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DIAGRAPHIES DE PRODUCTION
Parcours
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Introduction
Ce module permet aux étudiants de maitriser toutes les étapes d’acquisition des
logs électriques, de distinguer leurs types, d’évaluer leurs qualités, d’entreprendre une
démarche d’identification des réservoirs potentiels et d’interprétation pétrophysique et
contenue en fluides.
• Acquérir les principes de base d’acquisition des sondages électriques des parois
du puits : capteurs, instruments et systèmes utilisées.
• Références et unités de mesures des logs de forage.
• Etapes d’acquisition et de contrôle qualité des logs électriques.
• Méthodes et techniques d’interprétation et d’évaluation des paramètres
diagraphiques.
• Éléments d’appréciation, calcul et évaluation des réservoirs et estimation des
réserves.
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Introduction
La diagraphie est une méthode géophysique qui consiste à mesurer, à l'aide de
différentes sondes, les caractéristiques des roches traversées lors d'un forage. D'une
manière générale, on appelle diagraphie tout enregistrement d'une caractéristique des
formations géologiques traversées par un sondage.
La diagraphie est un enregistrement (continue) des parois d’un sondage.
Objectif : L’acquisition des paramètres physiques (mécaniques, thermique,
hydrauliques, électriques…) et chimiques en relation directe, ou indirecte, avec les
caractéristiques de la roche.
Le suivi de la géologie dans un forage se fait par l’analyse des échantillons de roches
collectés, à pat régulier, et en considérant le temps de transit, des déblais de forage.
Le Temps de transit ou Lag Time : C’est le temps nécessaire à un échantillon (déblais
ou cutting) pour remonter du fond du puits jusqu’à la surface.
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Fig. 1 : Photos de collecte, traitement et observation des échantillons de déblais dans un forage.
Pour effectuer un habillage géologique complet et précis on associe les données
géologiques réelle issues de l’observation des échantillons de déblais et un paramètre
diagraphique qui varie en fonction de la lithologie. Ceci permet de bénéficier des
avantages des deux méthodes et pallier contre leurs inconvénients. Le résultat est une
interprétation précise et consistante qui permet de reconnaitre les limites des couches,
leurs épaisseurs et même de rendre compte de couches non explorées par l’observation
au microscope (Fig. 2).
Fig. 2 : Utilisation de la diagraphie et des donnés de forage pour la reconstitution du log lithologique
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Types de diagraphie
On distingue 2 types de diagraphie :
1) Diagraphie instantanée ou temps réel
C’est tous les paramètres géophysiques acquis au cours de la réalisation du sondage.
On y distingue deux catégories :
a- Mudlogging : consiste au suivi géologique des opérations de forage,
b- Mesure/Logging au cours de forage (MWD / LWD).
2) Diagraphie différée (Carottage électrique)
C’est l’enregistrement de paramètres géophysiques après la réalisation d’une partie, ou du
sondage entier, en utilisant des sondes diagraphiques qui communique avec la surface par
le biais de câble électrifiée.
Références de mesure
On diagraphie les paramètres mesurés peuvent être enregistré en fonction :
1) Du temps : c’est le cas de plusieurs paramètres de la diagraphie instantanée
2) De la profondeur : qui correspond à la profondeur total (MD) du forage à partir de
la table de rotation comme origine des mesures. Par la suite des transformations sont
effectuées pour convertir les profondeurs totales, ou mesurés, vers les profondeurs verticale
(TVD) ou la côte par rapport au niveau marin (TVDSS) (Fig. 3).
Fig. 3 : Références de mesure des profondeurs dans un forage, notions de MD, TVD et TVDSS.
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Dans les forages profonds, la profondeur est
enregistrée en mètre (système métrique ou international)
ou en pieds (système api). Avec, 1 pieds (ft) = 0,3048 (m).
Fig. 4 : Mesure des profondeurs dans un forage : côte foreur (au tiges) et côte logging (au câble).
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II. Acquisition
II.1 Le capteurs
Un capteur est un dispositif transformant l'état d'une grandeur physique observée
en une grandeur utilisable, telle qu'une tension électrique, une hauteur de mercure, une
intensité ou la déviation d'une aiguille. Le capteur est souvent constitué d’un ou plusieurs
transducteurs. Le transducteur est un dispositif convertissant un signal physique en un
autre.
Le capteur se distingue de l'instrument de mesure par le fait qu'il s'agit d’une simple
interface entre un processus physique et une information manipulable. Par opposition,
l'instrument de mesure est un appareil autonome disposant d'un affichage ou d'un
système de stockage des données. Le capteur, lui, en est dépourvu.
