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LA SCIENCE

Amorce : Ajd en période post-moderne on a des meilleurs connaissances


scientifiques et des meilleurs outils de diagnostic/therapie etc. Cpdnt
paradoxalement on a une remise en question de la confiance des patients
envers les medecine (Pr. Nicolas Lechopier)
I. La medecine d’ajd est basée sur des preuves scientifiques
Il semblerait que la médecine est une science.
On ne peut pas se défaire du jugement expert et de la discussion entre
scientifiques dans l’évaluation d’une preuve. Hiérarchie des preuves : Le Malin
Génie
EBM→ (1992) medecine fondé sur les preuves. Pr. Rémy Boussageon légitimité
soignante n’est pas suffisante ils faut une légitimité scientifique apportée par les
meilleures données de science clinique disponibles pour ne pas traiter à tort le
patient
Claude Bernard « science esperimentales » : Formation du médecin consiste en
l’apprentissage de schémas scientifiques reproductible destiné à être appliqué
aux soins, de plus lui-même étudiant scientifique étudiant des matières telles
que les mathématiques, la chimie et l’anatomie.
Article 8 : La prescription médical doit se faire dans le respect de la loi et
conformément aux données acquises de la science→ encadrement législatif et
scientifique pour une prise en charge identique sur l’ensemble du territoire
Histoire : la médecine des preuve a remplacé la médecine traditionnelle : 1835
Pierre-Charles Alexandre Louis étudie de façon critique la sagnée (pratique
médicale qui consistait à saigner les patients pour éliminer le sang
malade)→comparaison de deux gpes qui ont reçu la saignée soit juste après soit
qlq jour après avec approche mathematique. Coclusion : saignée pas efficace
Dissection par Ambroise Paré : pratique de la dissection a parmi d’acquerir ++
+connaissances anatomique « père de la chirurgie moderne »
Déterminisme scientifique c’est connaître les raisons et modes de
fonctionnement qui expliquent un évènement : schéma hypothetico-deductif
La vérité scientifique est possible mais pas absolue → permet de prendre une
décision
II. Limites de la science
Nicholas Lechoppier : deshumanisation de la rélation médicale→ procedure en
aveugle
A force de trop mécaniser les pratiques on passe à coté des pathologies : artiste
AnA diagnostiqué par son premier neurologue de sclerose en plaque
erronément car les signes cliniques (radiographie) peuvaient faire penser à ça
alors qu’elle avait une maladie chronique neurologique→ change l’attention du
médecin qui est plus porté sur les technologies que sur le patient alors que les
technologies sont loin d’être le reflet de la réalité
Science elle-même a des limites : elle est évolutive on ne peut pas se fier
exclusivement à la connaissance : pas de vérité à un instant
Parfois mesusages de l’EBM→instrument pour produire de l’ignorance : tabac et
« La fabrique de l’ignorance » : on a caché les données de la science sur le tabac
pour augmenter profits des industries (Nicolas Lechoppier)
Eugenisme : l’ensemble des méthodes et pratiques visant à sélectionner le
patrimoine génétique des générations futures d'une population en fonction
d'un cadre de sélection prédéfini→ pose des problèmes éthiques (cf. principes
régulateurs de l'action et de la conduite morale), mesusages de la science :
ex.de la maladie de Down
Valeurs incorporées dans les protocoles peuvent être difficiles à obtenir→ex
compter les morts necessite des statistiques correctes et efficaces
EBM ne s’oppose pas à l’experience médicale : au contraire pour bien utilisé les
données de la science il faut l’experience medicale N. Lechoppier
III. Solutions
Ces plans (la science et la technique) qui encadrent les pratiques n’auraient en
fait qu’une valeur opérationnelle et seraient à adapter à chaque patient dans le
but que ce dernier ne soit pas oublié en tant que personne. Ce son des bases
sécurisantes des outils mais ne peuvent pas se substituer à l’humain « La
question n’est pas d’expliquer ce qui arrive (au corps, au patient), mais d’agir
pour améliorer » Ce que soigner veut dire Annemarie Mol
Il faut adapter la posologie au patient
Modèle centrée patient
NBM de Rita CHARON : sensibiliser les médecins et les futurs médecins à
l’aspect humaniste de leur profession, à développer leur empathie vis-à-vis de
leur patient et à développer leur temps d’écoute, afin que le patient et ses
plaintes se sentent entendus et compris. Ce qui aboutira à l’établissement d’une
relation de confiance et donc a une meilleure prise en charge du patient.
- Maux de tête : les patient.e.s ayant le sentiment qu’ils ou elles avaient été
vraiment écouté.e.s par le ou la médecin étaient trois fois plus nombreux.euses
à penser que leur mal de tête avait disparu que ceux ou celles qui avaient
l’impression de ne pas avoir été écouté.e.s 5étude de Moira A.Stewart Review
of an effective physician-patient communication and health outcomes)
Therapies par l’art AnA, la musique aussi
Il faut avoir du discernement : ne pas se contenter des évidences mais démêler,
par un effort de réflexion, les attentes du ou de la patient.e au sein de ses
plaintes et symptômes
Avantages : meilleure observance, meilleure efficacité des soins en diminuant
les tests diagnostiques et les avis des spécialistes, amélioration de paramètres
cliniques objectifs, de paramètres biologiques (Lecomte EMC 2010 Empathie et
ses effets)

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