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Le livre de poche extrait pdf

Zaïtsev reprit sa lecture depuis le début. De nouveau, il eut l’impression qu’on lui passait du papier de verre sur les paupières. Il lisait et relisait le rapport de police, incapable d’en retenir un traître mot. La victime : Faïna Baranova, trente-quatre ans, non inscrite au parti, comptable dans une coopérative industrielle, célibataire.
Pas de chance, d’habitude, le premier...Lire l'extrait »Page 2Puisque tu as décidé de partir Au fil des années, la procession familiale qui empruntait l’avenue des Français avait connu bien des variantes, mais jamais encore elle n’avait pris l’allure d’un cortège funèbre. Au détail près qu’elle était bien vivante, il semblait, cette année, qu’on emmenait
Mme Pelletier à sa dernière demeure. Son mari, lui, comme à son habitude,...Lire l'extrait » Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus. Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (mars 2018). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème
abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ? Pour les articles homonymes, voir LDP. Ne pas confondre avec le terme générique Livre de poche Repères historiques Création 9
février 1953 (il y a 70 ans) Fondée par Henri Filipacchi Fiche d’identité Forme juridique Autre SA à conseil d'administration Statut Éditeur élément d'un groupe d'édition Slogan « On ne peut pas vivre sans un livre dans la poche. » Siège social Paris (France) Spécialités tous types Langues de publication Français Diffuseurs Librairie générale française
Société mère Hachette Livre Site web livredepoche.com Préfixe ISBN 978-2-253 Environnement sectoriel Principaux concurrents J'ai lu, Pocket, Folio, 10/18 modifier Le Livre de poche (parfois abrégé LDP) est, à l'origine, le nom d'une collection littéraire apparue le 9 février 1953 sous l'impulsion d'Henri Filipacchi et éditée par la Librairie générale
française, filiale de Hachette depuis 1954. Création Un format déjà ancien Les livres de poche dont le principe est de tenir dans une poche, existaient depuis le XVIIe et le XVIIIe siècle : les livres de colportage sont des ouvrages qui par leur format et dans une certaine mesure leur conception rappellent le livre de poche actuel. Dans les années 1830,
certains éditeurs de Bruxelles, pour des raisons politiques et de censure, publient de petits livres. Vers la fin des années 1840 en France apparaissent les « livres à 4 sous » (20 centimes). Dès 1856, la maison d'édition Michel Lévy frères crée la « collection Michel Lévy » à un franc et en petit format mais deux fois plus grand que le in-16° actuel. Avant
1900, des collections destinées aux publics féminins proposent des formats élégants illustrés in-24° (chez Alphonse Lemerre, Édouard Dentu, etc.). Dans les premières années du XXe siècle, la collection Nelson publie des ouvrages de petit format (in-32°), cartonnés, toilés et recouverts d'une jaquette illustrée.

Du format populaire au poche En 1905, Fayard lance le « Livre populaire », romans populaires à 65 centimes de petit format et en 1916 les éditions Jules Tallandier commercialisent une collection concurrente appelée « Livre de poche », des romans populaires encore moins chers, dont Hachette devra d'ailleurs racheter le nom, comme « Le Livre
Plastic », collection créée en 1948 par Marabout[1]. La maison d'édition allemande Tauchnitz publishers (en) fut sans doute le précurseur du format poche moderne, dès avant 1900. Dans les années 1930, une autre maison allemande Albatross Books crée la première collection moderne de livres de poche, suivi, en 1936, par la maison britannique
Penguin Books qui se spécialise également dans la publication de livres au format poche. L'éditeur américain Simon & Schuster lance sur le même modèle en 1939 les justement nommés « Pocket Books (en) »[2]. Mais le succès rencontré par Le Livre de poche tient à la conjonction de ce nouvel objet de consommation avec l'époque et la demande
populaire et estudiantine d'un livre bon marché, surtout que la France traverse une crise du livre en 1949 qui voit le prix du papier exploser : solution économique, en 1953, Le Livre de poche est six fois moins cher qu'un ouvrage grand format grâce à un papier en bobines peu coûteux[3], à une reliure arraphique[4] d'une nouvelle machine, le perfect
