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Précis B R EA L
Physique
Optique
MPSI-PCSI-PTSI
P. BRENDERS • M. SAUZEIX
Exercices résolus
mreal
Copyrighted rater ial
LES NOUVEA
Optique
MPSI - PCSI - PTSI
P. BRENDERS
Agrégé de Sciences Physiques
Professeur en classes préparatoires PCSI, lycée des Chartreux, Lyon
M . S A U Z E IX
Agrégé de Sciences Physiques, ingénieur ESEO
Professeur en BTS électrotechnique. Lycée Edouard Branly, Lyon
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1, rue de Rome 93561 Rosny-sous-Bois cedex L/fcrcal
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Nouveaux Précis Bréal son! conçus pour apporter aux étudiants des
Les classes préparatoires une aide efficace dans leur travail. Tout en conser¬
vant la rigueur des éditions précédentes, nous nous sommes efforcés d'aplanir
au mieux toutes les difficultés inhérentes au discours scientifique. Nous savons
par expérience que le rythme de la prépa n'autorise aucune perte de temps, et
tu
nous pensons qu'une explication claire et précise permet d'éviter au lecteur tout
« blocage » inutile. C2
Strictement conforme au nouveau programme, cet ouvrage s'adresse â la fois
aux étudiants de première et de deuxième année. En effet, l'optique géomé¬
a
s
trique, enseignée en sup sans être réinvestie en spé - et de ce fait, souvent
négligée par les candidats -, constitue un thème prisé au concours, notamment
à l'oral. La manière dont nous avons rédigé cet ouvrage intègre donc ces deux
temps forts : apprendre, mais aussi réviser.
§
Les Exercices, tirés d'annales de concours et classés par niveaux de difficulté,
dont les solutions détaillées sont enrichies d'astuces et de conseils (précédés
des logos ou ). Certains exercices sont accompagnés de courtes
indications, comme en colle : il suffit parfois d'un petit « déclic » pour démarrer
o
Il nous est apparu nécessaire d'accorder aux Méthodes et aux Exercices une
place équivalente à celle du Cours. En effet, l'apprentissage ne peut pas être
efficace sans combiner étroitement ces trois dimensions : comprendre, savoir
faire et s'entraîner. En revanche, s'il organise intelligemment son travail, l'étu¬
diant pourra s'améliorer dans toutes les disciplines en gérant au mieux son
temps et ses efforts, principale condition de la réussite.
Nous espérons que ce nouveau Précis aidera les étudiants à accéder avec
C<5
confiance en deuxième année, puis d'intégrer une école et nous répondrons
volontiers à toute suggestion, remarque ou critique par e-mail à l'adresse
infos@editions brcal.fr.
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Chapitre 1 ÿ Généralités sur la lumière
Chapitre 3 ÿ Formation
A Notion d'image 70
A. Introduction . 10?
Index
Copyrighted material
CHAPITRE
Généralités sur la
lumière
Introduction
En classe de terminale la propagation des ondes a été abordée et le caractère ondulatoire
de la lumière mis en évidence par des expériences de diffraction. La propagation de la
lumière dans un milieu transparent a permis de préciser la notion d'indice optique dont
la variation avec la fréquence de l'onde lumineuse, ou si l'on préfère, la couleur, confère
au milieu transparent un caractère dispersif.
Dans ce chapitre d'introduction, nous situerons dans notre société l'importance de l'op¬
tique en tant que science, et nous mettrons en place les bases permettant d'aborder par
la suite l'optique géométrique.
Plan du chapitre 1
A. Qu'est ce que l'optique aujourd'hui ? 08
B. Généralités sur la lumière
1. Approche physique de la lumière et de ses interactions avec
notre environnement 08
2 Approche historique : les modèles physiques de la lumière 09
C. Notion d'onde progressive sinusoïdale 11
1. Onde progressive 11
2. Onde progressive périodique 13
3. Onde progressive sinusoïdale 13
4 Dispersion d'une onde 14
5. Autre représentation de la propagation d'une onde 14
D. Propagation des ondes électromagnétiques : cas de la lumière 15
1 Propagation de la lumière dans le vide 15
2. Mesure de la vitesse de la lumière 17
3. Propagation de la lumière dans les milieux matériels transparents 18
Méthodes
L'essentiel ; mise en œuvre 22
Énoncés des exercices 23
Solutions des exercices 24
A. Gu'esî-cs qu& l'optique aujourd'hui ?
Uofivqnf eot un* science dour. >* uciisayôsf sam cw rs-paaduss bans narre
socw'.-i. Elle a'inccrit dans notre quotidien w» fcnns de source? d« lumière
divergea, d'éesacis cathodiques de télévision ou d'ordinateur* de télécom
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Le modclc ondulatoire se développe et Frcsncl donne, en 1818, une explica¬
tion des phénomènes de diffraction ( fig. 1 et d'interférences de la lumière
dans le cadre de cette théorie.
Le modèle corpusculaire de Newton est définitivement abandonné quand
Foucault, en 1850, montre expérimentalement que la vitesse de la lumière
est plus petite dans l'eau que dans l'air.
10
Chapitre 1 : Généralité* sur la lumière
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La periods spatiale A. est u plus petite distance qui sêpate deux peines -du
milieu de propagation qui cric même cm vibratoire.
•A- <•:. -
--
•v <-;VW-.r> (m) et i"
- ~p , sa fréquence en hertz (I h).
Pour étudie: l'ailun- de la surface de l'eau lorsque l'onde prngrossive sinu¬
soïdale se propage a la vitesse c, Considérons celte allure le long d'un rayon
puisque nous avons vu que ccrtc limitation de l'ctudc. avec les hypotheses
admises concernant le milieu, ne restant pxs sa généralité.
!:iç. S - hcôi Qè rs Curiae* dfc
"aoii à uns cale tfoniêB cans le I'elongation f<sl du po'nt .V» d'ahscisSe :: de la surface, 3 'a date t, est celle
cas iS '-•« onde progressa
sinujiPdalB que possédait le poir.i S n lo dsrc r - 1 3vec r -s
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C.. * i i Oc-iode, temporelle
dann+n Pan» cel» no do t nom; Consldctons on point M d'abscisse s ~ etc et observons sa vibration au cours
avoir auss f ? r.». ca qu< montre
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que les surfaces S'onOc sor'des
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Btmr'ivRmonJ en tignic 6 i»
Sur nés surtaues teiies eue rt,.(c. /), la phase augmente tic 2ir radians.
c= cte on a r., ' cte.
.
d'onde mesurée expénmentatemem
est x, 9.5 cm
Nous n'avons pas examiné l'influence de la fréquence de l'onde sur sa pro¬
pagation à la surface de l'eau. Les résultats de l'expérience décrite à la figure
8.a. permettent de mettre en évidence que la célérité de l'onde à la surface
En bas, la source vibre s la de l'eau dépend de sa fréquence.
fréquence de v, = 10 Ht ;la
longueur d'onde mesurée est
I22EJŒI
X, = 3cm Lorsque la célérité de l'onde dépend de sa fréquence, le milieu est dit dis-
Si la célérité ne dépendait pas de la persif.
fréquence, on aurait :
X. •
—
v,
ÿ
-'-.donc
2r,
A. • -r-
2
Si le milieu est dispersif, un paquet d'ondes1, c'est à dire un groupe d'ondes
de fréquences voisines, décomposable au sens de Fourier en composantes
Ce qui n'est pas vérifié
expérimentalement l'hypothèse est
sinusoïdales de fréquences différentes, verra chacune de ses composantes
donc fausse progresser à des vitesses différentes. Le paquet d'ondes va donc perdre sa
forme initiale lors de la propagation puisque chaque composante sinusoïdale
va progresser à sa propre vitesse.
I II est rare qu'une onde soit
purement sinusoïdale : la notion
de paquet d'ondes revêt donc
C.5. Autre représentation de la propagation
toute son importance d'une onde
Il est possible de représenter, en différents points du milieu de propagation,
la direction et le sens de propagation de Ponde par des lignes continues, per¬
pendiculaires aux surfaces d'onde successives et orientées dans le sens de
propagation.
Dans le cas d'une onde sphérique (voire circulaire), ces rayons sont des
demi-droites issues du point source et perpendiculaires aux surfaces d'onde.
L'ensemble de ces droites forme un faisceau divergent liç S.b .
Dans le cas d'une onde plane (voire rectiligne), ces rayons sont des droites
parallèles entre elles et perpendiculaires aux surfaces d'onde. L'ensemble de
ces droites forme un faisceau parallèle s c .
La représentation d'une onde par un faisceau de rayons est un moyen pra¬
1 Voir à ce sujet le paragraphe tique que nous utiliserons avec intérêt dans le cas des ondes lumineuses1.
B 3 du chapitre 3
Surfaces d'onde Rayons d'onde ou Surfaces d'onde Rayons d'onde ou
sphériques rayons, planes (propagation rayons,
(propagation dans perpendiculaires dans l'espace) ou perpendiculaires
respace) ou aux surfaces rectilignes aux surfaces
circulaires d'onde et orientés (propagation sur d'onde et orientés
(propagation sur dans le sens de une surface). Dans dans le sens de
une surfacel Oans propagation les deux cas la propagation
les deux cas la trace de chaque
trace de chaque surface est une
surface est un droite dans le plan
corcle dans le plan de figure.
Fig. 8b Fig. 8c
15
/OpyrighOwr
«w vt.vr.tj tr Jwiitit Wot» devont donc bous imejrcg&r sur .* meure clî .la perturtjaoon, c'etl i
B.'riJi kc» lâv :i;n.:/c iiï-; îwtwci' w qui, dst» le oas d; ta Ivaj&c, ;orv«j»3(d iribnÿûQj» c'ait
V. cjiu sn
it cet dr-s oïiwi mémixiques,
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magnifique. et donc de (j liyraère, oorwaporid 4 la propagsôon d'un cbitiip-
clç;c>i-iuc cr d'c*> clwnp magnétique qui ojiii-çav cfwÿr. «vcc -«oc ÿ»ç*
grande tréfiuenec, de l'oidx* rir 130 ié.ïirirrte (10'« Hz).
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'C.597-32-15S • 3 G* rÿs (vsleuc exacte).
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>* ->-*ÿ, w: La célérité de la lumière' dans le vide est :
çi'iÉfJ* e? .WK-C-.Y:fli<ÿ W - indépendante de la fréquence de l'onde lumineuse,
>.?' ill* m: itt indépendante du référentiel galiléen d'étude.
••
B
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ICftfpfr* > : 5s>«i'f I5P °v m -i;f.>9ra
Pour wne radrattra êtectromagastique rnonocferoToaiique coftïtàérê?. d»m »?
vide, nous obtenons la 1wÿwr d'onde associé* par la relation :
~
> - -. :r ~ V - — j
ir* :f if if -.r* -c* if ir2 ir' •
«v *.c2 •? *.stS
vfrevx** ÿnfr*rw#* : ondac Wûtf nn*t
; micro oÿdii
rssftrrcoM tfjvçkn
flM*ici?«t IM9*.0fe9lHDn ; HtftWCto.
rÿàDtâVeiûri
* (.'<*. ces re?yîft:c«r. meaafer.T. une vitesae de In lumière de jW> COj tm/s.
O.o mesures qui sciÿeov sow ïéa'igr.ç? sur ks ondes ékcurc.-ïisiÿiédqu?»,
iui-CAûîmertr Jwrsttaoirt, ci>jj se :îép<n.ot9« d*ÿis (-- vidt à h mira:, vitesse »iue la
lumière ;-aUçs dmnea- eJcre U valeur < = 293 V92.0 It&va.
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La çasscUiiL «3;- te valent Hti te vtees-î &r. <s fowiâte ae rÇtft: et 1 9S5 çwuxî J«
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iyi.rj6.-4 iisit, \4 vide s-i de te v»ï«éi; d« le Iirateve da.c,» l'eaj. ;ul rctïuwî
UhU; "
'lEPPPH oD.ici ÿiit>a; iur luiriiÿit
'.Dn M. taRHttflOVfnl ; rtnloo Ou 4pp£Uc inôce île rt&wcnon r. d'un mifera. le r*ppl*rt de ia célérité c i
in mBsu fa fAÿagaOMv ou d'une onde hrnnoeu* monoctoomaiique dans ie vide à sa célérité v dau»
nftet te rflnscfen no mon le tnHku otmwdiré. On a dcae :
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i. Hi*: JifÿîlCTi) ;et »t>m Stfffliâw . %nç» «Se r,-* Sa»1 (snoven).. osntôtraros
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Pha l'tr-dice » ea: s>sÿ4 plwe l* «îesw de la liiûrôèfr dom Je rail.iet; est fcîble.
L'innke de Vvh vtuc padQaecneAl 3, ce aui otcnerî que la vitesse de la
Âvmts dîna k Vvk est (rÿ-a ÿ-oebç d« orJJc imsrotwî àtm l'air.
D.3<2 - D'.frççv-.Àwj sis 3-3. bsatoàte-
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(ÿâttc tyirtfji'a ia disçtnion r.s" p«i-;ÿ,ifiî7TfnKH ùnûcrwnfr: join- Irf
ve-res de vue tt 1er verres utilisés dans 1er laboratoires. Au£ii4 ''it sritéte
iiuitt4tk>ue W. as60:<i- à ICOI ïnjyîtç OHûspaîWCe aKci fit- "[Ryoirîi -lir «t f«-
ï. Lit «iusirti* <;'!»• wr» MMCOx l3>a,Cf/JiV- On pas , c'ei-f. le nombre ri'Abhe1 c( dftf.Oi Cû«il3T* suie :
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Oû retiiÿuc que l'air ïC l'tîu son. tir; inilveua yci diepersite :iiouï pÿuvÿais
donc wtfjifs.r la djsfv.ÿn'jti dar;ç c.« uiilijr-t# lorwiua: la iwmic«t: Its
* r;<2uii®.;iis CKni'Vjyuvjtî
Swr(r OitpetSion d?s vfntÿ-: tImw îaji qv'ew* Ici ix:îI!k: dire? le- ve«e jrlfttl
qui. ris «se îai»:, a -w ftel Asifeiï.
iîiverre» s lunette d'iudiee élevé ;c le-.- • verres « de vue tsi poJyuarixtitsie
mmtî îontonokt riitpc-sifc. C'eist, ftoui l'ïastior Kiroie, fr pf» ÿ i'ayr' ikiju-
vertaetœ c>es coet&:«Jow de vie ir»pona>Jta îwris uî. cas, ou pour avoir rier
\isim iv.gr il dvi? I'aVfTv rss.
L'essentiel
/ La nature de la lumière
• La diffraction de la lumière est une preuve du caractère ondulatoire de la
lumière.
• Les ondes lumineuses appartiennent au domaine infiniment plus vaste des
ondes électromagnétiques.
• Les ondes électromagnétiques sont formées d'un champ électrique H et d'un
champ magnétique B se propageant simultanément au cours du temps.
• Le champ électrique est la cause de la plupart des effets de la lumière.
• Une lumière monochromatique correspond à une radiation lumineuse d'une
seule fréquence.
• La lumière transporte de l'énergie.
• Dans le modèle corpusculaire, les seules énergies possibles d'une onde élec¬
tromagnétique de fréquence v sont des multiples entiers du quantum d'éner¬
gie t = hi> avec h = 6,62 • 10 u J s.
Cwnroc la fréquence de cette radiation est lz nf.rac dans le vide et dans l'air, en z suai
i> = —X, = r <=>
ÿ
X, - - .
»X ,puisque ft = -• Ce ici a 1, dcr.c À, = X. -
- '
X v v
Cculeuf associé" £ cette lumière : datts le spectre sfectrûmagr-ètiqiis, certe longueur d'citô? cor¬
respond à celle associée à la couleur orsr.gs.
•IFréquîrtce de la radiation associée icerce lumière : la frequence de I; radiation est :
...
"-
, c j - in«
v = 7 ,
/• -
1,33 • 10" 31s.
--
*, 6,;.4-tC7
c) Calcul du diamètre de la tache de diffraction
---
J.a iclaonu <j) donne :
2 X 1,22 X x X D, 1.22 535- IC ° _ „
ÿs2"fr * * 0-2 «7 #
™ = 7iÿ'
ÿ '*
:il> Cuiœç de Seÿleigù.
S>ir Vécror.; Ure centres ci, et -i- de? dew* WcJ*«es :1c diîmciior: ÿ-epÿ.serjÿes r>-fCiiv.e sent. au moins
disiïii'S du rayoc ajiÿulaitt 0r du twcmict «aisaoi qui est dmr-n«
\ *\
Ce. p-rui «k'cr co. t>!m Cl'ku if «*thyîii'W) L:- pii-pài-iiMm dï raiïo«.op;c «c la longueur d'onde e"c
0)01.1 C'j.nr. rf»"s 1.1)1!'- courtes du -(.viTu f':<i;T>ma5ÿittii}i;:. $. f.or.efporidWs i> 'a rociaiiMi Meut e#c ainsi 1
l'flflak le pliw c<t-T q»w IVn p'jute coienir. "1er poins images «ffioirs cspsoc;, k pouvrir siparstou !
ce l'ûiSCru/ÿ.uï cal Kigmen:; «s; Iwuiss" b' * ut <.Jr utefer
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qu« !e milieu *2' diipemi'. J'.'ions k milieu *.tst. disÿrriî, piu? l'éigr ciuixc -ip ."J_. soit. >)p -
jiî/ï petit e* donc pVas ic >Wiribii.- d'/ibbe 3ÿ-ri psÿd.
