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REPONSES MACROECONOMIE - CHAPITRE 1 : QU’EST-CE QUE LA MACROECONOMIE ?

Introduction

• Donnez la définition de la macroéconomie. La macroéconomie est l’étude de l’économie dans sa globalité son ensemble. Et
celle de la comptabilité nationale. La comptabilité nationale est un cadre comptable dans lequel les agrégats vont être définis et
mesurés.
• A quels agrégats s’intéresse la macroéconomie ? La macroéconomie s’intéresse au PIB, au niveau général des prix et l’inflation,
et au niveau global de l’emploi.
Section 1. Les variables d’intérêts de la macroéconomie

A. Le PIB
1. Définition

• Donnez la définition du PIB nominal. PIB nominal d’un pays est égal à la valeur monétaire de l’ensemble des B&S finals produits
sur le territoire pendant une année.
• Qu’est-ce que les B&S finals ? Ce sont des B&S destinés à être vendus directement aux consommateurs. Les B&S
intermédiaires ? Ce sont les B&S destinés à devenir des inputs pour la production d’autres produits. Donnez des exemples pour
le dernier. Acier pour la voiture, communication téléphoniques d’une entreprise…
• Pourquoi exclu-t-on les B&S intermédiaires du PIB ? Pour éviter les doubles comptages.
• Qu’est-ce qu’une valeur nominale ? Valeur nominale : Valeur mesurée en unité monétaire de l’année à laquelle elle se rapporte.
• PIB nominal = PIB à prix courants = PIB en valeur.
• Le PIB nominal est-il la variable idéale pour étudier l’évolution de la production nationale ? Non. D’où vient le problème ? Une
partie de l’évolution du PIB nominal vient de l’évolution des prix, dont le PIB nominal ne tient pas compte.
• Que faut-il donc calculer pour résoudre ce problème ? On calcule PIB réel. Comment le calcule-t-on ? On calcule le PIB réel en
prenant les prix d’une certaine année comme référence.
• PIB réel = PIB à prix constants = PIB en volume.
• Qu’est-ce que le PIB réel permet de mieux faire que le PIB nominal ? Il permet de mieux mesurer l’évolution de la production
totale d’un pays.

