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Sujet : le management entrepreneurial

manque tellement en Afrique

RESUME

Le management entrepreneurial s’entend d’un ensemble de pratiques de management axé sur les
opportunités qui peuvent aider a demeurée vitale et contribue a la création de la valeur. En d’autres
termes, le management entrepreneurial consiste à la direction au contrôle ou à l’organisation de la
logique entrepreneurial ce qui implique la capacité à anticiper , à se protéger et a innover en
profitant de nouvelle opportunités sur le marché .Dans les pays développé, la culture
entrepreneurial est ancré profondément dans les mœurs . A contrario la personnalité intrinsèque
pour la plupart des populations Africaines est tournée vers la bureaucratie et n’a pas cet
engouement d’entreprenariat. Cela est du entre à certaines raisons entre autre au difficile accès au
financement et à la corruption. Pour pallier ces difficultés nous eûmes démontré les initiatives
menées par le continent pour arriver à une évolution du système et en une certaine sorte réussir le
pari d’une évolution dans le système. Pour les résultats de cette analyse, nous avons employé une
méthode mixte quantitative et qualitative pour montrer les insuffisances du management
entrepreneurial au travers du fordisme , des théories de jean Michel laplane , Mohammed laminé
doumbouya entre autre .

Abstract

Entrepreneurial management is a set of opportunity-focused management practices that can help


remain vital and contribute to the creation of value. In other words, entrepreneurial management
consists of directing the control or organizing the entrepreneurial logic, which implies the ability to
anticipate, protect and innovate by taking advantage of new opportunities in the market. developed,
the entrepreneurial culture is deeply rooted in mores. On the contrary, the intrinsic personality for
most African populations is turned towards bureaucracy and does not have this enthusiasm for
entrepreneurship. This is due to some reasons including difficult access to funding and corruption. To
overcome these difficulties, we had demonstrated the initiatives taken by the continent to achieve an
evolution of the system and in a way succeed in the bet of an evolution in the system. For the results
of this analysis, we used a mixed quantitative and qualitative method to show the shortcomings of
entrepreneurial management through Fordism, the theories of Jean Michel Laplane, Mohammed
Lamine Doumbouya among others.
Les mots clés :
-management entrepreneurial
-manque
-Afrique

DEFINITION DES TERMES :


Selon STEVENSON, il s’agit d’(un ensemble de pratique
de management axé sur les opportunités qui peuvent
aider les entreprises à demeurer vitales et contribuer à
la création de la valeur entrepreneurial)
(Le management entrepreneurial consiste à la
direction, au contrôle ou l’organisation de la logique
entrepreneuriale. Ce qui implique la capacité à anticiper,
à se protéger et à innover en profitant des nouvelles
opportunités sur le marché)
PROBLEME : Quelles sont les causes du déficit du
management entrepreneurial en Afrique et comment
y remédier?
Objectif général: Montrer les insuffisances du
management entrepreneurial en Afrique
Objectif spécifique 1 : Les raisons du manque du
management entrepreneurial en Afrique
Objectif spécifique 2 : Les perspectives ou solutions
du management entrepreneurial en Afrique
Hypothèse : Quelles sont les raisons du déficit du
management entrepreneurial ?
HYPOTHESE2 :quelles sont les perspectives ou
solutions du management entrepreneurial

REVUE LITTERAIRE :
Les différents auteurs précités dans cette partie du cours nous ont
permis de montrer les raisons et les solutions applicables