binder, qui fabrique un brochage résistant avec le dos du volume collé, et à une couverture recouverte d'un vernis transparent qui la rend résistante[5]), un livre désacralisé donc, présenté sous des couvertures rappelant les affiches de cinéma, mais néanmoins véhicule d'une littérature de qualité. Une légende veut que Filipacchi ait eu l'idée de ce
format en voyant un jour un soldat américain acheter un livre dans une librairie française, et le déchirer en deux pour qu’il puisse entrer dans les poches de son blouson[6],[7]. Henri Filipacchi réussit à convaincre ses amis éditeurs Albin Michel, Calmann-Lévy, Grasset et Gallimard (via Guy Schoeller) de s'associer à son projet et de devenir ainsi les
« pères fondateurs » du Livre de poche qui selon son vœu doit publier le texte intégral de grands auteurs tombés dans le domaine public[8]. Les libraires sont d'abord réticents face à ce « livre industriel » au prix agressif qui risque de faire chuter leur chiffre d'affaires et qui est présenté en libre service sur un tourniquet placé près de l'entrée de leur
boutique, ce qui est ressenti comme une menace à leur vocation culturelle[9]. Le succès commercial s'explique aussi par sa présence hors des seuls réseaux de libraires classiques : dès la fin des années 1950, Hachette distribue cette collection dans les premiers supermarchés, les stations services, les drugstores, les kiosques de presse, etc. Évolution
Le 9 février 1953 est édité le premier ouvrage du Livre de poche[10]. Il s'agit de Kœnigsmark de Pierre Benoit (no 1), suivi par Les clés du royaume de A.

J. Cronin (no 2), Vol de nuit d'Antoine de Saint-Exupéry (no 3) et Ambre de Kathleen Winsor (no 4). Les illustrations originales des couvertures sont parfois signées. Certaines de ces premières éditions comportent des préfaces. Les premiers numéros sont principalement des rééditions d'ouvrages à succès, remettant au goût du jour certains titres
comme Un amour de Swann de Proust ou Les Mémoires du cardinal de Retz[10]. Chaque quinzaine, 3 titres sortent. Puis la fréquence augmente. Huit titres sont publiés par mois en 1955 puis 12 au milieu des années 1960. Les premiers exemplaires sont tirés en moyenne à 60000 exemplaires[10]. Très vite, il devient un fait de société. De 8 millions
d'exemplaires en 1957-1958, les ventes passent à 28 millions en 1969[11]. De nombreuses collections viennent compléter l'offre initiale au fil des années (classique, exploration, chrétien, thrillers…). Le réseau de distribution Hachette (25 000 points de vente en 1965) participe au succès de l'entreprise. Ce succès inspire des concurrents. En 1958, J'ai
lu est créé par Flammarion. En 1962, Presses Pocket est créé par les Presses de la Cité. Gallimard se retire de la Librairie générale française et crée Folio en 1972[12].

Avec près d'un milliard de volumes diffusés depuis sa création et plus de 18 millions d’exemplaires vendus en 2012, il demeure la première collection de poche française de grande diffusion[12]. Aujourd'hui, filiale de Hachette (plus exactement de Hachette Livre) depuis 1954, Librairie générale française a restructuré son organisation. La raison
sociale de l'entreprise est Librairie générale française tandis que Le Livre de poche en est la marque commerciale. En raison de la notoriété de cette marque, la société est souvent appelée Le Livre de poche. D'ailleurs, l'adresse postale communément employée par l'entreprise pour sa communication interne et externe est : Librairie générale
française (Le Livre de poche) 31, rue de Fleurus 75278 Paris Cedex 06. Identité visuelle (logotype) Le premier logo se déclinait sur fond rouge, bleu ou noir. Logo du Livre de poche de 1953 à 2002. Logo du Livre de poche de 2002 à 2017. Logo du Livre de poche depuis 2017.

Numérotation Chaque livre possède une numérotation unique située au bas du dos. Voici une liste des 10 premiers titres parus dans la collection : no 1 : Kœnigsmark de Pierre Benoit no 2 : Les Clés du royaume d'A.J. Cronin no 3 : Vol de nuit d'Antoine de Saint-Exupéry no 4 : Ambre de Kathleen Winsor no 5 : La Nymphe au cœur fidèle de Margaret
Kennedy no 6 : La Symphonie pastorale d'André Gide no 7 : La Bête humaine d'Émile Zola no 8 : L'Invitation à la valse de Rosamond Lehmann no 9 : Capitaine Conan de Roger Vercel no 10 : Les Mains sales de Jean-Paul Sartre Au départ, des titres comme Les Clés du royaume ou encore Ambre sont édités avec deux numéros, soit respectivement 2*,
2** et 4*, 4**. Cette idée est cependant abandonnée peu après et les livres sont classifiés en volume.

