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.faire un exposé
pour convaincre
-Gagnez la confiance en la méritant l’honnêteté est le
meilleur moyen d’obtenir du crédit. C’est aussi le meilleur
moyen de gagner la confiance de ses auditeurs.
-Obtenez une réponse affirmative
Le meilleur moyen d’ouvrir un
débat et de gagner une manche, a dit Lincoln, est de trouver
d’abord un terrain d’entente.
commencer par un sujet sur
lequel vous êtes en accord avec vos auditeurs, puis de
soulever une question pertinente à laquelle tout le monde
aimerait avoir une réponse. Puis, avec l’auditoire, vous
recherchez sincèrement la réponse. Dans cette recherche,
présentez les faits avec tant d’évidence, qu’ils accepteront vos
conclusions, comme étant les leurs
-Parlez avec un enthousiasme
contagieux
Chaque fois que vous parlez et surtout quand vous voulez
convaincre, votre comportement détermine l’attitude de vos
auditeurs
-Montrez du respect et de la sympathie
pour votre auditoire
-Commencez d’une manière amicale
-Mettez votre coeur dans vos paroles
Un bon orateur doit être
L’orateur maîtrise son entrée sur scène, celle-ci est pensée, vécue,
conscientisée. Elle peut être adaptée au sujet et venir soutenir le propos
véhiculé.
Occupation de la scène
L’orateur prend en compte tout l’espace qu’il peut utiliser et l’utilise afin de
soutenir son propos. Il sait être immobile et mobile quand cela le demande.
Sortie de scène
Présentation vestimentaire
Gestes parasites
Distribution du regard
L’orateur sait marquer l’importance de ses arguments par des temps qui permettent
à son auditoire de bien les enregistrer. Il maîtrise le temps qu’il accorde aux
rires
et aux applaudissements et ses interactions avec le public.
Diction et articulation
Vo i x
Tout discours a une certaine musicalité produite par le rythme, les variations et
le
timbre de la voix de l’orateur.
Introduction
Structure du discours
Traits d’humour
Culture générale
Vocabulaire spécifique
L’orateur a su tenir son auditoire suspendu à ses lèvres et l’a transporté dans les
arcanes de sa pensée et de son discours.
14. Le miroir
- Consigne : par deux, l’un est le miroir de l’autre. A propose des gestes
et B les reproduit dans le même moment, dans le même instant.
- Travail sur : écoute corporelle, prise de conscience des messages
que l’on envoie avec son corps, concentration, coopération
La poker face est une attitude communément admise pour définir un visage
impassible, inexpressif
et qui permet, physiquement, de masquer son état intérieur en exprimant seulement
la neutralité. Elle
est la résultante d'un contrôle plus ou moins réussi d'un individu au niveau de son
langage corporel.
16. Babebibobu A E I O U
- Consigne : En cercle, une personne propose un enchainement de
syllabes finissant par a, e, i, o, u (ex : « ba, be, bi, bo, bu ») puis tout
le groupe reprend en cœur « ba, be, bi, bo, bu ». Une autre personne
propose une nouvelle syllabe et le groupe la reprend. Celles-ci
doivent être de séance en séance de plus en plus dures « kptra kptre
kptri kptro kptru ». on peut rajouter une difficulté de rythme de plus en
plus rapide.
- Travail sur : diction, projection de voix, oser faire, articulation
17. Virelangue (voir liste en annexe)
- Consigne : En cercle, l’animateur propose un Virelangue qu’il va
apprendre au groupe en le décortiquant. Ensuite il leur fait répéter
plusieurs fois de plus en plus rapidement.
- Travail sur : diction, projection de voix, oser se tromper, acceptation
de l’échec, articulation, imagination
3. Se présenter « à la manière de »
- Consigne : une personne monte sur scène seule et elle à X minutes
pour se présenter. Cette présentation peut se faire sans autre
contrainte que se présenter soi-même, soit elle peut être une
présentation à la manière d’un « coach sportif », d’un « chercheur
fou », etc.
- Travail sur : oser être seul sur scène, parler de soi d’une autre façon,
imagination/créativité
Liste de Virelangue
Tu t’entête à tout tenter, tu t’uses et tu te tues à tant t’entêter
Trois tortus trottait sur un toit très étroit
Des blancs pains, des bancs peints, des bains pleins.
Suis-je bien chez ce cher Serge ? Oui vous êtes bien chez ce cher Serge
Petit pot de beurre, quand te dépetitpotdebeurreriseras-tu? Je me
dépetitpotdebeurreriserai quand tous les petits pots de beurre se
dépetitpotdebeurreriserons.
Un généreux déjeuner régénérerait des généraux dégénérés.
Que lit Lili sous ces lilas ? Lili lit l’Iliade.
Mon père est maire, mon frère est masseur.
Je veux et j’exige d’exquises excuses.
Si ça se passe ainsi, c'est sans souci.
Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ?
Trois crabes crus croissent. Trois crabes cuits crient.
Le chat sauvage se sauve, le chasseur chauve la chasse.
Maman m’a mis ma main sur mamie, mais mamie m’as mis ma mie dans ma main.
Un chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien.
Les vers verts levèrent le verre vert vers le ver vert.
À qui sont ces skis qui se cassent ! Mais qu’est-ce que ces skis qui se cassent ?
Une idéologie c’est une logique d’idées, une petite machine qui donne un
sens aux événements
Pour cela, nous allons commencer par
respecter quelques principes simples mais essentiels : bien formuler notre
idée directrice, identifier le bon nombre d’arguments, garder en tête la
priorité donnée à la clarté et à la concision
N’oublions jamais ces deux règles d’or de la rhétorique: « ce que l’on précise,
c’est ce qui ne va pas de soi » ; « ce que
l’on énonce, c’est ce que l’on met en discussion ».
.Nous allons
simplementfaire précéder notre accroche ex abrupto d’une phrase d’adresse
préalable, extrêmement
brève, qui n’aura d’autre but que de préparer nos auditeurs à accueillir notre
parole. Nous n’avons
plus ensuite qu’à laisser passer un silence court – mais crucial – avant
d’enchaîner sur notre ex abrupto. L’effet produit sera exactement celui que
nous recherchons : dynamique, sans être brutal. L’adresse préalable peut prendre
bien des formes, selon
les contextes. Elle constitue, au fond, un concentré de politesse.
En une phrase, elle permet de remercier les personnes qui doivent l’être, et
de prévenir toutes les autres que nous nous apprêtons à parler
Nous sommes
jugés sur la base de critères tels que le débit, le volume, le ton de la voix,
les pauses, les raclements de gorge ou les rires et la mélodie du discours.
La qualité de notre
respiration détermine la qualité de notre voix et aussi notre état mental.
La vraie
bienveillance, c’est chercher à être utile aux autres et, bien souvent,
cela suppose de prendre le risque de déplaire dans un premier temps. Un prince doit
toujours prendre conseil, mais il doit le faire quand il
veut, et non quand d’autres le veulent ; il faut même qu’il ne laisse à
personne la hardiesse de lui donner son avis sur quoi que ce soit, à
moins qu’il ne le demande
le mystère
permet d’entretenir l’intérêt.
la critique est ce qui permet d’avancer, vous devez être sélectif sur les gens dont
vous acceptez les
critiques et sur les situations dans lesquelles vous les recevez
Ce que le public
retiendra, c’est si vous avez su rester calme et sûr de vous ou si, au
contraire, vous vous êtes démonté et avez perdu le contrôle. C’est à cette
réalité que je dois vous préparer. Un débat, c’est donc une opportunité de
faire preuve de caractère. Pour ce faire, je vous invite à pratiquer le triangle
de l’autorité : contrôler, recentrer, élever.
Contrôlez vos émotions. Prenez le débat pour ce qu’il est : un simulacre, une mise
en scène. Quand on ne peut pas gagner, il faut éviter de perdre
.Recentrer
Ce qui compte, c’est de faire valoir votre supériorité
morale : vous, vous ne perdez pas de vue l’essentiel ;
Tout ce que le monde
extérieur doit savoir, c’est que vous êtes quelqu’un de bien, que vous avez
un combat et que vous êtes déterminé à le gagner.
.Élever
si vous
souhaitez que votre public retienne votre message, il faut le rendre
mémorable. Cela passe par un travail sur le parallélisme, sur la répétition,
ou sur la rime.
1. Identifier le problème
Si vous souhaitez que le public vous accorde son attention, confrontez-le à
un problème
2. Assombrir l’horizon
Afin de maintenir l’attention de votre
public, montrez-lui les conséquences auxquelles il s’expose s’il ne fait rien.
Assombrir
l’horizon de votre public revient tout simplement à montrer en quoi son
inaction va l’empêcher d’assouvir ses besoins fondamentaux : la sécurité, la santé,
le plaisir, le confort, l’amour, la
protection de ceux qu’on aime, la reconnaissance sociale
3. Dénoncer les coupables et leurs idées fausses
Si vous passez trop de temps
à parler de vos opposants, vous apparaîtrez agressif et jaloux. Si vous faites
comme s’ils n’existaient pas, vous paraîtrez faible et consensuel. Ceci dit,
vos opposants n’ont pas à être des personnes clairement identifiées
4. Justifier la solution
convaincre le public suppose de lui donner de
bonnes raisons de changer d’opinion. Persuader le public suppose de le
motiver à agir
C’est l’une
des tristes réalités de notre époque : les réseaux sociaux donnent une prime
à ceux qui savent créer la sensation. Quels contenus sont les plus viraux ?
