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TD1 de procédures fiscales

1) Réaliser un schéma de l’organisation de l’administration fiscale

On a aujourd’hui à la tête de la DGFIP un directeur général à savoir Monsieur Bruno Bezard. Avant
2012, il y avait un directeur général et un directeur général adjoint. Mais depuis 2012, il n’existe plus
qu’un directeur général. La DGFIP est constitué de trois sous direction :
- Filière pilotage de réseau et des moyens : elle est chargée de fournir aux autres sous-
directions les moyens humain et matériels pour fonctionner
- Filière gestion publique : contrôle des budgets et manière dont les budgets vont être utilisés
- Filière fiscalité : chargée de l’assiette et de la liquidation, du recouvrement de l’impôt et du
contrôle des déclarations. On trouve également le recensement du patrimoine foncier. Elle
va fournir des prestations en matière de conseil notamment au profit des collectivités
territoriales.

Comment se présenter l’environnement fiscal avant la DGFIP ? Il y avait la DGI et la DGCP.


- La DGI : elle avait en charge la charge de l’impôt et était chargée du recouvrement des
impôts indirects.
- La DGCP : elle était chargée du recouvrement des impôts directs.
Pour un même impôt, on devait passer d’une administration à une autre. L’idée de la fusion de 2008
est la simplification de ce système.
On ne pouvait pas à la fois être chargé de l’assiette de l’impôt et de son recouvrement. Ce principe
persiste puisque l’agent vérificateur qui contrôle l’assiette d’impôt et liquide cet impôt ne pourra
être le même que celui qui recouvre l’impôt de ce même contribuable.

L’administration fiscale fonctionne sous le ministère de l’économie-finance-budget. Au niveau


départemental, on va retrouver des services de la DGFIP. Au niveau local, on va trouver des services
locaux que l’on appelle le service des impôts des particuliers et le service des impôts des
professionnels.

L’objectif de cette fusion est la simplification ; enrichir l’aide apportée aux élus locaux au travers de
prestation de conseil ; accroitre la performance et l’efficacité ; améliorer les perspectives
professionnels des agents (meilleur plan de carrière, création d’emplois nouveaux, possibilité de
passerelles d’un service à un autre)

2) Quelle est la différence entre le droit de communication et le droit de vérification ?

Le droit de communication est une prérogative exorbitante dont l’AF va disposer qui va lui permettre
d’interroger des tiers. On va dire que le LPF distingue deux formes de droit de communication :
- Droit de communication avec demande préalable : elle se fait auprès de certains
professionnels délimités par le LPF. Ce sont en particulier les professionnels qui sont en lien
direct avec le contribuable : fournisseurs, banques, professionnels du milieu de l’immobilier,
les notaires.
- Droit de communication sans demande préalable : ce sont des systèmes d’apport
d’information qui sont faites par des personnes mentionnées dans l’article. Ces personnes
ont l’obligation de transmettre des informations de manière périodique à l’AF.
Ex : organismes de SS, obligation des employeurs de déclarer à l’AF de manière annuelle le
montant des salaires versées et du nombre de salariés dans l’entreprise (DAS)
Ce droit de communication est soumis à sanction : amende de 1500€ par information non parvenue.
Si malgré l’amende, le refus de communication persiste, on considère qu’il s’agit d’une infraction
pénale soumise devant le tribunal correctionnel et l’amende peut aller jusqu'à 25 000 euros ou un
emprisonnement de 6 mois si récidive.

