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P.A.C.E.S
QCM 1 : AB
C. 90 ans pour la première et 40 ans pour la seconde.
D. Il s'agit de Paracelse.
E. Le premier essai clinique a été réalisé par Basile Valentin avec l'antimoine.
QCM 2 : ABC
D. Claude Bernard illustre la naissance de la physiologie.
E. Aux XIXe et XXe siècles (1870-1960).
QCM 3 : CDE
A. Avant, pendant la première révolution pharmacologique.
B. Les curares permettent une myorelaxation mais n'ont pas d'effet sédatif ou analgésique.
QCM 4 : C
A. La clonidine n'est plus sur le marché, mais elle a bien été découvert par curiosité.
B. Les phases I à IV appartiennent aux essais cliniques en pharmacologie clinique.
D. Ces deux étapes sont séparées par celle de la pharmacologie clinique.
E. En pharmacologie pré-clinique.
QCM 5 : ACD
B. Durant la période du «tout religieux» il n'y a pas de médicaments actifs (quinquina, coca, café et
tabac sont les premiers médicaments du nouveau monde qui arrivent au XVIIe siècle).
E. C'est la première révolution pharmacologique (très efficace mais aussi très dangereux!).
QCM 6 : BCE
A. Les découvertes résultent de la rencontre du hasard et de l'observation curieuse d'un chercheur
génial. On parle de Serendipity. (« Les enfants du hasard ou comment devient-on médicaments.»)
D. Il ne guérit pas les lésions tuberculeuses ( bien que nouvel anti-tuberculeux au départ) mais on
s'est aperçu qu'il améliore l'humeur des malades. C'est pour cela qu'il est qualifié d'antidépresseur.
QCM 7 : CD
A. Pharmakon fait référence au remède mais aussi au poison.
B. Non, c'est la pharmacologie clinique.
QCM 8 : D
A. La pharmacogénétique permet de prévoir le risque médicamenteux et la réponse d'un malade à
un médicament en fonction de ses caractéristiques génétiques. Elle permet de personnaliser un
traitement.
B. Les anticorps monoclonaux sont parfois des médicaments fabriqués par génie cellulaire pour
traiter par exemple des tumeurs cancéreuses.
C. Les biomédicaments comprennent aussi les molécules chimériques.
E. Au contraire, des maladies rares orphelines (petits groupes de patients).
QCM 9 : BDE
A. L'empirisme s'oppose à la méthode expérimentale de C. Bernard.
C. Au XXIe siècle, on produit des médicaments pour l'individu, pour des maladies rares orphelines :
c'est le « drug-tailoring ».
QCM 10 : ABCE
D. Ils ne se trouvent que dans les pharmacies.
QCM 11 : DE
A. Il possède une AMM. On ne peut pas parler de médicament en l'absence d'AMM.
B. Le placebo pur n'est pas un médicament ! Il n'a pas d'AMM.
C. Toute prescription de médicament s’accompagne d’un effet de suggestion en général positif
appelé « effet placebo ». L'effet thérapeutique dépend de l'effet pharmacologique ET de l'effet
placebo.
QCM 12: CD
A. L'effet nocebo n'est pas relié aux propriétés fondamentales du médicament.
B. Il peut être présent pour tous les médicaments et les placebo.
E. C'est soigner un malade et non une maladie !
QCM 13 : AD
B. Pas 2a mais 2b, attention le Pr Senard adore ce genre de piège !
C. Les dispositifs médicaux sont bien classés en 4 classes en fonction de la dangerosité mais celles-
ci sont : I, IIa, IIb, III .
E. Les dispositifs médicaux de la classe I peuvent être auto-certifiés par le fabricant.
QCM 14 : AD
B. Il est précisé «ou à l'animal» dans la définition juridique du médicament.
C. Non, ils sont trop peu nombreux !
E. Préventif.
QCM 15 : AD
B. A visée diagnostique.
C. Ils possèdent au contraire un fort intérêt commercial.
E. Un médicament ne peut être vendu ailleurs qu'en pharmacie en France !!!
QCM 16 : ABCDE
C. (VRAI) Le cours sur l'effet placebo précise que si toute prescription s'accompagne d'un effet de
suggestion, celui-ci est en général positif, bénéfique.
QCM 18 : Aucune
A. Il est également utilisé en pratique de soins.
B. Ils appartiennent aux placebos impurs.
C. L'effet nocebo n'est pas relié aux propriétés fondamentales du médicament.
D. L'effet nocebo peut s'obtenir avec tous les médicaments et le placebo aussi.
E. Ce sont des placebos purs et pas des médicaments puisqu'elles n'ont pas d'AMM !
QCM 19 : ABCD
E. Le médicament placebo ne possède pas de propriétés pharmacologiques de base.
QCM 20 : CDE
A. Pas d’efficacité démontrée à ce jour.
B. La demande a échouée, le gouvernement s’y est opposé.
QCM 21 : AC
B. Ce sont des synonymes. On doit utiliser un groupe témoin ou groupe placebo face à un groupe
traité.
D. C'est la même chose : c'est l'homéopathie qui soigne par les semblables.
E. C'est un médicament (car AMM) donc uniquement vendu dans les pharmacies.
QCM 22 : ACD
B. Il sont définis dans l'article 1261-1.
E. Les antifongiques sont des médicaments topiques superficiels.
QCM 23 : CE
A. Attention, il est vrai que tous les médicaments ne guérissent pas, mais les médicaments
préventifs sont au contraire en trop petit nombre !!
B. Les pharmaciens ont un droit de substitution du médicament de marque par un médicament
moins cher (générique). En contrepartie, ils augmentent leur marge bénéficiaire.
C. (VRAI) Les propriétés sensorielles du médicament contribuent à son effet placebo.
Or, effet thérapeutique = effet pharmacologique + effet placebo
D. Pas de l'EMA mais de la commission européenne (CE).
QCM 24 : ABC
D. Il faut 3 lettres de différence.
E. Elles sont fixées par l'OMS.
QCM 25 : CE
A. Ce sont les prescriptions en DCI qui sont encouragées.
B. Les sartans sont des antagonistes des récepteurs AT1 de l'angiotensine II.
D. Il s'agit d'un suffixe.
E. (VRAI) Attention ceci n'est vrai que pour les molécules récentes !
QCM 26 : E
A. Possible mais pas toujours vrai.
B. Ça n'est pas de la contrefaçon.
C. Dossier allégé.
D. Peut être très grave car on ne sait pas la relation avec la molécule princeps (biodisponibilité
opposée, par exemple).
QCM 28 : ABD
C. Elles sont destinées à être dispensées directement aux patients.
E. Une préparation magistrale doit être préparée au dernier moment.
QCM 29 : ADE
B. La classification pharmacothérapeutique regroupe les classes pharmacologiques ayant les mêmes
indications thérapeutiques.
C. Il suit une classification pharmacothérapeutique.
QCM 30 : DE
A. Il existe aussi la procédure décentralisée.
B. Elle est obligatoire pour les produits issus de biotechnologies, les médicaments orphelins, les
médicaments nouveaux dans certaines maladies (SIDA, cancer, diabète,...).
C. Le dépôt de dossier dans la procédure centralisée doit être fait dans tous les états membres
simultanément.
QCM 31 : ACD
B. C'est le laboratoire qui fait la demande.
E. Il a été créé en 1992 suite au scandale du sang contaminé et de l'épidémie du SIDA.
QCM 32 : BCD
A. C'est l'attribution de l'AMM qui lève cette interdiction.
D. (VRAI) En effet, leur dossier d'AMM ne comporte que les parties sur la qualité, la sécurité et
l'usage du médicament.
E. L'AMM est une absence d'interdiction de commercialisation et non pas une comparaison avec
des substances déjà disponibles.
QCM 33 : D
A. Elles sont bien sûr obligatoires.
B. L'efficacité de l'homéopathie n'a jamais été prouvée. Cette levée d'interdiction est une des
exceptions (l'autre étant la phytothérapie).
C. L'AMM est réévaluée tous les 5 ans, ce qui fait que un médicament peut très bien perdre son
AMM si elle ne répond plus aux critères du CSP.
E. Elle est déposée dans tous les pays puis évaluée dans un état de référence choisi. C'est pour la
procédure de reconnaissance mutuelle qu'il y a un dépôt du dossier dans un des pays européens. Si
l'AMM est obtenue dans ce pays-là, il le sera également dans tous les autres pays.
QCM 34 : BCD
A. C'est tous les ans.
E. Le plus souvent c'est parce que le rapport bénéfice/risque est devenu défavorable.
QCM 35 : BC
A. Elle donne son avis dans l'EPAR mais la décision appartient à la Commission Européenne.
D. Elle est payante : le laboratoire désirant commercialiser la substance paye une redevance (une
sorte de taxe, d'impôt) qui permettra de financer en partie le système d'évaluation.
QCM 36 : BCE
A. Se référer à la définition de la publicité du Code de la Santé Publique : «Seuls peuvent faire
l'objet d'une publicité les médicaments disposant d'une AMM, les médicaments homéopathiques et
les médicaments à base de plantes ».
D. Ne pas confondre extension, pour une nouvelle indication, et ampliation qui est la copie
authentique ayant valeur d'original d'un acte administratif.
QCM 37 : Aucune
A. Attention, le critère de qualité a été le premier critère reconnu dans l'histoire du médicament,
tandis que le critère d'efficacité est un critère très récent !
B. La principale cause de retrait ou suspension d'AMM est le rapport bénéfice/risque devenu
défavorable.
C. Attention, l'obligation d'évaluation et de gestion des risques concerne tous les produits de santé !
(sang, dispositifs médicaux, produits cosmétiques...).
D. Attention, l'AMM n'est pas délivrée pour un médicament donné, elle est strictement limitée à
l'indication du médicament ayant fait l'objet d'études cliniques.
E. Il s'agit là du module 2, le module 1 correspondant aux renseignements administratifs,
proposition de RCP, notice pour les patients...
QCM 38 : DE
A. Les ATU sont accordées par l'ANSM.
B. La définition des dispositifs médicaux apparaît dans le Code de la Santé Publique.
C. Il s'agit d'un marquage CE.
E. (VRAI) Cette interdiction est levée par l'obtention de l'AMM.
QCM 39 : Aucune
A. Ce sont les exigences. Le dossier comprend 5 modules.
B. On ne fait pas d'étude comparative pour l'obtention de l'AMM. L'ASMR est complètement
indépendante de l'AMM et ne s'évalue pas à cette phase de vie du médicament.
C. Réservée aux médicaments homéopathiques ou phytothérapeutiques.
D. Plutôt une AMM pour circonstances exceptionnelles.
E. On utilise un dossier allégé pour tous les médicaments génériques (pas si rare !).
QCM 40 : BD
A. De moins en moins utilisée.
C. En France.
E. Ne pas confondre la RTU et l'extension d'AMM.
QCM 41 : BDE
A. Après l'obtention de l'AMM le médicament doit valider d'autres étapes avant d'être
commercialisé de façon effective.
C. Le médicament possédant une AMM peut ne pas être pris en charge par le système de protection
sociale.
