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Présenté par :
N’DOUFFOU Jean Blanchar
Ing.TP
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OBJECTIFS DU COURS
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PLAN
GENERALITES
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I. GENERALITES
I.1 DEFINITIONS
• L’environnement, c’est tout ce qui nous entoure. C’est l’ensemble des éléments naturels et
artificiels qui entoure un individu humain, animal ou végétal ou une espèce. L’environnement
est en outre l’ensemble des éléments objectifs et subjectifs qui constitue le cadre de vie d’un
individu.
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I. GENERALITES
L’homme moderne est apparu tardivement sur la terre. Les premiers hommes peu nombreux et
dépourvus de moyens techniques ont vécu pendant longtemps en harmonie avec leur milieu naturel. Cet
équilibre a changé profondément avec les révolutions agricoles et industrielles qui ont favorisé
l’érosion des sols, la contamination des eaux naturelles et la régression des végétations naturelles.
Tout le temps que les hommes sont restés peu nombreux avec les moyens techniques rudimentaires,
leurs impacts sur la nature avaient été limités et localisé.
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I. GENERALITES
Aujourd’hui, avec sept (7) milliards d’habitants, les besoins en terres cultivables, en habitations, en
matières premières et en sources d’énergie croissent constamment. Les moyens techniques
permettant de modifier ou de détruire le milieu ont une puissance considérable et redoutable. La
dégradation de l’environnement qui en résulte a déjà eu et aura encore des conséquences de plus en
plus préoccupations.
Ainsi donc ont été introduites les sciences environnementales pour étudier les conséquences de ces
modifications sur les végétaux, les animaux et les hommes aussi à l’échelle des individus que
planétaire. Ces sciences environnementales ont aussi pour but de trouver des solutions alternatives
permettant de poursuivre l’évolution des civilisations vers une qualité supérieure de vie, de progrès
techniques et de modernité tout en préservant un environnement viable, sain et idéal en particulier
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dans le cadre de nos constructions d’infrastructures de Génie Civil.
POLLUTION & DEPOLLUTION
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II. POLLUTION & DEPOLLUTION
II.1 DEFINITIONS
II.1 DEFINITIONS
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II. POLLUTION & DEPOLLUTION
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II. POLLUTION & DEPOLLUTION
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II. POLLUTION & DEPOLLUTION
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II. POLLUTION & DEPOLLUTION
• La turbulence du vent
• La vitesse et la direction du vent
• Le profil de température
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
dioxyde de carbone.
• En présence de vapeur d’eau, les oxydes
NOx + H2O HNO3
d’azote se transforment en acide nitrique et le
(Gaz) (Acide nitrique)
dioxyde de soufre se transforme en acide
sulfurique.
SO2 + H2O H2SO4
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
Le smog est un brouillard polluant composé d’un mélange de particules solides et liquides formé quand le taux
d’humidité est élevé et que l’air est calme. Ainsi, le brouillard s’accumule près des sources d’émission. Le smog
réduit la transparence de l’air et irrite les yeux et le système respiratoire. La prévention contre le smog implique un
contrôle des fumées, une réduction des émissions de gaz issus des unités industrielles, un contrôle des gaz des
incinérateurs.
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
Le smog contient un nombre considérable de polluants indésirables dont le SO2, le cyanure, les
hydrocarbures et leurs dérivées.
• Le smog classique acide que l’on rencontre dans les zones de forte humidité et de faible ensoleillement. Le
soufre émis par les installations se transforme en aérosol (gaz vecteur) SO2. Il y a libération en temps de pluie
de l’acide sulfurique.
• Le smog photochimique : il se rencontre pendant les saisons sèches et dans les zones très ensoleillées. Il y a
libération en temps de pluie de l’acide sulfurique.
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
•L’enlèvement sec : processus de coagulation ou d’agglutination des fines particules sur les plus
grosses en sédimentation.
•L’enlèvement humide : processus d’adsorption de polluants par les gouttelettes en suspension dans
l’atmosphère.
•La déposition sèche : processus d’adsorption de particules par le couvert végétal ou par toute autre
surface plane.
•La déposition humide : c’est la mobilisation et le transport des polluants atmosphérique par la pluie
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et les neiges.
II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
C’est la plus importante manifestation provoquée par la dilatation thermique de l’eau et par la fonte des
glaces polaires et des glaciers continentaux. L’estimation moyenne du niveau d’élévation de la mer d’ici
2100 est d’au moins 50 cm. Cette situation engendre la réduction des surfaces continentales.