2. Quelques données relatives aux PIB et PIB/habitant de différents pays


3. Pourquoi s’intéresser au PIB d’une économie ?

• La vie matérielle des habitants d’un pays où le PIB est élevé est plus facile. Donnez des exemples. L’alimentation plus
abondante, équilibrée. Plus de biens de consommations. Offre de loisir est plus riche.
• Le PIB est un indicateur imparfait du « bien-être » d’une société. Donnez deux adjectifs qui qualifient le PIB à propos de sa prise
en compte de ce « bien-être ». C’est un indicateur matériel et quantitatif.
• Qu’est-ce qui est négatif et due à la production, dont le PIB ne tient pas compte ? Ce sont les externalités négatives. Donnez un
exemple et la définition de ce terme. Exemples : pollution, déforestation… Externalité : Situation dans laquelle l’acte de
consommation ou de production d’un agent économique a une conséquence indirecte sur le bien-être d’un autre agent
économique.
• Le PIB ne donne pas d’indication sur quoi ? Car un pays peut être riche mais inégalitaire. Sur la distribution du revenu total.
• Il existe donc des critères complémentaires pour mesurer le « bien-être » :
1) Qu’obtient-on en enlevant au PIB classique la valeur de la baisse du stock de ressources naturelles et le coût des
pollutions engendrées par la production ? Le « PIB vert »
2) Grâce à quel indicateur peut-on comparer les niveaux de vie entre 2 pays ? Grâce au PIB en parité de pouvoir d’achat
(PPA). Qu’est-ce qui est supprimé grâce à cet indicateur (2 conséquences) ? Les effets des taux de change et des écarts
de prix sont supprimés. Donnez la définition. Le PIB en PPA d’un pays correspond à la somme en $ qui serait nécessaire
aux EU pour acheter la quantité de B&S que le PIB par tête permet d’acheter dans le pays. Compléter : (⃝ = < ou >)
 Lorsque le PIB standard (en $) < PIB/ tête en ppa, cela signifie que le pays est pauvre.
 Lorsque le PIB standard (en $) > PIB/ tête en ppa, cela signifie que le pays a un niveau de vie plus élevé qu’aux
EU.
3) Quel est l’indice célèbre utilisé pour mesurer le niveau de vie d’un pays ? L’IDH (indice de développement humain).
Quels sont les 3 variables d’il prend en compte ? Le PIB/ tête en ppa, l’espérance de vie et le niveau d’instruction.
• Quel indice calcule de degré d’inégalité dans une société, défini à partir du revenu disponible ? Le rapport interdécile.
• Citez les 3 critères du revenu (disponible) d’un individu. Donnez des exemples. Des revenus d’activités (salaire ou revenu non
salarial), des revenus de propriété (intérêts), des revenus de transferts (allocations familiales)
• Donnez la définition du terme dividende, d’une action et d’une obligation. Dividende : Part des bénéfices attribués aux
actionnaires. Action : Titre de propriété qui confère au détenteur du capital une partie du capital avec les droits qui y sont
associés. Obligation : Titre de créance (un emprunt).
• Revenus de transfert = prestations sociales = allocations sociales
• Quel est le moyen de mesurer le degré d’inégalité des revenus ? Le rapport P90/P10
• Qu’est-ce qui explique les « moindres » inégalités des revenus dans les pays nordiques ? Ce qui l’explique est l’importance de la
redistribution qui y a lieu à l’aide des revenus de transferts.
• Pour quels autres critères peut-on calculer des rapports semblables ? Citez-en 2. Pour les salaire ou les patrimoines.
• Donnez 2 autres indicateurs qui peuvent être utilisé pour mesurer les inégalités. Donnez leurs définitions.
La courbe de Lorentz : Représente la part du revenu disponible détenue par les ménages lorsqu’on les classes par ordre de
revenu disponible croissant. Le coefficient de Gini : Indicateur synthétique d’inégalités des revenus. Il varie entre 0 et 1 et se
calcule à partir de la courbe de Lorentz.
• Une baisse de ce second indicateur observée entre deux dates indique une diminution globale des inégalités. A l’inverse, une
élévation de cet indicateur reflète une augmentation globale des inégalités.
• L’inégalité de revenus, avant transferts et impôts, dépend principalement de 3 facteurs, lesquels ? De la dispersion des salaires,
du nombre d’emplois à temps partiels et des personnes sans emploi. Les ¾ de la dispersion des revenu résulte de ces 3 facteurs,
le ¼ restant s’explique par la dispersion des revenus de 2 facteurs, lesquels ? Il s’explique par la dispersion des revenus des
travailleurs indépendants et des revenus du capital.
• Également, 2 facteurs permettent de diminuer ces inégalités (baisse d’environ 25% de l’indice de Gini), lesquels ? Les transferts
et la progressivité.
4. Quels sont les facteurs explicatifs essentiels du niveau du PIB/ tête et de son évolution ?
• Quels sont les principaux facteurs explicatifs du niveau de PIB/tête élevé à long terme ? Donnez 6 facteurs. Le stock de capital
fixe / le niveau atteint par la technologie / le niveau de capital humain / les ressources naturelles disponibles / le degré
d’efficacité du fonctionnement d’organisations de l’Etat.
• Quelle situation doit-on éviter pour qu’une entreprise ne domine pas le marché ? La situation de monopole. Citez les 2
situations que l’on retrouve lorsque les firmes s’entendent entre elles. Le premier terme pour 2 firmes et le second pour
plusieurs. Un duopole et un oligopole.
• Quel est le terme qui est défini lorsque les entreprises s’entendent sur les prix ? Un cartel. Citez une institution qui tente
d’empêcher ce dernier. L’Autorité de la concurrence.
• Que doit faire respecter l’Etat pour que les agents économiques aient des incitations à travailler et à investir ? Le droit de
propriété. Quel risque est à l’origine des agents peu motivés ? Les risques d’expropriation.
• De quoi dépend la croissance tendancielle du PIB ? Citez 3 facteurs. L’intensité de l’investissement (FBCF), le rythme du progrès
technique, et l’augmentation des niveaux d’éducation.
• Tendance de long terme du PIB = « trend »
• Politiques de long terme = politiques structurelles
• Fluctuation de court terme autour de tendance à LT = « cycles d’affaires »
• Politiques de court terme = politiques structurelles
• Comment les économistes expliquent les fluctuations de court terme autour de la tendance de long terme ? Donnez les 3 chocs.
Chocs côté production, chocs monétaires, et chocs budgétaires et fiscaux.
• Exemple : Si une banque craint une inflation trop élevée, elle doit mener une politique monétaire restrictive. Pour cela, cette
banque doit augmenter son taux d’intérêt directeur. Les banques commerciales répercutent cette augmentation sur les taux
des crédits accordés aux agents économiques : il y a donc moins de crédits réalisés et donc moins de monnaie dans l’économie,
ce qui doit ralentir l’inflation du pays.
5. Taux de croissance
PIB (t +1 )−PIB (t)
• Donnez la formule du taux de croissance d’une économie de la date t à la date t+1.
PIB (t)
• Peut-on ajouter ou soustraire des taux de croissance ? Non.
• Lorsque la croissance du PIB est plus forte que celle de la population, le PIB/tête d’un pays augmente.
• Donnez la formule pour déterminer le taux de croissance moyen entre les années t et t’. PIB (t’) = (1+ρ)t’-t x PIB (t) Puis, donnez

( )
1
PIB ( t ' ) (t' −t )
la formule que l’on trouve après le calcul : ρ= −1
PIB ( t )
• Donnez la définition du graphique semi-logarithmique. Graphique semi-logarithmique : graphique où l'échelle des abscisses
(l'échelle horizontale) est arithmétique alors que l'échelle des ordonnées et logarithmiques : la distance qui sépare un à 10 et la
même que la distance qui sépare 10 à 100, qui est la même que la distance qui sépare 100 à 1000…