Les capteurs sont les éléments de base des systèmes d'acquisition de données.
Leur mise en œuvre est du domaine de l'instrumentation.
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L’amplitude et la variabilité du signale de sortie ne correspond pas à la valeur du
paramètre physique mesuré ! : Elle lui est juste corrélable. Il est donc, indispensable de
calibrer le signale pour obtenir une lecture correcte.
La calibration : est une étape obligatoire dans le contrôle qualité des donnés.
Elle se fait par la mesure du même paramètre sur un étalon ou sur un objet de valeur est
connue.
II.2 Contrôle qualité
Le contrôle qualité des paramètres diagraphiques obtenue comprends plusieurs
étapes importantes pour s’assurer de la validité des donnés et leurs marges d’erreurs
avant d’entamer l’interprétation.
1. Étalonnage : l’étalonnage est une opération qui s’effectue sur le capteur lui-même et
consiste à adapter son domaine de sensibilité à celui du paramètre physique à mesurer.
En effet, certains capteurs sont conçus à détecter une très large gamme d’un paramètre
physique ce qui réduit la résolution dans le spectre de son utilisation pour les roches
sédimentaire. Donc, l’étalonnage, si nécessaire, améliore la sensibilité du capteur.
2. Calibration : cette étape se fait à l’aval dans le dispositif d’acquisition et affichage
constitué souvent d’un ordinateur. La calibration est effectuée par corrélation entre le
signale physique donné par le capteur aux valeurs physiques connues d’objets
spécifique qu’on appelle étalons. Cette étape est indispensable dans le processus
d’acquisition et très influente sur la qualité des données. Par ailleurs, le signale
électrique de sortie ne dépends pas que du paramètre physique mesuré de la roche.
En effet, d’autres bruits peuvent affecter le signale et d’autres paramètres physiques
telle que la température qui augmente au fond d’un puits et qui fait changer la résistance
du câble, et donc la valeur du signale. Pour cette raison, la calibration est souvent
effectuée quand le capteur est connecté à tout le dispositif, et à plusieurs reprises dans
le processus d’acquisition. Exemple : avant et après le carottage électrique.
3. Cohérence : consiste à observer les résultats numériques et graphiques d’un log et de
s’assurer qu’ils varient dans le domaine prévu (valeurs logiques) pour les roches
sédimentaires auscultées.
4. Corrélabilité : c’est une autre manière de valider la cohérence dans le cas où on
dispose de logs anciens pour le même intervalle dans un forage voisin.
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5. Répétitivité : elle consiste à répéter un petit intervalle de la zone à scanner (de 20 à
200 m en fonction de la longueur du log à acquérir) et elle permet de valider la
reproductibilité de la mesure en superposant les deux courbes. Cette opération permet
d’estimer la marge d’erreur du capteur et c’est une étape indispensable dans toutes
acquisition de diagraphie différée.
6. Bruit (ratio Bruit / Signal) : pour chaque capteur il existe un ratio Bruit/Signal qui
détermine le degré de précision des données obtenues par rapport aux bruit existants
au cours de d’acquisition.
7. Résolution (sensibilité) ➔ erreur : c’est un paramètre intrinsèque du capteur régit
par son constructeur. En fonction du progrès technologique les nouvelles générations
de capteur ont toujours une meilleure résolution et donc une plus faible erreur.
8. Vitesse d’acquisition (Résolution temporelle) : la résolution temporelle consiste au
temps d’exposition minimal nécessaire à une bonne acquisition du capteur. Puis ce que
les logs sont acquis avec des sondes en mouvement, la résolution temporelle se traduit
par des vitesses d’acquisition. Ainsi une bonne résolution temporelle permet d’effectuer
le carottage électrique avec une vitesse rapide. Toutefois, les sondes diagraphiques
sont constituées de plusieurs capteurs : ainsi, il est nécessaire d’acquérir les logs en
considérant la vitesse critique la plus faible des capteurs utilisés.
9. Référence de mesure (profondeur) : tous les paramètres diagraphiques sont acquis
en fonction du temps ou de la profondeur. La référence temporelle est souvent très
fiable grâce aux minuteurs intrinsèques des systèmes (horloges interne ou
synchronisés des ordinateurs). Par contre, la profondeur si elle est mal acquis tous les
paramètres diagraphiques ne seront pas valides. Ainsi, il est indispensable de calibrer
rigoureusement la profondeur et de prendre toutes les mesures pour vérifier et corriger
ce paramètre. Exemple, l’utilisation de double capteur (poulies de type : encodeur
incrémentale), correction de l’élongation élastique et thermique du câble et vérification
du re-zéro après l’acquisition.
