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LES NOUVEAUX

Précis B R EA L

Physique

Optique
MPSI-PCSI-PTSI
P. BRENDERS • M. SAUZEIX

Exercices résolus

mreal
Copyrighted rater ial
LES NOUVEA

Optique
MPSI - PCSI - PTSI
P. BRENDERS
Agrégé de Sciences Physiques
Professeur en classes préparatoires PCSI, lycée des Chartreux, Lyon

M . S A U Z E IX
Agrégé de Sciences Physiques, ingénieur ESEO
Professeur en BTS électrotechnique. Lycée Edouard Branly, Lyon

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1, rue de Rome 93561 Rosny-sous-Bois cedex L/fcrcal
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Nouveaux Précis Bréal son! conçus pour apporter aux étudiants des
Les classes préparatoires une aide efficace dans leur travail. Tout en conser¬
vant la rigueur des éditions précédentes, nous nous sommes efforcés d'aplanir
au mieux toutes les difficultés inhérentes au discours scientifique. Nous savons
par expérience que le rythme de la prépa n'autorise aucune perte de temps, et
tu
nous pensons qu'une explication claire et précise permet d'éviter au lecteur tout
« blocage » inutile. C2
Strictement conforme au nouveau programme, cet ouvrage s'adresse â la fois
aux étudiants de première et de deuxième année. En effet, l'optique géomé¬
a
s
trique, enseignée en sup sans être réinvestie en spé - et de ce fait, souvent
négligée par les candidats -, constitue un thème prisé au concours, notamment
à l'oral. La manière dont nous avons rédigé cet ouvrage intègre donc ces deux
temps forts : apprendre, mais aussi réviser.

Chaque chapitre est divisé en trois parties complémentaires.

Le Cours, qui présente les principaux raisonnements à comprendre et à


connaître, accompagnés de nombreuses applications directes afin d'assimiler
immédiatement les notions traitées.
Les pages Méthodes, qui contiennent deux rubriques indispensables à la pro¬
gression personnelle : L'essentiel permet de mémoriser rapidement tout ce qu'il
faut retenir du chapitre, et la Mise en œuvre expose les grandes méthodes afin
d'acquérir les bons « réflexes » en situation.

§
Les Exercices, tirés d'annales de concours et classés par niveaux de difficulté,
dont les solutions détaillées sont enrichies d'astuces et de conseils (précédés
des logos ou ). Certains exercices sont accompagnés de courtes
indications, comme en colle : il suffit parfois d'un petit « déclic » pour démarrer

o
Il nous est apparu nécessaire d'accorder aux Méthodes et aux Exercices une
place équivalente à celle du Cours. En effet, l'apprentissage ne peut pas être
efficace sans combiner étroitement ces trois dimensions : comprendre, savoir
faire et s'entraîner. En revanche, s'il organise intelligemment son travail, l'étu¬
diant pourra s'améliorer dans toutes les disciplines en gérant au mieux son
temps et ses efforts, principale condition de la réussite.

Nous espérons que ce nouveau Précis aidera les étudiants à accéder avec
C<5
confiance en deuxième année, puis d'intégrer une école et nous répondrons
volontiers à toute suggestion, remarque ou critique par e-mail à l'adresse
infos@editions brcal.fr.

L'éditeur et les auteurs.

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Chapitre 1 ÿ Généralités sur la lumière

a. Qu ggt <;!• gug [ogMgye aujottfdjiuj 1


8

C Notion d'onde progressive sinusoïdale 11


D Propagation des ondes électromagnétiques : cas de la lumière 15
Méthodes : Laasaûtiel ;misa,aa • , .....
,
, , 2?
Exercices :énoncés, indications, solutions 23

Chapitre 2 ÿ Lois et principes de l'optique géométrique

A. Le rayon lumineux de l'optique géométrique 28


B. Lois de l'optique géométrique 29
C. Applications 36

Exercices :énoncés, indications, solutions 49

Chapitre 3 ÿ Formation

A Notion d'image 70

B. Notion de point objet et de point image en référence a un système optique ....70


C. Stiqmatisme rigoureux 73
D Les systèmes centres 77
I. Aplanetisme rigoureux 77
F. Stiqmatisme approche 77
fi Lrs r.nnriitinns tte fiauss_
_____ Z9

H Application au diogtrg plan 82

I. Aberrations des systèmes optiques 84

Méthodes : l'essentiel ; mise SE SË11XKL .....


, , 8g

Exercices : énoncés, indications, solutions 91

Sommaire Copyrighted material


Chapitre 4 ÿ Miroirs sphériques

A. Introduction . 10?

B. Stigmatisme et aplanetisme d'un miroir splierique 103


C. Construction géométrique d'une image dans les conditions de Gauss 109
D. Relations de conjugaison du miroir sphcnciuo clans l'approximation de Gauss . 116
F Cas particulier du niirnii plan 119
F. Champ d'un miroir 120
Méthodes : l'essentiel ;mise on œuvre 1?1
Exercices : énoncés, indications, solutions 126

Chapitre 5 ÿ Lentilles minces sphériques


A. Lentilles sphériques 148
B. Alqébrisation espaces objet et image 150
C. Stiqmatisme et aplanetisme d'une lentille mince 151
P. Propriétés des lentilles minces 153
F Construction neometrigue (l'une image 156
F Relations do conjugaison et de qrandissenmut 161

H. Aberration chromatique d'une lentille 164


miçç çn ççyvrç, , ,,,,,,, 1Ç7
; énonces, indications, solutions ..
...
...
..
..
..
...
. .
. 171

Index
Copyrighted material
CHAPITRE

Généralités sur la
lumière

Introduction
En classe de terminale la propagation des ondes a été abordée et le caractère ondulatoire
de la lumière mis en évidence par des expériences de diffraction. La propagation de la
lumière dans un milieu transparent a permis de préciser la notion d'indice optique dont
la variation avec la fréquence de l'onde lumineuse, ou si l'on préfère, la couleur, confère
au milieu transparent un caractère dispersif.
Dans ce chapitre d'introduction, nous situerons dans notre société l'importance de l'op¬
tique en tant que science, et nous mettrons en place les bases permettant d'aborder par
la suite l'optique géométrique.

Plan du chapitre 1
A. Qu'est ce que l'optique aujourd'hui ? 08
B. Généralités sur la lumière
1. Approche physique de la lumière et de ses interactions avec
notre environnement 08
2 Approche historique : les modèles physiques de la lumière 09
C. Notion d'onde progressive sinusoïdale 11
1. Onde progressive 11
2. Onde progressive périodique 13
3. Onde progressive sinusoïdale 13
4 Dispersion d'une onde 14
5. Autre représentation de la propagation d'une onde 14
D. Propagation des ondes électromagnétiques : cas de la lumière 15
1 Propagation de la lumière dans le vide 15
2. Mesure de la vitesse de la lumière 17
3. Propagation de la lumière dans les milieux matériels transparents 18
Méthodes
L'essentiel ; mise en œuvre 22
Énoncés des exercices 23
Solutions des exercices 24
A. Gu'esî-cs qu& l'optique aujourd'hui ?
Uofivqnf eot un* science dour. >* uciisayôsf sam cw rs-paaduss bans narre
socw'.-i. Elle a'inccrit dans notre quotidien w» fcnns de source? d« lumière
divergea, d'éesacis cathodiques de télévision ou d'ordinateur* de télécom
hiju'Ik à ôiïîïax'njf, tatts oubliai !'• leercur dr iiiïque coa»&ocr ô lasw tax
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B.J. . Ô? iiî." JCCÿEïïte 2Î
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s.i(vair..) (u?qjf'.»'r rccq-cnan («ci1., ÿ.3tae>EpÿU{«iCi «llu'c CCD-
dsns lac cwvétflî n»:<tïÿïouss) o». ÿIle ee woiMaÿw pt? îor ÿctjc-h.
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Copyrighted,
Le modclc ondulatoire se développe et Frcsncl donne, en 1818, une explica¬
tion des phénomènes de diffraction ( fig. 1 et d'interférences de la lumière
dans le cadre de cette théorie.
Le modèle corpusculaire de Newton est définitivement abandonné quand
Foucault, en 1850, montre expérimentalement que la vitesse de la lumière
est plus petite dans l'eau que dans l'air.

Maxwell édifie en 1873 la théorie électromagnétique1 qui montre que la


lumière est elle même une onde électromagnétique et qu'elle résulte de la
Fig. 1 Figure de attraction
donnée par une ouverture
propagation d'un champ électrique H et d'un champ magnétique B variant
circulaire, de diamètre 1 mm. au cours du temps.
éclairée en lumière parallèle
l'observation est farte sur un B.2.3 - Modèle corpusculaire
écran placé à plusieurs mètres.
1 Hero en 1887 vérifia
L'optique doit aussi rendre compte des échanges d'énergie qui résultent de
expérimentalement l'existence l'interaction entre la matière et le rayonnement comme l'émission de lumière
des ondes électromagnétiques dans les sources lumineuses (soleil, ampoules électriques) ou l'absorption de
que Ton qualifia d'ondes lumière dans les récepteurs (œil, plantes).
• hertziennes • et que nous
Or, l'clcctromagnétisme de Maxwell ne rend pas compte des interactions
connaissons bien |rad»odiffusion.
téléphone portable. lumière-matière, ce qui montre l'incomplétude de cette théorie.
télèdiffus-on...» Hertz découvre qu'un faisceau lumineux monochromatique2 frappant un
2. En optique, une onde lumineuse métal en arrache des électrons1. Cet effet photoélectrique ne s'explique pas
monochromatMjuecorrespond à
une radiation dont la couleur est
dans la théorie de Maxwell.
unique Pour résoudre cette difficulté, Einstein introduit en 1905 un modèle corpus¬
3. Ainsi fonctionnent les culaire dans lequel la lumière est décrite à l'aide de particules, les photons,
détecteurs nommés cettules de masse nulle, se déplaçant à la vitesse de la lumière dans le ride.
photoélcct'iauts. utilisés pour
détecter l'information lumineuse L'énergie d'un photon est % = hv, mesurée en joules ( J ) avec h = 6,62- 10 H Js
comme par exemple dans le la constante de Planck et v la fréquence de l'onde en hertz.
lecteur de CD rom
Les seules énergies possibles d'une onde électromagnétique de fréquence v
sont des multiples de cette plus petite quantité d'énergie que l'on appelle un
quantum. L'énergie transportée par la lumière ne varie donc pas continû¬
ment, mais de façon discrète.

Dans le modèle corpusculaire, les échanges d'énergie avec la matière se


font par paquets d'énergie élémentaires indivisibles : les photons.

B.2.4 - Dualité onde-corpuscule - Électrodynamique


quantique
Dès lors, la lumière présente deux aspects, l'un ondulatoire, l'autre corpus¬
culaire et nous devons parler de dualité onde-corpuscule pour caractériser la
nature de la lumière, c'est à dire la considérer à la fois comme une onde et
comme un corpuscule.
é. la mécengue guentigue esl Le modèle de la mécanique quantique' améliore ensuite cette approche en
une théorie bu monde prenant simultanément en compte les notions d'onde et de corpuscule pour
microscopique qui décrit l'étal et
l'évolution à féchello des
introduire le concept de • fonction d'onde ».
molécules, des atomes et des L'expérimentation met cependant en évidence quelques contradictions entre
particules Elle a été établie è ses les modèles ondulatoire et corpusculaire.
débuts par Heisenborg 119251
Schrôdmger <19281. Dirac F.n 1954, Fcynman, Schwingcr ctTomoga résolvent ces problêmes en don¬
119261... nant une théorie unifiée qui porte le nom d'élcctrodynamiquc quantique et
qui constitue, à l'heure actuelle, la théorie la plus aboutie concernant la
lumière.

10
Chapitre 1 : Généralité* sur la lumière
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fcft&Siîfesw»» tî (fii'ÿHft' i&JfXupZ \iAi>tJteiM. 'if» rtts'iiic. â*®6 '1' 4
*•'.< l\wfc :e;:f';#t'<:«.W: ;gS' dÿ"'-f'X»'-V.S'."*7 '# /.?>:ÿ «CVÿ
tto?Wfe* gHSÿfcûÇÿ
S'a:<0't".v»,t-KU*.«v'V: gk'«K»
î? i°dSîCf.)"'l''f-"- ÿ'•fxsvfe «o î®/3ri z»*.'' fc sA"fe\Ç •» ow ÿE-crÿ r«a
OHp&Krss ir-! uititea &?v'ÿÂ $*£ <i-i Lv4{i'iÿ,3hci:î*i! lidîrarjîf: #?. iL'i
•cS /!;ÿC.v i'». ÿ il S7i' gTO IteXÿA'ifc
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S. ji' 0 oi>iA <Tÿ-» :ÿ"/ÿ
W.ytii ntfy&Fite ôitÿîl '-.WacS: cC àa àit- iÿSfc-vvS ÿÎKiitelflÿîiS/
ÿtî fct-iivu'ïCifi/fè ffkW c>»*;jk ÿ•*. I"- ,?.ti #fy,<v>i. j.m .;';,i rÿï?!. '".a -jaSon ÿ rf'.V rsECÿieft*
».*ii*'l»JVÿ«'':fafi"y pï* m
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iltill « dïji»"k ALk ssi
& >?&&:£#£î'Ka «a ?? s ÿsc ce e»jj isKivffi'Sas ÿ -v CKid»?ft cl4 Lktrjl'eut' ::ï*r3ÿÿ âKito&-va ïÿï
.'«Cl/S 3,?5i6'(>-. X &i£ d&C?ivS*. 'i5 p!
4, .IX. i-A'jii ÿf ÿ'lxixÿlÿrfti i&.
ï&fi'v y.fàiï
k»"j''« ;5ÿ.yys»» •iC.'.w foÿiSSyAhÿnmtxS'iJ Î4 'a
cfi0*ÿ£Oïî iarWrK vferi? d'CTil ÿ <Jîv! liri-ÿt-S ?ïmîiE> 'Lr££!i ÿ&ÿ ÏY<&- .i. mp-KWa
pOÊc« ;w.t >twïz:>'.ffra îjXc.ÿ ÿ wwcJ»
ttïtwrissBa® j>.
ÿ&LX îb.1 i'k'ia, îjai 'ÿiitfiLJÏRinÿS.- 3v4' &>y-vS$ •
C»:{r5«r;irfl iWi'TiÿsCv';-:" X'-- vvti.vt. Hi p'SJftS/Aw \t«f ïsj '.ÿ.Tÿ ?
b»ss«

Çlvpïi'j > : flur 1p l-tnitn Cqÿyrghted mariai


IJotjcie progressive qui m propage ii la surface de l'eau se manifeste par
une perturbation non périodique du milieu, sans transport de matière. La
propagation d'une onde n obéit donc pas aux mêmes lois que le mouve¬
ment d'un solide.
I cèlcritè de l'onde est indépendante de ls perturbation (le milieu
sj est
considéré linéaire) et elle dépend de l'état physique dti milieu.

CJ. Qméœ. ;x":?.?;LwsîiSSttW.


l-cs vibrations de l'excitateur son; maintenant rcgullcrcmcrvt espacées d'une
durée de T secondes.
D'une port, rhaqtir point de h. surCico de IVau, déhi atteint par l'onde, rsr
alors perturbé identiquement toutes les T Secondes.
?»5- 5 -£
tac de la surtare ûe
'i»j vu9 iicoupe. ÿ> une oate
_ ________
___
dcnr.ee. Cens le cas ds la T copsîWuc pê?»noc tempoivltc de l'onrfc ; c'est celle de «ii«w..
jroiiasaiKir.?\mv gnée
P'Ofl'essîve péricdlgie non I»uï*c ;>3ic> r.\ ac.v*. vcjsard-.ïCï* 1.1 sutfnco de l'oau à vÿc rterc donvie. nous
sinusGtdstâ. observons des perturbations rtrguIictOTKnl sv.p&cies Jaos J'espace « Cju. *5/-

La periods spatiale A. est u plus petite distance qui sêpate deux peines -du
milieu de propagation qui cric même cm vibratoire.

1 £.i optique et en anysque <1es


cods', la ."wuence est rotje »• 2ïr.flJioG:)ii)iî!l(£
an lieu et pÿace ûî 'eu iV accote
C 3-. Ctfidi'S
d'jiiS i'd 4Ll:tîs dombiÿ.us dp la La peiturbatian rq, en S d'abscisse c = 0, est toujours nssurée par l'excitateiu
ChysiQUK iiiçraur. EtecUiQuÿs \
qui vibre a présent Oc marnccc sinusoïdale au cou-& du temps tw. o .
On c donc ns(0, <) - cos (2~ to) avec D„ l'amplitude <tr. l'onde on metre

•A- <•:. -
--
•v <-;VW-.r> (m) et i"
- ~p , sa fréquence en hertz (I h).
Pour étudie: l'ailun- de la surface de l'eau lorsque l'onde prngrossive sinu¬
soïdale se propage a la vitesse c, Considérons celte allure le long d'un rayon
puisque nous avons vu que ccrtc limitation de l'ctudc. avec les hypotheses
admises concernant le milieu, ne restant pxs sa généralité.
!:iç. S - hcôi Qè rs Curiae* dfc
"aoii à uns cale tfoniêB cans le I'elongation f<sl du po'nt .V» d'ahscisSe :: de la surface, 3 'a date t, est celle
cas iS '-•« onde progressa
sinujiPdalB que possédait le poir.i S n lo dsrc r - 1 3vec r -s
t? qronaga'cer est transes "sale
On a donc :
I.bs c-éiea ei tea vakjae» saw
d stitbuêBS s-J" dB4 dwcier, «,ivé I) ~ CJ. cos |?U. I'(r - 1)1) = 'J„ cos 2ît»'| r - ' |,
êotÿistatc.
où iÎKwf / ÿ
— .'j «c h» ptm»e de l,iMde;.
î. On» points de ronm» fitot • f
"ÿfctotOKe vierent b/i pnate
Une aurtare d onOe est une
sjÿare sur (a-meilB '•» (â-«îb Cs
Û3.1 - ilïc-uaMs
.'cOesct constante a une date r .
C.. * i i Oc-iode, temporelle
dann+n Pan» cel» no do t nom; Consldctons on point M d'abscisse s ~ etc et observons sa vibration au cours
avoir auss f ? r.». ca qu< montre
di! temps.
que les surfaces S'onOc sor'des
1
rirrclea. «iwÿne l'on itcKrv* v>utuxi r au&meutc <ic T - , cr rempiaÿart r par r s '/'dans i "car.vision de
Btmr'ivRmonJ en tignic 6 i»

Sur nés surtaues teiies eue rt,.(c. /), la phase augmente tic 2ir radians.
c= cte on a r., ' cte.

v. 1'.: V 1 y.:.'1 Cô.r«


1
On a donc : uM(s, /) = uM(s> i+ 7)
OuUlnn ci>
Chaque poinl du milieu vibre donc à la fréquence de la source.
C.3.1.2 Période spatiale
Toujours avec l'hypothèse de l'étude de l'état de la surface de l'eau le long d'un

rayon, observons à une même date, i etc, la surface de l'eau (iig. h et 7 .
Si l'on s'éloigne de M d'une distance X = —, en remplaçant z par z + X dans
v
2 3 « S l'expression de uM(*> /), la phase augmente de 2ir radians.
Fig. 7 - À une date donnée, état On a donc wM(s, i) = uM(s + X, t).
de la surface de reau le long d'un
rayon lors de la propagation Deux points successifs du milieu, séparés d'une distance X = — ont donc le
d'une onde progressive
v
même état vibratoire. Comme X = — = vT, la période spatiale est aussi la
v
longueur parcourue par l'onde en une période. Pour cette raison elle est
nommée longueur d'onde et mesurée en mètre (m).

X = v 7" est la période spatiale de l'onde qui se propage.


Remarques :
- Tout ce que nous avons dit pour la propagation dans un milieu à deux dimen¬
sions, la surface de l'eau, peut être étendu à un milieu à trois dimensions.
Pourquoi choisir l'onde sinusoïdale au cours du temps ?
Ceci tient à ce que ces ondes forment une base de décomposition des autres
ondes. Selon l'analyse de Fourier, sous des conditions mathématiques (peu
contraignantes pour les signaux que nous rencontrons), toute fonction pério¬
Fig. 8a - Observations d'ondes dique de fréquence /peut être décrite comme la somme de fonctions sinu¬
rectilignes a ta surface de feau soïdales de fréquences 0,/, 2f 3/, etc.
dans deux expériences pour
lesquelles la hauteur d'eau est de
5 cm.
C.4. Dispersion d'une onde
En haut, la source vibre a la
-
fréquence v, 5 H/ ;la longueur

.
d'onde mesurée expénmentatemem
est x, 9.5 cm
Nous n'avons pas examiné l'influence de la fréquence de l'onde sur sa pro¬
pagation à la surface de l'eau. Les résultats de l'expérience décrite à la figure
8.a. permettent de mettre en évidence que la célérité de l'onde à la surface
En bas, la source vibre s la de l'eau dépend de sa fréquence.
fréquence de v, = 10 Ht ;la
longueur d'onde mesurée est
I22EJŒI
X, = 3cm Lorsque la célérité de l'onde dépend de sa fréquence, le milieu est dit dis-
Si la célérité ne dépendait pas de la persif.
fréquence, on aurait :

X. •

v,
ÿ
-'-.donc
2r,
A. • -r-
2
Si le milieu est dispersif, un paquet d'ondes1, c'est à dire un groupe d'ondes
de fréquences voisines, décomposable au sens de Fourier en composantes
Ce qui n'est pas vérifié
expérimentalement l'hypothèse est
sinusoïdales de fréquences différentes, verra chacune de ses composantes
donc fausse progresser à des vitesses différentes. Le paquet d'ondes va donc perdre sa
forme initiale lors de la propagation puisque chaque composante sinusoïdale
va progresser à sa propre vitesse.
I II est rare qu'une onde soit
purement sinusoïdale : la notion
de paquet d'ondes revêt donc
C.5. Autre représentation de la propagation
toute son importance d'une onde
Il est possible de représenter, en différents points du milieu de propagation,
la direction et le sens de propagation de Ponde par des lignes continues, per¬
pendiculaires aux surfaces d'onde successives et orientées dans le sens de
propagation.

OI Chapitre 1: Généralité» sur la lumière


--- -
"T—
UODV HQl
- ÿ
l'OO n~!3lGn
Ces lignes sont appelées rayons d'onde ou plus simplement rayons.

Dans le cas d'une onde sphérique (voire circulaire), ces rayons sont des
demi-droites issues du point source et perpendiculaires aux surfaces d'onde.
L'ensemble de ces droites forme un faisceau divergent liç S.b .
Dans le cas d'une onde plane (voire rectiligne), ces rayons sont des droites
parallèles entre elles et perpendiculaires aux surfaces d'onde. L'ensemble de
ces droites forme un faisceau parallèle s c .
La représentation d'une onde par un faisceau de rayons est un moyen pra¬
1 Voir à ce sujet le paragraphe tique que nous utiliserons avec intérêt dans le cas des ondes lumineuses1.
B 3 du chapitre 3
Surfaces d'onde Rayons d'onde ou Surfaces d'onde Rayons d'onde ou
sphériques rayons, planes (propagation rayons,
(propagation dans perpendiculaires dans l'espace) ou perpendiculaires
respace) ou aux surfaces rectilignes aux surfaces
circulaires d'onde et orientés (propagation sur d'onde et orientés
(propagation sur dans le sens de une surface). Dans dans le sens de
une surfacel Oans propagation les deux cas la propagation
les deux cas la trace de chaque
trace de chaque surface est une
surface est un droite dans le plan
corcle dans le plan de figure.

Fig. 8b Fig. 8c

D. Propagation des ondes


électromagnétiques : cas de la lumière
Avec quelques précautions, nous pouvons généraliser l'étude du paragraphe
précédent à l'étude de la lumière qui peut être considérée comme une onde,
à la suite des observations de Grimaldi interprétées par Frcsnel, et comme
une onde électromagnétique suite aux travaux de Maxwell.

La lumière torme une partie des ondes électromagnétiques, celles qui


appartiennent au domaine du visible.

D. 1 . La propagation de la lumière dans le vide


• Nature de l'onde lumineuse
Contrairement aux ondes mécaniques comme le son ou les rides à la surface
de l'eau, la lumière n'a pas besoin de milieu matériel pour se propager : clic
se propage aussi dans le vide comme le montre la lumière reçue des étoiles.

15
/OpyrighOwr
«w vt.vr.tj tr Jwiitit Wot» devont donc bous imejrcg&r sur .* meure clî .la perturtjaoon, c'etl i
B.'riJi kc» lâv :i;n.:/c iiï-; îwtwci' w qui, dst» le oas d; ta Ivaj&c, ;orv«j»3(d iribnÿûQj» c'ait
V. cjiu sn
it cet dr-s oïiwi mémixiques,
ha iHfMt «jvWikl 'ît
fctei»HL La de MftcwfcM iodine que le rte-atœuwai dr toute onde itftranv-
magnifique. et donc de (j liyraère, oorwaporid 4 la propagsôon d'un cbitiip-
clç;c>i-iuc cr d'c*> clwnp magnétique qui ojiii-çav cfwÿr. «vcc -«oc ÿ»ç*
grande tréfiuenec, de l'oidx* rir 130 ié.ïirirrte (10'« Hz).
£ Mirix/r:*: tr. M-.t07 rj.it.W,
p >'*k:o tfi.i *&-'*:\*r$V->, j»? Lu pïîtm-fc-erian <J\m point du milieu de pf.09station ACtei.i?. pc; l'onde
Il vfcrtw 3. U fc.'.""!.-* :it» un» Ivurctcum, de &»&iijetxcs élevée, ®k de iwoKe Ëtareiqucs er couraétique.
flViTOrCfi dsfuteiff 1»
Ceerc piGénéré éLoemqne «i de l'ccd? lurcineuia «étt rsii* par
la Mi;.rcs.

* FÿHW&tfWîf&ï At L'-à&dkî
Daas J: Ma di< vide, raws painrco* dedius* cl: L'i rWone de Maxwell q'.n cas

»>pt«m'C4:iT«* a.-* ;tJ fc


rxiuttps él'fWïiju: r-c «ar-jptéc«i»ç s?- dfoUeeaS iz réirriîé t ~ —
— ÿ—i—,

-
la câléme Voorte éJev.Kor&flgaéïKîws dans le vide. r>0 s: (~0 dsa
•: >sr<o c i."i ïfoï ;est
« 3p*i»o » -rCoK» rcnstm'ra foittLiaiMitalc? Je valeur £0 3,6541976 17- itr" F/m (valeur
îrcjriM «si k fc»a 3a -sjiy.r*; ft i«. « 4ÿ • ÎO 7 F/a» (vafever esSute) .
iïu::«3ô te
fW.xÿS"? m :c*w !iB>ï. Ai«ai « -ÿ
'C.597-32-15S • 3 G* rÿs (vsleuc exacte).

ÿ!.
>* ->-*ÿ, w: La célérité de la lumière' dans le vide est :
çi'iÉfJ* e? .WK-C-.Y:fli<ÿ W - indépendante de la fréquence de l'onde lumineuse,
>.?' ill* m: itt indépendante du référentiel galiléen d'étude.
••

p.eâr/i'îx *»>!»:. 'iBn.'k»


Le champ électrique1 E est la cause de la plupart de< effets de la lumière.
«tuai Ai k plo»j«
.'.c.w.î n't -.-«.'Bon
?i.n.-A+:a|5 w>
L6 cncoié, ronde Icumnÿtie téellt: tv. se«veot quelrotiqiic ï-rirr. bfisw»e-
:nent, txîtt? wide érre décrite cottatte tC'i iupfci»KtC30ti d'ctvlÿï s-liî/«
ptogieesivra eipitsaTdalfS* (où dit r-ozà moPiKÉo'waa.dmfM), à Ti«rs£e dx: t*
qtw i/i/js a docutè i'«jïi.?âe de Fc-une? jxivr déarire uc paquet, d'ccdet roées-
' irÿÿf w ;a niqafs. Les sxdrr, pioj<î»sivc4 ï«3n?ucoquCT. jcocot dot» VS\ côlc
»"«•: :.x* ÿf.xi 3«r; i» ie. première irr<(Wanee.
"iifc en ->,ço:rf IrL'. cir.n
js».'î4 f.Kctet .t Sa .praioire leetiire nova admerayns que 3e cfiaraj> è3e<rr,-ÿre anaocié ft iioe
iv&* -Si l'v.kiSiÿiirtoiQ ende Ip'uinettt? ••zwnoclwcinsjtîqw de &éq»fticp », v? pîojr-ageitic dr.u» k
Mÿs:3f.fi'ii *« (Ml U'xiîrtî vid; selon l'a-4c C'a. rat Pÿne-ftacl et yeir: f mr%b? so.ie. h. frwa«r «'JtvtUrCr :
F<»1: >ÿ Al fXvWi i
a: |:H: In y-tâit: :k arfîot
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vïÿlar.. k iïrtjtvicn eue «
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éci'turr que iioits «ÿycn'orirtcÿ» cj: :
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*i:S>îjlij>c* ÿc;<»a»feoÿ Jîrii
wÿ*,ï) = a_ cos|2tïÿi-ÿj|
"isf.B.ts ;xui tecn$U>i ot'ffn.w: ;>otj une nvit: w?greztï*; sînuswtek é. Is surfaix- Cx l'eut'.
4foe5-.-i*'« *"r"C'l'x *t-
irtvilje1*», iri à. r<>>rswe a do* diff'tienees de coaipoiienjent physique appsrolnociic, |i(« ette
nature- ejîcéttKfiKût: difierenc» oie î« oiwi». la liistiéK cj'k; 'ieic-e'iK pc>
requis war code : (te îtcïiuto té AéKfaticKi» d'oude progr«»i«, de 'jvife-rt
>8 :e<ts*;«ft4v i» "erçsÿjt
Jf If ïifcrsCj»! k-w»-r« : «r* o d'cmdf, de pfoioik qynae/e À frt de p-ei-iodf: tko>potelit !TobMfiues pc<jt i'cndr
y.w :r,V k. ptr miîi: <VAt.:. raécanisue tranevswale «mt tranitxraaiiK- au %aa T'snde iunvneuse.

B
I

ICftfpfr* > : 5s>«i'f I5P °v m -i;f.>9ra
Pour wne radrattra êtectromagastique rnonocferoToaiique coftïtàérê?. d»m »?
vide, nous obtenons la 1wÿwr d'onde associé* par la relation :
~
> - -. :r ~ V - — j
ir* :f if if -.r* -c* if ir2 ir' •
«v *.c2 •? *.stS
vfrevx** ÿnfr*rw#* : ondac Wûtf nn*t

; micro oÿdii
rssftrrcoM tfjvçkn
flM*ici?«t IM9*.0fe9lHDn ; HtftWCto.
rÿàDtâVeiûri

ïvy.i - iJi W* - Ant w ïrÿr>.'ft #*.'>* .vr *g:V$àçi;f


**
D.2. Mïsm &:? k de fia
La v?vwsç Je (a lumière dm? le venre n»'esf jm l? mène desi» l'esu ou encore
ds>.i« Pouv sutWl, er»«: vivrsw: «S fèï '.I TO «CtW» d&tW ne&t
4 îeÿiV* >>•« l»V.
lUR?ieS?r,HtJ=1i»«Kt &nwisaï*Mft«>e proche, iw perçoivrerc psi l>j ;i\>.rée qui afrpwe ri&swai d-
l'éausaioxi luzniticusc tic l'a-svant de su wcepiion.Tcui ï-ous 1st?** ue/tse? que
lÿî litfctièe S? vf cna*iiè\7 înfit&ntaDcf.
Lu jarwatère ffntsTiv? de raeso/e de la w«se ,k- U biùvèw es» due a Gabtée,.
s«z«s résultat pxobrac fr.uce d'ù»2iïi>m2ni de tnesure de? temps adapté.
1. CsVfe- JJ'aiw -A3*V<«r> Ea IS?£, o obscfvÿÂi» 1rs 7ic:cÂ'&ï<ons du aateJHîc h; de Jupiter', k dormis
!8M « r=::V *-j h fcvx> ik1:! > fe3»B,er remarque qi>? lea prediction.»; de i-es eccuJiftriom awuiBactH tu»?
!wÿ *•» 'an j»
xv' une; de tïïHpa quand J? distance Terre-f«pitcr ?« réduit, c! un retard de
ttmy» lorsque ceîCc dîslsm* augmente. Ï1 se sert de cette iibscrvÿoois pçvs-
c«.V:(jJ?r- la vu/eu* -la fe vire «se de I» «uaweae Ltt coocJuslcas û<- Rôn-.er scat
que le 1-JiiïKrt n;« ottz« fnisju'.cs pour 'At-. c»?>st égt! t>u dÿsni-diuiaêtc ds
l'crtiie Mr«5Q<, «<it <\.v: cMfriTï ». «• 220 <SC0 kût-ï z\*<. Its -Kynrtéea c.<«aiuK4
t ''4ÿ <:r*. :«tttfdnaKixiie i ii ï'ê{K»qv>î, >?f mi écïre reisdf1 de l'ordre cV; 30 V» rapport à la. valeur âe
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foskitt dea fctnsxeuea d'onde, en choisir ta kmgjieia- tfsctte £aca te visit1;
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M35ïû Ifrrffuw
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Chkwure de sckKïuii

Verre 2 kiecne
« Fbiyro&tiseryfaf* ck toélkyk :pkwjfott

iLe» » mm tfca oceanÿnt ' Fa»i\-tifrofit?e :verre oifcicdqoe'
«ptorçk* M on piiÿceroonaffl
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JAC «fO*> &J*M. i«Wi l€Bf i«* <ï«fl , Air aec :.£CC293
«iftlMWM MMpWJftif filUSoe CHn?ydç <k rasborji
CfWrt a»**.SmI liwrs
rfeoeà nK«t à ce Etfctac dsn |S*v. ••XCC?ÿ

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L'innke de Vvh vtuc padQaecneAl 3, ce aui otcnerî que la vitesse de la
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ftjn-'Cwi litur-re.* e; {U'>tn<> ik; h. frequence ik lr$oûe.
r.i.li.-u- >;.i :k j'-Ii:"
A l'csaftÿf. J;a Ssblcau pwédcr.;, :»oj? j-cir.aiqiiem rçue '.'indice optiquî au?-
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AiOt-i, rla>~.« j«î m?!ï).r =îh:-rj l'.MiécvI ;i •.'ïiérL'è ite. La ;d.in<ir<u*


l&rsque la fréquence luj.'ÿccrts.
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fkr l-.Aittwcï poLyr-JwooAtir.-. * wa; chaÿnns dv »« ct?nt(*>-.s»?«


pnùnc-:îur««u!j<qu-ii pwgÿie'- à sa pseprt vûïîse, ïC ce d'autan*. plus que le
milieu J»1-JS «îiepavsi;, Cr.<i fttvCfitT. d'?x>jfv.}!:rt i'sic <A ôc> un la luio&t:
Wpsiche est diaperesc par its goutva d'?aj -Je? nuagea l\ en va de ipinw de
P.njli&eikiU à~j ipr.co-oecvjii Si; î&L:c\âîûi»ÿ ».i k- disjx.-i'if c*«» 'f vçfvc
c(Mîur.:mRi It- peif-îse.

f LK IBûilUi'iii! ?»l£ tv1. ..acij,i


Nou'î teÿr-ÿjone dans !t :»b'r)R pré.rè-i.-t?» <ji-ÿ î« '1:: l'wnJlve dr.
rtïnizcifxi d'un: cxfrceiùé il'autre du ïpïvirï. wiï du bJe« ÿu rouÿt.
itubl". r.i i.'x-f. oït-cÿ-uï» nxc<yri*ine r.ufi'l dï-ri? Itv iiirayxcsÿ t-î>us puttvciw
perdre uiî v;ii.%;r J-- l'indicé.

