Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Le contrôle
c. Legrenzi
J. Nau
SI
Christophe Legrenzi
de gestion du
Jacques Nau Management des systèmes
d’information
applications
métiers
Le contrôle de gestion du SI
intégration
exploitation
de gestion du SI et administration
réseaux
& télécoms
Méthodes et outils pour la maîtrise
des coûts informatiques
Ce livre s’adresse aux DSI et directeurs informatique, aux chefs de Christophe LEGRENZI
est ingénieur en
projet informatique, aux contrôleurs de gestion informatique, aux informatique, docteur
directions générales et financières ainsi qu’aux maîtres d’ouvrages ès sciences de gestion
et auditeur certifié en
métiers.
Aujourd’hui, le système d’information est au cœur de la stratégie
informatique (CISA), en
gouvernance (CGEIT) et en
gestion des risques (CRISC).
Méthodes et outils pour la maîtrise
de toutes les entreprises, et pourtant « l’informatique » est l’une
des fonctions les plus difficiles à gérer et à piloter.
Il anime de nombreux
séminaires et conférences
et dirige Acadys France,
des coûts informatiques
Le but de cet ouvrage est de fournir une vision des enjeux du société de conseil et
d’audit spécialisée dans
pilotage des coûts et des gains de la fonction système d’information. le management et la
gouvernance de la DSI.
Il fournit des clés de lecture communes à la fois à l’attention des Il est chercheur associé à
directions financières et des contrôleurs de gestion en démystifiant l’International School of
Management (New York,
le contenu des processus informatiques, mais aussi à l’attention Paris, Shangaï et Tokyo) et
des DSI et des contrôleurs de gestion informatique, en étudiant conseiller du commerce
extérieur de la France.
dans le détail les méthodes et les outils de gestion couramment
appliqués dans l’entreprise.
Jacques NAU
•• Dans une première partie, les auteurs exposent leur perception est ingénieur civil des Mines
du rôle que doit tenir le contrôle de gestion du SI. de Paris. Il a été contrôleur
de gestion puis directeur
•• La seconde partie est consacrée à la description exhaustive des financier de grandes
méthodes et outils que le contrôle de gestion du SI doit mettre entreprises. Il dirige MJN
Conseil, société de conseil
en place. et formation en contrôle de
gestion, finance et système
•• La troisième partie présente la feuille de route du contrôleur de d’information. Il anime
gestion SI et les facteurs clés de réussite. de nombreux séminaires,
dont « Le contrôle de
gestion informatique »
en collaboration avec
Capgemini Institut.
Christophe Legrenzi
Jacques Nau
Cet ouvrage fait l’objet d’une publication
simultanée dans deux collections de Dunod : Préface de Pascal Buffard
InfoPro et Fonctions de l’entreprise.
6 91 70 82
ISBN 978-2-10-055928-2 www.dunod.com
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page I — #1
i i
LE CONTRÔLE
DE GESTION DU SI
Méthodes et outils pour la maîtrise
des coûts informatiques
Christophe Legrenzi
Directeur d'Acadys France,
société de conseil et d’audit spécialisée
dans le management et la gouvernance de la DSI
Jacques Nau
Directeur de MJN Conseil,
société de conseil et formation en contrôle de gestion,
finance et système d’information
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page V — #5
i i
Préface . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . III
Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIII
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page VI — #6
i i
VI Le contrôle de gestion du SI
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page VII — #7
i i
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page VIII — #8
i i
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page IX — #9
i i
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page X — #10
i i
X Le contrôle de gestion du SI
A NNEXES
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page XI — #11
i i
Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237
Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 25 — #41
i i
3
Centre de coûts,
centre de profit
et centre de valeur
Objectifs
Le mode principal de fonctionnement d’une entreprise ou de toute organisation,
fonction, département, doit être déterminé au préalable. Ce mode de fonction-
nement est dépendant à la fois du contexte de marché, mais aussi de la stratégie
poursuivie. Il va conditionner et structurer fortement le modèle de gestion qui sera
élaboré afin d’apporter cohérence et alignement par rapport aux objectifs stratégiques
poursuivis. Ne pas le déterminer au préalable, c’est potentiellement rendre sa gestion
incohérente voire contradictoire par rapport à la raison d’être et à l’ambition de son
organisation.