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3vlO;j Hi.
ÿ >- -v :.a-'
S* lï;tj*hî&; »i îm Jf >y_£'.wrur ii'voJv f- ~ <fcï3 lira ï;Y-£?7:<t.vc av dttHMâv? rfuvâfrk Î3S'> i&i;?iiC oxiC
«5 K&stëtf** )1 «t li clci»; &<*• «mxlaa» yiî&lqi» icit t ;
.Jonc y 'te + Z? + *) = c';e, 2xi ïy <• i c:?5
ÿ*
3E
CHAPT
Lois et principes
de l'optique
géométrique
Introduction
Apres avoir abordé la lumière comme une onde, et mis en évidence les propriétés de l'onde
lumineuse en montrant l'importance de la notion de surface d'onde et de rayon d'onde,
nous nous proposons dans ce chapitre d'aborder l'optique géométrique comme approxi¬
mation du modèle électromagnétique de la lumière. Nous préciserons le cadre du modèle
géométrique et la notion de rayon lumineux nous permettra d'énoncer les lois de l'optique
géométrique, notamment les lois de la réflexion et de la réfraction de Snell-Descartes dont
les applications sont nombreuses.
Plan du chapitre 2
A. Le rayon lumineux de l'optique géométrique 28
B. Lois de l'optique géométrique 29
1 Les principes de l'optique géométrique 29
? Lois de Snell-Descartes 30
3 Loi de Kepler 35
C. Applications 36
1 Formation des images 36
2 Guidage de la lumière 36
3 Propagation dans un milieu stratifié 36
Méthodes
L'essentiel ; mise en œuvre 44
I
A, Le- .rayon tu .mi noua ils 'Asipçtejwfc
9&c>metrlq ne
Lt.3p"-".,cC"-î'. p!vÿ->/--;ar iw zf.fjf.vztv s l'sr.vceiiî- 1) 'ju* Vtrpfco*.;!* jewne.
ivujuf <r:'. un* -*f ''oi>t.\itvr •-nca)w.-.>± n )a Js<zi4c
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Nous comprenons fort bien maintenant que le modèle du rayon lumineux ait
été découvert et utilisé par Euclide il y a... 2300 ans. Ceci est dû à ce qu'il
vivait, sans qu'il le sache, dans un monde où la lumière à une longueur
d'onde très supérieure à la dimension des objets qu'elle rencontre. C'est tou¬
jours vrai ! Il fallait la curiosité de Grimaldi pour regarder l'ombre d'un che¬
veu éclairé par un mince filet lumineux issu du soleil...et découvrir la dif¬
fraction, qui nous montre que la lumière est une onde, dont l'approximation
est l'optique géométrique.
Zone où
Cène d ombre (eclipse de Pleine Ombre propre
do la lune soleil est totale lunuére de la Terre
Soed
I Ce principe va h rencontre de
la nature corpusculaire da la
lumière. Ainsi, au CERN, dans la Fig. 2 L'éclipsé de soleil met en évidence la propriété
machine 1ER (Large Electron- qu'a la lumière do se propager en ligne droite dans un milieu homogène
Positron cOWlerl on étudie les
collisions entre photons.
Cependant, les énergies mises e
leu sont sans commune mesure
avec celles de
.
B. 1 Les principes de l'optique géométrique
Propriété 1
Attention :un rayon lumineux ne
représente pas la trajectoire des
Principe d'indépendance de» rayons lumineux
photons car ils sont non Lorsque deux rayons lumineux se rencontrent, ils n'interagissent pas1 : un
localisables et n'ont pas de rayon lumineux ne peut être dcvic par un autre rayon lumineux.
tra)ectolre au sens classique.
---
En pratique, vu les dimensions des objets qui utilisent la lumière (verre de
f r lunette, paire de jumelles, miroirs...), un grand nombre de rayons arrivent ou
partent de ces objets. Nous considérons donc un ensemble de rayons
lumineux appelé un faisceau lumineux'.
H
— : L'application des principes d'indépendance ci de propagation rcctilignc nous
permettent de conclure que dans un milieu homogène chacun des rayons du
Fig. 3a
faisceau se propage en ligne droite, indépendamment des autres.
Faisceau cylindrique
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M
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- v |io-s : d'iîi'î'ik'is*'* ;
- .'u pi»r y *v ':ii»î;.W ;
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La loi de Kepler est donc un cas particulier de la loi de Sncll-Dcscartcs pour
les petits angles : n, sin i, = it, sin i. devient »(,!, •= n, i3 et on peut alors consi-
i. n,
i. Cette opération est dèrer que : — = — .Nous avons linéarisé la loi de Snell-Descartes1.
fondamentale en optique '2 "1
géométrique comme nous le
verrons dans le chapitre 3.
C. Applications
C.l. Formation des images
I.a notion de rayon lumineux les lois de Snell-Dcscartcs permettent de
et
comprendre et de prévoir la formation des images, ce qui permet la mise au
point d'optiques de plus en plus sophistiquées. La formation des images fera
l'objet du chapitre 3.
36
Chapitre 2 : Lois et principes de l'optique geomoinque Copyrighted material
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Fis-laIjr "têc i!f"5 5-» :l" •" "-Si'
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4s rif-aeicR. U< i-îoiss IxJCfiitc sk slcai; rtflétïwç ce s»
tvi-jfcw; •jtfefceïi&K <S<fëtcc>ïvi. Cr« Ac rpm «*a: fridic.-jsw 5«c -dtasMft:
2t>.i, 7:-W' «.'.rifrr* ait i?te w.
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in iivciiîî; >xa t K.iihvi. -> feé de Lÿw-itcc sjrt-scJsfc:- £> ûrSmc.
fig. 19 -lais îâ rWàrxkft #; tw?'?.<xs *a*cr>«M»iv3 •S"cçs-
kfiïAm(Cfow -,v. .vA'i rU& p-'wù fwn -wJtc/te >
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Dans le triangle Tîî'> on a p«fr r' p -s? dooe r r' ~ w - [3.
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Dans le q-jidrilaiAre SJQT sa
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L» deux eekooes f&écééestrss aowa panaerrent ;k c&adur* cpie :A » •> r\
Les matins psur ta prir-md'indice fi e. d*an.>e au somme: A sont dorv: :
sii }' = s ïâi ? (1) j
ko i' " n SÛT. p' (2)
col
_
EaftS&t :la Sgure 22 a été tracée arvec les paramètre? suivsnîî : prisme ex
- =
fCloî d'todict
* ïfil, d'ftu.$k au ecoutwc A 44*« Kigic d'ûjci&îvicc t 30s.
Oft «btiort : r S 3*5° i?' = 26° i i" S 45A
:• CaBriMou: cac l*«a®!te À ftto jpafews ÿçîjap qwéID. ? ffifo itroaffswra* dfca
Rftppt-lûKa que p' 6 v„ ;la *ekt«ou (2) ncx& indique que l* plus -«aleur
de K corceepoivd o Is pfut grande valeur de ?, ?w l'aogte Jinxlw
donc *uw« A -"f. La coubie îtrijaiitè A - ÿ « r' «s sÿ, nous œoowe
qu'il .r<e f-rur. y **o«< émaÿeur* qjtf: ti A *; 2.*ÿ,.
Tr*coj'.c Ik icayExes de KOi "'(i). ? *(t) et D(f) en giirdaat !eî 'fcm>éis orées-
dftws (fi)î. '
Noua cb?er/ooj qvw- :
•
C-Xt'lT. viiifi.ee -îjï k £i>ï£i»r: àt- '(s) .
L-». cota*-* i'({) ait. î'/fT(iTîiqt«e 3*2 «•epyvorr à k premiec bÿÿct-tec. C:r.i >:«£
twee ci.iprqueitce directe 3o ii foi fia retour iewree ik !c iuraiiïc zppliçuee
ai' •jrçgsusfetf.
:• É-Jj'.tts bii s£4"?>î#'&Z-2
Ls. iÏMk:çfi't s Ti/crx vers 'f. te»î-r tU: partie
«io dÿïâ-kn est d'abord one tofjettea décroissante de l'angle cl'in-
ïv;«?cc î. Cette déviation 3121? 3*2 un rnioijaum I>m arasw de ereàïr* de new-
vexu ï.v;c i-
Coici.'o? f ',D o.V:i défunt: U'/r si :
__
ÿ; 'f his-. ?!»;. ' t. fi'y, jir, f'i+ - A*ç rie ' | 3>3°,
___
_ Nÿ"
'»ÿ
'!:-r
poiimcrtii vérifiée
oluthc(M££iqu»:oH:nt IViuutGrtCc d? Cet nKtmftwn it(i
wcfttfsjit qu- la dérivée première de la fonction D(fJ s'3.nnal«? pour une
valeur i_ de Iet que cet extreir.ura esi un minimum en étudiant le signe de la
dérivée seconde de D{i> par rapport l, prise à l'cxwcmom. fc'iiu* twmvç-
* 0-
ricriî effectivement que >
\s. delation 13 du prisoc prssc dore par ra minimum.
'ÿ•
>îit pirtems ®if. tblScJotccksi ci* dÿTM/ttaci
IRjïitotitfaz
âj.
.on pratique, nous cherchons le minimum de dévictioTi 2. en faisant varier
S angle d'incidence i. Connaissant i'sngle A du prisme on peut en déduire
l'indice n. C'est v,nc méthode précise de determination de l'indice d'une sub¬
stance
Application si l'on rrsJisc l'expérience, on. trouve on minimum de rJèvictioii
'
----
.
------
. i* 4 0.| ,44 + 3G.7\
s«n(--
s«t(— —'
On trouve tion « j A
tfk i
-
r:— = —
. --
s?r. (/
44 ---
:,<•? ce qui o'c
—
conforme tux paramccros de déoariv
K 25 20 l iyJ W *1
l',M1
m? 2i- Vï'iwws de Se ;'êvi<<So:<C fi funtfitc! d« À 3::iir tognjrs «fonAw.
Nous voyons yce le dévie plus fr. luroifec bleue que iii'iiv «« sJus la
in-fv. que i-ovço. Au <«»;*?;*'«» >iv tw» vws le» v»;<îtiïit r**p«>;-
ftrs : y-.,2° :5*>,7* ; li),-'0.
" ;<."<££ rV. >;i-Î3;:rii"- *1*: ?"î' <!i::ig!l7. *•'-' &jiï:aw.T.e ijîfsuv iiy-'ia
.'ii'V.if!lKi*.:s*:
Jaw ce cas, le» angles d'iSHîiÿnee «< de ?<i?aenor» ?-;n.i ?*<!« 8«? Je» cJ*«h?
Tsc« dn pi-iuw. ?Vou\ uhl-.WHs slots i<-3 vei&fjnm de. Y,~.yl'-z :
i ~ if.-ei / ' relations s-iftâcaic; «Su prisme dric r'BOÔr.r. sont ÿr.c<ue
r.v?Î4 p])t:< sv t\Wpliÿû:ilf :
v- - *i r - i.»?
/« -iéidslios «e dsrpc-o:.' >•;;;
3 ÿ
<(»k de J'iodiirï du tî. '.{<r -xra /irÿe »:i
fOï.M/'ei: .'> = •> - lîA.
L'essentiel
/ Rayons lumineux
• Le cadre de l'optique géométrique celui où la longueur d'onde de la
est
lumière est petite devant les dimensions caractéristiques du système où la
lumière se propage.
• L'optique géométrique repose sur la notion de rayon lumineux.
• Ces rayons lumineux sont indépendants, se propagent en ligne droite dans
un milieu homogène, et suivent au retour le même chemin qu'à l'aller.
• Dans le cadre de l'optique géométrique, la trajectoire d'un rayon lumineux
est entièrement déterminée par la géométrie du milieu.
/ Dioptre et miroir
• Un dioptre est une surface de séparation entre deux milieux transparents
d'indices optiques différents.
• Un miroir est une surface qui réfléchit pratiquement toute la lumière qu'elle
reçoit.
/ Lois de Snell-Deseartes
• Lorsqu'un rayon lumineux aborde la surface d'un dioptre ou d'un miroir, il
donne généralement naissance à :
- un rayon réfléchi,
un rayon transmis dans le cas d'un dioptre,
un rayon réfléchi dans le cas d'un miroir.
Pour un miroir :
• Le rayon réfléchi est dans le plan d'incidence.
• L'angle de réflexion est égal à l'angle d'incidence.
Pour un dioptre :
• Le rayon réfracté est dans le plan d'incidence.
• L'angle d'incidence et l'angle de réfraction vérifient la relation :
h, sin I, = n2 sin i,
• Les lois de Képler sont une forme approchée des lois de Snell-Deseartes
lorsque les angles sont petits.
/ Relations du prisme
• Pour un prisme d'angle au sommet A, s'il existe un rayon réfracté par la
deuxième face, la déviation D, entre le rayon incident sous l'angle i et le rayon
transmis sous l'angle se met sous la forme :D = i+ i' A, avec A = rr + ir'.
/ A + D \ ! A
• Au minimum de déviation D. on a : sin { -— ) = n sin | —
-f Problème à résoudre
-* Savoir faire
r — — — — — — — — — — — — — — — —— —— ———————— —— ————————— —— —
O Identifier le point d'incidence I, intersection entre le rayon incident et le dioptre.
0 Tracer le plan ir, tangent au dioptre au point Ien s'aidant éventuellement d'un clément de
surface d S appartenant au dioptre, autour du point I: le plan ui contient dS.
©Tracer la normale N au dioptre au point d'incidence : N est perpendiculaire au plan tt, en I.
O Repérer le plan d'incidence ir qui contient le rayon incident et la normale N au point d'in¬
cidence.
-» Application
Trouver le plan d'incidence correspondant à une rayon incident sur une bille en verre
Solution
O On place le point I.
45
Comment construire géométriquement le trajet d'un rayon corres¬
pondant à un rayon incident donné sur la surface d'un dioptre ?
-» Problème à résoudre
Le dioptre et le rayon incident étant connus, on souhaite déterminer le trajet suivi par un rayon
arrivant sur la surface d%un dioptre séparant les milieux 1 et 2.
-» Savoir faire
O Repérer le plan d'incidence qui contient le rayon incident et la normale N' au point d'inci¬
dence en utilisant la méthode 1
© Dans tous les cas et particulièrement dans le cas où la question porte sur un tracé, faire un
dessin dans le plan d'incidence qui est aussi le plan de la feuille : reporter ou mesurer l'angle
d'incidence i, entre le rayon incident et la normale sur le dessin.
© Comparer les indices n, et n, et des milieux :
Si n, < n„ il y a toujours un rayon transmis, passer à 1'ctape O.
Si m, > Tij, il peut y avoir réflexion totale ; calculer iOT = Arc sin
Si i, « i>m, il y a un rayon transmis, passer à l'étape O.
Si ij > i)m, il y a réflexion totale sans transmission. Le rayon se réfléchit avec un angle de réflexion
égal à l'angle d'incidence i,. Passer à l'étape O.
O Appliquer la loi de Snell-Descartes pour calculer l'angle de réfraction iy
0 Si la question porte sur une construction, tracer le ou les rayons en reportant les angles par
rapport à la normale.
-» Application
Un faisceau cylindrique arrive sur un dioptre plan séparant de l'eau d'indice 1 ,33 et du verre d'in¬
dice 1,50. Déterminer le trajet du rayon si l'angle d'incidence est de 65° et que le rayon progresse
de l'eau dans le verre dans un premier temps, puis du verre dans l'eau dans un second temps.
Solution
O Le plan d'incidence est le plan contenant le rayon incident et la normale au dioptre plan au point
d'incidence I.
0 Le plan de la feuille est choisi comme plan d'incidence. On y reporte le rayon incident et la nor¬
male qui se coupent en I. On trace le plan tangent au dioptre qui est ici perpendiculaire au plan
de figure et se confond avec le dioptre plan.
l'ai.
f
1/erre
Second cas :
0 n, > n2, il peut y avoir réflexion totale. Il faut calculer = Arc sin ( — j ** 62°.
Comme i. = 65° > i. , le rayon est totalement réfléchi. Il n'y a donc pas de rayon transmis.
»erre ; -j
Méthode n°3
— —— ————— —— —— — — —— — —— —— —— —— —— —— ——— —— —— —— —— —
-ÿ Savoir faire
ÿ
O Lorsqu'une déviation résulte de plusieurs déviations successives non orientées dans le même
sens, il faut considérer la déviation D comme algébrique en orientant les angles, si possible dans
le sens trigonométrique. La déviation D a donc un signe.
Indiquer le sens des angles par rapport à la normale au point d'incidence.
0 À chaque dioptre ou miroir k, exprimer la déviation D, correspondante en gardant toujours
le même sens d'orientation des angles.
0 Pour obtenir la déviation totale, faire la somme des déviations individuelles : D = ÿ_ Dt.
Application
Exprimer la déviation du rayon lumineux dans l'exemple ci-dessous ,les angles étant connus
/////////////z//
Méthodes
Solution
O On choisit une orientation dans le sens positif trigonométnquc. On repère les angles par rapport
à la normale.
0 On repère géométriquement la déviation totale et les déviations a chaque changement de direc¬
tion.