Les contenus qui choquent, qui brisent les conventions, qui heurtent par leur
outrance ou leur vulgarité.
la posture
révèle l'état émotionnel d'une personne. Si vous adoptez une
posture optimale, cela a un effet positif sur votre état d'esprit. plus un
événement déclenche chez moi une
émotion forte et plus j’ai envie de la partager avec d’autres gens.
Un argument,
c’est une preuve avancée à l’appui d’une proposition. Un contre-argument,
c’est une preuve avancée en démenti d’une proposition. Une objection,
c’est une preuve avancée en démenti d’un autre argument.
Un argument est composé de deux éléments : la prémisse et la conclusion.
La conclusion est ce que vous voulez que votre public admette comme vrai,
la prémisse est ce que vous lui donnez pour l’admettre
Un bon argument doit offrir une résistance aux tests de vérité et de validité.
Le test de vérité
Des données qualitatives : il s’agit du produit de vos observations (Quand
je prends un livre et que j’en lis quelques pages, je me sens tout de suite
apaisé) ou des témoignages que vous auriez récoltés (Ma femme me dit
toujours que dix minutes après avoir ouvert un livre, elle se sent apaisée)
Des données quantitatives : il s’agit de vérifier que vos observations
coïncident avec ce que l’on peut observer dans la majorité des cas. Ces
données quantitatives prennent la forme de sondages et de statistiques
(75 % des français affirment lire pour réduire leur stress).
Le test de validité
Tester la validité, c’est se demander si les bonnes raisons de croire en la
vérité de sa prémisse sont suffisantes pour fonder sa conclusion.
Ceux dont le point de vue est opposé au vôtre sont absolument convaincus
d’avoir raison, faites-les cheminer vers un autre point de vue. Pour
ce faire, vous pouvez utiliser ce modèle à quatre temps :
1. Vous pensez que...
2. Vous avez de très bonnes raisons de le faire.
3. En effet, vous êtes probablement sensible aux valeurs A, B, C.
4. Et justement, il y a un moyen de concrétiser ces valeurs auxquelles vous
n’avez peut-être pas pensé.
Anticiper les
objections avant même qu’elles ne soient soulevées ? Empêcher les attaques
d’être portées, afin d’en protéger nos arguments ? En rhétorique, une telle
stratégie porte un nom : il s’agit d’une prolepse.
La prolepse est le procédé qui consiste à formuler l’objection de
l’interlocuteur à sa place, afin d’y répondre avant qu’elle ait pu être
énoncée. Elle s’incarne dans des structures telles que : « Bien sûr, on me
dira que… mais à cela je répondrai que… » ; « Vous m’objecterez que… et
pourtant il faut bien reconnaître que… » ; « J’entends ceux qui pensent
que… mais n’oubliez pas que… ». Toutes ces formulations relèvent d’une
même dynamique : priver l’interlocuteur de l’occasion de nous contrecarrer.
Cette erreur est très fréquente, y compris dans la vie quotidienne. Le
vendeur précisant à ses clients : « Je ne cherche pas à vous vendre ce qui
m’arrange. » Le médecin ajoutant spontanément : « Vous pouvez avoir
confiance dans ma prescription, je n’ai aucun lien avec l’industrie
pharmaceutique. »Autant de prolepses qui, employées de manière superflue, risquent
non pas
de lever un doute, mais bien de le semer.
prolepse nécessaire
« J’entends certains répéter que je n’ai jamais été ministre. Ils
ont raison. Lors des trente dernières années, j’ai simplement été chef
d’entreprise, directeur d’une grande école, député, secrétaire général de
parti politique, président de commission parlementaire et président de
l’Assemblée nationale. Pardonnez mon inexpérience ! Mais vous savez, je
ne suis pas le seul : figurez-vous que le général de Gaulle lui-même n’avait
jamais été ministre avant de devenir Président et fondateur de la
V
e République ! Eh bien, c’est l’une des nombreuses choses que nous avons
en commun ! » . Il était crucial,
toutefois, d’attendre que l’objection ait été soulevée abondamment dans le
débat public avant de nous y confronter
contre prolepses
« Mon confrère vous parlera sans doute des malheurs
qui accablent son client. Il vous décrira en détail son enfance volée, son
adolescence traumatisée, sa vie bouleversée. Mais n’oubliez pas, n’oubliez
jamais : nous sommes nombreux à avoir vécu des drames. À affronter des
vies difficiles. Nous ne choisissons pas pour autant de devenir des
meurtriers. L’accusé, lui, a fait ce choix. C’est la seule chose qui compte. »
- LA DÉNÉGATION
La première des stratégies, lorsque nous sommes confrontés à un fait
embarrassant, est aussi la plus simple : nier.
: « Écoutez-moi bien. Je vous le dis les yeux dans les yeux.
Je n’ai jamais – jamais, m’entendez-vous – possédé de compte à l’étranger.
Pour moi, payer mes impôts n’est pas seulement un devoir. C’est aussi une
fierté. »
la dénégation
partielle. Il s’agira alors de rechercher, parmi les faits qui nous sont
reprochés ou les documents qui nous sont opposés, le maillon faible.
L’élément suffisamment faux ou fragile pour que nous puissions le
dénoncer
- L’INTERPRÉTATION
Pour cela, nous allons souvent travailler sur
l’intentionnalité derrière le fait : ce qui nous est reproché est exact, mais ce
que nous cherchions à faire a été mal compris. en
argumentant sur l’intention derrière les faits plutôt que sur les faits euxmêmes,
nous laissons peu de prises à la contradiction. Il est difficile, en
effet, de réfuter une intentionnalité.
- LE PLAN ÉNUMÉRATIF
Le plan énumératif aura donc toujours la même structure. Après une
accroche (exorde) visant à capter l’attention de l’auditoire, nous présentons
immédiatement notre idée directrice, que nous assénons sans détour. Nous
passons ensuite au corps de notre intervention : notre sélection des
arguments les plus efficaces possibles, que nous accolons les uns aux
autres, sans tergiversation. Pour chacun de ces arguments, nous essayons de
trouver une formule percutante, qui les condense, ainsi qu’un exemple
marquant, qui les illustre. Enfin, en guise de conclusion, nous répétons tout
simplement notre idée directrice. . Il s’agit ainsi d’une structure adaptée aux
contextes dans
lesquels nous devons marquer les esprits en un temps très court.
« C’est dur de
prendre la parole, n’est-ce pas ? Saviez-vous qu’il y a de nombreuses
personnes pour qui la peur de parler en public est plus intense que la peur
de la mort ? Et pourtant, cela n’est pas une fatalité. Aujourd’hui, j’aimerais
vous montrer que tout le monde peut devenir une bonne oratrice ou un bon
orateur ! C’est même très simple : il vous suffit d’apprendre à maîtriser
quelques grands principes, que je vais brièvement vous présenter.
Premièrement… » J’énumère ensuite mes conseils les uns après les autres, en les
enrichissant chaque fois d’une formule forte et d’un exemple
mémorable. Mon argumentation comporte cinq points, mais je sais que, si le
présentateur me fait signe de m’arrêter avant la fin, ce ne sera pas un drame.
Même incomplète, mon intervention resterait efficace. En conclusion, je me
contente de reprendre l’idée directrice : « Vous le voyez, ces conseils sont
très simples. Avec de l’entraînement, tout le monde peut les maîtriser.
Chacune et chacun d’entre vous, ici, peut apprendre à parler en public. Il
suffit de vous en donner les moyens ! »
- LE PLAN NARRATIF
dans un plan
narratif, nous ne présentons pas une énumération, ni ne déployons un
raisonnement. Nous racontons une histoire. Ou, pour employer un concept
de communication contemporaine : nous faisons du storytelling.
Nous commençons par exposer
la tension qui se situe à la source de notre argumentation : difficulté à
résoudre, défi à relever, opportunité à saisir… Nous présentons ensuite les
répercussions, positives ou négatives, provoquées par cette tension :
menaces qu’elle fait planer, craintes qu’elle suscite, espoirs qu’elle
soulève… Enfin, nous avançons notre recommandation pour parer à ces
menaces, lever ces craintes ou réaliser ces espoirs : ce sera la proposition
que nous portons. Tension, répercussions, recommandation
La prosopopée
Il s’agit de produire un discours du point de vue d’une autre personne ou
d’une entité inanimée. Trouvez un sujet sur le modèle suivant : « Que dirait X face
à la situation
Y ? ». Par exemple : « Que dirait une mère à son fils qui part à la guerre ? »
ou, si vous optez pour des sujets inanimés : « Que dirait la terre du
réchauffement climatique ? »
Retenez
donc que la description commence par un exercice de visualisation et se
poursuit par exercice de sélection dont le critère est la pertinence : les
éléments que vous retenez doivent faire avancer l’histoire. Retenez
également ce conseil de Stephen King : la question essentielle n’est pas
comment décrire mais combien décrire. Si la description commence dans
votre esprit elle doit se terminer dans l’esprit de votre public
les gestes
soutiennent l'expression verbale. Ils permettent de clarifier davantage le
contenu. Vos bras et vos mains jouent un rôle
très important. les personnes qui gesticulent peu
ou pas du tout sont plus sujettes aux phrases compliquées, aux lapsus et,
de surcroît, à une mélodie de discours monotone. C'est d'ailleurs également
le cas lorsqu'on tient des stylos ou d'autres objets. Il vaut mieux se taire
pendant quelques instants que d'agiter les
bras en l'air et provoquer une irritation.