Nous |Sûitw-as (®uy ee«wÿç valÿsi de i'iisûw.ÿ d'an?- scb*?aiiï.*r î«»


indice currtîponduiit a Lu r»ùiaïku: <ju:»i du sodiuRi.

cri;.ii<o In ;irn>
* 'Li'i rte &!'«!;'-
ÿ 'ou? ie.3 vpiÿea d'optique. to y;tibte, Cauch.y s> êTa'oli M reiaron »{r) sui¬
vait?* :
aï?») - /ÿ! v
— . ou A ec 3 sonc ri;» soraxantes positives

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3-icditt? c2fî? «J.'dîJtfe Crt ri'RVtiOÎ plï« fti'tj'c W- lù lOKglMHK d'tJOd»
: CO! î£ÏOLfcC,

» rSti«Jn«ff ÿsJPd'JkUï
(ÿâttc tyirtfji'a ia disçtnion r.s" p«i-;ÿ,ifiî7TfnKH ùnûcrwnfr: join- Irf
ve-res de vue tt 1er verres utilisés dans 1er laboratoires. Au£ii4 ''it sritéte
iiuitt4tk>ue W. as60:<i- à ICOI ïnjyîtç OHûspaîWCe aKci fit- "[Ryoirîi -lir «t f«-
ï. Lit «iusirti* <;'!»• wr» MMCOx l3>a,Cf/JiV- On pas , c'ei-f. le nombre ri'Abhe1 c( dftf.Oi Cû«il3T* suie :
ÿ'n|fc;»jsM's no llfifiti- :nc 4 o-:*i p_
_ t
»:#;« «& iw ïtk'w. (!
fati «»»! ÿ -BTiiw ai v»-pt9 s
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notations coiiventionnftifc* de? indice»


aViitic'j v*f» de la substance pour les lo:tg»ieu?s d'onde ».n ft, ~ -
pjw pou? fa radia-

'
*ÿ"-<**•

pour te nà'miza toygr.


- y
oo« }ji>ne, >.r Âp = 456: 1 usr pour » radiation «Me, ft, fcu $363 nru - -

' Milisu _ Nombre d'Abbe 1

V-r.nr. rir. *yr>' fin*:


> —
VïtYi 4e typî CrWftl
1
Vztrt A luÿcit* 'ftd-cc 1,3ÿ2

Y- ci; é lucf/.fc- ûiir.T: i,5


ïtrtyaari-onaw (verre crsïr.içuî)
w « 20=C
a« if.r.- A û"C

:*. !*j i' f 2*t fit>nb>- J'A.bbf' csMv.-iorôe i- :ait-s»ï ù'Uîie aÿVÿtatto? : ?hs !
C*è«. ci? c&fcKjr 4 •«, !î [yÿÿuix wî tifVrf-, ïmAni le «t tlwp.-yJX.
f!iwv.ri e»î «twti黫w»
n«.*, ;*:. scii:Mrivjr li3%b
t:«vrrif* frv'A. «W? t>ft »
«ÿ.*>„ a 4-.5S io«k4:i<i ee.itr»
JVX d3cp£GÏ-.'&
Oû retiiÿuc que l'air ïC l'tîu son. tir; inilveua yci diepersite :iiouï pÿuvÿais
donc wtfjifs.r la djsfv.ÿn'jti dar;ç c.« uiilijr-t# lorwiua: la iwmic«t: Its

* r;<2uii®.;iis CKni'Vjyuvjtî
Swr(r OitpetSion d?s vfntÿ-: tImw îaji qv'ew* Ici ix:îI!k: dire? le- ve«e jrlfttl
qui. ris «se îai»:, a -w ftel Asifeiï.
iîiverre» s lunette d'iudiee élevé ;c le-.- • verres « de vue tsi poJyuarixtitsie
mmtî îontonokt riitpc-sifc. C'eist, ftoui l'ïastior Kiroie, fr pf» ÿ i'ayr' ikiju-
vertaetœ c>es coet&:«Jow de vie ir»pona>Jta îwris uî. cas, ou pour avoir rier
\isim iv.gr il dvi? I'aVfTv rss.
L'essentiel
/ La nature de la lumière
• La diffraction de la lumière est une preuve du caractère ondulatoire de la
lumière.
• Les ondes lumineuses appartiennent au domaine infiniment plus vaste des
ondes électromagnétiques.
• Les ondes électromagnétiques sont formées d'un champ électrique H et d'un
champ magnétique B se propageant simultanément au cours du temps.
• Le champ électrique est la cause de la plupart des effets de la lumière.
• Une lumière monochromatique correspond à une radiation lumineuse d'une
seule fréquence.
• La lumière transporte de l'énergie.
• Dans le modèle corpusculaire, les seules énergies possibles d'une onde élec¬
tromagnétique de fréquence v sont des multiples entiers du quantum d'éner¬
gie t = hi> avec h = 6,62 • 10 u J s.

y I.a lumière dans le vide


• I>a célérité des ondes électromagnétiques est une constante universelle :
c = 299 792 458 m/s.
• Une onde lumineuse progressive monochromatique ayant une direction de
propagation privilégiée (ou onde plane progressive monochromatique) est :
- transversale
- de période temporelle T = —v égale à celle de la source lumineuse
de période spatiale, ou longueur d'onde, X = c-T
• La célérité de la lumière est indépendante de la fréquence de l'onde.
• I-c domaine des radiations visibles par l'œil est compris entre les longueurs
d'onde 400 nin et 800 nm, respectivement de fréquence 750THz à 375THz.

y La lumière dans les milieux matériels transparents


• la fréquence de la radiation est la même que dans le side et elle est indé¬
pendante du milieu de propagation.
• L'onde lumineuse se propage avec une vitesse v plus faible que dans le vide.
• La longueur d'onde s'écrit X = t»*T
• Pour une radiation monochromatique, l'indice de réfraction du milieu est :

\ . = . Un milieu matériel comprime les longueurs d'onde.

• L'indice de réfraction de l'air est quasiment égal à 1.


• Dans les milieux dits dispersifs, la vitesse de l'onde dépend de la fréquence
de l'onde. L'indice du milieu dépend alors de la longueur d'onde.
• Ixs verres optiques sont dispersifs et vérifient la loi de Cauchy.
• Le nombre d'Abbe caractérise la dispersion d'une substance.

Chapitre 1 : Généralité» *ur la lumiero


43 -Y* c: Z <;C BS
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>taj.srri;i»ro!7Jrs «rit dices At IiRnuttiafet. Le liumêrç '.jiJcvi et k cc"![.»«.- à {* saKw d;<
ÿw '."dtv tf'ua i**-î <lc libosawj» dwti z\> Ce wt.itt m a«4- vîî î«iec«*j î*<«r t'e Jÿ>
k fyaexni; t-i perjiOcfctr.îtetet é. ikc**». L'owïtwuc
tiaulsùc, cle dkfr&v 1 nun.ss: plwéi- b \r,n .iatsirre-
giiî ur d'ÿr.c i'. -
«I.î« Lututêrc il*»! le -.wn ewsm.
k. vÿ-a- <i?

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5<w te /««w dr fa Iwrtïêo: <tew k vite.
î3a.-» le <ok»ï'.: il <v. ÿcrit :» ?!>« « 'dv.ttw!
'i]j Oualko jar»i'siont jv-JÏ-rai faire .cjure»n«Kjf la rti tlcît, mftici k tuîiists «l 6ie>x.ort:* >
ÿiwe-woi» le i» n-:nc w." f'fem en utifciw; k cctie cc-iÿlueitir..
îtusk-k il" wn lumii'ci» rt'Èmiide ?
f?> r.j» esutabrc:** îwuî k.diqi» <jvt 1» tache
tanirai-ï tic rîitft*ctiw«, b}A\-,I«. Hcb »3*ubc Utv: onA': ÿcùswïîivf plane r.-.tfuo.-bÿav.ôçiie, c>
gtawk ûu?«rane.*. çt. ÿoiiid, c»- «ivonvêe «l'un i'-tiivav.r J'cittlt à « *• ff? T ir», «c yi«,vÿ -.Ut:1» k
mmwbu cwibr: «it1»: k «/inflate: 1. vu o'cpiiie '.«iûd. À i>i«r- i«isi3?Jt ?( v.-o vATtm* ehynp SectTviitr. B
l'ouverture cïix-.U.ûtt dïftraciante, »»* Aortrv»- êat tel 4|« (£.3(11 fî î* ÿ1Vvur-»Mv(»unSeA Ctf.'ttate-.-uW* ;
relation sit <t> ~ i.ï'»7~;
JK
où j? s-j'; k ;.avoo d: ssîte
Ave:: >.<; iasûiunent sroiïfefc au c«<c»4Tivs i.'awpih»i£e 'it wjt !&"'• V'rtv. >. «s « tout ieux e-'ÿi-
ât mi1!(m&re> wi rr,e-t;:e le <-i*rt\dut <& ce premiss-
— -
swneeu erc «s trouve •. d àt <f mxs.
Quelle w: k icugiKur d'«idc At k (tmaift éniisc
i3î7?s «vola t\; fawv* la vir-wie ,1f I.» Iiirr.'îr*c
i.- vide {c = "JO»J OCC i/ïi s1

p«* («: iee-«.r, s* couloir si s» > ri Le îïèciue/Kî N ie l'w.ie «: :


l.Wÿ- 10" B?
ï) CnJtiriî, it- diamètre it 4e « tache ce/.trote de dif¬ î. h: - 3 1C;? Ko
fraction à*ifi« ÿa/ wxir wictnune -.ârcuiîirv- de. dw - -
3. N 3 10" «7
;t#»t 4*J .'.ïûi, éc]fcii& j<ic «nî ').vi3
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2. tir* feecjjœiiçcs tÿdioélctitïn'icï
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s.) Diir.en.sioa (fc la write sur l'écran dsns le modèle d'iiuclidc.


Dans es models, la lumière ss propage en liftne droite te ;onç de rayons luniincv*- T_'numture étant
cciaircc tri luirticco parelick (noéc plane), 1rs rasais iu»i parallèles entre eux. La tache aurait donc
le iïiTêïe de Po-ovcrture CtrCclace, c'est-à-dire IM.
fï>- ' 7_onçi«:ci d'onde de h. lumière émis* par k l9£«r :
On £ tan (3) = ' avec r « £ donc tan (S) = ~ •» « et sin (6) = 1,2? •» 0 ce qui périrai

lÿure Cs diffraction tante car una ct'WWrç


Ci:Culikd. LfiStao. pMEftMT*
ouvarliae .->cul«irn £wtretir4s»Kfc. la? échelle» nt sootpsi ni-
iwsttos.

Cwnroc la fréquence de cette radiation est lz nf.rac dans le vide et dans l'air, en z suai
i> = —X, = r <=>
ÿ
X, - - .
»X ,puisque ft = -• Ce ici a 1, dcr.c À, = X. -
- '
X v v
Cculeuf associé" £ cette lumière : datts le spectre sfectrûmagr-ètiqiis, certe longueur d'citô? cor¬
respond à celle associée à la couleur orsr.gs.
•IFréquîrtce de la radiation associée icerce lumière : la frequence de I; radiation est :
...
"-
, c j - in«
v = 7 ,
/• -
1,33 • 10" 31s.

--
*, 6,;.4-tC7
c) Calcul du diamètre de la tache de diffraction

---
J.a iclaonu <j) donne :
2 X 1,22 X x X D, 1.22 535- IC ° _ „
ÿs2"fr * * 0-2 «7 #
™ = 7iÿ'
ÿ '*
:il> Cuiœç de Seÿleigù.
S>ir Vécror.; Ure centres ci, et -i- de? dew* WcJ*«es :1c diîmciior: ÿ-epÿ.serjÿes r>-fCiiv.e sent. au moins
disiïii'S du rayoc ajiÿulaitt 0r du twcmict «aisaoi qui est dmr-n«

\ *\

Ce. p-rui «k'cr co. t>!m Cl'ku if «*thyîii'W) L:- pii-pài-iiMm dï raiïo«.op;c «c la longueur d'onde e"c
0)01.1 C'j.nr. rf»"s 1.1)1!'- courtes du -(.viTu f':<i;T>ma5ÿittii}i;:. $. f.or.efporidWs i> 'a rociaiiMi Meut e#c ainsi 1
l'flflak le pliw c<t-T q»w IVn p'jute coienir. "1er poins images «ffioirs cspsoc;, k pouvrir siparstou !
ce l'ûiSCru/ÿ.uï cal Kigmen:; «s; Iwuiss" b' * ut <.Jr utefer
(X -il'/ two).
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qu« !e milieu *2' diipemi'. J'.'ions k milieu *.tst. disÿrriî, piu? l'éigr ciuixc -ip ."J_. soit. >)p -
jiî/ï petit e* donc pVas ic >Wiribii.- d'/ibbe 3ÿ-ri psÿd.
;ÿ)/>•
3vlO;j Hi.
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S* lï;tj*hî&; »i îm Jf >y_£'.wrur ii'voJv f- ~ <fcï3 lira ï;Y-£?7:<t.vc av dttHMâv? rfuvâfrk Î3S'> i&i;?iiC oxiC
«5 K&stëtf** )1 «t li clci»; &<*• «mxlaa» yiî&lqi» icit t ;
.Jonc y 'te + Z? + *) = c';e, 2xi ïy <• i c:?5
ÿ*

3E
CHAPT

Lois et principes
de l'optique
géométrique

Introduction
Apres avoir abordé la lumière comme une onde, et mis en évidence les propriétés de l'onde
lumineuse en montrant l'importance de la notion de surface d'onde et de rayon d'onde,
nous nous proposons dans ce chapitre d'aborder l'optique géométrique comme approxi¬
mation du modèle électromagnétique de la lumière. Nous préciserons le cadre du modèle
géométrique et la notion de rayon lumineux nous permettra d'énoncer les lois de l'optique
géométrique, notamment les lois de la réflexion et de la réfraction de Snell-Descartes dont
les applications sont nombreuses.

Plan du chapitre 2
A. Le rayon lumineux de l'optique géométrique 28
B. Lois de l'optique géométrique 29
1 Les principes de l'optique géométrique 29
? Lois de Snell-Descartes 30
3 Loi de Kepler 35
C. Applications 36
1 Formation des images 36
2 Guidage de la lumière 36
3 Propagation dans un milieu stratifié 36

Méthodes
L'essentiel ; mise en œuvre 44

Enoncés des exercices 49


Solution des exercices 53

I
A, Le- .rayon tu .mi noua ils 'Asipçtejwfc
9&c>metrlq ne
Lt.3p"-".,cC"-î'. p!vÿ->/--;ar iw zf.fjf.vztv s l'sr.vceiiî- 1) 'ju* Vtrpfco*.;!* jewne.
ivujuf <r:'. un* -*f ''oi>t.\itvr •-nca)w.-.>± n )a Js<zi4c
k <l; .yï.iicfC rît jtcîiîe 4CV2FI? le; itffiîsislw. C«rac{C<fr;iqil<2 d- fCflïCTl-

. Nous u«l(--yi: «ci impiicitt.Tien: (îics csr.s le âï5vé;ife- ; h •'.< s,. eu —


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rrfprôrjt ri- 'r loo:,nu/ J'prHc rtu* surf»MS d'Crtdt


,*. If !""<(?<£ in?i:.'?n:E, plue !»
îli/r'ÇIC.-. il.lic >ir. r.tfll.rdriaiî- C"oK de prdTîï r«j>r.s?:!fl<ixi& c7 oâlzt'îï'.i.-
nent ç'r.' rdêvé i? rojyifajue jeooietcQiie.
Dans si xncauon. ce 'aiicxin pas une ourvuo.-e (lih&bntgiï\é)T
grâisrsCîiucric rirr-iloirc, 4e cûsrticce U.
D'v.r» pi!:V;V d-; va* -rzïiz'tc, -.vsM '.;î d.ïtactrcs clc-ï "Ai-:1 r?re- i« plu >
i BîijEéïï- çji v ov." i'iivÿl'TJïi I» 'JrowtL-iï: uaixcfivig-
•rçue c>"_ eyirtaic of cgi»
F\?\u' ir cn?b<z&r.- .Y'js> ??:c-:csry(3l-.i;jvr 1 tdrîv.
0«i pcur-ex ytf.ïir eut le-: Pc.tirf ic ditpifmg'xc d: wd: de 1ÿ (uffiic:c laser au lac->îf:oirc : 0,3 mm2
iKWJÇ.c det ciiysttixe; toftt
rSom'i povf qu.' !>? .isr.di.vcii
i» ?ViU£ i)ï?.\Oi>£ lé OiÊ J',.né i'AC.V,é>* ."CL«te Ar. IcXgUtL»»' d'epde K "-Ô0 ï-fï.,
parx: .îa plus grcr.csé Icnsu?.::r© 4" er.de viiibLis, i:oJi eb>:r.or® je p'.as pÿiiv
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>s l'vf.lirj'je aècw3C>t|U3 çoieAî
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i.Tit 3- 0.*: aie.- Wi-.ns fjn.ÿ-e jojvgvxcur i'enc.e), If condition*
3 dé vaji'dtts df l'opuÿuc %ki/te>*xï.\w ;o;it
9 ei/farftrs <3ï«-ï<><Ja téi; un» v£*«f.ées
jrfniû hffcilai? fcîlimiju» poti'
friç "W:,n<ç L« iktscÿr, ;-iaixi-uir ,'jsy jet pfriur V'ivt; cmitllet rijÿvc- d:- l'op
"-J iJwr. c. css. rraur. pouvcis ea.-zîr Ir rnodî-lc di ïs?i>ÿ
juc.icf.u:

Cuti -..xf phjid'.iu;:


i.aiiz urillÿrÿÿ
n>ûW.f,rjnr. :>,sié/.ca:Aq»K,n\fiil'.. p-ar pont coo-.pirencr? 1a ««.raaudiv
d>3 ce::ï j'appaici! [''no<c;rapH<juc i:. Lce rav"C4s aaeêa, bit.';
ajV.'.u'ii 'i;ï »£.\-;."is .'Ah'.'awiAï», H»i»£ ôr.~. dif.nU'.H rr:i.xh rra>.» i<j oi' «.? r'iiec-.u dc>
rapve?;$ c'écaéllc c.r:rc i:? dûmi;rc D du djaptorascx? « Is. Ic-r.guÿu; J'i.-.vi
ce ia .uinisre ' — :o J I.

jtrtï ltC;.Mi.sil phif |-h.>tu;-. i«î e.»ï. ôi.f n.ip w.'.


âahëwiPçjî e:- ;cjp? arttomac ci-vcrrtr?. fob|©nif -Vie*' Cfi VÎI1M
Arr*l
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rn.-ç-, «rte <\i« abie' îVfi«ni le ï'a" 3s a
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îtllicuio. Un diajUrarns :éÿIeU2 pia:i d;">i«î iî
V?..')":- li.r.-f? le q>e.wtf{ <S? q<» «ÿir dev
r;«p£fei- le mbvr incité dâne le i/kcwj "3's é»
jvtnÿiÿ»',nie -vii:- u«i uLisir eî ep.lkv pp.'î I'g<I
-.'ciiViif< a* '»«?«
-u »"i«ï' l1 llDc.té<r il> 9<ïi;i,;?
jug pa-idj.iî u;»a laib!? tfuié? oiand l'uiiluiles'
îipo;î suf it feci-ÿîtitur. s. ?«; !.wai(. le i.no'ti
T'O l. *>xw «k l'S-u j iM'P-nëicï'r'î »'» ltfll<*tj« — I «)i4t

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• V* /• •
j • V.
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Nous comprenons fort bien maintenant que le modèle du rayon lumineux ait
été découvert et utilisé par Euclide il y a... 2300 ans. Ceci est dû à ce qu'il
vivait, sans qu'il le sache, dans un monde où la lumière à une longueur
d'onde très supérieure à la dimension des objets qu'elle rencontre. C'est tou¬
jours vrai ! Il fallait la curiosité de Grimaldi pour regarder l'ombre d'un che¬
veu éclairé par un mince filet lumineux issu du soleil...et découvrir la dif¬
fraction, qui nous montre que la lumière est une onde, dont l'approximation
est l'optique géométrique.

B. Lois de l'optique géométrique


Ces lois ou principes très anciens sont fondés sur des observations courantes
simples, comme la formation des ombres portées courantes ou encore celles
des éclipses de soleil.

Zone où
Cène d ombre (eclipse de Pleine Ombre propre
do la lune soleil est totale lunuére de la Terre

Soed
I Ce principe va h rencontre de
la nature corpusculaire da la
lumière. Ainsi, au CERN, dans la Fig. 2 L'éclipsé de soleil met en évidence la propriété
machine 1ER (Large Electron- qu'a la lumière do se propager en ligne droite dans un milieu homogène
Positron cOWlerl on étudie les
collisions entre photons.
Cependant, les énergies mises e
leu sont sans commune mesure
avec celles de
.
B. 1 Les principes de l'optique géométrique
Propriété 1
Attention :un rayon lumineux ne
représente pas la trajectoire des
Principe d'indépendance de» rayons lumineux
photons car ils sont non Lorsque deux rayons lumineux se rencontrent, ils n'interagissent pas1 : un
localisables et n'ont pas de rayon lumineux ne peut être dcvic par un autre rayon lumineux.
tra)ectolre au sens classique.

2. On distingue les faisceaux de


forme cylindrique llig 3al et les
Principe de propagation rcctilignc de la lumière
faisceaux coniques Idivergent en
fig. 3b ou convergent en fig 3c)
Dans un milieu transparent et homogène la lumière se propage en ligne
« est l'angle d'ouverture du droite.
faisceau conique.

---
En pratique, vu les dimensions des objets qui utilisent la lumière (verre de
f r lunette, paire de jumelles, miroirs...), un grand nombre de rayons arrivent ou
partent de ces objets. Nous considérons donc un ensemble de rayons
lumineux appelé un faisceau lumineux'.
H
— : L'application des principes d'indépendance ci de propagation rcctilignc nous
permettent de conclure que dans un milieu homogène chacun des rayons du
Fig. 3a
faisceau se propage en ligne droite, indépendamment des autres.
Faisceau cylindrique

G oc
opvriancsiki

M
lîllirpi

%ÿ îa là &mfea â£ïï?i 'è£ d&**•&! fe dfsaiSrt ÿ feÿ-wfe. ;§fSt la «'OAWjJk


f¥flow8 Mates® rate?? fc ra&rrg î*GtrSr= mzwxq qtfï,ÿgîtog4»a ÿjÿatr 3e&*
£>Àt isÿi; Àf (x-'.W'jA! k-#C£éà*? ÿac sriB.ÿ- 'r.iîçrjiî i-s |/i

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**K»iî&û»&'a fcxrxz nxtowxn: i.:
fcêa«aA6îrii?V!
- xiK eo,lç pèf »iKafiSfô, aÿë&à oùûd sâHfeiteo j vvfts* «jdù >«
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cvftrM-c,. pâ «fc ÇEé€i «is t$ &«5îètS&
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H! fliTCèf SS îtfWirW. jK2k &0&A& yasfi'à 'àfjràr wm tfM&.tv. tfe *«;£*£© p Îÿ-Icï! sk
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30 ' -is>!ire î :Lr«


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rif'û.vt!•ÿ • :1'|| ,*i. viO'f «|„ -Ilir - ,
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SKÿîicti ifc- iî <:kvi; ii srii-rx, i*
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Figire €«li5!\» ûi îraité lia


!te.os*rtea lHuatMrdlf< i.MracCk-ri 6*
8 - RÈflexifln sur tir. iiofit'e nii-nnu
U :trtW>f M-u "ji.» 'J-ïf-ji A9iJ.
fr< W.*2>v.9ir! cixr.aa n 'a iioitifÿ
y< <*>**«* «* , »..«< *. BJL.V ~ 30® la ﮣnw«3wa
Oïstarrak ootunt I» loi d* «
i4<r*eii»n m»là cc'rt'm ÿ:h lx
Kcn&e va r*« «S* dsis i'*w 300 l~~"
dai'ilci;. FiaMwieieai'on e«r>Afi- I *ÿ*
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ms.Vj'o-npÿ on Wiï jj*
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La loi de Kepler est donc un cas particulier de la loi de Sncll-Dcscartcs pour
les petits angles : n, sin i, = it, sin i. devient »(,!, •= n, i3 et on peut alors consi-
i. n,
i. Cette opération est dèrer que : — = — .Nous avons linéarisé la loi de Snell-Descartes1.
fondamentale en optique '2 "1
géométrique comme nous le
verrons dans le chapitre 3.

C. Applications
C.l. Formation des images
I.a notion de rayon lumineux les lois de Snell-Dcscartcs permettent de
et
comprendre et de prévoir la formation des images, ce qui permet la mise au
point d'optiques de plus en plus sophistiquées. La formation des images fera
l'objet du chapitre 3.

C.2. Guidage de la lumière


Les notions d'angle de réfraction limite et de réflexion totale sont abondam¬
ment utilisées pour canaliser la lumière :
â des fins esthétiques, dans les fontaines lumineuses et dans les lampes
décoratives ;
- en médecine dans l'endoscopie qui permet de déceler les corps non détec¬
tables avec les rayons X ;
- dans les communications avec les fibres optiques à saut d'indice où le
signal sonore ou lumineux à transporter est codé grâce a la lumière d'un laser
émettant dans le proche infrarouge, puis transmis par la fibre optique.
Fig 15 Dans tous ces cas, on utilise la réflexion totale de la lumière sur la surface
Propagation gu<dée de la lumière. d'un dioptre séparant deux milieux dans les conditions suivantes (fie 15) :
On a simultanément n, > n, et - la lumière se propage dans un milieu d'indice n, qui forme une gaine cen¬
l'angle d'incidence supérieur à
fengle limite Ce retraction
trale entourée d'un milieu d'indice n: avec n, > m, ;
- l'angle d'incidence sur la séparation des deux milieux est toujours plus
grand que l'angle de réfraction limite. 11 y a donc toujours reflexion totale et
le rayon reste dans la gaine.

C.3. Propagation dans un milieu stratifié


L'application des lois de Snell-Descartes permet de comprendre la notion de
mirage optique et d'expliquer certains parcours de la lumière dans des
milieux inhomogènes (fig. 16 et 17).
Definition 5

On appelle milieu stratifié un milieu inhomogène dans lequel on peut

r donner une loi de la variation de l'indice qui ne dépend que d'une


variable.
Fifl. 16
Parcours d'un rayon lum-neu* Par exemple, nous modélisons l'eau sucrée de l'expérience de la figure 17
dans un milieu homogène stratifié :
comme une succession de couches planes homogènes qui diffèrent par leurs
On a supposé ici que :
n, > n, > n, > Le rayon se indices n(y), où y rcpcrc l'altitude de la couche considérée.
courbe du côté des indices les
plus forts comme dans le cas de la
On remarque que r( = i2 et que r, = 1, rt , = it (fig. 16). On a donc :
figure 17
n sin 1= etc = n, sin (i,) lors du parcours du rayon lumineux dans les diffé¬
rentes couches k. La quantité w, sin (i,)qui se conserve au cours des réfrac¬
tions est appelée invariant de Descartes.

36
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ÿjcrccfci per îe p/iosrèzfc &:. rai*,je a, erc*t ?. dice ;
- in dc.ïliïé.? dr: i'évo&uvrai c%\# «V-diccr vi»m:; xmfivu ;
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coivnàtriçfe* c ui 3s*r*r.:i* s*
!rujf.*:iriivî I* Mir.ilJUi.il -Jon.-u* I/O y>ÿux cIctt*: p-irlev 'ÿ'spîuïuif tfccwTufioÿuo ovi;sjLi.: carÿcre orMt\ieâlvSre
Hl'i !*Q!»f|| lî
iii. fâ fcj&'iaort <U: oiîartip itosxriitui-, rVéciui'ivuj &£2>tttu.
1 )-«ÿrô::œiÿÿr de -ji 'bènr.ç ÿîc »V.?.*\w!i la toagittg*
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/ ristnutsix : Juii» \* c*s ui :.e milieu <jsî iun/ioy'f.iiLi is«ie onde pl;i»e imUjUC c-eut
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Fis-laIjr "têc i!f"5 5-» :l" •" "-Si'

AfJrtexe 2. Réflexion spécula ire et


réfiex-iort diffuse
vi!»ÿ'ri(K*r o*sîr «rfVJt plÿ:l<: JiiiuîrKUÿ1.' 'jui M* ps-:-iuÿu -iu;:* l'csÿ'.-Cx1. Loi
'syi -.s lu.iiinr.y* ass.Csc:ÿs a <.?cxo -sr.yi* so»f. pa":>'ji;lc<c' Avec u"ie ixv-ir-.tf
In ly'fiii-fi: Ju v.vivîil .-ecUt: a- >r '? 'i.t.';." ;'.oo :mi •:<? <:zr,.
?1 lii KUîi'jcÿ viii rrçi'il ccîîc livinuVcc es' pcJîe '_%:ajfae evi!*: ù'un reurov plan.
l'inyic- i'lyifiiXer-tt c>( -c n<é:jit en ciÿcjun pnuri v'ÿVAdon-re, -x r;;- ta-c 4iit
: I? diarist1? «sp'Siî-1u «Mflii l'angle ,5e rcFJç.t',-,ÿ ,;y: nv r.mqyc p.:r appl'cuîicrx IxJft i'c ii«v;iî-
•ÿidÿvma u« VJir! et ia ùjii* va DcSCafLt-'ï
'."l'v.j.c 1« lwi>.;iv'v e-, ,:.o»c rt-îieoiuÿ
n» l'oni' C î J iH— :!r jf "i ;-.ii
SuM- I&Ji'.iS 6,-ir-î uu< i[i«n< dj/ticuoji. "t type 6v
t'SI-J ." A:î'3i 3:: oui dw. i':i*:* r.û*>û*'t'. •ïÿ.. 18?.
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30u; ÿ i\">> ' ( If Ji fl jâC'.i<l vil 33
r.w iioil» Li"! fsvji's JiMi't'li du'ir. L--S uvfïKCo f-i:U rti.MiOh Wftl Jeï pllii CO'.i'mKeï "?. y-"-, co.Vj.uic b ieoillv <ÿ<•
C'ii c:i' t :li' t'S cun'i'iu iiii.vïkIim z-. livre. Avec oj-c Ivuÿu. nr. ?cg-. muc yw 'Mlle vvtJs'- cÿl yn enclji-Udrrc-

GOpy'rigriBd ihâBriÿl
aw».'* «à» «w ÿ«tvi <$-« ftrt -îâtfii**** i>1
:«?L\0ssft; •?>.*« d*_* d'Jiiddts*» «ssms-v 0?uicjvs we %v ri.ÿi»;t. «a
ii;)
'••«îSsîsc !» <)a SsaUOcswes* *£«& fe,qwsr.A r*a£A ÿaKfcfeas* w £3*1 i
4s rif-aeicR. U< i-îoiss IxJCfiitc sk slcai; rtflétïwç ce s»
tvi-jfcw; •jtfefceïi&K <S<fëtcc>ïvi. Cr« Ac rpm «*a: fridic.-jsw 5«c -dtasMft:
2t>.i, 7:-W' «.'.rifrr* ait i?te w.
."Jj.'O-ùv pi4:; y<:e «wfrçft dies tujtfse- <w:.>.v*e esfte ve |y. saNa&ÛMg «uxtiKée,
in iivciiîî; >xa t K.iihvi. -> feé de Lÿw-itcc sjrt-scJsfc:- £> ûrSmc.
fig. 19 -lais îâ rWàrxkft #; tw?'?.<xs *a*cr>«M»iv3 •S"cçs-
kfiïAm(Cfow -,v. .vA'i rU& p-'wù fwn -wJtc/te >
rs<i n;*\ ' •?««*&
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.ccffes a*» ow* -;iA to-ft «rôuuc.
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Annexe 3. Étude d'un prisme


ptiaiït>î u-:'f'4:;» !Sù '•(*'.;*&* *vit ac v--?rw <;; ).«r swilisr ôfvi% Wï ctair-
-.?n js-Une «tt {fax xi» *a'«<-»'G>>. fi? ttx&a su'Ikit: »v;>
o:s£'â >tî?-ïrcôp.i» ftssix* ?&&$., <$6 s* ÿ.wÿt *riwi ims c«c<>c ap;»-
iàï îîfe fi-a alfliw,&t ,?t:i i-ajn *11:3* a.;:', «c «aç> arç;>«W Vue:* tf«i rÿw-
:l"tî. 21.J. la &m opjxîi?ÿ & .'•ti «•$» Ail <ippfHr. !a &w? ,iv: firùaw i<j& «tf
rawn- nx'X'cit «>c fiiyr-fo., d-. f.f-.n ae '<'ùk. t>t y*;>~c *wa à* £?.ît; i'ÿ.:iù': >•«.
t\« -m'M du wx-ot, le»vr*7" w r»«.\ de» si«r- v n &t.« *Uv>f
pST CS1 V.IÿCf.l îSrâ 33<X£ »Wji qu'U '(irC?ÎAA3»i?® ÿ p'b-T:
ï*c :n-vii .w.'i-vk do jwprÿsu:». «>t 7v jtai" fiVri'idaci»;
Fÿ.?0
ÿVÀi! ir-luÿ :tovl.-. r'.u
A«k .î ; <;-•!!= « c-:s »i w. yM> tie ••£:»!*« %d»eî9tte<
•5a r«
«ÿÿdsiikhA c'tù Mjiat't bvcmeiuv. <ièçrc«î & ra.i§I«. ï'-i*xiâ«î«». «t if.k iiÿ/.jKieit:
îi'waw; liaûiîre. h. yaÿs, gotw AM-yiÿacja; -;•*» ta i*Wli«;L->n ÿ&ÿÿ
B&,w<*:r<ixiS£?>x'v>> <â«v Kiv&m& t«:' itvaîsfc? «i«fari#v wa.".
y.Ot *. ;*
• dsiitft4ï aa '.iiiliKar 8«'.«*>/«.
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.ÿriÿ-v-:." Cï »•?.-«•«.•? itifi'fliiB'tiT. ssï fi?Wi iiitv* f-j.rï s.-:ÿ fifûs:idtej«« i f.ai
k K'X' d'uïGcÿc 'b p-U?tx : vw->.' loor'H le- ïiÿïcÿa i'k.4 }?ÿ>: I- Àœtee
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?4S. Airai, v' ikfir vénita /" «


I/s k-'i à*. Snd' Dettwteo ckoittt&t :
en : râ i• » an r
* -
en I' : »LV. > ' n rin r'
Cowou: i'&rteJ: d:ir»ddrcivt < m vxmv-. le système 4t deux ô/uslkou; (>r?cc-
decw osinpecte ooia uac&acu»», Four cju.e k parcours du rayon *oîc comptè-
le.fi'îr.i détensùûê, nous dévora: nfcmux une équation à ce système.

* -
Dans le triangle Tîî'> on a p«fr r' p -s? dooe r r' ~ w - [3.
*
Dans le q-jidrilaiAre SJQT sa
* :A
t
-j * 3+ ÿ Ï"1 '"n v';<î?lC :A " ,,J ~ P4-
L» deux eekooes f&écééestrss aowa panaerrent ;k c&adur* cpie :A » •> r\
Les matins psur ta prir-md'indice fi e. d*an.>e au somme: A sont dorv: :
sii }' = s ïâi ? (1) j
ko i' " n SÛT. p' (2)
col
_
EaftS&t :la Sgure 22 a été tracée arvec les paramètre? suivsnîî : prisme ex
- =
fCloî d'todict
* ïfil, d'ftu.$k au ecoutwc A 44*« Kigic d'ûjci&îvicc t 30s.
Oft «btiort : r S 3*5° i?' = 26° i i" S 45A
:• CaBriMou: cac l*«a®!te À ftto jpafews ÿçîjap qwéID. ? ffifo itroaffswra* dfca
Rftppt-lûKa que p' 6 v„ ;la *ekt«ou (2) ncx& indique que l* plus -«aleur
de K corceepoivd o Is pfut grande valeur de ?, ?w l'aogte Jinxlw
donc *uw« A -"f. La coubie îtrijaiitè A - ÿ « r' «s sÿ, nous œoowe
qu'il .r<e f-rur. y **o«< émaÿeur* qjtf: ti A *; 2.*ÿ,.

