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CONSULTANT :
Mr GELASE KOUITY
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SOUMAHORO
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2023-2024
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UP COMMUNICATION
2013-2014
LE CONCEPT MARKETING ET SON EVOLUTION
Le produit ;
L’échange ;
Le marché.
1
Demande : elle correspond au désir d’acheter un produit soutenu
par un pouvoir et un vouloir d’achat.
2. Le produit
4. L’échange
5. Le marché
1
Commentaire
Elle implique tout d’abord que le marketing dans une entreprise ne peut
être lié uniquement aux opérations de vente. On le retrouve à tous les
niveaux d’activités de l’entreprise. Ainsi, avant toute activité de
production, il est essentiel de bien identifier les besoins des
consommateurs que l’on cherche à satisfaire. A quoi servirait-il de
fabriquer un produit techniquement au point si personne n’en
veut ?
Offrir un produit au bon prix signifie au prix que le consommateur est prêt
à payer pour ce genre de marchandise. Le bon prix n’est généralement
1
pas celui qui permettra à l’entreprise de vendre le plus de produits mais
celui qui lui permettra de réaliser des profits.
Une entreprise qui applique un état d’esprit marketing est une entreprise
véritablement orientée vers le client, c’est-à-dire orientée vers la
satisfaction des désirs du client qui doit inspirer le comportement de tous
les membres de l’organisation.
1
Se demander ce que pensent les consommateurs du produit à
promouvoir et ce qui pourrait les inciter à l’acheter
1
L’optique marketing considère que la tâche primordiale de l’entreprise est
de déterminer les besoins et désirs des marchés visés et de produire les
satisfactions désirées de façon rentable, car plus efficace que la
concurrence.
Au vieil adage « fabriquez des produits et vendez- les », l’optique
marketing substitue un nouveau principe d’action « cherchez d’abord à
connaître les besoins » une telle approche se répercute dans certains
slogans tels que « le client est roi » ou encore « satisfait ou
remboursé ».
L’optique marketing invite l’entreprise à reconnaître la souveraineté du
consommateur ; en ce sens, elle est très différente de l’optique vente.
Théodore LEVITT contraste ainsi les 2 orientations : « la vente se
concentre sur les besoins du vendeur, le marketing sur ceux de
l’acheteur ». La vente se préoccupe de convertir le produit du vendeur
en argent liquide ; le marketing de satisfaire les désirs du client à l’aide du
produit et tout ce qui est associé à sa création, sa distribution, et
finalement sa consommation.
L’optique marketing inverse la logique de l’optique vente ; au lieu de
partir des produits de l’entreprise et de les promouvoir afin d’engendrer
un CA ? Elle part des clients, de leurs besoins et désirs, puis élabore un
ensemble de produits et de programmes destinés à servir ces besoins, tir
ant ses bénéfices de la satisfaction du client.
Une stratégie selon l’optique marketing est le choix des grandes options
fondamentales prises par la Direction Marketing pour insérer au mieux
l’entreprise dans son environnement économique, politique et social.
Les principaux moyens d’action retenus doivent assurer la survie, le
développement et la prospérité de l’entreprise. Ils sont interdépendants,
c’est-à-dire que toute modification de l’un de ces éléments entraine des
répercussions sur les autres moyens à mettre en œuvre.
1
L’optique marketing sociétal se différentie de l’optique marketing classique
en incorporant deux idées. D’abord, elle invite les responsables marketing
à prêter attention aux besoins et intérêts des acheteurs plutôt qu’à
leurs seuls désirs. Ensuite, elle propose de prendre en compte le
bien-être collectif.
L’optique marketing sociétal invite à tenir compte de 3 points de vue dans
l’élaboration des décisions commerciales :
Les besoins et intérêts des consommateurs ;
Le bien-être social.