Un sourire
amical crée une base de confiance et de sympathie, qui peut vous ouvrir
des portes. Un faux sourire se reconnaît au fait que la zone des yeux est
passive. Avec un sourire authentique, en revanche, les joues se soulèvent,
tandis que les sourcils s'abaissent et que des rides apparaissent sous l'œil.
Pour obtenir un sourire radieux et d'autres expressions faciales, il faut
entraîner les muscles.
Nous sommes
jugés sur la base de critères tels que le débit, le volume, le ton de la voix,
les pauses, les raclements de gorge ou les rires et la mélodie du discours. quelle
que soit l'expressivité de la formulation d'une phrase, si le contenu
n'est pas cohérent avec le son de la voix, cela se remarque immédiatement. Cela
fait de notre
respiration le moteur de notre voix, pour ainsi dire. La qualité de notre
respiration détermine la qualité de notre voix et aussi notre état mental.
Pour décontracter la mâchoire, en mâchant un chewing-gum tout
en parlant. Les voyelles A, E, I, O et U sont idéales pour entraîner une
prononciation
propre et le volume de la voix de manière simple. Ouvrez grand la bouche
et retenez le son aussi longtemps que possible. Pour réduire la fréquence des
mauvaises prononciations, entraînez-vous à
réciter des virelangues. Cette activité est bonne non seulement pour votre
cerveau, mais aussi pour vos muscles de la parole. "Seize chaises sont
cassées", "un chasseur sachant chasser chasse sans son chien de chasse", "un
pâtissier qui pâtissait chez un tapissier qui tapissait, demanda un jour au
tapissier qui tapissait : vaut-il mieux pâtisser chez un tapissier qui tapisse
ou tapisser chez un pâtissier qui pâtisse ? " ou "Elle est partie avec tonton,
ton Taine et ton thon" ne sont que quelques-uns des nombreux choix
possibles. Vous pouvez tester la clarté de votre discours en parlant
d'une voix aussi calme que possible devant un groupe un peu plus éloigné.
Veillez à conserver une prononciation claire jusqu'à la fin de chaque
phrase et à ne pas avaler ou marmonner les derniers mots. il peut
arriver que la voix s'éteigne après une prise de parole prolongée. Cela se
manifeste entre autres, par un enrouement ou des raclements de gorge
fréquents.
• Pour éviter cela, il faut généralement boire beaucoup. Les cordes vocales
restent ainsi souples à long terme. Vous devez choisir des boissons peu
irritantes, comme l'eau et les tisanes. L'eau tiède en particulier protège de
la fatigue.
• Les bonbons et les pastilles conviennent également pour le soin des
cordes vocales. L'idéal est d'utiliser des variétés de sauge, de mousse
d'Irlande ou de sel Emser et d'éviter le menthol. Le menthol assèche les
muqueuses.
• Par exemple, si l'on ne vous propose pas de boisson pendant une
conférence vous pouvez avaler de la salive, en faisant glisser votre langue
le long de l'arrière de vos incisives ou en mordant légèrement le bout de
votre langue pour stimuler la production de salive. En cas de "boule" désagréable
dans la gorge, les cordes vocales sont
occupées. Le meilleur moyen de lutter contre ce phénomène est de bâiller,
de tousser, d'avaler de la salive ou de fredonner. Veillez donc à baisser la voix
à la fin d'une unité de phrase. C’est la
base d'une ligne mélodique dynamique. Vous pouvez également accentuer
délibérément certains mots pour en souligner l'effet.
En variant le rythme de votre discours et en utilisant de manière ciblée les
pauses, vous pouvez également faire apparaître plus de vivacité dans vos
propos. il est
judicieux de faire une pause avant ou après des déclarations ou des mots
importants. Cela augmentera votre attention et encouragera vos auditeurs
à réfléchir. Ne laissez pas le silence vous troubler et entraînez-vous à
garder le silence pendant trois secondes complètes.
le style
classique. Il est divisé en cinq sections mentales. L'exorde décrit
l'introduction et vise à attirer l'attention de l'auditoire. La narratio est la
description des faits. Dans le cadre de cette démarche, vous pouvez
également énoncer votre objectif ou votre thèse. Elle est suivie de la
propositio, c'est-à-dire d'une ébauche de l'argumentation suivante. Vous
entrez ensuite dans les détails lors de l'argumentaire. Il s'agit ici de
convaincre avec des arguments et de réfuter ceux de la partie adverse.
Enfin, tirez une conclusion dans l'étape Conclusio. En outre, faites appel
une dernière fois aux émotions du public et, si nécessaire, invitez-le
directement à l'action. • Lorsqu'il s'agit d'un public ayant une connaissance
approfondie du sujet,
un schéma d'entonnoir peut être utile. Elle se concentre sur l'essentiel en
posant une question, une argumentation logique et en concluant par une
recommandation. Selon la règle dite des trois, sur onze contributions à un
programme d'information quotidien, les gens ne se souviennent en
moyenne que de trois. C'est pourquoi il est souvent préférable de présenter
trois arguments bien pensés et assez percutants plutôt que de marquer des
points avec la variété. Il est absurde que
les phrases compliquées aient l'air élégant. Même des phrases courtes
peuvent démontrer votre compétence et faciliter le traitement de
l'information par le public. Assurez-vous également de rester en mode actif.
Contrairement aux
formulations passives et subjonctives. Le présent
est généralement le temps le plus efficace, car il crée plus de tension et de
proximité. L'utilisation du "nous" permet de créer un sentiment de communauté,
mais il est préférable de rédiger les invitations en utilisant la forme directe
de l'adresse, c'est-à-dire "vous", ou "tu"
Au lieu de le
mémoriser mot à mot, il est bon de préparer un petit bloc-notes ou des
fiches avec les mots clés. Cela crée une séquence mentale et vous permet
de réfléchir à l'avance à ce que vous voulez dire.
Les plus importants sont une posture assurée et le contact
visuel. Rappelez-vous que vous y parvenez principalement en
parlant lentement et en gesticulant naturellement. Il n'y a pas de problème
non plus à se promener sur le bord de la scène
La conception d'une introduction
intéressante est d’une importance majeure à cet effet.Cependant, personne ne vous
écoutera si vous
n'avez pas déjà suscité l'intérêt de l'auditoire par la salutation ou recueilli
des points de sympathie. Les premiers mots déterminent souvent le succès
ou l'échec d'un discours. Créer une atmosphère agréable dès le début est
non seulement essentiel pour votre rapport avec l'auditoire, mais vous aide
également à développer un sentiment de sécurité et à bannir le trac.
Une introduction réussie peut se faire par exemple par une blague qui
détend l'atmosphère et crée un lien avec le public. Un remerciement au début de la
présentation a un effet similaire. Vous gagnerez généralement la confiance beaucoup
plus rapidement si
vous créez un sentiment de communauté dès le départ. Les métaphores et les
histoires, voire une expérience interactive en
direct, attirent également l'attention et semblent originales et spéciales. Par
exemple, vous pouvez demander aux gens de répondre à une question par
oui ou par non en se levant, puis de la résoudre plus tard, par exemple en
utilisant des phrases comme "tous ceux qui ont précédemment répondu par
l’affirmative..." D'autre part, les présentations sérieuses et dramatiques créent
également
de l'excitation. Une autre possibilité consiste à poser des questions rhétoriques.
Celles-ci
peuvent également être formulées de manière provocante afin d'inciter
immédiatement l'auditoire à réfléchir. Vous pouvez également faire une promesse qui
suscite la curiosité. Par
exemple, vous pouvez la faire précéder de la phrase suivante : "lorsque
vous quitterez la pièce dans une heure, vous vous rendrez compte que...".
Expliquez clairement l'avantage que le public retirera de vous suivre.
De courts clips vidéo, tels qu'un film d'images ou une interview,
conviennent également pour un début passionnant, tout comme des photos
expressives. Le fait d'évoquer des actualités et des événements déjà connus des
auditeurs leur permet de s'identifier à vous et de créer un sentiment de
communauté. Vous pouvez utiliser les bulletins d'information le matin ou
faire spontanément référence à votre arrivée
Une conclusion réussie de votre discours est tout aussi déterminante que
l'introduction. Après tout, le public quittera la salle avec la dernière
impression que vous avez transmise. Dans le meilleur des cas, vos mots
auront toujours un impact. Il est préférable de conclure par une formule
personnelle telle que "je suis heureux que nous ayons parlé si ouvertement
de ce sujet aujourd'hui" et de faire référence à votre message clé initial.
C'est également le bon moment pour lancer un appel direct à l'action. Les
formulations possibles sont " cela implique pour vous dans le futur que... "
ou " lorsque vous irez travailler demain... ". De nouvelles informations ne
doivent plus être mentionnées. Résumez plutôt une fois de plus les
avantages, soulignez les conséquences et montrez l'avenir. Proclamer une
devise ou offrir une consolation sont des clôtures plus impressionnantes Résumez
plutôt une fois de plus les
avantages, soulignez les conséquences et montrez l'avenir. Proclamer une
devise ou offrir une consolation sont des clôtures plus impressionnantes
qu'un classique "merci de votre attention". Il ne faut surtout pas lire les
derniers mots, mais s'adresser au public avec conviction et en le regardant
dans les yeux. Veillez également à ne pas paraître épuisé, mais à
convaincre avec la même énergie qu'au début.