•-• Q-i'»'v£n?.'Ci ifafi- 2* ifci&KCi»


Un paputtètre in<éfefs.?c7 m l« D dit reyutc c'esr-A-dL-e
i'ÿsic ckv'it cci sk«Jî îoviïiej pejf auuau: k i«p2ù âiàdeut M' le rAyrai iâQA
cfei. O* teir, A rtMqiiî- cftfoijÿfrmn de 6i0fîu; k tayeu a sot<i com: 4£*iaû*n
-
I>, «c 1. de yak ur 1 » et D,ec )' de v#k»*r t t '. -
On a dooe : 'J TJ, O, x » t
- - y- ÿ + r
- - -
<r + p') ;t- î; - A ;
Lï déyûdoo ûj prânse «'ê-cn; donc :jl> »- i i_' A. . (4.)
* -
- ÿ-

Cm la qxecrkrcje rda&xu du pii5:ue. AM :D 316 —


Asç-Jyiv; ÿîÿ-ç/ii.ç
•"»

Tr*coj'.c Ik icayExes de KOi "'(i). ? *(t) et D(f) en giirdaat !eî 'fcm>éis orées-
dftws (fi)î. '
Noua cb?er/ooj qvw- :

ÿ - Àrc sin (~) - 3SC lorsque i- 9D*.


-
- k osîiite KO ÿ3!'t avec iselon sir. i « air- r, pour «ceindre k valeur de

- la courte y '(0 w: j" jnrôqye r' A - y. )-r valeur


OKVcepoc'.d à k pius giviiclc valeur de r qui su :
- rcip«r?de .le
*'
- La courbe j'(i) n'eadste que fi i' «ôks ai r' «

sin i> « sfvi(Â -



Cociros .': A - r- en en déduh qu? r » A - ÿ « donc :
(?) puisque six: i ? sic: r. -
ChdOitrg 2 . Lui>0t i>n yv dtf l'Oplil'Ut* «lèOrilétiiQitf
f. m v* i: w » y s> k
Kir tep£>)
S?» Variât** s* .â r.i.*'<ït 'm tovtrw it: lonfl'i t" 'irfaru* •
t.-

> Csciÿiaÿc OVxgj» ri'Sirnïâîtotys's s cjv;*Ût h- sâv •tos®£ï2xs? 4m


/cwte-vs
J1 fiais*? deoc \<i£ itr.jle rainiîvipl ;i'w:iri«vw.« ~>:<w t-brÿvc »uae JavieïSîacf sur
la rccoî'cv? ?acf . Ce fie tor.ilûion j*.îct?c :

i := i-ic. sir |b «a j f-, - .«œ eifl ( ~


j }}•
î?ar:? notre sac;up*; on trouve :
i?• Arc £(u |Jtà2 iir.
\ 'V 44 - Arc sin 'i-••--(}
l»fc2 /.'/
= 3,3". vsfeur ipferimire <!•:<> {'en


C-Xt'lT. viiifi.ee -îjï k £i>ï£i»r: àt- '(s) .
L-». cota*-* i'({) ait. î'/fT(iTîiqt«e 3*2 «•epyvorr à k premiec bÿÿct-tec. C:r.i >:«£
twee ci.iprqueitce directe 3o ii foi fia retour iewree ik !c iuraiiïc zppliçuee
ai' •jrçgsusfetf.
:• É-Jj'.tts bii s£4"?>î#'&Z-2
Ls. iÏMk:çfi't s Ti/crx vers 'f. te»î-r tU: partie
«io dÿïâ-kn est d'abord one tofjettea décroissante de l'angle cl'in-
ïv;«?cc î. Cette déviation 3121? 3*2 un rnioijaum I>m arasw de ereàïr* de new-
vexu ï.v;c i-
Coici.'o? f ',D o.V:i défunt: U'/r si :

__
ÿ; 'f his-. ?!»;. ' t. fi'y, jir, f'i+ - A*ç rie ' | 3>3°,

X-uj£ i'-om: d« vu* f7iî:dejiu?dqw. te*


«03103 ;et. ;' ~ Oéft-i dossÿrf. ia
airxnf: déirfatisja. « hj>; "lOriH" d« "i- iv.neijk* çr i;dix":~ £-zvx. de
L'arête d'jr.rfsteiK*.: s*uf dsaw k cm eu :- s '
Fîciasf w»Ecaet> &w; && ;«r<&sKiS!s j"vui esftiettvirjoe. «tf» to 3«w!ïto:iK JtjaJ
l5t«ÿ.r,iÇ 5 = ç'v !_« Kïi'WW arM'»C*-5 TJfW' ".Uli aSÔjdu'tfMK.Ci.-

___
_ Nÿ"
'»ÿ

'!:-r
poiimcrtii vérifiée
oluthc(M££iqu»:oH:nt IViuutGrtCc d? Cet nKtmftwn it(i
wcfttfsjit qu- la dérivée première de la fonction D(fJ s'3.nnal«? pour une
valeur i_ de Iet que cet extreir.ura esi un minimum en étudiant le signe de la
dérivée seconde de D{i> par rapport l, prise à l'cxwcmom. fc'iiu* twmvç-
* 0-
ricriî effectivement que >
\s. delation 13 du prisoc prssc dore par ra minimum.
'ÿ•
>îit pirtems ®if. tblScJotccksi ci* dÿTM/ttaci
IRjïitotitfaz

Comme r = %' = i, au minimum de déviation, en en déduit que r = r" d'après


ia loi dî la tétïrctiop. '1 vient ensuite A - r r' - 2 r_ Jonc :
A „
rm= -. vf'Tinc 8T) M un r on 3 3USS" : '-
r„ = A.rc sin {/] sin r) = ,-j-c sin | » sin y
'
— SC,?U «m ,V:a rf<n:t«:aA«c \ÿf.c.6êx\;ÿr.-s
jj.

L'eapt espion de ia devistion minimale est dore :


A 3
-«= -
,~ A = 2im A : son encore : L = — *-
Au minimum de déviation, te relation sin i= isin r est encore vérifiée.
fi. A+D
Avec les valeurs particulières -e,= — et - —r—-» elle s'écrit :

âj.
.on pratique, nous cherchons le minimum de dévictioTi 2. en faisant varier
S angle d'incidence i. Connaissant i'sngle A du prisme on peut en déduire
l'indice n. C'est v,nc méthode précise de determination de l'indice d'une sub¬
stance
Application si l'on rrsJisc l'expérience, on. trouve on minimum de rJèvictioii
'

3, * >0,7° : I'wigle d'incidence vaut alors > 37°.

----
.
------
. i* 4 0.| ,44 + 3G.7\
s«n(--
s«t(— —'
On trouve tion « j A
tfk i
-
r:— = —
. --
s?r. (/
44 ---
:,<•? ce qui o'c

conforme tux paramccros de déoariv

* .j4ff|iaa«i!*BiAisi vo*ur i-:ii:i irorar.»*?


Juuque-i.â, A:m.*5 iwuivj «p.sicére que la radialic.n est jvtcror.h.roroBUquj:,
Icrigueur û'rad* Xn = 589,3 nri, ce qui fan que l'indice est rc — 1,62 pour cfr
vç?rc fliric. Qu' pwse-t-il pour une radiaucfe rn<>ÿoc'iirc5n£.i)que de fre¬
quence dvffr.rcrrtr ?
Choisissons Je* &riquÿc« d.*: rcftreocc Bssocir.cs au* cowJcws rouçr r.t
indiquées au 1, rfispectivôtriCAt XF = 436,6 Att ; X|: = 656,3 xwtt.
En utilisai* la loi d'Abbe (c/ chap, 3> nous obeenons le? in/Jices correspond
- 1 ,63 et «4: = >.,<*> !.
car.Ss r/(l
TrtÇûAû If. cenïbr. d<r Ia déviatiCA D en. fonction cbfCUVi de ces
indices, encre les angles d'inccdence 1 5* et 65e par exemple •-/>% K • >

I"VjfîP'i: 7 i.:i :* <:! - 1" «ii:»!>i!s< i! ! i>jiti<ji.iï jtfoirnc}'


•-U-K&JBJ-iwî-

\\ r,\w Uïjtt.ï -,nl —:-Â>

K 25 20 l iyJ W *1
l',M1
m? 2i- Vï'iwws de Se ;'êvi<<So:<C fi funtfitc! d« À 3::iir tognjrs «fonAw.
Nous voyons yce le dévie plus fr. luroifec bleue que iii'iiv «« sJus la
in-fv. que i-ovço. Au <«»;*?;*'«» >iv tw» vws le» v»;<îtiïit r**p«>;-
ftrs : y-.,2° :5*>,7* ; li),-'0.

t'r.s iurtiière eoirÿOîte de ÿlosieur* .wufeu» ït-ri 6.ji\c tlêÿmp-jsw ps;


le priçjvte. On dil qic'ii y t '.itavexifoxi df ir. :i;mif.rï. lÿ:s. vacwt)::*** hlvW5
-crcrU devices vers .1 brae du pfis.tie ijiic >c3 :::>»'§.«.

On comprend ynw tow l'intérêt -qu'il y ? irav-aO'crr ;h ai«i!>2Ni% d.ts divi*.


U;.u : ':'*rî* l't i.ur. ' 'éi*c.rc -J.r dé.viajû'fu t «•;,(• l« T3<i>3ïi;mn t?c le jmk g«.«îl.
0«l p-.u«i jX'icrÿt «jii; uc c(i>4i e-i /Setii mrcn ce serait oublier 'io': :e;vor-urca
i': rer.ï avez uuï Juneyc de visée <m ui vwo.iec* pt exemp-k avec u*.
speuïrogoîiiofiiêÿtu i'.;- sons que J«s radiwionH Hlciif: -?•. x.iin? pne exÿrÿpJ,-,
*eo.;ni '<:ps*res . Cm ("îvrra awjre-v )'»>rli.-e 'Je gsrim». p: is wfas,U->t
pî pu jy cjrb.H.r»«i ÿf zvcrt.pÿî.

" ;<."<££ rV. >;i-Î3;:rii"- *1*: ?"î' <!i::ig!l7. *•'-' &jiï:aw.T.e ijîfsuv iiy-'ia
.'ii'V.if!lKi*.:s*:

Jaw ce cas, le» angles d'iSHîiÿnee «< de ?<i?aenor» ?-;n.i ?*<!« 8«? Je» cJ*«h?
Tsc« dn pi-iuw. ?Vou\ uhl-.WHs slots i<-3 vei&fjnm de. Y,~.yl'-z :

i ~ if.-ei / ' relations s-iftâcaic; «Su prisme dric r'BOÔr.r. sont ÿr.c<ue
r.v?Î4 p])t:< sv t\Wpliÿû:ilf :
v- - *i r - i.»?
/« -iéidslios «e dsrpc-o:.' >•;;;
3 ÿ
<(»k de J'iodiirï du tî. '.{<r -xra /irÿe »:i
fOï.M/'ei: .'> = •> - lîA.
L'essentiel
/ Rayons lumineux
• Le cadre de l'optique géométrique celui où la longueur d'onde de la
est
lumière est petite devant les dimensions caractéristiques du système où la
lumière se propage.
• L'optique géométrique repose sur la notion de rayon lumineux.
• Ces rayons lumineux sont indépendants, se propagent en ligne droite dans
un milieu homogène, et suivent au retour le même chemin qu'à l'aller.
• Dans le cadre de l'optique géométrique, la trajectoire d'un rayon lumineux
est entièrement déterminée par la géométrie du milieu.

/ Dioptre et miroir
• Un dioptre est une surface de séparation entre deux milieux transparents
d'indices optiques différents.
• Un miroir est une surface qui réfléchit pratiquement toute la lumière qu'elle
reçoit.

/ Lois de Snell-Deseartes
• Lorsqu'un rayon lumineux aborde la surface d'un dioptre ou d'un miroir, il
donne généralement naissance à :
- un rayon réfléchi,
un rayon transmis dans le cas d'un dioptre,
un rayon réfléchi dans le cas d'un miroir.
Pour un miroir :
• Le rayon réfléchi est dans le plan d'incidence.
• L'angle de réflexion est égal à l'angle d'incidence.

Pour un dioptre :
• Le rayon réfracté est dans le plan d'incidence.
• L'angle d'incidence et l'angle de réfraction vérifient la relation :
h, sin I, = n2 sin i,
• Les lois de Képler sont une forme approchée des lois de Snell-Deseartes
lorsque les angles sont petits.

/ Relations du prisme
• Pour un prisme d'angle au sommet A, s'il existe un rayon réfracté par la
deuxième face, la déviation D, entre le rayon incident sous l'angle i et le rayon
transmis sous l'angle se met sous la forme :D = i+ i' A, avec A = rr + ir'.
/ A + D \ ! A
• Au minimum de déviation D. on a : sin { -— ) = n sin | —

• Pour des petits angles : D = (n 1) A.

Outpllro 7 : Lois cl principes de l'op1>que géométrique Copyrighted material


Mise en œuvre

Comment déterminer le plan d'incidence ?

-f Problème à résoudre

On souhaite déterminer le plan d'incidence correspondant à un rayon et à un dioptre donnés.

-* Savoir faire
r — — — — — — — — — — — — — — — —— —— ———————— —— ————————— —— —
O Identifier le point d'incidence I, intersection entre le rayon incident et le dioptre.
0 Tracer le plan ir, tangent au dioptre au point Ien s'aidant éventuellement d'un clément de
surface d S appartenant au dioptre, autour du point I: le plan ui contient dS.
©Tracer la normale N au dioptre au point d'incidence : N est perpendiculaire au plan tt, en I.
O Repérer le plan d'incidence ir qui contient le rayon incident et la normale N au point d'in¬
cidence.

-» Application
Trouver le plan d'incidence correspondant à une rayon incident sur une bille en verre

Solution
O On place le point I.

0 On trace le plan 7t( tangent au dioptre en I.

© On trace la normale N au point d'incidence

O On repère le plan d'incidence ir(.

Les plans tt, et it, sont perpendiculaires.


Dans ce cas précis, la normale N passe par le centre
de la bille.

45
Comment construire géométriquement le trajet d'un rayon corres¬
pondant à un rayon incident donné sur la surface d'un dioptre ?

-» Problème à résoudre
Le dioptre et le rayon incident étant connus, on souhaite déterminer le trajet suivi par un rayon
arrivant sur la surface d%un dioptre séparant les milieux 1 et 2.

-» Savoir faire

O Repérer le plan d'incidence qui contient le rayon incident et la normale N' au point d'inci¬
dence en utilisant la méthode 1
© Dans tous les cas et particulièrement dans le cas où la question porte sur un tracé, faire un
dessin dans le plan d'incidence qui est aussi le plan de la feuille : reporter ou mesurer l'angle
d'incidence i, entre le rayon incident et la normale sur le dessin.
© Comparer les indices n, et n, et des milieux :
Si n, < n„ il y a toujours un rayon transmis, passer à 1'ctape O.
Si m, > Tij, il peut y avoir réflexion totale ; calculer iOT = Arc sin
Si i, « i>m, il y a un rayon transmis, passer à l'étape O.
Si ij > i)m, il y a réflexion totale sans transmission. Le rayon se réfléchit avec un angle de réflexion
égal à l'angle d'incidence i,. Passer à l'étape O.
O Appliquer la loi de Snell-Descartes pour calculer l'angle de réfraction iy
0 Si la question porte sur une construction, tracer le ou les rayons en reportant les angles par
rapport à la normale.

-» Application
Un faisceau cylindrique arrive sur un dioptre plan séparant de l'eau d'indice 1 ,33 et du verre d'in¬
dice 1,50. Déterminer le trajet du rayon si l'angle d'incidence est de 65° et que le rayon progresse
de l'eau dans le verre dans un premier temps, puis du verre dans l'eau dans un second temps.

Solution

O Le plan d'incidence est le plan contenant le rayon incident et la normale au dioptre plan au point
d'incidence I.
0 Le plan de la feuille est choisi comme plan d'incidence. On y reporte le rayon incident et la nor¬
male qui se coupent en I. On trace le plan tangent au dioptre qui est ici perpendiculaire au plan
de figure et se confond avec le dioptre plan.

l'ai.

f
1/erre

Premier ces Deuxième ces

Chapitre 2 : tens et principes de Ioptique qeometnqua


Premier cas :
0 n, < n2, il y a donc toujours un rayon transmis.
O L'angle de réfraction est i, = Arc sin j— sin (i,) j ÿ
53°.

0 Voir trace ci-dcssous.

Second cas :
0 n, > n2, il peut y avoir réflexion totale. Il faut calculer = Arc sin ( — j ** 62°.
Comme i. = 65° > i. , le rayon est totalement réfléchi. Il n'y a donc pas de rayon transmis.

»erre ; -j

Premier cas Deuxième cas

Méthode n°3

Comment déterminer une déviation lorsqu'un même rayon subit


plusieurs changements de direction sur des dioptres ou des miroirs ?
-* Problème à résoudre
Le trajet d'un rayon lumineux étant supposé connu, on souhaite déterminer la déviation de ce
rayon, c'est a dire l'angle que fait le rayon émergent par rapport au rayon incident.

— —— ————— —— —— — — —— — —— —— —— —— —— —— ——— —— —— —— —— —
-ÿ Savoir faire
ÿ

O Lorsqu'une déviation résulte de plusieurs déviations successives non orientées dans le même
sens, il faut considérer la déviation D comme algébrique en orientant les angles, si possible dans
le sens trigonométrique. La déviation D a donc un signe.
Indiquer le sens des angles par rapport à la normale au point d'incidence.
0 À chaque dioptre ou miroir k, exprimer la déviation D, correspondante en gardant toujours
le même sens d'orientation des angles.
0 Pour obtenir la déviation totale, faire la somme des déviations individuelles : D = ÿ_ Dt.

Application
Exprimer la déviation du rayon lumineux dans l'exemple ci-dessous ,les angles étant connus

/////////////z//

Méthodes
Solution
O On choisit une orientation dans le sens positif trigonométnquc. On repère les angles par rapport
à la normale.
0 On repère géométriquement la déviation totale et les déviations a chaque changement de direc¬
tion.

On obtient :
D, = - tr - 2», ; D, = - », + i, ; D, = tt - 2i4 ; D, = i„ - », ;
D, = 7i 2i. ; d'où : D = 77 2», ». + ». 2i, + » », 2»,.

#'
: -,s .

np.irt 7 : lois «t nnncpiM* de I optique cioomotriquo Copyrighted material


ercxces
a) Représenter sur un schéma le faisceau émergeant
Niveau 1 du prisme, dans un plan de section principale.
b) Exprimer l'angle de déviation D en fonction des
Ex. 1 La grenouille paramétres A et N du prisme en tenant compte de la
Une grenouille est cachée dans l'eau sous le centre faible valeur de l'angle A.
d'un nénuphar de rayon r = 5 cm. c) Calculer l'angle de déviation D.
Quelle est la hauteur h de la grenouille si on ne peut licit. Fcnn 96.
la voir depuis l'air ?

Ex. 2 Tracé de rayons transmis par un dioptre


Niveau 2
de forme sphérique Ex. 5 Mise en évidence de faibles rotations
I-cs dioptres spheriques sont très répandu* en
Un pinceau lumineux arrive perpendiculairement en
optique (lentilles spheriques, miroirs spheriques).
1 à la surface d'un miroir plun M. Ce miroir peut
Considérons une carafe pleine d'eau, de forme sphé¬ tourner autour d'un axe A passant par Iet perpendi¬
rique, qui constitue un tel dioptre de centre C, de culaire au plan d'incidence.
rayon R, séparant l'air de l'eau.
a) Le miroir tourne d'un angle a autour de A. De
Un rayon lumineux issu d'un point A en dehors de la quel angle p tourne le rayon réfléchi dans le même
carafe arrive sur le dioptre. On néglige la réfraction temps ?
dans le verre de l'enveloppe. Dans l'eau, tracer le par¬
b) A la distance D = 1 m, on place une régie R gra¬
cours d'un tel rayon dan* le ca* où il est peu incliné
duée parallèle au miroir et perpendiculaire au pin¬
sur l'axe et dans le cas où il est fortement incliné sur
ceau. Le plu* petit déplacement visible de la tache
l'axe. Commenter le résultat.
lumineuse réfléchie arrivant sur la règle est J = 1 mm.
Quel est le plu* petit angle de rotation mesurable
Ex. 3 Que voit un poisson vers le haut ? avec ce dispositif ?

Un poisson est posé sur le fond d'un lac : il regarde


vers le haut et voit à la surface de l'eau un disque Ex. 6 Peut-on voir le fond d'une piscine ?
lumineux de rayon r, centré à sa verticale, dans lequel Peut-on voir le pied d'une échelle s'appuyant sur le
il aperçoit tout ce qui est au-dessus de l'eau fond et au bord d'une piscine cylindrique de rayon
a) Expliquer cette observation. R = 3 m, de hauteur h = 2 m, en plaçant les yeux
proches de la surface en un point diamétralement
b) Le rayon du disque est r = 3,0 m. À quelle pro¬
opposé à l'échelle ?
fondeur se trouve le poisson ?

Ex. 7 Traversée d'une lame à faces parallèles


Ex. 4 Déviation d'un faisceau parallèle Sur la face supérieure d'une lame de verre formée de
par un prisme deux dioptres plans parallèles, d'épaisseur
< = 8,0 cm, d'indice n. = 1,5, plongée dans l'air dont
on supposera l'indice n, égal à 1, arrive un pinceau
lumineux sous une incidence 0 = 60'.
a) Quel est l'angle de la transmission dan* la lame ?
b) Quel est l'angle d'émergence de la lame ?
Commenter le résultat.
c) Aurait-on pu trouver le résultat de la question pré¬
cédente plus rapidement ?
d) Quelle est la déviation angulaire totale du rayon.
Un faisceau parallèle tombe *oux incidence normale Était-ce prévisible ?
sur toute la face d'entrée d'un prisme de petit angle c) Exprimer et calculer la déviation latérale Jdu fais¬
au sommet A, de hauteur H, de longueur d'aréte a et ceau en fonction de e, des angles d'incidence et
d'indice N. d'émergence sur l'interface supérieure. Commenter
Données numériques : A = 2,90 10' rad ; le résultat.
N = 1,500. 0 A partir de la relation obtenue à la question précc-

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;opy r Jft?;iÿ I
1;
4* Calculer i_ et O.M. pour une fibre d'indice*
"h. M Fifcop qsuiqi» i«ma iïfatôzz =
ff; = 1,45b (silice) et », 1,110 (silicone!.
Soir une libre optique- F constituée- d'un c»ur cylin¬ Quelle serait la valeur de ces grandeurs pour l«l
drique de rayon a cl d'indice b,, entouré d'une gaine guide à base d'arséniurc de gallium pour lequel
d'irtdice 1) inférieur a /r- cl de rayon extérieur b. Les n, = 3,9 et »t = 3,0 ? Commenter,
far.vs d'entrée ce de sortie «cru perpacdicuLaisM an L'jitcnuaZion de la lumière dam les fibre* optiques

cylindre tî'axc Oï formé par la fibre. L'ensemble, ers estdire à l'absorption et à la diftuawn p*r le iiialcriini
particulier la face d'encrce, est en contact avec un constituer du ctrui ci par se* tmpurccw fFcr'. Cu*',
milieu d'indice bp ce pour les applications numé¬ CK"). Flic se mesure en déoibels pfn- Km :
riques on supposera que ce milieu est de l'air pour
lequel n; = 1 .
h) • Zigzag iplan Ou 4. et désignent k> flu* lumineux darn les- plans
Un rayon lumineux SI ai-ilve «d un point ISur la face de front successifs ) ec 2 distant de l.

d'entrée de la fibre. A quelle;*) condition;») d'inci¬ t; On parvient couraminenr à réaliser des libres duru-
dence c< rayon ft-l-ii, dans lu fibre, un irojct plan ? lesquellcs Je flux, 1préx un. parcours de 50 km, repré¬
On considère un rayon Si incident sur le errur et sente 10 *i du flux incident. Calculer l'atrénuauoii
contenu dan* k plan Cas. de telle* fibres.
On appelle 1 l'angle d'incidence et 9 l'angle de la
réfraction sur ïz face d'entrée de la fibre. A-PfiillnffifauT. Endoscope a fibres, fibroseope.
Le but d'un endoscope est de permettre a un obser¬
L* vateur de • voir • dans de* endroits inaccessible*, d'in¬
û térêts divert- (médical, militaire, industriel, etc.).
HRHHimllll IIIil 1ILiir Z.'eodcnwpc fib m est constitué -ic deux faisceaux
txtôriÿr * *
de libres :l'un éclaire le vite, l'autnf 2*wie ie retout
\ vera l'extérieur de la lumière émise par la cible eclai-
~Jyÿ HP
,r
- DŒUf tnj
;
I
ïé«- L< nombre de fibre» constituant chaque faisceau
est de l'ordre de LO'â I0é
S
il) Si l'on imagine la ciWc divisée en environ it>'
'&) Déterminer en fonction de «a. n, ci n. in condition petit! carrés, chaque libre au voisinage de la clhle
que doit Mt»faire j pour que le rayon réfracte ait une recuïtllRni le lumière de l'un d'eux, quel es; le pro¬
propagation Çiuidée dans le cccur- blème posé a l'autre extrémité par la rccuu-timiion
La valeur maximale de / est altn* designee par iJ de l'image : Quel nx k problème technokigiqiie
(îngle d'acceptante de U fibre). majeur posé alore par la fabrication du faisceni» de
fibre* ?
r,f «M appelle ouverture numérique (D.N.) ciu guide
la quanbic O.N. = it, sin <J. Èeri: ENSAM. FS'tT, EXsAiK,ÉCRIS,
Exprimer C.N". en fonction de //, et n». ARCfUMFDF.

hÿéîcûdiimÿ
BMB
Chercbs? où K«omi<fiQU«n4.enr r.\<ÿ x po\ rx A, )]y a intcrcc iconsidérer comme iJgÿkriniu: une
et xitillw.i k hit Kfuc Vobt?tvïxiit ai piwik dr. ï». dêvijitiivjinjyqii'dle «t wmpwc d< plusieurs
deviations succraives.

mn
1.'observateur ftç iÿuut viwc déi tuhi! UU'j 3i;s .fc
Les dioptres simples s'iphcriÿucs ou plans) ne per~
qcr émcitccit des rayons lui p3r\rft;anî. de \u norrowle «u point
d inctdcncc «t pfipcndiaÿairc au pian :an£&rr au
Jjoptrt au fx>t rji dlrn*rtltficc (\jt.
ÿY-At 4 dfenottrrec éiÿ\y dnar
k rcauiCat est denne. wxiz O'.fchci" ÿju<
ic/rt i>r>oÿ.

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— nft 13 - r ' - ï' - - A
*/ÿ-

- (;i - 1)A
:(« ï).û.

lÀxercicei* de niveau 2

I? .raya.*.» m; 'nvie.ï'. wï :c.'-n:ér.tï (l'y. 1

Si It miroir (outre tfyn ai»jle U nortnula îoiitne hiisk» d\n ang s

L<î ra/sn snsvimt iiv-yrd/itif:!: ;p.voc Im mv.-raale *< ï- s* sa'/nS I:«rsoc 2


<jvJ fx- i*£ -îgli <i H. f.wiwla tr_i£rïji>i3itî I iv 2).
L;i>iu* /ctttiea <?u niirc?ÿ c'u«. s:<gl? u, L* :.To*.-«if. iww \xL la (ÿ> « i-::.
La tiffhe !>irr±i>iÿav s< &rrnc <îî f siv V- \'r£>..
0:; i,wî -a tfÿ'lorisr su râis.v?.! A l'aida dt !<>. 'liaVJ&ce <f
3**. >. ûriaï;frltf MCtsÿg:* *r? !' yii a :
izi: \Z«<

\ -TUT

It
OJ-Ji C/OiJO oeîî» >i rr.'C rfl<* aw'iîode cit.cvt Kiniçie.

|
C.-9rC,C0ï
Exersk» 8
L'obsf.vèvcui ve-i» les rayerw qui émergent rit* eutiuèr* dotre #vec tu* aogie de vO" par ».ap
ix-r: à la normale, L'angle a 'incidence ; est dor.;: l'angle haute de réfraction.
S»! le fond, de piscine» 'a piofcr.dcÿ: p vue par r*>bsc<vaîcu'
'a ;M
.-ÿet *ÿ
-. /I -Ci-I = r
t t hTi : ! f'Sccei o

Lrc stsf - ;l = 2,2£ct


:<.xr, cbicrvsicuv ne j»ewt voir le pied de i'ctSt

7
d j?plane rfseiD If plan d'incidence poor repr&'UMer j? situation physique darts Je plan de U
utile (iftèdivido î et 2'j :

Sur :h fact supériew le rayon pause d'eu» mSk-ti moins rernngcr.c {»,
ÿÿ«1 (;*. - î.,5)
-
1) à «ir; fTrilieu plus «efrltt'

Ccc« ideo» conséquences dans 1c second milieu le rayon se rapproche de la norrtia.e : la loi de
ifc réfraction fi' ivu'oufS râiiitr
Moys pesons «*. - --O" - b où l'indice / indique l'incidence et l'indice 1 l'intmitoe considérée.
is 'o> <(e Siitil-n-cwrr: tes d/w«nc n( s:n î>. h, s»n -

AiOii. » < » eoRfo»-mém«uîT -j noî prévisioai

Cf?pit'9 J : loi* V\ orinciDBS rie I'ODlilUB GéométnquS


éiam plsn-rs «praltete*, )« rf-ea* p]&r,£ d'iiteitteiwe tr> it ti ï: s* ocnftfcùttv. La lwJvvÿ
tok rayiez 0.21 do-* dans ;t phu ât h foétitfc. S«»r la <J*ratéin* fcw.. I& towels pssse dVrx
sttfâsu mus refritttfSM «te vfrrÿ) 5- lin. *sA\i&x noiw **&&»** «Vair),

ÿ hi<*.a;t;Si! iï •• « • île V: r» >rÿ.%/.f.V *ï!.*'s :/s •:: • .• :••-•• \» .ft.?; i ..:• ........
...... . : ::• 5 îsf:*;! î rt»{

'f i!.v;::.v ini:-!;> iir.sM.K'.i* *ur.«- w . • . r. •*!• *. .'.; i /.;•


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L.t) ki) it lu ïâô-aedfa pit«e>- d« >uHcutei- g — ,*.to s.u» j--- su» <j. j
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lactate d'zuMyince de te lav.*- est asa] 4 l"âîv?t« d'mcjdcrtts.


i.-1? ir-J'j'Uff ÀO/»'tfenii .tsîxycir: ÿrafiHJraieiri: tx: rayo» facMltim»
i'.) Ow> oi! jx>u'/£:? (towvcî- ).; rie nilai 40 h ;jcwBt:wi 2 plus ffcpidi.«:;<!•.
Srt rft.v>ï<;p.i)i«i c - '!(i, Us i>cj)î2hk «trot )?.<* rc<è;nr5 i.- i>ÿ'C d'sciiir dît âicrÿacrs -.icrurr'*
y
*rx .i sr ï(> :uRcsù dTarriLÿst' l£ '-<• j2m. •rÿÿ-cc-c.' ?3f.v5.ÿa >~e Un (hcar-Iii'S sr« J, tfcuvcv tpw
J'aagk d'cifvvÿr'/xrc ierd! 00°.
ili )'.*.< 4:x'xnzirs<» m w.1. 1-d<T'..
Oila îQk Dwvisïble : ilI, Je rayon z*. zit&jxc-zLw. <1t ia nctfcrwJe «<. «r. 1. 1! d* <4 pc-cma'e»
de quantité? )dcïi(iïiu« me in mwércie d« situations.

i ©
-.Yî *H w"

Jlikrÿ'©
-,. : >lr

la dçviÿcbii ?55: d - iÿrf. i/$d:gïi Ï?J..H = S - 3, . iÿmsi i? r \\l? >.js\


-èt -2
Î7CC ...... - CPÎ ;S ;
de?)'; k Cli
cos
;'i= -Î.1 Î-K-

'i S —— Vas df l.1»«sidei.if.t vÿwntt», <i = > çÿi'iq».xic s'»i | •_-*• - J— '.ïiï (f «.
|
la dcvist'sro latérale évo'.Lte «ats* 0 ft c. L'cbjfc obs?rvê au travers, de ia -aine n'est pas déformé
(CîfÀr, 2m-<i. fcr.,e£iT: :!l lAZfeâteaaecrt,
Ce» pourrait se servir des terres à faces parallèles pour dévier les rayons.
C-rt préfère povr eel; utiliser ocs prismes* como-c nov.s le vrctoni.
»,
- <? i.ffl (S. - 0, ) e (3£l fi, cos
»
- tie. 9. ces fi. 1
---i,. —
'

Sttl £ COS fi
—Rfei
f
donc d = e sin », I -:- L
'• \ K tes. »

Or, -t. sin 0 = fi, sin fi, dene sin », = — sin 6,


' "
' "i
rii.i :•:c<w fi
Ainsi : d = e sin fi
•'
1 - —
rr, stn
. - !i
''
8. cos fi.

dune on s. fciro : 1 d = e sin fi
' i'
I - • »ÿ

— »(i"
r, COS

!?our avoir d proportionnel à c e: S, , i! s ufiV. de prendre des petits ang'es d'incidence. Dons ce cvs .
cos fi «,
---
«((
t.!S
= I=» rfs <• 8, I - ,1.
f;n (<ui tec sr. vrrrà «Je i.a terre à &cï* parallèles pour balayer une surface avec un teser. La rete-
lior d = ke k = «e, permet de créer le balayage d proportionnel z 8, par un mcirÿmem de
rotation de I;. lente autour d'un axe passant par 3, et appartenant i. te f?ce d'entrée de te terne.
g/La relation (I) devient :
- ntxi fi cos S,ÿ slo
d = e! --
1 * -- \

sir. »,
».
nus fi -, -
COS - -
d - e Isifl, « --
• " cor. H.-
cos fi. I
'i
o; cos ?. = v I - sir:-1 o. « sir '» =— *«< fi.
• h.
ai - sin- fi
ÿ%

dOIVC COS fi, -

Ainsi d =ÿ
f f sin «,. - — r.io fi -cor. » ——
.
- mj r»\A" i>
;
'

k n\ - «; tîili2 v rt, Cl>S Mt


J = « ïin. ». v>J: - «t sir*
(

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£'J*fX t> vifs L£ Pi.'ûïoitfi 4« a« eti-i* Aller' 2-' te»-;#»®? t? «i:!\C-
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> 'Lâ.v. îéjnwnwt «n.<* guMtûxKs » r: 2 IVw®;r» f'sile î le ? du was

!Li j-w.ir rrçxr sj: Vf-':w ?ftnî>k' ferôé« tîntes courte pour Wi tttj&rrar«us éw« dî l'twj

-'!'/£ ûW,

«1 l'ïi'3 i'ç'.r k»cÿii«<i«r râÿaîis 475 ccsm scsz iujÿû-i1 •;. -a ssulras? iMtea®.

# Ettre !';ay 2k îscfcs s*" eccsst de tctoI-su!ÿ inrccÿç es:? j'û*ïI «,-?r rsneitoe 4 ir; Srëqittera •» bod. £

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Q A-V, ;*; = i;.'ÿ
'>.• Sfcjtli<Mte 5&KKS is
«if avens nwt. » = stn r

La «Ifiiion du sinus et de l'eogk opposé dans le trlacsJe Cl'O (boa rectangle) donne

y;'t Le gnercure sejr.bltgs occupe? tout le lute si « o -


dit On trouve aM = 0,012 sac soft 0,58® ou 41'
a * 0,002 i-ad soir 0,138® ou 8'
?0uî que ie mercure «môle occupe? «rut k tube il fsut que B,
L'cpri»eu? du tube csï de snrci, cc qui le rend tris cassant.

rxixv'Md 12
cv Si It prâcne esr pjongê dans l'air on a, d'après la Ici de SneiKSescanea
sùi i—nfh\r ici i et r sont positifs
ti-1 i' != « sin r ' «ci i' Cl " SSRt IXâÿtift (Sg. ) }
'

tbirirrÿ'rViTrni
-jÿ4 fSKîfi) hi IxïîfôiSWW }îxi.« >Ja i>X3 Ivi Isatf.idwkv .'ÿiïs
;ï-'<xr<! itfiJi'i Kw tt #\r*&v*8i m®s *n6«S»m 'i&htâs »fe*» !'#»» ÿ-£.

mI >ds & »« ?