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III. Equipement
III.1 Diagraphie instantanée
a. Mudlogging
Le service « Mudlogging » consiste initialement au suivi géologique et des
opérations de forage, mais récemment il inclue l’acquisition et le control des tous les
paramètres mécaniques et hydrauliques au cours du forage. Ainsi, l’unité de mudlogging
est constituée de deux compartiment :
- Laboratoire géologique équipé de loupe
binoculaire, porte-échantillons, réactifs
divers, calcimètre, fluoroscope et d’autres
équipements de laboratoire pour le traitement
d’échantillon.
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de forage et le calage/calibration des paramètres diagraphiques (méthodes
géophysiques indirects) ultérieurs.
• Acquisition et interprétation des donnés de gaz : avec les déblais solides, les
fluides de forage conduisent à la surface les gaz qui occupent les pores des roches
traversées ou qui étaient juste dissous dans le fluide de formation (eau ou pétrole).
Avec le progrès technologique des équipements de séparation et détection des gaz
d’hydrocarbures, le système de gaz du service mudlogging est actuellement capable
de détecter des traces de gaz très faible présent dans la boue. La teneur et la
composition chromatographique de ces gaz est corrélable avec le fluide formation qui
occupe les pores. En effet, le système de gaz comporte deux types de détecteurs :
Détecteur de gaz total et Chromatographe en phase gazeuse spécifique aux
hydrocarbures.
• Vitesse d’avancement (ROP: Rate Of Penetration) : consiste à la vitesse de forage
de la roche mesurée en (m/hr) ou en (min/m). Quand les paramètres mécaniques de
forage sont constants (Poids sur l’Outils, Vitesse angulaire de rotation et Débit de
circulation du fluide de forage, la vitesse d’avancement dépend de la dureté de la
roche et de son taux de compaction. Ainsi, la vitesse d’avant est un paramètre qui
aide à la reconnaissance des différentes couches et formations géologiques.
• Volumes et variations de volumes de boue : au cours du forage les échanges entre
les fluides de formation et celui de forage est possible dans les formations poreuse et
perméables (réservoirs). Cet échange est aussi dangereux pour l’intégrité de
l’ouvrage, de l’environnement et du personnel qu’informatif pour les géologues. En
effet, l’occurrence de ces types d’échanges trahit l’existence de bon réservoir et
informe sur leurs états de la pression des pores en fonction du sens de l’échange et
son amplitude (différence de pression).
• Pression annulaire : en période de forage normal, l’annulaire est ouvert sur la
pression atmosphérique et ne possède donc aucune pression. Mais en cas de
fermeture de l’obturateur d’éruption, ce capteur permet de mesurer la pression
annulaire et de conclure la pression de la formation qui a donné naissance à la venue.
• Torsion des tiges (Torque) : ce capteur mesure la valeur du couple appliqué aux
tiges et qui permet d’obtenir une vitesse angulaire constante. Quand la vitesse de
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rotation et le poids sur l’Outils sont constants. Le couple dépend de la cohésion des
grains de la roche et donc de la lithologie. En effet la valeur du couple est faible dans
les argiles et les grés non consolidés et élevée dans les carbonates. Par ailleurs, ce
paramètre permet de détecter aussi la fatigue de l’Outils : l’usure des taillants pour les
Outils à lames fixes, et d’éventuel rupture/coincement de mollette pour les Outils
tricône.
• Poids sur l’Outil (WOB: Weight On Bit) : ce paramètre indique la pression mécanique
exercée sur le fond du trou par transfert partielle du poids des tiges. On ajuste cette
force en fonction du terrain traversé, à partir du système de levage en surface.
• Vitesse de Rotation (RPM) : correspond à la vitesse angulaire de rotation des tiges
appliquée par le système de rotation en surface et transmise à l’Outils par les tiges.
Cette force est aussi ajustée en fonction de la nature du terrain et le type de trépan.
• Pression de la boue de forage : correspond à la pression hydraulique due au
pompage du fluide de forage. Elle correspond à la somme des pertes de charge du
cycle de circulation entier. Cette perte de charge dépend des propriétés intrinsèques
de la boue de forage et des caractéristiques géométriques du circuit de circulations.