Un volume simple portait un seul numéro tandis qu'un volume double en portait deux et un volume triple trois. Pour déterminer si un livre est considéré comme volume simple, double ou triple (plus rare), cela dépendait du nombre de pages. Un volume simple comprenait aux environs de 250 pages, un volume double aux environs de 500 pages et un
volume triple aux environs de 700 pages. Le nombre de pages était donc fixe et la fonte s'adaptait en fonction de la longueur du récit. Ainsi, un volume simple était vendu 150 anciens francs[13] tandis qu'un volume double était au prix de 250 anciens francs en 1955[14]. Ce système de numérotation s'arrêta après le no 1707 (Au nom du fils d'Hervé
Bazin) en 1966. Les livres portent depuis un seul numéro. De plus, le nombre de pages n'est plus imposé et la tarification est variable. Certaines des différentes collections lancées au fil des ans utilisent toujours ce numérotage, si bien que des titres arrivent à des numéros au-delà de 37000 (chiffres 2004). Il existe cependant des trous de numération.
Par exemple, aucun livre n'a été édité entre 1728 et 1800, 1804 à 1809, 1811 à 1820, 1822 et 1823, 1826 à 1907 ou encore entre 9799 et 9827, 9829 à 9921, 9923 à 9999, 10047 à 10999, 11010 à 11698, 11700 à 11999, 12005 et 12006, 12013, 12016, 12020 à 13026, 13028 à 13030, 13032 à 13112, 13115 à 13122, 13324 à 13499, et des plages de
100 à 500 numéros consécutifs sont réservées à des collections précises. La plage 7000 à 7300 est par exemple dédiée aux titres de science-fiction tandis que les thrillers sont sortis entre 7400 et 7699 puis entre 17000 et 17100[15]. Les « Livre de poche chrétien » ont par contre eu leur propre numération, celle-ci commençant par un A suivi d'un
numéro. Certains livres ont également changé de numérotation après une réédition. Révolte sur la Lune de Robert Heinlein a par exemple été publié avec le numéro 7032 en 1978 puis avec le numéro 34220 en 2016 à la suite d'une réédition[16]. De ce fait un certain désordre s'est créé au fil du temps. Une nouvelle numérotation a été reprise à partir
du numéro 30000 en 2004, même si certaines rééditions ressortent avec des numéros plus anciens[15]. Autres collections En dehors des romans, d'autres collections sont sorties sous le même format : 1955 : Le Livre de poche pratique 1958 : Le Livre de poche classique (collection dirigée par Roger Nimier) 1958 : Le Livre de poche exploration[17]
1960 : Le Livre de poche policier 1961-1963 : Le Livre de poche chrétien collection dirigée par Daniel-Rops). Elle ne contient que 39 livres[18]. 1964 : Le Livre de poche Université (collection dirigée par Maurice Bruézière) 1967 : Lancement de la série Jules Verne (reprise de l'œuvre avec les illustrations de l'édition Hetzel). 1968 : Création de la
Méthode 90 (méthode d'apprentissage autonome des langues). 1974 : Les Guides du Livre de poche.