Stevenson Howard, dans la théorie des projets montre une relativité


entre le projet, les opportunités et le marché. En l’occurrence
Stevenson Howard met une partie de son expérience au profit du
management et donne les raisons pour lesquels le management ne
réussit pas à s’appliquer à tel ou tel entités.il souligne par ailleurs que
le manque de marchés et d’opportunités constituent autant de
problèmes qui peuvent faire capoter les différents problèmes. En
outre, jean Michel laplane parle du manque de structuration du
management dans son ouvrage Management des organisations met
l’accent sur les solutions accordées aux travers de théories
organisationnelles tels le fordisme, le taylorisme, le toyotisme, et
bien d’autre. Par ailleurs la théorie des 5 dollars connue comme une
composante du fordisme énonce que la productivité dépend d’une
collaboration des subalternes : il n’y a pas de déficit d’informations
et toutes personnes qui veut acheter un produit de cette entreprise
peut a faire, il faut donc une inclusion du subalterne dans
l’entreprise. Pour être plus explicite le profit économique est aussi
important que l’impact d’une entreprise. l’adoption d’un mode de
management équitable, permet a son entreprise de gagner en
productivité et de gagner une belle réputation auprès de ses
employés. Mohammed lamine Doumbouya , dans « Monde en
developpemenet 2011/3(n°155) page 125à 140 met en exrgue le
manque de formation et d’accompagnement des entreprises
africaines .

La Confederation generale des entreprises au maroc et le cabinet


MAZARS montrent en realité les réelles fins d’accompagnement
financiés qui constituent un obstacles aux developpement des
entreprises.

OBJECTIF SPECIFIQUE 1 : les raisons du manque


de management entrepreneurial en Afrique :
Plusieurs raisons expliquent le manque de management en
Afrique :
- Absence de formation : Mohammed lamine Doumbouya
dans la revue « manque de développement » 2011-3
N°155 de la page 125 à 140 : l’auteur met en évidence le
manque de formations a travers un suivi entrepreneurial
en Afrique. Dans son article, il présente les résultats
d’une enquête réalisée auprès d’environs 6000 ménages
guinéens disposant d’une entreprise. Pour lui les
africains précisément la guinée se tourne vers la
création d’activités pour faire survivre leurs familles
(activités de subsistances) . C’est ce qui explique la durée
de vie assez courte des entreprises Africaines.
En outre, la formation insuffisante du personnel, ses
motivations et ses comportements constituent autant
d’obstacles au développement et même a la simple survie de
l’entreprise. L a vue extrêmement parcellaire qu’on les
ouvriers, la plupart des employés et une partie des
contremaitres, de l’entreprise et des processus qui s’y
déroulent ne permettent pas d’appréhender l’influence du
travail personnel sur les résultats d’ensemble. (Desaunay
1987 ; Bourgoin, 1984)
- Le mauvais recrutement du personnel de l’entreprise :
Le recrutement du personnel de l’entreprise
essentiellement fondé sur le critère de l’appartenance a
une famille, une ethnie ou un clan ne favorise ni la
motivation ni l’émulation, ni la responsabilité, et la
productivité s’en trouve réduite : ( revue internationale
de PME ,1991, le management AFRICAIN MYTHE OU
REALITE )
- Manque d’accompagnement financié : Publié à
Casablanca, l’enquête réalisé par la confédération
générale des entreprise du Maroc (CGEM) et le cabinet
MAZARS met en exergue les réelles fins en
développement des entreprises en Afrique. A l’issue de
cette étude, l’on constate que le manque
d’accompagnement financier demeure le principal
obstacle. Les entités les plus concernées sont les TPE et
PME marocaines. « le sondage ne précise nullement
d’une absence de produit financier étant donné qu’il a
été recensé que les institutions financières propose une
multitudes d’offres. Selon les auteurs de l’étude, ce
frein serait du au fait que les produits proposés sont, soit
inadaptés, soit méconnue des Entreprises.
Par 92 % des opérateurs économiques marocains
interrogés comme investir ou exportés en Afrique au
cours des 12 prochains mois, 89% déclarent ne pas
détenir assez d’informations concernant les produits
financiers sur le marché, tandis que 60% rencontres des
difficultés a accéder aux financements. Sur les 130
interrogés, 21,7% estiment qu’ils ont un besoin de
financement entre 500000 dinars et 1000000 de dinars,
17 ,7% avance une fourchette entre 10 et 30 MILLIONS,
tandis que 15,2% prévoit un financement oscillant entre
5milllions et 10 millions .Dans cette étude, les grandes
entreprises dénoncent les conditions rédhibitoires exigés
par les banques , leur manque de réactivités , le régimes
des changes pénibles ainsi que la lenteur dans l’octroie
des autorisations venant de l’office des changes . Au
niveau des PME, les difficultés résultent dans l’accès aux
financements a cause des garanties a cause des
garanties élevées, L’ignorance des dispositifs existants,
sans oublier le manque de communications et
informations. Quant aux TPE, elles déplorent le manque
de communication sur les produits, l’écart indubitable
entre l’offre et la demande, les difficultés aux recours à
l’autofinancement et aux capitaux investissements. De
plus on observe une absence de garantie sérieuse c’est a
dire qu’il est constant des garanties auprès des
emprunteurs. Malheureusement, nombreuses sont les
PME, qui sont dans l’impossibilité totale de faire face a
cette exigence ; compromettant ainsi toutes capacités
d’accès .