• Dans un graphique semi-logarithmique, par quoi est représentée une variable chronologique ayant un taux de croissance ? Par
une droite. Et a quoi correspond la pente de la courbe ? Au taux de croissance de la variable représentée.
B. Emploi et chômage
• Le chômage est un phénomène préoccupant, d’une part au niveau individuel que peuvent connaître les chômeurs ? Des
difficultés matérielles et psychologique. Et d’autre part, au niveau global, par quoi se traduit le chômage ? Par des pertes de
production et donc de revenus.
nombre de chômeurs
• Donnez la formule du taux de chômage. Taux de chômage =
population active
• Donnez la définition de la population active et de la population inactive. Population active : Personnes qui exercent une activités
professionnelle rémunérée, et les personnes qui recherchent un emploi. Population inactive : Regroupe un ensemble disparate
de personnes : enfant, étudiants, personnes âgées, personnes au foyer.
• Quelles sont les 3 raisons qui expliquent le chômage ? Donnez la définition de chacune des raisons. Chômage frictionnel : Dans
une économie, il y a toujours de nouveaux arrivants sur le MdT, des gens qui en sortent et libèrent leur poste, des gens qui
changent de travail, des entreprises qui se créent et d’autre qui disparaissent. Ces changements incessants font qu’il existe un
temps moyen normalement nécessaire pour passer d’un emploi à un autre ou pour trouver un travail. Il existe même en
période de plein emploi. Il est quasi incompréhensible et est estimé à 3%-4% dans la plupart des économies développées.
Chômage classique : Il peut exister des « rigidités » sur le MdT : salaire minimum, difficultés de licencier qui font que les
entreprises hésitent à embaucher. Chômage keynésien / conjoncturel : La demande de B&S peut parfois être insuffisante ce qui
fait que les entreprises produisent peu et n’embauchent pas.
C. Niveau général des prix et de l’inflation
• Pourquoi s’intéresser à l’inflation, qu’est-ce que l’inflation affecte ? La distribution des revenus. Quels en sont les 2 facteurs ? 1.
Certains revenus ne sont pas toujours bien indexés. 2. En matière de prêts, un inflation non anticipée transfère des revenus des
prêteurs vers m’emprunteur.
• Donnez la formule du taux d’intérêt nominal. TI nominal = TI réel + Taux d’inflation (espérée). Soit ⅈ =r + π x e
• Que signifie, taux d’intérêt ex ante et ex post ? Et donnez leurs formules. 1. Ex ante = avant réalisation de l’inflation : rex ante = i -
∏espérée. 2. Ex post = après réalisation de l’inflation : rex post = i - ∏effectif.
• Donnez les définitions des termes suivant : déflation, désinflation, hyper-inflation. Déflation : Taux d’inflation négatif.
Désinflation : Situation dans laquelle le taux d’inflation diminue. Hyper-inflation : Inflation très forte.
• Qu’est-ce que l’indice de Laspeyres et celui de Paasche ? Indice de Laspeyres : Formule utilisée dans les statistiques de prix pour
mesurer l’évolution des prix d’un panier de B&S consommés au cours d’une période de référence. Indice de Paasche : L'indice
de prix de Paasche est une formule d'indice utilisée dans les statistiques de prix pour mesurer l'évolution des prix du panier de
biens et services consommés au cours de la période en cours.
∑ ( pti q ti ) PIB nominalen t
• Donnez la formule du déflateur du PIB en t. ⋅100, mais également : 100 .
∑p q t0
i
t
i
PIB réel en t
• Que mesure le déflateur ? Le niveau général des prix des B&S finals produits sur le territoire du pays considéré. A combien est
fixé son niveau arbitraire pour l’année de base ? A 100. Selon son évolution a un sens économique et constitue une mesure
de l’inflation. Si l’on prend un déflateur égal à 1 pour l’année de base, que faut-il changer dans la formule ? Il ne faut pas
multiplier par 100 dans la formule.
t t0
P −p
• Donnez la formule du taux d’inflation. π= t0
.100
p
• Donnez les terme de l’IPC. Indice des prix à la consommation.
• Comment obtient-on l’IPC ? On l’obtient en calculant le prix d’un panier de B&S finals consommés par un ménage représentatif.
∑ p ti q ⅈ t 0

Est-ce un indice de Laspeyres ou de Paasche ? De Laspeyres. Et donnez sa formule. t0 t0


⋅100
∑ pi q i
• Donnez le point commun entre le déflateur du PIB et l’IPC et les 2 différences. Point commun : Les 2 sont des indices de prix. Les
différences : Dans le déflateur on prend en compte que le national et l’IPC on prend en compte le national et l’importation. De
plus on ne bloque pas la même quantité : D = année en cours et IPC = année de base.
• L’IPC représente une moyenne, alors pourquoi est-il souvent contesté ? Car il est incapable de montrer le diversité des modes
de vie.
• Donnez la définition de l’IPC et son autre formule. IPC : Moyenne des indices de prix des biens consommés pondérés par leur
part dans le budget de consommation du ménage représentatif à l’année de base.