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î&| j&tW&Si'
\y -îft? ps>;'i «mjk.:?
9
— -"I î®; iev: siî'jt?»; jsg®

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â&&£ Tâ «s flt'ÿrifèÿr-:•ÿ?& gjctbttiiBA & wM.vw ÿ$!


ÿSSèÿ ÿ'Bfr *•*' aVôS©ÿ. 4- <*»'ÿ I-s' y'n
•0Ç-fàtSn ®$i3W5» 3SÊ» C-v? $£W3; |
*
>?*-
* fl&fc&jfcja Ht&lj 2JC i© -îSSîaî» &MaSaÿraSres
Ifc $fê&C«3 #i| ï* psfeî!» t$
! $ pa •«•#$• c% -tf' - >3& C% p-
20 # ÿOi-

* -•

.<•«

'Ces w>i!« n, «sR; 3ÿ va'.- i

\ T r -| * dÿ ÿ--ÿO & e&M & vy&Vÿv ¥*?"


ù'.i id'?:tc Àc ii <v)res ' l

Corara* fi - ÿ
c-r: z. '*\tzs?

iï >y- les, ravons incidenis sur la prisma ÿ et nmerqenis du pnsme 2 sont svmflt'iquas par raouû«; à n er là du
posiiil fîi lui méoif symêtriqus co< «apport a n.
Gi> ?r> dsrinir ruuf-k J_l* wt *.\v:iflizv w*: i;rn:- ro it?, tfrotft ewl MUfcwg&ow
].«*. r«V:Vîi |J' j?e;sr £c« «.'*«= ;il «s»: iÿiUelt idiscnwrc ck'> ba?cs coiVHCiérôes.

ii: ï'il t'i -:îI aimi. '&

Aÿ- ?cu' dûlô'flunc A,. i>n fOTf Que Ou»; A(. 551 'ié à 1 pë« "êQUSlice prÿrçdêntê. que <esl lié < r, lia lui-m»iT:c 9 r .
fldi esï liii-meire Icncî'On de Si 011 lie Si A,, par line seconde relation fi, i'.J, un a siors d3u< équations à deux
inconnues que l'on résoud en

dvsmenî a *,ia CC-»»VWi :i CW ,'

Or* «a J nous pouvons -krips iiïg ">)

<*72 t

ov< «xraa

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Exercice 13

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ism l>o gotciî c'caj


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vÿ? vî' :L:->ÿ,-i;- ife:s- «a g.yia ÿ 43S fi*-J ',.1-L,Lr
•f-'//!o:i i'.-;fy i$SAX> c': ÿÿ:'• s:Tc-; ÎK'J fÿ*0,VAVi '.>i: -x'- ï' .
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d*?yialîi>ri d' md* \ si r?s gft.f-fe» :? aau vnri « £»i:iiiY£wm s !a taVwa

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Cv ?l"( <)'.'.:i':.'.J>r'.v.i; /:j::)> zoy;;.r,$t ir .:«)>?ÿ•::><; pnor î'.îcx": f ci O-.' Je né"T»; :'•ÿ» I
Lî &j
S/Si'fi i-jLCiïÿif: 3tï Ta l-iù MiitchiAxMi: Iz yb,x_ >.1'"j1ÿ;!.î tf.t-l .
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cfcmÿjo ?ifcrc. :i<ûf k-% ?te;'tfîî jH>\siïtkrjf un xiLftocnwic sui Ji>nne une norroÿonrisnce uhor
s<iil il l'a ut indexe c )c.i fik»rvs puis <etvoUHÿor
J l'vxrÿVûnv P«<?:s/?9£iW3 .>£•*:: pte?.?. «ev* p-é<? 'M •*. ÿ'-Gc/rvc. cc- ;ÿ.i i

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B. Notion de &o(ïiî chjst et de- pcir.t irizÿa wlirtfW. a ik*. sysm™*! or.'J*i«

C. Sdg.-rîsTiM?!* rïgaweu*
D. Les systèmes c«$*tvfts .
E. Aplîj'iètisrni .Igoiÿ-ej-î .

F. S*igrmSi3rrÿypp»c<'lw.
G. Les conditions do- Gfcua*.
H. Application au diepire plai

T. Ajvarr sortit rie- aysrÀ.T.w

.:ï*u£i!&Of&Â
Uc-iueivjîo' ,i-'su »>. i 'stf,.¥jff, . .. *K
,S'r.wç..'ftr A-*- «Aÿc-.tbva 51
7»«à,A';ïÿn" rie.?
- . i>? ?
A, Natta» d'image
Li. noîior< cPûiwiêc '.«( l»îc 4 PobïcïVÿTkir visuelle ÿ Jts fins fi*"W3ï\î<n-aiwni
Ifur \'iijlr.ini<i;Uvjer- 1k luinifrÿ f\ril reçoit sut lr- rêîi/t/r sl.es in!on.Ttr»C/><,u'
tr;iijf-ï»vrr su wrvenu *tuf. fûtùte <\<- signaux éLeo.r&qu?s. A. yitrtiï d'iu-
iiii'î!
rcnwîiom acvft£wta;iqu«ÿ --romplnÿsos, où in'ur&unï 6**. w>Lw ««ïw* à
dinqUc i.i«Lvi4u; uo»ÿiy;»-o.( la •i'spprexuïîisspf, le çeivrrv.u foftrjirctç
_c;<e ol>&ïi-vrtfj;i uiir .ruoÿc. il s'aicr Mvdem'ne&t il'iw njrn.-
islt, qui jic ressax.-ibJe e<i ««i a l'iule jo. «seti! iaiaïJ.iutr, coeuae tu*
dapLicaû"" >'ccw»>a»ffi>Je c!c i-- qui gÿnc.rc. l'infonn-tfïwi taRKfiew.: reçue
et .'|UC jwrta» f.vpik'Cï ItaciCorlVuÿll l'gbjKt

:'Oui *>tu'«on; rtiflj* convaincs de i.-. mure ïntïitalc rie l'rùi.-.ç: et; 'lOjiKV,-
cam qu'en fcrsjwfif. l« yeux. nous :ooou»>w>s ••: vcw <;etve ausu-iJs, •?<
que 'J'PtUtt». Mirages, co3ti:De peu»*? de «v.» fêvt*> îi'ÿn: paa rit. support objtl
palpable. L-'» fcprêstîataîia»» «te Ui. «yen qu* 'joowaie à. contpMCT ]*«ii 4 oa
»ppii.-'ii ph:*»*nv-tbÿu*. et liï iretVFiirt à tin axieur rêtbticftRC* pa->-
Sîf-, est ÿlOrtC treirtée. Ijri ibuÇjOJf d 'ottî'njiiC v»if l'ffKprMsiî»» L> plus »w-
d«ue. J;aitr J'M&mpke de la fty,<\yt 1, ies 'ivînentf compris ',nuv. l»?s poiaiej!
de* fliKBW ett-tk la KtàJic îonipieu* ?
Le wwu p*c rânrcrn&l&âc tic J'irotÿ mèîuîi]* tépoisd non. "Le iiouMs
diciiJMr'.rc que cnn. Mou* iwçïffK* 1er dn cvicîçtt>; te ;'ah que k pt?-
ceptioo vâ-judle des 'unary:'» utilise l'i-ÿKrp/etÿtiur) zeïrtrç.irî, daouces.

Xôaf--!Ki>£?r 4'}V ':ÿÿ SrsM


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La -nîtoïk hujïwàte >- seÿ l.konca çî«ysi<iocrv. suctovjt Lies à l "il : critpast&iliii

de des
voirriçcfli.K inH TVTiù', pr.'ÿnci 'T loin'wrrs x»s- ÿÿnjûc, w qui f«ïî
nous siiilisortÿ itc» Syjietlles onrknf;* {uikxirsoepr, iuiwrtte) qui. w>o! ooruer c»"
ces dcve-U; tm«ges -spxiqees reiicatWaaies e: phi« «ichet d'Lil«>nrtJ.îj</û.
uii'ct) Via»»c %JtfKè»e. K'v«xs ictooufuw -t» Is <*.Oop ri'inwijt opwjue.
"-ÿArts Is ."'.life tisu» x)ÿ: >r.uu> ïxi'éc«sj!np.vit> 'jVih C.tasr Lcnj.e upPqÿer rjn- t\t>v$
t>oo»T<e-of)« Kwnple>i«<»i ? buiire v.

ûçiik;an -i-îx, v.'s >v' St

B Notion de point objet et de point


image en référence à un système opticus
B- 1 ÿ-Wcra©.
iJr.

ILis?«ccr se- -oenque cat <{>'r Avprnÿa# -"ii »io ccinporje que des dir.'>iu««, :<it/<y-
:tc t-jj.npr<r«z q.'ic d« Wfroirÿ f uuaC'WpvrxÿUf. s'il cwnptTW «its

dioprref. ei an ua ativoir.

L'*<;»pi|nr 3 . fodiiÿliuci ÿIcs 1'iidOfi;


Duns ia suite de ce chapitre. sauf indication ccriïaire, le système optique (S?
désignera tin système diopmque.
L*s milieux d'entrée et de sortie-, c'est à dire les milieux qui baigqem les dew
faces, sont supposes homogènes cic sonc que le rayons lumineux s'y propa¬
gent en ligne dmftc. les indites des milieux d'entrée et de sortie sont sup¬
posés ègoux, ce qui est gêner hlerneut le cas.
• •£lo;;o'HtùTc.f tfxziaa&vtàaTt àr.
vsj Nous choisissons comme sens positif le sens tccj de parcours de la lumière
que nous ditiyeoro conventionncUcrncm de la gauche vers le. droite du des-
j sin Les angle* *tw:t orientés dans le sen* trtgonoaiètttQue.


B..; . fegrcwi &s .Tsayeÿ ésBstBfrgsx&i fia.?©
i.urOiér» incident©
I";
' '
ÿ©asteré© ©ft its© ê€ -Kxrf© db. cys'ièms
RBoréEstïiilion d'un système
a;Pqc« ft ©tient won
Un rayon incident est un rayon qui se dirige vers (S), dans if. sens de
psgatk»n de Is lumière.

EQS2T
rJn rayon émergent est un rayon qui s'éloigne de (ÏÏ)-, dsns le sera de pro*
pe$j.c*wi de b liwuièïe.

Un système Optique est limité par one face d'entrée située du côté des
rayons incidents et par une face de sortie -s situé-; du côte des rayons émer¬
gents y-.-i. • ÿ.

H- }. J?G:S2LiI iPi'tfl WJL WÊM3L,, jÿMUt iilZZfoïig© ifé«Sil


ÿSKA vili»s"

Considérons un système optique représenté sonunvirement pai ses deux


faces >v
et XT 'ÿ£ système étant suppose dioplrtquc, un faisceau lumineux
incident pénétre par la face d'entrée et wsMort par sa face de sortie.

La cône la phi* sentual «'«si Si le f?!? ceau incident est un cône' de sommet ri, le point A est un point
pIS IOr«nVCr« aénHè W U1W objet pour l- système optique. Deux cas peiweni se ûréîenter. I- faicc ego
airfaca d» révolution : aios\ (I o&
conique i-icitient peur être :
cessadu c»s cùligal'jiiw.em in
«» 4e syrnst'ie. - d.ivçrgsr/û-, dsns ce cas le point objet A est dit réel ily. '• ;
- canvargan, dans ce cas le point objet A est dit virtuel :: ! .
\

j'*<)1S -Mi*i
'i

i" 1 i ÿ 4

X.
îi ! fr
i !
(

"1 1j

i ii

Point ofliet réftl Point objet virtuoi


Le point objet réel emet de* rayons lumineux alors que le point objet virtuel
n'ctnct p*s c-c rayons ; il est le point de convergence des rayons. Dans ce der¬
nier cas '**. U nous comprenons que le faisceau inddent ne peuî converger
en A puisque le système (S) modiite le parcours de ces rayons dès la face
d'entrée, fv.ur indiquée b virtualité de ce parcours de ia lumière dans le sys-

CqcL Vf ÿ

.SM*Ms
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fessas1! £:-•. ta .&r&. k,.ÿ;-k?/(ÿ7r.'.\{*î
w hm.v?
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I>«£!J-J'/ii ffe XïM'.O, fr&tZbV. <\'£ l'ii &i<ikwr Ci.", '. •% îv;.'ÿ
ftïÈlfifi: >vf<":?'ifr."!î?. ïîfl;

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u»y&-,:-;£-Irarattr t-:~ wMisîi'&l

3:- !••' &*$?.«2!-. •.ÿÿ••V'fÿ'/X-' i:-v aç*fc38ÿfiB Vÿr-ff sw? .°?,: &$&£
. '6$v$p.w&© \? V:vÇ,v« ?«« ÿOïàïifi «5 '.ssfaBfritV &&*»*%
•«»Sg!Wïiï&'lf-'A-C. fe ;
~ 'iÿÿ.'.«;: •*> y# fc- i*iï*î "iv*j;ïv>ii' mik •œis»fS& £1 m
— j£W::.<A,$W.fe &f;nt flfi *&* Vi fcM'-o ?3P ÿ$« '•£&! (S& P,-

m-
t-ÿi s ï" .'.v.lï •fkaii 'C| X7t\7-* C'-ÿî
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ÿÿt<S ra 'ÿ.-ÿ •>•
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< »? î igJ: Z<sL'C VïfiV>L
Mi K>kZfSX'.'$tiSto> l&SV:
le.' r'«&£.-3.*' tu» Ô#.ÿ;ÿO» r«"ï sQif'iAift îiyiSr fww Â> ÿ

tarAn-tSe'.ÿoV-

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Cîu-vUkf :-ÿv "ityïic,
Qu- ÿ îÿ; BSaatfÿa Bîÿyÿ£3 t-c-.cÿ'v

%# 'fi- :w.~ÿÿï •A>;ï»r,fe.Y:'î:> •*. mi» rrsis-c •>•:? s 4ÿ». s


.-ir. «iÿxr>ai,v ugr-te:-.,-s iw »?.y:c yî»-3 ÿ lï'-ti .v:'P.,/;- 'ÿ*. ÿf<'à >Ht. eÿjarÿs
st 'j.r>v y.rt.ÿp tm -tïj/&s ÿ?£&£ ia $&: -5? rVSi£ÿ' c-"'v *;«•&:£« ÿ?j.
"l-yvrfow*.- tJSitfStëx :'tr«vC k»4 çps-« iV ÿk- -/»Vâî.-.v? .*îy fil |o*
•rxâ*>ÿ• S"îï'~ 3* -/C'A, â1': àjlgffUA.
s?c*«-w-îf; ; f»,." j*> sûûb»-
.â # Uatg'-t
ÿÿà&Xf "X>*!: /stwW# A «r.- .yÿ<ïi'!- iï-sï*- yi ?/•;.£is.4

Copyrighted material
«

P«r rapport à ce système et par rapport à ua sens de propsgatLon de k


hjffrièSR.Tcuîe nouvelle prcblématique., par cxezopk l'ajcat d'un socoad «ys-
tèrae optique (3') à la sait- de (3), Barxsmt nias! «a nouveau système
!>*' = {S U S'}j îl<»it conduire L tiiie susMlyve poux redéGair cea caractères.

ÿ•WtaÿWfcdîi " tëwwtaiçaffcfit7-

Espaças ûbjat Ht Images léals Ht virtual*

! sîiÿias »qui atgv.rte C.'i.: a%©iiuÿrjàï ? flûtes ©©CLfiageaés


Si nous utffiscae ou fabriquons des système» optiques, c'est pour obtenir des
tawgea ressemblantes *>;<* cfojet» cbscïvte ou projette ?our étudier Je fouc-
coar.erser.1 optique de ce* systèmes, nous utilisons la tiadco fcodamentale
d'Éiutse d'un objet lumineux. Ces image» 3e fcn&en'i Itabirueilemen; su? une
surface (négatif photographique, rétine, éotao. .). Jêaw wSvMoxn de plus
que ces imigea soient nettes, c'est à dire que le système optique donne un
paint image de tout peint objet d'un domaine à sois dixnenskma.
Noua introduisons donc [our clique point objet A une correspondance evec
•ait jœtot iotage,cocrojxMufarce réalisée pia le système optique (S), que l'on

peut traduire par l'idéogramme suçant : A -ÿ1>A\


A' eut par définition l'image de A donnée per (3).
:wm&:v
: ïte system etftiqi* (S) est dit rigc«#«ttKft>Kftft «jRWrtque poket
j O&jct A (réel ou virtuti) et k point iciïge A' csmspoejdan? («si! ou vir-

' î>ÿel) si recti ira rayons focldecrt-i [«wmt pif A éfrvfgwt du système •
optique en posant pss le point -iraie A'.
En expliquant la loi du retour inverse de la lumière noua obter o is :
(3)
A' -f:-A ce qui. montre que A e: A; foo'flfat va S3wfi$« 49 ifÿfulu© ea?«#i)-.
çwts pour le système opaque (3) ri&ojrejsemen- stigmatiqpe.

C iV., Qx© mC PesSfi ?


Rw ce qui est de la notion d'image optique classique çvteètkttnti-ar dél¬
ais,. l'csil est îui même un système optique. En ce sens., il doras une image
de cheque point,objtt ou image, qui luienvoie de k luotière.
Par ûMWre, La mion de l'image, au sens plta complet détioi prêcêdranraeai,
relévçde 3 'roi et du ccr--er,u qui sat iccoutuizté à ïa propagation reculigné.
ttSgtiBjgj? j
Ls système uirad perçoit 1e hicniérî reçue comme ventât rao Egjoe dradre :
l'itfftfiç m toyjaeat bmtpîfsèr. «xrntne aimée eu poiat d'tetoWtfiau des
rayern reçus par J'teS.

V'qvJ iïpPQs rJGfli'P.I


Ceci est notamment à l'origine de la notion de mirage rencontrée au chapitre
2 et schématisé en figure 8.

air cliaacf
*•>) chillïil

Fig. 8
Mirage inférieur dans un milieu stratifié (cf chap. 2 par. C). Le parcours de la lumière depuis
le point objet A se courbe du côté des indices de Fair chauffé le plus fortement, le système

-
visuel interprète la lumière reçue comme vérifiant le principe de propagation rectiligne ;
.
il « voit la lumière reçue comme venant de A' image de A. dans la direction OA' et observe
le palmier dans le sol, la tête en bas Après analyse de cette image et son rejet par le
cerveau, vu son caractère impossible, elle est qualifiée d'illusion, de mirage.
Remarque : nous noterons en pointillés un trajet qui n'est pas réellement
emprunté par la lumière mais qui correspond â une démarche mentale du
cerveau qui utilise systématiquement la propagation rectiligne de la lumière
pour interpréter les images. Pour l'observateur de la figure 8, dans la direc¬
tion OA ' il y a un palmier.

C.3. Le miroir plan : un système optique


rigoureusement stigmatique
i Vo«f la definition au chap. 2 lx miroir plan" va nous de donner corps a la notion de stigma-
permettre
paragraphe B tisme rigoureux et servira de support pour introduire plusieurs notions
importantes concernant les systèmes optiques.
Considérons un miroir
plan M comme système
optique et un point objet
A comme source lumi¬
neuse tip 9}. Nous cher¬
chons quelle est l'image
A' de A donnée par le
miroir plan en utilisant un
tracé de rayons émer¬
gents.
Fig. 9
Situation de départ : un miroir plan Procédons à la construc¬ *- A
est éclairé par un point objet, tion du rayon émergent
ici réel. correspondant â un rayon
incident donné. Fia. 10
Construction du rayon emergent correspondant
â un incident donné
Soit un rayon incident AI fig. 10). Nous utilisons la loi de Sncll-Descartes
pour tracer le rayon réfléchi IK lors de la réflexion spéculaire en I: nous
avons donc i = i\ Traçons aussi la perpendiculaire AH au miroir en A.
IK et AH se coupent en un point A'.

Chapitra 3 Formation dos images


HAÏ = NIA = ». _
AI ctant une sécante aux deux parallèles IN et AA ', nous avons

De même, A "K sécante à IN et AA nous donne : ÎÏA'I = NIK = » '.


On a donc HAÏ = HAÏ
Ainsi, les triangles AIH et A TH sont égaux puisqu'ils ont un côté égal HI
compris entre deux angles égaux AHI = A'HI et HIA = HIA'.
En conséquence, AH = HA ' et A ' est le symétrique de A par rapport au
miroir M.
Ia. démonstration précédente ne dépend pas du point d'incidence choisi sur
le miroir (fig. 11 ce qui permet d'énoncer la propriété suivante :

Un miroir plan donne d'un point objet A une image A' symétrique de A
par rapport au plan du miroir.

En conséquence, pour obtenir le rayon émergent correspondant à un rayon


incident issu de A, en un point quelconque Isur le miroir, il suffit de tracer
le symétrique A' de A puis le rayon IK ayant la droite A'I pour support.

Dans le cas du système optique miroir plan, tout rayon incident passant
par le point objet A se réfléchit en passant par le point image A' symé¬
trique de A par rapport au plan du miroir.
Ainsi, tout point objet possède une image rigoureusement stigmatique.
Fig. 11 Le miroir plan est le seul système rigoureusement stigmatique pour tout
Tracé a l'image de A point de l'espace objet.
f miroir,

1 ce otyct
•î imao* virtual*

C.4. Réalité et virtualité dans le cas du miroir

m
ut iimac ieci
plan
Appliquons les définitions vues précédemment à la situation de la figure 12.
Le point A, origine d'un faisceau incident conique divergent est un point
objet réel pour le miroir plan qui joue le rôle de système optique.
Fig. 12 L'espace situé à gauche du miroir est l'espace objet réel. L'objet se situant
Réel ou virtuel ? dans cet espace, il est bien réel.
Mb t«»:eobt« A', origine d'un faisceau émergent1 conique divergent est un point image vir¬
(y at tmoQt vtrtuc*6 tuelle pour le miroir plan. L'espace image réelle se confond ici avec l'espace

I,
Yj objet réel puisque la lumière est contrainte de revenir dans le milieu d'arri¬
vée : ceci est une propriété des systèmes catoptriques ou caïadiopiriqucs qui
r" ÿ/'
\fj • • *ï>
V %
contiennent des miroirs.
13/
HK ***
a L'image A ' se situe dans l'espace image virtuelle : elle est donc bien virtuelle.

m image >4*<a
Peut-on obtenir une image réelle avec un miroir plan ?
La réponse est immédiate : appliquons le principe du retour inverse de la
Rg. 13
lumière à l'exemple précédent : nous obtenons la figure 13.
ÿu virtuel ?
Ix faisceau incident est bien un cône convergent : l'objet est virtuel et l'image
< le faisceau émergent du miroir est réelle. Il est donc possible d'obtenir une image réelle avec un miroir plan.
p'an est aussi dit faisceau
Héchl

Cours
ï ttv ;la V mor a>î
wvS'-*
CdÿSÛTaMSCfeiïBÎi îi*Kh&B k«'
vvt iw viu»tï '/àtï-*o ;ia
'ri- ;****'ÿ V. i
s»iî?t e* !'.)li:tH yoriArc 1.ÿ6 Cans le car. où il y a srigrnatisme rigoureux pour Jeux points A et A', si
r*-vw« .'"uses .j:i7t«rr?-.5 m:«i l'on souhaite déterminer A' connaissant A iou le contraire), deux rayons
i.vSkt ;#* >.»Tt:n-»4i provenant de A suffisent pour déterminer le point image A 'qui se trouve
vrofe:j r-i."!"!';.
a l'intersection des rayons émergents correspondants du système optique.

il-A* ilxxr>.ï?i vIÿç/jl xÿiste tejx&x ïktm xx xdàroihr

• v *j! | --.ftzooe çtjuïi a.jjn ./.catcie iu> point unage per syrocinc- nu xe-ppm on
j \J
y

' V,s '1 mi*©"*. L'op&wisa jçsowwsnjgue deo&e l'image d'u/i objet zmasi ttes
? \ <w xusww»" piw> pk rîrjt'-c votc symétrie. jast rapport s.u pin» du coirou1.
Carinas r-ut is ô$otc 14, P'cfcjrt n'«t çènrx&lrmmi p**» suÿi-pnÿyt: r. son.
iûit&e : l'objet *i< dit cïtica'
'il-, iè
l'itbjut. M *;:r. ir/lijfl un
ii»ni' eti su,5 -, , , ,
>ÿ,* hwvwu<j.«* dffi&ÿOÎMX &&

le cm o?\ y y * stÿcii.i'xîiri?; rûjsorïuw, i'ixnsgc ri'ue. x*cù.-.i objet est


yaâptp. Xi ««ait dcç-c ikk retoéca rl£ cor<i>.\gÿi!?£C' pJg&aiqy* qy? lîe if.
pov'dor? 'J'ot pséttt stoeî «i de ?oî> isupjt.
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Un systéwe optique «t dit «dptutt&que pçwrcché pou* iit» coupla dir


points A. et A ' s» len rayras iww du paie* objet A ccii<- orgeat., apsii cr»-
vcwt du vyvî&nc opiique, .-Sans un votaott de petfre* dfcooastof* *i»our
du point A '.

ID©vB le es» «vÉrtùîal cù te râÿpoaœ «M iw aiîsÎKe, «« sfignmf pfcwtÿc-


:«llJtQ'j£ tMt ç?«»pie, poti« fÿz-'y y tii 95«aS5tjyjpe ffpprodrë, il fevl que ire
ztÿxia CDiw«ç*«j îvx iimKarfaes fiate do iiceÿWie &d«ptée é k 4iowfvten
•iea pheicewsçtem corses»»? duo» k g&spftur. L». noticîi de srÿçMatÿrsrf
îp'pi-ûdif d4Ei syasfene vy&Zi*. «t êojic liée £ h &xust Ou rfecwteTu-.
rjyj=tjfc dttw d'wftfltf r;« à g>«&* -oÿ% ffa* 0vw twt tffcjweSv>hcv*&s.st-
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Mous vciytyos que les rayurts peu éloignés de S'axe et peu LrtcUoeÿ sur Vaxe>
appelés ravens paraxi&tax ou rayons centraux, converges c dans un volume fini
proche d'un point A' pou? y former sur un écran une tache circulaire avec
*. Dn paye s* reporter une concentration cle lumière au. centre de ce cercle1.
3 d* ce * cm a
le 'inure 11 do S
Lz lentille est u-i système stigmatique approche pew? un souple de poires
À et A.' si les rayons issus de A sunt proches de Tfcjtc et si Ces r$y&tl6 font
avec cet **s des angles; pàtiis*

Ces conditions concernant ley rayons sont les M?s<aV.:.ioÿ ste £?s k&z.
x Cwfornémanl à re qub nous A.' est dans ce cas l'image de A donnée par la lentille-', au sens du
Ij: point
«vonixJicjl Ifluiîrsjc ici posséder sligmàdsme approché.
d*D iriomatiars concevant le
capiflor ràCèk'Bnt rinçage. Nous remarquons que les parartlêlrès concernant les rayons sottl :

_
Lb phflCorf CflfT.BiK pl*cè SOr l'o*« réloignemeiiL à l'âxe optique, ou hauteur û'incitlen Ce h ;
doit avoir toa difTwnsKjnL frn
BVBC ;ç VDluriK
• l'inclinaison a sur l'âxe. Ce que nous pouvons résumer par Ut figure 20 Sui¬
defaissanl !* GtqroateJTiB vante :
8(jprecnè. doplreÿ
/ raven lemmaus

__ '
3ÿ9 oÿrquÿ_

-h.
pyrtffiïètms h ûf a ceme.fnndn* un rayori lomiMaiu:

Four les svsremes centrer nous généralisons le résultat precedent

ÿour un eystème centré, il suffit de réaliser les conoiô.ons de Gauss jwur


que le système soit ctigmahquc approche. Pour ceci :
- Ira angles a des >.*9 yais avec i'axe doivent être faibles ;
- Iî. hiuceur d'incidence h de cous les rayons aur chaque diopere ou miroir
doit être fajblr devant ie rayon, de courbure de. ces dioptres ou rrdzoiis.

Nous pouvons résumer ces doux conditions en ont seule en disant' que L-sa
ray&KG rfowtwc étci? .vÿrsaraVzyft, si Von donne à ce dernier mor 1a double
definition précédente.

G. 2. Ccir»\ssÿwis:r.Kÿ'3 dtea sÿ©:i:uT;7.?ficjf»>s ûk Gmiss


Ci,2. 1 - ?,ri.gryx\tty:c\-&m\>rjs.?.z
.tes angles étant supposés petits, nous pourrons accepter les développements
limiléb des fonctions trjgcnométnques cl utiliser des relations approchées :
sin (.v) - .v .; Co* (x) - I 4~ : tan .r.v) ÿ
x cl au premier ordre cos { x ) ~ 3.

f--
t! .1 I : nii*«l*«! • •!•••• i *i .V?v-W-Ir>.: ÿ

;•&ÿÿ' i
G.2.2 -
Dans itrs conditions de Gauss, un point vohin do l'axe dans un plan ex 3ris -
verse vérifie aussi les conditions de slipnatismc approche ce qui fait que
l'aplanèlisme est toujours vérifié. L'image d'un plan transverse, ou plan de
front, est ur. plan de front. Les plans de front objet er image sont conju¬
gués.

G. '.3 - R-ii/.fijur if :3k

La conjugaison des peints objet A et image A' appartenant à l'axe, ainsi


que Celle des plans de front associés, en raison du stigmati&me e.t de l'apla-
nèïisme approchés, se traduit par une relation algébrique appelée relation
de conjugaison.

G.-.4 - «ï*Jï ibrafcjfe':


Gtot felt fOCWlidans tir. 'Sauta, pour CiSJisfc-m*: ).'way. d'iui '/Vtr.i A3: yVftis-
an (tlzn de ftcai, étant un po&n: de l'axe optique, que la
«-W:» (;iw. t.iMckhk: ;d-' dtretiioï« AB et l'arc c-piique définissent ur. plan E-hiiiKr du aysÿcu cen-
****'' *;,"SCft
ttc. Le yyïàv.i'. «tant de révolution,c: plaît coi'tKiiV le îtetnnak au t«râic d'bt -
cidÿarr. C»nfsrwxéx*triil flua lois de Snell-DfcWinrtrf-, rVruu rayons iaiiw d?: B
eï aiYÿrtœutzi' è pï phr, atêridiert, »î eeopaçsrd: -Jtna •-«. pisn er l«w in'iar*?:-
'6/ï>s de»ton te ia>*tgr B'. L'image: .fr \t? ' est dente dirut .x pis», mérfr&rn.

Pour obtenir l'image A 1? ' d'un objet A3 situé dans un plan de front, A
étant un point c'c l'axe optique, il suffit de tracer dans le plan méridien
contenant AB, cîcux ravons issus de B, et d'obtenir leur intersection H ' à
la sorbe du système. Le point A ' s'obtient ensuite sur l'axe en utilisant la
correspondance de plan de front a plan de front, c'est à dite en abaissant
U perpendiculaire depuis fi' sur l'axe optique

:lus*;» <$'.< *10 wj*>


fciù«è,OT :<ui M!1 n/ar,
rie* Hiih'flAi&fr .!ÿr.
4er ùft fira »hs '9 raws. lrr<«e* d'un tttysirtnnn** p*r un awiLt» npéryt» r.«itpn.îé teî/ois (adUIas Aaaiw**-
î 'jrfini. *> iwifc-n is
ÿfioîc-ofE3 ®»r.<N?£8siÿi®; i&wswcsot • nwce îu rr*r:«i 5»$c&m:e*
7>'A1i:
ç'ôivditïCTWc irantt'srssl tf&Sc

SI St-ve èu &w. a'ïpt o'j iùïûrÿ -tig. &)}.

-iViYitf

ti'ïû jfSÎG? Û&jX

i§$*s?#KSsiis?Ite>-
ti&; KârtSfôïîïS -jMi' fe VfJ'MOi « •MsÿïS L£-a«ar%î
Ssï k fe®c* çui jÿr fivfi afe» v'TittëM

H. ÿHRtNÏBit m& Bpii® pkr?


S; v.ib'ii l-Vi wâ»tMj(-3 <f;
aÿÿsksks
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>ÏUJ -&C* t?ÎJW&$* gwtt J*#ta fcwÀi'


p&? te '4îÿriÿÿ. Mm«Mtar* -to £#«$&«*»*ÿ
fe 'mira
3S peint îïisÿ ÿhs Jf
.d'ûÿcÿ. fgfeiî fiftàfcii
(ift
DO -ÿ-nfisa
irBBwés? «. «c ffl.

.îfësfrtr, :. ii l'i'i' 's,••'*»! Copyrighted material


(J.iîfciï ai la pâti*iiM r.« ;rioc u">oj;-' àe A, >
&>>;;& îsvwm qiic le fraye/, .'ttrds©* au dia;yj» ~i? &*?£ foe
&&£ :>!/. b'.JA fc»gk ï/T.âdXJl'.C tit îxtfj. L.'iïZMgï A, 'Ac. Â, -iW dtiflC «itf le. A\iO'
risjcAjH" ï-j dfof>ïe.
3<~ Le diyrin i:«g. 22:, «Je A, -u»îï lr#txw > ?*yo?i À,I .xjyeu j'sÿfifc i,
par >V'7tcc s ]»• w;ttia,c vu.
Eii \«Masa« k w> '<•» l;i rÿrrt'.k'..--, swan traçons le nj*\*K vjui a». tat-iKH» da>w
le ruliffj 0 .'.W:r i'r-sgte ;r

Fia S
Diopîra .nfcn ; fncâ 1« iirçcni

UiiEfige <je A, hsWîc an .% a J'iafcrssc&n


*j&': c.xftccasw A, Ji ï: ?& :;»j
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p»mjv/il c« si'.w. d«t» '/«f.r.tt oVier,
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» u© zar.etàc «sw». : >*. sysirâna ecr .<k»ca <$ï aïîwpI <?r ?«m\
islscw-j r>-{5*v.W«4ift Êiîadeaî sjnvçe ewaii* ac. falsest» cvlfc&fcpre. N»:ÿ~
ïf.-zr(o.'x>xiA -ci i'uastfïc c\u'?l y a ÿrit myvixs £t»uâquM à c-ê-fi-ii-ï fi» hvt/*«èra
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22}.. l'ûîMps i
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Sn {œftcivxkisj, z> )*x <f.:>A<6.':t& 4: '.••viv «Ci»ï y««:jiiiÿ-s p©».jj- éi'ÿiir: \1K-.1.
itort h <iiopa? j>kr: îrypoafjÿUî et L« kcsw JiC(Ç rei?.»Jor. <2? ftoaju%çsii.«v:i
6littç«lî ,ic f.-ninl h f oi:ïi iwieg-r q>'I c*.; y-' >i'iî«i!il?ï>-£
des ,-jÿt.oî i>siy: <J« jt-cÿr ohier.

3. Âfeÿnrâtioÿs d©ê syzt&mm ©ptiîûjiiii®ÿ


1-. 1 ?

rant « parsÿ'ipiiî i!X»'jî A£-"Ji ypcir.o.-tï :k «sm.zzx q:i.ziq*iz?


pr.iif r«'
wvytil C.'.lVit-ttïbXt. î>ÿ. jlkfcajttlcau; 5>ÿsêoM:4 r.-ÿdÿrrri M )»l wrwç-
ojriîi ecÿ f'ÿpuymt tcz &.y lyi'Jzrz? cjp'jqvs» .<i*?.ptss.
33î»;5 3? '.»5ÿ d£î centre» tS,'M HVWI5 •*ÿ>. VlKlÇVSUïsït à.% CCiKlilK»»
:îe 'S412W dn.îy» la. •îcr»-s;.vjs. -Vaot I;4oa Le win:- i:V. ÿ.i-5'.t?
i.'<?rKUT2î, le y?îl«ïin e?c »s<i;rwajîiïiSv«-!i£fi; ïo'srÿfiÿu! fi s»o«i
gui kî Stmjÿ.î iÿfowsii.iM svr. aisïïfl.
3< !>y?.rx>*-je. ÿaiïaôflJÿ «ûr- 4\ajÿt»:ùaiv?.wi lr- h»oi»:î- tÿ>.u
I" d!-.îy!T- p>lVi «4 «i'WOfl «"If-. W.5, *3®:16 lî-'i'-y.!1.',:

ClMipirre 3 : Pcrrnati'j'ÿ rJ*:5 ifivyes


Z-0C7 yvoos régliafé les ar.nvs tia teunièira ordre sa i. ds:is in suite du cakul.
D«w k rs~s 3«sêsal, k? imgts Wtanws oc kuïî pw £2&feîîes raT :
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- ki dtffi:i»cri:;c stewvie d'il/. ï'-iin ufe-j« vie* ï*cbc ok dcffrtdUvrt .
- i?2 diopftÿS iïfcVSrsêî pM la hlïKÎSM pciyÿhAtlCSOqU'? h
- d.?,vi iw Tysïcnic réel?, A;?
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éir?(ÿ'/k< dr J'fljfr.
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Oit ckaij'c W\Jf. te 'ieci cJ4aVi<?Tstto'i4 les défcnus ifef iRi>çc."j ch»s à it &*- 1

pera»» oj a?« écrcte à lr*>?»qiM! vk G*ubs.