QCM 42 : BD
A. En fonction du SMR.
C. La Comission de Transparence appartient à la HAS.
E. L'échelle du SMR contient 4 niveaux (majeur, modéré, faible, insuffisant).
QCM 44 : ABCDE
C. (VRAI) Pour les spécialités qui ne font pas de demandes de remboursement.
D. (VRAI) Idem.
QCM 45 : BD
A. C'est une autorité publique.
C. Elle donne seulement un avis. C'est l'UNCAM qui décide du taux de remboursement du
médicament.
E. On peut en compter 4: HAS, ANSM, CEPS et UNCAM.
QCM 46 : C
A. Il contribue à la fixation des prix et non pas du taux de remboursement.
B. La Commission de Transparence appartient à la HAS .
D. Il entre en ligne de compte pour le SMR.
E. Le niveau I correspond à «Progrès Thérapeutique Majeur» ; c'est le niveau II qui correspond à
« Amélioration Importante ».
QCM 47 : BDE
A. La Commission de Transparence évalue les médicaments.
C. Entre le CEPS (représentant de l'État) et l'industrie pharmaceutique.
QCM 48 : BCDE
A. Elle tient compte des prix des médicaments à même visée thérapeutique.
QCM 49 : AC
B. Elle DOIT être faite pour toute nouvelle indication.
D. Elle est votée par le Parlement.
E. Les déremboursements sont réguliers.
QCM 50 : E
A. Les stupéfiants ont leur propre liste.
B. La première ordonnance doit être faite par un spécialiste mais pas nécessairement le
renouvellement qui peut être fait parfois par un généraliste.
C. Les amphétamines appartiennent à la liste des stupéfiants : prescription limitée à 28 jours pour le
per os et 7 pour l'injectable.
D. C'est la prescription de stupéfiants qui nécessite une ordonnance particulière, appelée
ordonnance sécurisée. Les médicaments dit toxiques sont les médicaments appartenant à la liste I et
ne nécessitent pas une ordonnance particulière pour la prescription.
E. (VRAI) Médicaments dangereux = liste II
QCM 51 : ACD
B. Le patient peut sortir d'une consultation SANS ordonnance, ce n'est absolument pas une
obligation..
E. Les infirmières peuvent renouveler des ordonnances, notamment certains contraceptifs oraux.
QCM 52 : CDE
A. Elle est délivrée au patient au terme d'une consultation, sauf en cas d'urgence.
QCM 53 : BD
A. Quand un médicament n’apparaît pas sur une ordonnance, il ne peut être remboursé par la
Sécurité Sociale.
C. Les ordonnances bizone et les ordonnances de médicament ou produits et prestations d'exception
sont rédigées sur du papier CERFA® ; les stupéfiants nécessitent une ordonnance sécurisée.
E. Bien sûr que si.
QCM 54 : ABCD
E. La case doit comporter le nombre de médicaments prescrits sur l'ordonnance.
QCM 55 : AD
B. Il est obligatoire pour les enfants.
C. «Over The Counter» signifie que le médicament est en accès libre. Ils sont dits « derrière le
comptoir » s'ils doivent être dispensés par le pharmacien.
E. C'est vrai sauf qu'ils appartiennent à la liste I.
QCM 56 : E
A. C'est plutôt 90% !
B. Il s'agit de pathologies fréquentes dans une population solvable.
C. C'est l'inverse. Le marché américain représente 38% du marché mondial, tandis que le marché
européen en représente environ 18% (soit environ la moitié du marché américain pour presque le
même nombre d'habitants !).
D. Le taux de croissance des pays émergents (>17%) est supérieur au taux de croissance mondial.
QCM 57 : E
A. Les 2.
B. Certes la DCI correspond à la classe pharmacologique, mais il faut prescrire en DCI.
C. Tous les professionnels de santé peuvent le faire.
D. Il y a une étape de vérification des informations.
QCM 18 et 19 : Sujet à l'asthme depuis l'enfance, un jeune homme de 22 ans vient d'être
admis en service de pneumologie à l'hôpital de Purpan. Son traitement anti-asthmatique est
inefficace et son pronostic vital vient d'être engagé. L'équipe soignante suspecte donc une
anomalie du récepteur β2-adrénergique (RCPG), cible des médicaments utilisés dans le
traitement de l'asthme.
QCM 18 :
A. L'absence de réponse peut être due à une mutation inactivante du récepteur au cours de laquelle
le ligand ne peut plus se fixer sur son récepteur.
B. Il pourrait s'agir d'une désensibilisation du récepteur causée par une exposition excessive au
médicament.
C. Le salbutamol, utilisé dans le traitement de l’asthme, est un agoniste des récepteurs β2-
adrénergiques.
D. La désensibilisation (ou régulation négative) d'un récepteur est temps-dépendante.
E. Augmenter la prise de médicament pourrait pallier au manque de réponse.
QCM 19 :
A. Les récepteurs β-adrénergiques font partie des récepteurs couplés aux protéines G agissant par
l'intermédiaire de la sous unité αS.
B. La stimulation par un agoniste d'un récepteur β1-adrénergique va être à l'origine d'une
bronchodilatation permettant de lutter contre le rétrécissement des bronches observé lors d'une crise
d'asthme.
C. Au cours d'une endocytose induite par la β-arrestine, le récepteur est toujours dégradé.
D. L'échec du traitement peut être dû à un phénomène de down-regulation à cause d'un temps
d'exposition au médicament trop long.
E. Les récepteurs β-adrénergiques font partie de la famille des RCPG avec une extrémité N-
terminale courte (Classe A).
QCM 32 : A propos des mécanismes d'action des médicaments agissant sur les canaux VOC :
A. Les médicaments « ouvreurs » se lient sur la forme fermée du récepteur, permettant ainsi son
ouverture.
ISO = Isoprénaline
NA = Noradrénaline
A = Adrénaline
A. Il s'agit de 3 agonistes entiers d'AI = 1.
B. La noradrénaline est plus puissante que l'adrénaline.
C. Il faudra plus d'isoprénaline que d'adrénaline pour obtenir le même effet.
D. Ces trois composés n'agissent pas sur la même cible étant donné qu'ils n'ont pas la même Emax.
E. Il existe une classification fonctionnelle des médicaments en 5 groupes : agonistes entiers,
antagonistes compétitifs et non compétitifs, agonistes partiels, agonistes-antagonistes et agonistes
inverses.
QCM 1 : BCE
A. Les liaisons covalentes sont irréversibles.
D. Ceci est la définition de la sélectivité et non de la spécificité.
QCM 2 : BDE
A. Les principes actifs sont de faible poids moléculaire, tandis que les cibles avec lesquelles ils
interagissent sont des macromolécules.
C. Ce sont les charges opposées qui s'attirent, principe actif et cible intéragissent par leur zone de
charges opposées.
QCM 3 : BC
A. Ce sont des récepteurs à activité tyrosine kinase.
D. La Varénicline est un agoniste des récepteurs nicotiniques.
E. C'est un récepteur ionotrope.
QCM 4 : B
A. Les Prazoles sont des inhibiteurs de la pompe à protons. Les inhibiteurs de la recapture des
amines biogènes sont des antidépresseurs type « Prozac ».
C. C'est la L-DOPA.
D. Les enzymes MAO permettent la dégradation des neurotransmetteurs donc diminuent leurs
concentrations.
E. Ces sont des inhibiteurs du CYP 3A4.
QCM 5 : ABE
C. La cocaïne agit sur DAT qui est la protéine de transport pour la recapture de la dopamine et la
Fluoxétine agit sur SERT qui est la protéine de transport pour la recapture de la sérotonine.
D. A la famille 3 (groupe C).
QCM 6 : AD
B. Le bicarbonate de sodium ne guérit pas la blessure ! Il agit ponctuellement en supprimant
l'acidité gastrique grâce à une augmentation du pH très rapide et soulage la douleur.
C. Le sel contenu dans le bicarbonate de sodium est dangereux pour la tension artérielle. Il faut
donc le manipuler avec précaution chez des patients atteints de maladies cardiovasculaires par
exemple.
QCM 7 : ACE
B. Ce sont les allostériques les plus nombreux (environ 5 pour 1).
D. Dans l'énoncé il est question des cibles spécifiques des médicaments or le PEG fait partie des
cibles non spécifiques. Sans ça, l'item serait vrai.
QCM 8 : BE
A. Les Prazoles agissent comme inhibiteurs de la pompe à proton située au niveau de l'estomac pour
le traitement de l'ulcère gastrique.
C. Ils peuvent agir sur les 2 types de cibles (ex : Macrolides) : endogènes et exogènes.
D. Au contraire, les différentes conformations facilitent l'interaction avec la cible.
QCM 9 : ACDE
B. Attention, cet effet latéral ne peut être observé que si l'anti-histaminique se lie sur un récepteur
muscarinique (=cible annexe).
QCM 10 : BD
A. Les cibles spécifiques ne sont pas toujours membranaires, elles peuvent aussi être intra-
cellulaires.
C. Ceci est la définition d'un médicament spécifique. Un médicament sélectif est un médicament
capable d'interagir avec un seul des différents sous-types de récepteurs.
E. La majorité cible des récepteurs.
QCM 11 : BD
Attention!! Il fallait pour ce QCM donner les propositions inexactes. Ce piège tombe lors des
concours, que ce soit à Purpan ou à Rangueil. Lisez donc bien l'énoncé jusqu'au bout avant de
commencer.
B. Elle peut aussi être négative.
D. Il faut 2 molécules d'aldostérone et 2 récepteurs pour obtenir une action pharmacologique.
QCM 12 : ABDE
C. Au contraire, ils diminuent l'effet des médicaments : ce sont des inducteurs des CYP2E1 qui
dégradent les médicaments.
QCM 13 : ABE
A. (VRAI) Ils inhibent les cytochromes P450 donc augmentent l'effet des médicaments.
C. Le Prozac fait partie des cibles connues mais ne rendant pas compte des effets.
D. Un inhibiteur du cytochrome 3A4 prolonge l'effet pharmacologique du médicament en
ralentissant son élimination. Il augmente donc le risque d'effet indésirable.
E. (VRAI) Une migraine est causée par une vasodilatation des vaisseaux. On prescrit donc, pour la
traiter, des médicaments anti-migraineux à activité vasoconstrictrice dégradés par les Cytochromes
3A4. Or les azolés étant inhibiteurs de ces Cytochromes, l'anti-migraineux va s'accumuler et
entraîner une vasoconstriction en excès.
QCM 14 : BCE
A. On ne parle pas d'effet indésirable utile mais d'effet latéral.
D. Inversement proportionnelle.
QCM 15 : ABCDE
QCM 16 : ABCE
D. La synthèse d'un échangeur ionique au niveau du tubule rénal entraîne une augmentation de la
pression artérielle, une hypernatrémie et une hypokaliémie (syndrome Conn).
QCM 18 : BCD
A. Au cours d'une mutation inactivante, le ligand se fixe bien sur le récepteur mais ce dernier ne
peut adopter sa conformation active.
E. Au contraire, cela accentuerait le problème. Les anti-asthmatiques ne doivent être utilisés que de
façon ponctuelle.