On obtient :
D, = - tr - 2», ; D, = - », + i, ; D, = tt - 2i4 ; D, = i„ - », ;
D, = 7i 2i. ; d'où : D = 77 2», ». + ». 2i, + » », 2»,.
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j:> w c«<d4s\'; u -A; »>sV- <?<•ÿ?*&&
fi'.Vvi»•?:'..ci/.' J. »C c» ",'-£> ®teî» ÿ,-<1
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iriftiina» :»'V.;t<V,- A _&•'•' «s*. £!*:&?<
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aï$r îaÿi-.
;opy r Jft?;iÿ I
1;
4* Calculer i_ et O.M. pour une fibre d'indice*
"h. M Fifcop qsuiqi» i«ma iïfatôzz =
ff; = 1,45b (silice) et », 1,110 (silicone!.
Soir une libre optique- F constituée- d'un c»ur cylin¬ Quelle serait la valeur de ces grandeurs pour l«l
drique de rayon a cl d'indice b,, entouré d'une gaine guide à base d'arséniurc de gallium pour lequel
d'irtdice 1) inférieur a /r- cl de rayon extérieur b. Les n, = 3,9 et »t = 3,0 ? Commenter,
far.vs d'entrée ce de sortie «cru perpacdicuLaisM an L'jitcnuaZion de la lumière dam les fibre* optiques
cylindre tî'axc Oï formé par la fibre. L'ensemble, ers estdire à l'absorption et à la diftuawn p*r le iiialcriini
particulier la face d'encrce, est en contact avec un constituer du ctrui ci par se* tmpurccw fFcr'. Cu*',
milieu d'indice bp ce pour les applications numé¬ CK"). Flic se mesure en déoibels pfn- Km :
riques on supposera que ce milieu est de l'air pour
lequel n; = 1 .
h) • Zigzag iplan Ou 4. et désignent k> flu* lumineux darn les- plans
Un rayon lumineux SI ai-ilve «d un point ISur la face de front successifs ) ec 2 distant de l.
d'entrée de la fibre. A quelle;*) condition;») d'inci¬ t; On parvient couraminenr à réaliser des libres duru-
dence c< rayon ft-l-ii, dans lu fibre, un irojct plan ? lesquellcs Je flux, 1préx un. parcours de 50 km, repré¬
On considère un rayon Si incident sur le errur et sente 10 *i du flux incident. Calculer l'atrénuauoii
contenu dan* k plan Cas. de telle* fibres.
On appelle 1 l'angle d'incidence et 9 l'angle de la
réfraction sur ïz face d'entrée de la fibre. A-PfiillnffifauT. Endoscope a fibres, fibroseope.
Le but d'un endoscope est de permettre a un obser¬
L* vateur de • voir • dans de* endroits inaccessible*, d'in¬
û térêts divert- (médical, militaire, industriel, etc.).
HRHHimllll IIIil 1ILiir Z.'eodcnwpc fib m est constitué -ic deux faisceaux
txtôriÿr * *
de libres :l'un éclaire le vite, l'autnf 2*wie ie retout
\ vera l'extérieur de la lumière émise par la cible eclai-
~Jyÿ HP
,r
- DŒUf tnj
;
I
ïé«- L< nombre de fibre» constituant chaque faisceau
est de l'ordre de LO'â I0é
S
il) Si l'on imagine la ciWc divisée en environ it>'
'&) Déterminer en fonction de «a. n, ci n. in condition petit! carrés, chaque libre au voisinage de la clhle
que doit Mt»faire j pour que le rayon réfracte ait une recuïtllRni le lumière de l'un d'eux, quel es; le pro¬
propagation Çiuidée dans le cccur- blème posé a l'autre extrémité par la rccuu-timiion
La valeur maximale de / est altn* designee par iJ de l'image : Quel nx k problème technokigiqiie
(îngle d'acceptante de U fibre). majeur posé alore par la fabrication du faisceni» de
fibre* ?
r,f «M appelle ouverture numérique (D.N.) ciu guide
la quanbic O.N. = it, sin <J. Èeri: ENSAM. FS'tT, EXsAiK,ÉCRIS,
Exprimer C.N". en fonction de //, et n». ARCfUMFDF.
hÿéîcûdiimÿ
BMB
Chercbs? où K«omi<fiQU«n4.enr r.\<ÿ x po\ rx A, )]y a intcrcc iconsidérer comme iJgÿkriniu: une
et xitillw.i k hit Kfuc Vobt?tvïxiit ai piwik dr. ï». dêvijitiivjinjyqii'dle «t wmpwc d< plusieurs
deviations succraives.
mn
1.'observateur ftç iÿuut viwc déi tuhi! UU'j 3i;s .fc
Les dioptres simples s'iphcriÿucs ou plans) ne per~
qcr émcitccit des rayons lui p3r\rft;anî. de \u norrowle «u point
d inctdcncc «t pfipcndiaÿairc au pian :an£&rr au
Jjoptrt au fx>t rji dlrn*rtltficc (\jt.
ÿY-At 4 dfenottrrec éiÿ\y dnar
k rcauiCat est denne. wxiz O'.fchci" ÿju<
ic/rt i>r>oÿ.
..h;p Irr/ L<âi!; i%l n*inr.nis!; il* • ne.-. :jim <j ÿ!<:••• r:r iju<!
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lÂ:v'r îfeÿr/r ci to&s£.:.& afcgasa **.: k k.t/ï ÿ£'Ki>'M svsfo î*r &%&g& .1t8$Sfë3£$&
EH
- (;i - 1)A
:(« ï).û.
lÀxercicei* de niveau 2
\ -TUT
It
OJ-Ji C/OiJO oeîî» >i rr.'C rfl<* aw'iîode cit.cvt Kiniçie.
|
C.-9rC,C0ï
Exersk» 8
L'obsf.vèvcui ve-i» les rayerw qui émergent rit* eutiuèr* dotre #vec tu* aogie de vO" par ».ap
ix-r: à la normale, L'angle a 'incidence ; est dor.;: l'angle haute de réfraction.
S»! le fond, de piscine» 'a piofcr.dcÿ: p vue par r*>bsc<vaîcu'
'a ;M
.-ÿet *ÿ
-. /I -Ci-I = r
t t hTi : ! f'Sccei o
7
d j?plane rfseiD If plan d'incidence poor repr&'UMer j? situation physique darts Je plan de U
utile (iftèdivido î et 2'j :
Sur :h fact supériew le rayon pause d'eu» mSk-ti moins rernngcr.c {»,
ÿÿ«1 (;*. - î.,5)
-
1) à «ir; fTrilieu plus «efrltt'
Ccc« ideo» conséquences dans 1c second milieu le rayon se rapproche de la norrtia.e : la loi de
ifc réfraction fi' ivu'oufS râiiitr
Moys pesons «*. - --O" - b où l'indice / indique l'incidence et l'indice 1 l'intmitoe considérée.
is 'o> <(e Siitil-n-cwrr: tes d/w«nc n( s:n î>. h, s»n -
ÿ hi<*.a;t;Si! iï •• « • île V: r» >rÿ.%/.f.V *ï!.*'s :/s •:: • .• :••-•• \» .ft.?; i ..:• ........
...... . : ::• 5 îsf:*;! î rt»{
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jiv" 41 Il y aura cmssrjijaîit>ri c ly
L.t) ki) it lu ïâô-aedfa pit«e>- d« >uHcutei- g — ,*.to s.u» j--- su» <j. j
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'i S —— Vas df l.1»«sidei.if.t vÿwntt», <i = > çÿi'iq».xic s'»i | •_-*• - J— '.ïiï (f «.
|
la dcvist'sro latérale évo'.Lte «ats* 0 ft c. L'cbjfc obs?rvê au travers, de ia -aine n'est pas déformé
(CîfÀr, 2m-<i. fcr.,e£iT: :!l lAZfeâteaaecrt,
Ce» pourrait se servir des terres à faces parallèles pour dévier les rayons.
C-rt préfère povr eel; utiliser ocs prismes* como-c nov.s le vrctoni.
»,
- <? i.ffl (S. - 0, ) e (3£l fi, cos
»
- tie. 9. ces fi. 1
---i,. —
'
Sttl £ COS fi
—Rfei
f
donc d = e sin », I -:- L
'• \ K tes. »
— »(i"
r, COS
!?our avoir d proportionnel à c e: S, , i! s ufiV. de prendre des petits ang'es d'incidence. Dons ce cvs .
cos fi «,
---
«((
t.!S
= I=» rfs <• 8, I - ,1.
f;n (<ui tec sr. vrrrà «Je i.a terre à &cï* parallèles pour balayer une surface avec un teser. La rete-
lior d = ke k = «e, permet de créer le balayage d proportionnel z 8, par un mcirÿmem de
rotation de I;. lente autour d'un axe passant par 3, et appartenant i. te f?ce d'entrée de te terne.
g/La relation (I) devient :
- ntxi fi cos S,ÿ slo
d = e! --
1 * -- \
sir. »,
».
nus fi -, -
COS - -
d - e Isifl, « --
• " cor. H.-
cos fi. I
'i
o; cos ?. = v I - sir:-1 o. « sir '» =— *«< fi.
• h.
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f f sin «,. - — r.io fi -cor. » ——
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D. Les systèmes c«$*tvfts .
E. Aplîj'iètisrni .Igoiÿ-ej-î .
F. S*igrmSi3rrÿypp»c<'lw.
G. Les conditions do- Gfcua*.
H. Application au diepire plai
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tr;iijf-ï»vrr su wrvenu *tuf. fûtùte <\<- signaux éLeo.r&qu?s. A. yitrtiï d'iu-
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rcnwîiom acvft£wta;iqu«ÿ --romplnÿsos, où in'ur&unï 6**. w>Lw ««ïw* à
dinqUc i.i«Lvi4u; uo»ÿiy;»-o.( la •i'spprexuïîisspf, le çeivrrv.u foftrjirctç
_c;<e ol>&ïi-vrtfj;i uiir .ruoÿc. il s'aicr Mvdem'ne&t il'iw njrn.-
islt, qui jic ressax.-ibJe e<i ««i a l'iule jo. «seti! iaiaïJ.iutr, coeuae tu*
dapLicaû"" >'ccw»>a»ffi>Je c!c i-- qui gÿnc.rc. l'infonn-tfïwi taRKfiew.: reçue
et .'|UC jwrta» f.vpik'Cï ItaciCorlVuÿll l'gbjKt
:'Oui *>tu'«on; rtiflj* convaincs de i.-. mure ïntïitalc rie l'rùi.-.ç: et; 'lOjiKV,-
cam qu'en fcrsjwfif. l« yeux. nous :ooou»>w>s ••: vcw <;etve ausu-iJs, •?<
que 'J'PtUtt». Mirages, co3ti:De peu»*? de «v.» fêvt*> îi'ÿn: paa rit. support objtl
palpable. L-'» fcprêstîataîia»» «te Ui. «yen qu* 'joowaie à. contpMCT ]*«ii 4 oa
»ppii.-'ii ph:*»*nv-tbÿu*. et liï iretVFiirt à tin axieur rêtbticftRC* pa->-
Sîf-, est ÿlOrtC treirtée. Ijri ibuÇjOJf d 'ottî'njiiC v»if l'ffKprMsiî»» L> plus »w-
d«ue. J;aitr J'M&mpke de la fty,<\yt 1, ies 'ivînentf compris ',nuv. l»?s poiaiej!
de* fliKBW ett-tk la KtàJic îonipieu* ?
Le wwu p*c rânrcrn&l&âc tic J'irotÿ mèîuîi]* tépoisd non. "Le iiouMs
diciiJMr'.rc que cnn. Mou* iwçïffK* 1er dn cvicîçtt>; te ;'ah que k pt?-
ceptioo vâ-judle des 'unary:'» utilise l'i-ÿKrp/etÿtiur) zeïrtrç.irî, daouces.
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nous siiilisortÿ itc» Syjietlles onrknf;* {uikxirsoepr, iuiwrtte) qui. w>o! ooruer c»"
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i.urOiér» incident©
I";
' '
ÿ©asteré© ©ft its© ê€ -Kxrf© db. cys'ièms
RBoréEstïiilion d'un système
a;Pqc« ft ©tient won
Un rayon incident est un rayon qui se dirige vers (S), dans if. sens de
psgatk»n de Is lumière.
EQS2T
rJn rayon émergent est un rayon qui s'éloigne de (ÏÏ)-, dsns le sera de pro*
pe$j.c*wi de b liwuièïe.
Un système Optique est limité par one face d'entrée située du côté des
rayons incidents et par une face de sortie -s situé-; du côte des rayons émer¬
gents y-.-i. • ÿ.
La cône la phi* sentual «'«si Si le f?!? ceau incident est un cône' de sommet ri, le point A est un point
pIS IOr«nVCr« aénHè W U1W objet pour l- système optique. Deux cas peiweni se ûréîenter. I- faicc ego
airfaca d» révolution : aios\ (I o&
conique i-icitient peur être :
cessadu c»s cùligal'jiiw.em in
«» 4e syrnst'ie. - d.ivçrgsr/û-, dsns ce cas le point objet A est dit réel ily. '• ;
- canvargan, dans ce cas le point objet A est dit virtuel :: ! .
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Cîu-vUkf :-ÿv "ityïic,
Qu- ÿ îÿ; BSaatfÿa Bîÿyÿ£3 t-c-.cÿ'v
Copyrighted material
«
' î>ÿel) si recti ira rayons focldecrt-i [«wmt pif A éfrvfgwt du système •
optique en posant pss le point -iraie A'.
En expliquant la loi du retour inverse de la lumière noua obter o is :
(3)
A' -f:-A ce qui. montre que A e: A; foo'flfat va S3wfi$« 49 ifÿfulu© ea?«#i)-.
çwts pour le système opaque (3) ri&ojrejsemen- stigmatiqpe.
air cliaacf
*•>) chillïil
Fig. 8
Mirage inférieur dans un milieu stratifié (cf chap. 2 par. C). Le parcours de la lumière depuis
le point objet A se courbe du côté des indices de Fair chauffé le plus fortement, le système
-
visuel interprète la lumière reçue comme vérifiant le principe de propagation rectiligne ;
.
il « voit la lumière reçue comme venant de A' image de A. dans la direction OA' et observe
le palmier dans le sol, la tête en bas Après analyse de cette image et son rejet par le
cerveau, vu son caractère impossible, elle est qualifiée d'illusion, de mirage.
Remarque : nous noterons en pointillés un trajet qui n'est pas réellement
emprunté par la lumière mais qui correspond â une démarche mentale du
cerveau qui utilise systématiquement la propagation rectiligne de la lumière
pour interpréter les images. Pour l'observateur de la figure 8, dans la direc¬
tion OA ' il y a un palmier.
Un miroir plan donne d'un point objet A une image A' symétrique de A
par rapport au plan du miroir.
Dans le cas du système optique miroir plan, tout rayon incident passant
par le point objet A se réfléchit en passant par le point image A' symé¬
trique de A par rapport au plan du miroir.
Ainsi, tout point objet possède une image rigoureusement stigmatique.
Fig. 11 Le miroir plan est le seul système rigoureusement stigmatique pour tout
Tracé a l'image de A point de l'espace objet.
f miroir,
1 ce otyct
•î imao* virtual*
m
ut iimac ieci
plan
Appliquons les définitions vues précédemment à la situation de la figure 12.
Le point A, origine d'un faisceau incident conique divergent est un point
objet réel pour le miroir plan qui joue le rôle de système optique.
Fig. 12 L'espace situé à gauche du miroir est l'espace objet réel. L'objet se situant
Réel ou virtuel ? dans cet espace, il est bien réel.
Mb t«»:eobt« A', origine d'un faisceau émergent1 conique divergent est un point image vir¬
(y at tmoQt vtrtuc*6 tuelle pour le miroir plan. L'espace image réelle se confond ici avec l'espace
I,
Yj objet réel puisque la lumière est contrainte de revenir dans le milieu d'arri¬
vée : ceci est une propriété des systèmes catoptriques ou caïadiopiriqucs qui
r" ÿ/'
\fj • • *ï>
V %
contiennent des miroirs.
13/
HK ***
a L'image A ' se situe dans l'espace image virtuelle : elle est donc bien virtuelle.
m image >4*<a
Peut-on obtenir une image réelle avec un miroir plan ?
La réponse est immédiate : appliquons le principe du retour inverse de la
Rg. 13
lumière à l'exemple précédent : nous obtenons la figure 13.
ÿu virtuel ?
Ix faisceau incident est bien un cône convergent : l'objet est virtuel et l'image
< le faisceau émergent du miroir est réelle. Il est donc possible d'obtenir une image réelle avec un miroir plan.
p'an est aussi dit faisceau
Héchl
Cours
ï ttv ;la V mor a>î
wvS'-*
CdÿSÛTaMSCfeiïBÎi îi*Kh&B k«'
vvt iw viu»tï '/àtï-*o ;ia
'ri- ;****'ÿ V. i
s»iî?t e* !'.)li:tH yoriArc 1.ÿ6 Cans le car. où il y a srigrnatisme rigoureux pour Jeux points A et A', si
r*-vw« .'"uses .j:i7t«rr?-.5 m:«i l'on souhaite déterminer A' connaissant A iou le contraire), deux rayons
i.vSkt ;#* >.»Tt:n-»4i provenant de A suffisent pour déterminer le point image A 'qui se trouve
vrofe:j r-i."!"!';.
a l'intersection des rayons émergents correspondants du système optique.