( )
t t0 t0
pi p i qi
∑ ⋅100 ⋅
pti 0
Bt 0

• Différence entre le déflateur du PIB et l’IPC :


1) Que mesure le déflateur du PIB ? Il mesure le niveau général des prix de tous les B&S finaux produits sur le territoire
national. Pondération = quantité de l’année courante. Indice de Paasche.
2) Que mesure l’IPC ? Il mesure le niveau général des prix des B&S (d’où qu’ils proviennent) Pondération = quantité de
l’année de base. Indice de Laspeyres.
Section 2. Méthodes d’analyse de la macroéconomie

• De quelle branche est issue la macroéconomie ? De la branche de science économique.


• Les crises des années 1930 et 1970, remettent en question des théories dominantes, lesquelles ? Les théories néo-classique et
les théories keynésiennes.
• Différentes époques, différents courants : pour chacune des propositions ci-dessous, dites l’époque et le nom des théories qui
se rapporte.
 Pour eux, la source de richesse d’un pays sont les métaux précieux : Mercantilistes
 Pour eux, la source de richesse d’un pays est la terre : Physiocrates
 Pour eux, la source de richesse d’un pays est le travail : Théories classiques et néo-classique
1. Economistes dominants du XIXème siècle
• Quels types d’économistes dominent pendant cette période ? Citez-en 2. Les économistes classiques et néo-classiques. Citez 4
économistes dominants pour chaque courant. Classiques : Baptiste Say, Robert Malthus, David Ricardo et John Stuart Mill. Néo-
classiques : Walras, Pareto, Marshall et Pigou.
• En quoi ont-ils confiance au niveau du marché ? Au libre fonctionnement du marché pour allouer les ressources et organiser les
échanges de façon efficace. D’où la célèbre « main invisible » d’Adam Smith.
• Les classiques construisent un modèle dans lequel il existe 3 marchés, lesquels ? Le marché des biens, le marché du travail et le
marché de la monnaie.
• Sur chacun de ces marchés, la confrontation de l’offre et de la demande aboutit à un équilibre grâce à l’ajustement d’une
variable particulière, citez-en une pour chacun de ces 3 marchés énoncés précédemment. Marché des biens : taux d’intérêts,
marché du travail : salaire, marché de la monnaie : niveau des prix.
• Selon les classiques, quelle situation ne peut pas se produire, grâce à l’activité de production qui est à l’origine d’une
distribution de revenus qui permet d’écouler les biens produits ? Situation de production.
• Comment s’appelle la loi, de l’économistes Jean-Baptiste Say, qui résume cette proposition précédente ? La loi des débouchés.
Et comment se situe l’offre par rapport à la demande dans cette loi ? L’offre crée sa propre demande.
• Dans le cadre classique, est-ce que l’épargne d’une partie du revenu des ménages est une fuite hors du système qui pourrait
compromettre la loi précédente ? Non. Pourquoi : à quoi sert l’épargne et quel est son effet sur la demande ? L’épargne sert à
financer l’investissement des entreprises, et elle n’est donc pas à l’origine d’une réduction de la demande.
• Pour les classiques, quel doit être le rôle de l’Etat sur le marché ? Fort ou faible ? Faible. Et comment s’appelle le pouvoir de
l’Etat lorsqu’il régule la justice, la défense, la sécurité publique et la création monétaire ? Le pouvoir « régalien ». Que peut
empêcher l’Etat, s’il est trop présent sur le marché ? Selon eux, l’Etat en intervenant trop dans le système économique pourrait
empêcher le bon ajustement des marchés.
2. La crise des années 1930, le keynésianisme
• Quelles sont les 2 causes de la crise des années 1930 qui vont mettre à mal les analyses classiques et néo-classiques ? Fortes
surproductions de biens et une importante montée du chômage.
• D’après Keynes, que détermine le niveau de la demande, citez-en 2 ? C’est le niveau de la demande qui détermine la production
et le niveau de l’emploi. Théorie qui renverse l’argumentaire classique.
• Pour Keynes, par quel intermédiaire, qui est une composante de la demande, l’intervention de l’Etat retrouve une utilité
potentielle ? Par l’intermédiaire des dépenses publiques.
• Résumé : Pour quel auteur…
 … l’offre crée la demande ? Pour Keynes
 … la demande crée l’offre ? Pour J.B Say
3. La crise des années 1970 et le retour des classiques purs
• Quel est en partie l’origine de la crise des années 1970 ? Le premier choc pétrolier.
• Quel est le terme
cette période ? La stagflation.
• Illustrez la courbe de Phillips, quelle relation montre-t-elle ?

Elle montre une relation décroissante entre chômage et inflation.