Bien que
vous ne deviez pas fixer votre interlocuteur en permanence, le contact
visuel est
généralement souhaité et vous ne devez pas regarder autour de vous de
manière
extravagante ou chercher un meilleur interlocuteur.
une fois qu'un rapport a été établi grâce au pacing, vous pouvez passer
prudemment au leading. Au cours de cette opération, la communication doit être
orientée dans la direction que vous souhaitez. Vous pouvez vous entraîner
en
complétant l'exercice de pacing. Dès que vous sentez qu'un rapport s'est
établi
grâce à l'alignement, changez de posture. Si votre vis-à-vis vous suit,
cela
signifie que le pacing a réussi
Très souvent, les gens n'écoutent que pour pouvoir répondre ensuite. En
d'autres termes, vous passez à un rôle passif dès que vous commencez à planifier
votre réponse. Pour ce faire, il est important d'adopter une attitude
aussi peu
critique que possible. Votre préoccupation première doit être de percevoir
l'information afin de comprendre au mieux le message envoyé. Cela crée
une
atmosphère bienveillante dans laquelle votre interlocuteur se sent beaucoup
plus
à l'aise à s'ouvrir. Cela permet aussi d'éviter les malentendus et les
discussions
houleuses. C'est pourquoi l'écoute active est très indispensable dans les
situations
de conflit. Les pauses dans la conversation doivent être supportées afin
que
l'autre se sente encouragée à révéler toutes ses pensées et tous ses
sentiments.
Vous devriez avoir tendance à en dire très peu. Un "je vois"
approbateur ou des
acquiescements comme "Hm" et un hochement de tête sont également propices
et indiquent que vous suivez la conversation avec attention.
introduisent des
phrases successives avec les mêmes mots ou parties de phrases à plusieurs
reprises et les soulignent avec conviction. Par exemple, on pourrait lire
"comme c’est fatigant de ne pas être entendu". Comme c'est fatiguant de ne
pas être pris au sérieux. Comme c'est fatigant de se sentir condamné à la
solitude."
Dans cette optique, vous pouvez également utiliser des litotes. Il s'agit
d'affirmations prudentes par le biais de négations du contraire, comme "pas
vraiment laid".
• Des comparaisons telles que "Il est fort comme un lion" se prêtent
également à un langage plus descriptif.
Par
exemple, si quelqu'un dit "personne ne fait attention à ce que j'ai à dire",
vous pouvez demander qui exactement n'écoute pas ou ce que la personne
aimerait dire. À des affirmations telles que "tu te moques toujours de moi
et ne me prends jamais au sérieux", vous pouvez répondre par "est-ce que
je me moque vraiment toujours de toi ?" ou "cela signifie-t-il pour toi que
je ne te prends jamais au sérieux ?
L'approche optimale serait donc la résolution coopérative.
Cela implique une évaluation détaillée de la situation. Après avoir identifié
le problème, les deux expliquent leur point de vue. L'étape suivante
consiste à trouver une solution orientée vers l'avenir, qui tienne compte,
dans une certaine mesure, de tous les besoins. Il est également important de ne
jamais présenter sa propre opinion
comme vérité absolue et de toujours rechercher le retour d'information des
autres. Par exemple, après avoir exprimé son propre point de vue, on peut
demander ce que l'autre personne en pense. Les menaces, par exemple "si cela se
reproduit...", témoignent d'une
incompétence sociale et d'un manque de respect.
• Il en va de même pour les généralisations telles que "tu ne m'écoutes
jamais !" ou "tu me fais toujours des reproches. évitez la
nervosité, dégagez de la confiance en vous à travers votre langage corporel
et ne perdez pas votre calme même face à des questions déstabilisantes.
On ne vous avait jamais parlé du pain comme ça. C’est exactement ce que
doit se dire votre public. Comme il n’existe aucun sujet dont personne ne
parle, apprenons à parler de notre sujet comme personne. C’est plus qu’une
question d’efficacité, c’est une question de prestige.
la chrie il consiste à rapporter les paroles d’une personnalité de
la façon la plus brève et la plus édifiante (ou amusante) possible.
« Arrête
malheureux, tu risques de blesser ton père ».
figure de style
« Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous.
Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays »
anadiplose
« Notre douleur s’est changée en colère et notre colère en
détermination. »
« La peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la
souffrance. »
anaphore
« Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Mais Paris
libéré ! »
La polysyndète : placer une conjonction de coordination au début de chacun des
membres de la (ou des) phrase(s) formant une énumération, le plus souvent alors
qu’elle n’y est pas nécessaire :
« Un soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux. − Et je l’ai trouvée amère. − Et je
l’ai
injuriée » (Rimbaud, Une saison en enfer)
La symploque : les mots ou groupes de mots commençant une phrase et ceux la
terminant sont repris au début et à la fin de la phrase suivante de sorte qu’il y a
un
entrelacement de répétitions :
« On nous dit que la gauche n’a aucune chance mais rien n’est écrit. On nous dit
qu’elle ne rassemblera jamais, qu’elle en est incapable, rien n’est écrit. On nous
dit
que l’extrême droite est qualifiée d’office pour le second tour, rien n’est écrit.
»
Antithèse : créer un contraste à l’aide de deux termes opposés dans la
même phrase.
Vous avez choisi la paix, vous aurez la guerre.
Dans ce flot de haine, je vous parle d’amour
Assonance : répétition d’un même son vocalique (phonème) dans
plusieurs mots proches.
« Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. »
« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant..
Chiasme : un croisement d’éléments dans une phrase ou dans un
ensemble de phrases sur un modèle AB/BA et qui a pour effet de donner
du rythme à une phrase ou d’établir des parallèles
Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour mange
Épanalepse : reprise d’un groupe de mots au début d’une proposition.
« Ô triste, triste était mon âme/À cause, à cause d’une femme. »
Épanorthose : corriger une affirmation jugée trop faible en y ajoutant
une expression plus frappante et énergique.
Votre prudence, ou plutôt votre lâcheté, nous a perdus.
« C’est un roc ! ... C’est un pic... C’est un cap ! Que dis-je, c’est un
cap ?... C’est une péninsule ! »
Gradation : enchaîner les mots ou les expressions dans un ordre
croissant ou décroissant. « Va, cours, vole, et nous venge. »
Hyperbole : amplifier un phénomène grâce à l’exagération dans le
choix des mots.
« Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus
surprenante, la plus merveilleuse,la
plus extraordinaire, la plus incroyable, la plus imprévue enfin une chose dont on
ne trouve qu’un exemple dans les siècles
passés »
Hypozeuxe : reprise d’une même structure syntaxique dans une série
de phrases. e me suis allongé, je me suis endormi, je me suis perdu.
Litote : dire moins pour laisser entendre davantage.
Ce n’est pas idiot.
Ce n’est pas un petit problème
Paradoxe : énoncer une idée qui va à l’encontre de l’opinion
commune, dans le but de choquer ou d’interpeler.
Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études. (Roland)
« Paris est tout petit, c’est là sa vraie grandeur. »
Paronomase : jeu sur la proximité des sons.
« Comme la vie est lente. Et comme l’Espérance est violente. »
Notre résolution est la révolution
Zeugma : faire dépendre d’un même mot deux termes hétérogene qui
entretiennent avec lui des rapports différents. Elle est entrée vêtue de sa beauté
et d’une robe blanche
La première étape
de la persuasion, c’est donc de vous entraîner à l’art de l’accroche,
apprendre à saisir votre public par la manche et l’empêcher d’aller voir les
autres stands
Le premier levier que vous devez apprendre à exploiter est la curiosité.
Qu’est-ce qui attise la curiosité ? Le fait de savoir que quelque chose
d’intéressant est à portée de main sans savoir de quoi il s’agit.
Une bonne
manière de vous exercer est de créer des titres tellement aguicheurs que cela
en devient amusant :
Elle pensait aller chez le dentiste pour une simple carie, ce qu’il a
découvert dans sa bouche va vous terrifier.
Ne prenez surtout pas de douche avant d’avoir entendu la découverte
ignorée de ce grand scientifique.
on capte l’attention en
suscitant la curiosité pour une chose qui attire les gens. Qu’est-ce qui attire
les gens ? Les choses qui les excitent et les choses qui leur font peur.
Maintenant que vous les avez persuadés de venir, il faut les persuader de
rester. En d’autres termes, vous devez changer leur curiosité en intérêt. Pour
ce faire, donnez-leur rapidement la perspective de régler un problème qui
leur fait mal ou d’obtenir une chose qu’ils désirent.
Si l’excitation est un fort levier du passage à l’action, il ne fait
pas le poids face à la crainte. Vos discours auront donc de bien meilleurs
résultats si vous développez votre capacité à comprendre les craintes de
votre public et si vous le leur présentez avec éloquence.
Levier
.Réciprocité
Lorsque que nous faisons
quelque chose pour
quelqu’un, il se sent obligé de
faire quelque chose pour nous
en retour. « Comme vous êtes un
de mes clients les plus
fidèles, je vous offre cet
article gratuitement. »
.Cohérence
Lorsque quelqu’un a agi dans
une direction, il est facile de lui
demander de faire un pas plus
grand. « Vous aviez aimé ce
film, vous allez adorer
celui-là. »
.Rareté
Nous avons peur de passer à
côté de ce qui est rare. « C’est sans doute la
dernière fois que je
propose une telle offre.