Oc dit»«isv.? ri>ni4 cs£«js;>.i« d'abeiveossris :


- !»s> afcaasaooyis du« « L» ciiajwtsiott, e»i £î;»widÿç\i«a ,
-•ifja
le» ttec/viea* ce hvmkic nsMrwvcJii'OMatique due. teraws néÿlig**
au*'
(c es». «te l'optiqueparasâele (cf relation de cc«<>igsiBCîi du die?»**
plan)» que l*»c appelle fiifcœprçrtiiswe
lia»', ici flboTÿncnŒ jcfiifcêttiqufi* un djstitigrc l'âbcrtSîWA apbÉiique,
i'ïb«ïscjaa do ro:tua. rssûffKttttirw, le c-jurtwsre de c'Jiai&t; et .ê ù»<a«ior..

1,2.
i'Iiiu» *t<»î{Xjeicw dans te ffcV.ssïd.jïhe qw le* ancres sÿf«tîMt wku oigli-
geaWaa d.evae.i I'fl&emvian -.-A?aÿsoqcw.
Cette ftbewvieo concerne l« cyskiï**? opcq>ies >2srapMe&e9 ctvÿ ppjr
u-w Icotiire polyokroiiteiiquc contre !s Iwiïiôr bbnche par ewnipic,
Pî«te$«.te de *J<vwic& aiut £bao§ç»«n.f2 de revlku .v àkpccf. rte CW.-
dicc, -km» rlo la k-nçîteui: d'onde, <1 v < dkc-wton de lo Jusroÿr?.
seals sp.voî»3 trti-î k deviation d'un rayon lusuifteux due ua cdsviie *3ï
plu? impomoîe pwr '« r»i»iÇk<*iK btevrs q-je pwr Je* '.«fcatejis *
ÿvou' ivieeac -no -l\o,:îoj- 2). ïîoji wùcÿvons cwt pïoj'iiirft :lens Ici leonlk*.
co/ajnï li x!i«tïi« la d« le figijr. J~>.

f-5- r>
i'fil-'îs te rÿûriT k»*ilr.a«<s k 1* Uav««*> rl'una l.'.iWlo
trtJJr Jira k'iïj'v; :«S«>JTM ÿîfltUd'ïbWÿ

Oc fc re;o?«?iKî*é wriî. /iguie le tmje'i suivi, jp&f txoiî iT-difooÿs dî codoiu


nxzfic <:?-h vrnc 'V), Hcue 'li; qui win cwrtiuc-. dan-- la Im-viê".' t*l;ficîw
in.nccn.L
-
Ur. sbi*c tc'airc- m Ivutiiérc blondir. ••>!«( c d«va»< ui'.e Ler'iJ!.'-?, donnen." do::;
uiW iiaafif liipêwnc foui clt.-ÿjt'C ÿIirurj'.-nvif :elntqoi' im:;ic m:?/ w.e
pcsiw-n a une jjoatyjc ne «Jilfcinic

Il y » Aune cbroirridiJïK d<? pesnion, on cdvwrtsusii'c -.is.tl. :f < 1v."hïvj-


•lçn>c -Je yÿ.RU>5vci'n ni.

>!c.<v cwichisvi ic. a m-, -?


<ÿ 7»'ir (MrrijJ?:f 1ciîii-. Rhtrraiion Ot JAbciqwr ci??.Ioncille'. ic-h'00".;tcsut- voov-?-
(«tiin-iiiDK '-h'O'r.ûSçj'. On».'. feooreÿ. *»> des Icnii'ks e«nvcr>R'"tc$ ï3«i» dt:: v«r© c,w.-.
«{'«lOi&t « :t n <u. <" J-»":; Jcr. Swnlles ci" vt-rÿcners m vera1 î'êiu iié>- %îisp«rotj's «Cl clinÿ I
saitaifo 9:1 connais
Ç. OII'J.
'P'.n'ii"i3i. :c*w«*i*s
îpetif&roc-ï'e* ci- l'on ÿ'yvc "s
/«5v<i>!m -ift l'<m.idi":i! île i::
,!irMi?fr en»«cor aiv-«';o
1.3. /-.iiîfii;•! : gjfcsi £K£S
1.3.1 - ;>%?.??!?»'
Â\2 p9ragr<ipii£ Cî.l uïîvvi :&v&:n:. ri?.v. «:o rviiicxivie lÿ-lkrÿtioo de £\>h£ocite
vÿisiie icntjlk ct\ twonsn5.-*: que Jes wrils d? u J* wlk.
cây*j»& >e fraies lÿs
I*s K&ytuvs rauguiaw. c-';ut>:oi r*w opriqu; en ckr> point'.- *çw* r< ÿproches ds
1a kmjlk Ir.r* rxyor.s ;**<-.?. mus rt Je ftvil ïfig. -S et #! ÿ

li vu jic.nc de <>àgn*.2;iivnu:, iucaIsc

Ctfïc n\s* ?*s propre *uu ÿ-ruk* teKf:*ics? es.t licc à Is kautrijf
r«bcjvÿii/\ri cjii.i
d'itickiecice ray&tt ei doixc ;> & ciï$vASK*> d\, rf&;;-}ir.>ur<te rf.u ÿc:;o-c
opiÿyr:. Ces? j|oav WIVC «bcïWfiow Ow il'ÿuvr.rrnrr/ J11 nisîcshl-.
Jl y a'îLirfBîJlatfor* (k iwTikrÿ sur une ni'iPisc de rêvÿujo*,-n ÿnpcJcc v»j>-
f!n forxoe norixCe c-.ÿ iiev.he. I.?. <n« Je cette C&dtiiqu? e.sÿ r'air-.ÿo.ÿe
-•n f.«>ii tîiJ'.ê:. uârts le p-cit ;ie la Jijuro 2ÿ.
Pswr -2s>r.-£f«: icïiié ÿ.ÿeiY?.îioii, n.ouf- pouvons krrnor k dîsiphruie?ÿ. teiiT que
ici dÿi2Îy.0YJ07î tl'mresiiiic CJ rirvtaÿ *>11
[;insmei!ÿc ircÿt. :>ftS j?7c; uÿ'Ciaolÿ
'ig. 2« ûbYÉ-.jws --1<rs ÿScnc f??i« de? ÿ si?ÿ-rc cosnpsas* cr?s
ÏI3C3 dp la C«if6(iijii? rrÿî&la -sulup.ivi e.sc «ÿiiteiiîic. Fÿi«*. i«oe lÿi-
jix:.«tsqui\
tiilv dÂvÿrgtviUî à l:> îe/:î:"ic converftente» qxii a a' riteVite CiJrttporiAftli'rtî pour
cv os> <îÿ=ÿ îiiycAï o\ÿ>aÿus. s:i pÿaxÿw.. esi ccÿbionoi ics <>•:•
•.•ovrhui'c* tî |c> «sdj.TCÿ de* v/yre* iÿnvr •'.•uc fc.c> mCS K::t;)J;r.

te c%nnvÿ&>eto-

1.5.2 -Â'.fc-î'rf's,;ÿ?!? :5|fi;


".Vbf"?J*îKr!ï -J< ecino c>r ob»<.fvÿc le C4*s imlincs su? l\i/r
upuÿuc? \'»c ïyjÿ/vnrb o!>ii.u'.ies leli 'jvïï lev ko'cilltrs «u les iriitcir» -.puenijiies
A? jjKa:de ouveTt:;re. •! 'n obwtw encore yi-e civsiique- ulxïis <-i c-s. k poiriL
«nÿ<- à Ja îc»'o'c d'i«>c qw.'c <Ic -:t»R>crt: '.Tig 25!, î'«ù le ikÿv eu* cciv-3
•.'tvin»; v. ec'ile Hbor.'Ht .rti. ën cSltt les •«yi>05 î)i?rgÿ(;.'iuÿ coiivergent tic
«•nitîcre <i»s«;/i7iéicique te qui donne un .dolie illotigêfc :fig. 2 5:.

fig 25 one p«*w .it oexisie ei -Je concj-.ce.


.'..ÿ'jbei-obor-. >ie cc/os s<- '•vjdui: par
(r»$e c." coma daansi Jiir t:"* On -jcti là e: :<.";[>: lirnuc< ceao ïbcwaiion r;i icÿniirt Je d>api(c);:mc.
V'an|«|>up»l-:i.fe:M;A a
fli'ur'inii ijj r.3.3 - ?_*«.£ÿ i';.- e- .15:

î.'nsliÿiiati.'iitic es» dôficui tic Jmvaçc >|iii ooiicrroc un i-oin- clnigiif. île
un
1 oouq-ie. icx-iw s»04ii des svunnes ifés <i!-jy»hT:u«Hês. -iîri obsefe alw.
uc% iiti/ee iniougê y.-viica!cnicx>: %.>u hon?.r.ninicnicni si i\«n dcpi.».*.o on
êc Ksi ;?oiii ie-. oeiUu i",iru%t. ?>'. l'on jwd un o'n'et plÿis tel une croix, or. ne

86

m Cnnoitfÿ 3 : r;>rn>.ÿiinn de.r. irn.'iqc


peut jamais o;;'.r.rix tu même r.ftdtail. uftr braÿc ;r»e?te dît mit vrrfrisJ rï du
traie horizccral.
Cn sait CCiMt-:ux«* lin o'otr.aifc Stta.sTiemSTs r:'j. corrigent <»«r*>Uem«rul cr
défaut, par association de lentilles. champ de netteté r« dépanne pas 1rs 5C°.
Ce défaot »P>me ssne* souvent J'cnl. Laps « cas il csl dt s la (o;:r,"iï :icn
sphérique de la Cualée et il oiïecte i» vision des iwin's sur l'axe. "3 est co\»Sÿr
par dec- "erres artastigm':s.

Jf.3,4 - IL91 rfte ÿtos;.v:|f


C- dé&ut est lié au précédent mais il peut exister mime si î'astisïMtjsine e-st
corrigé.
DjtVi lecas ri'uûï lentille, l'image d'un objet prie. wsnSi'erv se forme sur .wr
sorfÊce courte donc la concavité est tournée vera la lentille.
Cîtit aberration donne des bords d'image flous.
La courbure des lentilles es- il'origine de ce défaut que l'ou peut c«r.T!'f-« en
?3&oci?nc plusieurs lentille* d'indices différents, ou en diaphragmant.

E.3.Ï - La 'Ue'JciT-sÿ.D
Cette aberration concerne de grands objets trans verses et elle n' i'le •; t e
pas l'image cVn point su iÿn>: clu atigma'istne approché. dc&ut jwrtt 5«S
le position de cette image,, one l'on trouve iun autre e.mpljoemmt <\>.r tr.
que prévoit ?optique paraxials, La distorsion varie avec la position du peint
objet et l'emplacement de diaphragme

•<&»> V j.ji.Ve
Objstflt image pnrÿeiai© ling© w (vnia û* baiiUsï Irivuga er> forme lia «.duviral
V'-*.2»
Im&uss <i<j «Hsfooêori
Lau? une experimentation, à l'aide d'une lentille mince convergente, nous
for:mor5 l'i Ti?.gc d'uo cusdriiiag» sur u-u écransitué dîxts k pis*» conjugué de
l'objet o6.x'i. "Iscoi.1 un JisplrraKOTr eu plis ptiçs ce 'a )mîilk> Nous
observons sur l'écran une figure semblable à \z figura 26.e ourles ccridâlotts
sont celles de -Gauss, l'image est ressemblance i. l'ocjît.
Si nous éloignons le diaphragme de la lentille., en le gardant entre L'objet et
la Icnfili», nous obtenons une Lnagc forme de brrill'/c « noua conations
que le «rardisseuieu transversal est plus fuble au. bord du champ qu'au
centre (%. VA t-j.
Si le diapKrasTnt: est éloigné, tout en rçsrjn'c entre '» IcnttJk C. I'iOïSC, noua
obtenons one kna®ç en forme <k coussinet et nous constatons que k jtsr-
dissement transversdi es-, tjhcs important au bord du champ qu'au centre
f.Sjç, .Ce* cetut ccnw-.es obsçfv«krs stmt duo» ou parcours des tJiyoaa
marginaux. Ce défa ut est dilficile à corriger TOtiiemenr. La plupi_T des sys-
té rr.es optiques travaillent riors 6s ccndiîions rie oauss car elles sont trop res-
cacb-e.o (intensité Luoioews-, ouverÿur*, bicibiî/bon).
!ïn conwqi'eocÿ la corn.Jjl'Jtité des sjï.térnrs op:i{(i;r~> résulte de la unectisr.
des a'cerra.'ious mais il «t rare que toutes les abecruboop gêcme-u-iquîs puis-
neui cC:e corrigées ç,t Mirr içrnpr..
L'essentiel
./ ttâfiniixuts géaéreks
* C&jtf; >;;• ic-ûv oUirt •">> O'-i vpï.icl, >-#nnt uvi££« vp.vllr ->u vIjhtJIc,
svsromo a, ïtpae, ofcitf « i-v,-ÿ.
' i"j<7iv; ràhv.-.rvw -„«>? cuic_'-.;>.i:we ?ig»u?<'yx i>.> «ïwiii
* c-/*e<bâ«S9!< tic O&cs* jet»». c-.-vceuvfic-.*

'Vtam lit ;'.r,î

* <5i-wt<wv:ftt w&i, grssK&ynrtcnr :<»iguh&s jvi wwft d«s


«ïdJUlci'ï alg£b('iqu»* ; u'.îl'J! îOfii. rfjVC'i! £<&;!* itfCÂ à '.UiS .ÿ•Jgjîi.'VKeCJÛft. C-.ï: lt>-"
p:v:e.
/ Li itthoL* plan
' R.gOiiir;:sc«Ai;iif. âl-£OsSci<)ii£< Vlat*& A raiiynvitTip.v.* J.f l'ilgei A pa» :
i-'if au pis» *iV. fiWP.iL- avaç :
["«'ÿ - - i- p-i'oiciv at-fh'.i$r.>aa! <io il sut* k «wcn-
i?jt

* ( r j»-»ridtss.rr.Vr:7t r.3>7Mrrv*aî ril .»£>:: i 1, u ffokaJiiiîxM'.'ii jtj-à) tsc i>;a( a


- l.
y L<e diopïre pla*i
• ik. j'jjoîwCS'.s : ofcjïî à l iti'itt' ou suv Ir. twiect eu
-:.jî«îW.

* Djr» lr; -:'•« ïrâ&iaustfïK povntft* IVbjf.j. ?.,; ;fc: i»•/>*#•


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wiz »afioeta« iuimôM j#s»uu <i? : 'c.u<
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y Aberration! dr.ï optiques
Or, ck'f-. tyyc« c/jtJtÿciriî- r
" •'AO'.-iiîîdOi» crircxtstf.vgvt; .swc,' j.e-f te csKCïérï di.jteotf des iiîilko;

* le alter,aura» ££i>fticu7fAvts «.ut:s a l'cuvErtur: du =y:i:ÔYic ;»lKr>x«c«ki J<


spi'.û-HvirAJ, c-oh v-s.m;* ;î oo sv«iw<> 'yoms;. i
l'Aioigi'.i r:-/cii «l'nxa ÿ'"ÿ11 co V.:aÿ <>pî«iuf. t.\n«»V.»vc
d«s cliquy :;? {-Tc. -'rtv:;ÿ -At *riraiA.tî>, au pareoirs d-ÿ ÿy,r,î! suêiÿ-.iuus Ceiî

88
Ch.ipiln: 3 FnrrrMtion
Mise en œuvre

Comment trouver l'image donnée par un dioptre plan ?


On se propose de dégager une méthode générale permettant de déterminer l'image d'un objet don
née par le dioptre plan.

Savoir-faire

I O Vérifier les conditions nécessaires à la formation d'une image : ce sont les conditions de
1 Gauss. Il faut donc considérer des rayons lumineux émis par l'objet et peu inclinés sur la nor-
[ maie au dioptre.
I 0 Construire géométriquement l'image de l'objet sachant qu'en pratique on est obligé de tra-
1 ccr des rayons avec un angle suffisamment grand afin de garantir la lisibilité de la figure.
. 0 Appliquer la relation de conjugaison pour déterminer, par exemple, la position de l'image.

-* Application
Un insecte vole à 20 cm au-dessus de la surface de l'eau et passe à la verticale d'un poisson situé
à 1 m sous la surface de l'eau. A quelle distance le poisson siruc-t-il l'insecte lors de son passage à
la verticale ?
Solution
O IIfaut se placer dans le cadre des conditions de Gauss. Dans cette situation, cela revient à consi¬
dérer l'insecte à la verticale de l'œil du poisson. Pour simplifier, on assimile l'insecte à un objet
ponctuel A.
0 On détermine géométriquement la position de l'image A' de A à travers le dioptre plan forme
par la surface de l'eau en utilisant la loi de Sneil-Dcscartes de la réfraction.

Lo tracé des angles est


qualitatif sur c*tte figur*
Ce rayon n'est évidemment
pas vu par le poisson mais
il permet la construction
de l'image A'

0 I.a position de A' peut être obtenue en utilisant la relation de conjugaison :


HA HA
= -avec ici :w. = 1,00 ; n » 1,33 et HA = 20,0 cm
-,
d'où : HA' = 1,33 x 20,0 = 26,6 cm. Le poisson voit donc l'inscctc à une distance de 126 cm.
Remarque :dans ce type d'exercice, même si le calcul direct est possible, il est vivement recom¬
mandé de déterminer qualitativement dans un premier temps la position de l'image de l'objet.

Mitiddes
Méthode n°2
Comment étudier une association de miroirs plans ?
Lorsque plusieurs miroirs plans sont associes il est commode de résoudre le problème en appli
quant la méthode suivante.

Savoir-faire

IO Identifier la nature du problème posé : soit l'étude porte sur un tracé de rayons lumineux,
1 soit elle porte sur les images successives d'un objet (ponctuel ou étendu) obtenues par l'en-
' semble des miroirs plans.
I 0 Dans le cas où l'on s'intéresse aux rayons lumineux, il faut utiliser la loi de Snell-Descartes
l de la réflexion et des relations géométriques.
, Dans le cas où il s'agit de déterminer les images successives, on utilise la relation de conjugai-
I son du miroir plan autant de fois qu'il est nécessaire.

Application
Deux miroirs plans M, et M, de même lon¬
gueur forment un dièdre d'angle intérieur a.
Les deux miroirs sont équidistants du som¬
'M,.
met du dièdre. Un rayon incident parallèle à
M, subit trois réflexions puis revient sur lui-
llléme. Calculer u.
<M,I
///////////////////y

Solution
O It problème posé ne fail pas référence à un objet mais au trajet suivi par un rayon lumineux.

© On utilise la loi de Snell-Descartes de la réflexion. Si le rayon repart en sens inverse au bout de


la 3' réflexion cela signifie qu'il arrive sous incidence nulle sur le miroir concerné, ici M,. On
obtient ainsi la figure ci-contre :
1
On a introduit sur cette figure les points de /
réflexion successifs I,,I;, I, et les normales
A,, A., A, associées respectivement aux
points I(, I, et I,.
L'angle 0 est égal à o car ses côtés sont per¬
pendiculaires deux à deux avec l'angle du
dièdre formé par M, et M,. Comme c'est
aussi l'angle que fait le rayon réfléchi avec
la normale A;, on en déduit que l'angle
d'incidence en I, est aussi égal à u en utili¬
sant la loi de Snell-Descartes de la
réflexion. On a donc : 1,1,1, = 2a.
A, A, étant normales à M„ elles sont parallèles entre elles ce qui permet de déduire que
et
l'angle de réflexion en I, est égal à 2a. L'angle d'incidence en I, est donc aussi égal à 2a.
F.nfin, ce dernier résultat montre que l'angle droit situé entre A, et M, est égal à a + 2a, donc :

3a = f~
Chapitre 3 Formanon des images
fte>% ite *£<>&ÿ* jtfcx»
cii*ira£ aifirpte' &%is 5i, a:
s
& 3* •««; tiï»ÿ psts rfiwÿ, ÿMÿrStewaytÿ
ô
ÿsin.fùtàis i'frWM&fcw fa tetecvttsi u.<</zà*** LfK é Llïîïïî é 'ii» dt IS# tït. *>«.
Hi i«toAfô.-? &&<&&&& f/ii iîBevi* efc »(i»a«
ÿ*MT&-. w 8 y<4j»:&wHli It; tÿ3S ÿ«s cie»f KWi5ferAC.I'
h»»'** o&fct ;'4ûaàyi» VA 1ÎÈfô'SMfl Ai 3ÿV-
!£#» i'i iPK fs foh'fterp -Sa -g'Wr ÿl
2i& £a "f&ik&ffcii Sfu (£&£& 21M $>& wa [&<€&£ ass
$>&:<ÿ&* i??îc.<fe Sa<ÿàfëW» ft râss !»»•• I-Wiafcÿtaw r/ÿcfcc',
eawif M, *î7iva :&# x&m,s'fti&va*,} ÿh
•:
. *-r
•Ai/é s&v*te 'ftv% «ôseûtfe
iy«9 jÿ3«S.ÿftï9B5-graÿfeeÿç»5Bi!
t$*9 «2 divÇfjfôy 'Ai ?îu» */ÿ!<a:>ÿ('feiÿ05% 3 sÿ-
iftaiS & fe jiSaega?! ÿ <Sm s&so? ÿ raw 8-
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r«fÿ;iKvÿ:>2 ilJi>"i it £!2T- » ÿ»"v w&a iVm»v>
fta'< si'aK wO>xif iAfec- w«n fee .w«fëç ÿ>:
ÿâ rfiïÙz--'ftsœfï&fr W'Çwcw
-tscîg zi&zzat&'ifi& fcsafe saelisajs f
aSfcaL®* <fis«K v-y.w;
ÿ çftliiwfc ? cm L'a-jÿfe v>tÿ fîi.v?«{r%. 'rW' ïîiy
S'itfï <iS ïfisziixo'
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v&te ?aw L-> )"ÿ5W r«ÿ3wti Mi&wtf «w Ift 'ït't '* p*,? Awil: lu\smzMt\A\tofa&\*%4U.
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(j* ife: .$£&£$.ÿ à û. f't-vjjii,
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i weds fevtti'k-uri «« rl.itjvniwjKife.
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C;lc -l'-.no.vxx CF où F C.y te (irnagf)
t) Cm :s*{ li'-Wjf: d'&X «jejtï > l'infini, sitaô sat l'aï-?.
AÇCiçite, -Sitj; 1". r.wvirac: .7 ik Cao». t»; QrvWv va U' ---avi* ifenj» y, Jm tw-ccr.x: ioÿsy «
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IjilvVii: ÿyifÂîiïïs *
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VÏCïrt k: loraaifli «V-rr,s;r;t: x. aasxia&t. Xrfc. ti, a l eut, «/. ÿ
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Ù'Uùi- hv.ifc'.« ç.-.->v<v«;P,V;. C,i w; iffoiMw: Amw -i'*V.
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vR'stlf' iy era (rjhtlîe l?.
d'Ci-i»«v>r L-;,- raw.* !;-.~;o"r.v.: âoÿÿue v.l p.4. i->-7 c,uvl raye»! ownivuK*? v-i-or. A F
vtâiîOf» la cv-v ;
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«..». ÎVraoif qi.nliiwfc'a-ftÿtï l'dko-f ô; « «t
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32"]
U . Ml
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cf.ÿ

Exercices de niveau 1
Exercice 1
y.) * Le poiflV otiii S'i:x l au C«sc»n himûjfÿin eottisjye diveiÿ%?*» et»? '-, : Zi ft. ur« fwinc reel
pQHV L-, M. dcoc £'J£ -.Wf: Vali id-oU |fl«K5 I'.,.
ftesRoioxz : ùî> ?fi)( ÿIçrÿoi: dire çi\ts A# âE9azôînï c to) cte î'; ÿ«'<1 ;si «face
'M o'tjeï réel.

' Le peter efcrâ. S s'ÿ.rv.i 3»o» un fci*:*ra jjickfcftC de !F> sio : AOfi .ir'j.vi:-?'>a >->o. t
(<JW L;. j
,%wu<p ;A£ «j'î./).iy-o.m; p/14 .1 L'raeace ôij*r. wl -if. Lj car -,;gt «psi» «< litrtfc* pas is camiî;:
de k ktwilk I.
ÿ
-
L* po>x»t cfcyer "5 4oim uw fcisceiu fciDuzieia: ccBjtîtMi iiivwjeait <ÿ•»«* Î'înseïiîblï ûzz 2 tarôik.*?
3M3c**a >.« il est sfcuê clin? l'eapacs oiicî rêt) v't « oyiirjixO. &W «ttiflase »sl *&,&!
L:«cw»\d»î&îtf. #s L, se 11,.
-
&v 3, «ïjï ie ftoùii: de cc!WC?-gciBC ô.o, ffliveem» èmr.tÿ'ot
poioirL,.
cawîsjyt rit 5 ., : AJfô, avra

»• C- rt«a«e feiaÿau eoiivfcrçja scï L-. :À,3i, r-ï; »£.. «'V/s.


« ji'îV. it" -«a pciat ilf Lïcwecÿef et a> de divergence pctr iÿ&sndatwH vies 2 kosiUci ÂF. n.V<p
tfoac ni jî? ebise iii «ne image pans l'sswefetiw iki '?. [««rillM (pins uxnjjkcntai, ù v»kir. ïîç» noxe
It systrer»ÿ .
«:" '-'A xnràv:, "ici ohîwîriï. î|cê :
-• it'3
«Vlî!'
%

Li'"îï.i tei "i'i1


®i 'amac
uw ÿ«*;£ÿ tu-Mgr y/Hnr J ÿ o
isci'if (L,, ?
• A'Y-i ' -'->«• 'ic'i-- coini* • .i[-,T;i-ila i/SB.v/ÿxiîf.-aM: Sbï 2 bniîflC?';,

Exercice 2 j
s?'' L'iode tic kEcxoti ÿ?î igel ï. l'augir <i'>x»cdW'«: «ï tci m'J. Iajtu- <îi >»;
yflirÿe..jt>yr«.>.'ic";/ii>'c.uiï ili ww.fezz A't .Ktoviy f« ÿvj.«î: îuî fille-rî>éînt.
i-"1» /.s %n(e diSiciJrc çùitÿrÿTe a •iiSètww une cooalratrdori çzw.ifti to. ufil(4âo« ta Ici do. -toU-
de lu ïéûewon ;;<•«>• Hr.fXF kî • »yt»«4 wMcJua ; i

, i
/

en p. ciorrc : r, •--
r, = & *, f\ - vt = M'-.
Ci; a c!vw; n« c-tcit oÿiX't- d'cv.)eaip' Its 4»?tas duns k ?e?i3 iriÿcioîiiêÿîÿuT -s- le ÿÿJrÿiad/Mï 35
ev. jiÿe
j
?_ÿ rayon (5) rjkt le j.lus in.«:lin« lot la nrarmaL, at ïïîiiroir. La 4.êî»i»ti«Mt !l> qu'il ?ÿ-> cours ck v>
xr(lc*xoti ïexyr'liï- seinA ; 1&ή 2 - - 50°.
c) C'a rfiftctue b construction gêtifflêtriÇ.iJt'! :

r HuTd»!

wi
V* /
.3''
fynm :Vautour rnii>imfrl* t ÿaer»
' \ <*

77777777777777~i*777777X7
D- Ufr

On s. dooc : Amin =D • tan c - 3- mu (Ç0* Y?*) « 1ÿ5 n.

Swtcice -< _
*.) On cflcftiue ixne construction gcoirkn'içje (nÿUîc-Je 2) :

: 150 cm

50 cm

i ÿ .:-ÿv r--
Après réflexion <I«. rayon lumineux sur IVi, en Sÿ, le rcyon oîsse p« le porta 'Jj cppariensc» nplan.
"CirâaJ <t2}.
Avec : I,= <ÿ
ïjî, = 2 x :.*;o •< ts.n id0 "A cm > 50 c-ro.
-i

ï.l ?Vy a donc pas clr: rwuveilx réflexion sox f*.ÿ es:-: rayon peusunt par p£.iiyc vu-JttfVus de Mv.
Par ecnsèquem, 111 c'y s qpt'uns wnJs au.? ils mvaftr &«v
i-) ïl y a slletta d'inagM Qui ue fsrtneir: dans ie système cacique étudié. là* e-fec, S omet i
il fois de* -ayons on cUtccik-.p de .V-, et de qui c?t3cu& fanaant deu* prerrnr.res :ÿ»s« 5, et £ f
qui à leur îcur donneront lien à 'Je jx autres integes et ainsi Je suite. Cn peut rcsumt? ta tivuatfrn
*i*V>n :
S % S, *i 2. ÿ £>., ÿ 34 _+ (i« Jÿrie) ...
et 3 ÿs; ÿ s: 3; ÿ s.; _» ... <2- série)
Sur la fïguxE miivEiatc, ncus avons représenté In premières imijjcj fi-itfnées yor révélions sur.ccs-
sîvck pour la t" zéri* s

Cluv'i1f<! 3 Fur" #!}!• >v;i#jr\


C'a Jcftc :
S3, = 2 i £1,= 2 O - S)
puis 3'3. = &£. fr £,3; = 'àO - 'Si + 2 X SJj = 2 (T> - d) - 2 (2D - *0 « 2D -
- -
pais 33, 33, + S:S, = - îD f 2 x 3."; = 2D +ÿ 2 (S.S + 3ÿ,) - -'D <*ÿ

-
puis 33, 33; SjS, =ÿ -vD - 2d -s- > ÿ S,ï: = - 43 - 2. SS,
*
C<r« remarque une relation de récurrence définissant 1e e>33'îio-i de l'image de S. ohicctue ap:r.a K
rciicxIoDs en cièstmg-usm r,alr ou io.™»?, svec
fàmL- »'peir, $SN - - «•»
fpùW.e K' &ûi:>a&v
--
: Ici <ÿ <;V v :t>Jl
C'.i procède de même peur determiner les positions des I-urges success "-'es de la :,bùr. c? oa
obiier.c ;
jNttiL-ÿpsÿSSj, :1ÿ3

jîCMir y fbviy*:li-» 3£„~ - - i-s- {Si - !')E'

Exercices de mve®u 2
Exercice 4
Le dêpiecertienv L n'est pas égel t l'épaisseur c du cube ca-.- la race avant de ceki-rd r:cimmne ur
<1?vpQ*e ¥;!?n sipziTMit deux n-Uicus d'l'ÿc.'ci: de rêfrentier •j:;3£rcnfcî (rnÿlhcde 1) :

&'• image de A à iw-.rj te dxopirt psLttanc par t:\ rcpcrc Is posHicr qu) est vifcc prwr Ja xs.cî

&rial
arncrc.
Qn utilise la relation de conjugaison du dioperc p!«t obtenue dans le ens do stigmatisme approché
puisque le rayon lumineux correspondant fi la vuée es- pe-rfieitdiculiùre é la fact .rvaut du cube :
rt HA' = MA avec n l'indice de xéèacdoa û'-i verre.
Ci : rA - e « Y. A - T., donc i
* = -• .
M.

vfcl'CJC® 5

ft'" -y- Sa.u;î«i !.3ini d<? rala.u'a da-j Miroirs. il oî.< "in intéressant tiintratiiiir* !s* cunrrtonnéss carié-
la pusiiiuu
sisnnes osns yn rÿtr \V~\v\ dc«il iss VîvbU'i j.nîam sctoi« nst-i* <<>,. e I No jS suDposïraus do plus
q-.ic las Vois in»foif': De'iniisLMvt lue- plans JxC-yl. \y!''\ al UOy).

Notons (ex, |i, v) les connWinccs du vecteur unitaire u donnant i? direction de l'onde incidente :
» = « £ ÿ p-Ç + 7 £ (<y, |ï. 7 «>}.
ÿ
ÿ

fcprèï une première réflexion sur le miroir coorenu dan? (yOs), k vecteur unitaire donnant )û
dnetfon de l'onde réfléchie s'écrit - a- V; <- (î - <7 vFr. •

Après la deuxième réflexion suc le miroir contenu dan» (rû;), l'onde eat dirigée selon
- a ej • p • e'y +• 7 t.. Enjui, après le? .} rêfiexiooa l'onde «t dirigée selon o. - p «J - 7 = u ;
• ÿ

dite <rsH. «foi:iç lfcf!«K' £rtuwilltte .i: '!», dÏ3Vffi&tr<It #5 lv«l»3« isudcteœûiç,
- ÿ

-
Remarques : cette étude englobe les cas parû-ruliers: nù seulnnen! 2 op i réfleàon ont llCU
- -
(exemple : u ce t\ ÿ-» «" ~ a*t'r). De pk% l'étude précédente ne dépend pue de l'ordre dans
lequel s'effectuent 1er. réflexions.
ÿ

t-l Le vecteur unitaire û dontlAnt La direction de p/opÿCon de l'onde réfléchie cvC colincairc i£.
Les plins d'onde de J 'onde leftechie sont donc parallèles à ceux de l'onde incidente. L'ctuAt stftflA-
cbls ssî dooe witsea««.-rctBeiD a reterare.

L"><'Èl'CJ£% iv
Commençons par étudier la situation où
l'aquamua «t vide :
On utilis? !» relation de conjugiiscn du
m/roic pJoil qui permet de déterminer la
hauleuv L de l'aquarium :
> ....... ..... i.. . -
- • ••
SA = îîA,I 4L=
AA-ÿ j [u
= 30 cm.
V/////s y// t» A

Étudions à présent le cas où l'aquarium est rempli d'une bailleur d'eau égale à h :

rT'
n> --
rs

H 1
iP - • Sj'Opin- ti'/t&u

•.
*!i. .
!f2 ;
• s
__ .
Gtt a donc k& conjugaison* suivante* :A
B .
—<=•dxfcrrÉ
A. -•:-> A
t«a#-V
?:- A'

3iî. î w\/L y 1 lui 1 .'./L- 1 < 1 .'./i ic


Ci suto i 'i\ iVcSzt siÿocwisrcufrvi »o.- fcteiior.s cic cor-wvitscn peur dv ccn;;nc>- la position 4t
I'mw&c A' c!'; fi.
iT) A A : m, HA ~ 'i, -HA aw: : a « I • fiîr - *>33 ÿeau": c= HA, - — •sir-. ');ÿ K.
FeMctVUv . A j Cïf situé cisrA

Vg> A. -» Af : SA. - - SA. - - £H + .' f/i .;> avec (i;on a îîA. - SH — • HA ?2)

<i*A, - :r% K : ,,•«'•..•ÿ


avec

l:A
"

"

/«.

u.
_
t'n ohtitoc

iliS-Sli-
___
iï„Tr«/,j,ï<* ;A. ft.>l sitii* ion: là bdSf: de

:

•<..
n.
I:A'
'• - ttft.
«, '
ÿÿ

''' MS -SA,;

/(.!< - <l«saicUîS ïlgebriquc? neceww It cîi-m.1 d'u.v ordination del? wrtJcak. Cîiwâww
y.it le se.os posn'f wrs 'e bÿs. Aioji : Y.'.fi ÿÿ-*•' —7— .'0.3 - \- 0,2'.' -
ÿ

m*
• 1 ,•> \ ÿ•

Exercice 7
Ou c<»n«r>cncc VW'' fftco CVC*' vjHC omMvhsÔw. grcimclnqi.-c rte l'Ut>;%gc £- P: cl\xu hcruci)L AS? ir.*)
iKîLAtiî C \*. sk l*rcil. Or; i l* ? te s tor *ia cociSÿfluiwn It ÏMUfcLir dxi vu pou? quel'twMttrtYr-
pti>«e voh enri-êÿîr.eiw.
* D ««re k n-irolf /*'«; precisÿ
1 ciKmcc :

Vf est v;r<.ud)e •?[ >>mcJiv:\Ltt d? A3 par 1 Jt'pwl du pÎ3tf Ju i-'ilrt1-


Cette iJiTMxr noi-b iTioit|v« que : /*ir - ri H !.<!_ CO .
Js théo.¥mf ileTCviiês applique darn les "aianeies j;"nKabt« iA'KL: c. <rt'AO; donne :

OA
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IV-

5,7* ,
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.1 tr54 i7-4i 23,5*1


Î.;A calcul» xvï.c >7. — '2 -cm) ÿ5,17 l.ÿjC'5 lû,2 î',54 1
4'où :

iïi'V.1'
te ;ÿ-*. c-l

.-•ÿ«.»••** W 1

----;
V--H?: -l "

ÿ:ÿ*£*-. £t
ÿ fcroi
©
\ / éî».«te Ifi

u 4) C-c fepcf: *vç;t'J.K<l cnonfre qvc ftV ,rst Tx«»if»;.cn ]i:>*ïji:n à "ÿ j m-, »vçr :
ÎTS ••ÿ
Ci,1:-* on. ;Cî7
- n ÿ-
n- j - j-C- Oiii •-> -O" — ÇyvS

';ÿ£? Ce a? cort«sjK.-Ad mi rc/ï-i-vi \"cv rgffsï *5*.


