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1. Introduction
2. Enjeux d'une bonne gouvernance
3. Fonctions et méthodologie
4. Offre
5. Synthèse et recommandations
1 - Introduction
Tout récemment, un séminaire organisé conjointement par l'AFAI (Association Française des
Auditeurs et consultants Informatiques) et l'éditeur i-Cosoft sur la gouvernance des systèmes
d'information était ainsi intitulé : "Gouvernance des systèmes d'information : mode ou
réalité ?" De l'avis des participants, si le terme pompeux de "gouvernance" peut paraître un
effet de mode (bien que l'on n'ait pas trouvé mieux pour l'instant pour le remplacer), il n'en est
rien de l'objet auquel il renvoie et qui constitue déjà, quoique à des degrés divers, une réalité
dans l'entreprise. Selon le Cigref (Club informatique des grandes entreprises françaises), la
gouvernance du système d’information, élément d'une gouvernance plus globale, celle de
l'entreprise, consiste à mener à bien deux actions essentielles qu'il est nécessaire d'associer :
le pilotage des activités informatiques et leur contrôle. Le pilotage est nécessaire pour
s’assurer que les décisions actuelles préparent bien l'avenir. Quant au contrôle, il permet de
mesurer l’écart entre ce qui a été prévu et ce qui a été réalisé. Pilotage et contrôle, mots clés
de la gouvernance informatique, conditionnent à la fois la justesse des projets et la
performance des services. D'où l'importance pour la DSI de disposer de tableaux de bord lui
permettant de suivre des indicateurs de performance.
Dans les années 1980 puis 1990, le travail des informaticiens a été de répondre tous azimuts
aux exigences croissantes et souvent désordonnées des utilisateurs. Pour les DSI, la relation
avec les utilisateurs consistait, pour l'essentiel, à fournir des solutions informatiques et à faire
fonctionner l'infrastructure les supportant. Du coup, la DSI était perçue presque exclusivement
comme un centre de coûts. Ce n'est qu'assez récemment, au début des années 2000, que
s'est posé le problème de la rationalisation de ces coûts. La complexité croissante des SI et la
nécessité de réduire les coûts de production dans un contexte de compétitivité accrue ont
rendu plus cruciale la nécessité de rentabiliser l'investissement informatique.
Actuel Demain
C'est de là qu'est née la notion de "gouvernance IT", qui a précisément pour mission d’aligner
stratégiquement l’organisation informatique à celle du business des métiers. Jean-Louis
Leignel, vice-président de l'AFAI la définit ainsi : "une démarche de management concernant
toute l'entreprise, fondée sur des bonnes pratiques visant à tirer le meilleur parti des coûts
engagés par le système d'information, et ce en toute transparence". La DSI, en effet, ne peut
plus fonctionner vis-à-vis du reste de l'entreprise comme une "boîte noire".
• le suivi de la qualité du service fourni aux utilisateurs dans la perspective d'une vraie
relation "clients" (pour pouvoir notamment réagir rapidement à leurs attentes),
• l'identification, la mesure et le suivi des coûts et des délais des projets et des services
informatiques,
• la création de valeur qui passe par l'amélioration des capacités informatiques à budget
constant, et de la performance de l'organisation informatique et de son
fonctionnement,
Une bonne gouvernance informatique repose sur la maîtrise des projets et des opportunités
d'investissement. Une bonne gouvernance implique aussi la gestion de la performance des
services. Cette maîtrise des services informatiques s'apparente à une véritable négociation
contractuelle au sein de l'entreprise entre la DSI et les utilisateurs : quel catalogue des offres
peut-on définir ? quelle définition des contrats de services peut-on proposer ? quelle priorité à
donner en fonction de quel impact métier ? quelle automatisation nécessaire à l'activation d'un
service peut-on mettre en place ? quelle mesure de son utilisation peut-on effectuer ?
La notion de "gouvernance IT" et ses impératifs vont modifier en profondeur les rôles et les
responsabilités des DSI, progressivement amenées à assurer la responsabilité d'un ensemble
de services dont la bonne gouvernance est vitale pour le maintien, la croissance et la
compétitivité de leur entreprise. La performance de la DSI doit se traduire par des délais
réalistes, des ressources suffisantes, des périmètres de projet bien définis, des projets
atteignant les objectifs préfixés. La DSI doit savoir s’engager, c’est-à-dire définir les bonnes
actions à entreprendre en veillant particulièrement au retour sur investissement (ROI), et
montrer son efficacité, c’est-à-dire bien réaliser ces actions, en utilisant au mieux les
ressources humaines, les budgets et les actifs. Il s’agit d’optimiser tout à la fois la qualité, les
délais et les coûts.
Enfin, il lui faut développer des compétences en communication pour démontrer à la direction
générale et aux directions métier ce que l'informatique apporte aux métiers. La DSI doit en
effet modifier son image auprès de la direction générale et des autres départements : passer
d’une image de fournisseur de moyens (centre de coûts) à fournisseur de services (centre de
services) et enfin progressivement démontrer qu’elle est partie prenante dans la bonne
performance de l’entreprise (et être perçue à terme comme un centre de profit).