QCM 19 : AE
B. Ceci serait valable pour un récepteur β2-adrénergique.
C. Si l'exposition au médicament n'est pas trop longue, le récepteur peut être recyclé à la membrane.
D. Le phénomène de down-regulation est ligand-dépendant mais temps-indépendant donc ne
dépend pas de la durée d'exposition.
QCM 20 : ABCDE
QCM 21 : CE
A. Ce sont les cibles de 35 à 40 % des médicaments commercialisés.
B. La protéine G se lie à l'extrémité C-terminale.
D. Il existe 3 modes de classification : selon homologie de séquences, la protéine G associée et en
fonction des ligands/effets associés. La classification selon le mode de fonctionnement n'existe pas.
QCM 22 : ABCE
D. Le récepteur peut aussi être recyclé à la membrane.
QCM 23 : Aucune
A. Le récepteur à la rhodopsine est un homodimère.
B. C'est l'inverse: GBR1 lie le GABA et GBR2 s'associe à la protéine G.
C. En présence de GBR2 seul, le GABA ne se fixe pas.
D. Pas toujours! Il peut y avoir intervention de la β-arrestine.
E. Un récepteur peut avoir plusieurs conformations.
QCM 24 : ABDE
C. RAMP1 est responsable de l'effet du CGRP, pas de l'ADM, c'est RAMP2,3.
D. (VRAI) C'est le cas des Gépants dans le traitement de la migraine.
QCM 25 : BD
A. C'est le CGRP qui induit la vasodilatation des artères.
C. Le Telcagepant ne se fixe pas sur le récepteur CRLR mais sur la protéine non réceptrice RAMP1.
E. Pas toujours, il peut aussi y avoir des effets favorables avec la β-arrestine (ex : antipsychotiques).
QCM 26 : ADE
B. Hétérotrimèrique.
C. 1% du génome humain.
QCM 27 : BDE
A. Sous-unité αq de la protéine G. C'est l'histamine H2 qui se lie à la sous-unité αs.
C. L'adrénaline ne fait pas partie des opiacés. Le reste de la proposition est correct.
QCM 35 : CD
A. Attention, ceci est vrai uniquement pour les canaux calciques !
B. Les canaux de type T se mettent bien en route rapidement mais ils ont une durée d'action brève
dans le temps.
E. Les antiarythmiques ciblent les canaux potassiques et sodiques.
QCM 36 : BDE
A. Il peut aussi rentrer grâce à un canal ROC (cf diapo du cours).
C. C'est l'inverse, les Dihydropyridines agissent au niveau des vaisseaux et le Verapamil agit au
niveau du cœur.
QCM 37 : ACDE
B. Le Muscimol n'est pas un médicament, utilisé en labo pour modéliser des crises épilepsies . Le
reste de la proposition est juste.
QCM 38 : AC
B. Attention, il s'agit là de la définition du KM, la constante de Michaëlis utilisée pour les réactions
enzymatiques. Le KD correspond à la concentration de ligand qui occupe 50% des récepteurs
spécifiques.
QCM 39 : BDE
A. C'est un des objectifs de la pharmacocinétique qui est cité dans cet item.
C. AI=1.
QCM 40 : ACE
B. L'effet pharmacodynamique est directement proportionnel au % de la cible occupé. Rien à voir
avec le KD qui s’intéresse à l'affinité du médicament.
D. Non (l'agoniste partiel se comportant en antagoniste partiel), par contre il est possible d'utiliser
un agoniste partiel suivi d'un agoniste plein.
QCM 41 : ABDE
C. On parle de rapport bénéfice-risque optimal. Le reste de la proposition est juste.
QCM 42 : C
A. Ils sont prévisibles et fréquents.
B. Ils sont connus avant la mise sur le marché des médicaments grâce aux essais cliniques mais les
EIM rares ne le sont qu'après utilisation par beaucoup de personnes, donc après mise sur le marché.
D. L'allergie à la pénicilline fait partie des EIM inattendus.
E. La pénicilline est un antibiotique et agit donc sur des cibles EXOGENES !! Son action sur des
cibles endogènes peut induire des allergies chez certains patients et correspond donc à un effet
indésirable.
QCM 43 : BC
A. Cette définition correspond aux objectifs de la PHARMACOMETRIE.
D. Cette définition correspond à celle de la pharmacocinétique. La pharmacodynamie étudie les
effets du médicament sur l’organisme.
E. C'est l'inverse. Un antagoniste est dit orthostérique lorsqu'il est surmonté quand on augmente les
doses de l'agoniste.
QCM 44 : AE
B. C'est l'inverse. Pour répondre, il faut regarder la CE50 : plus elle est faible, plus le médicament
est puissant.
C. C'est l'inverse. La CE50 de l'ISO est plus faible que celle de l'adrénaline.
D. Cela n'a rien à voir. Il faut bien retenir que des ligands agissant sur une même cible n'ont pas
toujours la même Emax.
QCM 45 : CDE
A. Dans certains cas, ils peuvent être prévisibles même si cela reste difficile.
B. Ils ne sont pas connus avant la mise sur le marché car les essais cliniques ne se déroulent que sur
un nombre restreint de personnes.
QCM 46 : AC
B. L'AMPc peut modifier les canaux ROC. Les canaux VOC sont modifiés par des courants
transmembranaires (canaux voltage dépendants).
D. Pendant la période réfractaire, ils sont INSENSIBLES aux médicaments.
E. Attention, la probabilité d'ouverture n'est pas modifiée !
QCM 47 : DE
A. Ce sont les canaux VOC !
QCM 48 : ABCD
C. (VRAI) Le Gaboxadol est agoniste du GABA, il a des effets dépresseurs du SNC. Il sera dont à
prescrire pour un insomniaque.
E. Il n’y a pas de possibilité de liaison entre l’ion et les parois du canal.
QCM 49 : DE
A. Le Muscimol est un agoniste de l’acide γ-aminobutyrique (GABA).
B. Par simple modification conformationnelle.
C. D’après le cours, il y a des canaux ioniques calciques dans la mitochondrie et dans le RE. Le RE
est une réservoir important de Ca++.
D. (VRAI) Le Gaboxadol est un agoniste orthostérique du GABA-A.
QCM 50 : BC
A. Les RCPG sont couplés à des protéines G hétéroTRImériques.
D. La désensibilisation est un procédé qui consiste au découplage de la protéine G et à une
INTERnalisation du récepteur.
E. C'est une mutation RCPG activante.
QCM 51 : D
A. C'est la liaison ligand-récepteur qui induit la modification conformationnelle.
B. La phosphorylation par la GRK permet la fixation de la béta-arrestine.
C. Il peut détecter des interactions inter et intramoléculaies.
E. Ils peuvent aussi fonctionner en homodimères.
QCM 52 : AD
B. Le Telcagepant inhibe la vasodilatation des artères crâniennes et donc la douleur. Le reste de la
proposition est juste.
C. Sous forme active.
E. Elle entraîne une puberté précoce.
QCM 53 : CDE
A. Elles peuvent présenter une configuration mais plusieurs conformations.
B. La chiralité interfère sur la reconnaissance de la cible par le médicament.
QCM 54 : BE
A. C'est l'inverse : le ligand orthostérique est compétitif et le ligand allostérique ne l'est pas.
C. C'est la transformation du GTP en GMPc.
D. C'est parmi les récepteurs nucléaires/cytosoliques.
QCM 55 : CD
A. Ce type de mécanisme transporte les ions contre leur gradient de concentration, et donc peut être
du LEC vers le cytosol, comme du cytosol vers le LEC.
B. La technique du patch-clamp détermine le flux ionique mais pas l'ion transporté.
E. Le Vérapamil inhibe certains canaux calciques.
QCM 56 : ABD
C. C'est un antagoniste.
E. Ce sont les récepteurs béta-adrénergiques qui sont responsables d'une tachycardie.
QCM 58 : BC
A. Plus la CE50 est faible, plus le médicament est puissant.
D. Il existe une activité constitutive de base.
E. Orthostérique.
QCM 59 : DE
A. Les opiacés activent une protéine Gi (les opiacés ont un effet sédatif).
B. Dans ce type de mutation, le récepteur est déjà actif a l'état basal, il n'a donc pas besoin d'être
stimulé pour être fonctionnel.
C. Le récepteur CCR5 est internalisé, le virus ne peut pas s'y fixer et ne rentre donc pas dans la
cellule.
QCM 9 : A propos des voies d'administration, quelles sont la ou les propositions inexactes :
A. La voie locale peut avoir un effet systémique.
B. Les comprimés nus peuvent être avalés avec un peu de salive.
C. Les suspensions et émulsions correspondent à des formes liquides utilisées pour la voie orale.
D. Quelle que soit la voie injectable utilisée, les solutions doivent être limpides.
E. La voie transcutanée fait partie des voies injectables.
QCM 1 : ADE
B. Elles doivent être apyrogènes.
C. La voie cutanée est uniquement à visée locale.
QCM 2 : CD
A. Non, il peut aussi être disposé sur la langue ou encore contre la muqueuse des joues.
B. Non, ce sont pour les voies entérales que les PA doivent franchir la barrière digestive.
E. Administration directe > 30s.
QCM 3 : AD
B. Ce sont les conservateurs ou anti-oxydants qui servent à stabiliser le PA. Les liants et diluants
servent à la réalisation technique de la forme galénique.
C. Non, ils doivent être dénués d'effets toxiques aux doses utilisées. Cette règle est vérifiée par les
études toxicologiques.
E. Hydrophobe!
QCM 4 : A
B. Effet local.
C. Sans franchir les barrières physiologiques.
D. Ces médicaments agissent au niveau de l'estomac, ils doivent donc rester dans le tube digestif. Il
ne faut pas qu'ils franchissent la barrière digestive, ils ont donc un effet local.
E. Elle est considérée quand le médicament est dégluti. C'est le tube digestif qui va de la bouche au
rectum.
QCM 5 : BDE
A. Les comprimés enrobés servent à masquer un goût désagréable.
C. Non, ils sont utilisés pour la voie sublinguale et perbuccolinguale.
QCM 6 : BCDE
A. Il y a aussi la voie auriculaire et vaginale.
QCM 7 : Aucune
A. On peut aussi utiliser des sprays pour la voie sublinguale et perbuccolinguale.
B. C'est l'inverse : plus elles sont petites, plus elles iront loin dans l'arbre bronchique.
C. Voie pulmonaire.
D. Par voir percutanée ou transcutanée.
E. Ceci ne concerne pas tous les comprimés qui peuvent être administrés par voie orale : ce sont
uniquement les gélules qui présentent cet avantage.
QCM 9 : BDE
Attention !! Là encore, il fallait pour ce QCM donner les propositions inexactes. C'est un piège qui
fait parfois râler mais je le répète, lisez bien l'énoncé jusqu'au bout avant de commencer.
A. Vrai : en effet la voie locale peut présenter de manière indésirable des effets systémiques.
B. Non, avec les comprimés nus il existe un risque d'ulcération œsophagienne et pour l'éviter, il faut
avaler les comprimés avec un grand volume d'eau.