• w/mi plité fui £y.ÿ„ (jtoKtiryn A à« rfcfwi) oc a&wicve uce 'jobs ]<vwjrwu8<? cùv'iJaire >j.vec î.o

orôtC ;i!oe Iukjoimw ceuife


- tna> plfcw cr. A.Cÿ.ÿ2 (i-tVo-u). 2) : Irt lurtUDcu« CxrtnJftu* <iî. plut fffifiw > 4: tiSîùï csc
moins l«C'f.nc.ox « le |Nraiiï»*w !s tzibe r-lui fowincuv.
c-:Tin jrfwvt iuvlc ww.x 7 iiwiiwu 3} :vec/he Ixanittc-yse dÿcuÿït J,> dûimçtrc yKv? c)rvc kî siwt
it cwmjt eisi bi-aucour* ïiIijb Juniiru'uv ÿucrlc ïftswvje lu racfiie frresÿteVk'n &>« ÿmtr-isre; .C es-
f>u; cette po&hrâu que l'image «vî iwraptKbte t? qui correspond o.u.ï confirions <îc 'f?.yïH?
ll-ili ftyJ,j>j£'ï S.Lf X'&Jte «yi.'HîJïJc).
failure û': c...-s ?sc"-ii: «wes eir > 1» filtre LI d» ctwÿ-ure S».

CilèUllr- 2. hOi-t>etiC* -îl'S r.":*!-*


1as aurîa&s r&3&fcfearotes de? raircLrs permettent de àwts&f fo jcÿj «& £K$âtftK&« <& .&
i'twk.
3a nunur pka «e !k plœs tatiafli du* Je vie c&uantc mxa xm utilise:aussi ka criracra sphé-
riqus» 'ÿroare sârcire de wJte -le beiaa gEos&h&arjtt, ca&3ir:*c réttovieeuir è g*ao£ cfo&rop- ou.
encore pour g-kwiaet raruûcts» iaitessgc&Kâ jouô&es.
3>ans i(» ?aLgfnmr»eût3 d'optique, lœ raittwe root tÿçgwfcsBieitt uclisés quand les diopsis*
baMtuck jw «eut :pJmi tracapcritiis peus k rayonnement étudié. En ÿHrtkaiîôtr, on trouve
'es miroirs toa kft ïéktoxp&s ttoat te r«wi<r nrodAte ffrt étotexié «n I.Sfig pai: Newcm.
S3n effet. È Ut -tifflvziyyt 4za lunette* aaJro&oamqiaW;, à îwae <k litttilks, kg îékacop-ra a'eat
pas d'aheax/âm darorniaticpu: car la î&mlàrc iréftéshie ne mmenc asiam cœJ'ieu ccaatàmnî
ÿe miroir. Dte pSu*. «œ> wit ITcteri/qfueî dea raaroLra de grand iayo;i,. oe qai si'eat g&a k s® po«r

Ses kaïfllfta,

Pflon 4u stapJsre 4

.......

j'P '& totëAïdifcatfo* îtX2


. : 2'. al aisktf&îaitui d'un ifâri'-ir apititique . ..1û3

......
....
ol'w.n-P Ii-i3 /IP diï-ne. Isa scnefi'i'-ana r.ls l.s.wcw .,,,,,,, 109

......
%*, ftwïKhwMfon
i
ÿ

: 5. Îfa*kâfe7to ïfc 'i'jufuysfc'ivc du vjjïiÿiïc lïirfrériqtîî d&n* iVjJiars'KÎi.'itiit'n du- jkWi .116
• S. f'"SK |M»rti«)fUixr du snte-M? j.lrn .. . . 119
'

J •?. ÇfcîtM?) d'w* r.îîïPir .. ..120


A&g&Mfc*
; (ttiaft fin û»;vrn 121

.« ....
? •

; fiKOiiçà* &1* «auvcfcar. . - 12«


« -Wytte»# Os* ift*wetea* ....13ti

{ f ,-l
Tv.i
Â< Introduction

i. En presque, la»miruiri iîe Ut: miroir sphirique1 est une (x>rtiori de sphère parfaitement réfléchit-
lilettocM torn ««MMlBV»n»nt saafe sût' l'utu* det set izcr$.
pïii&OOqins eu» l«ur
«jyutitMie est i*tisirb$r*am
3don h position ds If couche réfléd)iss£!(iÿ deux types tie miroirs «phè-
H cm d* ravonî non MTOai».
riqvf* sem xwr.tftïtt : lorsqu'elle est niîucc à rintcticur de Is sphère )tt
miroir est dit tïtBMwt' ; si elle est à l'extirïsur le miroir est dit wwa
îiig 0.
0
wisdw m\twc Ucentre C de !a sphère est appelé çjtrçftr® îhot©&' L'tae de:
rnyonf ÎWMYff révolution tniroit,
d'j aess'. fçjxdè axe optique du mhoit, pea$« pur C et par¬
incidanfr le point 3 appelé sc&iwM &a xvw-c-is £&&&ÿ£$&» (:î;. :. -•.»ÿ -g. Le mérh- est
uo système C(3ït>ic. de irwhttiijo suto'ÿr de soc. ï-te
Le ts.yoA CS de la sphère est appelé î&s www «gWWrwpw. L'espace
feant orienté dam k sem «*»_ «lodcnCs» a«ïc Is coovectwn de is.
0 Sgrore 1 , ia rassure algébrique GS est positive si le miroir est concave et néyo-
rayons
rteûir dve s'il «a convexe,
ÿcriafT'a
:CPY*r*
Rayon rêfléeh» lÿan tungant su rni'Q'r
eu point tfkwduncflf

rucfmaa« .,
La au<fac8 réflâchusarrin \ .*** cpt-sus
Umi|dui» symbwWe par un» ' /
lurfaîîhichurôs.
Rayon IncWW |fayvn~<râjv9iùtti
• 'tfvfltrrtw
L'trjï (fwiortu-o a, du roin»
6 Se rergte mue laquel aitvu fe
Piirw rtep«iiî son csrara if r */;. ' TiSCiadaiU Wt«r»wjp
fensM Blinda coup*

McfûW iphftnquf Cûnvôxe représenté Û#ns fïssacï-

!. Dan» te cas du rairos toiWB, Le Miroir coocsyt est v-i système optique eeriveincot ; k miroir convexe' esï
l6i rayctia lumPiaixs'filâÿrvein divergent. Ces propriétés sont ihu&crées ci 5riuc .5.
d* f*j» owiue après iéB«:aoi>
«loraçU'ilB s'en rapprochant ûsivi
la cet du mimlreotieaiMi

oj,. :•;
Confarçencs fus rayon» réfléchis pour un rnooir concave ou divergence
pour en miroir convexe
B. Stïgmatssroe sme
d'un mlroRr spfaér;qw
D«PS :jv.tgr?vih';
r-' VO'Ullkr'Cÿi Ci" SfflïIlliWjoi» -l»i £Yé,'èl?> Je
r.ffooï luttiiftsû* ritaiew v>u nj'jw sjsfcêrâjr.re. Cv:S orou de
rnenra *n tridcsee (&•: coÿ.tlrions jici-f lemjuet'te? zr .wtxîei'. t"i<( è;r<, ar*ï>
tfwc cMniiiCiitÿ'aiÿv et »f.h.cÿîk\ue.

îï.l . )h'Ct;ik 4® ska io««&r ÿjiiteii%.(r.-5-


l_>; erAérÿue Si 4imdw «-e- co<icav-: ;Istuïfe ÿucaii &us»,i facv<> (ht iy*
nxenj*- se';, v-î mtfoir cowcsc.

•> V;îSÿi'j.îv« ôtAi-'U


;_c mvw> r«t \<a: w>c s<;w;c pcatfuetta njMïîXRwniaikiw?, kimc.
Kii£ ("xite .ipùipc, A frntndç dw&nrp. <U> hait ri*j>i«râwc. V>.( du ïiikÿsr, A as'c
-j'oAc sftyprate à l'iiitiiîj. Et -le fait, 3e». rayoub qui 6ïrâer»t çyp le /r.ÿvr, .•&>
l<i jptucjip vas .«a d«rf» &u>* le? %ufCî, ?s*it yîjy.Uèl?4.

t\<v> 'HKifi-ws «Ai mu-


iiavtatne flpw.r.nqi'c
fli? de stfereW ia-i
l'Airj>ê*Jéci.'» 'C
ccnurgïiv ju et
AlÉir- p wt.1 HI'VV vtfif Zc<\- 3« fomMiv
uvÿ.ny. .in item: rapws, U'J linage ÿ A
l'ue swiwe 1«
CAd'lKf.ie ;*»y. '-) r-n «
fîiB-Jikfjii «>•* ftajm Iwr.idc;» pourm: ;.*:*•
s3i4H<f.w carwav? 4cis>ê
tà' UDf ïa'j.'te k r.rlni sur i'ja?. lé fai»ec-4! :ni:<3«rrf ÿvcna cniiÿf rmycrticp

Nfiu rsfflKCii'Ourit lau? d'abofd -ï.hï l'fryver<ure a du ïdÿcou «l jy3»A0« («3


WW 4' 55'). Yk' Wù oiweîvo.*» donc que t'icia## de .4 <i«>r:ée f.ÿi îc »n»;ir
M rJest ?»<. peacudiç. lui Kiîè:. t?ai Ici «vaiu, rdtefJv* >;-*< M nsi vwvj-
pClH: Ç-US O. If'A ;.-roa< : •'! S'agit J.'unr WM« -JC s*fù5tîi<m Je
l'wttfcfie. 3$c-4nÿi«.'tuc3{ de %i
.s vrc 4 iKitir eonfUtac -ÿîtr sb>i«vat?<.«ii
ÿ1"-' >j" >
riiifï V c '"MJM-rttici- «U eAurJcw

)v»<srivmifÿiia>A

,C~ r.iye.yr.wona:»

F:i) 5a
I I* ClSl-ÿ.îi t. who f e< l*
Pv"U it owvsrjBKS oat- lyt-w Un notivcl &gn«x\di»zef><cttt permet tic préciser la sons de conversenr.< dos
rÿ'pr.s-i.i g» jj i» >ic3 f.:». du
•ïyO<i? Iwr.v.-«!w rW. KoCe* Cv.V Its r£fl£cbi$ pv lî« îwrds d'i
| «-.' tT- îf /C 6?
lni-ja'R:r>ii!» ?b.»« i's&e.rrtfcnn ioimïf (cay<t.-is tSHa ?»vgs«0« »•} convrÿ-rc osî.'ê H y«tt« I? ta Je rnsovr. On
iiftinc.M î« l'ûÿr. irùx converge d'autant plus «ris du miroir ru'iJ es* rrurçijial, c'est à dire
l£l?e:i>;n .yydJci<.Glr- d'indÿcDc? situés Joirr de l'axe c-pcique.
91£tei Lo« rfytii? peu vk'iÿr.trt de fast- cuwVL'gwit Nor.f.ibiciiK'ftc v\-t# poitu r. Ces
xvjortt iv.ru -it- ta-ystw .etswswwv eu» -xÿvoçcftt dawe unpeiU volume d'csj.w v.

S: Je 4i)g<mÛJ«t.c vis'jurt-ui f«» vé-iisé, les rsycns icrtdcois, tous issu» tir
Wi'W/;: ap.-ôs r<<Vti<v» coavii.ÿee c< ;uj <ÿ&<ÿ<: pnmtÂ', Ceci n'est paz vr:û :
ÿ>* ?*-• *Xi'sr.?Ut, .es rxynas (*) se g* s* coupera eu A, t»»i* (•) et Q) se «flupent
W/Sf#yii*is;-.
r Xi eu ft, .
\a aijreir sphériqcc cc-réro oy.rmw ici avec un iVisceau de ÿrarde ei-it/w.-v
iBraiicJfi ciftewtor d'wirfe d'ij'ciderce -mre 1st jj>v<c? waiÿifwur et
pu/CXMiui) û'trïït p.ca xigeu*ro«rttW:f isijitoîriqoe. L'wr.nge p.êstnr.r drs xbtrr-
rarioïjî uaosvcrsslcs (par exemple la diîlaacc outre le porét A. ci l'axe
optivœj ci tes fittenstka» IttHftitudirsli.-s (disliiïscc. caïr-: F <ÿ.': A,) '"û-.. y.t \
i»v-w M'saUc
'.âi l:ttio>J\>c de i» stfît- û« fertKfnon d« irnÿea, k miioir ?ph«yjv.i; édstîré
fa-ce iiv. faisceau dv grande ouvi-.rute n'çv. paa sfcgtii9*i««K: u»i v--cs eu aiig-
Fig. Sh 'roîli««T>: ?pp?;jdjj
la urrwa -jiîcbi'iy-.-;- cv
« rjgy* rn-Vj"ïri k:uv- C«X' £beoiO: de g;»2Tu«f«mc est duo à u.-re a'tiT.-atkm sécsrthrkcuc provoques
t UfoZf par le jiacde auvcnure du faiscïicj ov.k'Tin. (a <- 50"}. La ÿrvr.voi/: du tiiroi
iWzjaiciK d»r» 3a aics«r»s où l'angle dw rayons réfléchi» rx. joud pcvr i«
ïjyjii ri luïiiic pou: tet (iy'jui pawsiau*. FI r'ajir dt-. ï'MnaïvJfXi
? Itvc»a:y ci Jjd.ccto.a de îpticrictîo.
tcvt-'» tr-1P:f «?ieî. fe»;
s -aiiiv ej fir>pai«; fi rJv 't csjpc sv'./P'a xJ.z k 'Z rÀ
ic y. c.
p'Uir ut: siviroû" »pliL'ïii)V.c ê'jiârn pas toi fkiv-Ktat de liuvtc
Hidden page
reaseauaw sigmatk|ue c: iogauiiQiK oppre<i«é. Toutefois, new constatons 6
nouveau çui its rayera pctnratuz cocvergsr.? en une amc d'espace ce petit
ïolwne dont la coupe iété mise en évidence «w 1* figure 7 ceoœéc
actcr.it du point <>).

Cette Pgyi? montre en outre ÿne pote ua faisceau de large ouverture et peu
incliné au* l'exe optique d'ur, miroir sptérique, les ob»nmj«ea faites CM»
J. Com*iB<«BiJsê fsterraton la câecrica de es faisceau sont .renublurcn? comparable*- è celle* faites avec
ÿam* aii. or. faisceau iiieWirn parallèle £ i'ase du «tiroir.
D existe cerw fois vie point tt>. différent ce F, eato»:::é d'uor petite touc d'es¬
pace où les rtyons parariacx cocerger.C
So irduiw.t Fouveetivx d'ur. frâceau mddeist» peu incliné aurl'ute, ÿuls
subsistera 1rs rayons pararâuK pcw former l'image. Le miroir sphériqtx
, VKiÉe ie stisim'isme approché : l'image d'un point à l'ioSûJ sur i'axe an;
if. lctencflr9,k8fliieit>on« de ! une Wchs de petite inuensk-c' alors que nous ssauailsoa au point F de

m niCTii i'o'wervBi'on da
| :'a»yr ; l.'iicfljr d'ur. point à J'irdini en dehors de i'aae e?£ une tache ce
petite dimtùîion que cous «timiions è en pciint <> «sa drivu™ de ï'sau
CtllS-!».

- Tÿdàidî» <fcto::41s
En pratique, -a «sr dsn: récca&airt d'utiliser M daphirgnu- â pour limiter la
section du &ù6c«ej iDcrdcc: lumineux. Eepreocos les cwadMoas aspê*ûaç«-
celes ce la figure 4 et litnitaM un dif/shragsne 26 au* ta %Ltre Clivante :

ki fatwrrae'on da nan» n'aoeU-


(ttj «rstofftScinie lohéricfci
wtBilifiiié» car l'ouvariuratlu
WlCMI! UlNMUMtt

--- .. -r- .»'

tt*»
Mitam

Utilisation d'un dlrpfKoEma dsns la c*î «fune swcs è Tinfinî sur l'exa.
Ncus cctrtCMCûii Icgie jpnnvt que tôt» tas «ayo/ro incidents csnverggrtt à pré¬
sent dens une >wne peu. éteaduc de i'wpace.
""" ' " " ' -• * 1

Un tniroif îphérlque, éclairé per uti fdaccau peu ouvert et peu incliné- sur
î giil'sbSMMé'Memrti&MJjr VvtKi vérine les conCitons du
k rljrisi», «m» jcmii
cwwitfâiar 4 ce ste6ac*a Li En reprettiDi le ûpjre 2, ncua pc-uvcns ccmpléiez acue étude pac deus
condKkn-î «rloû '«» rt&t) tbîc-vgt"ans :
ri'wwrtijrB du raralrl torique la
»ûam*liMiîfl»« spwoelvÉ. - ûaut le cas pcreicullei' où l'angle d'incidetce est oui, IVJUS r.bsc'vojis que
pour «eut point d'iaerdstee j\. It support da yajroa incideat passe par C ci qi't
le rajer. réfléchi est porté pa.- Xa dirrÿiiCD de ee support )-e point C c»t wn
*-Ainii toUîMyon dont la support propre coniuyué1 ;
p«i3 pv lï cintra du miroir est - (is».\t peiot Ide .'a swÿàcc du mirw c«t son picpre cvnjusué et ceci esv mi
rtiéthl tur lul-mltn».
en pjrûciilkr peur le sommet F. du miroir.
Ces dc«w otocivations noiw pertnettenî donc d'erooeer Ie propriété stavante ;

Cy «gca*»i5tur. t%r<ir«uir. jKtiv '*, c«.we C «to'is \f*


t de Ui eve-
(àcc du ruifcir, en vaficutt/zt le senanaet S du tnircù-,

-:i'a l*/.i ri;i • 5: s'ihCrsoiir-s


Hidden page
?ia?i<.'a
'
'
(•J>, jjf r f-Ti-npi.-: sy«t jr? prr;fiic'

c*clttiw

ifa reL-wt Sj&irâflw

--
;'t
Si !ï4 ÎÈyt-Oe W.i
« ie« îffjfw» tjrzt [*ïil
Ce* tw&fcaw c'v4
SlvMgifcSK-* £â <,&* <£*•

î'a? iwiîââq«eni, us f&râraMi


wsidtàw:*.
-pvA
<ï df

for

.
Pas cofiiscj peut 4e? augla» ùufîfieurs ou égau* à J<J% i&s sx>f won? de î'iotage
ÿ-'îi.îc ir cv wus atf «jtftfou?
elviVS :JiîC <ÿWS)>«3tte>i« dfr plcvrt de ilOf- è »si:u:ffc île,ni.

jjcw vi niirci? sdmcvjiîc.

'sw: zatui-àêd ïâjça erfeac


Ayjjfjcîié* ;
f.VA». «'<$*•.£» de l"sw 0?,§.
!*«&.• eçjfV<«£

Su? !ii figus* suivait®: ïiOTiJ avosr» iimuJé kj wyo*» lumineux êotîà prc un
efa>-t poaÿrcueJ

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s ««ïMid ae.rjyiv
Mimir

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akc?. :

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C".£ :wnri,KKfci.» wir 9«s3> reîteà du stîgOiRfjsprii dp£W.be- y<é;ï'jrcr,fniv>'i


d/*<j ni.

lyareque !e» coiisiixwftâ de d*j«s»>>wiaîï npçt<i,:b& seoc vé-iiié*ÿ. rî tr

tl

".. 'ÿÿ 1' ÿ-?-


•i\ y a: ;.').
e? ds I'adaiw&coe aÿtcib« #om

twu f-uvK< et jrÿn ividtÿ îm


tqJsz.rïuqtie au

fase

tux J'sse.. L-.-? vaj»?n.ï »jiî i'roti'Cî de Vwit* p«ia widi-


o.C4 3.0 ('-"te :(ta iTiûdivitxK rt*: ';"ja\«'5 «coi vwiiiw* et aiud 1?:3 "*&7o.«v ecfivcr-
c'.r.ï 4Vï'- vs)? tre? torof approximaiiott en i<n jKslnv. ùÿ.xgr A', -ïÿÿi
tiflt*àçTÉ ç«s l«; !ï!ifj>ï cra;«f*î ;

(Tiiroiv
.......
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svîirèioue, ceÿ'arr îur C&*<- op-fiq."'*, d-yH èotr p<A
fendue ;*a /rtçud «îùwminÉW Ae& 4Me*wioQî rl'ûnvecr.m'ï Ak. A»>re« 'jtr a).
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La T/P •?*: wr«lsf îscaie ;?'. « c.av wi-V/wr
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<!mi ;«m? dinotftae J:xnle s'ÿnriait en «ïtêf.cw? i.m>.


ù ttai vv.dt: que iVisjpî cette gronde u? es»; ncpclcc « t-bteice « awii
il '/nv;ij etritmdji/O ct'urce grilndcuv algittvoqui! ;.
- tarage \e. iTiirc-'ir m» wnvafem {dc-:i>: cc.uc.as-»!) ta ifecaocc fciT.lc cÿt yiég.".-
fh-tr ; elW «t rxra'it'* »:'.i ;v Âive.ste«> ir.o»v««î

La vkswx* V du ft)it!;cr wpîtêmae *s* !'âjv<«e ".k lu dr-ttr-uc fccck. Âsi'i :

fi-" S*,; /
Ottisê :y«e virgeccî r.vfi«>ida>e to tâotiwier. \r>) iti-ec -
Ii 1 m ',
$<ï$ ttcs»œa tëBésAtâ
& jjxl fxÿkirtf*. tf wîjiJ
1 foi Mioton fî4«i)tl«ci. eostt $4<\w. inpîi:;i.TîX'.n.s drAS 1« suite <!»• ve cour; q?«: la yasidcA dit «ayc?1. r:V.
ÿ».: du ucnt*: .le?, ciinuj?. audit* «uti onnu*.
P'h rfz&i'bfqM e< ÿ mi pî1-'-. pi
aÿir iat»r.r«-.ff u ?>fw L iMv:&tcuttkcrc du rayan cÿï.-ÿp'otjfs'rxtJ iu»s. ÿic«ter>t
psisnrjrid'un fc«er,<f -n oîrtc £ r-c-uc uxi!iàtf'iJ>". I« •irÿtulthc* sii-.es cû èviiianoû -ireuiiieni'.rieni :
feud'i» e'o<2 sil&çter la
1rra.7rd-.9t11#nt
- U'ux raytx: |w.?:*un piv le c-çr.îxc *bj ou'icdr r?vir«xf car irji-mcrrt: s.yzk?.
refîe.yrri ;
\ij) kw;.r incidenr. jgÿJlclc v l'axe oj>iÿ;ic :c ritlêchi* tf» juwaHnr \>i,c It fsyw
du 1..">»*•ÿ»'.: (i: ai aunbSftot p\xivff--ïr c'a eawBacL
i'.tî j?( u"Ci[H! cic- teuMii- bViîcfic 'Je. la iuriiik?
C'îLiÿt (M'ÿed'in;. ;
de dMuiie du ixi jw/ti -
- un rayofi iîidÿfhï jjar h !vytr dv înifUîV w y.:-r«l!tk.seut
i1*3j« oii.liÿae ;
fl*pfdiloii>i <i:t« I'hciÿi y'i'S.'/X ps,rt* !n k>s dï Cacll-Dîÿcr.ïiea de !a réÈcrdoîi iîidjqsw fjue :
d'iftc/.fii* s»t a®«l t >'nng« 'Je
rû?a'£aosfliB>ir*Tïtin 5 v ;«s
- Mttr ia)'îr. ûiisdear ?.j |«oîf .ï rc
qn*<rw:«: pss •-iply.x* i!W<-&
ou 4<:/ivjifC < du ruuc.û. sysoÿos-

aVr.«o 19 v-nlskafoii lymbDÿi»


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2 sunlit |iAt «UT (S-ÿ11VT <î l'ai plan A-Cfl ÿisC jîCnâ ï;ù*.'Jtïî. sur )n.
figyiY Iÿ-h.

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Si mh:" irîîdiçinons l-rataenu
':>, îstexau iivii.lmir <WIû*hc yw 0 «L--0» to dt-fmibA a *Krii{.
uidïqiK' !:ur et j-stiudo feist-wM doif. .xwvenstfr au jxrât '->ÿ du i>1ï«j fbs»J, « rwj.on »«Dêdrî cbictbe v

0 y&iic à'-nxç y*:r icl Jvjt <!> çchiuïc çn. itytjxc 1 b-U.

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ÇhÿpUrfr *. •
Miroir? spftorigvç? igh:cs i.'.;ii<i
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"jt «réthcde & ftmpJoycr tsl tû&n crîfc r)ui h «Je d&ttfagFpœ pour 1» :«*«»[-
cjon. du a#'-'* rôi'teft le iaycu ii»r.ew. «av. dc-m* <fjg. 16). lyiii !?
.%uïc 35» Hoxa dcteriJtîVjoJ!? 5?*Tîf I'îr.'-îÿc A' ûa fi, aftié sur l'î« crpC!Cî\j« :r,
rciÿv.lïtKO.'c 3>r Ali ïssu. Â :

L'!.T«>r Si fdji r'<!) KAWtif S"


rax-- 1' fjirs V! av.-si:
i*/s *»v_» 4>"
i.VMjwi -lii ç vi'tî 3 ii V

FiG- «
Cwis&wtfwii '.ta rp.iiÿa A l'inx »X.<s. iwxrfl»' a sxita .ver i«x«f «fuiej»

miroir

To'.'ïca ka iïkviùiî-; f»i fecmufcs evÿblir: ;!f/*î c* j3«£*e\S(pli*: «ùivt vidfiKO-


dîtîei de ta nature 40f>:av« eu ixuc.irse du ttiireir.

IXlv IFyÿIsjfâ'Xcii c3& ®®s© odigazûe a'u


dl'13 JiEiàÿftr
Cora&ércm k fiaaw: 24 -iù tu» vay«i iocisteiiî, «nâ îkwwis «j tÿhîV ft aiiué
?vt )'j;-î opticas «ht mûw; tk tsSèdtii iaé jroyit Iîo ïorore! i,vec k loi de
SsVidM&w/iPXS rfr te.

i/Lcnstge tk: «* ccfiKT. &' « cat menait ïtîotçf*: :î* Fappt-Mirirsviat» •>«

* : Wi-crs sr 'n'eues
Gauss, les angles n,n cfw peuvent cire assimiles a leurs tangentes algé¬
briques selon :
HI , HI FI
a: - : « - - '; in - -
HA ' HA HC
H eosfii voisin du sommet 3, on s : FA * SA, HA" SA' ex HC. » 'SC. et
on peut alors considérer que :
0
HI . HI
w ~
Kl
" sa ' * "
sa' ' se
Cans les triangles A1C et A 'ÏC la somme des angles intérieur? doit être cgale
à 7T, ce qui conduit à :
i + « + t - eu tr- ex donc : I = <u - u [ !)
Cl « + w + rr -
«' = »r et donc : i = a' - <o (2)
H' ir
Èn utilisant les expressions de «,<«',<«, (1) donne : i= - sC + -
™-

SA
et
I. Ildsi cSor*c riôcBssÿire fl'auok m

tjt
Ml rtfln Ihii. CtCi n'til p« (2)do«ic:i=- ÿ —
«touneirt cardons en cat /-de!
il n'«*l a«r» Oi»s postale do Soie er, simplifiant par HI>
déterminer gfeK*ie«»iQU8Ti<mt
rimsge da A avec ce seul «ayon. 1
_L . _1_
r
SA. SA' "SC
2
"
I
S~F (3)'

(3) est la relation de conjugaison cm miroir sphérique (concave ou convexe;


avec origine au sommet S du miroir. A' est le conjugué de A par le nirruir
sphérique.

Le gnmdi&senvenc transversal. noté y, est défini pût le rapport


ÂT?*

La figure 25 permet de trouver une première expression de ce grandissemeni


utilisant le sommet" S du miroir, en considérant le rayon particulier qui passe
par S ci qui est réfléchi symétriquement par rapport à l'axe optique.
les triangles SA' 3' et SA.B étant semblables, u'b.lisnnv le théorème de
hfJ.rS
Le Bail pointillé nst un rayon Thajès :
particulier flin {"armer 3e A' 3'
- "TLT = TT
SA' cl A'B'
"! " T=- > *a)1 : "ï
. ~ Â'B' =
SA' ...
W
construire l'image «!ÿ> l'otiiet AB "TTC "
"7T"

IX2 EÿM'355® (Ls iSŒîmjfr.piir.S'SJN ÈiTO ©JÎHg'L'C'.S


1

sm àu mfatâar
lour établir cette seconde relation de conjugaison, nous uiilisotis les deux
rayons parbCiilicrs mis en évidence sur la figure 26.
In utilisant le théorème de Thaïes dans les triangles semblables ?Sl et FA' 3', il
vient :
or Si = fiiB donc

Pe xnênie dans Iks oriangles semblables ?AB et i->i) , on obtient


KIL -" ,,,
A3 Va
Cooiuodion gaorrvéKMjue istibtéÿ Les équeiions (4) et (5) donnent
puer *t»bii' v* 'alniop de
conjugaison avec oRgina autovsr.
8§ç*î*-9&Kjfa« cfc ssiÿpsw*» uïîfeç Is'
fci<y W*. ttta&g àu istti&gi. ED* -ast é&ÿfrwM
\a $z*Fji>%stzniz>( <rf2V9y««si sVE«ta< «IoîÿI pretir d«s wÿBtiîCisÿS®ÿ
:ÿ nÉM

£>>'£. ISfcMtoÀ :p<®$8p$ÿS iÿlBsp'IM*


î*ptkt«£i- to miÿk'
£fe»,»' SiterfcfHifv à &slLi&': M P«Hyaÿÿ •JW P:>;.-ÿ

UJSm
cièe à ia K)ÿtjùÂ,'3ç CrEBwf (ïftâ'fxûtts- A. 1IXÿK3h3E

En eepsrnifS Jimffy 'A v«r.ï : <FC & Ck) • <BC * « SF* -<3£S*'
E*?, dRvcfcp?»nt|te rftcitflc_£ç droiic #cwk te îiçrt» wawÈfàKi-
'«ffli ÏÏ vj«wt: a PCÿCA' & ÇA- PC $ ÇA- CA* J9,
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L'essentiel
/ Définitions générales
* Axe optique, centre optique, sommet, foyer, plan focal, distance focale.
• Vergence d'un miroir spherique :

v=7
avec / = SF = ~ la distance focale algébrique (m) et V la vergence (8).

/ Relations de conjugaison et de grandissement


• Origine au sommet du miroir :
+
SA lA7 " lë ~ SF
_ ajî _ Sa:
7
Ab sa
• Origine au foyer du miroir :
FA FA' = SF-' = /'
. _ AJL
7 "
AB
- / _
FA
"
FA'
/
• Origine au centre optique du miroir :
1.1 2
CA

y
iVB
= Ali
CA'
_ CS
CA'
CA

/ Savoir-faire
• Construire géométriquement le trajet d'un rayon lumineux quelconque inci¬
dent ou réllêchi.
• Construire géométriquement l'image d'un objet a travers un ou plusieurs
miroirs.
• Établir les formules de conjugaison et de grandissement.
• Déterminer par le calcul la position d'un objet, d'une image.

Mise en œuvre
Méthode n°1
Comment construire géométriquement l'image d'un
objet ?

-* Problème à résoudre
On souhaite trouver l'image d'un objet connu a l'aide d'une construction géo¬
métrique.
Savoir-faire

I O Identifier la nature du miroir (concave ou convexe) pour placer correctement le foyer, le


I centre et ensuite l'objet.

,[ 0 Utiliser deux rayons particuliers issus de l'objet en privilégiant celui qui passe par le centre
optique et qui revient sur lui-même après réflexion.Vérifier la construction par un troisième
rayon particulier.
I

Application
Construire l'image A'B' d'un objet AB, perpendiculaire à l'axe optique et situé entre le foyer et
le centre d'un miroir convexe.
Solution
O On place correctement l'objet AB et le miroir convexe

©
/*

s :'
. '

*
F A l
*

s
*
*

\
0 On trace en priorité le rayon qui passe par C et revient sur lui-même puis deux autres rayons
particuliers (ici le rayon de direction SB ainsi que le rayon incident parallèle à l'axe optique et
passant par B) :

11''" c A
F A TX

7?:
\
L'objet et l'image sont ici virtuels.

Méthode n°2

Comment construire géométriquement le rayon réfléchi associé à


un incident donné ?
Connaissant le rayon incident sur un miroir sphérique, on souhaite tracer le rayon réfléchi.

Chapitie 4 Muons SpH6riques Copyrighted materi


-* Savoir-faire

0 Tracer le support d'un rayon qui revient sur lui-même après réflexion, donc passant par le
centre du miroir et parallèle au rayon incident connu.
0 Placer le point «I» intersection de ce support du plan focal (tt).
et

0 Tracer le rayon réfléchi qui passe par <l> (en effet, le support et le rayon incident forment un
pseudo-faisceau incliné sur l'axe qui converge en '!»).

-» Application
Déterminer le rayon réfléchi correspondant au rayon incident sur le miroir représenté ci-dessous
©

Solution
Q

:f
s*
S*

***

:<*)
©
© _- •
- r*

F! S Ç
Méthode n°3

Comment étudier une association de plusieurs miroirs sphériques


de même axe optique ?
On étudie une succession de plusieurs miroirs sphériques, de même axe optique, avec une fina-
liic qui peut être très varice et dépend de l'exercice : construction de l'image définitive, calcul de
sa position ou de sa taille, détermination d'un champ angulaire.

Savoir-faire

O Décomposer le système étudié en sous-systemes simples et nommer clairement la succession


des images formées :
M, M. ... M,... M,
,
A, -* A, ... A, -» A,
ÿ»

Si les données de l'exercice le permettent, effectuer ensuite une construction géométrique


aérée en étant très vigilant car des erreurs importantes sont souvent commises lors de cette
étape : erreur de lecture, de compréhension, de report.
l 0 Ecrire les équations algébriques de conjugaison et, ou de grandissement pour les miroirs. l.c
I choix de l'origine de la relation de conjugaison est guidé par l'cnoncc de l'exercice.
t
l O Eliminer par étapes successives toutes les données se rapportant aux images intermédiaires.
, 0 Extraire le résultat cherche et terminer par la construction géométrique au besoin.