Les changements climatiques, les modifications de précipitations ont des conséquences sur le paysage,
la vie animale et végétale, l’évolution des sols, les ressources en eau, les activités économiques et la
santé.
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
La variation de température des milieux aquatiques provoque une perte, une diminution ou une extinction de
certaines espèces aquatiques.
La hausse de température peut entrainer la modification de l’habitat des animaux et des végétaux. Cela aura des
répercussions sur la répartition des espèces et l’équilibre de l’écosystème.
Les activités agricoles sont affectées par les changements climatiques, le réchauffement de la terre perturbant les
périodes de maturation et de floraison de certains végétaux. On observe une décroissance rapide des étendues de
forêts. 25
II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
• L’effet de serre
C’est un phénomène naturel de la basse atmosphère qui contribue à retenir une partie de la
chaleur solaire à la surface de la terre et ce, par le biais du pouvoir absorbant d’énergie de
certains gaz appelés gaz à effet de serre. Le réchauffement de la planète est donc dû à une
production excessive de chaleur par ces gaz (70 millions de tonnes de CO2 toutes les 24h).
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
•Le rinçage d’une portion du couvert végétal choisi et le dosage de l’élément polluant contenu
dans l’eau de rinçage.
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
Elles sont composées des eaux ménagères (lessives, vaisselles) et des eaux vannes (douches, latrines).
Elles peuvent être classées en deux grands types en fonction de leur charge :
- Les eaux usées à charge minérale dominante (installation minière, usine de traitement de minerais)
- Les eaux usées à charge organique dominante (abattoir, installations agro-alimentaires)
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
Elles sont composées des eaux usées domestiques, industrielles et des établissements collectifs ou publics
(casernes, marchés, hôpitaux, etc…).
La pollution des eaux naturelles est due dans certains cas à l’apport des produits phytosanitaires (insecticides,
pesticides) et d’amendement organique.
Le développement urbain engendre une production massive et évolutive de déchets ménagers et autres déchets
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solides.
II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
A l’intermédiaire des phénomènes de déposition, les polluants atmosphériques peuvent être mobilisés dans les
eaux naturelles de surface ou dans les eaux souterraines par infiltration.
Les paramètres de définition de la pollution des eaux sont des indices déterminés par des analyses, des tests
physicochimiques et microbiologiques réalisés sur des eaux pour traduire leur niveau de contamination. Ces
paramètres renseignent sur la composition des eaux et sur l’impact des polluants majeurs.
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
II.3 POLLUTION DES EAUX NATURELLES
II.3.2-1 Les indices de pollutions physiques
Elle permet d’évaluer la proportion des matières organiques biodégradables dans les eaux et de
faire un choix de traitement. Le dosage se fait conventionnellement sur une période de cinq (5)
jours d’où l’appellation DBO5. Le dosage de la DBO5 doit respecter les conditions suivantes : 34
II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
Elle permet d’évaluer la proportion des matières organiques biodégradables dans les eaux et de
faire un choix de traitement. Le dosage se fait conventionnellement sur une période de cinq (5)
jours d’où l’appellation DBO5. Le dosage de la DBO5 doit respecter les conditions suivantes : 35
II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
Elle renseigne sur l’ensemble des matières organiques biodégradables et non biodégradables.
Résolution
Cette eau est beaucoup chargée en matières organiques biodégradables. Le traitement adapté est
le traitement biologique.
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
L’eutrophisation est l’enrichissement d’un milieu aquatique (lac, cours d’eau, rivière, rivages
marins) en éléments nutritifs entrainant ainsi la prolifération des végétaux aquatiques
envahissants (VAE).
- La fermentation anaérobie.
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
Les éléments chimiques généralement considérés pour traduire cette forme de pollution sont : le fer, le cuivre, le
plomb, le manganèse, le chlore.