• Avec quels économistes (2), les années 70, 80 voient une réapparition d’une nouvelle macroéconomie classique ? Lucas et
Barro.
• Comment appelle-t-on les chocs qui expliquent cette récession, facteurs plus important que la demande insuffisante ? Chocs
exogènes.
• Ces économistes avancent que les politiques de relance ne sont pas efficaces, pourquoi ? Car les agents anticipent
rationnellement les changements qui interviennent dans l’économie. Comment se nomme cette hypothèse ? L’hypothèse des
anticipations rationnelles.
• Exemple : Pour relancer la demande, on baisse les impôts (sans baisse des dépenses publiques) : les agents économiques,
anticipant une future hausse des impôts pour équilibrer le budget, ne modifient pas leur comportement présent de
consommation, ce qui n’entraine pas d’augmentation de la demande.
A. Analyse positive ou analyse normative
• Point de vue positif et le point de vue normatif :
 Lequel est descriptif ? Le point de vue positif.
 Lequel est prescriptif ? Le point de vue normatif.
 Lequel est une analyse de ce qui devrait être ? (Jugement de valeur) Le point de vue normatif.
 Lequel est une analyse de ce qui est ? (Faits) Le point de vue positif.

 Donnez un exemple pour chacun des deux points de vue. Le point de vue positif : Une inflation non anticipée transfère des
revenus des prêteurs vers les emprunteurs. Le point de vue normatif : Le taux d’imposition des ménages pauvres devrait
être plus faible que celui des ménages riches.

B. Les modèles économiques


• Donnez la définition d’un modèle. Un modèle est une représentation simplifiée du monde réel qui est utilisée en vue
d’expliquer ou de prédire différents phénomènes.
• Il y a deux types de variables :
 Comment appelle-t-on les variables qui viennent de l’extérieur du modèle ? Elles sont des inputs. Les variables exogènes.
 Comment appelle-t-on les variables qui viennent de l’intérieur du modèle ? Elles sont expliquées par celui-ci et sont des
outputs. Les variables endogènes.
VARIABLES EXOGENES  MODELE  VARIABLES ENDOGENES
C. Les différents modèles macroéconomiques
• Un des modèles suppose que les prix sont flexibles et s’adaptent pour équilibrer l’offre et la demande sur les marchés. C’est le
modèle néo-classique à prix flexibles.
• Cependant, dans la réalité, les conditions changent donc les prix mettent du temps à s’y adapter car il y a des rigidités. C’est le
modèle néo-keynésien à prix rigides/fixes.
• L’utilité des modèles : lequel est utile pour étudier l’impact à court terme d’un changement exogène ? Le modèle à prix rigides.
Et lequel est utile pour étudier l’impact à plus long terme du même changement ? Le modèle à prix flexibles.
REPONSES MACROECONOMIE CHAPITRE 2 : ELEMENTS DE LA COMPTABILITE NATIONALE ?
• Donnez la définition de la comptabilité nationale. La comptabilité nationale mesure les variables macroéconomiques
fondamentales et les ordonne dans un cadre comptable.
• Donnez les termes du sigle T.E.E, que résume-t-il ? Tableau Economique d’Ensemble. Il résume les opérations de tous les
secteurs.
• Plusieurs organismes publics sont chargés de fournir des données économiques, donnez-en 2 pour chaque zone. Pour la
France ? L’INSEE, la Banque de France et les douanes. Pour l’Europe ? Eurostat et la BCE. Pour le monde ? L’OCDE, le FMI et les
publications nationales de chaque pays.
• Pourquoi la plupart des comptabilité nationales sont harmonisées ? Pour pouvoir comparer les données des différents pays.
Section 1. Le Produit Intérieur Brut : les trois approches

• Donnez les 3 éléments que synthétise le PIB et donner une égalité de départ pour le PIB de chaque élément.

 La valeur en € de la production de B&S finales réalisée sur le territoire français pendant une année. PIB = Σ BS finals = Σ
(production-consommations intermédiaires).
 Le revenu total de l’ensemble des agents. PIB = revenu distribué aux agents.
 La dépense consacrée à l’acquisition des B&S produits dans l’économie. PIB = dépense.