• Débit de circulation : correspond au débit de pompage du fluide de forage. Il est fixé
par le foreur en fonction des caractéristiques de la boue de forage, diamètre du trou
et de la vitesse d’avancement. ,
• Gaz toxiques : au cours de forage on peut enregistrer l’émanation de gaz toxiques
véhiculé vers la surface par la boue de forage. Certains gaz peuvent atteindre des
teneurs léthales pour le personnel de l’appareil et ceux du voisinage. Le plus fréquent
et plus dangereux de ces gaz est le Sulfired’Hydrogène (H2S). Il est toxique et mortel
à de très faibles teneurs (> 1%). Pour cette raison, on installe des capteurs de H2S
dans plusieurs zones à risque de l’appareil de forage.
• Densité de boue : c’est un capteur qui mesure en continue la densité de la boue de
forage à la sortie du puits au niveau des tamis vibrant et à l’admission à l’amant des
pompes à boue.
• Résistivité de la boue : mesure la résistivité électrique de la boue de forage à la
sortie et à l’admission, afin de déceler d’éventuel contamination par des fluides de
formation ou par des sels dissouts. Cette mesure est exclusive au boue à base d’eau.
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• Température de la boue : la température de la boue de forage est mesurée à la
sortie et à l’admission. Elle dépend de la profondeur et du gradient géothermique.
Parmi les paramètres acquis, il y a plusieurs qui n’ont pas d’intérêt géologique
directe telles que certains paramètres mécaniques (la rotation : RPM et le poids sur
l’Outils : WOB), certains paramètres hydrauliques (Pression et débit d’injection), alors que
plusieurs apportent des données géologiques irremplaçable telle que l’observation des
échantillons de déblais, les données de gaz d’hydrocarbure, la vitesse d’avancement, et
les échanges de fluides avec les formation poreuses et perméables. Ainsi, l’acquisition et
interprétation de ces paramètres permettent l’exécution et le suivi de toutes les opérations
de forage en temps réel :
- Profondeurs et épaisseurs des différentes formations traversés,
- Côtes sabots intermédiaires et final,
- Côtes réservoirs objectifs et secondaires,
- Identification et évaluation préliminaire des réservoirs,
- Côtes opérations spéciales (carottage : core-point), déviation : kick-off point),
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- Identification des problèmes de forage liée à la géologie (certains types de
coincement, pertes et venues),
- Récupération et interprétation préliminaires des carottes.
Le gaz aspiré est traité en cabine par deux équipements de détection différent :
- Le détecteur de gaz total : il mesure, en temps réel et en continue, les quantités
totales des gaz combustibles échantillonné par des détecteurs à ionisation de flamme
ou, moins fréquemment, un détecteur à conductivité thermique. Le détecteur à
ionisation de flamme (FID) permet de quantifier avec précision le gaz combustible
présent par un principe simple et efficace. Le principe du FID repose sur la
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conductance de l’air excité par l’incandescence de la flamme. Ainsi, plus la flamme
est vive plus il y aura de courant généré. Par la suite, le signale électrique obtenue
est amplifié et calibré l’injection de gaz à teneurs connue.
- Le chromatographe : qui contient le même type de détecteur à ionisation de flamme
(FID) mais précédé par une colonne chromatographique à phase gazeuse pour
séparer les différentes composantes de gaz d’hydrocarbures : Méthane (CH4), Éthane
(C2H6), Propane (C3H8), Butane (C4H10) et Pentane (C5H12). Pour les molécules de
gaz les plus lourdes (butanes et pentane), on commence à avoir des isomères
géométriques qui sont le normal-Bbutane (nC4) et normale-Pentane (nC5) et
isométhyle-Butane (iC4) et isométhyle-Pentane (iC5). Pour cette raison on aura pour
chacune de ces molécules deux pics chromatographiques où l’isomère en isométhyle
arrive en premier grâce à son volume moléculaire plus compacte que la chaîne
linéaire saturée (Fig. 9).
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Fig. 10 : Extrait de Masterlog qui permet de représenter les formations traversées sous forme de
log et d’évaluer les réservoirs potentiels grâce à l’observation des déblais et au système de gaz.
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inclinaisons (<40°) il est toujours recommandé d’utiliser le service de diagraphie
différée conventionnelle car elle reste toujours plus économique, de meilleure qualité
et plus flexibles : choix des types d’outils et logs possibles plus nombreux.