Elle est disponible jusqu’à
ce soir. »
.Sympathie
Nous sommes plus disposés à
agir à la demande de ceux qui
nous ressemblent. « Je veux le meilleur pour
vous, j’ai été à votre
place. »
.Conformisme
Nous allons généralement
dans le sens du courant. « 91 % de ceux qui
étaient dans votre
situation ont pris cette
décision. »
.Autorité
Nous sommes plus disposés à
agir à la demande de ceux
que nous percevons comme
des figures d’autorité. « La stratégie
d’investissement que je
vais vous proposer est
recommandée par
Warren Buffet. »
Il suffit pour
cela d’insérer innocemment, après une négation, un mot atrocement
péjoratif : « Je ne dis pas que vous êtes incompétent. Je m’étonne
simplement que le projet avance si lentement… » Formellement, nous
n’avons pas dit ce que nous ne devions pas dire. Les connotations suffisent
à faire passer l’idée. En rhétorique, c’est ce que l’on appelle une
prétérition : un procédé consistant à énoncer un argument, tout en
prétendant y renoncer.
Le bon réflexe est donc le suivant. Lorsque nous voulons faire preuve
de compétence, nous utilisons la donnée la plus précise possible 92 % ou 1 435 € .
Nous
prenons soin, dans ce cas, de lui donner dans notre phrase une place
secondaire et superflue
. En revanche,
lorsque nous manipulons une donnée cruciale pour notre raisonnement,
mieux vaut la présenter sous la forme d’un arrondi environ 30 %, voire d’une
approximation près d’un sur trois .
L’intérêt d’un verbe impersonnel on dit d’un verbe qu’il est impersonnel quand il
ne peut
être employé qu’à la troisième personne du singulier masculin : « il »., c’est de
pouvoir exprimer une action
sans préciser son sujet. Pas un individu ne peut être tenu
pour responsable d’un quelconque engagement.
La voix passive, au contraire, permet de rejeter la responsabilité de l’agent dans
l’ombre
« Le chat
mange la souris » Cette phrase est à la voix active.
« La souris est
mangée par le chat » L’agent de l’action, en revanche, est libre de
s’éclipser. Devenu complément du verbe, il peut être supprimé sans
menacer la compréhension de la phrase : « La souris est mangée ».
la forme des
énoncés a suffi à nous condamner, notre modération passe pour de la mollesse. Et
notre prudence
pour de l’ignorance.
-la rhétorique incantatoire Elle n’est rien d’autre qu’un discours très assertif,
utilisé
pour décrire une réalité beaucoup plus incertaine telle que nous voudrions qu’elle
soit. Ce qui
devrait gagner notre conviction, ce sont des arguments pertinents. Pas des
discours grandiloquents.
« Mais que voulez-vous que je vous dise ? Les jeunes n’arrivent plus à se
nourrir ! Pendant les distributions de paniers-repas, certains confient ne pas
avoir mangé depuis deux jours ! Nous avons des centaines d’appels à l’aide
d’étudiants isolés, sans contact, sans activités, qui ont des idées suicidaires.
Et certains, hélas, qui passent à l’acte. Combien faudra-t-il encore de jeunes
défenestrés, pendus ou immolés, avant que le gouvernement ne se décide à
agir ? » nous nous contentons de laisser parler
notre cœur, et de décrire la situation en des termes que chacun peut se
représenter. Ce faisant nous déployons, sans forcément le savoir, de
nombreux procédés émouvants. Gorgée d’affects, notre intervention suscite
une prise de conscience, et emporte la conviction
.L’intensité
nous avons tendance à être davantage émus par ce
que nous percevons comme grave ou intense, plutôt que par ce qui nous
paraît anodin ou modéré
La phrase « un attentat meurtrier vient d’être commis »
devient plus émouvante dès lors que nous ajoutons « un attentat meurtrier
vient d’être commis : trente-deux personnes assassinées ». Indiquer le
nombre de victimes permet d’insister sur l’ampleur du drame. Il en va de
même pour l’énoncé « les manifestants ont dégradé un monument » : nous devrions
spécifier « les manifestants ont dégradé la tombe du soldat
inconnu ». En précisant la nature de l’édifice vandalisé, nous modifions
considérablement la perception de la gravité du méfait : non seulement il
s’agit d’une tombe, mais elle porte de surcroît une forte charge historique et
politique. Enfin, si nous disons « treize familles sont encore logées dans ce
bâtiment insalubre », nous produisons déjà des affects. Mais l’effet se
trouvera démultiplié si nous ajoutons « les enfants tombent régulièrement
malades, et peinent à suivre leur scolarité ».
À chaque
fois, une petite précision supplémentaire a suffi pour mettre en lumière
l’intensité de la situation, et susciter un surcroît d’émotions.
.La matérialité
Nous avons tendance à être plus facilement
émus par ce qui nous semble avéré et précis, plutôt que par ce qui nous
paraît douteux et vague. plus nous ajoutons de détails à
une information, et plus elle tend à susciter des émotions.
.L’identité
Nous
sommes, par exemple, moins touchés par ce qui arrive à de parfaits
inconnus qu’à des célébrités, pour la simple raison que nous nous sentons
proches de ces dernières. De la même manière, nous percevons plus vivement les
joies et les peines des personnes dont nous partageons
l’âge, la profession, la religion, le lieu de naissance ou de résidence.
Nous avons tendance à être davantage émus par ce qui arrive à des
personnes que nous percevons comme fragiles ou vulnérables, plutôt qu’à
celles qui nous semblent fortes, solides ou résilientes
Si nous lisons, en une de notre journal, « Crash d’un A380
dans le Pacifique : 436 morts », nous nous sentons affligés. Mais si le titre
précise « 436 morts, dont 29 enfants », nous serons probablement dévastés
pour la journée
.L’art du cadrage
Des événements intenses, proches de notre quotidien, précis et certains,
qui impliquent des responsables, mettent en jeu des personnes vulnérables,
évoquent des souvenirs mémorables
L’art du cadrage, en rhétorique, consiste à ne dire que ce que nous
voulons laisser voir, et taire ce qui doit demeurer dans l’obscurité.
les émotions
sont contagieuses. En tant qu’oratrices ou orateurs, la manière la plus simple de
susciter des affects dans notre auditoire, c’est de montrer ceux que nous
ressentons nous-mêmes. « Je suis heureux. Tu me manques. Cela m’angoisse. Elle
m’énerve. Je
t’aime. » La manière la plus simple de donner à voir nos affects, lorsque
nous parlons, consiste encore à les verbaliser. Explicitement, nous affirmons
ressentir une émotion. Si nos auditeurs ou nos interlocuteurs la considèrent
comme véridique, il est possible qu’ils commencent à l’éprouver eux-
mêmes. Ils se réjouissent, s’attristent ou tremblent pour nous
lorsque nous
cherchons à exprimer ce que nous ressentons, ce qui compte, c’est moins ce
que nous disons que la manière dont nous le disons. Dès lors qu’il existe
une dissonance entre ces deux dimensions, c’est au ton de notre voix, aux
xpressions de notre visage et aux mouvements de notre corps que se fient
principalement nos interlocuteurs
En pratique, si
nous voulons toucher nos auditeurs, nous pourrons rarement nous contenter
de leur assigner une émotion. Il faudra sans doute mobiliser également les deux
autres vecteurs de production des affects : les montrer et, surtout, les
invoquer
Après avoir envisagé leur
contagion et leur suggestion, il est temps de nous pencher sur leur
invocation.
Contre toute attente, cela n’est pas si compliqué. Il suffit de partir des
six critères situés aux sources des affects : la proximité, l’intensité,
l’identité, l’agentivité, la similarité, la matérialité.
Ce que nous ne pouvons pas montrer, nous allons le raconter Il consiste, tout
simplement, à donner à voir la réalité par le discours. Mot après mot, nous allons
la sculpter, en faire
ressortir les traits saillants, les aspérités, jusqu’à ce qu’elle s’impose à
l’esprit des auditeurs
.L’hypotypose, c’est l’art de la description riche et
détaillée
.La diatypose, au contraire, c’est l’art
de la description vive et ramassée. Au quotidien, comme nous le montre ’est la
diatypose qui se révélera souvent la mieux adaptée. nous devons
être capables de discerner les quelques détails suffisamment remarquables
pour que les auditeurs parviennent, mentalement, à visualiser toute la scène
Dès lors que nous sommes en position de rosser le tableau d’une situation, nous
pouvons aussi prendre le temps
d’ébaucher le portrait de ses participants. Montrés dans leur normalité, leur
médiocrité ou leur fragilité, ils attireront la compassion, le mépris ou la
pitié. Représentés dans leur exceptionnalité, leur fermeté ou leur
méchanceté, ils susciteront au contraire l’admiration, la peur ou la
détestation.
la personnification. Elle
consiste à faire agir ou parler, dans son discours, un personnage décédé, un
animal, une abstraction ou un objet. Il s’agit donc d’une figure cruciale,
puisqu’elle va nous permettre de réintroduire de l’agentivité dans ce que
nous donnons à voir. Plutôt que de laisser penser qu’un événement soit dû
au sort ou à la fatalité, nous réintroduisons un responsable, susceptible
d’être blâmé.
la
surprise une utilité tout à fait unique. Parce qu’elle va saisir les auditeurs et
focaliser leur attention, elle permet de mettre en valeur l’émotion qui lui
succède. Et de décupler son efficacité.
Il nous suffit de nous
appuyer sur les deux déclencheurs universels de la surprise : le soudain et
l’inattendu
.Les analogies :
.a suspension : « Voilà, les gars, notre schéma offensif. Vous le
connaissez. On l’a répété. Vous êtes prêts. Vous savez… (silence)… Ce soir,
on se bat pour quelque chose de plus grand que le football. La technique, le
beau jeu, les buts : rien de tout cela n’est important. Ce soir, on se bat pour
quelque chose de plus grand que la victoire. De plus grand qu’une coupe.