Ce qui est valable pour l’entreprise, l’est aussi pour la DSI. Ainsi, nos décideurs font
face à une question fondamentale : la DSI doit-elle être gérée en « centre de coûts »,
en « centre de profit » ou en « centre de valeur ? » Pour y répondre il va falloir
présenter et discuter les différents modèles issus de près d’un siècle d’expérience de
gestion et de réflexions récentes.
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 26 — #42
i i
3.2.2 Caractéristiques
• L’accent est mis majoritairement sur les ressources indépendamment des résul-
tats.
• Il n’y a pas obligation de refacturer les prestations (produits et services) fournies.
• Il n’y a pas confrontation à une logique de marché car il n’y a pas de prix.
• La gratuité des prestations peut entraîner des dépenses économiquement injus-
tifiées.
C’est un mode de pilotage que l’on observe souvent dans le monde industriel ou le
monde administratif.
Toutefois, en termes de responsabilité, un centre de coûts peut être géré en lui
attribuant des objectifs suffisamment précis :
• réaliser le niveau de production nécessaire ; cette dernière étant identifiable et
mesurable à l’aide d’unités d’œuvre ;
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 27 — #43
i i
Dans le monde informatique en particulier, une DSI qui ne refacture pas ses
prestations sera considérée comme un centre de coûts.
3.3.2 Caractéristiques
• La fonction est soumise à une logique de marché car il y a forcément facturation
et donc définition d’un prix.
• Les prix des produits et services doivent être fixés par avance (appelés prix de
cession interne quand les clients sont internes) : soit au coût réel du service,
soit d’après le prix du marché ou encore en fonction de la stratégie poursuivie.
• L’objectif est que la différence soit positive et donc qu’un profit soit généré.
• Le processus de facturation peut générer un coût d’administration important.
• Le véritable prix des produits et services peut éventuellement freiner les projets
d’investissement.
C’est un modèle que l’on retrouve souvent dans les sociétés de service ou les
sociétés commerciales. On l’apparente aussi au modèle de gestion en Business Unit
où chaque responsable dispose d’une forme d’autonomie de gestion. L’essentiel est
qu’il génère du profit. C’est souvent une vision qui peut conduire à privilégier la
performance à court terme au détriment de la performance à long terme de l’entreprise.
Il faut ajouter que la décision n’incombe pas forcément au DSI lui-même. Si par
exemple la DSI fonctionne en GIE ou travaille pour des filiales à l’étranger ou des
sociétés avec un statut juridique différent, même si elles sont possédées à 100 % par
l’entreprise mère, la DSI se doit de facturer ses prestations. C’est une obligation fiscale.
La raison est évidente. Une entreprise pourrait décider de garder les coûts là où elle
est la plus fortement taxée, et de diminuer artificiellement les coûts des filiales dans
des pays où les taux d’imposition sur les sociétés sont moindres.
Il arrive assez fréquemment que la direction générale demande à la DSI de
refacturer ses prestations. Pourquoi ? Tout simplement pour savoir si la DSI est
compétitive ou non. Le fait de refacturer oblige la DSI à fixer le tarif de ses prestations.
Pour les clients de la DSI, qui sont responsables de leur budget, cela leur permet de
comparer ces coûts par rapport à d’autres prestataires externes et donc de mettre de fait
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 28 — #44
i i
3.4.2 Caractéristiques
• La notion de valeur est plus large que la simple dimension financière.
• Certains avantages peuvent être difficiles à quantifier.
• Des méthodes et outils d’appréhension de la valeur doivent être mis en place.
• Les responsables sont amenés à réfléchir par rapport à leurs activités en termes
de contribution à la chaîne de valeur de l’entreprise.
• Il est souvent difficile d’estimer la valeur d’une prestation informatique pour
l’entreprise.
C’est le modèle dont on parle le plus mais sans doute aussi le moins compris et
surtout celui que l’on pratique le moins. Le simple fait de dire que les coûts sont
accessoires ou que l’on ne s’y intéresse pas provoque inéluctablement une réaction
de défiance vis-à-vis du manager qui prône ce modèle. Il donnera une impression de
légèreté et de mauvais gestionnaire.
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 29 — #45
i i
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 30 — #46
i i
préalable une telle opération. Quelle base faut-il fixer ? Se cantonner au budget va
souvent à l’encontre de l’innovation et du progrès.