Application
On considère l'association de deux miroirs sphériques M, et M,, de même axe optique et dont
les centres sont confondus au point O. I-c miroir M., concave de rayon R.. est percé d'une ouver¬
ture centrée sur l'axe optique qui laisse passer la lumière issue du point A qui se réfléchit sur M,
puis sur M., convexe de rayon R. (ceci suppose que M, est de diamètre suffisamment petit afin
que A éclaire M,).
.M,

M,

/
L'image définitive de A est notée A'. Déterminer la relation entre OA et OA'.

Solution
O M, M,
A A'
Le point objet A, situé a distance finie, donne une image intermédiaire A,.

© La construction géométrique est ici possible. Sur la figure ci-dessous on a utilisé la définition 5
pour les deux miroirs :

Cl.) pure t Mirons spbenques Copyrighted material


0 II faut dans cette application déterminer une relation de conjugaison liant la position de A et la
position de A*. Ij relation de conjugaison est suggérée par la géométrie du problème : les deux
miroirs étant concentriques, nous prendrons l'origine du centre O :
1.1 ~ 2 (1> 01 -
OA,
+
OÂ R.
... I
OA'
+ — = — (2)
OA R,

O et 0 Pour éliminer l'image intermédiaire A,, on soustrait (1) a (2) et on obtient la relation cher¬
chée entre OA et OA' :
= A=2r--ÿ
OA' OA 1< R, R
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A' 3 os: do mena s gne que AB "itvzge d'oite<
A 08! IdrCCdVCiH J diO'lC iJO é'ivOr 0*C«HplC8 9c 'a 'i'j'nO ?' I

» On choisi) ensuite un rayon incident dirip.É selon le êupf>ort (î) cf «Jui ic réflécfaic t a p<î£6aiiT
par F :

o Uinterecctfon du support du rayon réfléchi cr du support (f> donne le point E '. A' se déduit p:-a?
projection orthogonale de Li' sw l'ÿse optique :
* Oi> c **7*Yrucf3i:i\ ft'.) •ÿÂOiiisiÿil 'Jÿfcoïd -A.vi p.'jttfw* varf:ir.»:rr.j po'v le yvwi &
.ï;.
Oo <1 n%*. ïiKuïic k o>voaÿ (£; ;>?)* C -kt ??' ce fÿui cr:ÿc (7- t::, !?, *

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• V.-riT-tan-irt dv TCi.du;; psi las hr.'W.Ux U« Mnjy&Ai&on. .
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Awi vÿH' us fc-yer :F/vF/- = ~- <-ÿ CS ÿ,'?• • M-FA' <î) -
Su? J? Jiguï':, en <rtr>.s'.»«.' a i& «'jjk- n"- ;/.*
~Â - <>.0 roi 'l'on zwe (2) ÔS = -J,;? :m

C'» cïrf-1ÿ l'ifcvhiîs ••V:<iîVâ;'v'Çt? &>:•<ÿ &:ÿ-'£ '.'«> mvoei m\ 1s Vàk-.;<- £'.: - ÿ(,'- ;»•. «vic-auw; i!a iv.y>-
sui .ii <ïç,*.iri*.
ftiAïrÿi - ;5 tC'Jsusri mec cr>:;jnÿ an wn;rrt csrÿv*:î %u fil'ira; rtsyhê;

fc'*tjrfcics 4

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n. #7

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l'irise -. 5' ;ic IVbjM AJ?, ta;
•*àC4Mii.!iV.*ff:]û.'x? vlîinelk coffnvv: ';ÿ msux-.c la f:&ur<- •r' -drsnw -[KxihiyJc
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» Relation d* conjugaison avec origin»; au centre C :
3ÿ1,2. Cft-CS
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- ÿ= !-"
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À.M :CS~- Ift cm ; CA = C A. ÿ«ÿ SA = • • 10 ~ 7,0 = - i7 çm r=> -
Cft»' = 7;3 era
CA*
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a RldetiyR Ae œxijoga.iM>xi ®v»ç r.riy'.ric w foyer ":

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- "ÿTv?
t'/ui

avec ÏA. = FS + SA dor-c

i.ï occi

AM. ;y ™ 0,4

"::;rt."iê.v.*ir* : Ià aa*mi*r» f rÿhoc 12*1 la iiu:- rapide csr !' ne;* a ;at 2>.?rcic? prend me icit*x.er\ la so.tî-
rr?' ysy r :ûq:rê
*

Exo'cSce 5

AM iSA' ~ 3 -175,2 bcîi

On en deduk la taille A'B' du ivyon de l'image puis celle de l'image de la lune : ! A"i' - y.IB ;
A'B' = 29,2 ten, sok une i;nr>ge de îaiîte 58,-1 ten.
d\- Dads l'hyfÿichrse- dù la surface de )a mci es» plane. on a :

7 OU») km.

-
SA' = • %h 3$ô 3ûl) "sers s ? " 7 ; A 'ft' Aft -J 500 fcm> aoii une - - iixwae de îeilla éjwle à

£ggrçi«q 6

'D c?t à éliminer O.'ofào: car l'image donnée par k rerrwiseur doit êue deviru limage pointait être
irjiîr icondition que l'ufajcC »nït pt«;é ç*i|re le iliyc* et le y «mute foi miivk Ut Gjui Sil pratiqua
îÿ'csi p<î? ïouhairablc pour craa applicatif.

0 l'iinage est droite, ceci êraiu, l'expérience au quotidien moaire que l'iniajre dr&uvSc ivar tua
rctt'-W/CU? extérieur de voiture est plus petite que l'objet ;<ar <>ti t>oul.u*îfe un toge champ de
vision).
'i; ei o.iîefîV-i'dair. i.-.en a une iiti-x-r .'IrtHCt ei de 'i.'illv uutrieuïe à eellr de fob/CL kcur <1
*» l'ar.sÿf A,evi idirv i*«ch> d«.x roivoîr iju* oû 'Vf-; l'obio: A 'ea<. û\ ou pJut êJfijpW' 'jï)}.
U'.;rtL:iii,oT. y.-', r: o>; ïwjrccttwmcs'i M ûuKu<>;-e .?:«r <'«; opuc/js, \\< ', o. A' mu A'mmc; S :
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Cc«ieJéWîac ? ;ï- ttu respond £ une oî;serv*iicvi> t'a»-.:- i '--de «l'un riÿ-o'-'iscut wt-fKur de e<vm."ï,
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* Fositiiiii de l'iùutae. :
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a.-cc «n 'iiirÿi-r $phériqw coîxvcc -te ro£rur diainclTC. Ceci juc-iifk l'emploi de re ciar.ia j»oiiï
tfbhçurr utf rètrovifci'rar IviCrt i'|iK' le gifliTtlzfcneiiîCOi traversal scil j>luf. ïatblc. i\ s<iuat»oi\ êgste,
pour te «Tïiïoir convie î-uf pwi" te mirwï plan.

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'«ïÿit : seivfave/ostewi» f» sW'.tfisw.'i- Ceii-s?? t# 6 fjsvssrtwiM wç $w$cjih ;£#fe$é sl*-À t Jî®
is!r"SÎJÏ SsâCteL'•£• Zif&g£uâ&& *rî (ifoft itfftJkfc :&XC -Ci &: ?:5" |«teL'iiaîÿWtÿv £**EwsR
. 2WSÿ ;.*&&&~.-.S kE«!ïft5S. Wft.SÇS A' <& A S? C-Uÿiicÿ? t"!35i ift>îr/&:k

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&a itfîfew? 'c(t'âtvÿ7' '.f'ivrrfrè îÿÿs. ;'.rw;<K *.i&Ç8? ÿ te $:*»>">&ÿ -s8&fe5® &
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grt;a? ï.mv.î» ni>»- 3t 2?* î'-wt jv». ÿ>-cÿjtkc;. ï! «, c-rfli jwS uÿiistuÿtht£» îtfSs-
i 3"fâ cÿç ÿ•c<ï*£t%, 7j t-sy a ÿ«4« ta» çfc«3 v!l?v> 6> <$.
- - S?S lîçiô .-ÿ %h~

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li'ÿï-SîLSSte iSÏ ÿ ™*c iJM-a ÿ ÿ4 >ÿffï WKÿVflSt".
. iàdp«ïî ielaflK ?A" ? çâ SA * Ifel âaîoto à ÿ -* -: ?À' = 1ÿ
'V vift i«/rrv.4. «fe f«ÿX' 't? jefto à'" 4?jirÿ Sgÿi» 't AvQf «
:'-jaa 43 frz&j. fïi v!îi2ï
•is QZt.Kuyzi&e ù& tÿ-xa, àHÂÿyB. îSit t&& iir*c :a»»Mÿ»/aii''%Cv.««-'K ïdÉiSS%<& Tau'jruêi'yzaar. it;ï:
£ÿlOt '-îtl-, V* tWf&iKi:, <.iS~ Vl'.Wi ÿcai< ••ÿ.'.iS&î.

Ai* y ûr. '.ksszoi &e> «<"»«es* wx ï. ÿi.ïW«w:s îf.1 î?' »}. ifeSH? ewjwffrÿry.i3 «s ro><;ÿ

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tftgfftfftH. - - --- --

ccpnjÿiÿ î-srmr
ÿI I" .
C'A conclut CjLÿe l'iiïiûge A y obtenue apÂs quiiie vt'Houais* successives sur ivi, a i-JL. est coufon
•1:Vr ;<ÿcc rÿ>KT A3.
râvltjic rw dr.peod jW il?: U jir'KiijV.n dt* l'abjgi.
V/ CouscrocLioi* gêinnêcrîqui? ces 7£yu3is ïcrtcÿhîi» (voir figure suivante)
0?k oownw.* ça* <te«fmme*te ravir. <2) lélleciii par ÎVV;. Sachant que passe i * ci suffit Je
ciéiecnûfter ur> second pomr ÿc\r<7»cÿ::o;uT cl.- $) par rxemplr ïv de \A par .V. ,. Or en remar¬
quant que CtJ «i csfilbn&t avec sou image donnée par a*,, on déduis que J_ e$i contenus! dans ic
i'b'. d.£ fr«nx êr- C?.
Suchinlt que *y — I pour deua reflétons suoccÿhtwh, ou :t iircÿHSJircmcnf E. symtAnque de b par
Cÿî.ipOïi îi i. Ccv'i DrC5ï p?«H>ÎC Cjl/Û Jo COW* -(><>£ 00 J> *SC jor-(î?é01<: S/H lé 1*0,04 dC pîLC Support
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dffuv •••''ficr.iiïï)Â irjûùiViivss).
J1 ï<«».iC t»j»f ï. Situé tor 's'., -i" Sj'mémÿoc de 1". par rnop-'f Tix4i« lr oyiKi (i> réiîëcb.i par &i.
i* fti.se par I. C. pur ï„.
"Jét<rrtïii{l£;iûE ries hqÿcm r;., ri. it iï; :
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Zÿaiïs les con4iôCKS 4e fvau?i ic-os les artgîes asinv.iia'oîe's tungm*». Ci. :
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"V- + •C?i OX 1i. ( . — l/t. : <"i% A" f'J -ÿ'


IX.. '- iA. "S" —— •

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:><. JTir-TM: . S,l, = - ;v iwee ci, ÿ û) g.1, - - S.1. - - >". - Iÿx. u. = tv. .
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ir.ru.«ÇA U- e.vyos; iuriîucw r«;c r Uï wire Ccsi e.sr ;..wcreriûf»qoe des cw>w lase<ÿ
(r/ÿiîrte*, jÿsr!rj.

ûïdyi*. qoi-Uaiiive ;
L.ii tjcyur»: du cixiccscrspb«;quc (concuvc nu cÿnvçvc; n'efit j*rcci.?ci p:#r Pcnoyioc. Cc'C' n'çÿc p*/$
fxurpreÿ'oe puiîqur? ?:c.us cuvons quÿ tes ?«taTio/tâ de coÿjugaiaoÿ oteî\ dêÿtnJtjÿi puv. Chuiaiw>nÿ
u)i ïiiiroiy vt>iirc«.
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ïwzzi'-?. -âRsïBrstec «esas £ «j& «•.B-* »&'&>•.
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jiirl'ï» c{<Sg«- if m: arjis-i&n cfîtepriile dr £. sur l'«e ($<«?».

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C'? t.moxk .S; i'ioosÿ. v-v R. js*c »V;'., :k ;>:«i »*?«• : 3<:-, e;
a
/) v L* ii*3 *i e Cb la ipesui» alçeS'iDue es; impose par !f s«ps de piopaga:ioi< dr :a l-jmière incrdeme ?; ran as»' le
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quo lu îÿis'tiuf îs'c WJitt i--i'r (\v*o oi'tâquii. L/i Krrd .'X iv. caï«<»tf a iiiisjc 1?, fiaf &ip flX et;
ii'ï 13. ÿ.m-") i>;. pU*;s «k iv>u}. l.t :>w- W a -à* ;w:w piw P.. 'ÿ-c i,
ÿ.tëioe'O k>-;y l'ji'.iasi' de ï.S, f.ir fli, lîf.lï, éû:.';l s/l j6 dima f-'i-i Kÿûli (v,> l Cs !V«C, feou icyÿr t:;".
«>.i.-lrr: à l"y\0'V.. Ci- i\ 'ÿ1 t. ''îû&ïî ViC. ! AH i&'ftKWdu tr.JïttîJ (T/ iOi'j
d<* h.. î>; :swnet r><î).aTift d'r P. est i) r;.-,Ojl !.. ;Qieo}v.>r> ,lv :f)j -3 u. '.vî Hvïoû eijie
dv © i-'j /•<•»'ÿ- i'tÿe.'vÿule fx~t IL'.i. piAswit ;iac Jiirÿuv aigisJairc o «rf ta; d?Lr#âcéc ÿar Skw
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A-sris siopiificïfioei, »! rient ;

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2 ce* <v /

7ïsi ;ni rf oit pecile, o. tfiod vers 2*&> : le rayon rêfl«d!idoit p*&&«s psr te foyer Hle raync <iïn,-.t
yarasial.
On ï«î-ic ctfççri.TCroojt que A ccod vws zéro a» c i«id vrts zéro puiMjtc F(u) tend vera jk ro.
a1
OwMOT/tatV* un. dévebppcrrvcnî limité à l'ordre 2 ea a de F{«) montre que i'ïo) « -j- c"c*C-fc-

dirc h* d —.
ÿ ÿ

f
h'f le rayon ek la tache cer.trate tic diffraction s'capritne idoa 1,22- ÿ
(«voir l'eKifcicc du
dïapd-ùç I).
Irou" que w ta ci* duc i, l'aberration sphérique soit plus péri te ,il fiul donc résoudre :
k< 1ÿ2--ÿ- (4)
le CM le pias (jéËtvurz&le ù k validité ck {4} correspond a d - —ÿ

fÿur lequel ms la valeur oaal-

cwJe de «. 7i}*a«tye çwrt, a — es, «m nuaimal car sio u - ~


eve randmal. Ainsi, on a :

(4) se réécrit donc «ion :

V' P(«J < U22-

«-> F(uJ<

c; Appliwwoc noaturiiîuc :
«n aw ÿ= ÿ
2,08 - J fr2 •-> «u 1,1«4»

*?*ÿ
(™ï- ')-"•»
-> kmLi = 2/ - F fcj » 3Û,? iiuv-u

«i'r J*6»

"ï i *• ••-• I

c CtiTztrjKnttiTt do. les-i ?sn abrrou :
'iï<
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jswit tiylcœ réduira ïf.beiywici- dt- sphértcitf:, c'cjr-fl-dtft h
petit)* ù'Mc ta disphragmiol. Toutefois il aubsistess uus ttcbe 'Jus i. 'Ja ditèacdut. dc<?» if,
t<> duata'.MSi: d {h
- a'
à -jr «i

csffzo. ÿ »:«.(. jotsïjivc DiiE'î ;ç;iy;ri que ta ccatoetloj». &w.it»â')r. <}?. ).'*.l*:r>i$r/>i. de jc

**?*. tcitc z<ei •le'OKBiinafi-e.

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On pc;n &mc foice <»i dsvebjipciwcu'; &i4t£ «î «m te F(ta; i, 3'strjrc- 3 ;

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CHAPITRE

5 Lentilles minces
sphériques

Introduction
La lentille est un système optique d'usage très répandu dans de nombreux dispositifs
aussi divers qu'un microscope, un appareil photographique, un verre de lunette ou
encore un rétroprojecteur.
À la fin de ce chapitre, l'étudiant doit être capable de déterminer l'image d'un objet à
travers une lentille mince (nature, taille et position) par construction géométrique ou
calcul algébrique.

Plan du chapitre 5
A. Lentilles sphériques. 148
-
B. Algebrisation espaces objet et image 150
C. Stigmatisme et aplanétisme d'une lentille mince 151
D. Propriétés des lentilles minces 153
1 Centre optique d'une lentille mince 153
2. Foyers, plans focaux, distances focales 154
3 Vergence 156
E Construction géométrique d'une image 156
1 Trajet d'un rayon lumineux quelconque 156
2 Image d'un objet perpendiculaire à l'axe optique 159
F. Relations de conjugaison et de grandissement 161
1. Relations de conjugaison avec origine au centre 161
? Relations de conjugaison avec origine aux foyers 162
G. Associations de lentilles minces 163
1 Lentilles accolées 163
2. Lentilles non accolées 163
H. Aberration chromatique d'une lentille 164
1 Mise en évidence expérimentale 164
? Correction de l'aberration chromatique 165
Méthodes
L'essentiel ; mise en œuvre 167
Énoncés des exercices 171
Solutions des exercices 175

Copyrighted" rial
Ajîi'ôs ivoii' p:«?nTi k< inaiikî rteiit;. nous nins intei>ttfro.'»i; .tux lentille*
titra* méio:». yk;jic,ÿ!cinc;vf pout -Jonuei leuts propriétés ainsi
at'fi Un cryisft-ymoÿs gcp.yictriiliwrt d*j»isjji\A ou le* vslfuh nigcbanur'. An
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i!tf ;W."5ïti <tr. 1 < n Jeu> diop<r>îs ijTtiériÿues cwire» C. *r '.'J au u»cfcpt« ftpfctt&jiw u
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«h àUtpot. pfcaj. j-9XÇ ifc ïéçotaitan c'e mor learflte ir,: «g* attt •&(($>*.

fl rj&vc c9U£iV*£s df IcjTïiiic :


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tw.f&'fu 'ïiwwgw-'Li.t- 'Ai: rayon luiïvi'ciwcnjtfyctsr <!•; la 'cnill.-
ki& no <Ulv!c vpyt ]'-( opçiij.'lr ;i;p.iiiic 1< luautre lîÿur
tji?r.'.w« ii« ta ii;'::iru.

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OM"C Mt 3ÇŒ*I cîcv/int p.,| ?» |R.|.
V loi symbol's pour les rj<tu>: iyt-.t -1'- IcntiLics -nincci swiî donnés ci-couiïe
fyrjillç
Cor.wÿRte
ÿc.y lÿn'ill# -nir.f* t'% «1.
Mor&r

B. Algébrisation, «spaces objet et image


'il*y/.f o"c iV.wo-s •/>.•. datts les ebapxItcc précédente, Ire relations dccfttijxi -
sooi 3J$«bs:iqtt£?. "Coe c&avetitici.* âx&te, <;ui rixe J* $ens potiti? : c<r
senr. rrf.\ nrf-j; th 'a lumirrÿ wziéfçzxxz.


'rÿAviraÿllÿTiÿnt. optique, les figoÿG soaï ft»K*a avrc k Uimicrc ?rc-
grc&raia <Âc la g&urtv? \<<r< W. doÿ'irr.
kû <m»0.a IsH/ioe :c «t>r<6
prscinçMfii :ÿo' In iuiuia?* - ïj
ÿilbllIWi 3? te
ï

—r <§ I
«tpvcs nii|iK iiragi
«ocw réelle
Oriânÿdtî<jo fUiivarrtinnrollri d'un lyynn [i[mîn<?a< a f: trvversped'una lenMia

Dav.s. le .pâ$ Jç la 'J-A. > rayon incident progr-atc <U- te jikui-Iic very W
./ -ÿcoitc, C'-: aui io*? le ken.*: Push)/. Aîivm ic vnvvjii cmr.s»,eti ù «jrugïcisî: cîa«i& <"r
s«»5 poxtitf Nou» ai>:ci>s donc ;*>/% > 0.
Pour la figws! $.b :
«spwrimsgo . H3yntr0ht?i » £n "', :» lumière vient fie ia ÇÉMOhc Je «rÿ po.se -if cm docc de tfaucJie à
-.Iroiw. fciiisi f;P > ;j.
'iici Je k lurqiKc 'oîov Je poa-ixf esc -Jcn.c >J? droits à
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's iPK &f*lill* ô'iju ol«Kt <•« d'iiïic jiï»-.:jy- vclon ictc çcbidon ÿtr iujuoïi à te îcnijlk, sdî>%
ÿ U* itcrtra «<ÿ.< iftrticu** <.»ablicr lie ÿci-XvLÿnr,- it: veOi.'.OOrûÿaganci) (CCI cl? 11 IjJrtie/e : ils -»,iït ttefi-
t)«»f 'Â'ifc tfvcntyffite. r?is «ï fjgiire K'*-

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C.Stigmatésme et ÿplasîéîisrne
d'une JentifEe sphérïque
.tîitA«i"r: xr.traï iu" ÿKSïïjÀrt: sirrtuîtûon i- ïrt>e«* lie raycrn lîtftti-

aUvcc sar
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vi*ux. La KwJJc pla/j ccwtste *s« ;c; éclaire* y-r îîas gv.iii* jc-ncwclic £
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ÿ:;ni Ar.;}ifui at In isr.itÿlc surti y.a;dl)c.«. J?> j' Jtfttjr*. lu se'TiOi;
i. jsi fin f$K»îau iiiccÿc.t *v; .s :c-«vi]lv! :
»*c >n * rféiMâm "«!:iir:; *;«»-
ffVMltfC'nfiïfcM. Cl 6 ffi &«<*•«
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t-J'S.Wt 111 Ilt.fl i:J '"!• L n'y ii v'.ocic flfi? i!a stfffîvitïifiwc sigpwwt pouf unv kn:ilk.
!l!li'nrr.-n,f>!J ig iw>,»!«•» «ît.
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- Je cîjÿRêirc A:: !h tÿcuc Jumurcu*? duufr )u mqc d'dbttraciort lunjiiuidÛKiJc
i El : ÿfcjii'iK l':-ifni:i9Mi«M i est jxrin.
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j ete*:u;.<*a'j;rte i&i A,iE.-»ch£ pomr. iin&]« d:>>jcidenc<: tiiflc/ents ;
o.K .î ÿ J'iiifitO :0cv
ex %x*. Ce ÿ<'ii r. le» .tnçm :<'Uâ icÿucU IVbjtf A eve vu dcpiiÿ )d lace d'en-
rrc.' lIi: lti Icutilîc. / ÿov
/\v t;i ni nie Ar -s • ;*5
P<W' v* a"';l* Cf ft'. "OBÎ.
CJ&tÿruonxqi/il ily fijt* :l? |*»-nif*l
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t*£i Ov / l'sitt'Mnsri -.'rfl

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Ru .-;vii:hÿi-"iî :
U:'sî Kr/it-.'lc ïpîicriqiiî. éirc cuîisUTéiêe srigriisiivjuc ci aplailexique i;:

«ii<. Av. stj?t!»<ir.<f'ic ci de r.npbii-iifcrur lïôu ;


' k«s -.MBrilUB C r/t'iWi i*(ii si Tf î'Wni aom parallèles h ï'isv et peu clmgfôt. de r.we :ie. i2- j
ÿfi'ji e p*ll B'îlillft i;I l'jst» i'- m k-S fp.yixsn s«ïiil ï-m îîwJchm' h»1l'flte Cv:»v|'âc I
"
ii2-:5?'"s>« ::f» îC" C.fs <yîî4ftivns u» siiprosnisnie cj o.? CfepJancfî.oïc apfmehér» s*»/;: âm
iîs'wj "lïr.Mav

"aus '<• suiie, tous I?d svsromes v>pr r;.vi«ÿ a <i.c kr.ùKo <iu? i>fus v*v;<ÿ
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d j: •! la 'iil!fairi;;r- ii.:n*!«':u p-.i '
>1 ivifturc ÏV k '(fiUlflO KM51
its (t'cni *kw(C:ï(! ! '•
JflKlilO
*' D. Propriétés des Semites minces

ï>.l. C:7;n'tff-£ «.ÿ-3f.© i.KR'.'SCW


'%i. I* IciiiJlt! ri-iilJf. vsf|i;ÿ«olâo 6 peu' ô«c '.''.uwvl'i.k- toirstns iiu/K«-t
ÿltrTS. Ils. iiîiittneTS J;, >t V. <jiii déiiïlÛKnt le div.-ÿî/e vr.Ct Csitli'jTI'.kiS 3W Je-
ceïJTf.e iJi'Hqnt O '-•? luccrÿi ê-*i alc-rs -î"1-

Tibit r-voo luniiaÿiA j?-j?s«n par ir tvnrc i-ÿcUrÿe jenvilic t.Iikc


n'frït p-if- viêvi'L-.

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-,l- G est s •>i[uer«c;ioi' clt l'ane opiiqvn cl du plsn de i.« ieiuilie
ï'ôjc-ciwc d'.iTi ipyc
urinçv* ppsssrii p3* Is çfnira
ssuti-ÿf '.ojnrpî 1>%mor-.w. h îijsu«c '4.
optvrie d'i-it ieat'Hij ireieif. i -:r i-ésuli» j-.i rn«ic'iiex:t valiiWe pour irise îcitirlle divergente.

ûcpvriap;«çi iÿiflu'il
Hidden page
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'cntiJJn !:cr-*w oc. ) : .wus ïtwûwrt > tois:»*-.* Iô énl jmwwp-k '

Vr. :ic 'jv-r-.i iJc.'. '-J-v 'iv-y.v Cv iV-p.c.'. ëtm; vt?r '.'wo
5 y«Su,wamrJCH*.|?M5 • 'W*-:.;ïSe •'« •Xv.>:.;-V« •;<*!•#?:«». -k «/.1» 4V* (.A.TWjtAs&fë <iï •
rncirs «st t»* vil raypn ?ÿ•«': / ' ia •} ' -:ÿ"'«jfo5T;ÿr.M.-;
lunina.ti. mail »ia«H *.ijeiM.w i:u-:f.;'r!«w»
V>i6 i?-«njon.
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Unité :ivi£ disciAixif îooJo s'eapcwne en mètres. (»;.
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fixi-Kpii wt- Undile fus


i»ia;{.î v-fii - <>:2 m.

E,
Nous
- S çsr

Construction géométrique d'une image


Au$po$i>rtS rfArtfl 13 Suict tk rc COivs
-àc? tortille» éludîrts noirt: fowius»
/ÿ > 0':

w\?a l'agir «rte «rafideoy ï«i appelée -> dis-


ctpcsvisMH -.i'vsvc çzatidcvr «{gctffiiiuc.

ir iÿaisixx- <1vaic intsçK.

Unité :uiW '«cr%'\ iV£t: s'irqVAxuc en di-aplnes :!.V- «vr: 1 o ~ lni 1


. ec sa distance focale

que la -pvsi&on eîu

ï.'olvjet» ;ïu le i>cm< •Jiv-f. cîuiT ir.Timii» nans olterclieron» sine» snu imsÿt
par >a. UariJk. f oÿqu'il s'ygr/a <te t»i>ftci<Wo
•X un objet» edi»-ri 3fi-d aiwai ««mu.

nation <V-ui cû-ax*

H.l. 'Svs*&;
H..1.1 — "J.si 'Wÿ'iG ûïïuscdteirî
J 1. 1 i.[ îîàr* <£'&&* Steii-Sffl O*

«?»£ t\»t flat Aiipai-aîftr *dc la


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donnée- pai* n»ïî leur/lie

Pour (.wniir ii rccte inw;$e cious cnvisÿrcns ol-.wfivs mtrho'iz? J«


cnustrmfoji jtrwflrâiqnc l'oinute $vy cKctitple «:1k qui permet l-i déterrai*
oerespostd&tti à un n»y»i> iorident doiiisé.

ItaEfeeras *jf.dk*cm<q;iiur.-
«a*; cÿiîutj.a

Le ray,«> iiKidool passa rracMssaireirwnt p*r an point <> lia p!*« focal otyoi *

1< .b. on ùru»scno *n;u«o ait support iwcidenr. pa»!!*!» iVwa


oj'fiqiit et paivaiiv pv»r f-' : te ;.npj>oil; ruicrÿc -te 1»
:rif fioj»ûw> :i;,
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(..Mmecÿsnï rfcerdliê i*x parallèle ap support ëmerÿsot CÇ- ; f'.ZHti l?.c Fji.
eîlct; F Fincil on poim dv p?hj» lv.:»i objet.- on nppliqnr W dtfyîitjoii 0.

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Jli|«atiOJi d'un SUMOrJ passant (Jc'i <t> M DS'&Hik: $ Ï«*S OiMinue

Nous {touvons 3HS43 'jiili'vçr un support passant par il' rt le centre optique m
appliquant toujours Ja definition S :

1) : ""•ÿÿ*. ©
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-... ©
r.c"tij*:z asptisIlrsO'. ».-•<*• 7. PJ" 1lKf j

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Ulilisefon d «n suppQ't pflsaanl par -X* Dt le cerne eppqae
Nous pouvons également utiliser un point O' appartenant au pia ft focal

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image et appliquer ta definition !> :
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l-'y; -.1a hv. 1.
rsj ÎJ
t'iiliifitwrr d'art pc«rtt •?' du plan focal image.
V ]t .'! - Cas d'une lentille divergente
Sut Je tnëtne principe, nous pouvons trace»- Je rayon qui emerge d'une i-niuir
divergente à. partir d'un rayon incident quelconque par quatre constructions
géométriques différentes données en figure 24.

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terme uii<- Imrilk dfr«v«me :

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Ctf s fc.; *4fKM3
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l'ûflic. t&i 9*t toi:;.
Sfeiûit la position <lé î'ohÿr par rapew au* fbyeca e» *w ceace opfoque <ie
la teinsite» I* itHiurr -«r l'image' ;Y "à '(léeik w vwtwlfej ce h>i» wieuwtMJft
vont évolurv. "Pîcii» dœujoft; sur Ï»:» âgn/rs cl s'ià ÿu<:kluc>- Ctt» de fiçuivr.ê
'OOSîiblë* *

-
m: r Xr> V
t X*.

h-. Ï.M f il'H

i;i">
iHiai;»* <il:(t- iteniiâas ;»<ir a:«K faillite wiwrgwiw.
ïamufiM :iî» l'objet &3 'n\ dahs les plans focaux • objet ou image-, îoi»
est rejeter à rStt&ii «» £ —'ÿ- v'tW k cas sur Jn 2?.b.

Sj1 i. *'jjr» Us, rot»: '-S *ît


TV?» : rirnÿj i liilv ta fv

kr k riv-n M.i:. Hnÿji ivt
**rt«r!..* npjKÿa ;i
roc»:: iv *k*is •***?«.
>y?:Z x /
y
(i»i*<ftfl!W i"jnvi»! yliir'.AS
oiii ;in*ct iaj«'.yjr«ï!sifijiria
A A .V y? / i'-i .<-e
¥ôtt VAS 1 eatti *fT.Ur* .• .*•*
aipïqpis t'T,ù ÿ>. ÿa-x'.h: le l'
tere'i « <h:x( <3

f«ç Ma fiç 211b

Iriieyflÿ <fi.n o!;jiil :»ijf nu leirt'iw 'livir<,ij»rw


FttiïwynK ;L's«crO.«Sf '?. ('irÿpÿc l'étuit plu cv>. objet étendu à l'dukiiest
ctricre sur l'axe op'ique

ChAj/itre ii . Usnlille* m:rv.r:s j;phÿii<ji>r. R


I- -
ditf
nv-iisb •?
?1âfe»0Tu'S58t
$?g
m', et

Le? religion? établie:* dans ce paragraphe ?ont indcjÿii&arow <1*. la nature de


la iciui!)';. H<»wa considérons ici le ta* d'une lendlte cwivfcrjtente r/wl$ us
résultats restent valables darts le ca\ d'une lentille divcigenîe.

•'?-*- iPkùsjtètfaDK <iL« rwm: 3®ï.g1i2&s sia essittire-


Soit on* Jeutills te qui donee d'uu. objet réel At\ mie image réelle
A'B' ;

\ V

W"'N\ ! Za. 3t
:ÿx""
ceni'sitor-t l« tiaf»nr.ir:r>t»on
&visjwe*>:« ségii-êjrieec-

\ X.
lac laliaJunô siuafcrisjtiiis
ï,e* triangles O/i-Tî ci CA'5' fionc des triangles semblables d&a» l«quels neat
pouvons appliquer ic théorème- de Thaïe? ce qui conduit immédiatement i
î. IWiCi* -, > Ô. Icuç? 3N l'eicpreSisiou du Yemeni tfausvwsa» -(ÿ :
«.•tf» « IC'JJJ» "ï C 0 i'in«jï
r,= w,_ÇA'|
_
(1)

... FA' A'E"


DÿfK«:w-lr-ir
A'E"
, _. <2}

car les '.fianÿlcî F'CA cl


FA' _
FjA'B' .«au suvi

F'O OA'
*
_, semblables. !Dc plus
ÿ OA'. r)
'
"

ï'O FO F'C


4
Q *f *
ÿÿ
Les égalités (I) et (!>) donnent dl».»c : I + —*- r.< ci< riivtsxui le*
F'C VA.
deux membres de ceue éçolirê par OA' nous obtenons :

J_ ~"j1 ~ 1_ _ J
"
OÀ' ÔA OF' CF
Cede relation de conjugaison fait intervenir k centre optique : c'est la cvu-ibi-
.«.'cjct
<&.• .BçEfWlteâf

ÿ1T&jLS34J une experience d'o>»i:quc, l':magc d'un objet virais) est fvtmcc à t'aide
ïÿars
d'ur.e lentille divereems de distance locale |/'| = 20 cm. L'objet es! à 2e.' cm de la lentille. Calculer
•a dfciaux:?. entre I?. lentille cl riuixÿ en ptrcivani sa «anus.
jW-li'i.'S'Iî

CA' - OA-
-J- J = OFr ' .
Appliquons la relsiion de conjugaison précédente. Ainsi :
*.,,< i»
- OF ~r OA >. 20 e 25
OA' < 0 donc A" est .ias»s 1'aspc.ce objet: c'esi-â-djre avant in lentille : l'image est virrvelle et tenversèe.
= 100 «.

!_C|.';y i u|tvo& i!&2js


Hots ?Sÿtvj£ro»ïKT_yvc k grorôrciRcnt tr&tf'-imd yt'M i\zgri&ttv w
foiciiàoii d?- ir/i z: f ô:, guis *i?. çWivw. »ÿp ««Jmîûo. rte c.ûftjo£*<*o» icwB
F«r ?'"£'.
Lx *rlM>o« (?) jbmai: >i<MWfdi#n»M«rt eue «aÿreauôï» du gja«idi4acûiîoî -ÿ>a

. _ ..ÿ'iy
~f~
_~ vT: _
ivï iï.fÿrve:ûr V. :fey« outage de J« ÎKidlie :
JrK: _ WE
AB- F-'O / OF_
Cherchais abcs «!>« «JsîUrci qui cs;iiîtïiiw FÂ ; m rwwiBqtîsiiV que !r; tti-
Et'gJrs FOJ «
_ C* _ Pô _
mav sembwtto. <*a pro* <cii« :
.W >,r

Per coÿsrowi

Ct'f.t dîtiiSsîï cçyJirê fcciTtiiï £$aki;nw« Je rd«uk*n csiijusjaiKoi r.'Jîcwiiérj ;

tfree «laricn rte cectfirsewofl. fw iatezveair lei icfm rte ia teirjJIe : crw. ts>
r>?
ÿCccifUi :foi pntfjrns, rè.iauer d'")> rfiiBxir K4 doûttfcM par iftppttY.
ai ccûût en* fiu-X: ioyen's) : il tai dcoc rattsaioaort* rte ctowsir U ïtlaiiost
ÿùcrtt i'ra?g«J!£ est m'ggèrèt çer i'fûtf iiw.