Marketing d’études
Marketing stratégique
Marketing opérationnel
1
psychologiques, Etudes d’audience des médias,
Etudes de positionnement…
Marketing stratégique Technique de fixation des objectifs, Stratégies
de positionnement, Stratégies de ciblage,
Stratégies de produit, de prix, de
communication, de distribution, Stratégies de
croissance, Stratégies concurrentielles…
Marketing opérationnel Merchandising, publicité, RP, marketing direct,
management de la FDV, distribution, promotion
des ventes, PLV…
Le marketing politique
Marketing utilisé pour aider les hommes ou les partis politiques à :
- gérer leur image,
- capter un électorat,
- conserver un électorat,
- accroître un électorat,
marketing religieux
Marketing utilisé par un groupe d’individus (religieux), une entité
religieuse ou une organisation confessionnelle en vue de :
- convaincre des fidèles ou adeptes,
- maintenir ceux-ci,
1
- ou les accroître...
le marketing amont
Son rôle est de faciliter les relations entre l´entreprise et ses fournisseurs.
le marketing international
l´e-marketing
le street marketing
Le street marketing est une technique marketing qui utilise la rue et les
lieux publics pour promouvoir un évènement, un produit ou une marque.
Le street marketing utilise généralement l’événementiel, de la distribution
de tracts ou flyers ou différentes formes originales d’affichage.
1
Par nature, le street marketing regroupe un ensemble de techniques et
pratiques variées et innovantes. Le street marketing cherche à combiner
puissance (nombre de contacts exposés) et impact en termes d’image et
de mémorisation. Le street marketing est particulièrement bien adapté à
des lancements de produits sur une cible urbaine.
le buzz marketing
Le buzz est le bourdonnement en anglais, le bourdonnement précède
généralement l’arrivée et la vue de l’abeille.
le marketing viral
Le marketing viral est un mode de promotion d’un site web ou d’une offre
commerciale ou marketing par lequel ce sont les visiteurs du site ou les
destinataires d’une offre qui vont le ou la recommander à des proches ou
collègues. Dans le cadre du marketing viral, l’offre se diffuse comme un
virus.
La recommandation virale peut être spontanée en fonction de la valeur du
site ou de l’offre, ou rémunérée à travers un système de parrainage.
Le marketing viral existait avant Internet mais son potentiel est décuplé
par la facilité de transmission de l’information sur ce média.
le produit
1
- certains produits sont dangereux ou polluants…
le prix
Le prix joue souvent sur la naïveté du public en laissant croire qu’un prix
élevé va de pair avec la qualité
la publicité
la distribution
Lancé par Ralph Nader aux Etats-Unis dans les années 60, ce mouvement
s’est étendu en France notamment, dans les années 70 et a fortement
influencé le consommateur moderne qui adopte au quotidien des slogans
tels que : « Consommez mieux », « consommez intelligent ». Le souci de
comparer, de négocier et de rechercher la meilleure affaire se développe
auprès des consommateurs.
Examen des réclamations, contrats avec les distributeurs, hot line 24h sur
24… certaines entreprises prennent conscience de la nécessité d’adopter
1
une éthique à l’égard du consommateur : un produit de mauvaise qualité
ne se vend pas durablement, il nuit à l’image de marque de son
producteur et de son distributeur et invalide la fidélisation de la clientèle.
1
LE MARCHE ET SON ENVIRONNEMENT
1
Le marché actuel de l’entreprise : ensemble des
consommateurs, utilisateurs, des usagers actuels d’un bien ou des
services de l’entreprise.
PROFESSION
L’ENTREPRISE
1
I -2-2. Du point de vue de la concurrence
Offreurs (Entreprise)
UN QUELQUES UNS MULTITUDE
Demandeurs
(Clients)
OU
MARCHE DE L’ENTREPRISE (en volume ou en valeur)
PDMrel= x 100
- MARCHE DU PRINCIPAL CONCURRENT (en volume ou en valeur)
1
II-3°) Taux de pénétration (TP)
II-4°) Parc
PARC
TE = x 100
MARCHE THEORIQUE
TC = x 100
CHIFFRE D’AFFAIRES année n-1
OU
TC = x 100
1
Volume année n-1
NB : multiplier par 100 est utilisé ici pour faciliter la mise des
ratios sous forme de %. Attention, ne pas l’utiliser quand le ratio
est connu et que l’une de ses composantes est inconnue.
L’entreprise X a pour part de marché 50 % et le marché de la profession
est de 20 000 000 F. Déterminer le marché de X.