Le droit de vérification a pou objet de constater sur place des éléments propres à l’entreprise et de
comparer ces éléments avec la déclaration effectuée par le contribuable. L’AF doit prévenir le
contribuable contrairement à ce qui se fait en droit de communication. Comment elle va le prévenir ?
L’AF envoie un avis de vérification au contribuable. Le CGI prévoit que l’AF doit respecter un délai de
deux jours minimum entre la notification de l’avis de vérification et le démarrage des opérations.
Dans la pratique, l’AF s’est engagée de respecter un délai de quinze jours. La vérification de
comptabilité va concerner les professionnels. La micro-entreprise va pouvoir être concernée par
cette vérification car elle a pour obligation de tenir une comptabilité même très simplifiée.
Quelles sont les autres garanties que l’on va pouvoir bénéficier en matière de vérification de
comptabilité ?
- La durée : le LPF prévoit que le contrôle ne peut pas dépasser trois mois pour les petites
entreprises (c'est-à-dire inférieur à 777 000 pour les BIC ; 234 000 pour les BCNC, 350 000
pour les BA). Si le CA est supérieur à ce plafond, le LPF ne prévoit rien mais l’AF s’engage à ne
pas tenir de vérification de comptabilité au-delà de neuf mois. Dans l’hypothèse où on est
dans le cadre d’une petite entreprise et où l’on remarque que la comptabilité n’a pas été
tenue ou a été très mal tenue, l’AF peut prolonger ce délai à 6 mois.
- Le contribuable a la possibilité de se faire assister par le conseiller de son choix. L’AF doit
préciser que le contribuable peut se faire assister sinon la procédure peut être annulée
- Il faut que la charte du contribuable vérifié soit remise au contribuable avant le début des
opérations. Cette charte va être envoyée en même temps que l’avis de vérification ou alors
remis avec le début des opérations.
- Il doit préciser la date des débuts des opérations, les impôts qui vont être contrôlés, la
période qui va être contrôlée

3) Prendre connaissance et commenter le rapport d’activité 2012 de la DGFIP

Voir Helene
TD2 de procédures fiscales

1) L’administration fiscale peut elle rejeter la comptabilité d’une entreprise et pourquoi ?

La notion de rejet de comptabilité va pouvoir s’envisager pour deux motifs :


- Lorsque la comptabilité est irrégulière c'est-à-dire que l’on va constater qu’il y a des erreurs,
des omissions ou des inexactitudes graves et répétées ou encore absence de pièces
justificatives. S’il y a une seule erreur on va considérer qu’on n’est pas dans le cadre d’un
rejet de comptabilité.
- Lorsque la comptabilité est dénuée de sincérité. On va considérer que c’est la comptabilité
dans son ensemble qui est dénuée de toute vraisemblance.

L’AF va reconstituer elle-même la comptabilité de l’entreprise. Elle va reconstituer les bases


d’imposition. Différentes techniques mises en place par l’AF pour reconstituer les bases d’imposition.
Si la procédure se poursuit devant le juge de l’impôt, le juge va se pencher sur les méthodes mises en
place par l’AF et il a la possibilité de rejet la méthode adoptée par l’AF.

Plusieurs techniques peuvent être mises en place par l’AF pour reconstituer les bases d’imposition :
- Technique de l’extrapolation : l’AF va rechercher les résultats antérieurs qui semblent
vraisemblables et va les générer aux exercices pour lesquels il y a eu rejet de comptabilité
(donc aux exercices litigieux)
- Technique de l’enrichissement : elle consiste à faire un corolaire entre les recettes
professionnelles et les dépenses privées. On considère que pour pouvoir dépenser à titre
privé il faut qu’en amont les recettes professionnelles sont suffisantes. Si on constate que les
dépenses privées sont supérieurs aux recettes professionnelles cela pose problème. L’AF va
donc prendre en compte les dépenses privées pour reconstituer le résultat professionnel.
- Technique des balances : comparaison de certains postes au sein même de la comptabilité de
l’entreprise (entre les charges et les produits notamment).
Ce sont trois méthodes qui ne sont pas indépendantes l’une de l’autre. L’AF peut combiner les trois
méthodes.

Le rejet de comptabilité est donc une sanction pour l’entreprise car on est exposé au risque de voir
l’assiette imposable largement réévaluée par rapport à ce qu’elle avait été déclarée.

Des majorations vont être calculées sur les montants non déclarées si l’assiette d’imposition établie
par l’AF est validée

2) Qu’est ce qu’un acte anormal de gestion ?