La contraction de la maladie se fait par ingestion d’éléments pathogènes présents dans l’eau de boisson ou dans les
aliments ou sur les aliments. Ces maladies sont :
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• La diarrhée et le infections intestinales (choléra, dysenterie)
II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
La contraction de la maladie se fait par ingestion d’éléments pathogènes présents dans l’eau de
boisson ou dans les aliments ou sur les aliments. Ces maladies sont :
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
II.4.2 Les maladies provenant d’une source d’eau près de laquelle on vit
Selon la règlementation en matière d’eau et par souci de préservation des milieux récepteurs, en
particulier les eaux de surfaces, les eaux usées doivent obligatoirement subir une épuration
avant d’être rejetées. Il existe deux (2) grandes modes d’épuration à savoir l’épuration
biologique et l’épuration physico-chimique. 42
II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
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II. POLLUTIONS & DEPOLLUTIONS
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DEVELOPPEMENT DURABLE
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
III. 1 APPROCHE CONCEPTUELLE
« Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans
compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Rapport Brundtland,
1987
1. Le développement est un processus
conduisant à l'amélioration du bien-être
des humains. L'activité économique et le
2. L'adjectif durable insiste sur la notion
bien-être matériel demeurent essentiels
mais la santé, l'éducation, la de temps c'est-à-dire pour une amélioration
préservation de l'environnement, sur le long terme du bien-être de tous.
l'intégrité culturelle par exemple le sont
tout autant.
Le développement durable est conçu comme une rupture avec d'autres modes de
développement qui ont conduit, et conduisent encore, à des dégâts sociaux et
écologiques considérables, tant au niveau mondial que local.
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
III. 2 DIMENSIONS OU PILIERS DU DD
Les trois « piliers » du développement durable
NB:
Le sommet de Copenhague (1995) consacré au développement social a validé à l’échelle
européenne ce troisième pilier.
Le sommet des villes d’Istanbul a cherché, en s’appuyant sur ces piliers, à définir le
développement durable en y intégrant la dimension urbaine et en situant le bien être de l’Homme
au centre de ses préoccupations:
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
III. 2 DIMENSIONS OU PILIERS DU DD
▪ Le Pilier Economique
Il traduit la recherche par le développement durable d’un objectif de croissance et d’efficacité
économique ;
Le pilier économique repose notamment sur l’utilisation raisonnée des ressources et des milieux
naturels, sur l’amélioration des relations économiques internationales (ex : place du commerce
équitable, intégration des critères de développement durable dans les travaux de l’organisation mondiale
du commerce…) et l’intégration des coûts environnementaux et sociaux dans les prix des biens et des
services.
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
III. 2 DIMENSIONS OU PILIERS DU DD
▪ Le Pilier Social
Il exprime le fait que ce développement durable doit partir des besoins humains et donc répondre à un
objectif d’équité sociale.
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
III. 2 DIMENSIONS OU PILIERS DU DD
▪ Le Pilier environnement
Il signifie que l’objectif de développement durable doit contribuer à préserver, améliorer et valoriser
l’environnement et préserver les ressources pour le long terme.
Préserver, améliorer et valoriser l’environnement et les ressources naturelles sur le long terme. La
conservation et la gestion des ressources passent par la gestion durable des ressources naturelles, le
maintien des grands équilibres écologiques (climat, diversité biologique, océans, forêts…), la réduction
des risques et la prévention des impacts environnementaux.
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
III. 2 DIMENSIONS OU PILIERS DU DD
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
« Les dirigeants mondiaux ont, cette année, l’occasion de remettre le monde sur la voie
d’un développement inclusif, durable et résilient » - Helen Clark, Administrateur du
PNUD, janvier 2015.
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III. DEVELOPPEMENT DURABLE
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
CONTEXTE
➢Ce cours étudie les problèmes de gestion des déchets produits par la société.
Il présente les différentes filières de traitement des déchets, son mécanisme de
financement et son impact sanitaire.
➢Il vise à situer les missions d’un futur chargé de projet dans ce domaine et en
particulier dans la valorisation et l’élimination des déchets
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
CONTEXTE
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DECHETS SUR UNE VOIE
À ABIDJAN
ORDURE ENTASSÉE DEVANT
LE PLUS GRAND MARCHÉ D’ABIDJAN
UNE VOIE RÉTRÉCIE
PAR LES DECHETS À ABIDJAN
DECHETS DANS UN CANIVEAU et
DEPOT SAUVAGE
A OUAGADOUGOU
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DECHETS
DANS UNE RUE DE LIBREVILLE
CONTEXTE
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Définition (Larousse):
Un déchet est un débris, reste sans valeur ou un objet destiné à
l’abandon.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Déchets sont considérés comme dangereux s’ils présentent une ou plusieurs des propriétés
suivantes: explosif, comburant, Inflammable, irritant, nocif, toxique, cancérogène, corrosif,
infectieux, toxique pour la reproduction, mutagène, écotoxique.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Il peut s’agir:
Solides: déchets non dangereux souillés (chiffons, cartons, etc.), piles, résidus de peinture
Liquides: huiles de coupe, solvants, encres, révélateurs et fixateurs photo, etc.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Ils pourraient nuire à l’environnement à moyen terme compte tenu du temps nécessaire à leur
dégradation (30 ans minimun pour les plastiques), ces déchets seront gênants de par leur
présente et engendreront des impacts.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Ils peuvent être éliminés dans des filières spécialisées, ou valorisés dans des filières de
valorisation matière ou énergie (nous aborderons ce thème dans le chapitre, filière
d’élimination ou valorisation de matière ou énergétique).