MARCHE DE L’ENTREPRISE
PDMab =
MARCHE DE LA PROFESSION
n-m
CHIFFRE D’AFFAIRES année n
TCM = - 1
CHIFFRE D’AFFAIRES année m
Ou
1
n-m
Volume année n
TCM = - 1
Volume année m
1
III- LES ACTEURS DU MARCHE
Producteurs
Influenceurs Distributeurs
Acheteurs et Environnement
Consommateurs Démographique,
Economique,
III-2°)Le micro-environnement
1
III-2-2. Les influenceurs
L’analyse pour le choix des meilleurs fournisseurs se portera sur les prix,
les modes de paiement, les délais de livraison et le SAV.
III-3°) Le macro-environnement
1
III-3-2. L’environnement économique
Il concerne les décisions prises par les gouvernements sur les thèmes
particuliers dont ils possèdent la maîtrise : impôts, subventions accordées
à certains secteurs d’activité, aides octroyées à l’international, etc.
Cet environnement concerne les lois et les arrêtés qui régissent le secteur
d’activité concerné.
1
LA SEGMENTATION DU MARCHE ET LE COMPORTEMENT
D’ACHAT DU CONSOMMATEUR
I- LA SEGMENTATION
I-1°) Définition
1
I-3°) Choix des critères
Le choix entre un ou plusieurs critères suppose que l’on puisse les juger et
comparer leurs qualités et défauts respectifs. Les qualités que doit avoir
un bon critère de segmentation sont au nombre de trois : la pertinence, la
mesurabilité et la valeur opératoire.
Reconnaissance du besoin
Recherche de l’information
Choix final
1
II-1-2. Différentes parties du processus d’achat
1. La reconnaissance du besoin
2. La recherche de l’information
4. Le choix final
1
II-2°) Les principaux facteurs explicatifs du comportement du
consommateur
1
Ce principe peut être aussi présenté sous la forme suivante :
Besoins
d’accomplissement
Besoins d’estime
Besoins de sécurité
Besoins physiologiques
PYRAMIDE DE MASLOW
1
Besoins physiologiques : ils sont liés directement à la survie des
individus.
Exemple : boire, manger, dormir, s’habiller.
1
o Motivation rationnelle : fruit d’un raisonnement basé sur des
critères objectifs.
Exemple : choix d’une voiture qui consomme moins de carburant
1
2. Attitude
N.B. : Des trois aspects de l’attitude, l’affectif est dominant. L’attitude est
essentiellement affective, elle s’exprime en termes de « j’aime / je
n’aime pas ».
3. Personnalité
1
L’exposition : la mise en relation entre le consommateur et
l’information
1. Culture et sous-culture
1
2. Classes sociales
1
LE MARKETING-MIX
I- POLITIQUE DE PRODUIT
I-1°) Définition
Le produit est un panier d’attributs répondant aux attentes des
consommateurs.
NB :
Le produit peut être tangible (bien) ou intangible (service).
Il est indispensable d’élargir cette définition du produit à un certain
nombre de concepts :
Tout d’abord, on peut identifier un produit par la
satisfaction qu’il procure,
On peut ensuite le définir selon les services,
Enfin, le produit est également caractérisé par son
contenu symbolique (c’est la dimension psychologique et
sociologique).
1
I-3°) Éléments d’identification du produit
I-3-1. La marque
I-3-1-1. Définition
La marque est un nom, terme, un signe, un symbole, un dessin, un logo
ou toute combinaison de ces éléments servant à identifier les biens ou les
services d’une entreprise et à les différencier de la concurrence.
Une marque peut être :
un nom patronymique (Peugeot, Yves Saint Laurent),
un nom commun (Orange, pâtes alimentaire Maman)
un mot sans signification (TIMOR)
un nom géographique (Évian, Morteau),
un ou plusieurs chiffres (Number 1, 1664, 501),
des initiales (OE, BNP),
un dessin (chevrons de Citroën),
un slogan (0 blabla, 0 tracas ; À fond la forme),
un personnage fantaisiste (le bibendum Michelin),
une expression ou une phrase (Wolswagen –voiture du peuple-, la
Vache qui rit),
etc.