D. Les solution doivent être limpides uniquement pour la voie intra-veineuse (IV).
E. C'est la voie sous-cutanée qui fait partie des voies injectables.
QCM 10 : ABD
C. Il s 'agit d'un inconvénient de la voie rectale à visée systémique.
E. Elle comprend aussi les lavements.
QCM 11 : AB
C. Augmentée d'un facteur 10 ou 100.
D. La voie rectale peut être une voie d'administration entérale (franchissement de la barrière
digestive)
E. Par voie sublinguale.
QCM 12 : AD
B. Si, par exemple il faut faire attention à la température du liquide.
C. Par voie auriculaire. On utilise des collyres unidose ou multidose pour la voie oculaire.
E. Local ET systémique
QCM 13 : D
A. Au minimum 30 secondes.
B. JAMAIS. Ce qui est par voie IV reste par voie IV, de même pour les solutions IM (et pour toutes
les autres solutions d'ailleurs).
C. Le pH doit être voisin de 7.
E. Ni croqués ni déglutis.
QCM 14 : DE
A. Seulement systémique.
B. C'est l'inverse : 1/3 entérale (veines hémorroïdaires sup.) et 2/3 parentérale.
C. La voie respiratoire est à visée locale et systémique.
E. (VRAI) Cela peut augmenter l'absorption ou provoquer une absorption inattendue.
QCM 15 : BCE
A. L'administration par voie orale peut être à visée locale ou systémique. Si elle est à visée locale, le
PA ne franchit pas la barrière digestive, il reste dans la lumière intestinale. (per os = à travers la
bouche)
B. (VRAI) Attention, seulement si la peau n'est ni irritée ni blessée.
D. Les voies parentérales n'ont pas d'effet de premier passage hépatique.
QCM 16 : ABCE
D. La voie transdermique est à visée systémique.
QCM 18 : AE
B. Réduire le nombre de prises.
C. Durée apparente et non réelle.
D. Pas pour la voie IV.
QCM 19 : BCDE
A. Ce sont les comprimés multicouches.
QCM 20 : BDE
A. C'est le comprimé de type OROS.
C. Résine → matriciel et OROS → osmose.
QCM 21 : ABDE
C. Non, un comprimé multicouche avec une séparation isolante évitant ainsi le contact des deux PA.
QCM 22 : C
A. Si, possible dans le cas d'une perfusion.
B. Non, un patch n'est pas un implant et il est transdermique.
D. Non, rien à voir. Ici il s'agit de l'absorption.
E. Enzymothérapie = protéine (complexe d'enzymes) donc granules gastro-résistantes.
QCM 23 : ACE
B. Potentiellement partielle
C. (VRAI) Car la demi-vie plasmatique dépend des propriétés physico-chimiques !!
D. Il y a égalité des Vd quelle que soit la voie d'administration car il est fonction des propriétés
physico-chimiques.
QCM 24 : ACD
B. Pharmacocinétique.
E. On obtient un profil de pics successifs. La concentration moyenne à l'équilibre s'observe lors
d'une administration en doses répétées avec cumul de dose.
QCM 25 : ADE
B. En 5 T1/2.
C. Inverse : Cmoy,eq=(dose/ζ )/Cl tot.
QCM 26 : CDE
A. Elle sera toujours atteinte en 5t1/2. Par contre si l'on augmente le débit, sa valeur augmentera.
B. L'intervalle d'administration est supérieur à 7t1/2 car il faut attendre que la dose administrée ait
été totalement éliminée.
QCM 27 : AB
C. Dans le cas de la voie cutanée, il peut y avoir un effet systémique (exemple : AINS sous forme
de pommade).
D. Il y aussi les voies injectables (voie intra-occulaire dans humeur vitrée à visée locale).
E. L'effet de premier passage hépatique (EPP) concerne la voie entérale, que ce soit par voie orale
ou parfois par voie rectale (1/3 de la dose peut subir un EPP). La voie parentérale évite justement
l'EPP.
QCM 29 : ACD
B. Les capsules sont utilisées pour la voie orale. Ce sont les granules et globules qui peuvent être
administrés par voies sublinguales et perbuccolinguales.
E. Les patch sont utilisés pour la voie percutanée et transcutanée car ils ont un effet systémique.
QCM 30 : ADE
B. Pas de dose seuil.
C. Exemple de dispositif à effet systémique.
QCM 31 : ACE
B. Absence de premier passage hépatique.
D. Pour les voies rectales, il existe un premier passage hépatique partiel.
QCM 32 : C
A. Il existe des excipients à effet notoire (EEN).
B. La voie locale a des effets systémiques (ex de la voie cutanée avec AINS).
D. Pas les suspensions.
E. On ne retrouve pas d'émulsion ou de suspension dans les IV !
QCM 33 : CDE
A. La trinitrine est administrée par voie sublinguale il n'y a donc pas d'effet de premier passage
hépatique.
B. La voie rectale a une absorption irrégulière.
QCM 34 : BE
A. Il doit se faire en moins de 15 minutes.
B. (VRAI) La libération prolongée augmente directement la durée d'absorption. Ainsi l'absorption,
la distribution et la métabolisation se superposent, ce qui fait que la distribution et la métabolisation
se font sur une période plus longue mais ce n'est pas leur durée réelle qui est augmentée.
L'augmentation de la durée d'élimination se fait sur le même principe : l'absorption et l'élimination
se superposent, créant ainsi une augmentation artéfactuelle de la durée d'élimination.
C. Chaque couche contient des excipients différents.
D. Il est composé d'une résine imprégnée en principe actif.
QCM 35 : BE
A. Il s'administre en intra-musculaire.
C. Le principe de la gastro-résistance est de dissoudre le comprimé à pH alcalin puisque l'estomac
est un milieu acide.
D. Le principe actif est libéré dans le duojéjunum.
QCM 36 : ACE
B. Qu'il est toxique pour le rein.
D. Au contraire de réduire l'exposition du rein au médicament.
QCM 37 : ABE
C. Ce comprimé augmente la durée d'absorption et pas la quantité absorbée.
D. C'est une membrane semi-perméable.
QCM 38 : ABDE
C. Ce n'est pas par intermittence mais en continu.
QCM 40 : ACDE
B. Non ça permet de DIMINUER le nombre de prises, puis en général le patient préfère prendre le
moins de médicaments possible...
E. VRAI of course !!!!!!
QCM 1 : ACE
B. Non, à la concentration adéquate.
D. Si, elles sont nécessaires à tous les stades.
QCM 2 : DE
A. Exogène.
B. 4 étapes, il manque l'absorption.
C. Elles coexistent dans le temps.
QCM 3 : AC
B. A cause des jonctions serrées, il n'y a pas de passage intercellulaire.
D. Non consommatrice d'ATP.
E. Non spécifique et non saturable.
QCM 4 : AE
B. Ne dépend que de la taille de la molécule.
C. Inférieur à 65000 Da.
D. Cela concerne la pharmacodynamie.
QCM 5 : ABE
C. Si, ce sont des étapes avant l'arrivée dans la circulation sanguine.
D. Entérale.
QCM 6 : BCDE
A. Intestin grêle.
E. Car passage par la veine porte et donc par le foie obligatoire.
QCM 8 : ACD
B. Qui va être absorbée.
E. Même dose de PA et voies d'administration différentes
QCM 9 : BE
A. Il existe des médicaments d'urgence et des médicaments dits de fond, différents justement par la
vitesse d'absorption. La vitesse compte !
C. Absorbé différemment en fonction de la voie d'administration.
D. Elle dépend aussi de la solubilisation et des propriétés physico-chimiques.
QCM 11 : AE
B. 2 formes : lié et libre.
C. Pas tous.
D. Réversible.
QCM 12 : A
B. Que lorsqu'il est libre.
C. Albumine et α1-glycoprotéine.
D. C'est l'inverse.
E. Sauf si l'affinité tissulaire est + forte.
QCM 13 : ABCD
E. Augmentation de la forme liée.
QCM 14 : ACDE
B. C'est un volume fictif.
QCM 15 : BCDE
A. Si forte diffusion, alors majoritairement dans les tissus et non dans le sang.
QCM 16 : BCDE
A. Pas toujours, l'inverse est possible (ex pro-médicaments deviennent actifs par métabolisation).
QCM 17 ACD
B. Pharmacocinétique.
E. Impliqués dans la phase I du métabolisme.
QCM 18 : AC
B. Il diminue les concentrations plasmatiques.
D. L'hémoglobine est elle-même oxydée au niveau du foie par les cytochromes.
E. Non, une concentration trop élevée car peu métabolisé.
QCM 19 : ACE
B. Le métabolisme ne se fait pas toujours au niveau du foie.
D. Métabolisation possible par plusieurs CYP.
QCM 20 : ABCD
E. Il s'agit du rein et non du foie. Le foie est le principal organe responsable de la métabolisation
des médicaments.
QCM 21 : ACE
B. Seule la filtration a lieu au niveau du glomérule rénal.
D. La réabsorption tubulaire est diminuée par l'alcalinisation des urines.
QCM 22 BCD
A. Forme non liée des médicaments.
E. Réabsorption et sécrétion.
QCM 24 : ABCD
E. Passage obligé pour tous les médicaments répondant aux critères de taille : le PM doit être
inférieur à 65 kDa.
QCM 25 : ADE
B. Activité Intrinsèque comprise entre 0 et 1.
C. pD2 correspond au log (-) de la concentration d'antagoniste diminuant de 50% l'effet maximal de
l'agoniste.
QCM 26 : AD
B. Ils sont fréquents.
C. Seuls les EIM attendus sont dose-dépendants.
E. Les EIM attendus sont connus avant la mise sur le marché du médicament, contrairement aux
inattendus.
QCM 27 : CDE
A. Jusqu'à la circulation sanguine.
B. Per os = orale = entérale.
E. (VRAI) En effet la biodisponibilité peut être de 100 % pour une voie autre qu'intra-veineuse.
QCM 29 : CDE
A. Elle est proportionnelle à la quantité de médicament absorbé.
B. Absorption non immédiate et potentiellement partielle.
QCM 30 : BC
A. La bioéquivalence : même dose et même forme pharmaceutique (=voie d'administration).
D. C'est jusqu'à la circulation sanguine.
E. En cas d'urgence, on utilise le médicament A qui a une action plus rapide avec une concentration
sanguine maximale plus élevée.
QCM 31 : DE
A. Le site d'absorption privilégié est au niveau de l'intestin grêle.
B. ENTERALE ! Elle passe par l'intestin ! (« par » = à coté).
C. Totalement n'importe quoi ! Le médicament va être absorbé par les entérocytes et va, via le
système porte, être acheminé vers le foie où il sera transformé et éliminé dans la bile. C'est ça l'EPP
hépatique. La bile va ensuite être déversée dans l'intestin grêle grâce au cycle entéro-hépatique.
QCM 32 A
B. Le Clopidogrel® est un pro-médicament.
C. Dans le foie ! Activation hépatique !
D. De nombreux autres ont été découverts.
E. Maximaux par voie orale.
QCM 33 CDE
A. C'est la forme libre qui est hydrosoluble.
B. Non biotransformable.
QCM 35 : ABC
D. Le volume de distribution est une mesure théorique. Il ne permet qu'une estimation de la
diffusion, les différents compartiments de l'organisme n'étant pas hermétiques.