• v *j! | --.ftzooe çtjuïi a.jjn ./.catcie iu> point unage per syrocinc- nu xe-ppm on
j \J
y
' V,s '1 mi*©"*. L'op&wisa jçsowwsnjgue deo&e l'image d'u/i objet zmasi ttes
? \ <w xusww»" piw> pk rîrjt'-c votc symétrie. jast rapport s.u pin» du coirou1.
Carinas r-ut is ô$otc 14, P'cfcjrt n'«t çènrx&lrmmi p**» suÿi-pnÿyt: r. son.
iûit&e : l'objet *i< dit cïtica'
'il-, iè
l'itbjut. M *;:r. ir/lijfl un
ii»ni' eti su,5 -, , , ,
>ÿ,* hwvwu<j.«* dffi&ÿOÎMX &&
D'u?:e Fîvsriiôre génè*a]c: lorsçu-: v > 0 a'cr? A F ttA'D' sont dî ntfeii'- sttis
c. I
...
IS1
l'irnaÿp- ex-ï r;.v<? droite. Si •; < L tAcmî A.Ç r< A'Ç sr-rre ri? ytftis errpe-.~r*i
rirj«»2ç fsi d'ye
L'uJgêbnsïtieri \iawlie c<c l'cspÈCC rej:-3se ïuï le sen? -it iwop©saî»n de !&
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1s•iiis-.'.w £A*# -rc •-> fe <b& -sKstv 'œxiflïtf.s .*,;•?•:«>?:. -sx cÿîa #> -.v;* .-
'«Ù*. wïxv,;&; cson £Ri&£P>?TO ?<.•#$«.'« g«s ÎKj •.'.ÿ«îÿv-.-oÿ'. *&w syvysew
A.va >, 3Mïx» Ite "îaÿMiC».ftxw>& •& a
iiayisi të&S v Ci &:> -X&l*ïï £&}.>
L'ikù? [a &XÏ-" i:sï pSji'&fc *i:£CÉ lif -ISS ÿî3i.?-îi«f£ c'\~&-
•spcc/xciU Kv;;r>tp.;t,ÿ -.rÿ.ys'ï vï ç%» ÿ »ted c?; «S3.\%si«
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"3v» u-| i*ÿ * «g
Mous vciytyos que les rayurts peu éloignés de S'axe et peu LrtcUoeÿ sur Vaxe>
appelés ravens paraxi&tax ou rayons centraux, converges c dans un volume fini
proche d'un point A' pou? y former sur un écran une tache circulaire avec
*. Dn paye s* reporter une concentration cle lumière au. centre de ce cercle1.
3 d* ce * cm a
le 'inure 11 do S
Lz lentille est u-i système stigmatique approche pew? un souple de poires
À et A.' si les rayons issus de A sunt proches de Tfcjtc et si Ces r$y&tl6 font
avec cet **s des angles; pàtiis*
Ces conditions concernant ley rayons sont les M?s<aV.:.ioÿ ste £?s k&z.
x Cwfornémanl à re qub nous A.' est dans ce cas l'image de A donnée par la lentille-', au sens du
Ij: point
«vonixJicjl Ifluiîrsjc ici posséder sligmàdsme approché.
d*D iriomatiars concevant le
capiflor ràCèk'Bnt rinçage. Nous remarquons que les parartlêlrès concernant les rayons sottl :
_
Lb phflCorf CflfT.BiK pl*cè SOr l'o*« réloignemeiiL à l'âxe optique, ou hauteur û'incitlen Ce h ;
doit avoir toa difTwnsKjnL frn
BVBC ;ç VDluriK
• l'inclinaison a sur l'âxe. Ce que nous pouvons résumer par Ut figure 20 Sui¬
defaissanl !* GtqroateJTiB vante :
8(jprecnè. doplreÿ
/ raven lemmaus
__ '
3ÿ9 oÿrquÿ_
-h.
pyrtffiïètms h ûf a ceme.fnndn* un rayori lomiMaiu:
Nous pouvons résumer ces doux conditions en ont seule en disant' que L-sa
ray&KG rfowtwc étci? .vÿrsaraVzyft, si Von donne à ce dernier mor 1a double
definition précédente.
f--
t! .1 I : nii*«l*«! • •!•••• i *i .V?v-W-Ir>.: ÿ
;•&ÿÿ' i
G.2.2 -
Dans itrs conditions de Gauss, un point vohin do l'axe dans un plan ex 3ris -
verse vérifie aussi les conditions de slipnatismc approche ce qui fait que
l'aplanèlisme est toujours vérifié. L'image d'un plan transverse, ou plan de
front, est ur. plan de front. Les plans de front objet er image sont conju¬
gués.
Pour obtenir l'image A 1? ' d'un objet A3 situé dans un plan de front, A
étant un point c'c l'axe optique, il suffit de tracer dans le plan méridien
contenant AB, cîcux ravons issus de B, et d'obtenir leur intersection H ' à
la sorbe du système. Le point A ' s'obtient ensuite sur l'axe en utilisant la
correspondance de plan de front a plan de front, c'est à dite en abaissant
U perpendiculaire depuis fi' sur l'axe optique
-iViYitf
i§$*s?#KSsiis?Ite>-
ti&; KârtSfôïîïS -jMi' fe VfJ'MOi « •MsÿïS L£-a«ar%î
Ssï k fe®c* çui jÿr fivfi afe» v'TittëM
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ïitf J-iA, dâffiïÿK de i*H« wwusi» f»w d.'& /ÿytvA" £râ»*w idvj;
ÿcvticr>.c.;y. 1/ i«'V Vv Amt /-"( ><oïv ÿ<? .-ai utÿ//Aÿ I-ÿTangç d.'»//.:
paifl- «ji.elrwjiT.'K' -'«? («ci au 'p:iûx.
ÿJ'rxùti i *>'
fi,2. jFfov&S» ïÿs?!irm-.'c îte &$ÿjztâ22Si&
2%Bfll£,SrSSr <wa fe:pfcre JiiiCXS
('. 'j <i «tt&UAf&OK- o$«ix--*ra S, J8A, k î'i-jwud ç*i> i<r. l'sujÿr cfix'ïdtbstt?
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islscw-j r>-{5*v.W«4ift Êiîadeaî sjnvçe ewaii* ac. falsest» cvlfc&fcpre. N»:ÿ~
ïf.-zr(o.'x>xiA -ci i'uastfïc c\u'?l y a ÿrit myvixs £t»uâquM à c-ê-fi-ii-ï fi» hvt/*«èra
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mr k f&epr;e pîeet, A Iw <-*?scfi
ew ratt •»:«« t'ew s$tf»ius 4>?'.
xVv-ïlri Tifctu, 3k- diÿîïïv ;çlu»i îlumil iauigg à* hqftwÂAe
1,2.
i'Iiiu» *t<»î{Xjeicw dans te ffcV.ssïd.jïhe qw le* ancres sÿf«tîMt wku oigli-
geaWaa d.evae.i I'fl&emvian -.-A?aÿsoqcw.
Cette ftbewvieo concerne l« cyskiï**? opcq>ies >2srapMe&e9 ctvÿ ppjr
u-w Icotiire polyokroiiteiiquc contre !s Iwiïiôr bbnche par ewnipic,
Pî«te$«.te de *J<vwic& aiut £bao§ç»«n.f2 de revlku .v àkpccf. rte CW.-
dicc, -km» rlo la k-nçîteui: d'onde, <1 v < dkc-wton de lo Jusroÿr?.
seals sp.voî»3 trti-î k deviation d'un rayon lusuifteux due ua cdsviie *3ï
plu? impomoîe pwr '« r»i»iÇk<*iK btevrs q-je pwr Je* '.«fcatejis *
ÿvou' ivieeac -no -l\o,:îoj- 2). ïîoji wùcÿvons cwt pïoj'iiirft :lens Ici leonlk*.
co/ajnï li x!i«tïi« la d« le figijr. J~>.
f-5- r>
i'fil-'îs te rÿûriT k»*ilr.a«<s k 1* Uav««*> rl'una l.'.iWlo
trtJJr Jira k'iïj'v; :«S«>JTM ÿîfltUd'ïbWÿ
Ctfïc n\s* ?*s propre *uu ÿ-ruk* teKf:*ics? es.t licc à Is kautrijf
r«bcjvÿii/\ri cjii.i
d'itickiecice ray&tt ei doixc ;> & ciï$vASK*> d\, rf&;;-}ir.>ur<te rf.u ÿc:;o-c
opiÿyr:. Ces? j|oav WIVC «bcïWfiow Ow il'ÿuvr.rrnrr/ J11 nisîcshl-.
Jl y a'îLirfBîJlatfor* (k iwTikrÿ sur une ni'iPisc de rêvÿujo*,-n ÿnpcJcc v»j>-
f!n forxoe norixCe c-.ÿ iiev.he. I.?. <n« Je cette C&dtiiqu? e.sÿ r'air-.ÿo.ÿe
-•n f.«>ii tîiJ'.ê:. uârts le p-cit ;ie la Jijuro 2ÿ.
Pswr -2s>r.-£f«: icïiié ÿ.ÿeiY?.îioii, n.ouf- pouvons krrnor k dîsiphruie?ÿ. teiiT que
ici dÿi2Îy.0YJ07î tl'mresiiiic CJ rirvtaÿ *>11
[;insmei!ÿc ircÿt. :>ftS j?7c; uÿ'Ciaolÿ
'ig. 2« ûbYÉ-.jws --1<rs ÿScnc f??i« de? ÿ si?ÿ-rc cosnpsas* cr?s
ÏI3C3 dp la C«if6(iijii? rrÿî&la -sulup.ivi e.sc «ÿiiteiiîic. Fÿi«*. i«oe lÿi-
jix:.«tsqui\
tiilv dÂvÿrgtviUî à l:> îe/:î:"ic converftente» qxii a a' riteVite CiJrttporiAftli'rtî pour
cv os> <îÿ=ÿ îiiycAï o\ÿ>aÿus. s:i pÿaxÿw.. esi ccÿbionoi ics <>•:•
•.•ovrhui'c* tî |c> «sdj.TCÿ de* v/yre* iÿnvr •'.•uc fc.c> mCS K::t;)J;r.
te c%nnvÿ&>eto-
î.'nsliÿiiati.'iitic es» dôficui tic Jmvaçc >|iii ooiicrroc un i-oin- clnigiif. île
un
1 oouq-ie. icx-iw s»04ii des svunnes ifés <i!-jy»hT:u«Hês. -iîri obsefe alw.
uc% iiti/ee iniougê y.-viica!cnicx>: %.>u hon?.r.ninicnicni si i\«n dcpi.».*.o on
êc Ksi ;?oiii ie-. oeiUu i",iru%t. ?>'. l'on jwd un o'n'et plÿis tel une croix, or. ne
86
E.3.Ï - La 'Ue'JciT-sÿ.D
Cette aberration concerne de grands objets trans verses et elle n' i'le •; t e
pas l'image cVn point su iÿn>: clu atigma'istne approché. dc&ut jwrtt 5«S
le position de cette image,, one l'on trouve iun autre e.mpljoemmt <\>.r tr.
que prévoit ?optique paraxials, La distorsion varie avec la position du peint
objet et l'emplacement de diaphragme
•<&»> V j.ji.Ve
Objstflt image pnrÿeiai© ling© w (vnia û* baiiUsï Irivuga er> forme lia «.duviral
V'-*.2»
Im&uss <i<j «Hsfooêori
Lau? une experimentation, à l'aide d'une lentille mince convergente, nous
for:mor5 l'i Ti?.gc d'uo cusdriiiag» sur u-u écransitué dîxts k pis*» conjugué de
l'objet o6.x'i. "Iscoi.1 un JisplrraKOTr eu plis ptiçs ce 'a )mîilk> Nous
observons sur l'écran une figure semblable à \z figura 26.e ourles ccridâlotts
sont celles de -Gauss, l'image est ressemblance i. l'ocjît.
Si nous éloignons le diaphragme de la lentille., en le gardant entre L'objet et
la Icnfili», nous obtenons une Lnagc forme de brrill'/c « noua conations
que le «rardisseuieu transversal est plus fuble au. bord du champ qu'au
centre (%. VA t-j.
Si le diapKrasTnt: est éloigné, tout en rçsrjn'c entre '» IcnttJk C. I'iOïSC, noua
obtenons one kna®ç en forme <k coussinet et nous constatons que k jtsr-
dissement transversdi es-, tjhcs important au bord du champ qu'au centre
f.Sjç, .Ce* cetut ccnw-.es obsçfv«krs stmt duo» ou parcours des tJiyoaa
marginaux. Ce défa ut est dilficile à corriger TOtiiemenr. La plupi_T des sys-
té rr.es optiques travaillent riors 6s ccndiîions rie oauss car elles sont trop res-
cacb-e.o (intensité Luoioews-, ouverÿur*, bicibiî/bon).
!ïn conwqi'eocÿ la corn.Jjl'Jtité des sjï.térnrs op:i{(i;r~> résulte de la unectisr.
des a'cerra.'ious mais il «t rare que toutes les abecruboop gêcme-u-iquîs puis-
neui cC:e corrigées ç,t Mirr içrnpr..
L'essentiel
./ ttâfiniixuts géaéreks
* C&jtf; >;;• ic-ûv oUirt •">> O'-i vpï.icl, >-#nnt uvi££« vp.vllr ->u vIjhtJIc,
svsromo a, ïtpae, ofcitf « i-v,-ÿ.
' i"j<7iv; ràhv.-.rvw -„«>? cuic_'-.;>.i:we ?ig»u?<'yx i>.> «ïwiii
* c-/*e<bâ«S9!< tic O&cs* jet»». c-.-vceuvfic-.*
=
îi,
88
Ch.ipiln: 3 FnrrrMtion
Mise en œuvre
Savoir-faire
I O Vérifier les conditions nécessaires à la formation d'une image : ce sont les conditions de
1 Gauss. Il faut donc considérer des rayons lumineux émis par l'objet et peu inclinés sur la nor-
[ maie au dioptre.
I 0 Construire géométriquement l'image de l'objet sachant qu'en pratique on est obligé de tra-
1 ccr des rayons avec un angle suffisamment grand afin de garantir la lisibilité de la figure.
. 0 Appliquer la relation de conjugaison pour déterminer, par exemple, la position de l'image.
-* Application
Un insecte vole à 20 cm au-dessus de la surface de l'eau et passe à la verticale d'un poisson situé
à 1 m sous la surface de l'eau. A quelle distance le poisson siruc-t-il l'insecte lors de son passage à
la verticale ?
Solution
O IIfaut se placer dans le cadre des conditions de Gauss. Dans cette situation, cela revient à consi¬
dérer l'insecte à la verticale de l'œil du poisson. Pour simplifier, on assimile l'insecte à un objet
ponctuel A.
0 On détermine géométriquement la position de l'image A' de A à travers le dioptre plan forme
par la surface de l'eau en utilisant la loi de Sneil-Dcscartes de la réfraction.
Mitiddes
Méthode n°2
Comment étudier une association de miroirs plans ?
Lorsque plusieurs miroirs plans sont associes il est commode de résoudre le problème en appli
quant la méthode suivante.
Savoir-faire
IO Identifier la nature du problème posé : soit l'étude porte sur un tracé de rayons lumineux,
1 soit elle porte sur les images successives d'un objet (ponctuel ou étendu) obtenues par l'en-
' semble des miroirs plans.
I 0 Dans le cas où l'on s'intéresse aux rayons lumineux, il faut utiliser la loi de Snell-Descartes
l de la réflexion et des relations géométriques.
, Dans le cas où il s'agit de déterminer les images successives, on utilise la relation de conjugai-
I son du miroir plan autant de fois qu'il est nécessaire.
Application
Deux miroirs plans M, et M, de même lon¬
gueur forment un dièdre d'angle intérieur a.
Les deux miroirs sont équidistants du som¬
'M,.
met du dièdre. Un rayon incident parallèle à
M, subit trois réflexions puis revient sur lui-
llléme. Calculer u.
<M,I
///////////////////y
Solution
O It problème posé ne fail pas référence à un objet mais au trajet suivi par un rayon lumineux.
3a = f~
Chapitre 3 Formanon des images
fte>% ite *£<>&ÿ* jtfcx»
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2i& £a "f&ik&ffcii Sfu (£&£& 21M $>& wa [&<€&£ ass
$>&:<ÿ&* i??îc.<fe Sa<ÿàfëW» ft râss !»»•• I-Wiafcÿtaw r/ÿcfcc',
eawif M, *î7iva :&# x&m,s'fti&va*,} ÿh
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•Ai/é s&v*te 'ftv% «ôseûtfe
iy«9 jÿ3«S.ÿftï9B5-graÿfeeÿç»5Bi!
t$*9 «2 divÇfjfôy 'Ai ?îu» */ÿ!<a:>ÿ('feiÿ05% 3 sÿ-
iftaiS & fe jiSaega?! ÿ <Sm s&so? ÿ raw 8-
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««mB ÿcW»i.