Pour l’entreprise :
La marque est un élément stratégique majeur. Elle permet :
– de différencier l’offre : elle communique un positionnement et des
choix mercatiques ;
– de véhiculer une image : elle atteste un niveau de performances
et traduit les valeurs de l’entreprise (sérieux, qualité, prix, garantie…) ;
– de vendre : elle séduit les consommateurs, les incite à acheter et
les fidélise.
La marque est un capital qui représente une très grande valeur pour
l’entreprise.
1
Pour le consommateur :
1
I-3-1-5. Les types de marque
1
I-3-1-6.les principales orientations stratégiques de la gestion de marque
NB : Il existe :
- des marques de producteurs : Coca-Cola, Danone,
- des marques de distributeurs : Carrefour, Tex,
- et des marques de services : Société Générale, Avis.
1
Paris a rendu, en décembre 1993, un arrêté qui a interdit à un parfum
également d'Yves Saint Laurent de s'appeler « Champagne », les
appellations d'origine faisant l'objet d'une protection.
I-3-2. Le Packaging
I-3-2.1. Définition
C’est l’ensemble des éléments matériels qui, sans faire partie du produit
lui-même, sont vendus avec lui en vue de permettre ou de faciliter sa
protection, son transport, son stockage, sa présentation en linaire, son
identification et son utilisation par les consommateurs.
1
Ex. : palettes en contre-plaqué regroupant plusieurs dizaines de
packs de bière.
I-3-2-3-1. Le contenant
C’est l’ensemble des éléments du packaging qui ont (ou peuvent avoir)
une incidence sur la protection, la conservation, l’utilisation, le transport
et le stockage du produit. Ce sont :
Les matériaux utilisés : Verre, carton, plastique, métal, etc. ;
C’est l’ensemble des éléments purement visuels du packaging qui ont une
incidence sur son aspect. Il s’agit principalement :
Du graphisme(dessins, photos, etc.)
Des couleurs utilisées
De l’emplacement et de la disposition des textes
Du nombre et de la forme des étiquettes, etc.
La forme et le format
Le mode d’ouverture et de prise en mains : Bouchon, bec
verseur, poignée, couvercle vissé, capsule…
I-3-2-3-2. Le décor
1
I-3-2-4-1. Les fonctions techniques
2. Commodité d’utilisation
Facilite la prise en main du produit, son versement et son dosage…
4. Protection de l’environnement
1
I-3-3. L’étiquette
1
I-3-4. La Qualité
La qualité est l'aptitude d'un produit à répondre aux attentes des consommateurs. C
´est aussi le degré de performance répondant aux attentes du client.
Cette notion est relative et complexe. Cependant la qualité marketing
recouvre deux aspects essentiels : la qualité réglementaire et la qualité
commerciale.
I-3-4-1.La qualité réglementaire
Pour garantir la sécurité des consommateurs, les pouvoirs publics réglementent les
caractéristiques de certains produits (au niveau par exemple de la solidité, de la
composition, de la catégorie, ...).La non qualité réglementaire expose l'entreprise à
des amendes, à la destruction des produits non conformes voire à la fermeture de
celle-ci.
1
I-3-4-4. Les signes de qualité
- Le label : le label est un signe, issu d'une convention collective, apposé sur un produit
pour attester d'un certain niveau de qualité dans son domaine d'activité.
I-3-5. La normalisation
1
I-3-5-1. L'élaboration des normes
L'élaboration des normes peut être faite par des organismes nationaux ou internationaux.
Au niveau ivoirien, nous avons le signe "AGREE EN CI" qui permet d'attester
•La normalisation est parfois une condition indispensable de l'activité (les matériels
électriques ou mécaniques doivent être normalisés pour être compatibles et
utilisables partout).
I-3-6.Les certifications
Ce sont les labels, de marques ou de certificats de conformité. Ils
attestent qu´un produit ou un service est conforme à des caractéristiques
décrites dans un référentiel.
1
Il regroupe l´ensembles des actions menées dans l´élaboration des
produits, de façon à leur donner une apparence physique conforme aux
besoins et aux exigences techniques des clients. Il correspond également
à l’aspect visuel extérieur du produit ou de l´emballage.
1
I-4-2. Classification selon le comportement d’achat
Biens banals
Biens anomaux
Produits nouveaux
Produits anciens.