-le manque de communication : En effet il n’existe pas


de véritables collaborations entre les membres d’un
personnel puisque l’égoïsme. Les membres de
l’entreprise soumis a leurs supérieurs n’ont pas les
possibilités de donner leurs opinions sur les
fondements de ladite entreprise, ils sont dans un
management autocratique chargé d’écouter et d’obéir
réduisant considérablement la possible performance de
l’entreprise. Ici l’on remarque une relation autocratique
entre les responsables d’entreprises et les subalternes.
La crainte de la perte d’emploi pousse le subalterne à
laisser son chef d’entreprise commettre des erreurs
quitte même a la fermeture de cette dernière.

- L’inadaptabilité du management en Afrique : Henry


Bourgoin (1984) explique les piètres performances des
entreprises Africaines comme étant liés au fait que
l’Afrique est « malade du management ». Son analyse
montre que les méthodes de gestions inspirées des
théories sont appliquées en Afrique, elles n’aboutissent
pas à de bons résultats. En effet les valeurs, les cultures,
l’environnement des Africains sont carrément
différentes des leurs, d’où l’échec de leurs modèles.
-la corruption : Les marchés publics ainsi que les valeurs
sociales corruptibles profondément ancrés en Afrique pousse
a une peur de l’engagement au niveau des initiatives car une
société qui n’a pas «de réseau » peinera nécessairement
s’agrandir
OBJECTIF SPECIFIQUE 2 : LES PERSPECTIVES OU
SOLUTIONS DU MANAGEMENT ENTREPENEURIAL
EN AFRIQUE