De plus grand, même, que la gloire, le prestige et l’honneur. Ce soir…
(silence)… on se bat pour voir la fierté dans le regard de nos enfants. Pour
que les générations futures sourient en pensant à nous. Ce soir, les gars, on
entre dans l’histoire ! »
La suspension consiste, rappelons-le, à parler de quelque chose sans
préciser de quoi il s’agit. Bien sûr, plus la révélation finale sera inattendue,
et plus nos auditeurs en seront saisis. Cette figure est donc, tout entière,
bâtie sur le principe d’une tension qui se résout dans la surprise.
.Le silence : Il est le trait d’union entre tous ces exemples. À chaque fois,
pour produire une réaction de surprise, nous nous sommes ménagé une
respiration de silence. Pour devenir
étonnant, nous devrons donc utiliser le vide. Créer un instant suspendu. Le
tenir, jusqu’à ce que l’auditoire n’en puisse plus. Puis le rompre, pour
récolter enfin les émotions que nous aurons semées.
.Si un
orateur parvient à identifier notre désir le plus enfoui, s’il l’utilise pour nous
montrer le rêve que nous osions à peine formuler, puis l’incarne dans une
proposition tangible… Diantre, qu’il sera difficile de la rejeter ! Dès lors que
nous connaissons les aspirations de
notre auditoire, et sommes en mesure de les enrôler au service de notre
proposition, nous avons tout intérêt à susciter l’espoir, puis à suggérer les
conditions de sa réalisation.
.L’EFFET DE HALO
Il désigne notre tendance naturelle, lorsque nous
cherchons à établir notre jugement sur un individu, à laisser notre attention
être captée par une ou plusieurs caractéristiques marquantes, qui rayonnent
et viennent colorer l’entière perception que nous avons de lui
la voix. les individus parlant dans une tonalité plus grave tendent à être perçus
comme plus forts, plus attirants, plus dominants et
plus compétents
Une grande taille, une voix grave, un visage anguleux saupoudré d’un
soupçon de beauté
Ensemble, ces attributs
dessinent le portrait-robot d’un individu qui, baigné d’un effet de halo, sera
plus facilement perçu comme compétent et dominant ; et verra, ainsi, les
portes du succès s’ouvrir grand devant lui tout au long de sa vie
Ce que
nous disons, la manière dont nous le disons, et ce que notre corps dit pour
nous. Nos phrases, nos mots et nos sonorités ; notre intonation, notre
rythme et nos silences ; notre posture, nos gestes et notre apparence.
Ensemble, ces trois dimensions constituent ce que l’on nomme l’action
oratoire, c’est-à-dire l’énonciation de notre intervention. C’est elle qui va
déterminer l’image que nous composons au cours de notre discours
Si notre
argumentation est rigoureusement articulée en un système solide et
convergent, où tous les éléments se soutiennent, nos auditeurs n’auront pas
de raison de douter de nous. Cohésion de nos argumentations en chaque
instant, stabilité de nos
positions dans le temps
en voulant rassurer les auditeurs sur notre compétence, nous avons au contraire
suscité leur irritation, voire leur suspicion. Revendiquer haut et fort sa
compétence, c’est prendre le risque d’admettre, et même de suggérer,
qu’elle pourrait être mise en doute.
dans la mesure du
possible, mieux vaut donc ne pas en être nous-même à l’origine. Pour cela, il
existe une astuce rhétorique aussi puissante qu’élémentaire : se détourner
du verbe « être ». Tâchons de nous
décrire davantage par ce que nous faisons et pensons, plutôt que par ce que
nous croyons être. Ne disons pas « je suis végétarien », mais « je ne mange
ni viande ni poisson ». N’affirmons pas « je suis libéral », mais « je crois en
une économie de marché peu régulée ». Ainsi, nous éviterons de nous
attirer, instantanément, l’animosité d’une partie de nos auditeurs.
.« Bien sûr
que l’homéopathie est efficace : j’en prends à chaque fois que j’ai un
rhume, et, trois jours plus tard je suis guéri ! » Un argument tout à fait
convaincant. Si l’on oublie, bien sûr, que la durée moyenne d’un rhume est
précisément de trois jours…
« De telles
allégations sont scandaleuses ! Tout mon parcours prouve que je suis d’une
honnêteté sans faille ! » Certes… Mais si c’est précisément cette honnêteté
sans faille qui vient d’être mise en cause par des éléments probants,
l’argument n’a soudain plus aucune valeur. Et même : cesse d’être un
argument
« Le
bouddhisme est une religion de paix, donc les bouddhistes sont pacifiques.
Les études de médecine sont exigeantes, donc les médecins sont
compétents. La vente est une activité féroce, donc les vendeurs sont sans
état d’âme. » Certains bouddhistes, médecins et vendeurs le sont,
assurément. Mais en faire une généralité ? Voilà en revanche une
affirmation plus qu’audacieuse : elle est tout simplement fallacieuse
« Malgré la
réouverture des amphithéâtres, à l’issue de la troisième vague de
coronavirus, 30 % des étudiants ne sont pas revenus en présentiel. C’est
donc que le travail à distance leur convient, et doit être généralisé dès l’an
prochain. » La conclusion paraît logique. Mais il faut aussi envisager que ces 30
% d’étudiants aient dû rendre leur logement faute de pouvoir en
payer le loyer, soient rentrés chez leurs parents, et ne puissent donc plus se
rendre à l’université. Voire aient abandonné leurs études… précisément
parce qu’ils ne parvenaient pas à travailler de manière isolée !
Ce qui
rend l’argument sophistique, c’est le fait de prétendre que, parce qu’un
événement probable ne s’est pas encore produit, il ne se produira jamais
pour
emporter l’adhésion des personnes qui assistent à notre joute, deux voies
s’offrent à nous : montrer la supériorité de notre position, ou révéler la
faiblesse de celle de l’adversaire. Dans la mesure où nous sommes les seuls
antagonistes en présence, l’une et l’autre reviennent au même
Prenons l’habitude, donc, de remonter aux prémices des arguments qui nous sont
opposés. C’est souvent dans l’ombre, cachées, que nous
découvrirons des ouvertures à exploiter.
« Eh bien bravo. Quel
magnifique sens du civisme. J’espère au moins que tu auras le bon goût de
ne pas critiquer ensuite les décisions qui seront prises ! »
– Admettons. Mais peux-tu m’expliquer pourquoi, selon toi, il est si
important de voter ?
« D’accord, ça ne
vous plaît pas : aucun problème ! Comment fait-on pour améliorer l’idée ? »
il va nous
falloir attendre une erreur flagrante de la part de notre interlocuteur. Un
argument faible, une légère imprécision ou une petite confusion ne
suffiraient pas. En revanche, déployé au bon
moment et avec suffisamment d’assurance, cette stratégie agira comme un
poison mortel
Mieux vaut agir sur le « comment » que sur le « pourquoi » d’un problème.
tous les comportements, même les plus inhabituels prennent sens dans
certaines situations, et
s’inscrivent dans un but d’adaptation.
la PNL utilise les processus internes dans la plupart de ses techniques à commencer
par celle
de l’ancrage qui correspond à l’association d’un stimulus et d’un état interne. Le
rappel du
stimulus une fois l’ancrage installé, rétablit instantanément l’état interne auquel
il a été
associé.
Les ancres doivent être :
# distinctives – différentes des mouvements, des sons et des images de la
vie quotidienne ;
# uniques – spécialement pour vous ;
# intenses – définies lorsque l’état est à son apogée ;
# opportunes – au meilleur moment pour réaliser l’association ;
# renforcées – utilisez-les ou vous risquez de les perdre. L’ancrage est une
technique qui nécessite de l’entraînement.
l est donc important dans cetteperspective que le rapport entre les personnes
impliquées dans le processus d’ancrage et
l’environnement soit compatible avec le type d’ancrage qu’on a l’intention
d’établir.
une personne à orientation visuelle sera plus réceptive aux éléments visuels, les
personnes à
orientation kinesthésique feront plus facilement des associations avec des éléments
tactiles ; les
personnes orientées « auditif » se montreront réceptives à des sons subtils. Les
odeurs sont des
ancrages puissants, en partie parce que l’odorat est connecté directement aux aires
associatives du
cerveau.
la
PNL décrit trois catégories de prédominance sensorielle : Visuel, Auditif,
Kinesthésique. Une
personne orientée « visuel » a tendance à se fier davantage à ce qu’elle voit
plutôt qu’à ce qu’elle
entend ou éprouve. Une personne orientée « auditif » accorde une grande importance
à ce qui est dit,
aux explications verbales, aux discussions. LA PNL reconnaît cependant deux classes
d’orientation
selon qu’il s’agisse d’un « auditif digital » privilégiant les mots, le discours ou
d’un « auditif
analogique » privilégiant les sons.
Les personnes possédant une orientation « kinesthésique » se basent sur leurs
perceptions tactiles,
leur expérience corporelle, leurs sensations et émotions
Le premier contact avec nos interlocuteurs est avant tout sensoriel. Les mots
viennent ensuite apporter
précisions, justifications, bonnes raisons.