I-5°) La gamme
I-5-1. Définitions
1
Une ligne de produit est constituée d’une ou plusieurs
variantes développées à partir d’un produit de base. Une gamme
est divisée en lignes de produits.
Un portefeuille de produits est constitué par l’ensemble des
gammes de produits d’un fabricant.
I-5-2. Caractéristiques d’une gamme
Une gamme présente les caractéristiques suivantes :
Largeur d’une gamme (L) : Elle correspond au nombre de
lignes de produit de la gamme.
Profondeur d’une gamme (P) : nombre de produits répondant
à des besoins similaires. Elle est déterminée à partir de la ligne
proposant le plus grand nombre de variantes,
Longueur d’une gamme (l) : Ensemble de produits de toutes
les lignes de la gamme.
NB : Quand toutes les lignes de la gamme présentent le même nombre de
variantes, la longueur l = P x L
Exemple : Une gamme de sucrerie
LARGEUR
Citron
1
I-6-3. Les types de produit autour desquels on peut construire une gamme
Une gamme est une construction ou chaque produit doit avoir une
fonction précise en terme marketing et financier.
Ils ont pour but d’absorber des frais fixes et compenser les fluctuations
des ventes des produits leaders.
1. Le bas de gamme
2. Le milieu de gamme
’est un positionnement qui est associé dans l’esprit du consommateur à
des prix d’appel et de quelques produits plus sophistiqués pour l’image.
3. Le haut de gamme
C’est un positionnement qui est associé à des prix élevés et à une très
bonne qualité.
1
I-5-5. Les stratégies de gamme
Trois approches sont prises en compte :
1
Avantage et inconvénients de la Gamme Courte et de la Gamme Longue
Elle permet de couvrir tes besoins - Risque de dispersion qui peut vouloir dire
du marché et donc de moins bonne connaissance des produits,
Gamme longue
1
I-6°) Cycle de vie du produit
La courbe de vie des produits (CVP) est fondée sur des analogies avec les
processus vitaux. La CVP comprend 4 phases : Le lancement, la
croissance, la maturité et le déclin.
Volume
Des ventes
1 2 3 4
1
notoriété Promotion de
grands médias relance
Promotion d’essai soutien
I-7-1. Définition
Un nouveau produit est un produit qui n’existait pas encore sur le marché.
Cependant les produits vraiment nouveaux sont rares. Ce qui est plus
fréquent ce sont des produits améliorés, reformulés, une nouvelle marque
ou un nouveau positionnement.
Selon le cabinet Booz Alen et Hamilton, il existe 6 types de nouveaux
produits dans une stratégie de gamme :
1
Avantage sur le concurrent non marqué.
Facteurs Produit présentant une originalité perçue par le
consommateur comme un avantage certain face à la
de
concurrence.
succès
Marché mûr pour l’innovation.
Maitrise technologique de la fabrication.
Marchéage cohérent et adapté à la demande du client.
1
Une stratégie consiste à commercialiser le produit quand les autres
commencent à se retirer du marché. La concurrence est moins vive.
II-1°) Définition
Le prix correspond à la valeur d’échange d’un produit qu’un client doit
régler en contrepartie de son acquisition.
Le problème de la fixation des prix se pose dans les entreprises dans des
circonstances multiples :
lancement d’un nouveau produit,
lancement sur nouveau canal de distribution,
lancement sur un nouveau marché,
quand le produit existant franchi une étape dans son cycle de vie,
quand la concurrence modifie ses prix ou lorsqu’on veut attaquer
la concurrence
quand les conditions économiques générales changent,
quand les conditions de fixation du prix de revient du produit se
modifient.
1
La cohérence internede la politique commerciale (prix élément
du positionnement du produit).
II-3-2. Les contraintes externes
1
o Objectif de PDM : Pour renforcer sa position concurrentielle.
o Objectif de gamme (on pratique un prix d’appel pour un produit de
la gamme. Il faut veiller à la cohérence de la gamme et faire
attention au cannibalisme des produits d’une même gamme).
II-5°) Méthodes de fixation des prix
Quantité = Demande
NB :
- e inférieure à -1 signifie que la variation des ventes est
supérieure à la variation du prix : demande très élastique.