E. Dans cette situation, c'est un volume de distribution élevé qui est nécessaire pour atteindre le
tissu osseux (forte fixation dans les tissus et forte diffusion).
QCM 36 : C
A. Le patient est impaludé. La ½ vie qu'il faut donc considérer ici est celle de 18h.
Rappel: on multiplie par 7 la demi-vie pour connaître la temps nécessaire à une élimination totale,
donc au bout de 126h (7 x T1/2 = 7 x 18 = 126), la substance sera éliminée.
B. Le tout divisé par la clairance totale.
C. (VRAI) n ≥ 3,3 x ζ / T1/2 donc, n ≥ 3,3 x 5 / 10 = 1,65.
D. La dose qui lui serait toxique est proche de celle qui lui serait bénéfique.
E. L'efficacité d'un médicament ne dépend pas de sa voie d'administration !!
QCM 37 : ABCE
D. (τ < 7 t1⁄2)
QCM 38 : B
A. Au final, elles sont éliminées par les 2 organes d'élimination.
C. Il faut 7 demi-vies pour éliminer totalement un médicament de l'organisme, soit 14h.
D. Fenêtre thérapeutique = intervalle entre la concentration minimale efficace (1 ers effets) et la
concentration toxique (effets indésirables).
E. Ce sont les médicaments à demi-vie longue.
QCM 39 : E
A. Les voies respiratoires sont à visée locale et systémique.
B. La voie rectale a un inconvénient : l’absorption irrégulière.
C. Il y a un passage hépatique car il devient un médicament à administration par voie orale.
D. La voie rectale est une voie d'administration qui se fait à 1/3 par voie entérale et à 2/3 par voie
parentérale.
QCM 40 : ACE
B. Les réactions de phase I sont des réactions d'oxydation, celles de phase II de conjugaison.
D. Inhibiteur du CYP 2D6.
QCM 41 : BCE
A. Augmentation de l'hydrosolubilité.
D. Un même médicament peut être métabolisé par plusieurs CYP distincts.
QCM 42 : D
A. Pas de localisation exclusive au foie, les cytochromes sont aussi présents au niveau de l'intestin,
des poumons, de la peau...
B. Il existe plusieurs familles et sous familles.
C. Des médicaments peuvent inhiber des cytochromes (ex : Prozac sur CYP 2D6).
QCM 43 : CE
A. C'est la forme libre.
B. Les deux phénomènes sont la distribution sanguine (ou plasmatique) et la diffusion tissulaire.
D. La liaison est le plus souvent réversible.
QCM 44 : D
A. D'une part, la barrière hémato-encéphalique est imperméable, le tissu cérébral est donc isolé et
« protégé » de la majorité des médicaments. D'autre part, la perfusion sanguine dans le cerveau
n'augmente que très peu lors d'un exercice physique.
B. Le médicament diffuse dans tous les tissus dans lesquels il est capable de diffuser, d'où les effets
latéraux des médicaments.
C. Cela diminue le taux d'albumine.
D. Et à ce titre souvenez vous que dans le cas général, la liaison avec les protéines porteuses peut
être considérée comme la « choppe en boîte » : c'est rapide, réversible, saturable et avec
compétition...
E. Le médicament lié ne peut pas être éliminé et il ne peut pas non plus avoir d'effet
phamacologique.
QCM 46 : Aucune
A. C'est le CYP 2D6 qui métabolise la plupart des antidépresseurs.
B. Le Prozac® est un inhibiteur du CYP 2D6.
C. Le pic d'absorption est de 450 nm.
D. L'alcool en chronique est un inducteur enzymatique.
E. Le CYP 2D6 se trouve en 2ème position. C'est le CYP 3A4/5 qui se trouve en 1ère position.
QCM 47 : BD
A. La définition de l'élimination est bien vraie mais il s'agit de la quatrième étape de la
pharmacocinétique.
C. Non c'est le foie. Le rein quant à lui est le principal organe d'excrétion des médicaments ou de
leurs métabolites.
E. CL rénale = CL FG + CL SEC – CL REABS .
QCM 48 : CE
A. Si il y a diminution de la réabsorption tubulaire, il y a augmentation de la capacité d'élimination.
B. Attention, il ne faut pas oublier de prendre en compte le temps nécessaire à l'élimination du
médicament et on considère qu'il faut 7 demi-vies pour éliminer 99 % de la dose absorbée. Donc la
durée d'exposition = durée du traitement + 7 demi-vies.
D. Le t1/2 ne dépend pas de la voie d'administration ! Par contre, il sera augmenté chez les
insuffisants rénaux et hépatiques, quelle que soit la voie d'administration.
QCM 49 : ABC
D. (Dose/τ)/Cl Totale
E. Non, plus la fenêtre est petite (c'est à dire que Ctoxique et Cefficace proche), plus l'erreur est risquée.
QCM 50 : ABCE
D. C'est toujours 5 t1/2.
QCM 51 : BD
A. La quantité de médicament est importante pour l'action du médicament.
C. Ces étapes ne sont pas successives, elles coexistent dans le temps.
E. Ce n'est pas un transport facilité, simplement un transport passif.
QCM 20 : Le screening :
A. Le screening fait suite aux études de toxicologie.
B. Le screening permet de sélectionner une ou plusieurs molécules idéales parmi tous les
candidats en vue d’un développement chez l’Homme.
QCM 1 : ABD
C. Une double logique : scientifique et économique.
E. C'est dans la logique scientifique.
QCM 2 : CE
A. C'est une molécule conçue dans les laboratoires
B. A partir de substances endogènes.
D. C'est la chimie combinatoire.
QCM 3 : ABDE
C. La transformation de l'HMG-CoA en Acide mévalonique.
QCM 4 : Aucune
A. Molécules « têtes de séries ».
B. Le screening II permet de passer de 100 à 3-4 molécules.
C. Observation des effets sur animaux ou sur modèles physiopathologiques mais pas sur l'homme.
D. Dernière étape avant le développement pré-clinique.
E. La durée du brevet est de 20 ans.
QCM 5 : B
A. Études de pharmacodynamie, de pharmacocinétique et de sécurité.
C. Ce sont les études pharmacodynamiques.
D. Dose qui entraîne 50% de l'effet maximal (DE = dose efficace)
E. Réalisées uniquement chez l'animal.
QCM 6 : AE
B. Au contraire la transférabilité est une limite des études pré-clinique, exemple de l'aspirine.
C. Les études de toxicité aiguë ou à dose unique.
D. Il sera retiré des études.
QCM 7 : CE
A. Elles se déroulent aussi après la naissance.
B. Les études de segment I de fertilité concernent aussi les mâles.
QCM 8 : ADE
B. C'est la phase II.
C. C'est la phase I.
QCM 9 : ABE
C. C'est un objectif pharmacocinétique.
D. Lors de cette phase les méthodes doivent être non invasives.
E. Inclusion non volontaire lorsque le sujet est malade est qu'il ne le sait pas.
Inclusion volontaire pour certaines maladies (cancer...)
QCM 10 : Aucune
A. Etude obligatoire.
B. C'est l'inverse.
C. Elle accepte les critères intermédiaires.
D. L'efficacité à court terme.
E. Elle pose de nombreux problèmes éthiques comme l'exploration parfois traumatisante, l'usage du
placebo, la poursuite du traitement après l'essai …
QCM 11 : BDE
A. La phase III est souvent multicentrique.
C.Au contraire pour qu'un échantillon soit représentatif de la population les sujets doivent être
sélectionnés au hasard.
QCM 12 : C
A. L'animal concerne les essais pré-cliniques, ici le qcm parle des essais cliniques.
B. C'est le code de Nuremberg. L'international Conference of Harmonisation fixe la marche à suivre
pour l'enregistrement des produits pharmaceutiques.
D. Le promoteur, l'investigateur, le sujet.
E. Le principe de prérequis consiste à ce que la recherche se base sur le dernier état de
connaissances scientifiques et sur une expérimentation pré-clinique.
QCM 13 : ACDE
B. L'évaluation et la vigilance des produits de santé dont les médicaments.
QCM 14 : AE
B. L'attaché de recherche clinique intervient pendant l'essai en aidant le promoteur à suivre le bon
déroulement de l'essai.
C. C'est l'investigateur qui risque une sanction s'il ne fait pas signer le consentement au sujet.
D. 24h.
QCM 15 : C
A. Le médecin investigateur doit avoir une expérience et des connaissances scientifiques
appropriées dans le domaine des soins et des investigations aux patients requis par l'essai clinique.
De plus il n'est pas forcément médecine, par exemple en recherche non interventionnelle.
B. En cas d'essai multicentrique il existe un investigateur principal.
D. Il a 24h pour le notifier au promoteur.
E. C'est le promoteur qui risque une sanction pour non demande d'autorisation au CPP.
QCM 16 : ADE
B. Dans certains cas d'urgence, l'essai commence avant le consentement.
QCM 17 : ACE
B. Ne pas confondre :
– test de la toxicité aiguë → dose unique
– test de la toxicité chronique → étude qualitative et quantitative après administration de
doses réitérées.
D. Pharmacocinétiques.
E. Exemple de l'Aspirine, qui n'aurait jamais obtenu l'AMM de nos jours !
QCM 18 : ADE
B. Cette phrase est vraie pour la logique scientifique.
C. La transgenèse permet la surexpression d'une cible, alors que les siRNA permettent son
invalidation.
QCM 19 : ABE
C. Les protéines recombinantes sont d'origine biotechnologique.
D. La volémie diminue.
QCM 20 : C
A. L'étude de la toxicité d'une molécule ne peut être réalisée qu'une fois la molécule sélectionnée.
B. Le screening permet d'identifier LA molécule !
D. Tout est faux ! Il peut se faire sur un animal normal et de plus LA molécule cible n'est pas encore
sélectionnée. Seules les molécules totalement inefficaces ou pathogènes ont été éliminées.
E. Le brevet est dépose dès la sélection du médicament candidat.
QCM 21 : CDE
A. Économique et scientifique.
B. Invalidation (méthode Knock out) et surexpression de la cible (méthode transgenèse).
D. Vrai : par exemple des médicaments déjà connus.
QCM 22 : DE
A. Le sartan bloque l'effet de l'angiotensine II.
B. Le modèle cellulaire est peu coûteux (avantage).
C. Molécules « touches ».
QCM 23 : AC
B. Les « mee-too drugs » présentent peu de risques mais pas d'innovation thérapeutique (issus de
médicaments déjà connus).
D. Inconvénients des organes isolés : difficiles à obtenir et à maintenir en survie.
E. L'objectif est d'identifier une seule molécule, idéale, parmi tous les candidats, en vue d'un
développement chez l'homme.
QCM 24 : ABE
C. Elle doit être réalisée sur 3 espèces différentes.
D. Après 48h si présence de colonies, le médicament est mutagène : POUBELLE
QCM 25 : AD
B. Etude pharmacocinétique.
C. Cancérogenèse, mutagénicité, toxicité et repro-toxicité.
E. Toxicité aiguë ou à dose unique et toxicité chronique ou à doses réitérées.
QCM 27 : ABC
D. Le test d'Ames est un test de mutation génique sur bactéries.
E. Il manque les études de repro-toxicité, on a donc 4 types d'études « de sécurité ».
QCM 28 : B
A. C'est l'intérêt du patient qui prime sur l'intérêt de la société.
C. Il y a 3 acteurs dans un essai. Le troisième étant l'investigateur, c'est un médecin responsable de
l'essai sur le site.