ïfes .-pœsçjftss iwVsqs à« «s ixx&te "&: ï,{
}*y» i'ijsçjç a# ïfoÿiÿc £çs'L>3 er ç»
Tœy*5<f ®«*a> sfSsfcfe Êiriif*.i
Niveau 2
0:1 ,££ÿ '!'£*$ 'fit, tfîfcj PfZW -4 ? f-SWï !£* aProLÿSMÿ
'&<&« A? L, « ? &&&at <ÙIXi >&iA'bJi "Mi .V
Be,4- fcoJ5«v w
.wmrÿVÿ'Sf. &HA&s£$, 1':< •£&»«& ilJWi? :ifi?dçffcwïï lifir-i
.î?J'«<%j -vÿc i'tyéïMKi'ê 33? &fx.îi'£t
6& fatoistt'jD îio3 a t. vfea'viS, y"'.ÿ JvaâKiS*» l" .
acens* ÿ»a
:fti:m#w .'VitfiCw.
àstft/a WflMOi&t; !*cï«îiw -_'« Éj"%w-
if1, ÿroy/ss.(jFiV&tetfw
ft &. ïw*£ -ir-.f iiïvftyïwfcx» -Jht ft* KW -J'iW i•- 3? TE. '!&£• C2i5K"0 iÿ ï*
fisiilœirjisi.-Js yl&y;v. ?,*sia -i'tfrtKraifca&«- n'wÿS9 à' jfc.4-
(j* ife: .$£&£$.ÿ à û. f't-vjjii,
K 3 ni&x s«&8-3 assidi»ÿ 1*ûi saptsk &wé jpf 2ÿ.7 W.aore*r MiMfe rf"œ .c*r>:k ÿfcfl
£aieic Ç&xftspçtlaÿ«iiKe«i&fcœte caèe®-
ta&s à; i'&fcua eju* l'vo *• atBgfcafe m
:ÿTiW/.&! V » u&fi
Copyri
Sx S taîrtaiiB à w&w jfflSsk&ssiuss
Ia <i« «i-i?iœ o?rcj»rj V« !«ct:.cr pi
is'.Of; CM. <&.?&<: ÿ>
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32"]
U . Ml
'S© ï%& tû<a ms ÿ
ÿ/Ç:> ;nïO
..!•>-
cf.ÿ
Exercices de niveau 1
Exercice 1
y.) * Le poiflV otiii S'i:x l au C«sc»n himûjfÿin eottisjye diveiÿ%?*» et»? '-, : Zi ft. ur« fwinc reel
pQHV L-, M. dcoc £'J£ -.Wf: Vali id-oU |fl«K5 I'.,.
ftesRoioxz : ùî> ?fi)( ÿIçrÿoi: dire çi\ts A# âE9azôînï c to) cte î'; ÿ«'<1 ;si «face
'M o'tjeï réel.
' Le peter efcrâ. S s'ÿ.rv.i 3»o» un fci*:*ra jjickfcftC de !F> sio : AOfi .ir'j.vi:-?'>a >->o. t
(<JW L;. j
,%wu<p ;A£ «j'î./).iy-o.m; p/14 .1 L'raeace ôij*r. wl -if. Lj car -,;gt «psi» «< litrtfc* pas is camiî;:
de k ktwilk I.
ÿ
-
L* po>x»t cfcyer "5 4oim uw fcisceiu fciDuzieia: ccBjtîtMi iiivwjeait <ÿ•»«* Î'înseïiîblï ûzz 2 tarôik.*?
3M3c**a >.« il est sfcuê clin? l'eapacs oiicî rêt) v't « oyiirjixO. &W «ttiflase »sl *&,&!
L:«cw»\d»î&îtf. #s L, se 11,.
-
&v 3, «ïjï ie ftoùii: de cc!WC?-gciBC ô.o, ffliveem» èmr.tÿ'ot
poioirL,.
cawîsjyt rit 5 ., : AJfô, avra
Exercice 2 j
s?'' L'iode tic kEcxoti ÿ?î igel ï. l'augir <i'>x»cdW'«: «ï tci m'J. Iajtu- <îi >»;
yflirÿe..jt>yr«.>.'ic";/ii>'c.uiï ili ww.fezz A't .Ktoviy f« ÿvj.«î: îuî fille-rî>éînt.
i-"1» /.s %n(e diSiciJrc çùitÿrÿTe a •iiSètww une cooalratrdori çzw.ifti to. ufil(4âo« ta Ici do. -toU-
de lu ïéûewon ;;<•«>• Hr.fXF kî • »yt»«4 wMcJua ; i
, i
/
en p. ciorrc : r, •--
r, = & *, f\ - vt = M'-.
Ci; a c!vw; n« c-tcit oÿiX't- d'cv.)eaip' Its 4»?tas duns k ?e?i3 iriÿcioîiiêÿîÿuT -s- le ÿÿJrÿiad/Mï 35
ev. jiÿe
j
?_ÿ rayon (5) rjkt le j.lus in.«:lin« lot la nrarmaL, at ïïîiiroir. La 4.êî»i»ti«Mt !l> qu'il ?ÿ-> cours ck v>
xr(lc*xoti ïexyr'liï- seinA ; 1&ή 2 - - 50°.
c) C'a rfiftctue b construction gêtifflêtriÇ.iJt'! :
r HuTd»!
wi
V* /
.3''
fynm :Vautour rnii>imfrl* t ÿaer»
' \ <*
77777777777777~i*777777X7
D- Ufr
Swtcice -< _
*.) On cflcftiue ixne construction gcoirkn'içje (nÿUîc-Je 2) :
: 150 cm
50 cm
i ÿ .:-ÿv r--
Après réflexion <I«. rayon lumineux sur IVi, en Sÿ, le rcyon oîsse p« le porta 'Jj cppariensc» nplan.
"CirâaJ <t2}.
Avec : I,= <ÿ
ïjî, = 2 x :.*;o •< ts.n id0 "A cm > 50 c-ro.
-i
ï.l ?Vy a donc pas clr: rwuveilx réflexion sox f*.ÿ es:-: rayon peusunt par p£.iiyc vu-JttfVus de Mv.
Par ecnsèquem, 111 c'y s qpt'uns wnJs au.? ils mvaftr &«v
i-) ïl y a slletta d'inagM Qui ue fsrtneir: dans ie système cacique étudié. là* e-fec, S omet i
il fois de* -ayons on cUtccik-.p de .V-, et de qui c?t3cu& fanaant deu* prerrnr.res :ÿ»s« 5, et £ f
qui à leur îcur donneront lien à 'Je jx autres integes et ainsi Je suite. Cn peut rcsumt? ta tivuatfrn
*i*V>n :
S % S, *i 2. ÿ £>., ÿ 34 _+ (i« Jÿrie) ...
et 3 ÿs; ÿ s: 3; ÿ s.; _» ... <2- série)
Sur la fïguxE miivEiatc, ncus avons représenté In premières imijjcj fi-itfnées yor révélions sur.ccs-
sîvck pour la t" zéri* s
-
puis 33, 33; SjS, =ÿ -vD - 2d -s- > ÿ S,ï: = - 43 - 2. SS,
*
C<r« remarque une relation de récurrence définissant 1e e>33'îio-i de l'image de S. ohicctue ap:r.a K
rciicxIoDs en cièstmg-usm r,alr ou io.™»?, svec
fàmL- »'peir, $SN - - «•»
fpùW.e K' &ûi:>a&v
--
: Ici <ÿ <;V v :t>Jl
C'.i procède de même peur determiner les positions des I-urges success "-'es de la :,bùr. c? oa
obiier.c ;
jNttiL-ÿpsÿSSj, :1ÿ3
Exercices de mve®u 2
Exercice 4
Le dêpiecertienv L n'est pas égel t l'épaisseur c du cube ca-.- la race avant de ceki-rd r:cimmne ur
<1?vpQ*e ¥;!?n sipziTMit deux n-Uicus d'l'ÿc.'ci: de rêfrentier •j:;3£rcnfcî (rnÿlhcde 1) :
&'• image de A à iw-.rj te dxopirt psLttanc par t:\ rcpcrc Is posHicr qu) est vifcc prwr Ja xs.cî
&rial
arncrc.
Qn utilise la relation de conjugaison du dioperc p!«t obtenue dans le ens do stigmatisme approché
puisque le rayon lumineux correspondant fi la vuée es- pe-rfieitdiculiùre é la fact .rvaut du cube :
rt HA' = MA avec n l'indice de xéèacdoa û'-i verre.
Ci : rA - e « Y. A - T., donc i
* = -• .
M.
vfcl'CJC® 5
ft'" -y- Sa.u;î«i !.3ini d<? rala.u'a da-j Miroirs. il oî.< "in intéressant tiintratiiiir* !s* cunrrtonnéss carié-
la pusiiiuu
sisnnes osns yn rÿtr \V~\v\ dc«il iss VîvbU'i j.nîam sctoi« nst-i* <<>,. e I No jS suDposïraus do plus
q-.ic las Vois in»foif': De'iniisLMvt lue- plans JxC-yl. \y!''\ al UOy).
Notons (ex, |i, v) les connWinccs du vecteur unitaire u donnant i? direction de l'onde incidente :
» = « £ ÿ p-Ç + 7 £ (<y, |ï. 7 «>}.
ÿ
ÿ
fcprèï une première réflexion sur le miroir coorenu dan? (yOs), k vecteur unitaire donnant )û
dnetfon de l'onde réfléchie s'écrit - a- V; <- (î - <7 vFr. •
Après la deuxième réflexion suc le miroir contenu dan» (rû;), l'onde eat dirigée selon
- a ej • p • e'y +• 7 t.. Enjui, après le? .} rêfiexiooa l'onde «t dirigée selon o. - p «J - 7 = u ;
• ÿ
dite <rsH. «foi:iç lfcf!«K' £rtuwilltte .i: '!», dÏ3Vffi&tr<It #5 lv«l»3« isudcteœûiç,
- ÿ
-
Remarques : cette étude englobe les cas parû-ruliers: nù seulnnen! 2 op i réfleàon ont llCU
- -
(exemple : u ce t\ ÿ-» «" ~ a*t'r). De pk% l'étude précédente ne dépend pue de l'ordre dans
lequel s'effectuent 1er. réflexions.
ÿ
t-l Le vecteur unitaire û dontlAnt La direction de p/opÿCon de l'onde réfléchie cvC colincairc i£.
Les plins d'onde de J 'onde leftechie sont donc parallèles à ceux de l'onde incidente. L'ctuAt stftflA-
cbls ssî dooe witsea««.-rctBeiD a reterare.
L"><'Èl'CJ£% iv
Commençons par étudier la situation où
l'aquamua «t vide :
On utilis? !» relation de conjugiiscn du
m/roic pJoil qui permet de déterminer la
hauleuv L de l'aquarium :
> ....... ..... i.. . -
- • ••
SA = îîA,I 4L=
AA-ÿ j [u
= 30 cm.
V/////s y// t» A
Étudions à présent le cas où l'aquarium est rempli d'une bailleur d'eau égale à h :
rT'
n> --
rs
H 1
iP - • Sj'Opin- ti'/t&u
•.
*!i. .
!f2 ;
• s
__ .
Gtt a donc k& conjugaison* suivante* :A
B .
—<=•dxfcrrÉ
A. -•:-> A
t«a#-V
?:- A'
Vg> A. -» Af : SA. - - SA. - - £H + .' f/i .;> avec (i;on a îîA. - SH — • HA ?2)
l:A
"
"
—
/«.
u.
_
t'n ohtitoc
iliS-Sli-
___
iï„Tr«/,j,ï<* ;A. ft.>l sitii* ion: là bdSf: de
:
•
•<..
n.
I:A'
'• - ttft.
«, '
ÿÿ
''' MS -SA,;
/(.!< - <l«saicUîS ïlgebriquc? neceww It cîi-m.1 d'u.v ordination del? wrtJcak. Cîiwâww
y.it le se.os posn'f wrs 'e bÿs. Aioji : Y.'.fi ÿÿ-*•' —7— .'0.3 - \- 0,2'.' -
ÿ
m*
• 1 ,•> \ ÿ•
Exercice 7
Ou c<»n«r>cncc VW'' fftco CVC*' vjHC omMvhsÔw. grcimclnqi.-c rte l'Ut>;%gc £- P: cl\xu hcruci)L AS? ir.*)
iKîLAtiî C \*. sk l*rcil. Or; i l* ? te s tor *ia cociSÿfluiwn It ÏMUfcLir dxi vu pou? quel'twMttrtYr-
pti>«e voh enri-êÿîr.eiw.
* D ««re k n-irolf /*'«; precisÿ
1 ciKmcc :
OA
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Ci,1:-* on. ;Cî7
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n- j - j-C- Oiii •-> -O" — ÇyvS
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.......
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ol'w.n-P Ii-i3 /IP diï-ne. Isa scnefi'i'-ana r.ls l.s.wcw .,,,,,,, 109
......
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: 5. Îfa*kâfe7to ïfc 'i'jufuysfc'ivc du vjjïiÿiïc lïirfrériqtîî d&n* iVjJiars'KÎi.'itiit'n du- jkWi .116
• S. f'"SK |M»rti«)fUixr du snte-M? j.lrn .. . . 119
'
.« ....
? •
{ f ,-l
Tv.i
Â< Introduction
i. En presque, la»miruiri iîe Ut: miroir sphirique1 est une (x>rtiori de sphère parfaitement réfléchit-
lilettocM torn ««MMlBV»n»nt saafe sût' l'utu* det set izcr$.
pïii&OOqins eu» l«ur
«jyutitMie est i*tisirb$r*am
3don h position ds If couche réfléd)iss£!(iÿ deux types tie miroirs «phè-
H cm d* ravonî non MTOai».
riqvf* sem xwr.tftïtt : lorsqu'elle est niîucc à rintcticur de Is sphère )tt
miroir est dit tïtBMwt' ; si elle est à l'extirïsur le miroir est dit wwa
îiig 0.
0
wisdw m\twc Ucentre C de !a sphère est appelé çjtrçftr® îhot©&' L'tae de:
rnyonf ÎWMYff révolution tniroit,
d'j aess'. fçjxdè axe optique du mhoit, pea$« pur C et par¬
incidanfr le point 3 appelé sc&iwM &a xvw-c-is £&&&ÿ£$&» (:î;. :. -•.»ÿ -g. Le mérh- est
uo système C(3ït>ic. de irwhttiijo suto'ÿr de soc. ï-te
Le ts.yoA CS de la sphère est appelé î&s www «gWWrwpw. L'espace
feant orienté dam k sem «*»_ «lodcnCs» a«ïc Is coovectwn de is.
0 Sgrore 1 , ia rassure algébrique GS est positive si le miroir est concave et néyo-
rayons
rteûir dve s'il «a convexe,
ÿcriafT'a
:CPY*r*
Rayon rêfléeh» lÿan tungant su rni'Q'r
eu point tfkwduncflf
rucfmaa« .,
La au<fac8 réflâchusarrin \ .*** cpt-sus
Umi|dui» symbwWe par un» ' /
lurfaîîhichurôs.
Rayon IncWW |fayvn~<râjv9iùtti
• 'tfvfltrrtw
L'trjï (fwiortu-o a, du roin»
6 Se rergte mue laquel aitvu fe
Piirw rtep«iiî son csrara if r */;. ' TiSCiadaiU Wt«r»wjp
fensM Blinda coup*
!. Dan» te cas du rairos toiWB, Le Miroir coocsyt est v-i système optique eeriveincot ; k miroir convexe' esï
l6i rayctia lumPiaixs'filâÿrvein divergent. Ces propriétés sont ihu&crées ci 5riuc .5.
d* f*j» owiue après iéB«:aoi>
«loraçU'ilB s'en rapprochant ûsivi
la cet du mimlreotieaiMi
oj,. :•;
Confarçencs fus rayon» réfléchis pour un rnooir concave ou divergence
pour en miroir convexe
B. Stïgmatssroe sme
d'un mlroRr spfaér;qw
D«PS :jv.tgr?vih';
r-' VO'Ullkr'Cÿi Ci" SfflïIlliWjoi» -l»i £Yé,'èl?> Je
r.ffooï luttiiftsû* ritaiew v>u nj'jw sjsfcêrâjr.re. Cv:S orou de
rnenra *n tridcsee (&•: coÿ.tlrions jici-f lemjuet'te? zr .wtxîei'. t"i<( è;r<, ar*ï>
tfwc cMniiiCiitÿ'aiÿv et »f.h.cÿîk\ue.
)v»<srivmifÿiia>A
,C~ r.iye.yr.wona:»
F:i) 5a
I I* ClSl-ÿ.îi t. who f e< l*
Pv"U it owvsrjBKS oat- lyt-w Un notivcl &gn«x\di»zef><cttt permet tic préciser la sons de conversenr.< dos
rÿ'pr.s-i.i g» jj i» >ic3 f.:». du
•ïyO<i? Iwr.v.-«!w rW. KoCe* Cv.V Its r£fl£cbi$ pv lî« îwrds d'i
| «-.' tT- îf /C 6?
lni-ja'R:r>ii!» ?b.»« i's&e.rrtfcnn ioimïf (cay<t.-is tSHa ?»vgs«0« »•} convrÿ-rc osî.'ê H y«tt« I? ta Je rnsovr. On
iiftinc.M î« l'ûÿr. irùx converge d'autant plus «ris du miroir ru'iJ es* rrurçijial, c'est à dire
l£l?e:i>;n .yydJci<.Glr- d'indÿcDc? situés Joirr de l'axe c-pcique.
