TWAIL »)
 La théorie marxiste
 La théorie des relations internationales
 La personnalité juridique
 Les intérêts des Etats, organisations internationales, groupes, entreprises, individus
 Le décalage entre le système traditionnel du DIP et la nécessité croissante de protéger les
intérêts communs et le patrimoine commun de l’humanité
 Quel avenir pour l’ordre juridique international ?

5. La réception du DI
 Les systèmes juridiques monistes et dualistes

 Les États ne peuvent pas invoquer leur droit interne comme une excuse de ne pas se
conformer aux obligations internationales qu’ils ont engagé

 Les particularités du droit canadien et québécois

6. La mise en œuvre du DIP

 Le régime de la responsabilité comme « l’épicentre de l’ordre juridique international »


 Le régime de la protection diplomatique
 Le règlement des différends
 Vidéo 1: https://www.youtube.com/watch?v=ZRpAyzHJrqA
 Vidéo 2: https://www.icj-cij.org/public/files/multimedia-galleries/icj/v_icj_fr.mp

7. Les domaines spécialisés du DIP

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• Droit de la mer
• Droit international humanitaire
• Droit international relatif aux droits de la personne
• Droit des réfugiés
• Droit de l’environnement
• Droit aérien
• Droit diplomatique et consulaire
• Droit du commerce
• Droit de l’investissement

 S’agit-il des domaines en isolation clinique entre eux, de vrais régimes autonomes (« self-
contained regimes »), ou plutôt d’une répartition fonctionnelle encadrée par le DIP général ?
 Le DIP général comme le « fall-back »
 Les intérêts communs (Etats, organisations internationales, ONGs, associations, individus)

 Le décalage entre certains aspects de la conception traditionnelle du DIP et la nécessité


croissante de protéger les intérêts communs et le patrimoine commun de l’humanité

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