D. ANSES = Agence Nationale de la sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du
TRAVAIL, le reste de la phrase est juste.
E. L'ANSM joue aussi un rôle pendant la recherche puisqu'elle peut, par exemple, demander des
informations au sujet de la recherche.
QCM 29 : ADE
B. Ceci est la définition d'un effet indésirable.
C. C'est le rôle de l'investigateur.
QCM 31 : ACDE
B. Non remboursables.
QCM 32 : BE
A. Il est interdit d'incorporer dans une même préparation des substances appartenant à des
classes pharmacologiques différentes!
C. C'est le nom de fantaisie.
D. C'est la classification pharmaco-thérapeutique !
E. En effet, les médicaments ne nécessitant aucune ordonnance ne sont souvent pas considérés
comme des médicaments ni par le patient ni par le médecin... donc l'effet placebo diminue.
QCM 33 : A
B. Durée limitée à 28 jours par voie orale et 7 jours par voie injectable.
C. Voir B. De plus, les amphétamines pouvant causer, entre autres, une accélération du rythme
cardiaque, des vomissements, une transpiration accrue et une diminution temporaire des
capacités érectiles, son médecin serait très mal avisé de lui en prescrire, l'été arrivant ...
D. Où là non ! Les ATU sont nécessaires pour des médicaments vraiment très particuliers,
elles sont accordées par l'ANSM pour des médicaments non autorisés en France et dans des cas très
restreints.
E. Ce sont des stupéfiants.
QCM 34 : ABD
C. Il faut plus de patients pour un essai en groupes parallèles que pour un essai croisé.
E. Avant de conclure, il faut faire un test statistique, pour exclure le rôle du hasard.
QCM 36 : D
A. Développement pré-clinique d'un médicament : obligation légale de substituer l'animal à
l'homme.
B. Phase I ultra-spécialisée : seulement effectuée dans quelques lieux de recherche agréés.
C. Ces objectifs répondent à des impératifs de sécurité. Pharmacodynamie : effets sur
principaux paramètres vitaux, dose minimale active, corrélation effet/dose...
E. Méthodes non invasives : cela fait partie des critères d'évaluation.
QCM 37 : ACDE
B. Le médicament est défini selon 3 critères : critère de qualité, critère de sécurité et critère
d'efficacité.
QCM 38 : ACE
B. 5 modules composent le dossier d'AMM.
D. Ils ne sont pas soumis à l'AMM.
QCM 39 : ABD
C. Les procédures nationales sont de moins en moins utilisées.
E. L’EMA est rattachée à la Commission Européenne.
QCM 40 : AD
B. Un médicament n'a pas de rôle exclusif dans la guérison d'une maladie. Elle est le résultat des
effets du médicament ET de l'ensemble des effets placebo.
C. La technique de l'insu permet de maintenir la COMPARABILITE des groupes tout au long de
l'essai.
E. Les groupes doivent être comparables dès leur constitution, par tirage au sort et tout au long de
l'essai. L'aspect psychologique doit rester le même grâce à la procédure d'insu.
QCM 41 : A
B. Au contraire, cela permet de ne pas biaiser la réponse thérapeutique par une méfiance ou un
enthousiasme vis-a-vis de l'utilisation d'une substance donnée.
C. Un produit placebo n'a aucune action pharmacologique !
D. Un produit placebo suscite des effets psychologiques liés à la médication et entraîne donc des
effets physiologiques.
E. Dans la situation de la méningite cérébro-spinale par exemple, il n'est pas question d'exposer un
malade a un placebo. De plus, il n'a PAS d'effet pharmacologique.
QCM 42 : ACDE
B. C'est l'effet placebo.
QCM 43 : AB
C. Le risque de première espèce correspond au risque d'obtenir un faux positif, c'est-a-dire de
conclure a tort l'existence d'une différence alors qu'elle n'existe pas.
D. Statistiquement pertinent ne veut pas dire cliniquement pertinent.
E. Plus la probabilité est au-DESSOUS.
QCM 45 : AB
C. La douleur pour les rhumatismes est un critères cliniquement pertinent.
D. Pour la grippe, le critère de jugement principal sera la durée de la maladie, et non le taux de
guérison, qui le sera pour des pathologies graves comme les cancers.
E. L’évolution de la PSA est un critère biologique donc intermédiaire.
QCM 46 : CE
A. Les essais cliniques correspondent aux tests faits chez l'homme uniquement. On parle en
revanche de phase pré-clinique pour les essais faits chez les animaux.
B. Les effets indésirables sont bien mis en évidence par la pharmacovigilance mais aussi par les
essais cliniques. (Essai clinique = tout essai systématique d'un médicament mené chez l'homme
volontaire malade ou sain afin d'en mettre en évidence ou d'en vérifier les effets favorables et/ou
d'en identifier tout effet indésirable...).
D. « The international conference on Harmonization » fixe à l’échelon international la marche à
suivre pour l'enregistrement des produits pharmaceutiques. Par contre c'est la déclaration d'Helsinki
(1964) qui affirme l'obligation du consentement écrit.
QCM 47 : CDE
A. Il y a des directives européennes votées en 2001 et 2005 par le Parlement européen et le conseil
de l'Union Européenne.
B. Il y a toujours un risque comme par exemple les effets indésirables des médicaments que l'on ne
connaît pas avant de les avoir testés mais il faut toujours que les bénéfices soient supérieurs aux
risques pour faire une expérimentation sur l'homme.
QCM 48 : BCD
A. C'est une autorité régionale.
E. C'est le promoteur qui assure le financement de la recherche.
QCM 49 : D
A. Il faut aussi celle de l'ANSM.
B. Cette déclaration doit se faire avant l’étude.
C. La souscription a une assurance est obligatoire !
E. C'est l'investigateur qui prend les mesures nécessaires en cas d'EI.
QCM 50 : CD
A. L'investigateur est obligatoirement un médecin.
B. C'est le promoteur qui communique la survenue d’événements adverses au CPP.
E. Il faut aussi que l'investigateur signe ce consentement !
QCM 51 : AD
B. Attention, nous sommes encore dans un essai clinique, et le produit n'a pas encore obtenu l'AMM
(il ne s'agit donc pas de pharmacovigilance ! L'EIG est déclaré au CCP et a l'ANSM.
C. Une fois un essai terminé, le sujet est soumis a une période d'exclusion, pour s'assurer qu'il n'y a
pas d'interaction avec d'autres molécules testées dans des essais cliniques auxquels le sujet pourrait
participer ultérieurement.
E. Si, il faudra un consentement écrit de la part de la personne désignée responsable (parent, tuteur,
par exemple).
QCM 53 : ACD
B. La phase I , n’évalue pas l’activité chez l'homme, mais seulement la sécurité et l’acceptabilité.
E. Des essais cliniques peuvent avoir lieu même après l'obtention de l'AMM. En effet, c'est le cas,
par exemple, pour des médicaments soumis à une AMM conditionnelle ou une AMM pour
circonstances exceptionnelles.
QCM 54 : CE
A. La NOAEL est définie en phase pré-clinique, lors de l'administration à l'animal.
B. Elle peut induire un stress chez les volontaires.
D. C'est au niveau pharmacodynamique.
QCM 55 : BE
A. Elle se déroule dans un centre spécialisé.
C. Il s'agit de la pharmacocinétique.
D. Les hommes sont plus souvent sélectionnés. En effet, une femme peut être enceinte et ne pas le
savoir, on ne prend donc pas le risque de lui administrer un potentiel futur médicament, car on ne
connaît pas son risque tératogène chez l'Homme.
QCM 56 : AE
B. C'est l'inverse.
C. On met en évidence l'effet !!!
D. Il s'agit de critères intermédiaires.
QCM 57 : CDE
A. La population est tout de même sélectionnée (pour éviter/limiter le risque d'accident ou
d’intolérance), et n'est donc pas forcement représentative de toutes les catégories de population.
B. Le coût et les EI influencent le risque (= dénominateur).
QCM 1 : ABCE
D. Le brevet d'un médicament dure 20 ans et peut être complété par un CCP (Certificat
Complémentaire de Protection) de 5 ans.
QCM 2 : ABDE
C. Plutôt de l'ordre de 12-48 volontaires.
QCM 3 : AE
B. Il peut s'y opposer en inscrivant «non substituable» sur l'ordonnance.
C. Elle est allégée (absence de phase clinique II et III).
D. C'est une mesure incitative destinée aux patients.
QCM 4 : ABDE
C. Il diffère par son principe actif.
QCM 5 : ACE
B. Un médicament essentiellement similaire a des excipients différents.
D. Depuis janvier 2015
QCM 1 : ABE
C. C'est l'inverse : Les interactions pharmacocinétiques modifient les concentrations plasmatiques
des médicaments alors que les interactions pharmacodynamiques ne les modifient pas.
D. La iatrogénie concerne toute la population.
QCM 2 : ACE
B. Interaction pharmacodynamique.
D. Ils sont obligés de déclarer au CRPV (Centres Régionaux de Pharmacovigilance) et non au
CAPTV !
QCM 3 : BCDE
A. Elle est liée aux événements imprévisibles.
QCM 4 : AE
B. Ce sont les neurones dopaminergiques !!!
C. C'est le renforcement positif.
D. Il est activé en situation physiologique.
QCM 5 : ABD
C. C'est le nomadisme pharmaceutique.
E. C'est une utilisation excessive, permanente ou intermittente et volontaire.
QCM 6 : C
A. Le RCP est élaboré par le fabricant (la firme pharmaceutique).
B. Pas obligatoire mais fortement conseillé.
D. Les 4 classes sont : les antalgiques, les produits de dermatologie, les médicaments des voies
respiratoires et les médicaments des voies digestives. Mais PAS les antibiotiques.
E. AINS contre-indiqués dès 6 mois de grossesse.
QCM 3 : [RELU ET CORRIGE PAR LE PROF] A propos des RCPGs, indiquez les réponses
exactes :
A. Il existe 3 familles de RCPGs classées selon leurs homologies de séquences. On parle des
familles I, II et III.
B. La crise de migraine peut être traitée par le sumatriptan.
C. La protéine Gq, associée à un RCPG entraîne l'accumulation de Ca2+ à l'intérieur de la cellule.
D. L'effet des médicaments anti-naupathiques passe par le récepteur H1 de l'histamine.
E. Le récepteur 5HT2 n'est pas un RCPG.
QCM 5 : A propos des produits de santé quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) :
A. Les médicaments de thérapie génique, avant leur mise sur le marché, sont soumis a une
autorisation délivrée par la Commission Européenne.
B. C'est la même procédure pour les produits cellulaires a finalité thérapeutique (PTC).
C. L'effet placebo est uniquement lié au médicament.
D. Les dispositifs médicaux disposent à la fois d'une AMM et d'un marquage CE.
E. Les Aliments diététiques Destinés à des Fins Médicales Spéciales ne sont pas évalués par
l'ANSM mais par l'AFSSA donc de manière totalement différente.