- Equipements de surface : consiste à une cabine qui communique avec les sondes de
fond et affiche les valeurs de déviation / azimut mesurés. Ces valeurs permettent
d’exécuter, contrôler et corriger les trajectoires des forages déviés. Et aussi d’acquérir
les autres paramètres mécaniques ou
diagraphiques. La communication entre les sondes
de fond et équipements de surface se fait grâce au
« Pulsar » qui consiste à une turbine tournante qui
crée des étranglements au passage de la boue ce
qui engendre des vagues surpressions à faible
amplitude et à fréquences variables. Les vagues de
fréquence créées sont codé en binaire et peuvent
ainsi, envoyer une matrice de données en temps
réel et sans encombrer les tiges par un câble
électrifié. Les signaux de pressions envoyé sont
récupérés et décodé en surface par le biais d’un
capteur de pression (Fig. 11).
Fig. 11 : Schéma du services MWD/LWD.
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- Une unité de diagraphie logé sur un
camion ou adapté dans une cabine
Fig. 12 : Schéma de transportable (système adapté au forage
montage de diagraphie offshore). L’unité de diagraphie est constituée
différée (Chapellier, 2009)
de deux compartiments : un pour le contrôle et
manipulation du câble (tension, sens de
mouvement, vitesse, profondeur), et un
compartiment ingénieur pour la
communication avec les sondes et
l’acquisition des données diagraphiques.
- Un câble spécial à gaine centrale
constituée de lignes électriques, et fils
périphériques pour la manutention. Le câble
est centré dans le puits grâce à deux poulies
dont l’une est suspendue au croché et l’autre
fixée sur le plancher.
- Une ou plusieurs sondes à base de capteurs et transducteurs. Grâce au nombre
importants de câbles électriques dans la gaine centrale on peut mettre en série plusieurs
sondes dans la même descente, ce qui permet d’économiser le temps d’acquisition.
Toutefois, il est souvent nécessaire de faire plusieurs descentes pour effectuer tous les
logs programmer car certains outils ne sont pas cumulables avec d’autres et il y a une
longueur/poids limite à ne pas dépasser pour la ligne de sonde (Chapellier, 2009).
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o Permet l’estimation/calcul de la porosité
o Estimation de la Perméabilité
o Echantillonnage solide
o Estimation de la Salinité
8. L’inclinométrie (Dipmetry)
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VI. Les outils de la diagraphie différée
IV.1. Le Potentiel Spontanée (Log PS) : C’est un log à
principe électrique mais de type acquisition passive (sans
injection de courant). La Polarisation Spontanée représente
l’état de polarisation naturelle des parois du puits par les
ions (anions (-) et les cations (+)) contenues dans les fluides
de formation sous l’interaction avec les ions du filtrat de
boue.
Fig.13 Principe du PS
La PS est mesurée par la différence de potentiel électrique entre une électrode de
référence fixe, placée à la surface, et une électrode mobile qui parcourt la longueur du
forage. On observe, souvent, qu’en face des argiles les potentiels restent plus ou moins
constants sur des valeurs élevées de tension. La droite que défini cet enregistrement est
appelée, ligne de base des argiles, ou « shale base line ».
En face des bancs poreux et perméables, la courbe montre de faibles valeurs de potentiel.
Lorsque ces bancs sont assez épais, il est possible de tracer une droite appelée ligne de
base des sables, « sand line » (Serra, 1979 ; Chapellier, 2009).
N.B : La limite entre deux couches à potentiel différent est toujours indiquée par le point
d’inflexion de la courbe.
Le log PS est un log relatif : il dépend (1) de la différence
de salinité entre le fluide de forage et celui de formation
et (2) de l’état de la polarisation de l’électrode de
surface. Le log PS est dit Normal si la ligne de base
des argiles est à un potentiel plus élevé que la ligne de
base des sables. Dans le cas contraire, le PS est dit
inverse.
En général, le PS dépend de la différence de salinité
entre le filtrat de boue (Rmf) et l’eau de formation (Rw).
Fig. 14 : Types de PS. Divers cas peuvent se présenter (Fig. 14, Serra, 1979)
:
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a. Eau de formation plus salée que le filtrat de boue [ Rmf > Rw ]. La P.S. est dite
normale c’est le cas envisagé jusqu’à présent. La déflexion est plus importante
quand le contraste de salinité est important.
b. Eau de formation moins salée que le filtrat de boue [ Rmf < Rw ] Dans ce cas on
obtient une P.S. dite inverse, le positif est en face des sables et le négatif en face
des argiles. (N.B: ce cas est assez fréquent!).
c. Eau de formation de même salinité que le filtrat [Rmf = Rw]. La P.S. est donc plate,
l’enregistrement ne montre pas de différence entre les argiles et les bancs poreux et
perméables.