1976 - 1977 : Création de la Grande anthologie de la science-fiction. 1977 : 1re collection de science-fiction (série dirigée par Jean-Baptiste Baronian et Michel Demuth) 1979 : Le Livre de poche jeunesse 1982 : Biblio / romans 1983 : Biblio / essais (collection créée par Bernard-Henri Levy)[19] 1983 : Le Livre de poche thriller 1984 : 2e collection de
science-fiction (série dirigée par Gérard Klein) 1988 : Les Langues modernes : collection d'ouvrages unilingues et bilingues (anglais, allemand, espagnol, italien…) 1989 : Lettres gothiques : éditions bilingues de textes littéraires du Moyen Âge 1989 : Classiques de la philosophie (collection dirigée par Jean-François Balaudé) 1991 : La Pochothèque
(format 12,5 × 19) : les « Classiques modernes » comprenant l'essentiel de l'œuvre d'auteurs tels que Boris Vian, Doris Lessing, Carson McCullers, Stefan Zweig, Jean Giono, Yasunari Kawabata, Chrétien de Troyes, Knut Hamsun, Colette, Lawrence Durrell, Virginia Woolf, Hermann Hesse, Arthur Rimbaud, Georges Perec 1991 : « Les Encyclopédies
d'aujourd'hui » : Encyclopédie de la franc-maçonnerie, Dictionnaire des Lettres françaises, Dictionnaire des personnages historiques, Atlas de la philosophie, des mathématiques, du cinéma… 1992 : Le Livre de poche références : cette collection consacrée aux sciences humaines propose les textes des spécialistes les plus éminents (textes
fondamentaux, ouvrages de synthèse inédits). 2007 : Le Livre de poche fantasy[19] 2008 : Le Livre de poche Bulles en poche[19] 2010 : Le Livre de poche La Lettre et la Plume Couverture Exemple de couverture récente : la réédition en 2006 du Traité d'athéologie de Michel Onfray aux éditions Le Livre de poche.
Dans les 2 000 premiers numéros, on retrouve la majorité des classiques français. Du no 1 au no 1800 (1967), les couvertures, souvent signées Maurice-Charles Raymond (1912-1982), ou Jean-Claude Forest, sont du style « affiche peinte » caractéristique. Des artistes peintres comme Claude Schürr et Claude Roederer y ont également contribué.
Ensuite elles se modernisent. Pierre Faucheux a donné également des couvertures célèbres notamment pour Paroles de Jacques Prévert. Réactions À l'origine, l'initiative est dénigrée par certains qui y voient l'émergence d'une sous-culture mais la contestation se lève surtout quand le poche se tourne vers le débat d’idées, avec les collections Idées ou
Archives[6]. Le philosophe Hubert Damisch dénonce dans le Mercure de France en 1964 une « culture de poche » et « une entreprise mystificatrice puisqu'elle revient à placer entre toutes les mains les substituts symboliques de privilèges éducatifs et culturels ». Dans Les Temps modernes en 1965, un débat plus serein s'engage et Jean-Paul Sartre
s'interroge : « Les livres de poche sont-ils de vrais livres ? Leurs lecteurs sont-ils de vrais lecteurs ? ».
Des auteurs dénoncent la banalisation de leur travail et une « subversion aux loisirs des nantis »[20],[21]. À l'inverse Jean Giono écrit en 1958 : « Je considère aujourd'hui le Livre de poche comme le plus puissant instrument de culture de la civilisation moderne ». La collection abolit en effet les privilèges éducatifs et amorce un processus de
démocratisation de la lecture[22]. Aujourd'hui, les auteurs modernes sont plutôt flattés de cohabiter avec les grands écrivains du passé[20]. Le livre de poche leur permet d'être plus longtemps en librairie.
Quelques chiffres Le capital de la Librairie générale française, société anonyme, est détenu à 60 % par Hachette-Livre et, à hauteur de 40 %, par les Éditions Albin Michel[10].
