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- Chimie -
Partie I : L’électrolyse du chlorure de magnésium
1- Nom de l’électrode :
2+
C’est la cathode au niveau de laquelle se réduisent les ions Mg en Mg solide.
2- Equation au niveau de chaque électrode :
2+
- A la cathode, il y a réduction des ions Mg selon la demi- équation suivante :
2+
Mg ( aq ) + 2. e − →
← Mg ( s )
-
- A l’anode, il y a oxydation des ions Cl selon la demi- équation suivante :
2.Cl − ( aq ) →
← C l 2 ( g ) + 2. e −
- l’équation bilan est la suivante :
Mg 2+ ( aq ) + 2.Cl − ( aq ) → Mg ( s ) + Cl 2 ( g )
3- La masse m du magnésium déposé pendant Δt:
- Tableau d’avancement de la réaction :
Demi- équation Mg 2+ ( aq ) + 2. e − →
← Mg ( s ) Quantité de
Avancement matière des e-
Etat du système Quantités de matière (mol) échangés :
x (mol)
Etat initial x=0 ni ( Mg 2+ ) ≈ ni (Mg ) 0
2+ ni ( Mg ) + x −
Etat intermédiaire x ni ( Mg )− x ≈ n ( e ) = 2. x
Avancement
Etats du système Quantités de matière (en mol)
x (en mol)
E. Initial 0 n0 n0 0 0
E. Intermédiaire x n0 − x n0 − x x x
E. Final xmax n0 − xmax n0 − xmax xmax xmax
- Physique -
Les Réactions Nucléaires :
1- * Identification de la particule X :
24
L’équation de désintégration est : 11 Na → 24
12 Mg + 0
−1e , la particule X est un électron
−
* Le type de désintégration est : β
24
- Par définition : Ε (12 Mg ) =
(12.m p + 12.mn − m(12
24
)
Mg ) . c 2
24
24
Ε (12 Mg ) =
(12 × 1,00728 + 12 × 1,00866 − 23,97846) × u.c 2
24
- A.N : =
(28 × 1,00728 + 32 × 1,0866 − 59,91543) × 931,5
24
≈ 8,26MeV / nucléon
≈1,32.10 −12 J / nucléon
4- Calcul de la fréquence du rayonnement émis :
L’énergie du rayonnement électromagnétique (rayonnement gamma γ ) est :
E = h.ν = E2 − E1 avec E2 =1,37 MeV = 2,192.10 −13 J et E1 = 0
E E −E
Donc : ν = ou ν = 2 1
h h
2,192.10 −13 − 0
- A.N : ν = ≈ 3,31.10 20 Hz
6,62.10 −34
Physique - chimie 2eme année S.Ex- Sciences Physiques
Correction du sujet de l’examen national du Baccalauréat
Session rattrapage : 2016
KACHICHE MUSTAPHA page 4
L’électricité :
Partie I : Etude du dipôle RL
1- Identification des tensions uR(t) et uPN(t) :
A l’instant t=0 ; l’intensité du courant est nulle : i(0) = 0 alors uR(0) = R⨯i(0) = 0
et au même instant uPN(0) = E - r⨯i(0) = E = 12V :
donc la courbe C1 correspond à uPN(t) et C2 à uR(t).
2- Valeur de l’intensité IP au régime permanent :
Au régime permanent, la tension u R ∞ = R.I P avec u R ∞ =10V graphiquement
uR∞ 10
Donc I P = A.N : I P = = 0,25 A
R 40
le circuit se réduit à deux résistances en série, et d’après la loi de Pouillet on écrit :
E E
IP = A. N : I P =
r+R r+R
3- Vérification que r = 8Ω :
Au régime permanent, la tension le circuit se réduit à deux résistances en série, et d’après la
E E E
loi de Pouillet on écrit : I P = ⇒ r + R= ⇒ r= −R
r+R IP IP
12
- A.N : r = − 40 = 8Ω
0,25
4- Equation différentielle vérifiée par i(t) :
- Loi d’additivité des tensions : u L + u r + u R = E (1)
- Loi d’Ohm, en convention récepteur :
di
u R = R.i et u r = r. i ( 2) et u L = L. (3)
dt
- Des trois relations ; on écrit :
di di r + R E
L. + r. i + R . i = E ⇒ + .i=
dt dt L L
5- Expression des constantes A et ԏ :
−t
- La solution de cette équation est de la forme : i(t ) = A. (1 − e τ )
d − t r + R
τ
− t E
- Portons cette expression dans l’équation différentielle : A. (1 − e ) + . A. (1 − e τ ) =
dt L L
1 r + R − τ A.(r + R ) − E
t
L E
ou bien A . − .e + =0 ⇒ τ= et A =
τ
14243
L 1442443
L r + R r + R
=0 =0
1 1
A.N : −9
<< R2 < −9
⇒ 33,7Ω << R2 < 2.10 4 Ω(= 20kΩ)
50.10 × 594.10 3
50.10 × 1.10 3
La mécanique :
1- Etude dynamique :
1-1- Equation différentielle :
- Système à étudier : {Tige (AB) ; Solide (S)}
→ →
- Repère d’étude (A ; i , j ) supposé galiléen ;
- Bilan des forces extérieures :
→
* Poids du solide (S) : P
→
* Action de l’axe de rotation : R
* Couple de torsion du au ressort de moment Mc
- On applique la relation fondamentale de la dynamique dans le cas de rotation :
→ → ..