Cette mesure est proportionnelle à l’énergie de la radiation gamma incidente. Dans les
roches sédimentaires l’activité gamma varie généralement de 0 à 200 api. Le
rayonnement Gamma possède la plus petite longueur d’onde, et par conséquent, la
fréquence la plus élevé du rayonnement électromagnétique.➔ Rayonnement à fort
pouvoir de pénétration.
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- Le GR peut être enregistrés en trous ouverts ou tubés, vides ou remplis et dans
n’importe quel type de boue.
- Le log GR apporte des informations qui aide à l’interprétation lithologiques.
- Le GR permet de préciser les limites/épaisseurs des couches/Top Formations.
- Le GR sert à identifier les réservoirs et calculer les épaisseurs (Total, Efficace).
- Le log GR permet d’estimer le % d’argiles dans les couches réservoirs.
- Le GR sert pour la corrélation et enregistrement des autres diagraphies.
- Le GR est utilisé dans la corrélation entre sondages.
- Le GR peut servir à l’analyse séquentielle, reconstitution de l’évolution du milieu
de dépôts et modélisation de bassin.
Le Log GR permet d’identifier les limites des couches ➔ ces limites correspondent
aux points d’inflexion des courbes,
Valeurs GR ➔ toujours élevée dans les argiles (riches en K). Par contre une argile
pure peut enregistrée entre 80 --> 250 api d’amplitude radioactive en fonction de son
degré de compaction. Dans les grès, et réservoirs carbonatés, L’amplitude GR est
relativement plus faible, mais jamais nulle. Ce faible rayonnement est dû à la faible
présence d’un pourcentage d’argiles (K) ou de trace de matière organique (Ur, Th)
dans ces roches réservoirs.
Les compteurs de rayonnement Gamma, sont des capteurs fiable, facile à calibrer et
à haute résolution spatiale et temporelle ➔ ils permettent la détection de minces
couches (centimétriques) et à vitesse d’acquisition élevée.
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Le Log GR est utilisé dans la reconnaissance des réservoirs et autres limites de
couches, dans la corrélation des descentes multiples (run A, run B, run C…), dans la
corrélation de profondeur entre phases (run 1, run2, run 3…) ainsi que dans la
corrélation lithostratigraphiques entre sondages. Dans ce dernier cas, si l’objectif de la
corrélation est géométrique, il est impératif d’utiliser la profondeur verticale par rapport
au niveau marin (TVDSS : True Vertical Depth SubSea).
Fig. 17 : Exemple de corrélation entre sondage établie grâce au log GR. NB. la référence est le
TVDSS.
Le gradient de changement des valeurs de GR apporte une autre information sur
l’évolution des conditions de dépôt. En effet, la variation relative du niveau marin
permet d’affecter directement le niveau d’énergie dans un point donné et donc
d’affecter les proportions de décantation des argiles dans la roche. Ce postulat est
aussi valable dans les environnements continentaux. En conséquence, en fonction de
type de changement (augmentation ou diminution) et du gradient du changement (fort
ou faible) en identifie des cyclicités répétitives et représentatives des empilements de
séquences de dépôts relatives à des cycles sédimentaires. Un cycle sédimentaire
correspond donc au retour au même point de départ en termes d’amplitude GR. En
termes d’interprétation, ce cycle peut représenter une morphologie symétrique ou
dissymétrique, et caractérise une séquence sédimentaire unitaire limité par deux
isochrones type surface d’inondation maximal (mfs) et renfermant quelque part entre
ces deux points, une discontinuité relative à une variation brutale des valeurs GR
(Changement brutal de l’énergie du milieu de dépôt), ou inversion du gradient GR
(passage d’un cycle transgressif à un cycle régressif ou l’inverse). Les différents cas
de figures permettent d’obtenir des séquences à signatures caractéristiques
permettant d’identifier et de classer la séquence diagraphique en :
23
Séquence de type entonnoir (Funnel shape) : séquence dissymétrique à tendance
régressive dominante où la discontinuité est située au sommet. Séquences
caractéristiques de milieux marin pro-deltaïque. La tendance granocroisssante
témoigne de la progradation progressive des corps clastiques vers le bassin.
Séquence de type cloche (Bell Shape) : séquence dissymétrique à tendance
transgressive dominante où la discontinuité est située à la base. Séquences
caractéristiques d’un milieu fluviatile où à la base on identifie une surface de
ravinement puis une tendance granodécroisssante témoignant du comblement
progressif du chenal.