Les solutions trouvées aux cours de notre analyse


démontrent que :
Le défaut de projet et de vision entrepreneurial .Dans son
développement, l’entreprise doit établir une bonne vision
afin de répondre aux besoins des populations. En d’autres
termes, une entreprise sans projet ne saurait exister .
le management se defiini selon trois style: le style delegatif, le
style particpatif, et le style consultatif henry mintzberg dans
son œuvre « le manageur au quotidien » dans cette œuvre il
identifie dix roles qu’il classe en 3 categories. Le roles
interpersonnels qui concerne les relations et echanges aussi
bien en interne qu’en externe celui-ci precise que dans le
cadre symbole, le manageur exerce une responsabilite
ceremoniale, sociale, et legale. Le manageur est le
representant de l’organisation pour les parties prenante
externes. Le manageur est un leader, qui cherche a concilier
les besoins de l’organisation avec le profit individuel des
collaborateurs il est celui qui fixe une vision, definit une
organisation et le role de chacun. Il influence ses
collaborateur pour mettre en mouvement et atteindre le
niveau de performance visée. Le manager ecoute emparthie,
utilise son intellegence emotionnelle, cultive les competences
qui feront du manager un vrai leader. Le manager est un
agent de liaison, qui cree, dveloppe et entretien des reseau
internes et externes pour echanger des informations.
Les roles liés a l’information, le manager doit etre un
observateur actif. En effet celui-ci met en place et actionne le
sbons reseaux, recherche et collecte l’information. Il apprend
a selectionnéles sources, recherché et organiser l’information
pertinente. Le manager est diffuseur d’information ; qui
partage les donnees collecteés en tant qu’observateur actif.
Le managur est le porte parole de l’unité dont qu’il a la
responsabilite. Il doit avir la capacite a prepere et reussi des
presentation face a une assemblée. Les roles decisionnel : le
manageur est un entrepreuneur, il indentifie, developpe, de
nouveau gisement de creation de valeur ; maitrise des
techniques de creativité, utilise les methodes de resolution de
problemes ; gere le changement, elabore un plan d’affaire,
met en place un plan d’action. Il est celui qui regule et
appaise la situation le cas echeant, gere les conflits, les
resistances au changement. Le manageur est gestionnaire,
definit et optimise les moyens pour atteindre les objectifs qui
lui sont assignés. Il est responsable du personnel, de
l’organisation du travail. Le manageur est un bon
negociateur.
La creation des ateliers de formation qui correspond a des
formations dispenses dans un cadre professionnel par des
institutions specialise dans la gestion et l’entrepreunariat. Au
niveau africain nous en prenons a temoin les differents salon
de l’entrepreunariat et du financement organisé un peu
partout sur le coninent africain la derniere edition date d’avril
2022 et elle s’est tenue a abidjan en COTE D’IVOIRE.
Concernant la corruption plusieurs actions sont menes par les
differents gouvernement en vue de palier a cette difficulté et
facilité la creation d’entreprise et favoriser un bon
management e une gestion legale et equitable des dirgeants
d’entreprise. La haute autorite pour la bonne gouvernence en
COTE D’IVOIRE dans un communique de presse tenue le
vendredi 16 juillet 2021 presentant les statistique de la lutte
contre la corruption au travers de son secretaire general m.
HENRI AKA eu a communiqué des résultats acquis au niveau
de la lute contre la corruption économique ainsi sur 305
dossiers enregistrés :(104 dossiers ont été clôturés dont 86
renvoyés en police correctionnel 60 dossiers ont déjà fait
l’objet d’un jugement et 21 sont en cours de jugement par
ailleurs 473 personnes ont également été inculpée et crimes
rattachés). Pour surenchérir la bonne gestion des fonds
servant a l’implantation de politique managérial en Afrique
est nécessaire et même relève d’un caractère crucial.
L’incitation a l’entreprenariat par des politiques de
financement et une propagande incitatrice a adhéré au
différentes institues de formations : ESCAE (Ecole Supérieure
de Commerce et d’Administrations des Entreprises)
CONCLUSION :
Pour terminer notre travail, il convient de noter que les
raisons du déficit du management entrepreneurial sont
diverses. En effet le continent africain n’arrive pas à
épouser le management entrepreneurial pour des
raisons de mauvaise gestion et de la faible influence des
politiques étatiques. A ces différents problèmes nous
adjoindrons des recommandations en autres prôner au
travers du système éducatif l’amour de l’entreprenariat
pour pallier au fort taux de chômage et de la mauvaise
culture de la bureaucratie, assister les personnes
désireuses d’entreprendre jusqu'à la réalisation de leurs
projets accroissant ainsi le taux d’auto employabilité ,
inciter la population africaine à consommer local à
l’exemple des pays industrialises tels que le Japon et la
Chine. L’application de ces différentes recommandations
auront bien évidemment un impact considérable positif
pour l’implantation des entreprises en Afrique .
Références bibliographiques :
-Bourgain (1954), l’Afrique malade du management ,Paris ,
Ed, Jean picole (perspective2001)
-DESAUNEY, G (1987) gestion du personnel : Outils ou clef de
la réussite, Thème de journées de réflexions de l’ENSUT,
université Cheick ANTA DIOP (Dakar)
-Dia lamine, (1991), Le management Africain, mythe ou
réalité, revue internationale PME
-Henry mintzberg , le manager au quotidien
-Stevenson Howard , théorie du projet
-banque africaine de développement et OCDE, courriel du15
avril 2021
-jean Michel laplane, management des organisations
- Mohammed lamine doumbouya , dans Monde en
développement 2011/3(n°155) page 125 à 140

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