C’est une notion jurisprudentielle. L’acte anormal de gestion intervient à un stade ultérieur. Il y a
liberté dans la gestion de l’entreprise mais on ne va admettre que l’entreprise met à sa charge une
dépense ou une perte qu’elle ne devrait en principe pas supporter ou qu’elle se prive d’une recette
sans que cette opération soit justifiée (ex : achat de marchandises à un prix trop élevé par rapport au
prix du marché).
Si l’entreprise a mis à sa charge une charge supplémentaire, l’AF l’a rend non déductible (il s’agit
d’une double sanction si l’entreprise est de bonne foi). Dans l’hypothèse d’une opération qui a pour
but pour l’entreprise de se priver d’une recette, l’AF va réintégrer le produit et on va imposer
l’entreprise sur la recette qu’elle aurait du normalement encaisser.

L’arrêt Loiseau de 1990 a mis en avant un principe de non immixtion dans la gestion de l’entreprise.
CE Arret LOISEAU 17/10/1990 : Mr Loiseau exploitait une activité de gestionnaire en bourse et plaçait
en bourse l’argent de ses clients. Pendant 4 ans, il a fait des pertes considérables et comme il
accordait une garantie de bonne fin à ses clients, c’est lui qui assurait les pertes. L’Administration
fiscale lui tombe dessus et refuse qu’il déduise ses pertes. Le CE a considéré que pour les deux
premières années, les pertes étaient déductibles ; en revanche, en persistant encore pendant deux
ans à exercer son activité dans les mêmes conditions, sa prise de risque était devenue
manifestement excessive.

C’est une notion qui est régulièrement mise en avant par les tribunaux en matière d’IS ou de BIC ;
beaucoup moins en matière de BNC. Cela s’explique par le fait que le juge de l’impôt va être
beaucoup plus strict en matière de BNC, on va considérer qu’ils n’ont pas une liberté de gestion aussi
large.
Un arrêt 2003 de la CAA de Bordeaux dans laquelle un notaire s’était chargé de la constitution d’une
SCI mais n’avait pas vérifié l’ensemble des mandats apportés par l’un des associés. Sa responsabilité
professionnelle va être mise en cause, il va tenter de faire passer en dépense les dépenses
supportées pour couvrir le litige. Cela va être refusé parce que l’AF va considérer qu’il s’agit d’une
erreur professionnelle, une erreur déontologique.

3) Retracer les différentes étapes du processus de fraude fiscale.

Avant de pouvoir embrayer sur une véritable procédure en matière de fraude fiscale, l’AF a
l’obligation d’obtenir l’accord d’une commission (la CIF) chargée de vérifier le bien fondée du dossier
et de la plainte. Toute la procédure aura lieu devant les juridictions pénales. Toute d’abord, devant le
tribunal correctionnel puis la cour d’appel et la cour de cassation. Cela signifie que le contribuable
peut être soit parallèle soit successivement poursuivi pour les mêmes faits par des juridictions
différentes. Il peut être poursuivit par le juge de l’impôt concernant l’assiette de l’impôt. L’AF peut
ensuite poursuivre le contribuable devant les juridictions pénales concernant la fraude fiscale.
La peine d’amende maximum pour la fraude fiscale est de 500 000€ et un emprisonnement de 5 ans
(7 ans si fraude aggravée). Il s’agit d’une amende pénale : il le paie à l’Etat. En plus généralement,
l’AF se portera partie civile et elle peut demander un dédommagement qui peut être en supplément
du re-calcul de l’assiette de l’impôt.

Le contribuable peut donc être sanctionné trois fois : la première sanction concerne le calcul de
l’assiette de l’impôt par l’AF ; une amende pénale ; et un dédommagement de l’AF dans le cas où l’AF
se porte partie civile.

Avant que le dossier ne passe devant le tribunal correctionnel, certaines juridictions vont vérifiées en
amont que le dossier est un dossier qui vaut la peine d’être examiné. Il y a donc un contrôle
juridictionnel sur le dossier. A ce stade, il arrive que le contribuable et l’AF transige. Le juge, l’AF et le
contribuable se mette d’accord sur une transaction qui donne lieu à une amende transactionnelle qui
va remplacer l’amende pénale. Ce qui permet au contribuable de ne pas subir la procédure
correctionnelle, mais il dédommage l’Etat, l’AF qui s’est portée partie civile sur les bases de la
transaction.