Séquence de type cylindre (Cylinder shape) : séquence symétrique où les deux demi
séquences (transgressive et régressive) sont presque d’égale épaisseurs. Ceci
procure une tendance aggradante favorable à la stabilité des conditions de dépôt et
donc à l’empilement de séries épaisses de même faciès.
Séquence de type ovale (Egg Chape) : séquence symétrique à tendance aggradante
comme celle de type cylindre mais juste la variation de GR est plutôt progressive que
brutale entre les facies argileux et non argileux.
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Uranium, Thorium et le Potassium. Ce Log est celui utilisé pour mesurer le %
d’argiles (GR Potassium).
❖ GR du « K » : Potassium
❖ GR du « Tr » : Thorium
❖ GR de l’ « Ur » : Uranium
• Mud ➔ Rm
• Mud cake ➔ Rmc
• Mud filtrate ➔ Rmf
• Fm. Fluide ➔ Rw
• Fm. Solid ➔ Rt
Fig. 20 : •Schéma du phénomène
Fm. S+W ➔ R d’invasion du
xo
filtrat de boue dans les niveau réservoirs.
Les dispositifs géométriques mis en
œuvre ont beaucoup évolué. En effet, au
milieux du XXème siècle, on utilise le dispositif normal. Puis, à la fin du XXème siècle, on
a mis en place le dispositif latéral qui est plus avantageux en résolution spatiale (sonde
latéral ou latérolog). Au début du XXIème siècle, on a généralisé l’utilisation du dispositif
inductif qui possède une sensibilité nettement meilleur dans la lecture des résistivités.
25
Fig. 21 : Dispositifs électriques utilisés dans l’acquisition du log résistivité (Serra, 1979 ; .
26
que 80 cm, reste le plus souvent dans la zone lavée de résistivité Rmf (Chapellier,
1987).
Pour l’exploration pétrolière en utilise plusieurs espacements telle que : • 10", 20" , 30"
, 40" , 50" , 60" , ….. 120" en dispositif normale ou latérale.
❖ Le dispositif inductif :
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Quand la salinité de l’eau est connue, la loi d’Archie permet dans ce cas de calculer la
saturation en eau (Archie, 1942, 1947 ; Chapellier, 2009).
28
Le récepteur analyse deux caractéristique de l’onde :
1- Le temps de transit (entre l’émission / réception) ➔ Δt
2- L’amplitude de l’onde reçus
Deux types d’onde acoustique :
• L’onde Longitudinale (Longitudinal wave),
• L’onde de Cisaillement (Shear wave).
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30
Fig. 25 : Exemple d’enregistrement sonic dans les formations évaporitiques, clastiques et
carbonatés
Tous les assemblages de log CBL contiennent également un outil CCL (Casing
Collar Locator) qui permet par magnétométrie de détecter la position des joints de
connexion des Tubages.
Les équipements utilisés consistent en un aimant permanant et un magnétomètre.
31
NB.: L’assemblage CBL contient toujours un outil GR pour la correction et la
corrélation des profondeurs.
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réflecteurs temps doubles (TWT) des profils sismiques en profondeur réelles. Dans
certains types d’acquisition VSP (Zéro offset), les événements temps simple (OWT)
permettent d’identifier les réflecteurs.
Dans d’autres types acquisition (exemple : offset, walk away, walk above, salt prox,
3D, passive monitoring…) ce type de log permet d’apporter des précisions
géométriques supplémentaire permettant de reconstituer une section sismique en 2D
ou en 3D à haute résolution et à vitesse réelle corrigée.
Fig. 28 : Enregistrement du temps de transit (TT) en relation avec le temp simple (One-Way
Time) et temps double (Two Way Time) (Shlumberger, 1989).
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Le principe du Caliper consiste à des bras qui s’ouvrent au cours de la
remonté pour mesurer le diamètre réel du puits sur plusieurs diagonales (Chapellier
et Mari, 1989). Les données du Caliper donne une information sure :
1. La stabilité des parois du puits, mobilité de certaines formations ➔ La
possibilité de descente de Tubage ou la nécessité d’un alésage,
2. Le volume de ciment nécessaire,
3. Côte de tubages précédents,
4. Estimation relative de la pression de formation par rapport à la densité de
fluide de forage (cavage homogènes)
5. Présence de contrainte tectonique compressives (cavage différentiel).
6. Mise en évidence de certaines failles !
7. Evaluation qualitative de certains réservoirs Fig. 29 : Outils Caliper
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Fig. 31 : Exemple d’un Log Caliper (Akrout et al., 2021).