La PNL nous apprend enfin que les personnes à forte orientation visuelle ont besoin
d’une distance de
confort importante afin de voir la situation dans son ensemble et de capter un
maximum de détails
visuels. Les personnes à forte orientation kinesthésique sont aussi celles dont la
distance de confort
est la plus courte car elles ont souvent besoin d’avoir recours à des perceptions
tactiles. Quant aux
personnes à orientation auditive, leur distance de confort n’est pas aussi
contrastée, c’est davantage
leur occupation posturale de l’espace conversationnel quitraduit leur recherche
d’informations
auditives : elles s’orientent le plus souvent pour mieux « tendre l’oreille » et
non
pour « voir » ou « sentir »…
Plus nos interlocuteurs semblent proches, plus nous les reconnaissons comme des
partenaires
compétents et intéressants. Il est évidemment plus facile de communiquer avec des
gens qui nous
ressemblent ou nous sont familiers au moins dans leur façon de s’exprimer tant au
plan du langage
verbal que non verbal
Pour mettre en œuvre le mimétisme comportemental nous allons nous mettre en phase
avec son
comportement, et notamment avec les points suivants :
– La posture et la distance de confort,
– La durée du contact visuel,
– Les gestes,
– La qualité de la voix.
Il ne s’agit pas de mimer l’autre, mais de se rapprocher de sa façon d’être,
notamment dans son
rythme, d’où l’expression « mise en phase ».
es moyens d’expression non verbaux que nous retenons ici sont les suivants :
– Gestes
– Posture
– Expression du visage
– Durée optimale du contact visuel
– Qualité de la voix (rythme de la parole, hauteur du son, volume, timbre)
– Odeurs et parfums jouent aussi un rôle important dans la communication non
verbale car ils
déterminent des réactions comportementales d’ordre émotionnel souvent très
contrastées.
pour que le message soit lisible, il faut une harmonie entre les gestes
et les paroles, la qualité de la voix et l’expression du visage.
L’omission est un processus qui permet d’ignorer des éléments pour aller
directement à l’essentiel.
Dans une situation de communication, cela permet de gagner du temps, au détriment
de la précision, il
faut présupposer que les éléments omis sont connus de tous les acteurs, ce qui
n’est jamais certain. Si
vous expliquez quelque chose à quelqu’un, vous partez généralement d’un point de
départ en omettant
ce qu’il est censé connaître.
– J’ai payé ces livres moins cher !… – Moins cher comparé à quoi ?
– Cet ordinateur est mieux pour vous !… – Mieux que quoi ?
– Tout cela c’est pareil! Par rapport à quoi ?
– Je rencontre les personnages les plus célèbres!… – Les plus célèbres comparés à
quoi ?
– Il vaut mieux rester dans l’ignorance!… Par rapport à quoi ?
– C’est la pire décision qu’il ait jamais prise ! La pire comparée à quoi ?
Il faut aider les personnes âgées !
Les questions qui contesteraient l’affirmation et permettraient d’élucider
l’omission seraient :
« – Que se passerait-il si je ne les aidais pas ? ou encore
– Qu’arriverait-il si vous ne les aidiez pas ? »
generalisation
• Tout le monde a peur d’être seul.
• Cette personne n’a rien pour plaire.
• Cet employé est toujours en retard.
• Il ne faut jamais refuser de rendre service.
• Ce n’est pas normal de changer tout le temps d’avis !
• Les politiciens sont surtout préoccupés de leur popularité.
• On n’a pas eu le temps d’étudier votre dossiers
questions : Vraiment (jamais, toujours, tout, aucun, rien…). « Qui a dit cela ? »,
« selon qui ?
», « Qui précisément ? » « Quel + (nom de catégorie) précisément ?
LES OMISSIONs
Il a besoin d’être le meilleur !
Ce que vous dites ne fait pas la différence !
Je n’aime pas cette chanson
Mon chef a horreur des surprises !
J’ai peur des araignées.
Il ne faut pas craindre les chiens
Comparé à quoi ? ; Par rapport à quoi ?, Comment précisément ? ; Qu’arriverait-il
sinon ? Qu’est-
ce qui vous en empêche ? Comment le savez-vous ?
distorsions
• Tout le monde a peur d’être seul.
• Cette personne n’a rien pour plaire.
• Cet employé est toujours en retard.
• Il ne faut jamais refuser de rendre service.
• Ce n’est pas normal de changer tout le temps d’avis !
• Les politiciens sont surtout préoccupés de leur popularité.
• On n’a pas eu le temps d’étudier votre dossiers
: « Comment le savez-vous ? » ; « Comment faites-vous pour… » ; « Qu’est-ce qui
vous fait penser que… ? » ; « Si vous aviez le temps, vous le feriez ? » ; « Si
vous aviez le budget,
le feriez-vous ? » ; « Si personne ne s’y opposait, le feriez-vous ? »
L’expression : « il faut » désigne les omissions et se conteste par la question : «
sinon ? » la formule
complète étant : « que se passerait-il sinon ? ».
Le mot : « on » désigne les généralisations et se conteste par la question : «
Qui ? » pour savoir qui
se cache précisément sous ce masque.
Le verbe : « faire » indique les omissions liées aux verbes, la
question correspondante
est « Comment ? ».
Le mot : « mieux » indique les omissions par comparaison et se clarifie avec la
question « Mieux que
quoi ? ».
Enfin, le mot « tout » désigne une généralisation par utilisation de quantifieurs
universels, la question
qui reprend le mot avec un ton interrogatif : « Tout, » est alors préconisé.
– J’en ai marre de mon travail, je ne veux pas continuer comme cela, d’ailleurs je
ne fais que
perdre mon temps ici.
L’observateur note que cette personne réfléchit en s’opposant et lui répond :
– Je comprends votre sentiment, mais vous ne me dites pas ce que vous voudriez.
découvrant votre précieux cadeau, votre ami vous dit : « Oh, quelle
bonne idée ! Mais, pourquoi cette couleur, ça ne pourra jamais s’intégrer chez
moi ! »
La tendance de votre ami à produire des contre-exemples vous a vexé. Il a fait peu
de cas de
votre attention. Il vous reste une solution : utiliser la formule magique qui
réduit au silence
ceux qui pratiquent les réponses « en désaccord » : l’usage des quantifieurs
universels.
– Les objets de cette époque sont toujours de cette couleur, je croyais que tu le
savais, alors,
il ne te plaît pas du tout
– Il ne faut pas parler de politique avec des gens que l’on ne connaît pas ! »,
nous
interrogeons :
« – Qui vous a dit cela ? », le sujet répond :
« – Ma mère ! », nous faisons préciser :
« – Est-ce pour cela que vous ne parlez jamais de politique avec des gens que vous
neconnaissez pas ? », dans cet exemple le sujet confirme la relation de cause à
effet :
« – … Oui, certainement. »
L’attitude proactive met en lumière ce qu’on n’a pas, l’attitude réactive ce que
l’on a
les deux attitudes « proactive » et « réactive » doivent s’associer, se compléter
pour une efficacité
optimale. Il est intéressant d’observer au niveau nos stratégies de prise de
décision, dans quelle
catégorie se placent nos critères les plus valorisés.
Une personne qui se sent agressée dans un débat et se force à masquer sa colère, la
révèle
pourtant car il est impossible de contrôler consciemment en même temps l’ensemble
de ses
messages verbaux et non verbaux émis. En revanche, se montrer capable de passer
rapidement de la colère à une autre émotion comme l’intérêt ou la curiosité permet
d’éviter
l’incongruence et de préserver la clarté des messages.
couvrir le modèle de MICHAEL HALL, le modèle Matrix, c’est avaler la pilule rouge.
Son but est de
révéler que nous créons et vivons dans ce que nous appelons la réalité à travers le
monde symbolique
des idées, du langage, des croyances. Maîtriser la Matrice, c’est prendre le
contrôle sur son esprit.
SOI émerge d’un premier métaétat : la conscience de soi. Le soi définit qui nous
sommes et toutes
les dimensions du soi. Le soi comprend les différentes facettes, les pensées et les
sensations
(confiance en soi, estime de soi) ainsi que les autres aspects du soi, notamment
social, culturel. Un
sens de soi exagéré s’illustre par des relations tendues et une tendance à imposer
ses droits. Un sens
de soi trop faible produit des attitudes de dépendance. Une matrice de SOI en bonne
santé pose qu’on
est quelqu’un de bien, d’aimable et ne contraint pas à en chercher les preuves à
l’extérieur.
Le PO UVO IRc’est ce qui concerne le fait d’avoir les ressources pour relever des
défis, résoudredes problèmes, entreprendre des actions efficaces. Le POUVOIR est en
rapport avec les aptitudes le
capacités, la maîtrise. C’est la différence entre se sentir impuissant et
optimiste. Pour renforcer une
faible Matrice de POUVOIR, il faut utiliser d’efficaces stratégies de vie.
Le TEMPS comprend les cadres du passé, du présent et du futur aussi bien que la
sensation de temps
au jour le jour. Le TEMPS influence les émotions, les performances et se lie à de
nombreux
métaprogrammes. Nous pouvons surévaluer ou sous évaluer l’un de ses aspects. Pour
renforcer la
matrice de TEMPS nous devons développer une relation plus réaliste avec cette
dimension e
notamment en élargissant nos perspectives à d plus vastes ensembles temporels.
Les AUTRES est une matrice qui dirige ce que nous croyons, comprenons attendons des
autres dans
nos relations. La matrice des AUTRES est fortement influencée par nos expériences
au cours du
développement de la matrice de SOI. La matrice des AUTRES détermine la dépendance
l’indépendance et l’interdépendance dans les relations. La matrice des AUTRES peut
être renforcée
en développant les habiletés sociales, la communication et les relations.
Le MONDE se réfère à tout ce qui se trouve en dehors de soi : les gens, les lieux
aussi bien que les
institutions, la religion, la politique, le gouvernement, la société. La Matrice
MONDE détermine ce
qui est sûr ou dangereux, bon ou mauvais dans notre représentation du monde. Nos
métaprogrammes
définissent comment nous interagissons avec le monde et le style de notre présence.