91£tei Lo« rfytii? peu vk'iÿr.trt de fast- cuwVL'gwit Nor.f.ibiciiK'ftc v\-t# poitu r. Ces
xvjortt iv.ru -it- ta-ystw .etswswwv eu» -xÿvoçcftt dawe unpeiU volume d'csj.w v.
S: Je 4i)g<mÛJ«t.c vis'jurt-ui f«» vé-iisé, les rsycns icrtdcois, tous issu» tir
Wi'W/;: ap.-ôs r<<Vti<v» coavii.ÿee c< ;uj <ÿ&<ÿ<: pnmtÂ', Ceci n'est paz vr:û :
ÿ>* ?*-• *Xi'sr.?Ut, .es rxynas (*) se g* s* coupera eu A, t»»i* (•) et Q) se «flupent
W/Sf#yii*is;-.
r Xi eu ft, .
\a aijreir sphériqcc cc-réro oy.rmw ici avec un iVisceau de ÿrarde ei-it/w.-v
iBraiicJfi ciftewtor d'wirfe d'ij'ciderce -mre 1st jj>v<c? waiÿifwur et
pu/CXMiui) û'trïït p.ca xigeu*ro«rttW:f isijitoîriqoe. L'wr.nge p.êstnr.r drs xbtrr-
rarioïjî uaosvcrsslcs (par exemple la diîlaacc outre le porét A. ci l'axe
optivœj ci tes fittenstka» IttHftitudirsli.-s (disliiïscc. caïr-: F <ÿ.': A,) '"û-.. y.t \
i»v-w M'saUc
'.âi l:ttio>J\>c de i» stfît- û« fertKfnon d« irnÿea, k miioir ?ph«yjv.i; édstîré
fa-ce iiv. faisceau dv grande ouvi-.rute n'çv. paa sfcgtii9*i««K: u»i v--cs eu aiig-
Fig. Sh 'roîli««T>: ?pp?;jdjj
la urrwa -jiîcbi'iy-.-;- cv
« rjgy* rn-Vj"ïri k:uv- C«X' £beoiO: de g;»2Tu«f«mc est duo à u.-re a'tiT.-atkm sécsrthrkcuc provoques
t UfoZf par le jiacde auvcnure du faiscïicj ov.k'Tin. (a <- 50"}. La ÿrvr.voi/: du tiiroi
iWzjaiciK d»r» 3a aics«r»s où l'angle dw rayons réfléchi» rx. joud pcvr i«
ïjyjii ri luïiiic pou: tet (iy'jui pawsiau*. FI r'ajir dt-. ï'MnaïvJfXi
? Itvc»a:y ci Jjd.ccto.a de îpticrictîo.
tcvt-'» tr-1P:f «?ieî. fe»;
s -aiiiv ej fir>pai«; fi rJv 't csjpc sv'./P'a xJ.z k 'Z rÀ
ic y. c.
p'Uir ut: siviroû" »pliL'ïii)V.c ê'jiârn pas toi fkiv-Ktat de liuvtc
Hidden page
reaseauaw sigmatk|ue c: iogauiiQiK oppre<i«é. Toutefois, new constatons 6
nouveau çui its rayera pctnratuz cocvergsr.? en une amc d'espace ce petit
ïolwne dont la coupe iété mise en évidence «w 1* figure 7 ceoœéc
actcr.it du point <>).
Cette Pgyi? montre en outre ÿne pote ua faisceau de large ouverture et peu
incliné au* l'exe optique d'ur, miroir sptérique, les ob»nmj«ea faites CM»
J. Com*iB<«BiJsê fsterraton la câecrica de es faisceau sont .renublurcn? comparable*- è celle* faites avec
ÿam* aii. or. faisceau iiieWirn parallèle £ i'ase du «tiroir.
D existe cerw fois vie point tt>. différent ce F, eato»:::é d'uor petite touc d'es¬
pace où les rtyons parariacx cocerger.C
So irduiw.t Fouveetivx d'ur. frâceau mddeist» peu incliné aurl'ute, ÿuls
subsistera 1rs rayons pararâuK pcw former l'image. Le miroir sphériqtx
, VKiÉe ie stisim'isme approché : l'image d'un point à l'ioSûJ sur i'axe an;
if. lctencflr9,k8fliieit>on« de ! une Wchs de petite inuensk-c' alors que nous ssauailsoa au point F de
m niCTii i'o'wervBi'on da
| :'a»yr ; l.'iicfljr d'ur. point à J'irdini en dehors de i'aae e?£ une tache ce
petite dimtùîion que cous «timiions è en pciint <> «sa drivu™ de ï'sau
CtllS-!».
- Tÿdàidî» <fcto::41s
En pratique, -a «sr dsn: récca&airt d'utiliser M daphirgnu- â pour limiter la
section du &ù6c«ej iDcrdcc: lumineux. Eepreocos les cwadMoas aspê*ûaç«-
celes ce la figure 4 et litnitaM un dif/shragsne 26 au* ta %Ltre Clivante :
tt*»
Mitam
Utilisation d'un dlrpfKoEma dsns la c*î «fune swcs è Tinfinî sur l'exa.
Ncus cctrtCMCûii Icgie jpnnvt que tôt» tas «ayo/ro incidents csnverggrtt à pré¬
sent dens une >wne peu. éteaduc de i'wpace.
""" ' " " ' -• * 1
Un tniroif îphérlque, éclairé per uti fdaccau peu ouvert et peu incliné- sur
î giil'sbSMMé'Memrti&MJjr VvtKi vérine les conCitons du
k rljrisi», «m» jcmii
cwwitfâiar 4 ce ste6ac*a Li En reprettiDi le ûpjre 2, ncua pc-uvcns ccmpléiez acue étude pac deus
condKkn-î «rloû '«» rt&t) tbîc-vgt"ans :
ri'wwrtijrB du raralrl torique la
»ûam*liMiîfl»« spwoelvÉ. - ûaut le cas pcreicullei' où l'angle d'incidetce est oui, IVJUS r.bsc'vojis que
pour «eut point d'iaerdstee j\. It support da yajroa incideat passe par C ci qi't
le rajer. réfléchi est porté pa.- Xa dirrÿiiCD de ee support )-e point C c»t wn
*-Ainii toUîMyon dont la support propre coniuyué1 ;
p«i3 pv lï cintra du miroir est - (is».\t peiot Ide .'a swÿàcc du mirw c«t son picpre cvnjusué et ceci esv mi
rtiéthl tur lul-mltn».
en pjrûciilkr peur le sommet F. du miroir.
Ces dc«w otocivations noiw pertnettenî donc d'erooeer Ie propriété stavante ;
c*clttiw
--
;'t
Si !ï4 ÎÈyt-Oe W.i
« ie« îffjfw» tjrzt [*ïil
Ce* tw&fcaw c'v4
SlvMgifcSK-* £â <,&* <£*•
for
.
Pas cofiiscj peut 4e? augla» ùufîfieurs ou égau* à J<J% i&s sx>f won? de î'iotage
ÿ-'îi.îc ir cv wus atf «jtftfou?
elviVS :JiîC <ÿWS)>«3tte>i« dfr plcvrt de ilOf- è »si:u:ffc île,ni.
Su? !ii figus* suivait®: ïiOTiJ avosr» iimuJé kj wyo*» lumineux êotîà prc un
efa>-t poaÿrcueJ
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& jjxl fxÿkirtf*. tf wîjiJ
1 foi Mioton fî4«i)tl«ci. eostt $4<\w. inpîi:;i.TîX'.n.s drAS 1« suite <!»• ve cour; q?«: la yasidcA dit «ayc?1. r:V.
ÿ».: du ucnt*: .le?, ciinuj?. audit* «uti onnu*.
P'h rfz&i'bfqM e< ÿ mi pî1-'-. pi
aÿir iat»r.r«-.ff u ?>fw L iMv:&tcuttkcrc du rayan cÿï.-ÿp'otjfs'rxtJ iu»s. ÿic«ter>t
psisnrjrid'un fc«er,<f -n oîrtc £ r-c-uc uxi!iàtf'iJ>". I« •irÿtulthc* sii-.es cû èviiianoû -ireuiiieni'.rieni :
feud'i» e'o<2 sil&çter la
1rra.7rd-.9t11#nt
- U'ux raytx: |w.?:*un piv le c-çr.îxc *bj ou'icdr r?vir«xf car irji-mcrrt: s.yzk?.
refîe.yrri ;
\ij) kw;.r incidenr. jgÿJlclc v l'axe oj>iÿ;ic :c ritlêchi* tf» juwaHnr \>i,c It fsyw
du 1..">»*•ÿ»'.: (i: ai aunbSftot p\xivff--ïr c'a eawBacL
i'.tî j?( u"Ci[H! cic- teuMii- bViîcfic 'Je. la iuriiik?
C'îLiÿt (M'ÿed'in;. ;
de dMuiie du ixi jw/ti -
- un rayofi iîidÿfhï jjar h !vytr dv înifUîV w y.:-r«l!tk.seut
i1*3j« oii.liÿae ;
fl*pfdiloii>i <i:t« I'hciÿi y'i'S.'/X ps,rt* !n k>s dï Cacll-Dîÿcr.ïiea de !a réÈcrdoîi iîidjqsw fjue :
d'iftc/.fii* s»t a®«l t >'nng« 'Je
rû?a'£aosfliB>ir*Tïtin 5 v ;«s
- Mttr ia)'îr. ûiisdear ?.j |«oîf .ï rc
qn*<rw:«: pss •-iply.x* i!W<-&
ou 4<:/ivjifC < du ruuc.û. sysoÿos-
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2. 6- ïFV/fOW e'ai>'> w jJWJtjw Jt;»vpi W- *rf @ r» conC> Miutîe»* psraHilr «ux ïkço» incident
«-pÿsam pftf le «mk -L" û\i axitexr siu* i? fisiurs !• S. a.
f/ï 'at
2 sunlit |iAt «UT (S-ÿ11VT <î l'ai plan A-Cfl ÿisC jîCnâ ï;ù*.'Jtïî. sur )n.
figyiY Iÿ-h.
M /
rijt \r*
Si mh:" irîîdiçinons l-rataenu
':>, îstexau iivii.lmir <WIû*hc yw 0 «L--0» to dt-fmibA a *Krii{.
uidïqiK' !:ur et j-stiudo feist-wM doif. .xwvenstfr au jxrât '->ÿ du i>1ï«j fbs»J, « rwj.on »«Dêdrî cbictbe v
0 y&iic à'-nxç y*:r icl Jvjt <!> çchiuïc çn. itytjxc 1 b-U.
?ï|. ]&
ÇhÿpUrfr *. •
Miroir? spftorigvç? igh:cs i.'.;ii<i
Hidden page
Hidden page
Hidden page
"jt «réthcde & ftmpJoycr tsl tû&n crîfc r)ui h «Je d&ttfagFpœ pour 1» :«*«»[-
cjon. du a#'-'* rôi'teft le iaycu ii»r.ew. «av. dc-m* <fjg. 16). lyiii !?
.%uïc 35» Hoxa dcteriJtîVjoJ!? 5?*Tîf I'îr.'-îÿc A' ûa fi, aftié sur l'î« crpC!Cî\j« :r,
rciÿv.lïtKO.'c 3>r Ali ïssu. Â :
FiG- «
Cwis&wtfwii '.ta rp.iiÿa A l'inx »X.<s. iwxrfl»' a sxita .ver i«x«f «fuiej»
miroir
i/Lcnstge tk: «* ccfiKT. &' « cat menait ïtîotçf*: :î* Fappt-Mirirsviat» •>«
* : Wi-crs sr 'n'eues
Gauss, les angles n,n cfw peuvent cire assimiles a leurs tangentes algé¬
briques selon :
HI , HI FI
a: - : « - - '; in - -
HA ' HA HC
H eosfii voisin du sommet 3, on s : FA * SA, HA" SA' ex HC. » 'SC. et
on peut alors considérer que :
0
HI . HI
w ~
Kl
" sa ' * "
sa' ' se
Cans les triangles A1C et A 'ÏC la somme des angles intérieur? doit être cgale
à 7T, ce qui conduit à :
i + « + t - eu tr- ex donc : I = <u - u [ !)
Cl « + w + rr -
«' = »r et donc : i = a' - <o (2)
H' ir
Èn utilisant les expressions de «,<«',<«, (1) donne : i= - sC + -
™-
SA
et
I. Ildsi cSor*c riôcBssÿire fl'auok m
—
tjt
Ml rtfln Ihii. CtCi n'til p« (2)do«ic:i=- ÿ —
«touneirt cardons en cat /-de!
il n'«*l a«r» Oi»s postale do Soie er, simplifiant par HI>
déterminer gfeK*ie«»iQU8Ti<mt
rimsge da A avec ce seul «ayon. 1
_L . _1_
r
SA. SA' "SC
2
"
I
S~F (3)'
sm àu mfatâar
lour établir cette seconde relation de conjugaison, nous uiilisotis les deux
rayons parbCiilicrs mis en évidence sur la figure 26.
In utilisant le théorème de Thaïes dans les triangles semblables ?Sl et FA' 3', il
vient :
or Si = fiiB donc
UJSm
cièe à ia K)ÿtjùÂ,'3ç CrEBwf (ïftâ'fxûtts- A. 1IXÿK3h3E
En eepsrnifS Jimffy 'A v«r.ï : <FC & Ck) • <BC * « SF* -<3£S*'
E*?, dRvcfcp?»nt|te rftcitflc_£ç droiic #cwk te îiçrt» wawÈfàKi-
'«ffli ÏÏ vj«wt: a PCÿCA' & ÇA- PC $ ÇA- CA* J9,
Er..0&jÿs;ÿ?i'g ÿwAytît fou» œ*;y$m ï
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Le gpatt&ft-fioieat EWLSVftraài &4 dAJ'Srf
Matési» ésTSaifeïtens tes.Siafife» &wEflir&'»ss CAS «CAW:1%#<! ;
Copyrighted material
L'vMifite m
m 'fyfïKÿjvm te ilvÿie la réfiarjivj ski wÿk» z'Bitk cc: IsrjjKStf*
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plRU do. :jVircn .
La /cl«tka* :;-5j cii\ giniïdifswîfrûi: doiii» -* = l. «* stoic* îï de même
ï3iHo que 1;objet
Le warn# în:»ii esi t> Mîlÿ- À- I'awucs qui «t, -dviok -Jii» k
MÏUttln
Ct daajft? c'dÿccc, <5? 3w poÿrfccra cic JVri! d-: fotocroireMc cjHaac J'œpo-
c»f ics le nvMwe. fin O k posai ck,i» oft ew plasè l'ctâl
soiÿos? ixjiiwiiel, i'ô&kfce '.alu<-« rave» l« iwÂrcfr »A£ «» kvjréï C\
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de sonrv.et ÿVÿtiysse
ÿ
-- fei'.frÿîwïi%
.îî Mcda
t'&s&jr
d.» •atf.K#. 1
<f£39ttrgtà&
* • f >
ÿt
'-' <JlT
:.-î
fiiy a
Cwrrtf** d* cfcsmp do irr, rair>.
L'essentiel
/ Définitions générales
* Axe optique, centre optique, sommet, foyer, plan focal, distance focale.
• Vergence d'un miroir spherique :
v=7
avec / = SF = ~ la distance focale algébrique (m) et V la vergence (8).
y
iVB
= Ali
CA'
_ CS
CA'
CA
/ Savoir-faire
• Construire géométriquement le trajet d'un rayon lumineux quelconque inci¬
dent ou réllêchi.
• Construire géométriquement l'image d'un objet a travers un ou plusieurs
miroirs.
• Établir les formules de conjugaison et de grandissement.
• Déterminer par le calcul la position d'un objet, d'une image.
Mise en œuvre
Méthode n°1
Comment construire géométriquement l'image d'un
objet ?
-* Problème à résoudre
On souhaite trouver l'image d'un objet connu a l'aide d'une construction géo¬
métrique.
Savoir-faire
,[ 0 Utiliser deux rayons particuliers issus de l'objet en privilégiant celui qui passe par le centre
optique et qui revient sur lui-même après réflexion.Vérifier la construction par un troisième
rayon particulier.
I
Application
Construire l'image A'B' d'un objet AB, perpendiculaire à l'axe optique et situé entre le foyer et
le centre d'un miroir convexe.
Solution
O On place correctement l'objet AB et le miroir convexe
©
/*
s :'
. '
*
F A l
*
s
*
*
\
0 On trace en priorité le rayon qui passe par C et revient sur lui-même puis deux autres rayons
particuliers (ici le rayon de direction SB ainsi que le rayon incident parallèle à l'axe optique et
passant par B) :
11''" c A
F A TX
7?:
\
L'objet et l'image sont ici virtuels.
Méthode n°2
0 Tracer le support d'un rayon qui revient sur lui-même après réflexion, donc passant par le
centre du miroir et parallèle au rayon incident connu.
0 Placer le point «I» intersection de ce support du plan focal (tt).
et
0 Tracer le rayon réfléchi qui passe par <l> (en effet, le support et le rayon incident forment un
pseudo-faisceau incliné sur l'axe qui converge en '!»).
-» Application
Déterminer le rayon réfléchi correspondant au rayon incident sur le miroir représenté ci-dessous
©
Solution
Q
:f
s*
S*
***
:<*)
©
© _- •
- r*
F! S Ç
Méthode n°3
Savoir-faire
Application
On considère l'association de deux miroirs sphériques M, et M,, de même axe optique et dont
les centres sont confondus au point O. I-c miroir M., concave de rayon R.. est percé d'une ouver¬
ture centrée sur l'axe optique qui laisse passer la lumière issue du point A qui se réfléchit sur M,
puis sur M., convexe de rayon R. (ceci suppose que M, est de diamètre suffisamment petit afin
que A éclaire M,).