1*8 d;->ÿre irnkwrjAfe fk vjiac. aima .d'»w> t«l as-w dé&aî ew ex-b a 22 «kx.
ÏJc. irdivkJtî ayaw cene fic.ikè pliee w?i c;il a». frits image d'-u«8 lourçe de wnie&ie ÿ.ÿte S 25 S
«C clwcm; wj Insecte, h quelle di?ta«e de Sa lo'.ÿ Trouve Pfciçeecr 5' es? "«rftr es k
i>MTJ£ phw '{i&l d<: l'Cîil r
ivftlucior
•Coii.iltri(r(.ti« b y*r e#.«;cvu«" isoe ctotixi'CUGO ÿèùwisfîqvit «* uril«ISA.. le -rt* .'|i;i î'tû"Sÿe foitiiiA
pi2 ujte loupe Ki •!êc«?MireineL'<c vxftueJJe <;? £jçi-£Ci«ie :

!'ÿ. o[V:>f>fc t'afâ:

/iÿpnÿvjOfi? Je1 ïdïit-';r. ck Kc-v/iorj : FÂ

Oft. = ÛF F :Rft. » -A + Û,é4 - - 3,36 ou.


îep-o£ojxto pat .8 rtoif d'W. f-i'oe pbfr '5,'ii 'sr. to flânât îl« la (onoJlc.

Cÿ.ipitrf fi : l/an1: iliss inrcsîs:


.• les tomniks. de eoujunivisoi». :<ie e>y»r otiliitabk* qvxr pauv de*
poir.is objet on iui*3« situés oKclusivtzneat sut l'axe optique.
0*1 T f 0?
G. Association de lentiltes menées
N-jmï i»oi>s iiznilcxeis au cas où lezlolles ont irions «xe o-raquo. Noos envi-
sjtBcwm ci'slu.rd If* vas simple de dtsux lentil*» L, et L( accolé», c'est à dire
&.m le* c©ir«M cptîq.ÿ O, et U? ««sign's cammf? confondus <fb2- 'iC
N<J>i* CXUiViftCrMi* ûft&iXÎM le cet. o«i loi Crrlftce, >fc* Icoîilicc «ail ôbiyahs d'une
distance coûtante oœwue tiaiis la modélisation «ht micro>.cop2 i?<£ 11).
i:g.21
C.l, *U£S&litei
1. A.3. 37î ma iiiHg»
/>R a ont ittiage A,B, au r/nvfc;fr dr- )n première k'ftjic1 Lj- K I», ci;
(In oSîjer
un la lentille L, qui eu donne l'image &,:î,.
oUjcî peu?

A,Kÿt auj» l'îo-.iyc de A3 à crwers l'ensemble «<". Jeux tentiltea» ce que


oûux oi&i»viûfls ecïtm :
AÎ5A.ÎÏA,
Oîi peut écrire tf s relattxM de Dc-scarres pout chacune do dciw liwtfittcs. :
UnafcV ÿ-4-77 « ÿ>ÿÿ--
fÿcé
A.B. OA,
I 1 I
=
cx;- -v,; ?T «
d'eu : cc "
y,v?
oa, ça /; r. r~/ùi
L'cnÿcmblc des 2 lentilles acwke-> est 'Joue équivalait 4 une «nique lnomk
L, Je tU«»mce focale/' telle que ;

_ K"
A
L
**»«ÿÿ
j

-5£-0k°r, "À'/\
: '. . i

jteceawaa : ctitfJkr un ensemble Je lentille* passe p»r i'Muàtëwvi&aw «ste* ssreÿgw


(

lâ'ilwiwÿAùntrac «ïui Ciiùiiw&eùi à l'bviâgi définitive. (lu d..o«"jcii (<>. ndulwn de


conjugaison la plus iaiévcssanie en fonction ,1a, indication* de r&Kiîicê,

G.2. lL&ntiWl&S IÏÏIC0ÏÏI 8fiG0[&££


lai centres opoques Je* deux tendîtes êlWjtnées d'une dissAnec d rixe
sont
Mous nous proposons Je détermines 1* position du foyer V ac cet
eusemtik dt deux lentilles mou accolées qui ew nxi& «.> CvidcTtcf; pat in
cwisteucûOD suivante :

0..0„ r;, ? :m cr sxu-'ci


«mur. Up
iiKiifcart&ittlI&fc à lave fl(>!tqas
piur InsyatÈme IL,. L,| Sinetya ai
WuS9r,t l'fc* r;0liflnt4jfin'W
inaÿe V fla &yi£ên»3.
-4
i

i
--- VJ-

Jîjt.S*
X:.<-

;W i
UétMminatwussaphiquct Ca is pÿrtûo du lavai image f" du Joa&iut n»n a eceia.
Hidden page
Hidden page
)Su pcnV-ÿv/.. ;i«Jeux avasd*®; jjkiî; ««re :ÿ»Jw:ce sie dtf~
i'v-iUW» teM. "\Viia 6w,£>mi.ï tfoteHau* ifcwsi «vowrfciliftf* :
L*» Fcfc'osrste
flfcftWl'WWi «IrfKuiS » t
i

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>' ; %'v>.

Fiep*sÿntdSnr* Kti$mwty<m if an cki<i!>I«i &«iraH3ri;<u»


iw'AVrï'Vi'ÿ A*
• io>y?x!rj;t thwawigufr or, uAt&tta&tu dattt k oao
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?s5.™k».0v': S'wfc». frofo» o'oî l'av. Gk> iKV/iqw, ?-
'.a; «tue ,\
*~\<;:>i !HMl±uii»s iu aw«tict A'jV ic&MGCfi /ink,
• LVwïswfcwi .toaiitMaiwiy? essi-wÿe 5, irii.fJu* xÿik.-aiiw c/n Vtixft-rc.-

râre cterajur'qoe &, . K* :'ixniÿ «i e\ ra-rcit»


«ÿs»? i-ciÿM •j.s.v" uo pian î«sjsî*çfe*uLûii« « .V/.c cprkfue.
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gwro«tr3ii«»s •xiswet evï-3 ilt h :lcrtn\jï da ite-vùicism*.
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0 Effectuer systématiquement une construction géométrique aérée en étant très vigilant car des
erreurs importantes sont souvent commises lors de cette étape : erreur de lecture, de com¬
préhension, de report,...
0 Ecrire les équations algébriques de conjugaison et, ou de grandissement pour les n lentilles
afin d'obtenir un système de n équations au plus. Le choix de l'origine de la relation de
conjugaison est guidé par le contexte de l'exercice.
O Eliminer par étapes successives toutes les données se rapportant aux images intermédiaires.
0 Extraire le résultat cherché.

Application
Un système est constitué en entrée d'une lentille convergente L,, de distance focale /[, suivie d'une
lentille convergente L., de distance focale image /j, placée à la distance de L,. À quelle distance
du système optique doit se trouver l'image définitive d'un objet placé avant L,, à la distance - 4/J ?
On prendra f\ =

Solution
L, L,
° A-*A,-»A,
0Iji construction géométrique est décrite ci-dessous :

Dans cette construction, on a choisi d'utiliser le point B, comme objet virtuel pour L, et de cher¬
cher son image en utilisant deux rayons particuliers qu'il émet. Les images A,B, et A.B. sont vir¬
tuelles.
© On choisit les relations avec origine au centre car les positions de l'objet et de l'écran sont ici
repérées dans l'énoncé par rapport au plan des lentilles :

o,A|
- J= = -L m • 1- - - 1
o,a /; ' o,a, OA = —/: (T\

© 0,A = 4/,' (rappel /[ < 0) et on cherche à éliminer les données relatives à l'image intermé¬
diaire A, (ici 0,A, et OÿA,)-
O La relation (1) entraîne :
—L-
uiAi
=-
Vi /i
= —p et donc 0,A, =
s

Maintenant 0>, =

et finalement (2) et
OrO, + 0,A, = -/' +

(3) entraînent :
1
-
=T
1 3
_-
|/[ = -J\ + f /i =
=
2
"

.
J
pr-r-
T • d ou : °A = "T"
_
(3)

-/:
/;
"
T
/; n
Les points A, et Fj sont donc confondus.

Chopare B Lentilles ounces spheooues Copyrighted material


Méthode n°4

Comment étudier un système formé d'une lentille mince et


d'un miroir ? (système catadioptrique)
-ÿ Problème à résoudre
On veut déterminer l'équivalent d'un système optique qui contient une lentille mince L (conver¬
gente ou divergente) et un miroir M, (sphérique ou plan). Cet équivalent1 est réalisé par un unique
miroir sphérique M,.
(L) (M,) = (M,)
© ©*"
t. Équivalence est 6 comprendre dans le sens où d'un objet donné, les deua systèmes en donnent la même image.

-4 Savoir faire

O Chercher l'image C' du centre C, du miroir M, par I- (On pourra se reporter à l'exercice 15
pour l'étude d'un cas particulier).
© Chercher l'image S' du sommet S, du miroir M. par L.
© Conclure sur la nature du miroir équivalent M, (plan, concave, convexe) en positionnant C'
et S' sur l'axe optique.

Application
Trouver le miroir équivalent du système ci-dessous sachant que : 0,S = 1m ;R r(1
= 1 m et
f= 1,5 m.

Solution
© On cherche C', image par la lentille du centre C, du miroir dans le système optique de départ.
Ici la recherche de l'image est immédiate puisque C, est confondu avec O, et C, est invariant pour
la lentille, ainsi : C' = C,.
© On détermine l'image S' de S, par la lentille :
Attention au signe dans la relation de conjugaison car l'objet S
est â droite de la lentille et envoie des
rayons lumineux de la droite vers la gauche. En clair, les foyers de la lentille s'tniervenissent ce qui
conduit à introduire un signe négatif dans le membre de droite de la relation.

s.iv
La relation de conjugaison avec origine au centre de L, nous donne :

f _l ..J.
o.s1 o.s / / - o.s,
l
0,S" = *1 = 3 m. Donc : C'S' = 0,S' > 0 : le miroir sphérique équivalent est concave.
1.5—1

Méthodes
43 IT G i
GG St
Nfegsm i 'Sxl ffi l]iralXtiï;g matt ii# iiffcfity*
Un Objet (AB) et un écran CE) sent fixes et distants
I?--:. ?i i.ciîîii»*ÿ îjTil riwfcw de D.
fi) Tiouvrr, dsns le cadre de l'approximation de Entre l'objet ex l'écran, on déplace une lentille mince
Gauss, l'image A.'B' d'un objet AB étendu, perpendi- convergente de distance focale image
cuàaiic à l'axe optique, dans les cas suivants : s)Montrer que s; D > -I/', il existe deux positions
l. lentille convergente, AB situé entre k centre de la lentille convergente disomies de d, pour les¬
optique et le foyer image de la lentille ; quelles il y a une image nette suc l'écran.
2. lentille divergente, AB situé dsns le plan fo<»l objet Exprimer/' en fonction de D et d.
de la lentille ;
Chai. Mpvi u# J9VÇ
3. lentille divergent* de centre optique ", de distance
focale obie*/4vcç/ < OÂ < 2/;
4. lentille divergente de centre opaque C, de distance
focale objfi /avec 2f< OA. < * j T ço T
5. lentille divergente, AB situé a l'infini,virtuel on réel.
/-
fri Préciser dans chaque cas la nature de l'image et le
grandbsemeni transversal de la lentille. hV Pl'miMîtfl îrtDsn!
») Quelle doit être la distance entre deux lentille»
dont on connaît les distança, focales pour que le vjv-
îa. & (FsptocqIs d®s
a0Bicus tétre soit afocxl ?
Comment peui-on obtenir simplement un syÿcmc
i optique ccnvcrgecr, de distance focale 10 an, en pw- to* On considère un latsceau lumineux cylindrique de
tant d'uae lentille divergente de distance focale - d cm
tection S arrivant »ur la pttmière lentille (L,). Quelle
i ' csl la section du faisceau arrivant sur la seconde V
o) Si 1* faisceau arrive sur L, awc un angle «, quel
2îî. & Eiébsriïiiijiîûjsn tfws iïm.me© ffacale sera l'angle de déviation a la sortie rte L, ?
A. l'aide d'une lentille convergente, on -regarde uti
objet très éloigné. Le pied de cet objet peut être OntJ, CCP ws PC !99?
considère sur l'axe optique de la lentille. Le sommet
de cet objet est vu à l'oeil nu sou* un aogle de 10*.
L'image obtenue sur un cctan a une hauteur de 8 cm. On donne une lentille
Quelk est la distance focale de ka lentille utilisée ?

îi
* ©irosimcuiaci ïjâaaDkrôriua âii tefsr
convergente
tance focale
source ponctuelle
placée 5,
en à la div
"- - -
de dis-

--
Une
*-f-
est
c
o

*•
--- f T f

wnce o du foyer. Cn
a) Construire le foyer du £
place un écran de
ynihm Crttttttt. c !ft c r l'autre côté de la lenûUe 6 distance /'. Calculer la
fi [Oi \i *
to) Retrouver it résulta» ' I 1
* taille de la udie lumineuse sur l'écran.
par k calcul. i Omf. jUîvi lup 1997

Orvt, MtI'J >up 200 i


2iL £' lumsfiB ils Mid©
Une lunette de Galilée «t CCtwltuee d'une lentille
cutiveigente L, de distance focale 30 «c ci d'une len¬
t'L f£ Cslsul s%:n'irï«jiris 'to 1.7» pxtâ'm tille divergente L, de distance locale - 5 etn.
lia dram î!a<db]Gti «) précise,- la position rclvtive des deux lentilka
Oit donne le» dimnee» y lorsque la lunette est réglée à l'Infini.
focales pour chacune des ! ! •
deux lentilles repréaen ,, |Q; , ; j , fry Calculer le grPsvÎMtnient angulaire de Ulunette.
c) De quelle distance doit-on translater l'oculaire
tées ci-contre ;\f'.\ 3a = p«sur voir, sans accommoder, un objet situé à
et l/;| = 2d, avec a > 0.
Déterminer les foyets du r 5 mettes en avant de l'objectif ?
• M
tytfemcn QvS, Concow C™«* Cwvfc WW* MP i99?
Oral, Mitui a# )ùOt

Cisipitreâ : Icwlt 1rs n»inr.c.r, r.p*£-inu<!r


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Itfîift" f «3-.1' as<ÿ0*4.fe jê-.* Jt: !'4':«.llg&,ÏP'ÿ. «- -
ÿ-'a'rÿwrvï* &ÿ%t>ÿ$Sÿk"6fcSSiFtoJes '-ito • ®s»a iiîcsîita #ï ÿ
4: !&wl J'. .!](: ÿiffry/ÿvW 4« &tM£'ÿ* '?u-X'i*X-
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-;•? aggasos» ?. -ï'r* \?SskHv-w>' »»5iïÿ '• Î'A'A >&V%2 iït&:ï& t-,
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Exercice 2
Or? wicJt )crttiUc k 1» Ictccîiie rtiÿrçÿkiT.ÿ

WA

Exercice 3 _
Ï.'o'.iiït tr«s cJriyié jxr.iï èftr >:ii,rù-jc'fp # Fiiwâu» £Oit iacra «' aJore datis te çlan foc*'
'jnêt&Mfe O *

Exercice 4
s.) C yrtsi/xxdiîi geyrflcwiciiw C«icth->civ. '

Lsjyii:,ÿ ô>? îencr.-ÿ iioiirn;


Op, = - ?•-, Ot?; = i. :\u«-
t« Asijdaeiie- >iï La
« l'flrio»»;.
îa «Ktsttacacp Ju r&yow
pcroiCi "f Cv«o.v;r
k foyer m»a$s F' ifossrchê.

ïr.) \>-;jiic*a>»'i jjfit 1? Cî.'Oul


A, ~ F «Hsstfjods
avec

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Exercice 5
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avec : —- - -ÿ7
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flrccaV Aiau l'iui.igc rt'iiii objit frifiié A fuTiûli se forme t;]f «ttfsi À l'uili!»
'(ÿai aîfct : A. ÿ A, -• F, -. F; ft'.
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Itj>i îf-t «llus judiciriv*'. ti'uCilsri I» itLllioit df: "ftîcV/ ior< pou L *8it de: dii:rox>i»cr oihm'Jc pÿrr'-
'ion. d.îî L-, fin dô'ec. Fi?, jÿjqueysi .'a vrusiwdo*) -b.eîehÿ? p:.'isqu:au Jimn. F, e« Pi> ?»

Alrÿi : -
F.ft "" '?. - -f ? n *'?, - - —?.A-
.î.iV ; fi# ' ~x.
EL fiiu: «(C42rj>îr l'oculaiÿ d'srcsiTwt 5,6 cm d<i rofcistuf

Cÿ.aÿiÿr<£ c. . !.?•%< WW'S minces aohfrrit/uta.


r.rers{-:.s K< _
o; < Ana.p-r qualitative de l'énoncé :
L'ofcwt A èmai placé- à lôû m avwu T..,.la illation tie Dcs.-sr«« montre im.mêdïa<<:mcut que «>*
image A, cti, j peu de cluwc p:v*, dans le plan li-cgi «nage de )-, :

> Oir'-ïtrucnor pconi.nnjue

£
__et

'li
C.A, O.l m

xa'llc de l'image inremièdiaire A, B, {méthode i) :

M?. •*/;•«

:A,R. - * o,: •ÿ»*>• 111 % m - S' i


.
Cnwrrnr.T>ïTrÿ'<>i.p*; : la taille d-,' A 11. cxani petite. :l w nece'satse d'utiliser une seconde ieniuic pcv\u
grossir celte image.
fc) Rôle loué pu; l'image intermédiaire pour L_ :
"car.t iiom.û que C.A. > CO., A, IS. «ffll m;' abjes vârte-.f£ \jhjt Ly
Clc«ractêriÿ,'jq\ie.s de l'image .;l,;lin«ive A'B" :
» Oopÿiruiîtir.p gétimcirijuc âcA'fi' (méthode I) : !

fi'

- e: taille de l'image définitive :

A* est l'image de A à travers L,donc :


1
C.A
. 1
~ 77 soil
O.A. /,
C»•A - /" ÿ
O.A. + f",

A.:\: ;C .A, ~ -
C.C. t O A, s li + 10 = 2 cm ;{ \ = - u,
m~ « C,A' = !'-• î"..
OA*
_
D'autre riait, A3" ~ 1 • A,3, ~j i*A,B(
• C.A •

/f.V. ?;i>' = CvCcnrr,.


r' L'ijuagc définitive est réelle comme être formée sur la pellicule photographique.
;l se doit pour
En revanche,, elle ne aicsuvc qu'un dixième de !a plus jwrice dimension d'une pellicule type
24 • 5<j mm ce oui est an peu petit.
»v La 4ï>xMRix okict-irciagcr doit ckC«c aK&tante et je gmdiïfcœziit de !'ujucju% IwitîHc doi< ftvc
sgrd '! ctlvi «'.i iélwbjix'd?> cJocac :
ÂV = ÂÔÿ j- ?00 •(ÿ 3,t - = 300,3 m

4ft 0,3

' [ ÛAT
--
j ST; + ôâ' = i6o,i
v*i>A - 0,5.30* OÂ
éc-r.c. ; ÔA- <v 1) iOO.S -® Ôfc - - -
-. . . _ _
ùt
I Ô7T = - 0,5 <0-*' x C SM)
ÿ

- mi = 40,S au

-
«•- OA-OA' „- 99>
ÿ

mw
-
w,.*
9,498 ,.r

f>.y i'.'aiit. k*. tîcici tes. l'obiet peuiitet cousit* fi l'iVSIai.


,,,,, . .. - ..
«set* l'uaiqvw !«i>iite, fûïisge *« îbïme dfcifS vo-i plan îou&l «nage ;h OF' 49,5 ces -
•0.4' - 0,0,

b¥2;tf-|Vr .•
-
tïjkçïoh? rc«'Wf">bt«aÿaiî »*\i tiso®!îif <î- fasttistica de IMaccg#* <\ui. Y'iO veut -lompartc d
O/'i' ~
iK .".m. ;U- 2? JcfUii'-Tx '.it .«ÿœMiKùtirMÿsi&ii CTvkrcÿ 2,2 lVj» î*£&î.

Vskt» îl? ÿ ïs ) Voici j-onttrtcl M c?* w ) 'infini :


-
c-/

M* ÿ A, *ÿ; ÿ .'V
v/kkobÿim. s i&ttL-mÀnce çcflo? OjA' ~
d,. l'idée C3i û'îcort te «feiiss: I r-?ur
J i _ 3
OrV Ojfe,
/>
av-.v. : A. ;ÿ: >/v., •- u;c; - <<><<, v,»-; - {a, - ÿ
TJt mb.itfruwic titm
ÿ=

4prb> «alcvd t«o obtient ;


- - ; o)

ûi+A-i-j, -f/p+vi -/•:/;*


AjV. .* -<.',-'5=0 irrite «oc ratai* jvc-stove ° | ÿ= Z m
'si 'hnix di çJoïk reyrorc ? (rcsfctwdc 2)
14:. r-t-'r

"'"f •- *-, -
..
-"-<-'» .TT-

[<S • *>
'

îUiTÿ'ïf£OTtîÿXiM, imi « iv« i. f'mfin? tu»' IV-t, c>: >ÿd ts( cftbi«: Ja r.itouifeii ÿhysifjiic cl»
di«.
L-Vflvr.' que If ne >.5ç U> C5Î dlverÿCîït.
a> vO'açf- wvi ù I'cmI m» sou* u»t *£&: de 3° (jtiÿîhsdc 1)
" ÿwUe it ii!teï«>édixcrs :
li cf. ki à i'iijflj.i, iiiLlior 'or I'im. iïo, optvmfwf <lctmnî»<?ï !:< M'Ai' ris !'J2Jlfge
T'-B, ïi'cuie dsjvv i& cJs« îw»J iinïÿe ?iN.
li. •
> ft. fv C
stw ; f.U. - [.can « » - /[ ÿ
• GrmAeu?.ç At rimiige dftfiftiriv* :
Lcsrwjy'il sVgi'i de «IçJçfXYiiiiçt )?/ il ?&ut wtfliscc fc ÿro;.' dûs sç niçm fxaasvcrs*)
ÿHrôettfs teuiltes tOAl aSSWtée*.
QÿA ÿ d- *Vi{'
aJ = •" *"" r- * *K
ÿ k

a ;i 51
•*. c?f * n -*-*.> i5TO
A.N. : A'S' - - 0 ,'f!::> îia iirccÿe mawx**ÿ £t« r, eu mdiao-

»ÿ; Lei poiiric-ïti de l'eues et de J* pellicule sort. repêries par rapport au plan de la lentille.. ou ut»
lis- donc. la. .-eVckw.) d'. Dcscwtï", :
---
GA OA. - /*
— — î- r-.A
~"L
> ~ .'
_ '
OA + /'
AW. .• pour OA ~-x~~ 60 cm. OA' i£w » 34,5 .wjk.
-
pour OÂ --> - ÔÂ' OF" /aÿ_ ~ S* kïïcs -
-
ïj) Pour que le développors.tttr du f>Jm photo soit smzîû&mi, i'ènaÿA li>»i»ae»j*e % reçue p&i
criut-ci oxot i'ax maintenue ccÿïcantc quel que soit le ter»}»? 4'cxpcwtfc<n !r séieeContit : b puis¬
sance it/inù?et#i;- 'i> iÿssît (wptiitir/ntirjlle e lu surfine d'ouverture, <te diamètre O. or» a :
& - k- -> % - ><ÿ —,— •; (ou *. «sr une cooManre de prepor normalité)

w = 7' = = MOWSmlc
w : " :
"n
2? W remarqueque h turit de? "tllwœ df M }vroy,t«sér<. cÿc-jpond à tinr pjvjjpKtioa grt:ntê£nquc <k
raison \7 :av. : tf> t < \<;: oy voti qu'U f&ut réduire de moitié lonquc la valeur es; W est dhninuêe
'
ÿÿ•

il'tufj valrm de fl'wptuaçiïir. Ainsi le îèateie (il-


1
.1
. 1 ca'. 6ma»a!eul an choir- ( '.t'y. —1— 4 t>% puès-
25P ! \ 12-5 /
fll il faut effectuer la consaucrk»» ÿraphique d?r«î k cis limite où ia ta?3b de h iv.dic ïiTirÿx e?i
fyytâ éÿalt iî.£ L'?p"p»iix;i) étant rigtt à riîifcii. h pc)Ue»lc se w'u't d«u* k pliut ILtei de k
içaiilVe. L:| es ï la dièiaucc mirÿratilc d'approche <ie l'objet A de 'a lencLUe.

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ix. J*. JsitfjlV» fa. w--.:!v: rliaiïiT.»*- 'îr- rfîwnsÿic; ; iinrd tow* les cfciwi ei.w.4.6 S v-ïie &•• IIlc->Vïfi?
t.j;< iÿ1 &-:rÿir.vat -jî»e usa?* r*w?. s»;» te peîlv:ÿ.
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V*:*?. inMncL.-zi i *'* -ï:;>:;iï:.
G«KiaaeKW'b'-î: î ft n'aï y a? d'avoir cr:: «ft&Kc rcrtvc.-ac* ;;vcc te; ««strwent; d'oj.

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de momeer que l'objet coir.«ire its «intension fcfi < 0,17
* - 0,i ram.
:«<wius eoTimc r< >fcl

"Misante iHtnnseqoc

Exorcisa
tfl Intervalle sucj.id don appartenir r
H Tau» partir de i'svpethese i»u& l'iaïag? O' donnés par la letiiil'.s L, du réticule te situe au moins
s YJ, df i'ix.ii supposé plat*': fit O' :

O A*, fj- OTÈC .


r D < tYG' < *
:

F'Iï)alCf«£S»t

que l'ail «bseive sans v (aifçttr : O" doit -tor. située i> l'L'triw: sq-.& l'ctil :
"
57T -» V » "î d • :/;d'après a)
Conclusion le réticule e3i alors y lacé k> Toyct «*>«» o-; l?.
i') Îrif/C'vi'.lc çuqxi'I d'-'i;
j
!'J> pour c:«*A t: O apparrienntrtt sv,i tv-fene pis»; .
.ÿterminer l'intervalle dea valeurs possibles de D -
0,0 c'ojî '«usa: s'intéresser au ckwiaine tk

viwiHtfcri de la distance » OA. ii«çrpdv«ic par l'Énoncé ces sir-; deux paratnr.brs suiit l.'is par La :c!s •
isovr de conjugaison rie L,
r c-k la distante séparant l'objet À de sœ; image A, donnée p*r qui doit éfcï Bu moins é#ale -i
4 ibis la di«»aar.e fcv-alî? image /; de L. (voir exercice =* y. ÿ 4/|.
C«- plus, rot"VI (my- être siftié il l'itllio.-. «f .< -f d'où : 4/.' ": <
* -
É*erciccs
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- 2;sd v" ; fj -* c |T-
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Ptoiÿs.iui ilïigUiâû <h •"!> fvsiMM .
its fcv-!;->K iw.jvch<!:ri-,r. <k j* ;îp';>i*c tî\;>\oci i«ne :*w»£v.-i *opÿwe nue L.v.>j>jiaj«
pr-:"lîbk' do ;c
- rcgkf ! oou!;.<ÿ.ÿ ce "aeon è vais k réricul* îï« if.nk AC-y.mwcùw <'ÿ< l'œil i
oÿm:ft- k- sur •)<•ÿ•. r. çi lv tirasse vk; ! pour obtffiH yri.' :k A pc'i.k-
sitf l'f ifiicuk ob>iivc k l'aiC-e iiiV-C\;!ku-c ;
- bk-qw»' k or»tf«e pîvj;d%«n".?w.t ctisou. ic- v&«ur ex pt&. a ï>>/icnc<«icf.
5* IVi) *c;v.)iur!cyk. l'yhïçw&ï.-.yr (>-.<;£ ,î r..;.:t cr?w« ')>>.ÿ .Je A ci :.«: réuni)''.' ®i»>u "j?uè.<-
k nnim.c plat. :-i O r; l'iroÿr clc A som vtn nv;'>:i; ij' ;î: , cri î3èf.i4çai*; sc-ji '.'»t J:wô«k-
usent, I'ij&mwvsmw.' 'iv ij;s!' ri?? voir dsw: uî-aÿ îp depl.trc/ r:;>ur jvc .aw.-i! a l'uKir':.

' /vr.'Ji <•: )Vo5i«i:w prcsdAbk :


L.» liisCisntc i>r.'sii;ivc, il finit : ;<; i>, :•'. ic .--:o.i.n nu >««'<!>;•
Cêtovnivtau-.ni du ecrûi: -/ du ic:>-'.uf vpbùri.-jii.: <.jUivjir'-r :
Il c*î Je --'ccfcnnr.v'r rs.r.iîtem*«i C <> V?»A du jvjvf.ot : «ait rjy:ro. »i.-"iîPC
a,ia:.u/i! çrtr C iv.vt.iiv sur Ii«-ror.coi civ cwitr* ;i wjK.-ir xj-hcvwiw). Aufôi, evo
n e1.. f;:®siîîîi -ju's o.nxi/.v.vi ['eweyn* de I.i lâiiriÿc P'.aTr.ndicinlairc. ji: pho du ninof *
*'ÿ :r<êiiK-lf :i p*«rai:i '.!•? .1»-.iuî;c
que. ni.cco-'iTtp.co: 5'iOCJdeïit' -•'iK-
pSBi'iv -li {•.tclk>Ti.rii( ;.>ht
k- fi.ver obici -.k i.

fuiSiiUC C AciU iVvtihdu-.rmonr cbi- siî'iî" mu. l'ÿxr


LiçWîÿKaTjT-tt ri'-: fOMT.t: :>
ïïX[iit. oîî :r.' î3'td;J.k ij« .C ' f' .

<iv. invvoir srhfîriqiw kjuivn-lçuî {m-nhtxic 4)
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- -ïïmhvivo <h>, twiixit <ia ÿtoua&Wô (t) «c (2) :

-(f.-1) ®

f? émt iiéc«3fiiis«2H»ï di&eal de s (z&r s > ô et/,' < S)* b csiuricw


ifT~~

Iftoûfc <ir (3) >w (4) co çHchù'c. «»cfe atattUSrafep :

Cf.jÿî-.s K : l.eiiHst ftWreat


'ïï»âU:&C!a!»A*c?w i
le. sysrtoe <ti zfàcrt («/ci: I'ftseicsce 7) ;
- «systems est un lila.-gisseur de tn:s;:ïao (R. > R,}
Uiudlesrtfuc on utilise sev-kuient deux icnvilk*. par cx-rmpk hv«: '.iss source ias>.;/ (m qui permet
tu pÿtpç-: de conigwaa Icgrtt- di-jcrgsncc.. )

.o:.••>*!,:.-.•

Aiw'yw du jmilïli-roc pose


La roiwtrtCTjoîi ge-roicftiqiie es: maï donoêi' de IMnoocd. 11 suffi? d'inLiÿdœ cunsiiiératicnï %t.<j
métriques peur sbenu* w xcsuKat tiwiacdc qui en*/- «su* ferrec t!«ïi»-Lç,;|lie .
•ÿ

Mua en cqw.ccor» <-> rétfOussaa ;


?.) Etude tie piisîug; de (ti,j su pî*r; :!c fiw.î de la leuû'.v: ;

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ÿ

- !n _ ïy'- ! _&
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On cherche k tuscdcc {T,j • •
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x, ÿ'.ÿÿ be i ().)
a, -co, r ~ l f' 't ~ 0 (?)
srjTj t-
Ccmn'/: L'angle que fait le rayon luin:r:«UK ne chaude pas lers de ce passags rnsi? qu* L'coxkwnée
varie dr (/' i- f ,) tit: a, *-- <f * (J o. ne a j&x :x\ x, •!- </' * f ,)• te, C'î)

(i) Wtifuiù i(3) dfitfiri».'. Ï- i :.< '/


ÿ

- -
!

«*'rr,:-{» /';c')
bj Ênjce du passa-p* du pian d< front de le iencilie s fw:) :
Oit cherche une nuiriec [T2] tcOc que : { j - t
*' j, au-u: 1; jsroVlian ;er (UieLosue ae cas |
'
- ( 1,
ÿ
pckddeïu te qui p;r:ac: d'écrite :["!',}
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c) Étude de la travsreés de la lenriLk :


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Index
Distance hyperfocale : 173
Dispersion : 14, 20
Abbe (nombre d') : 21 Doublet (de lentilles ) : 172, 173
Aberration chromatique : 84, 85, 167, Dualité onde corpuscule : 10
169
Aberrations géométriques :
85,87,92,118,151
Achromat : 165 Eclipse (de soleil) : 50
Afocal : 163, 172 Einstein : 10
Airy (tache d') : 23
Elargisseur de faisceau : 174
Angle d'incidence : 31
Electrodynamique quantique : 10
Angles (orientation des ) : 81
Espace : 70, 72. 150
Aplanétisme :77, 81, 107, 151
Appareil photographique : 28 Euclide : 30
Approximations trigonométriques : 80
Arc-en-ciel : 51
Axe optique : 77
Faisceau : 29
B Feynman : 10
Fibre optique 52
Bessel (méthode de) : 172 Fizeau : 18
Biréfringence : 18 Flint : 19
Foucault : 17
Foyer : 36, 82
Catadioptre : 172.
Cauchy (loi de) : 18
Caustique : 81
Cavité laser : 128 Galilée : 17
Célérité : 13, 16 Gauss (conditions de) : 79
Centre optique : 102, 153 Grandissement : 77, 81
Champ d'un miroir : 120 Grimaldi : 28
Condenseur : 172
Conditions de Gauss : 79
Confocale (cavité) : 128 H
Conjugaison (relation de) : 81 Hertz : 10
Construction des images : 81 Homogène : 11-13
Corpusculaire : 10
Crown : 19 Huygens : 9

Descartes (relation de) : 9, 118 Illusion d'optique : 70


Déviation : 47 Incidence : 30
Diffraction : 107, 129 Indépendance des rayons lumineux : 30
Dioptre : 35 Indice : 50, 91
Dioptre plan : 82, 83 Image : 71. 114
Distance focale : 154, 172 Isotrope : 11
Plan focal : 110, 154
K Planck (constante de) : 10
Point image : 71
Képler (loi de) : 35
Point objet :72
Poli optique : 29
Principe : 29
Prisme : 39
Lame à faces parallèles : 49, 50 Propagation : 29
Lentille sphérique : 148, 150, 161, 162, Punctum proximum : 73
170 Punctum remotum : 73
Loupe : 162
Lunette de Galilée : 91
Lumière : 8, 16, 17, 19
Rayleigh : 29
M Rayon : 14, 298, 71, 79, 103
Récepteur de lumière : 8
Malus (théorème de) :37 Rectiligne (principe de propagation) : 29
Marginaux : 79 Réflexion : 30, 38
Maxwell : 10
Réfraction :36, 37
Mécanique quantique 10
Relation de conjugaison : 81
Mètre: 18
Retour inverse de la lumière : 29
Michelson : 19
Rétroviseur : 127
Microscope : 173
Milieu : 11, 12, 14, 30
Miroir équivalent : 174
Miroir plan : 90, 119
Miroir sphérique : 107, 129 Snell : 9
Modèle : 9 Snell - Descartes : 30-34
Monochromatique : 10, 16 Sommet (miroir sphérique) : 102
Source : 8, 9
Spectre électromagnétique : 16
Spectroscope : 51
Spéculaire (réflexion) : 38
Newton : 9, 117
Stigmatisme : 77, 151
Support (d'un rayon) : 72, 110
Système : 77, 163, 172

Objet : 72, 114


Onde : 11, 12, 14, 30 ,39
Ondulatoire : 11
Opaque : 9 Téléobjectif : 172
Optique géométrique : 28, 39, 77 Télescope : 128
Ouverture : 29 Théorie : 9
Translucide : 8
Transparent : 8, 18

Paraxiaux : 79
Période : 13
Phase : 13
Photoélectrique (effet) : 10 Vergence : 111, 156
Photographique : 172, 173 Viseur : 173
Photon : 10 Visible :
Plan d'incidence : 30, 45 Vitesse (de la lumière) : 18

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