2. Le prix psychologique
L’enquête de prix psychologique permet de déterminer un prix considéré
comme optimal par les consommateurs
A l’occasion d’un sondage effectué sur un échantillon de consommateurs,
deux questions sont administrées :
Q1 : « à partir de quel prix trouveriez-vous ce produit trop cher ? »
La réponse à cette question indique le prix maximum accepté par la
personne interrogée.
Q2 : « à partir de quel prix auriez-vous peur que ce produit soit de
mauvaise qualité ? »
1
La réponse à cette question indique le prix minimum accepté par la
personne interrogée.
Détermination du prix psychologique à partir des pourcentages cumulés
du prix minimum et du prix maximum.
% % cumulé % % cumulé
simple croissant(1) simple décroissant
(2)
1
les deux courbes indique le prix psychologique c’est-à-dire le prix pour
lequel la zone d’acceptabilité est la plus large.
N.B. :
o Quand il vous arrivera de vouloir déterminer le coefficient
multiplicateur, connaissant le coût d’achat de votre produit, la
marge à appliquer, la remise éventuelle et la TVA vous utiliserez :
1
Coefficient multiplicateur = (1 + taux de la marge commerciale) x
(1 + TVA)
Ou
Ou
o Cas d’une entreprise qui achète avec des frais annexes : dans
ce cas on parlera de coût d’achat
Ou
1
Prix de vente unitaire = Coût d’achat unitaire x (1 + Taux de
marge)
Ou
Ou
Ou
Ou
1
Taux de marque =
Chiffre d’affaires
Cas d’une entreprise qui achète avec des frais annexes : ici
on parlera de coût d’achat
Ou
1
Prix de vente unitaire
Ou
1
U = unitaire
Charges fixes
Q =
Prix de vente unitaire – Charge variable unitaire
Charges Fixes
D = x 360 jours (ou 12 mois)
Chiffre d’affaires – Charge variable totale
- Fixer son prix au niveau des prix du marché (s’aligner sur les
prix) ;
1
II-5-4. Les stratégies de prix
1. Stratégie et qualité
Il y a plusieurs manières de tarifer un produit. Cette matrice de stratégies
de fixation des prix reprend les principales. Essayons de comprendre les
meilleures politiques / stratégies de diverses situations.
1
Carrefour offre ses propres produits bon marché sans dépenses de
fabrication ou publicitaire excessives.
1
III- POLITIQUE DE DISTRIBUTION
III-1°) Définition
1
2. La fonction d’assortiment
3. La fonction de stockage
1. La fonction de financement
1
informations sur les caractéristiques des produits, conseils donnés par les
vendeurs, PLV, actions de PDV (Promotion des ventes) dans les magasins.
Producteur Consommateur
1
- le grossiste
- le semi grossiste
- le détaillant
- etc.
Vente
Directe
Un niveau Détaillant
1
Le coût des circuits : Il faut calculer le rendement (r) et voir si les
circuits retenus sont rentables.
III-5-3. La franchise
1
Le contrat de franchise permet à un détaillant de se voir concéder par un
producteur le droit d’utiliser la marque ou l’enseigne du fabricant pour
vendre des produits ou des services, ceci en échange d’une redevance
généralement calculée proportionnellement au CA.
Ce contrat s’accompagne également d’une assistance technique et
commerciale du fabricant.
Elle consiste à faire vendre le produit dans le plus grand nombre de points
de vente afin que le consommateur puisse s’approvisionner facilement.
1
IV- POLITIQUE DE COMMUNICATION
IV-1°) Définition
Communication corporate
1
fabriquent ou qui les distribuent, la communication devient corporate ou
communication institutionnelle.
Depuis le milieu des années 70, les entreprises ont pris conscience qu’i ne
leur suffisait plus de faire connaître leurs produits, mais qu’elles devaient
construire, une image institutionnelle destinée aux publics internes et
externes.
Cette prise de conscience les ont conduites à se soucier de leur image, et
à la faire évoluer vers une identité plus noble, plus conforme aux souhaits
de la communauté économique et sociale : celle de l’ »entreprise
citoyenne ».
Communication
Communication sur les valeurs (personnalité de la marque
Communication
produit valeurs
Produit/marqueéthiques, par exemple de l’entreprise).
Corporate