.M,
M,
/
L'image définitive de A est notée A'. Déterminer la relation entre OA et OA'.
Solution
O M, M,
A A'
Le point objet A, situé a distance finie, donne une image intermédiaire A,.
© La construction géométrique est ici possible. Sur la figure ci-dessous on a utilisé la définition 5
pour les deux miroirs :
O et 0 Pour éliminer l'image intermédiaire A,, on soustrait (1) a (2) et on obtient la relation cher¬
chée entre OA et OA' :
= A=2r--ÿ
OA' OA 1< R, R
Hidden page
s*z <unt ru. *ïr;j i à 31î<0 \!«>G ci-: ta /n& er io:< ct/yo* y - 0;0 cm. .ÿaicwr ir /ayrai _< de ?,onc
hj QiMlta. /.rr Ia pû&aeA ô: l'wajj* ck. J.9. 'a>£ ? £s. s! i:ïî to m'.mc &Ju ?* «:ic ;-;jos:Jî«?î
*J: C;a<v ;r çwaâis&LitoMX! du ct'*:r iriiagr •"' fif'Sir1; pltoiT y
C<tta*ta '& tï.Kt 4.i r'cf-.vÿiclft>« queiiûtiA dt "»î:..v vwrndsm: dan
&ï f'j*z\\>n 9c<ticn:: wpcr.s*£ a.iv rtuœrâr.?
I* c.'t où 1& mifci;- «« pk« Gwtcuae.
dtnxe* r! i9. vui£*« «i~ ita;* p!a;>c r
£% -?1 .-'ÿ:te li:.1*.'»; ?«ÿ '« Lfe (»
r£. $ œîôfrïarjr s ;te, sïw" !*
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pû?4* £V« Ïi67>4î ri'cfctertie .':** fc*.<ge* :?Ï4
fk'ûk fcosii? ûvs. x «fâtevArci' <vs»V £$ui? 2:. La teJr-: •
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d'J «lûliitC rftifyiïiî ;[/«« 3T«i ;ÿ:•>.<.£?. I-s efcjrrx te vtvtov >1; i'/JTfr
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es' rr.r.C'Iif, itx-i L'epae.
c;tr>ir-xr ~Jiy- \ y.'iLiic
mîMiiî. / /
ÿti :ÿT
Exercices de aiâv&au !
Ëxercic* 1
i« wjsiâpft £.c. rc*.vjf i'.rvtrsi* d>: Ja •.•nt&rt ft-x. t»xM.f vi;v l'msçt Ali d? 1V>
frâ'X' (urfifaxte O :
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Hidden page
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fcKcrcics1 2
'• On ennuneuce par choisir artvifraimnem taille pour l!iïnago >)ÿ l'objet £3 tfont nu ns conraît
p#a la position ; y - 2 r&u» |%rmel de connaître Va tsjjif. de i'iraage A'JV :
Vy. Rgtn.i'3ue$
A' 3 os: do mena s gne que AB "itvzge d'oite<
A 08! IdrCCdVCiH J diO'lC iJO é'ivOr 0*C«HplC8 9c 'a 'i'j'nO ?' I
» On choisi) ensuite un rayon incident dirip.É selon le êupf>ort (î) cf «Jui ic réflécfaic t a p<î£6aiiT
par F :
o Uinterecctfon du support du rayon réfléchi cr du support (f> donne le point E '. A' se déduit p:-a?
projection orthogonale de Li' sw l'ÿse optique :
* Oi> c **7*Yrucf3i:i\ ft'.) •ÿÂOiiisiÿil 'Jÿfcoïd -A.vi p.'jttfw* varf:ir.»:rr.j po'v le yvwi &
.ï;.
Oo <1 n%*. ïiKuïic k o>voaÿ (£; ;>?)* C -kt ??' ce fÿui cr:ÿc (7- t::, !?, *
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Awi vÿH' us fc-yer :F/vF/- = ~- <-ÿ CS ÿ,'?• • M-FA' <î) -
Su? J? Jiguï':, en <rtr>.s'.»«.' a i& «'jjk- n"- ;/.*
~Â - <>.0 roi 'l'on zwe (2) ÔS = -J,;? :m
—
C'» cïrf-1ÿ l'ifcvhiîs ••V:<iîVâ;'v'Çt? &>:•<ÿ &:ÿ-'£ '.'«> mvoei m\ 1s Vàk-.;<- £'.: - ÿ(,'- ;»•. «vic-auw; i!a iv.y>-
sui .ii <ïç,*.iri*.
ftiAïrÿi - ;5 tC'Jsusri mec cr>:;jnÿ an wn;rrt csrÿv*:î %u fil'ira; rtsyhê;
fc'*tjrfcics 4
«7
n. #7
; '*•*•«.
/' V*.'
ÿ/ ÿ ÿ
*-
i
*
/?.,v :SA
* ...."*
\ ' ;î-ï:
A
A.N. . vy
7>.jV : ÿ
«•>; fin.-':»:;
i
B
feîl CJar.pii'2 < : tiroirs 5phii.'i<*ij«
» Relation d* conjugaison avec origin»; au centre C :
3ÿ1,2. Cft-CS
-
es "— -** m
- ÿ= !-"
tx ?»
À.M :CS~- Ift cm ; CA = C A. ÿ«ÿ SA = • • 10 ~ 7,0 = - i7 çm r=> -
Cft»' = 7;3 era
CA*
•n/i
fa •:ÿ*.• =/• =
«pz
4
_
<* ».*
- "ÿTv?
t'/ui
i.ï occi
AM. ;y ™ 0,4
"::;rt."iê.v.*ir* : Ià aa*mi*r» f rÿhoc 12*1 la iiu:- rapide csr !' ne;* a ;at 2>.?rcic? prend me icit*x.er\ la so.tî-
rr?' ysy r :ûq:rê
*
Exo'cSce 5
On en deduk la taille A'B' du ivyon de l'image puis celle de l'image de la lune : ! A"i' - y.IB ;
A'B' = 29,2 ten, sok une i;nr>ge de îaiîte 58,-1 ten.
d\- Dads l'hyfÿichrse- dù la surface de )a mci es» plane. on a :
7 OU») km.
•
-
SA' = • %h 3$ô 3ûl) "sers s ? " 7 ; A 'ft' Aft -J 500 fcm> aoii une - - iixwae de îeilla éjwle à
£ggrçi«q 6
'D c?t à éliminer O.'ofào: car l'image donnée par k rerrwiseur doit êue deviru limage pointait être
irjiîr icondition que l'ufajcC »nït pt«;é ç*i|re le iliyc* et le y «mute foi miivk Ut Gjui Sil pratiqua
îÿ'csi p<î? ïouhairablc pour craa applicatif.
0 l'iinage est droite, ceci êraiu, l'expérience au quotidien moaire que l'iniajre dr&uvSc ivar tua
rctt'-W/CU? extérieur de voiture est plus petite que l'objet ;<ar <>ti t>oul.u*îfe un toge champ de
vision).
'i; ei o.iîefîV-i'dair. i.-.en a une iiti-x-r .'IrtHCt ei de 'i.'illv uutrieuïe à eellr de fob/CL kcur <1
*» l'ar.sÿf A,evi idirv i*«ch> d«.x roivoîr iju* oû 'Vf-; l'obio: A 'ea<. û\ ou pJut êJfijpW' 'jï)}.
U'.;rtL:iii,oT. y.-', r: o>; ïwjrccttwmcs'i M ûuKu<>;-e .?:«r <'«; opuc/js, \\< ', o. A' mu A'mmc; S :
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1«V = b.~r' <:• ' S.-*- » •>."• < 0 j i&, •- A > ') wav
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donc : _L = i. *.' -l ' > _L «• SA* < SA
::'.A k i Sa. / SA
î.-'uojiÿ doi: -ricue *<tc plus; iv-'vùv' du tni>r>u nv.* se !Vo l'obéi.
Cc«ieJéWîac ? ;ï- ttu respond £ une oî;serv*iicvi> t'a»-.:- i '--de «l'un riÿ-o'-'iscut wt-fKur de e<vm."ï,
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* Fositiiiii de l'iùutae. :
J-, <• ÿ 2, « Tÿr. ...W>:M-
fi.+ sa .se
a:x. • si: - -2Hf = - i »n .SÂ •- - 20 ÿ-)
—- 'if/y «ÿ•
cvw
-s y. f on* montai !> r inÿ.j l* s iî ! ur v i> qjl ci v tfin <: j î y «I dLw=*. •; y liè*r a con sid* l> •: !'. •* i mi :
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- , - - liÙL
Si?
A.\<. :ÿ; - L/ylt'
•S/« Car,* insntei'? I \rtz 2 a ss* drs«.'? e i'?s petite
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(J*« se réécrit donc séiofl :
* = «=.• <-> sa - — xr
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SA Si: ?
AN. : SC — -5 c<r<. ï-uisque ic » mirai? • tw coiw9.v« w'OW S& = • ~»i* «?:,
LrrnnÿHa ;e * l' mage i.-s' s<i.nF n ï.S nu, à l'gwifi: no a c-.i l'are.
.
h) ~jg càos da Ja Cuiller -se coùipcrre ccrc.rne
= -4Eÿ--ÿL
S'A 25A - SA
ilp. raise ii' coijyexe. *wee :
dixnf : v=
• 33A - SC
A.N. :v - fc.3S«
est daiixcas &n«et virruelk "caï SA' > 0: deuu foih plus ÿcrite .-p« prçrédaniiîCjU.
On "ïoij.vt? veriiter ropidcincni ces irsvlt&a cm -iriivsaut. i»v» peiiîe ojiUéviç e; tu wo-okcr son rayxn.
stf ®ae •> «rarited®» $>.ï- tiy <? jas stiçîjtÿÿo'ci; pv»v J/vS&tf. à •si." koS£Ci?$ 3;:s:£« ft-sas-r
'«ïÿit : seivfave/ostewi» f» sW'.tfisw.'i- Ceii-s?? t# 6 fjsvssrtwiM wç $w$cjih ;£#fe$é sl*-À t Jî®
is!r"SÎJÏ SsâCteL'•£• Zif&g£uâ&& *rî (ifoft itfftJkfc :&XC -Ci &: ?:5" |«teL'iiaîÿWtÿv £**EwsR
. 2WSÿ ;.*&&&~.-.S kE«!ïft5S. Wft.SÇS A' <& A S? C-Uÿiicÿ? t"!35i ift>îr/&:k
—
-
&a itfîfew? 'c(t'âtvÿ7' '.f'ivrrfrè îÿÿs. ;'.rw;<K *.i&Ç8? ÿ te $:*»>">&ÿ -s8&fe5® &
. te &S • Hftl*?= -IM«ttftfta,
! C»-toBisfe!;®®$p£â s* mcz 'là i'&y\&vtUKa -i: là £$irâps if.it i'.iw1jgÿxa.
: fcisrr.î û' œ$, fts'sc-rotts uUi $&w;j i ;','?«SSp$6 ÎK) g!13
j iurluÿ'a. Sas; ta 'ïi<3ÿ,a -4;. m? arc®?: ":wÿ •:;;{&' ÿr. *g&j% K'tvs-. A?is& fera \ «s* ÿ
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li'ÿï-SîLSSte iSÏ ÿ ™*c iJM-a ÿ ÿ4 >ÿffï WKÿVflSt".
. iàdp«ïî ielaflK ?A" ? çâ SA * Ifel âaîoto à ÿ -* -: ?À' = 1ÿ
'V vift i«/rrv.4. «fe f«ÿX' 't? jefto à'" 4?jirÿ Sgÿi» 't AvQf «
:'-jaa 43 frz&j. fïi v!îi2ï
•is QZt.Kuyzi&e ù& tÿ-xa, àHÂÿyB. îSit t&& iir*c :a»»Mÿ»/aii''%Cv.««-'K ïdÉiSS%<& Tau'jruêi'yzaar. it;ï:
£ÿlOt '-îtl-, V* tWf&iKi:, <.iS~ Vl'.Wi ÿcai< ••ÿ.'.iS&î.
Ai* y ûr. '.ksszoi &e> «<"»«es* wx ï. ÿi.ïW«w:s îf.1 î?' »}. ifeSH? ewjwffrÿry.i3 «s ro><;ÿ
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ÿ«<3i»Kÿs iii/îT-.*J ïi-j û/ifrÿïÿ i3J-ii3iir£ J-tt àsfïttis '.? &&C «*t c:ÿfc céûc'/v.j. :
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i>.'.ÿ pÿ®1î?w«3ÿsî ï ÿ
ccpnjÿiÿ î-srmr
ÿI I" .
C'A conclut CjLÿe l'iiïiûge A y obtenue apÂs quiiie vt'Houais* successives sur ivi, a i-JL. est coufon
•1:Vr ;<ÿcc rÿ>KT A3.
râvltjic rw dr.peod jW il?: U jir'KiijV.n dt* l'abjgi.
V/ CouscrocLioi* gêinnêcrîqui? ces 7£yu3is ïcrtcÿhîi» (voir figure suivante)
0?k oownw.* ça* <te«fmme*te ravir. <2) lélleciii par ÎVV;. Sachant que passe i * ci suffit Je
ciéiecnûfter ur> second pomr ÿc\r<7»cÿ::o;uT cl.- $) par rxemplr ïv de \A par .V. ,. Or en remar¬
quant que CtJ «i csfilbn&t avec sou image donnée par a*,, on déduis que J_ e$i contenus! dans ic
i'b'. d.£ fr«nx êr- C?.
Suchinlt que *y — I pour deua reflétons suoccÿhtwh, ou :t iircÿHSJircmcnf E. symtAnque de b par
Cÿî.ipOïi îi i. Ccv'i DrC5ï p?«H>ÎC Cjl/Û Jo COW* -(><>£ 00 J> *SC jor-(î?é01<: S/H lé 1*0,04 dC pîLC Support
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J1 ï<«».iC t»j»f ï. Situé tor 's'., -i" Sj'mémÿoc de 1". par rnop-'f Tix4i« lr oyiKi (i> réiîëcb.i par &i.
i* fti.se par I. C. pur ï„.
"Jét<rrtïii{l£;iûE ries hqÿcm r;., ri. it iï; :
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Zÿaiïs les con4iôCKS 4e fvau?i ic-os les artgîes asinv.iia'oîe's tungm*». Ci. :
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ir.ru.«ÇA U- e.vyos; iuriîucw r«;c r Uï wire Ccsi e.sr ;..wcreriûf»qoe des cw>w lase<ÿ
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L.ii tjcyur»: du cixiccscrspb«;quc (concuvc nu cÿnvçvc; n'efit j*rcci.?ci p:#r Pcnoyioc. Cc'C' n'çÿc p*/$
fxurpreÿ'oe puiîqur? ?:c.us cuvons quÿ tes ?«taTio/tâ de coÿjugaiaoÿ oteî\ dêÿtnJtjÿi puv. Chuiaiw>nÿ
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CHAPITRE
5 Lentilles minces
sphériques
Introduction
La lentille est un système optique d'usage très répandu dans de nombreux dispositifs
aussi divers qu'un microscope, un appareil photographique, un verre de lunette ou
encore un rétroprojecteur.
À la fin de ce chapitre, l'étudiant doit être capable de déterminer l'image d'un objet à
travers une lentille mince (nature, taille et position) par construction géométrique ou
calcul algébrique.
Plan du chapitre 5
A. Lentilles sphériques. 148
-
B. Algebrisation espaces objet et image 150
C. Stigmatisme et aplanétisme d'une lentille mince 151
D. Propriétés des lentilles minces 153
1 Centre optique d'une lentille mince 153
2. Foyers, plans focaux, distances focales 154
3 Vergence 156
E Construction géométrique d'une image 156
1 Trajet d'un rayon lumineux quelconque 156
2 Image d'un objet perpendiculaire à l'axe optique 159
F. Relations de conjugaison et de grandissement 161
1. Relations de conjugaison avec origine au centre 161
? Relations de conjugaison avec origine aux foyers 162
G. Associations de lentilles minces 163
1 Lentilles accolées 163
2. Lentilles non accolées 163
H. Aberration chromatique d'une lentille 164
1 Mise en évidence expérimentale 164
? Correction de l'aberration chromatique 165
Méthodes
L'essentiel ; mise en œuvre 167
Énoncés des exercices 171
Solutions des exercices 175
Copyrighted" rial
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titra* méio:». yk;jic,ÿ!cinc;vf pout -Jonuei leuts propriétés ainsi
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ÿ U* itcrtra «<ÿ.< iftrticu** <.»ablicr lie ÿci-XvLÿnr,- it: veOi.'.OOrûÿaganci) (CCI cl? 11 IjJrtie/e : ils -»,iït ttefi-
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vi*ux. La KwJJc pla/j ccwtste *s« ;c; éclaire* y-r îîas gv.iii* jc-ncwclic £
osôqac.. à grctvfc -rte '.«• kûtif-e. t'c >:- :'r.o.If.