4) Expliquer les différentes modalités dont dispose l’administration fiscale pour obliger un
contribuable à payer

Le paiement de l’impôt se fait normalement de manière spontanée.

Toutefois, l’AF dispose de différentes suretés :


- Une sureté mobilière que l’on appelle le privilège du trésor qui porte sur les meubles et
effets mobiliers appartenant au contribuable. C’est un super privilège c'est-à-dire qu’il va
passer avant le privilège d’autres créanciers sauf pour deux autres super-privilèges : super-
privilège dont dispose les salariés sur les biens de l’employeur en cas d’impayé de salaires et
le super-privilège des créanciers d’aliments (pension alimentaire impayé).
- Hypothèque légale : la sureté porte sur les immeubles détenus par les contribuables. Pour
faire jouer l’hypothèque légale, une fois que la dette d’impôt est née, il faut que l’AF publie la
dette. Une fois la dette publiée, l’hypothèque légale existe pour dix ans.
- L’ATD (avis à tiers détenteur) : l’AF va pouvoir prendre des sommes qui sont détenues pour le
compte du contribuable qui est défaillant, ces sommes étant dans les mains d’une tierce
personne. Les ATD vont être souvent réalisés entre les mains du banquier, de l’employeur ou
entre les mains d’un notaire (dans le cas où l’AF a la connaissance d’une opération de vente).
L’avantage de cette procédure est qu’il s’agit d’une procédure peu couteuse car elle est mise
en place par une simple lettre adressée à ce tiers. Celui-ci va être immédiatement tenu de
verser les sommes à l’AF et non pas au contribuable défaillant.
Il ya une possibilité pour le contribuable de contester l’ATD pendant un mois devant les
tribunaux judiciaires.
Voir cours concernant le problème avec le sursis de paiement
- La procédure de contrainte par corps : elle consiste à faire pression sur le contribuable en le
mettant temporairement en prison. Elle n’est plus vraiment utilisée de nos jours.

Il existe d’autres modalités de paiement :


- La dation en paient est la possibilité qu’à le trésor de se faire payer par le contribuable par la
remise d’un bien. L’idée étant que l’on va donner la possibilité au contribuable de payer l’ISF
par exemple au travers d’un bien que le contribuable remet à l’AF en contrepartie du
paiement.
- La compensation : voir cours
TD3 de procédures fiscales