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Est ultime un déchet résultant ou non du traitement d’un déchet, qui n’est plus susceptible
d’être traité dans les conditions techniques et économiques du moment, notamment par
extraction de la part valorisable ou par réduction de son caractère polluant ou dangereux.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Ce code vise entre autre à améliorer les conditions de vie des différents types de population
dans le respect de l’équilibre avec le milieu ambiant et à garantir à tous les citoyens un
environnement écologiquement sain et équilibré.
L’article 6 de ce code stipule que les déversements, écoulements, rejets et dépôts susceptibles de
provoquer ou d’accroître la dégradation du milieu récepteur sont soumis aux dispositions de la
présente loi.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Ordonnance n°2007-586 du 04 oct. 2007 abrogeant certaines dispositions de la loi n°2003 -208
du 17 juillet 2003 portant transfert et répartition des compétences de l’état aux collectivités
territoriales.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
Ordonnance n°2007-586 du 04 oct. 2007 abrogeant certaines dispositions de la loi n°2003 -208
du 17 juillet 2003 portant transfert et répartition des compétences de l’état aux collectivités
territoriales.
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET DIMENSIONNEMENT DE DECHARGES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
Décharge contrôlée:
• Le stockage des déchets est effectué d’une façon provisoire dans une installation autorisée
(décharge) à cet effet.
Les décharges contrôlées sont classées selon les types de déchets comme suit:
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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IV. GESTION DES DECHETS SOLIDES ET CONCEPTION DE DECHARGES CONTROLEES
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EMPREINTE CARBONE
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V. EMPREINTE CARBONE
V.1. DEFINITION
L’empreinte carbone est un indicateur qui vise à mesurer l’impact d’une activité sur
l’environnement, et plus particulièrement les émissions de gaz à effet de serre liées à cette
activité. Elle peut s’appliquer à un individu (selon son mode de vie), à une entreprise (selon ses
activités) ou un territoire.
Cet impact est généralement exprimé en dioxyde de carbone équivalent ou CO2e. La raison ?
Par souci de simplicité et d'homogénéisation, on utilise pour tous les gaz à effet de serre une
seule norme rapportée au CO2. Cela revient ainsi à déterminer combien de CO2 retiendrait la
même quantité de rayonnement solaire et donc contribuerait au réchauffement climatique.
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V. EMPREINTE CARBONE
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V. EMPREINTE CARBONE
La notion d’empreinte carbone est parfois confondue avec celle de l’empreinte écologique. La
seconde, dont le CO2 n’est qu’une composante, couvre un spectre plus large. L’empreinte
écologique s’exprime en surface de terre productive requise pour produire les biens et services
que nous consommons et absorber les déchets qui en découlent. Son utilisation la plus parlante
- et couramment utilisée dans les médias - est le nombre de Terres nécessaires pour absorber
nos modes de consommation. On peut ainsi comparer les modes de vie des citoyens (d’un pays
à l’autre par exemple). Et se représenter plus facilement le mode de vie à adopter pour respecter
le renouvellement des ressources naturelles de notre planète.
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V. EMPREINTE CARBONE
Ici, la quantité consommée s'exprime dans l'unité du produit (litres d'essence, m2 de surface,
kg d'ananas, etc).
Le facteur d'émission physique précise la quantité de CO2 émise par une unité consommée.
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V. EMPREINTE CARBONE
Ici, la quantité consommée s'exprime dans l'unité du produit (litres d'essence, m2 de surface,
kg d'ananas, etc).
Le facteur d'émission physique précise la quantité de CO2 émise par une unité consommée.
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