QCM 7 : [RELU ET CORRIGE PAR LE PROF] A propos des canaux sodiques et calciques,
quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) :
A. Le lacosamide inhibe les canaux VOC sodiques du SNC et s'utilise pour le traitement de
l’épilepsie.
B. La concentration libre d'un médicament est la partie diffusible à travers les doubles couches
phospholipidiques.
C. La concentration liée d'un médicament est la partie active de ce médicament car elle est
diffusible.
D. Il existe trois types de canaux calciques : les types L sont dit « long lasting », les types non T et T
sont dit « transient ».
E. Un canal de type L s'ouvrira lentement et la durée du flux entrant calcique sera courte.
QCM 14 : [RELU ET CORRIGE PAR LE PROF] A propos des études pré-cliniques, quelle(s)
est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) :
A. Les études de toxicité aiguë sont dites à doses réitérées.
B. La HNTD, calculée durant les études de toxicologie aiguë, est la dose la plus forte et sans effet
toxique.
C. La NOEL est indispensable au choix de la première dose administrée chez l’homme (phase 1).
D. Les études de toxicité chronique permettent de calculer le rapport DL10/DE10.
E. Les études de toxicité aigüe doivent être impérativement terminées avant toute administration
chez l’homme.
E. Les préparations officinales se définissent par "tout médicament préparé à l’avance, présenté
sous un conditionnement particulier et caractérisé par une dénomination spéciale".
E. Dans le cadre de la libération prolongée, le but est d'augmenter l'absorption (et d'avoir une
libération continue de principe actif pendant plusieurs heures) et ainsi d'obtenir une demi-vie
apparente inférieure à la demi-vie du médicament.
QCM 23 : A propos des grands principes méthodologiques des essais cliniques, quelle(s)
est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) :
A. L'effet rémanent, qui est du a la persistance dans le temps des effets d'un médicament, est un des
inconvénients des essais en groupes parallèles.
B. Le principe de comparabilité s'appuie sur 2 techniques qui sont le tirage au sort et la procédure
en insu ou en double insu.
C. Il est admis que l'évolution naturelle de la maladie fait partie de l'effet placebo.
D. Les trois principes des essais cliniques peuvent permettre de montrer scientifiquement une
différence entre le médicament et le placebo, mais ils ne garantissent pas que le médicament soit
cliniquement pertinent.
E. Le principe de comparaison permet d'éviter les biais de sélection.
QCM 27 : A propos des modalités d'excrétion des médicaments, les réponses exactes sont :
A. La voie biliaire permet d'aboutir à l'excrétion de certains médicaments.
B. La modification du pH urinaire ne permet pas de modifier le temps d'excrétion.
C. La sécrétion tubulaire concerne les molécules non filtrées et réabsorbées.
D. La résorption correspond à la disparition du principe actif de son site d'administration mais ne
pouvant pas gagner la circulation systémique.
E. L'excrétion est liée à l'élimination dont le débit (de l'élimination) est inversement proportionnel à
la concentration plasmatique.
QCM 1 : BD
A. ATTENTION on demande les réponses INEXACTES.
B. Plus le Kd est élevé, plus l'affinité est faible.
C. ATTENTION on demande les réponses INEXACTES.
D. Un médiateur endogène peut présenter plusieurs cibles.
E. ATTENTION on demande les réponses INEXACTES.
QCM 2 : D
A. Il a lieu pendant la période empirique.
B. C'est l'acide salicylique qui en est extrait.
C. C'est la première révolution pharmacologique.
E. Il y a quatre phases dans les essais cliniques.
QCM 3 : BC
A. Ce sont les familles A, B et C.
B. C'est un agoniste du récepteur 5HT1.
D. Il passe par l'antagonisme des récepteurs muscariniques de l'acétylcholine.
E. C'est un récepteur sérotoninergique de la famille des RCPG.
QCM 4 : CDE
A. Il existe 3 différents types d'effets placebo : celui lié au parient, celui lié au médicament et celui
lié au médecin et au personnel soignant.
B. Il s'agit du placebo « impur ».
QCM 5 : A
B. Dans ce cas la il faut demander l'avis de l'agence de biomédecine avant celui de l'ANSM.
C. Non il dépend aussi du médecin et du patient.
D. Ils n'ont pas d'AMM. Les classes IIa IIb et III disposent d'un marquage CE, la classe I est auto
certifiée par le fabricant.
E. Ils sont évalués de manière similaire.
QCM 6 : E
A. 30%.
B. Inhibe l'AMPc.
C. Favorise la production de calcium.
D. Le complexe βγ signalise aussi.
QCM 7 : AB
C. Le médicament lié est inactif et ne peut traverser les membranes lipidiques.
D. Les trois types de canaux calciques sont les L-type (Long lasting), les T-type (transient) et non L
non T.
QCM 8 : BD
A. Le Vd est un paramètre quantitatif.
C. Le Vd est indépendant de la voie d'administration.
E. L'hypo-albuminémie entraîne une diminution de la capacité de fixation des principes actifs et
donc une augmentation de la fraction libre.
QCM 9 : DE
A. Ces réactions peuvent transformer un médicament en un seul ou plusieurs métabolites.
B. Le foie est le PRINCIPAL organe de la métabolisation mais elle peut aussi s'effectuer au niveau
de l'intestin, poumons, rein...
C. Par exemple, la pénicilline G et le lithium ne sont pas métabolisés.
QCM 10 : ACDE
B. C'est un transfert para-cellulaire : les molécules passent entre les cellules endothéliales, pas au
travers ! Le reste est vrai.
QCM 11 : ABCD
A. (VRAI ): Certains isotopes de l'iode sont des médicaments !
E. De moins en moins utilisés, on préfère fabriquer de l'insuline grâce à la bio-technique désormais.
QCM 12 : BCDE
A. C'est l'absorption proprement DIGESTIVE qui n'est considérée qu'une fois le médicament
dégluti.
QCM 13 : CDE
A. La puissance d'une molécule dépend de sa DE50 (ou CE50) : une molécule est d'autant plus «
puissante » que la dose (ou la concentration) nécessaire pour atteindre 50% de son effet maximal
(Emax) est faible.
B. Ils ont une AI identique, seules leurs puissances varient.
QCM 14 : BE
A. Dose unique.
C. La NOAEL.
D. Etude de toxicité aiguë. Le calcul de la DE10 ne fait pas partie de ces tests (de sécurité) mais des
études de pharmacodynamie.
QCM 15 : BC
A. C'est une autorité régionale.
D. C'est l'investigateur qui a ce rôle.
E. Il a un délai de 90 jours.
QCM 16 : BC
A. Il est libre de sa prescription, il engage sa responsabilité en regard du code de déontologie, et ne
doit pas prescrire n'importe quoi.
D. Il peut refuser le remboursement de ce qui a été prescrit par des ordonnances jugées non
justifiées.
E. Les ordonnances répondent aux règles définies par le code de la santé publique.
QCM 17 : ABCE
D. Attention il faut 7 demi-vies pour ce faire !
QCM 19 : ADE
B. La phase II met en évidence l'efficacité à court terme chez le malade.
C. C'est seulement une indication mais ça ne donne pas de preuve.
E. Quelques centaines de sujets sont inclus en phase II.
QCM 20 : BCE
A. Le premier critère reconnu est le critère de qualité. Le critère d'efficacité est récent et il existe
encore des exceptions.
D. La pharmacopée utilisée actuellement en France est européenne.
QCM 21 : ABD
C. Il est interdit d’incorporer dans une même préparation des substances appartenant à des classes
pharmacologiques différentes !
E. C'est la définition des spécialités pharmaceutiques.
QCM 22 : AD
B. Le délitement se fait en moins de 15 minutes.
C. Elle se fait à tous les niveaux du tube digestif.
E. La demi-vie apparente est supérieure à la demi-vie du médicament.
QCM 23 : BCD
A. Des essais en cross-over.
E. Le principe de comparabilité.
QCM 24 : C
A. Quel que soit le mode d’administration, le volume de distribution est le même.
B. Elle peut également se faire sans cumul de dose (T>7 t½).
D. L’intervalle thérapeutique est encadré de la concentration minimale efficace et de la
concentration toxique.
E. L’intervalle thérapeutique est encadré de la concentration minimale efficace et de la
concentration toxique.
QCM 25 : BC
A. C’est l’inverse.
D. Tous les 5ans, voir avant si de nouvelles données apparaissent.
E. C’est le cas des médicaments avec une vignette blanche barrée.
QCM 26 : C
A. Le Benfluorex Mediator était un hypolipidémiant en cas d'hypertriglycéridémie.
B. Elles stimulent aussi la libération de dopamine qui entraîne l'effet de dépendance.
D. Ce médicament a fait l'objet d'une interdiction menant à un retrait sur le marché en 2002 en
Espagne puis en 2009 seulement en France. Pourtant, la première alerte sur les cas d'hypertension
artérielle pulmonaire date de 1995.
QCM 27 : AC
B. (VRAI) Bien sûr que si ! L'alcalinisation ou acidification des urines va influencer la réabsorption
tubulaire et de ce fait modifier le temps d'excrétion. Par exemple l'alcalinisation diminue la
réabsorption tubulaire et donc augmente la capacité d'excrétion.
D. ATTENTION ! Item vrai en soit mais ne répondant pas à l'énoncé qui demande les réponses
vraies à propos des modalités d'EXCRETION hors la résorption est liée à la phase d'absorption.
Lisez l'ENONCE !
E. Le débit d'élimination du médicament est proportionnel à la concentration plasmatique.
QCM 28 : AE
B. Elles sont significatives, il y a des conséquences cliniques pour le patient.
C. Les concentrations plasmatiques sont modifiées.
D. Les concentrations plasmatiques ne sont pas modifiées.
QCM 29 : AB
C. Les CEIP doivent être coordonnés au niveau de l’ANSM et de la commission des stupéfiants et
psychotropes.
D. Le médecin peut parfois ne pas remarquer la dépendance d’un patient vis-à-vis d’un
médicament, c’est aussi au pharmacien de rester vigilant quant à la délivrance des médicaments.
E. C’est l’inverse, psychotropes en France, analgésiques aux USA.
QCM 30 : ABD
C. Elle a 5 missions principales : les 2 premiers citées avec en plus l'innovation et l'inspection et
c'est l'évaluation du rapport bénéfice risque et non son établissement.
E. C'est l'inverse : 80% = redevances des labos et 20% = Commission Européenne.
QCM 7 : Concernant les nouveaux concepts des RCPG, il est exact que :
A. Un RCPG lié à un partenaire non récepteur (qu’on appelle X) pourra être activé par un ligand
différent que ce RCPG lié à un autre partenaire non récepteur (Y).
B. RAMP1 et RAMP2 sont deux partenaires non récepteurs du RCPG CRLR (calcitonin like
receptor).