1) Il s’agit d’une vérification de comptabilité


2) L’avis de vérification doit être adressé de telles sortes qu’il y ait deux jours francs entre la
réception de l’avis par le contribuable et la date fixée pour le début des opérations. Il faut
préciser le lieu et l’heure du premier rendez-vous, la faculté de se faire assister, les impôts et
les périodes soumis à vérification ; le nom et la qualité de la personne qui va contrôler ; le
nom et coordonnées du supérieur hiérarchique. Si ces mentions obligatoires ne sont pas
portées sur l’avis cela entraine la nullité de l’opération et la nullité des rectifications.
Il faut joindre à l’avis la charte sinon le contrôleur peut la remettre en main propre le jour
avant le début des opérations.
3) IS (car on vérifie une société anonyme) et tous les impôts relatifs à l’exploitation de
l’entreprise (DE, TVA…). On parle d’un contrôle général lorsque le même agent va vérifier la
situation fiscale de l’entreprise au regard de tous les impôts qui font l’objet d’une
déclaration. Le contrôle simple ne va pas porter sur l’ensemble des impôts payés par les
entreprises.
On fait une autre distinction entre les vérifications complètes et les vérifications limitées.
Elles sont complètes lorsque la vérification porte sur toute la période non couverte par la
prescription. Les vérifications limitées limitent le contrôle à une fraction de l’activité non
prescrite.
L’agent peut mettre en place une vérification étendue. L’agent va étendre la vérification de
comptabilité à un contrôle personnel du gérant pour mettre en lien les incohérences entre la
comptabilité professionnelle et la comptabilité privée.
Ici on est dans le cas d’une vérification compète (car trois exercices clos), on ne donne pas de
précisions quant-au caractère général du contrôle
4) Elle va mettre en place une comparaison entre la déclaration et les documents comptables.
On vérifie la cohérence entre ces deux documents. On va ensuite effectuer un examen
approfondi des documents comptables pour vérifier que tout soit correct et cohérent.
Un VC ne peut excéder moins de trois mois pour certaine entreprise. Prolongation possible à
six mois s’il y a des irrégularités importantes. L’AF s’engage à respecter un délai de neuf fois.
5) Si l’agent ne constate aucune anomalie, aucune régularité, on va établir un avis d’absence de
rectification et la procédure s’arrête là. S’il y a des rectifications, cela aboutit à une
proposition de rectification. Cette proposition doit comporter un certain nombre
d’éléments : il va devoir indiquer les impôts qui font l’objet d’une rectification et les motifs
de cette rectification. Ces motifs doivent être justifiés et motivés en fait et en droit. On va
indiquer au contribuable qu’il a trente jours pour faire part de ses arguments. Il faut que la
proposition de rectification soit signée par l’agent vérificateur. Ce délai pourra être prorogé
une fois de ce même délai et cela doit être indiqué dans l’avis de vérification. Il faut indiquer
au contribuable qu’il peut se faire assister par un conseil : mettre en avant la notion de
contradictoire.
Soit l’AF prend en compte les arguments du contribuable et dans ce cas elle abandonne la
rectification ou elle modifie la rectification. Un accord peut être trouvée et la procédure peut
s’arrêter.
Soit l’AF rejette les arguments du contribuable et dans ce cas l’AF va mettre en recouvrement
les impôts.
Si le désaccord persiste, Af et contribuable peuvent s’adresser à la commission
départementale des impôts directs et taxes sur le CA pour obtenir un avis. Soit le
contribuable se conforme à l’avis, soit il y a une procédure de réclamation qui se poursuit
devant le juge de l’impôt
6) Les manœuvres frauduleuses sont sanctionnées par une majoration de 80%. Sont condamnés
à une majoration de 40% les manquements délibérés. Les manquements délibérés sont la
situation où le contribuable va omettre de déclarer certaines recettes supplémentaires.
+ Intérêt de retard de 0,40% par mois
7) L’administration peut avoir le droit mais doit pas le faire n’importe comment. Il faut
s’appuyer sur l’article L 16-B. IL faut que l’AF ait des suspicions à propos du contribuable (se
fait livrer des fractues qui ne se rapportent pas à des opérations réelles ou qu’il y a
sciemment oublié de passer certaines écritures dans sa comptabilité). Dans ce cas là, il y a
droit de visite et saisie sur place mais il faut l’autorisation des juges des libertés qui va
délivrer une ordonnance.
Si le contribuable souhaite faire opposition, il doit interjecter l’appel

Exercice 2 :

Le prélèvement à la source est un moyen par l’AF de se faire payer l’impôt. Les obligations
déclaratives sont moindres. Facilité paiement de l’impôt. Impôt payés plus rapidement. Charges
supplémentaires pour les employeurs et les organismes sociaux (cout financier et en temps pour
l’entreprise).

En France on a du mal à admettre que dans le cadre du travail, l’employeur soit en possession
d’informations privées. La retenue à la source accentuerait cela.

Problèmes de d’équilibre entre les personnes salariées et les personnes non salariées  inégalités

Problème de l’année blanche : première année de mise en place du système. Problème d’imposition
supplémentaire : il va devoir payer l’impôt de l’année intérieur et payer l’impôt mensuel dans le cas
de la retenue. Difficile pour les ménages de faire face au paiement de cette imposition
supplémentaire

La cour des comptes est une juridiction indépendante qui est chargée de contrôler le bon emploi de
l’argent public. Dans le cadre de ce contrôle il va établir des rapports qui comportent des
recommandations à l’adresse des citoyens et des administrations.

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