Si la réussite est au rendez-vous, c’est-à-dire si le produit ou le service rencontre
une demande, la création de valeur se fait rapidement. Le ou les premiers produits vont
permettre à l’inventeur de récupérer rapidement la mise de départ et de réinvestir dans
son activité qui va au fur et à mesure des productions lui générer une valeur toujours
plus importante. Au début, les prix sont élevés mais les quantités faibles. Les capacités
de production augmentent peu à peu. De pratiques artisanales peu structurées on passe
à des processus de plus en plus instrumentés et industrialisés. Les coûts de revient
diminuent progressivement grâce à l’effet d’expérience.
Si le nouveau produit crée une valeur importante, d’autres entrepreneurs ou
investisseurs vont naturellement s’intéresser au dossier. Une concurrence va alors
voir le jour et le marché se développer.
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 31 — #47
i i
bien plus important sur des nouveaux produits (sortis depuis moins de 5 ans) que la
moyenne des entreprises du secteur. C’est une découverte fondamentale de cette école
qui a mis l’innovation au centre des débats.
Pour un centre de valeur on va donc d’abord suivre la valeur potentielle. Celle-ci
pourra prendre différentes formes. C’est pourquoi il est conseillé pour chaque entre-
prise de se constituer une typologie de valeur. Par typologie on entend les différentes
natures de gains.
Pour ne donner qu’un exemple, on peut citer :
• Augmentation du chiffre d’affaires
• Diminution des coûts de fonctionnement
• Diminution des délais de traitement
• Amélioration de la qualité des produits et services
• Amélioration de la satisfaction des clients
• Meilleure notoriété de la marque
• Amélioration de la satisfaction des collaborateurs
• ...
Une fois déterminée, la valeur se concrétisera par un cahier des charges qui décrira
les fonctionnalités et les caractéristiques de la solution à construire, un budget et
un planning. C’est la logique habituelle de la gestion de projet. Simplement, il faut
rappeler que ces trois dimensions :
• conformité au cahier des charges ;
• respect des budgets ;
• respect des délais ;
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 32 — #48
i i
de la qualité, c’est la raison pour laquelle les deux indicateurs, coût et qualité, doivent
toujours être liés.
Les gourous du management étudiant près de 100 ans de productivisme ont montré
que les gains de productivité doivent être de l’ordre de 3 à 5 % par an si l’on veut
assurer sa pérennité. C’est un des résultats fondamentaux de l’école de gestion.
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 33 — #49
i i
En résumé
Toute organisation travaille selon différents modes de fonctionnement : en centre
de valeur pour des projets nouveaux, en centre de coûts lorsque l’activité existe
depuis des années et est concurrentielle, enfin en centre de profit lorsque l’activité
est considérée dans une logique de marché et génère un revenu économique.
Ce mode de fonctionnement général peut s’appliquer aux activités de la DSI,
principalement le fonctionnement en centre de coûts lorsqu’il s’agit d’activités dites
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 34 — #50
i i
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 239 — #255
i i
Index
A centre de valeur 28
accounting 77, 133 charge incorporable 65
activités 50 charge non incorporable 65
affectation 42 charge supplétive 65, 97
amortissement dégressif 64 charges financières 67
amortissement des logiciels 69 comptabilité analytique 35
amortissement économique 63, 65 configuration-type 82, 193
analyse de la valeur 140 consolidation 103
analyse des écarts 102, 201 contrôle budgétaire 98
approche ABC 50, 195 coût 39
axe d’analyse 39, 41 coût complet 44, 172
coût du capital 67, 108, 122
B coût du poste de travail 83
benchmarking 88 coût du serveur d’application 181
besoin en fonds de roulement 116 coût économique 77, 172
budget de développement 106 coût standard 45, 74, 98, 172
budget de fonctionnement 97 coûts de développement 96
budget flexible 46, 99 coûts de fonctionnement 95
C
D
capitaux employés 124
capitaux permanents 108 décentralisation 103
cash flow 113 délai de récupération du capital investi
centre d’investissement 26, 68 (payback) 123