On peut renforcer
cette matrice en travaillant sur les croyances, les stratégies, les métaProgrammes.
L’INTENTION concerne les buts, les objectifs, les raisons, la motivation et la
direction de nos
actes. L’INTENTION est très proche du POUVOIR. Une matrice d’INTENTION bien
développ
associe les buts avec la sagesse pour leur donner un sens, aussi bien pour vivre
agréablement les
expériences immédiates que pour apprécier le voyage et la destination.
Tout ce que nous tenons pour vrai résulte d’une construction. Nous construisons
ainsi nos croyances
cela signifie que chacun d’entre nous dispose d’une carte très personnelle et
que, pour communiquer plus facilement, un excellent exercice consiste à
essayer de comprendre la réalité interne ou la carte de votre interlocuteur.
Vous pouvez utiliser la stratégie que j’ai employée lorsque vous êtes dans
une situation où la réponse de quelqu’un vous surprend, vous irrite ou vous
laisse simplement perplexe. Lorsque vous êtes en face d’une personne
enquiquinante, suivez cette procédure pour modifier votre opinion sur cet
individu. (Si tout va pour bien pour vous en ce moment, vous pouvez
toujours vous entraîner en pensant à quelqu’un dont le comportement vous
tape sur les nerfs.)
1. Estimez-vous heureux.
2. Prenez de bons vieux exemples et coiffez votre chapeau de généreux.
3. Demandez-vous ce qui peut bien se passer dans la vie de cette
personne qui pourrait justifier son comportement.
Vous répondez en fonction de la carte du monde que vous avez dans la tête.
Cette carte repose sur votre identité, vos valeurs et vos croyances, ainsi que
sur vos attitudes, vos souvenirs et votre bagage culturel.
« l’échec n’existe
pas, ce n’est qu’un feedback »
de
Pour découvrir quelles sont les valeurs importantes à vos yeux dans un
domaine donné de votre vie, vous devez vous arrêter, dérouler le film de
votre vie et commencer à penser ! Pour ce faire, procédez comme suit :
1. Choisissez un aspect de votre vie dans lequel vous ne réussissez pas
comme vous le souhaiteriez.
Vous pouvez choisir le travail, comme l’a fait James (voir l’anecdote plus
haut dans cette section), l’amour, l’éducation, l’environnement dans
lequel vous vivez, etc. D’autres suggestions figurent dans le chapitre 3.
2. Dressez la liste de ce qui est important pour vous dans ce domaine.
3. Reprenez la liste et réfléchissez de nouveau. Vous faut-il ajouter
quelque chose d’important qui n’y figurerait pas ?
4. Classez les éléments par ordre d’importance.
Votre deuxième valeur est-elle vraiment plus importante que la troisième
ou votre cinquième valeur devrait-elle figurer en deuxième position ?
5. Pour chaque valeur, êtes-vous capable d’identifier une omission, une
distorsion ou une généralisation susceptible de vous empêcher de
satisfaire un désir ?
C’est la question à 1 000 000 € !
6. Vérifiez également s’il n’existe pas de décisions contraignantes sous#jacentes
ayant un impact sur vos valeurs.
.
Se
L’ environnement fait référence aux facteurs qui sont des occasions ou
des contraintes extérieures. Permet de répondre aux questions où,
quand et avec qui.
# Le comportement est constitué d’actions ou de réactions au sein de
l’environnement. Permet de répondre à la question quoi.
# Les capacités concernent le savoir et les compétences, les « comment »
qui orientent le comportement. Permet de répondre à la question
comment.
# Les croyances et valeurs fournissent le renforcement (motivation et
autorisation) permettant d’appuyer ou de rejeter nos capacités. Permet
de répondre à la question pourquoi.
# L’ identité détermine nos sens profonds. Permet de répondre à la
question qui.
# Le but va au-delà de la conscience de soi, il est lié à une notion plus
vaste, celle de mission. Permet de répondre à la question dans quel but
ou pour qui.
pour que le changement soit pérenne, il est utile de savoir à quel niveau il
doit intervenir. Nous essayons souvent de résoudre des problèmes en
modifiant le niveau logique (l’environnement ou le comportement) alors qu’il
faudrait agir sur les valeurs, les croyances ou l’identité. De même, lorsque
vous avez des problèmes avec le comportement de quelqu’un, souvenez-
vous de ne pas remettre en cause son identité et de respecter ses croyances.
il faut que
toutes les parties de vous-même fonctionnent en totale harmonie : les mots,
les images et les sons. Si vous n’avez pas l’air d’avoir confiance, comme si
vous ne croyiez pas en votre message, les autres ne vont pas écouter ce que
vous dites.
Lorsque
vous prononcez le mot « mais », votre interlocuteur se souvient de ce vous
dites après. Avec le mot « et », il se souvient de ce que vous avez dit avant et
de ce que vous dites après.
meta programme
Introverti/Extraverte
Proactif/Réactif
# Options/Procédures
# Rapprochement/Éloignement
# Interne/Externe
# Global/Spécifique
# Similitude/Différence
Si vous êtes plus une personne orientée options, vous aimez essayer de
nouvelles façons de procéder. La personne orientée procédures affichera une
préférence pour les méthodologies éprouvées
Pour qu’une personne
orientée options consente à dire « oui », il faut lui montrer toutes les
perspectives qui vont s’offrir à elle.
Si vous êtes plus orienté procédures, vous aimez suivre les règles et
procédures, mais vous préférez qu’on les établisse pour vous plutôt que les
mettre en place vous-même
si vous avez besoin de l’avis d’autres personnes pour savoir si vous avez
réussi quelque chose, vous êtes probablement plus orienté externe.
vous avez une propension à vous situer sur le barreau interne de l’échelle de
ce métaprogramme, dans une situation donnée, lorsque vous remettez en
.
le
modèle TOTE fonctionne sur le principe que vous avez un objectif en tête
lorsque vous affichez un comportement particulier. Le but de votre
comportement est de vous rapprocher le plus près possible du résultat
souhaité. Vous disposez d’un test pour savoir si vous avez atteint votre
objectif. Si c’est le cas, vous arrêtez le comportement. Si ce n’est pas le cas,
vous modifiez le comportement puis le reproduisez, intégrant par là même
une simple boucle réaction/réponse
Pour découvrir la stratégie employée par une personne pour se sentir aimée,
essayez de dire des choses telles que « tu sais que je t’aime, n’est-ce pas ? »,
« qu’est-ce qui pourrait faire que tu te sentes encore plus aimée ? ». Veillez en
même temps à prêter attention au regard et au langage corporel de l’être
aimé. La réponse « heu, je ne suis pas sûre », avec les yeux allant en bas et à
(sa) droite (K), pourrait signifier que d’autres câlins s’imposent. Si les yeux
se déplacent horizontalement vers la droite (Aé), demandez-lui les mots ou la
musique qu’elle aimerait entendre
Pour lui fournir un feedback, vous devez d’abord identifier sa stratégie.
omission
Je suis sorti.
À l’aide !
Où êtes-vous allé ?
Quel type d’aide voulez-vous ?
Généralisation
elle m’a agacé.
Elle est meilleure que moi.
Dans quel domaine est-elle meilleure que
vous ?
En quoi vous a-t-elle agacé ?
Notre relation n’est pas
satisfaisante.
Vous avez tort.
En quoi notre relation n’est-elle pas
satisfaisante ?
Qui dit cela et sur la base de quels faits ?
C’est simple de changer. Changer quoi ?
Les question-tags
Un question-tag est ajouté à la fin d’un énoncé pour solliciter l’accord. Il
s’agit d’un outil très efficace utilisé délibérément et qui distrait la conscience
du destinataire du message à l’aide d’un élément sur lequel il peut être
d’accord.
Les alternatives
Les alternatives offrent un choix, mais limité. Vous avez envisagé les options
et partez du principe que vous allez obtenir le résultat.
– « Quand vas-tu ranger ton fouillis, avant ou après manger ? » (Idéal
avec les adolescents ou les colocataires désordonnés.)
– « Vous le voudriez en bleu ou en vert ? » (Et celle-ci pour les vendeurs
Individu dominant
Fait des mouvements affirmés
Accentue ses mouvements
Vous regard e dans les yeux
A un visage animé
069905356 diamel
.Apprenez à dire non. Une bonne fois pour
toutes.
soyez très dur au début, et devenez plus souple après.
Par exemple, si vous gardez votre nièce pendant une journée, vous devez être
absolument horrible la première heure. Elle doit se croire au goulag. Passée
cette première heure, vous pouvez devenir une personne plus gentille.
.Soyez fiable et loyal. Coûte que coûte.
fiable à ses engagements,
à ses principes, et ses croyances.
Si vous voulez avoir plus de
charisme, soyez plus strict envers
vos principes.
.Ajoutez du contact.
Le contact doit être
subtile.
De nombreuses études ont prouvé que nous réagissions mieux aux requêtes
de personnes qui nous touchent. De la même manière, dès que vous saluez
quelqu’un prenez le réflexe de poser votre main sur son bras ou son épaule.
Dès que vous voulez que quelqu’un se décale pour vous laisser passer, mettez
la main en haut du dos ou sur son épaule.
.Soyez décisionnaire.
Les leaders prennent des décisions et ce, rapidement. N’ayez pas peur de
prendre des décisions quitte à être responsable
Soyez celui ou celle qui organise, qui décide. De manière générale, les gens
suivent, et n’aiment pas prendre les responsabilités.
.
.