ÿ:;ni Ar.;}ifui at In isr.itÿlc surti y.a;dl)c.«. J?> j' Jtfttjr*. lu se'TiOi;
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par >a. UariJk. f oÿqu'il s'ygr/a <te t»i>ftci<Wo
•X un objet» edi»-ri 3fi-d aiwai ««mu.
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H..1.1 — "J.si 'Wÿ'iG ûïïuscdteirî
J 1. 1 i.[ îîàr* <£'&&* Steii-Sffl O*
ItaEfeeras *jf.dk*cm<q;iiur.-
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appliquant toujours Ja definition S :
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iHiai;»* <il:(t- iteniiâas ;»<ir a:«K faillite wiwrgwiw.
ïamufiM :iî» l'objet &3 'n\ dahs les plans focaux • objet ou image-, îoi»
est rejeter à rStt&ii «» £ —'ÿ- v'tW k cas sur Jn 2?.b.
\ V
W"'N\ ! Za. 3t
:ÿx""
ceni'sitor-t l« tiaf»nr.ir:r>t»on
&visjwe*>:« ségii-êjrieec-
\ X.
lac laliaJunô siuafcrisjtiiis
ï,e* triangles O/i-Tî ci CA'5' fionc des triangles semblables d&a» l«quels neat
pouvons appliquer ic théorème- de Thaïe? ce qui conduit immédiatement i
î. IWiCi* -, > Ô. Icuç? 3N l'eicpreSisiou du Yemeni tfausvwsa» -(ÿ :
«.•tf» « IC'JJJ» "ï C 0 i'in«jï
r,= w,_ÇA'|
_
(1)
F'O OA'
*
_, semblables. !Dc plus
ÿ OA'. r)
'
"
ï'O FO F'C
—
4
Q *f *
ÿÿ
Les égalités (I) et (!>) donnent dl».»c : I + —*- r.< ci< riivtsxui le*
F'C VA.
deux membres de ceue éçolirê par OA' nous obtenons :
J_ ~"j1 ~ 1_ _ J
"
OÀ' ÔA OF' CF
Cede relation de conjugaison fait intervenir k centre optique : c'est la cvu-ibi-
.«.'cjct
<&.• .BçEfWlteâf
ÿ1T&jLS34J une experience d'o>»i:quc, l':magc d'un objet virais) est fvtmcc à t'aide
ïÿars
d'ur.e lentille divereems de distance locale |/'| = 20 cm. L'objet es! à 2e.' cm de la lentille. Calculer
•a dfciaux:?. entre I?. lentille cl riuixÿ en ptrcivani sa «anus.
jW-li'i.'S'Iî
CA' - OA-
-J- J = OFr ' .
Appliquons la relsiion de conjugaison précédente. Ainsi :
*.,,< i»
- OF ~r OA >. 20 e 25
OA' < 0 donc A" est .ias»s 1'aspc.ce objet: c'esi-â-djre avant in lentille : l'image est virrvelle et tenversèe.
= 100 «.
. _ ..ÿ'iy
~f~
_~ vT: _
ivï iï.fÿrve:ûr V. :fey« outage de J« ÎKidlie :
JrK: _ WE
AB- F-'O / OF_
Cherchais abcs «!>« «JsîUrci qui cs;iiîtïiiw FÂ ; m rwwiBqtîsiiV que !r; tti-
Et'gJrs FOJ «
_ C* _ Pô _
mav sembwtto. <*a pro* <cii« :
.W >,r
Per coÿsrowi
tfree «laricn rte cectfirsewofl. fw iatezveair lei icfm rte ia teirjJIe : crw. ts>
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ÿCccifUi :foi pntfjrns, rè.iauer d'")> rfiiBxir K4 doûttfcM par iftppttY.
ai ccûût en* fiu-X: ioyen's) : il tai dcoc rattsaioaort* rte ctowsir U ïtlaiiost
ÿùcrtt i'ra?g«J!£ est m'ggèrèt çer i'fûtf iiw.
1*8 d;->ÿre irnkwrjAfe fk vjiac. aima .d'»w> t«l as-w dé&aî ew ex-b a 22 «kx.
ÏJc. irdivkJtî ayaw cene fic.ikè pliee w?i c;il a». frits image d'-u«8 lourçe de wnie&ie ÿ.ÿte S 25 S
«C clwcm; wj Insecte, h quelle di?ta«e de Sa lo'.ÿ Trouve Pfciçeecr 5' es? "«rftr es k
i>MTJ£ phw '{i&l d<: l'Cîil r
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•Coii.iltri(r(.ti« b y*r e#.«;cvu«" isoe ctotixi'CUGO ÿèùwisfîqvit «* uril«ISA.. le -rt* .'|i;i î'tû"Sÿe foitiiiA
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L*» Fcfc'osrste
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>' ; %'v>.
Application
Un système est constitué en entrée d'une lentille convergente L,, de distance focale /[, suivie d'une
lentille convergente L., de distance focale image /j, placée à la distance de L,. À quelle distance
du système optique doit se trouver l'image définitive d'un objet placé avant L,, à la distance - 4/J ?
On prendra f\ =
Solution
L, L,
° A-*A,-»A,
0Iji construction géométrique est décrite ci-dessous :
Dans cette construction, on a choisi d'utiliser le point B, comme objet virtuel pour L, et de cher¬
cher son image en utilisant deux rayons particuliers qu'il émet. Les images A,B, et A.B. sont vir¬
tuelles.
© On choisit les relations avec origine au centre car les positions de l'objet et de l'écran sont ici
repérées dans l'énoncé par rapport au plan des lentilles :
o,A|
- J= = -L m • 1- - - 1
o,a /; ' o,a, OA = —/: (T\
© 0,A = 4/,' (rappel /[ < 0) et on cherche à éliminer les données relatives à l'image intermé¬
diaire A, (ici 0,A, et OÿA,)-
O La relation (1) entraîne :
—L-
uiAi
=-
Vi /i
= —p et donc 0,A, =
s
Maintenant 0>, =
et finalement (2) et
OrO, + 0,A, = -/' +
(3) entraînent :
1
-
=T
1 3
_-
|/[ = -J\ + f /i =
=
2
"
.
J
pr-r-
T • d ou : °A = "T"
_
(3)
-/:
/;
"
T
/; n
Les points A, et Fj sont donc confondus.
-4 Savoir faire
O Chercher l'image C' du centre C, du miroir M, par I- (On pourra se reporter à l'exercice 15
pour l'étude d'un cas particulier).
© Chercher l'image S' du sommet S, du miroir M. par L.
© Conclure sur la nature du miroir équivalent M, (plan, concave, convexe) en positionnant C'
et S' sur l'axe optique.
Application
Trouver le miroir équivalent du système ci-dessous sachant que : 0,S = 1m ;R r(1
= 1 m et
f= 1,5 m.
Solution
© On cherche C', image par la lentille du centre C, du miroir dans le système optique de départ.
Ici la recherche de l'image est immédiate puisque C, est confondu avec O, et C, est invariant pour
la lentille, ainsi : C' = C,.
© On détermine l'image S' de S, par la lentille :
Attention au signe dans la relation de conjugaison car l'objet S
est â droite de la lentille et envoie des
rayons lumineux de la droite vers la gauche. En clair, les foyers de la lentille s'tniervenissent ce qui
conduit à introduire un signe négatif dans le membre de droite de la relation.
s.iv
La relation de conjugaison avec origine au centre de L, nous donne :
f _l ..J.
o.s1 o.s / / - o.s,
l
0,S" = *1 = 3 m. Donc : C'S' = 0,S' > 0 : le miroir sphérique équivalent est concave.
1.5—1
Méthodes
43 IT G i
GG St
Nfegsm i 'Sxl ffi l]iralXtiï;g matt ii# iiffcfity*
Un Objet (AB) et un écran CE) sent fixes et distants
I?--:. ?i i.ciîîii»*ÿ îjTil riwfcw de D.
fi) Tiouvrr, dsns le cadre de l'approximation de Entre l'objet ex l'écran, on déplace une lentille mince
Gauss, l'image A.'B' d'un objet AB étendu, perpendi- convergente de distance focale image
cuàaiic à l'axe optique, dans les cas suivants : s)Montrer que s; D > -I/', il existe deux positions
l. lentille convergente, AB situé entre k centre de la lentille convergente disomies de d, pour les¬
optique et le foyer image de la lentille ; quelles il y a une image nette suc l'écran.
2. lentille divergente, AB situé dsns le plan fo<»l objet Exprimer/' en fonction de D et d.
de la lentille ;
Chai. Mpvi u# J9VÇ
3. lentille divergent* de centre optique ", de distance
focale obie*/4vcç/ < OÂ < 2/;
4. lentille divergente de centre opaque C, de distance
focale objfi /avec 2f< OA. < * j T ço T
5. lentille divergente, AB situé a l'infini,virtuel on réel.
/-
fri Préciser dans chaque cas la nature de l'image et le
grandbsemeni transversal de la lentille. hV Pl'miMîtfl îrtDsn!
») Quelle doit être la distance entre deux lentille»
dont on connaît les distança, focales pour que le vjv-
îa. & (FsptocqIs d®s
a0Bicus tétre soit afocxl ?
Comment peui-on obtenir simplement un syÿcmc
i optique ccnvcrgecr, de distance focale 10 an, en pw- to* On considère un latsceau lumineux cylindrique de
tant d'uae lentille divergente de distance focale - d cm
tection S arrivant »ur la pttmière lentille (L,). Quelle
i ' csl la section du faisceau arrivant sur la seconde V
o) Si 1* faisceau arrive sur L, awc un angle «, quel
2îî. & Eiébsriïiiijiîûjsn tfws iïm.me© ffacale sera l'angle de déviation a la sortie rte L, ?
A. l'aide d'une lentille convergente, on -regarde uti
objet très éloigné. Le pied de cet objet peut être OntJ, CCP ws PC !99?
considère sur l'axe optique de la lentille. Le sommet
de cet objet est vu à l'oeil nu sou* un aogle de 10*.
L'image obtenue sur un cctan a une hauteur de 8 cm. On donne une lentille
Quelk est la distance focale de ka lentille utilisée ?
îi
* ©irosimcuiaci ïjâaaDkrôriua âii tefsr
convergente
tance focale
source ponctuelle
placée 5,
en à la div
"- - -
de dis-
--
Une
*-f-
est
c
o
*•
--- f T f
wnce o du foyer. Cn
a) Construire le foyer du £
place un écran de
ynihm Crttttttt. c !ft c r l'autre côté de la lenûUe 6 distance /'. Calculer la
fi [Oi \i *
to) Retrouver it résulta» ' I 1
* taille de la udie lumineuse sur l'écran.
par k calcul. i Omf. jUîvi lup 1997
•tfcjgîtï
v4 xsiïfè
A. rÿrife»i-/«if sfâÿf*
J -1M
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ÿ*"' % 'Â'fà';
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fitXt [:W,(lajffC ({V« £ ÿ *-„)• VfllfHt 4 ÛÛI f.l
4t:ijwJ S,, ïc 4$ttK5 îu W-
jjttvjdre yj\z que I'Tal C.'o«fVî ?»!« î« îW#*2? >
t»r- un. toiKimx c/wrffciÿiK' rte -wytn (*«. X?muiev ki
?•'; ifslôft la izar.iifixn i.rf--û]xciz. "L'h vtlî'-it 4e « t»: b peur qu'il «r. wn airw.
(;«rr ?»ir I'-iw ejràquï <di À A iis»;«x;;ï >; in O,
t'ir«,i7V3lTf. sicyicl lisic ."J1 pt:»r.
qiA- L'ùtHçe dï À ri: C ipw.û-Xlit'ùt '#>£w. $*>*- »>,.
ÿ& cteiuwt If çn>'rï2in 4e dr: <* aÿïciic. Cs i, IX
£j> Gvoçoie* ijje loê'icvk- r»î»fîijTiÿîBler (/."o vérifier
v*ï l'iiwûîs 4e ft *>: U *«« 1* mirr-e ~'*r.
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Exercice 3 _
Ï.'o'.iiït tr«s cJriyié jxr.iï èftr >:ii,rù-jc'fp # Fiiwâu» £Oit iacra «' aJore datis te çlan foc*'
'jnêt&Mfe O *
Exercice 4
s.) C yrtsi/xxdiîi geyrflcwiciiw C«icth->civ. '
Exercice 5
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Crp>«in?ut>mr : ni \'t$e y£i;rc*ic, iuir loidJfc: o,t utilise' p coatis r.yililiîuaiâ d? fiante Q~6ii ici c*la
ÿ»< (icv ffjtiAbi? 'nrrco.T ?i '3 rçaed, Tji pifl'.lqne,<iv. raric,v,»rce ce iyps de £'iu>\-»gp lorsque 'itaa-
«:11e t«:J«ise U. luniitit m l'oirâwge du c«ifc«c optique d'une sc«v'.x«c Jttitife ntifow; cits»*îa»« ?f£
©MldllTOUt A-
Eii&fi'ÇiB S
») Le «»& cl'uiit JwwtLr «èjdce ?, I'hjSijî «. <1-;p3 ê.ïé 'îiiccnÿrc clin1. J'rurexicr ? : Je 'jud:.!:* do:î frre
flrccaV Aiau l'iui.igc rt'iiii objit frifiié A fuTiûli se forme t;]f «ttfsi À l'uili!»
'(ÿai aîfct : A. ÿ A, -• F, -. F; ft'.
f) «rtçfx'; i-.'JMX&tinixwitMr : ©,0. = ©,F[ i- P.O.. - [ i f3
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Voi. la tnittoda 5.
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L-Vflvr.' que If ne >.5ç U> C5Î dlverÿCîït.
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" ÿwUe it ii!teï«>édixcrs :
li cf. ki à i'iijflj.i, iiiLlior 'or I'im. iïo, optvmfwf <lctmnî»<?ï !:< M'Ai' ris !'J2Jlfge
T'-B, ïi'cuie dsjvv i& cJs« îw»J iinïÿe ?iN.
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stw ; f.U. - [.can « » - /[ ÿ
• GrmAeu?.ç At rimiige dftfiftiriv* :
Lcsrwjy'il sVgi'i de «IçJçfXYiiiiçt )?/ il ?&ut wtfliscc fc ÿro;.' dûs sç niçm fxaasvcrs*)
ÿHrôettfs teuiltes tOAl aSSWtée*.
QÿA ÿ d- *Vi{'
aJ = •" *"" r- * *K
ÿ k
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•*. c?f * n -*-*.> i5TO
A.N. : A'S' - - 0 ,'f!::> îia iirccÿe mawx**ÿ £t« r, eu mdiao-
»ÿ; Lei poiiric-ïti de l'eues et de J* pellicule sort. repêries par rapport au plan de la lentille.. ou ut»
lis- donc. la. .-eVckw.) d'. Dcscwtï", :
---
GA OA. - /*
— — î- r-.A
~"L
> ~ .'
_ '
OA + /'
AW. .• pour OA ~-x~~ 60 cm. OA' i£w » 34,5 .wjk.
-
pour OÂ --> - ÔÂ' OF" /aÿ_ ~ S* kïïcs -
-
ïj) Pour que le développors.tttr du f>Jm photo soit smzîû&mi, i'ènaÿA li>»i»ae»j*e % reçue p&i
criut-ci oxot i'ax maintenue ccÿïcantc quel que soit le ter»}»? 4'cxpcwtfc<n !r séieeContit : b puis¬
sance it/inù?et#i;- 'i> iÿssît (wptiitir/ntirjlle e lu surfine d'ouverture, <te diamètre O. or» a :
& - k- -> % - ><ÿ —,— •; (ou *. «sr une cooManre de prepor normalité)
w = 7' = = MOWSmlc
w : " :
"n
2? W remarqueque h turit de? "tllwœ df M }vroy,t«sér<. cÿc-jpond à tinr pjvjjpKtioa grt:ntê£nquc <k
raison \7 :av. : tf> t < \<;: oy voti qu'U f&ut réduire de moitié lonquc la valeur es; W est dhninuêe
'
ÿÿ•
ii:«p!;r«g.T"
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H Tau» partir de i'svpethese i»u& l'iaïag? O' donnés par la letiiil'.s L, du réticule te situe au moins
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F'Iï)alCf«£S»t
que l'ail «bseive sans v (aifçttr : O" doit -tor. située i> l'L'triw: sq-.& l'ctil :
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Conclusion le réticule e3i alors y lacé k> Toyct «*>«» o-; l?.
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0,0 c'ojî '«usa: s'intéresser au ckwiaine tk
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viwiHtfcri de la distance » OA. ii«çrpdv«ic par l'Énoncé ces sir-; deux paratnr.brs suiit l.'is par La :c!s •
isovr de conjugaison rie L,
r c-k la distante séparant l'objet À de sœ; image A, donnée p*r qui doit éfcï Bu moins é#ale -i
4 ibis la di«»aar.e fcv-alî? image /; de L. (voir exercice =* y. ÿ 4/|.
C«- plus, rot"VI (my- être siftié il l'itllio.-. «f .< -f d'où : 4/.' ": <
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r WK?«UûS ifoatfqirf* : or. <*ato»wfifo« [M] «33 pi oî «a» pCTOTrt. fa- ivafcTOtfzfi 023*.
Paraxiaux : 79
Période : 13
Phase : 13
Photoélectrique (effet) : 10 Vergence : 111, 156
Photographique : 172, 173 Viseur : 173
Photon : 10 Visible :
Plan d'incidence : 30, 45 Vitesse (de la lumière) : 18
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