C. Le récepteur CRLR liée à RAMP1 correspond à un récepteur ADM (adrénomédulline).
D. Lorsqu’on bloque RAMP1 par le Telcagepant®, le récepteur CGRP ne peut plus provoquer une
vasodilatation des artères crâniennes qui était à l’origine de la douleur migraineuse.
E. Lors de l’activation d’un RCPG les effets sont toujours dépendants des protéines G.
QCM 12 : Concernant la définition juridique des médicaments générique il est exact de dire
que :
A. "Un médicament générique correspond à une spécialité qui possède la même composition
qualitative et quantitative en principes actif, de même forme pharmaceutique et dont la
biodisponibilité est strictement égale au médicament original. Cette dernière condition doit être
démontrée par des études appropriés".
B. " Un médicament peut être qualifié d'original uniquement si l'AMM a été délivré au vue d'un
dossier qui comprend toutes les conditions fixées par les voies réglementaires, l'ensemble des
données nécessaires et suffisantes à elles seules pour son évaluation".
C. Les différentes formes pharmaceutiques orales à libération immédiates sont considérées comme
une même forme pharmaceutique.
D. Les différents sels, esters, éther, isomères, mélanges d'isomères complexes ou dérivés d'un
principe actif sont considérés comme ayant une différence qualitative.
E. La classification d'un médicament générique ou non permet d'avoir une idée sur l'indication
thérapeutique de ce dernier.
QCM 22 : Concernant les formes galéniques, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
exacte(s) :
A. Un comprimé multicouche peut être écrasé pour faciliter son administration.
B. Un comprimé multicouche à libération biphasique permet de délivrer une dose de charge suivie
d'une dose d'entretien.
C. Un comprimé OROS utilise le principe de la pression osmotique D. Les solutions huileuses par
voie sous-cutanée permettent une libération immédiate du principe actif.
D. Les solutions huileuses s'injectent en sous-cutané.
E. Un patch nicotinique est à visée locale.
QCM 23 : Concernant les différentes formulations galéniques, quelle(s) est (sont) la (les)
proposition(s) exacte(s) :
A. Quand un petit comprimé a peur de l'acidité gastrique, on est gentil et on le couvre d'une couche
gastro-résistante qui traverse l'estomac puis se dissous à pH basique.
B. Les médicaments sous forme de liposomes ne subissent pas la filtration glomérulaire (parce
qu'ils sont trop gros), ainsi ils n'atteignent pas le rein. C'est une façon de protéger le rein de
l'exposition à certains médicaments.
C. Les formes à libération prolongée permettent de réduire le nombre de prises. C'est donc
intéressant en cas de maladie chronique.
D. Un comprimé push pull utilise le principe de la pression osmotique.
E. Les différentes couches d'un comprimé triple couche se dissolvent à pH différents. Le
médicament est ainsi absorbé petit à petit le long du tractus digestif.
QCM 1 : ABCDE
QCM 2 : BDE
A. L'empirisme est un mode de connaissance basé uniquement sur l'observation.
C. C'est au cours de la première révolution pharmacologique que Claude Bernard intervient.
QCM 3 : CD
A. la définition donnée est correcte mais l'article correspondant (M. Sénard tient à ce qu'on le
retienne) est le L-5111-1 et non le L-5112-1 du CSP.
B. Ce sont des dispositifs médicaux car il n'y a pas d'AMM pour les prothèses, seulement un
marquage CE.
D. (VRAI) Les produits de contraste sont des médicaments définis par leur fonction : ils modifient
les fonctions physiologiques pour faire un diagnostic.
E. En France, l'AMM est délivrée par l'ANSM, c'est à l'échelle européenne que l'EMEA intervient.
QCM 4 : ABCE
D. La spironolactone au contraire empêche tous ces effets.
E. On ne connait pas toutes les cibles mais on en connait au moins une rendant compte des effets
antalgiques (cours sur les canaux ioniques).
QCM 5 : BCD
A. Non, on obtient deux courbes : - une courbe représentant les liaisons totales - une courbe
représentant les liaisons non spécifiques et c'est "la différence" de ces deux courbes qui donnent la
courbe de saturation.
E. Non la formule correcte est : KI = IC50 / (1+([L*] / Kd)).
QCM 6 : BC
A. Non, le cisapride est un ligand du récepteur 5HT4 ayant des effets dans la motricité digestive.
B. Oui le récepteur au glucagon et à la calcitonine appartiennent à la famille B. Le récepteur aux
ions calciques appartiennent à la famille C.
D. La sous-unité α se dissocie des sous-unités β et γ.
E. Non, on sait depuis peu que les sous unité β-γ peuvent aussi induire des effecteurs.
QCM 7 : ABD
C. Il s’agit d’un récepteur CGRP.
E. Il ne faut pas oublié les effets indépendants des protéines comme l’effet de la β-arrestine.
QCM 8 : BCE
A. Sans consommation d'énergie.
D. Non, les canaux VOC fonctionnent bien sur le mode de la probabilité mais il peut être ouvert,
fermé ou insensible aux médicaments.
QCM 9 : ADE
B. Ce sont bien des récepteurs ionotropes. Mais le ligand allostérique est non compétitif alors que le
ligand orthostérique est compétitif.
C. Le muscimol est un agoniste (comme la gaboxadol) mais la bicuculline est un ANTAGONISTE.
Le reste est vrai.
QCM 10 : ADE
B. On calcul ces deux paramètres lors des études à dose aiguë.
C. Ce qui est faux ici c'est qu'on utilise 2 espèces animales dont 1 NON RONGEUR.
QCM 11 : ACDE
A. ATTENTION, ici on demande les réponses INEXACTES. Faux, c'est l'objectif du screening
secondaire.
B. Cette phrase est vraie.
C. La phrase est juste mais les médicaments développés ne sont pas les « vaptans » mais la
bromocriptine.
D. Non, ils préfèrent développer des médicaments symptomatiques. En effet, les médicaments
curatifs rapporteraient moins : la prise en durée limitée limite les bénéfices, alors que les
médicaments symptomatiques (par exemple les antihypertenseurs) sont des médicaments que le
patient prend "à vie". Donc financièrement ces derniers sont plus intéressants.
E. Non, a l'issue de ces étapes débute l'évaluation toxicologique.
QCM 12 : BCE
A. " Un médicament générique est une spécialité de même composition qualitative et quantitative
en principe actif, de même forme pharmaceutique et la bioéquivalence au médicament original a
été démontrée par des études appropriés".
D. On les considère comme ayant la même composition qualitative en principe actif, sauf s'ils
présentent des propriétés sensiblement différentes au regard de l'efficacité ou de la sécurité.
QCM 13 : ACE
B. Non, il existe des problèmes éthiques : il existe des maladies graves où une étude avec un
placebo est inenvisageable comme par exemple la méningite cérébrospinale. On fera une
comparaison ici avec un médicament de référence.
D. Non, attention : reprenons l'exemple du cours. Un médicament antipyrétique fait baisser la fièvre
de 0,1°C par rapport à un placebo. On peut dire que la différence est statistiquement significative.
Mais, elle n'est pas cliniquement significative : en effet lorsqu'on a 40°C de fièvre par exemple, la
baisser de 0,1°C n'a aucun intérêt.
QCM 14 : C
A. Ne vous précipitez pas trop dans la lecture ! un EIG correspond à un événement entraînant une
hospitalisation > 24h.
B. Au contraire, le fichier national des volontaires sains empêche un sujet d'effectuer simultanément
des essais cliniques.
D. Concernant la sanction de l'investigateur c'est exact. Cependant concernant le promoteur, la
demande d'avis au CPP est obligatoire, et en cas d'absence, le promoteur encourt 15 000 euros
d'amende et 1 an d'emprisonnement.
E. Il doit en informer le promoteur qui lui-même en informe le CPP et l'ANSM.
QCM 16 : ACE
B. Les différentes phases sont coexistantes.
D. Il a également besoin d'avoir une concentration optimale au site d'action.
QCM 17 : D
A. Elle est nécessaire pour les médicaments à demi-vie longue.
B. Elle est utilisée pour atteindre plus rapidement la concentration moyenne d'équilibre.
C. Le Levosimendan a une demi-vie longue donc devra d'abord être administré en dose de charge
avant la perfusion continue.
E. La pharmacocinétique permet d'anticiper les modifications en fonction des caractéristiques
individuelles en prenant en compte la population, les comorbidités ou les interactions
médicamenteuses.
QCM 18 : ABCD
A. Le PH de l'estomac est de 2-3 et celui de l'intestin grêle est plus basique (entre 7 et 9).
B. Petite précision : il ne permet pas seulement de relier seulement l'estomac au foie, mais aussi
l'ensemble du tube digestif.
E. Plus le Tmax est important, moins la vitesse d'absorption du principe actif sera rapide.
QCM 19 : ABD
B. (VRAI) ce qui correspond au rapport : quantité de médicament dans l'organisme / concentration
plasmatique.
C. Le volume de distribution du médicament A correspond à peu près au volume du compartiment
sanguin donc il n'a pas ou peu diffusé à travers les capillaires.
D. (VRAI) Vd = 12/3 = 4L.
E. Au contraire c'est une valeur propre au principe actif et donc une de ses propriétés physico-
chimiques. Ainsi, il est indépendant de la voie d'administration.
QCM 20 : BCE
A. C'est un inhibiteur...
D. Le 2D6.
QCM 21 : CD
A. L'élimination et non pas l'excrétion correspond à la disparition du principe actif de l'organisme,
elle s'obtient par l'addition des phénomènes de métabolisation et d'excrétion. Ne pas confondre
élimination et excrétion (bien lire chaque mot).
B. Il s'agit du rein (excrétion urinaire).
E. La clairance de filtration glomérulaire maximale est de 125 ml/min, ce qui est déjà pas mal !
QCM 22 : B
A. Il ne faut surtout pas réduire ce type de comprimé en poudre car ses différentes couches se
mélangeraient et ceci nuirait à la bonne absorption du médicament.
C. Non, il s'agit d'une libération prolongée.
D. Elles s'injectent en intramusculaire profonde.
E. Non, un patch nicotinique est à visée systémique.
QCM 23 : ABCDE
QCM 25 : BCDE
A. Il y a 5 niveaux !
QCM 27 : CDE
A. Le dépôt du dossier se fait dans un seul état membre et l'autorisation peut être étendue aux autres
états membres.
B. La procédure décentralisée est une procédure communautaire qui consiste à un dépôt du dossier
dans tous les états membres en même temps. Si l'autorisation est accordée, l'AMM est octroyé dans
tous les états membres.
QCM 28 : ACE
B. La loi du 9 août 2004 statuant de la responsabilité de l'Etat face aux risques sanitaires est apparue
à la suite de la canicule de 2003.
D. Il faut que ce dossier comprenne des informations sur la qualité de fabrication à savoir l'origine,
le mode d'obtention, les méthodes de fabrication...
QCM 29 : CD
A. Elle est faite par le laboratoire désirant commercialiser la substance.
B. Il en comporte 5.
E. Ce n'est pas une évaluation comparative, c'est seulement une absence d'interdiction de
commercialisation du médicament.
QCM 30 : BCD
A. Pas seulement ! Les sage-femmes peuvent prescrire aussi.
E. Par le Code de la Déontologie !