A. Un exemple simple
1. Le PIB : 1ère version : approche de Production
• PIB = flux de produits finals, autrement dit, que mesure le PIB dans l’approche production ?
• On peut aussi calculer le PIB en faisant la somme des valeurs ajoutées. Donc PIB=Σ VA =Σ ( production−CI )
• Donnez la définition de la valeur ajoutée d’une firme. La valeur ajoutée d’une firme est égale à la valeur de sa production
diminué de la valeur des CI de tous les produits intermédiaires qu’elle a consommé.
2. Le PIB : 2ème version : approche de Revenus
• PIB = flux de flux de revenu.
• A qui est distribuée une partie de la VA distribuée ? Aux ménages Sous quelle forme ? Sous forme de salaire.
• Que constitue le reste ? Le profit. De qui constitue-t-il le revenu ? Le revenu des propriétaires des entreprise qui eux-mêmes
font partie des ménages.
3. Le PIB : 3ème version : approche de la Demande
• PIB = dépense finale.
• Tous ces biens finals qui constituent le PIB ont été achetés par les ménages et constituent la demande finale.
B. De l’exemple à la réalité
• Donnez 3 raisons, pour lesquelles observer une activité économique très simplifiée, ne se rapproche pas de la réalité. 1. Dans un
exemple très simplifié on produit très peu de biens finals. 2. Une économie très simplifiée vit en autarcie, la France échanges
des B&S avec les autres pays. 3. Pour simplifier on supposait qu’il n’y avait pas d’Etat, or il faut le réintroduire.
1. L’investissement
• Dans un produit final il y a 2 types de biens, lesquels ? Il y a des biens de consommation finale et des biens d’investissement.
• Donnez la définition d’un bien d’investissement. Les biens d’investissement sont des biens d’équipement qui sont utilisé
pendant plusieurs processus de production par les entreprises ou des investissements immobiliers pour les ménages.
• Pour un produit final, PIB = C + FBCF
• Certains produits ne sont pas vendus, donc que devient cette partie de la production ? Elle est stockée. PIB = C + FBCF + ∆ stock.
• Si, à l’inverse, cette production stockée est vendue, alors la ∆ de stock est négative, donc : PIB = C + FBC.
2. Les échanges internationaux
• La nation importe des B&S de l’extérieur (M) et en exporte (X) vers l’étranger. Donnez l’égalité qui traduit les échanges dans
l’économie : PIB + M = C + FBCF + ∆ stock + X soit PIB = C + FBCF + ∆ stock (X - M).
• Comment s’appelle ce calcul : (X - M) ? La balance commerciale.
3. Il faut tenir compte d’un agent particulier : l’Etat
• Dans quel processus intervient l’Etat ? Processus de production. Que prélève-t-il et que verse-t-il en retour ? Il prélève des
impôts et verse des subventions. Et quelles approches modifie-t-il dans les définitions du PIB (2) ? Cela modifie l’approche
production et l’approche revenu.
 DANS L’APPROCHE PRODUCTION DU PIB
• Le prix TTC, est-il le prix de marché ou le prix de base ? Prix de marché. Et le prix HT ? Prix de base.
• La VA des entreprises est-elle calculée HT ou avec taxes ? HT.
• Le PIB, lui, est évalué au prix du marché, TVA comprise, le prix effectivement payé par l'acheteur. (Supérieur ou inférieur)
 Si le produit est soumis à un impôt sur les produits comme la TVA, le prix du marché est supérieur au prix de base.
 S'il bénéficie d'une subvention destinée à faire baisser son prix, le prix du marché est inférieur au prix de base.
• Donc quelle égalité obtient-on ? PIB = ∑VA + Impôts /produits - Subventions.
 DANS L’APPROCHE REVENU DU PIB
• Pourquoi la totalité du PIB ne se répartit plus entre salaires et profits, du fait de l’Etat ? Car une partie est versée à l’Etat sous
forme d’impôts sur la production.
• Donc provisoirement, que devient l’égalité du PIB : PIB = Salaire + Profit + Impôts /production - Subventions.
• Remarque : les entreprises paient 2 impôts, lesquels ? Les impôts sur la production et sur les
importations, et l’impôt sur les bénéfices.
 Dans les impôts sur la production et les importations, quels impôts représentent les 25% ?
Les autres impôts sur la production. Et les 75% ? Les impôts sur les produits.
 Les 25%, qui représentent certains impôts sont indépendants de la quantité ou de la valeur
des biens produits.
 Comment sont payés les 75%, qui représentent les restes des impôts ? Par unités de B&S.
 Donnez des exemples pour chaque type d’impôts. Exemple AIPon : taxe foncière taxe sur les
salaires, taxe professionnelle… Exemple impôts sur les produits : TVA, droit sur les alcools,
TIPP, droit de douane…
• De quoi s’accompagne tout salaire versé ? De cotisations sociales. (Qui augmente le revenu). Par quoi remplace-t-on donc le
terme « salaire » ? Par rémunération salariale.
• Rémunération salariale = salaire + cotisations sociales. Qu’est-ce que la rémunération salariale ? C’est le coût du travail pour
l’employeur.
• Il existe 2 types de cotisations salariales, lesquelles ? Les CS salariales et les CS employeurs.
• Après avoir payés les salariés et les impôts sur la production, que reste-t-il ? Le profit. Donnez ensuite un terme plus précis.
L’EBE (excédent brut d’exploitation).
• Dans l’approche revenu on obtient donc l’égalité finale : PIB = rémunération salariale + EBE + impôts production - subventions.
• SYNTHESE, 3 relations finales :
 Approche production :
 PIB = ∑VA + impôts produits - subventions
 Approche demande ou utilisation :
 PIB + M = C + FBCF + ∆ stock + X
 PIB = C + FBCF + ∆ stock + (X - M)
 Approche revenu :
 PIB = rémunération salariale + EBE + impôts production - subventions
C. Quelques précisions sur le PIB
• Les produits finals (biens ou services), par qui peuvent-ils être produits ? Donnez les 3. Un individu, une société, une
administration. Si c’est une entreprise, elle peut être de deux types, lesquels ? Publique ou privée. Mais pour que cette
opération de production entre dans le PIB, qu’est-ce qui doit être obligatoire ? Cette opération de production doit
obligatoirement avoir lieu sur le territoire français.
• Il faut tenir compte des services non-marchands dans le PIB, comment les appellent-t-on ? Le produit non-marchand des
Administrations.
• Donnez les termes du sigle : ISBLSM. Institution Sans But Lucratif au Service des Ménages. Comment peut-on également
l’appeler ? Les administrations privée.
• Pourquoi ces services non-marchands n’ont pas de prix sur le marché ? Car ils n’ont pas de prix sur le marché puisqu’ils ne sont
pas vendus. Comment les évalue-t-on ? On les évalue à leurs coût de production.
• Qui les produits ? Les administrations. Qui les consomme ? Tout le monde, certains ménages, certaines entreprises.
• On ne sait pas les affecter à ceux qui les consomme réellement. Comment les enregistre-t-on ?
• Remarque : Que représente le C dans l’approche demande ?
• Donnez la définition de la production pour emploi final propre des ménages.
• Remarque : PNM des ménages =
• Donnez les 3 exemples de production pour emploi final propre des ménages.
• Les ventes de certains B&S sont cachées, donnez les 2 raisons et un exemple pour chaque raison.
• Donnez la définition de l’économie souterraine de B&S marchands.
• Le PIB ne mesure pas un stock, que mesure-t-il donc ? Plus précisément, donnez le type. Mais que ne mesure-t-il pas ?
• Le stock et le flux, lequel se mesure sur une période donnée, lequel se mesure à une date donnée ? Qu’est ce que la richesse ?
• Donnez les 4 exemples les plus importants de flux.
• Le regroupement des différents agents :
 SF et SNF : ____________
 APU et ISBLSM : ____________
 Ménages et RDM : ____________.
Section 2. Les agents