Le Livre de poche détient 23,3 % du marché et en est le leader (décembre 2022)[10]. 5 200 titres à son catalogue au 31 décembre 2012[23] plus de 20 000 titres publiés depuis 1953[23] plus de 1 milliard de volumes diffusés depuis l'origine[23] 400 nouveautés par an[23] plus de 18 millions d'exemplaires vendus en 2012[23] De nombreux livres ont
été vendus à plusieurs millions d'exemplaires. On peut citer, sur la base de chiffres de 2012[24] : Plus de 5 millions d'exemplaires : Le Grand Meaulnes d'Alain Fournier Plus de 4 millions d'exemplaires : Vipère au poing d'Hervé Bazin Journal d'Anne Frank Germinal d'Émile Zola Plus de 3 millions d'exemplaires : J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir
de Christine Arnothy Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet La Cuisine pour tous de Ginette Mathiot Thérèse Desqueyroux de François Mauriac Le Parfum de Patrick Süskind Le Silence de la mer de Vercors L'auteur le plus vendu est Agatha Christie avec plus de 40 millions de volumes et est suivie d'Émile Zola avec 22 millions d'ouvrages vendus
(chiffres 2008)[25]. Hommages À l'occasion de son cinquantenaire, une exposition consacrée au Livre de poche nommée Le Livre de Poche a 50 ans a eu lieu au Centre Georges-Pompidou du 5 mars au 5 mai 2003[26]. Références ↑ Ellen Constans, Ouvrières des lettres, Presses Universitaires de Limoges, 2007, p. 27 ↑ Roger Chartier, Jacques Revel,
Histoire de la France. Choix culturels et mémoire, Éditions du Seuil, 2000, p. 205 ↑ Les feuilles d'un même ouvrage n'ont à l'origine pas tous la même nuance de prix. ↑ reliure arraphique, sur larousse.fr ↑ Guillemette de Sairigné, L'aventure du « Livre de poche » : l'enfant de Gutenberg et du XXe siècle, Librairie générale française, 1983, p. 21 ↑ a
et b Denis Lefebvre, « Le 9 février 1953 : lancement du Livre de Poche », sur Historia, 17 janvier 2013 ↑ « Culture : la folle histoire du livre de poche », sur Franceinfo, 8 février 2021 (consulté le 9 février 2021) ↑ Pascal Fouché, L'Édition française, Electre, 1998, p. 12 ↑ Yvonne Johannot, Quand de livre devient poche, Presses universitaires de
Grenoble, 1978, p. 109 ↑ a b c d et e « 5 choses que vous ignorez sur le Livre de Poche », sur Les Echos, 18 janvier 2023 (consulté le 19 janvier 2023) ↑ Le Livre de Poche : 60 ans et l'histoire ne fait que commencer 2013, p. 9 ↑ a et b Le Livre de Poche : 60 ans et l'histoire ne fait que commencer 2013, p. 11 ↑ « Le 9 février 1953, naissait le Livre de
Poche », sur SudOuest.fr (consulté le 1er mars 2021) ↑ Cronin, Les Clés du royaume, Librairie générale française, 2e trimestre 1955, 500 p., p. 4e de couverture ↑ a et b « Poche Librairie Générale Française », sur bibliopoche.com (consulté le 30 août 2018) ↑ « Révolte sur la Lune », sur bibliopoche.com (consulté le 30 août 2018) ↑ 1953-2013.
Soixante ans du Livre de poche [lire en ligne] ↑ « Poche Chrétien Librairie Générale Française », sur bibliopoche.com (consulté le 30 août 2018) ↑ a b et c Le Livre de Poche : 60 ans et l'histoire ne fait que commencer 2013, p. 45-46 ↑ a et b Ça m'intéresse, septembre 2008.
↑ Roger Avau, La jeunesse d'un baby boomer (chronologie 1955-1975), L'Encre du temps, 2010, p. 38 ↑ Pascale Goetschel, Histoire culturelle de la France au XXe siècle, Documentation française, 2010, p. 24 ↑ a b c d et e Le Livre de Poche : 60 ans et l'histoire ne fait que commencer 2013, p. 41 ↑ Le Livre de Poche : 60 ans et l'histoire ne fait que
commencer 2013, p. 43-44 ↑ Joseph Vebret, Friandises littéraires, Ecriture, 2008, p. 122 ↑ Centre Georges-Pompidou, « Le Livre de Poche a 50 ans », 2003 (consulté le 30 avril 2016) Bibliographie Bertrand Legendre, « Les débuts de l’édition de poche en France : entre l’industrie et le social (1953 – 1970) », Mémoires du livre / Studies in Book
Culture, vol. 2, no 1,​ 2010 (ISSN 1920-602X, lire en ligne, consulté le 18 mai 2021) Livre de poche, Le Livre de Poche : 60 ans et l'histoire ne fait que commencer, Paris, Librairie générale française, 2013, 47 p. (lire en ligne) L'Aventure du Livre de poche (L'enfant de Gutenberg et du XXe siècle) par Guillemette de Sairigné : livre de poche publié hors
commerce en 1983 à l'occasion du 30e anniversaire de la collection Yvonne Johannot, Quand de livre devient poche, Presses universitaires de Grenoble, 1978 Voir aussi Liens externes Site officiel des éditions du Livre de Poche Site officiel du prix des lecteurs du Livre de Poche Base de données du livre format poche Salon du livre spécialisé dans le
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