centre de coûts 26 différences d’incorporation 40, 63, 66
centre de profit 27 durée de vie économique 65
centre de responsabilité 26 durée fonctionnelle 111
i i
i i
i i
“Legrenzi_55928” (Col. : InfoPro) — 2011/12/1 — 15:08 — page 240 — #256
i i
E P
écart d’activité 100, 202 plan comptable analytique 62, 63, 97
écart d’exploitation 100, 202 plan comptable général 37
effet d’expérience 30, 119, 174 points de fonction 88, 190
efficacité 115, 147, 153 poste de travail 81
efficience 89, 115, 147, 153 prévisions d’activité 100
provision pour dépréciation 67
F
R
fiche analytique de projet 109
fiche configuration 84, 181 refacturation 8, 169
flux net de trésorerie 113 référentiel Val IT 159
relevé de temps 131
répartition 43
G
RoCE 124
gestion de portefeuille 107, 161 RoI 124, 125, 151
gouvernance de la valeur 161 rubrique budgétaire 97
rubrique de gestion 62
I
IFRS 64, 68, 170
S
imputation 43 section homogène 42
infrastructure technique 75 sections auxiliaires 43
sections opérationnelles 43, 99
L services communs 85
location-financement 68
T
taux d’actualisation 122
M
taux de rentabilité interne 123
maîtrise d’ouvrage – maîtrise d’œuvre 127 TCO (Total Cost of Ownership) 86
méthode des sections homogènes 41
méthode MAREVA 164 U
modélisation des coûts de
fonctionnement 178 unités d’œuvre 43, 61
unités d’œuvre orientées gestion 101, 186
unités d’œuvre techniques 77, 185
N
niveau d’activité 173, 174 V
valeur 139
O valeur actuelle nette (VAN) 122
objet de coût 39 valeur de remplacement 66
i i
i i
InfoPro
Le contrôle
c. Legrenzi
J. Nau
SI
Christophe Legrenzi
de gestion du
Jacques Nau Management des systèmes
d’information
applications
métiers
Le contrôle de gestion du SI
intégration
exploitation
de gestion du SI et administration
réseaux
& télécoms
Méthodes et outils pour la maîtrise
des coûts informatiques
Ce livre s’adresse aux DSI et directeurs informatique, aux chefs de Christophe LEGRENZI
est ingénieur en
projet informatique, aux contrôleurs de gestion informatique, aux informatique, docteur
directions générales et financières ainsi qu’aux maîtres d’ouvrages ès sciences de gestion
et auditeur certifié en
métiers.
Aujourd’hui, le système d’information est au cœur de la stratégie
informatique (CISA), en
gouvernance (CGEIT) et en
gestion des risques (CRISC).
Méthodes et outils pour la maîtrise
de toutes les entreprises, et pourtant « l’informatique » est l’une
des fonctions les plus difficiles à gérer et à piloter.
Il anime de nombreux
séminaires et conférences
et dirige Acadys France,
des coûts informatiques
Le but de cet ouvrage est de fournir une vision des enjeux du société de conseil et
d’audit spécialisée dans
pilotage des coûts et des gains de la fonction système d’information. le management et la
gouvernance de la DSI.
Il fournit des clés de lecture communes à la fois à l’attention des Il est chercheur associé à
directions financières et des contrôleurs de gestion en démystifiant l’International School of
Management (New York,
le contenu des processus informatiques, mais aussi à l’attention Paris, Shangaï et Tokyo) et
des DSI et des contrôleurs de gestion informatique, en étudiant conseiller du commerce
extérieur de la France.
dans le détail les méthodes et les outils de gestion couramment
appliqués dans l’entreprise.
Jacques NAU
•• Dans une première partie, les auteurs exposent leur perception est ingénieur civil des Mines
du rôle que doit tenir le contrôle de gestion du SI. de Paris. Il a été contrôleur
de gestion puis directeur
•• La seconde partie est consacrée à la description exhaustive des financier de grandes
méthodes et outils que le contrôle de gestion du SI doit mettre entreprises. Il dirige MJN
Conseil, société de conseil
en place. et formation en contrôle de
gestion, finance et système
•• La troisième partie présente la feuille de route du contrôleur de d’information. Il anime
gestion SI et les facteurs clés de réussite. de nombreux séminaires,
dont « Le contrôle de
gestion informatique »
en collaboration avec
Capgemini Institut.
Christophe Legrenzi
Jacques Nau
Cet ouvrage fait l’objet d’une publication
simultanée dans deux collections de Dunod : Préface de Pascal Buffard
InfoPro et Fonctions de l’entreprise.
6 91 70 82
ISBN 978-2-10-055928-2 www.dunod.com