M ∆ ( P ) + M ∆ ( R ) + Mc = J ∆ .θ (*)
→ → →
- M ∆ ( R ) = 0 : la direction de R coupe l’axe de rotation ; M ∆ ( P ) = + m.g .BH avec BH = L. sin(θ )
→
donc M ∆ ( P ) = + m.g .L.sin(θ ) ; et Mc = − C.θ
..
- La relation (*) devient : + m.g .L. sin(θ ) + 0 − C.θ = J ∆ .θ (*) et sachant que sin(θ ) ≈ θ et J ∆ = m.L2 ,
.. .. C g
alors : − (C − m.g.L).θ = mL2 .θ ⇒ θ + 2 − .θ = 0
mL L
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g C
1-2- La dimension de : 2
−
mL L
C g C.L − mgL [C.L − mgL ]
- On a : 2 − =
mL L mL2
=
mL2 [ ]
- [C .L ] = [mgL] = M .L .T 2 −2
[ ]
et mL = M .L2 2
C g M .L2 .T −2 C g
- Finalement: 2 − = 2
⇒ 2 − = T −2
mL L M .L mL L
1-3- Expression de Cmin :
2π
Pour que l’équation différentielle précédente admette pour solution : θ (t ) = θ max . cos( .t + ϕ )
T
C g
Il faut que : 2
− > 0 ou bien C > mgL ⇒ C > Cmin avec C min = mgL
mL L
1-4-1- Valeur de T ; θmax et φ :
- Graphiquement on trouve : T =1s et θ max = 0,15rad
- A t=0, on a graphiquement : θ (0) = θ max et θ (0) = θ max . cos( ϕ ) d’où cos(ϕ ) = 1 ⇒ ϕ = 0
1-4-2- * Expression de g :
2π .. 2π
2
2π
- De la solution : θ (t ) = θ max . cos( .t + ϕ ) , on aura : θ (t ) = − θ max . cos( . t + ϕ ) ; ce qui donne:
T T 14442T4443
=θ (t )
.. 2π
2 .. C g
θ+ .θ = 0 ; en comparant avec l’équation : θ + 2 − .θ = 0 ; on déduit que:
T mL L
2π 2π
2 2
C g C
= 2 − , ou bien: g = − L .
T mL L mL T
* Valeur de g :
2
1,31 2 × 3,14 −2
g= −2
− 0,7 . ≈ 9,82m.s
5.10 × 0,7 1
2- Etude énergétique :
2-1- Valeur de l’énergie mécanique Em :
- Lorsque θ = 0 alors B = B0 donc Ep = Epp + Epe = 0 + 0 = 0
L’énergie mécanique est constante est vaut en cette position Em = Ec(0).
- Le graphe de la figure3 donne : Em = 10,8mJ
2-2- Valeur de l’énergie potentielle Ep à θ1 = 0,10rad :
A la position θ = 0,1rad : E p (θ1 ) = Em − Ec (θ1 ) =10,8 − 6= 4,8mJ
2-3- Valeur de la vitesse angulaire lors du passage par la position θ = 0 :
En passant par la position θ = 0 , on a Ep = 0 et Em = Ec
1 .2 . 2.Em
Donc : J ∆ .θ = Em , avec J ∆ = m.L2 on obtient: θ =
2 m.L2
. 2 × 10,8.10 −3
A.N : θ = −2
≈ 0,94rad .s −1
5.10 × 0,7 2