IV.8. La pression de Formation (MDT : Modular Dynamic Tester)
Le MDT ou autres outils tel que RFT, XPT… sont des outils qui donnent des mesures
ponctuelles et non pas des graphes continues. Le principe du MDT consiste à des bras
qui s’ouvrent pour mettre la formation en contact avec un Probe (Shlumberger, 1989).
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Le probe est équipé par une pompe qui aspire le fluide de formation et permet de le
dériver vers 3 directions possibles après avoir été analysé par un capteur de Densité
Optique permettant de reconnaître la nature du fluide :
- Vers l’extérieur (dans le puits);
- Vers une chambre d’analyse contenant un capteur de pression très sensible
(Quartz Gauge);
Fig. 32 : Outil MDT.
- Ou vers un récipient d’échantillonnage de fluide de formation.
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Fig. 34 : Intégration des donnés MDT dans le log composite.
L’inclinaison est mesurée par rapport aux parois du puits. Ceci permet de
déterminer le pendage réel des couches sédimentaires et les
caractéristiques des autres types de stratifications (Shlumberger, 1989). Fig. 35 : Inclinomètre
Les stratifications obliques, pour les réservoirs gréseux, permettent de
déterminer, en fonction de leurs types et tailles, la qualité du réservoir et la
position de la couche dans la séquence de dépôts. Le principe de
fonctionnement de ce type de log est initialement mécanique : un Caliper
multibras qui mesurent les diamètres de puis sur plusieurs diagonales 12, 24
ou 48 (multifingers). Actuellement, il est simplement remplacé par des outils d’imagerie
(voir plus loin).
IV.10. Les log Neutron (Densité/porosité)
Le log Neutron est un log nucléaire qui repose sur l’excitation de la roche par des
particules subatomiques de type Neutrons. Cette radiation entraine la vibration des
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atomes d’hydrogènes qui se trouvent à densité égale dans les hydrocarbures
(CnH2n+2) ou l’eau (H2O). L’excitation des atomes d’hydrogène produit des
rayonnements Gamma qui sera mesurée par deux détecteurs (proche et lointain)
(Shlumberger, 1989).
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Fig. 38 : Caractérisation des fluides de réservoir par les logs GR, résistivités et Neutron.
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disposée en quadrature de phase (à 90°). Pour cela, les images acoustiques offrent
une alternative intéressante, surtout que l’outils de type sonar rotatif permet de
visualiser l’intégralité des parois de puits (Shlumberger, 1989).
Parmi les outils utilisés dans l’imagerie acoustique on site l’UBI (Ultrasonic
Borehole Imager), alors qu’on trouve l’FMI (Fullbore Fromation Imager) ou l’OBMI (Oil
Base Micro Imager) comme exemple d’outils d’imagerie en résistivité électrique.
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Les outils d’imagerie sont toujours utilisés en association avec des outils de
mesure de déviation (Inclinaison, Azimuth) pour permettre de reconstituer l’image dans
sa configuration géométrique identique à la nature. Ceci permet de procéder
correctement à l’interprétation quantitative : mesures des vrais pendages et directions
des plans et identifiés (Stratifications naturelles S0, stratification obliques, schistosité,
clivage et lamination, fractures et microfractures.
Pour pallier contre la faible résolution angulaire des images électriques, on peut
utiliser une combinaison à double outils disposé en opposition de phase. Ceci permet
d’enregistrer une grande surface des zones d’ombre obtenue avec un seul outil.
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Fig. 43 : Dual OBMI, enregistrement électrique double en opposition de phase.
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Fig. 44 : Corrélation et interprétation des log d’imagerie électrique de paroi avec la diagraphie
de résistivité et une carotte réelle.
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Fig. 45 : Interprétation et résultat de processing d’un log d’imagerie électrique de parois.
Le log de contrôle qualité est important pour évaluer la crédibilité des donnés
surtout pour les outils à base de bars enregistreurs qui fonctionne mal dans le cas de
cavage.
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Références
• Archie, G.E. (1942). "The electrical resistivity log as an aid in determining some
16b1-11d7-8645000102c1865d.
• Chambre syndicale de la recherche et de la production du pétrole et du gaz naturel
Université de Lausanne, 78 p.
• Serra Oberto, (1979). Diagraphies différées: Acquisition des données
diagraphiques.
Bulletin des centres de recherches Exploration-production Elf-Aquitaine: Mémoire
Texas 77478.
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• Wahl J.S., (1983). Gamma Ray Logging. Geophysics 48 No. 11.
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