• En combien de secteurs institutionnels, la comptabilité nationale regroupe les différents agents ? Donnez les noms de ces
agents.
I. LES MENAGES
• Quelle est la fonction principale de ces agents ?
• Que fournissent-ils, dans lequel on regroupe le travail et le capital ? Et que reçoivent-ils en contrepartie ?
• Que paient-ils une fois leur salaire reçu ? Citez-en 2. Et que reçoivent-ils également, grâce à la redistribution ?
• Un autre agent particulier fait partie des ménages, lequel ? Citez des exemples de cette profession.
II. LES SOCIETES NON-FINANCIERES
• Donnez la définition d’une société non-financière.
• Comment reconnaît-on une société non-financière ?
• Donnez des exemples.
III. LES SOCIETES FINANCIERES
• Donnez la définition d’une société financière.
• De quelles entreprises s’agit-il ? Donnez-en 3.
IV. LES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES
• Quelles sont les fonctions des administrations publiques ? Donnez les 3 fonctions, ainsi que des exemples.
V. LES INSTITUTIONS SANS BUT LUCRATIF AU SERVICE DES MENAGES (ISBLSM)
• Donnez la définition des ISBLSM.
• Donnez des exemples.
VI. LE RESTE DU MONDE
• Donnez la définition du reste du monde.
• Que doivent effectuer les unités pour être résidentes ?
• Que comprend le territoire national ? Citez-en 3.
Section 3. Les opérations décrites par la comptabilité nationale

• Quelles sont les 3 types d’opérations décrites par la comptabilité nationale ?


I. LES OPERATIONS SUR BIENS ET SERVICES : LES OBS
• Que sont les opérations sur les B&S ? Citez les 4 opérations.
• Quelles sont les catégories qui classent les B&S ?
• Pour quoi sont utilisés les B&S de consommation intermédiaire ? Que peut-il leur arriver au cours du processus de production ?
Citez deux verbes.
• Pour quoi sont utilisés les B&S de consommation finale ?
• Quels agents font partie de cette consommation finale ?
• Qu’est-ce qui rentre dans la consommation finale des ménages ? Citez-en 3.
• Donnez la définition de la consommation finale des APU et des ISBLSM.
• Remarque : APU produit une PNM = coût de ____________ = ______ ______ des administrations. Si on ne connaît pas la
production des administrations comment peut-on la calculer ? Car elle ne sera jamais égale à __ !
• Donnez la définition des biens d’investissements. Que constitue l’ensemble des biens d’investissements acquis dans l’année ?
• Que comprend la FBCF ? Donnez les 2 acquisitions. Pour la 1ère acquisition donnez les 2 possibilités.
• Que retracent les opérations de B&S :
 ________________________________________________________
o ________________________________________________________
o ________________________________________________________
 ________________________________________________________
o ________________________________________________________
o ________________________________________________________
o ________________________________________________________
o ________________________________________________________
o ________________________________________________________
• Equilibre des OBS (opérations sur les B&S), on en déduit les expressions suivantes :
 ________ + ________ + ________ = ________ + ________ + ________ = ________ + ________
D’où : ________ - ________ + ________ = ________ + ________ = ________ + (____-____)

On a donc les expressions suivantes du PIB :

o PIB = ________ - ________ + ________


o PIB = ________ + ________ + ________ + (____-____)
 PIB + ________ = ________ + ________ + ________ + ________
II. LES OPERATIONS DE REPARTITION
• Que décrivent les opérations de répartition ? Donnez ce terme puis donnez les 2 distinctions qui existent.
A. La distribution de revenus primaires
• Donnez la définition de la distribution de revenus primaires.
• Comment se répartissent ces revenus qui sont directement issus du processus de production ? Donnez 3 agents, ainsi que le
nom de leur « salaire ».
• Que constituent les revenus primaires engendrés par les opérations sur le territoire français ? Et que constituent les revenus
primaires reçus par les agents économiques nationaux ?
• PIB = ________ + ________ + ________ - ________
• Pour former le RNB, que rejoute-t-on au PIB ? Puis a qui sont versés les revenus primaires retranchés par des unités résidentes ?
• RNB = ________ + ________ - ________
• Donc donnez la définition du PIB et du RNB.
• Remarque : Quel indicateur a été remplacé, par l’INSEE, par le PIB et le RNB ?
B. La distribution secondaire des revenus
• Donnez la définition de la distribution secondaire des revenus.
• De quoi faut-il tenir compte :
 ________________________________________________________
 ________________________________________________________
 ________________________________________________________
 ________________________________________________________
• A quoi sert le revenu disponible des ménages ?
• Donnez la définition des opérations financières.
• Donnez 5 actifs financiers.

Section 4. Cascade des comptes (voir fiche : tableau de compte)

• Donnez la définition de la cascade des comptes.


• Quelles sont les 2 possibilités dans lesquelles peuvent s’enregistrer les opérations ?
• Que dégage chaque compte ? Donnez le terme puis son objectif.
I. LE COMPTE DE PRODUCTION
• Donnez la définition d’un compte de production.
• Comment sont évalués la VA et la production, au niveau du prix ? Quelles opérations sont effectuées avant ?
• Que comprend la production des ménages (définition) ?
 ________________________________________________________
 ________________________________________________________
o ________________________________________________________
 ________________________________________________________
o ________________________________________________________
 ________________________________________________________
 ________________________________________________________
 ________________________________________________________
• Production non-marchande (PNM) des ménages = production pour _________________________________________________
• Que comprend la production des administrations publiques : qu’est-ce qui représente les 1/7ème et qu’est-ce qui représente les
6/7ème ?
II. LE COMPTE D’EXPLOITATION
• Qu’est-ce que compte d’exploitation ?
• La VA est évaluée au prix de base, donc qu’est-ce qui est déjà déduit ?
• Dans le système fiscal français, qu’est-ce qui est directement versé par les entreprises et les administrations ?
• Donnez la définition du revenu mixte ? L’EBE est le revenu mixte de qui ?
III. LE COMPTE D’AFFECTATION DES REVENUS PRIMAIRES
• Donnez la définition du compte d’affectation des revenus primaires.
• Que regroupe les revenus de la propriété ?
• Donnez la définition de l’EBE et les termes du sigle.
• Donnez la définition du RNB et les termes du sigle.
• Quelles sont les 2 façons de calculer le RNB ?
IV. LE COMPTE DE DISTRIBUTION SECONDAIRE DU REVENU
• Donnez la définition du compte de distribution secondaire du revenu.
• Quels sont les secteurs qui ont une consommation finale ?
• Donnez la définition du revenu disponible.
V. LE COMPTE D’UTILISATION DU REVENU
• Pour quels secteurs existe-t-il ?
• Que produisent les administrations ? Donnez les 2 types de production.
• Pour les sociétés : Revenu disponible = ________.
VI. LE COMPTE DE CAPITAL
• Donnez la définition du compte de capital.
• Rappel : FBC = ________ + ________.
• Compléter (⃝ = < ou >) :
 Cf = ________  Ressource ⃝ Emplois
 Bf = ________  Ressource ⃝ Emplois
• Donnez la définition du transfert en capital.
• Globalement, pour tous les agents, les opérations sur les B&S s’équilibrent :
 PIB = ________ - ________ + ________
 PIB = ________ + ________ + ________ + (____-____)
• On sait que chaque opération de répartition se retrouve en emploi d’un agent et en ressource d’un autre agent. Donc
qu’obtient-on si on fait la somme des 5 secteurs et le reste du monde ?
VII. LE COMPTE FINANCIER
• Donnez la définition du compte financier.
Remarque : Donnez les 5 différents impôts.

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