Crédibilité Confiance
Relation partenaire
Relation utilisateur /support Relation client /fournisseur
Source le CXP
Pour évoluer vers le centre de profit et pour servir cette double politique de gestion et de
communication, rien ne sera plus utile au DSI que de disposer d'outils de surveillance, de
contrôle et de pilotage sous forme de tableaux de bord, à l’image de ceux proposés par les
éditeurs de BI. C'est le seul outil qui lui permette de suivre avec efficacité les indicateurs
destinés à mesurer la performance des services informatiques. Il convient de préciser
toutefois que l'élaboration de tableaux de bord fiables et d'indicateurs pertinents exige une
étape préalable d'étude et de préparation. Les difficultés rencontrées dans le management de
la DSI se situent en effet dans la déclinaison de la stratégie d’entreprise au travers du pilotage
du SI. Il faudra donc être en mesure d’évaluer le niveau d’alignement du pilotage, de connaître
le degré d’implication des différents acteurs métier, d’analyser les tableaux de bord sur tout ce
qui contribue à la performance du SI. Exemple : Comment assurer la transparence des
dépenses ? On pourra dans cette phase amont recourir à des méthodes permettant d’assurer,
une fois le périmètre défini, la transparence des coûts, le contrôle de gestion et le contrôle
opérationnel, l’enjeu consistant à rapprocher le plus possible le tableau de bord du DSI à celui
du contrôleur de gestion.
3 - Fonctions et méthodologie
• analyser les tableaux de bord sur tout ce qui contribue à la performance du SI.
La DSI doit avoir une stratégie alignée sur les grands objectifs de l’entreprise et pour ce faire
se doter de réels outils de pilotage. Les tableaux de bord vont lui permettre de gérer, contrôler
et anticiper ses activités. Nous verrons en effet qu’il n’existe pas un seul tableau de bord mais
plusieurs et que parmi eux certains sont dits stratégiques, d’autres opérationnels. A la base, il
faudra définir les objectifs stratégiques et opérationnels puis les indicateurs clés qui en
découlent pour suivre les évolutions et la réalisation de ces objectifs.
ü la politique de qualité informatique : la DSI tout comme les utilisateurs doivent être
sensibilisés à une nécessaire démarche de qualité (qui conduit à la définition de
procédures très précises dans ce sens).
ü les principaux pièges à éviter et comment les éviter : en particulier il faut être
conscient que tout ne peut être modélisé sous forme d’indicateurs de performance
et que l’expérience est primordiale,
A cette démarche classique de BSC peut s’ajouter une approche plus prospective qui associe
des indicateurs de qualité des processus.
• Le tableau de bord des études vise lui, à respecter les engagements pris au niveau
des projets en termes de cahier des charges, délais et budgets. On définira entre
autres des indicateurs liés à la qualité des études, à l’impact des ressources
humaines sur la réussite des projets, et on analysera et accordera des priorités au
portefeuille des projets par la valeur que ceux-ci apportent à l’entreprise. Le tableau
de bord des études permet de :
ü assurer le respect des engagements (cahier des charges), des délais et des
budgets,
• Le tableau de bord administratif vise à piloter les activités de support mais aussi les
achats, la sous-traitance, le suivi des actifs, les ressources humaines, le portefeuille
des compétences.
Il répond aussi à la question : "comment comparer ses tableaux de bord aux chiffres
clés du marché ?" et permet d’obtenir par benchmarking les chiffres clés du marché
de l’informatique tels que :
Fonctionnalités et méthodes
Comment assurer la transparence des dépenses ?
Au niveau des méthodes qui permettent d’assurer la transparence des coûts, il s’agit de
définir le périmètre des coûts informatiques, tout en étant conscient de la difficulté de suivi des
dépenses informatiques.
Les méthodes de construction des tableaux de bord de la DSI peuvent se faire selon
2 approches complémentaires :
Applications analytiques
Pilotage de Analyse,
Reporting
la Performance tableaux de bord
Source le CXP
CoBIT
Le référentiel CobiT (Control OBjectives for Information & related Technology) est une
méthode de Maîtrise des Systèmes d’Information (IT Gouvernance) et d'audit de systèmes
d'information, éditée par l’Information System Audit & Control Association (ISACA) en 1996.
C'est un cadre de contrôle qui vise à aider le management à gérer les risques (sécurité,
fiabilité, conformité) et les investissements.
CobiT est une approche orientée processus : les tâches et activités définies sont intégrées
dans 34 processus établis, ces derniers sont eux-mêmes regroupés en 4 domaines de
processus.
CobiT est une approche multi-critères, qui permet à chaque utilisateur de ce référentiel
d'obtenir pour chaque processus les informations qui l'intéressent.
ITIL
ITIL (Information Technology Infrastructure Library) est un ensemble de bonnes pratiques (en
anglais, "best practices") pour la gestion d'un système d'information, édictées par l'Office
public britannique du Commerce.
Assez répandu en Europe à la fin des années 1980, ITIL s'est implanté sur le marché nord-
américain, via des entreprises proches de l'informatique, comme Andersen Consulting
(désormais Accenture), Ernst & Young (racheté depuis par Cap Gemini), Hewlett-Packard, ou
PricewaterhouseCoopers.
Les recommandations ITIL positionnent des blocs organisationnels et des flux d'informations.
De nombreux logiciels d'exploitation informatique sont conformes à ces recommandations.
ITIL est une approche par processus, qui vise à améliorer la qualité des services des SI en
créant la fonction de Centre de services ou "Service Desk" (extension du "help desk").
CMMi
Dans les années 1980, le DoD (Department of Defense) américain a demandé l'élaboration
d'un référentiel de critères lui permettant d'évaluer ses fournisseurs de logiciel. Après une
lente maturation, le SEI (Software Engineering Institute) financé par le DoD a présenté en
1991 le CMM (Capability Maturity Model). Ce modèle de référence ne concerne que les
bonnes pratiques du génie logiciel. Après un fort engouement pour ce modèle, d'autres
modèles similaires ont vu le jour, tels que :
Tant et si bien qu’il fallut rebaptiser le CMM "initial" en SW-CMM (pour Software).
En 2001, le SEI a proposé une nouvelle version de son modèle, le CMMI (Capability Maturity
Model Integration) qui englobe les bonnes pratiques des autres modèles, sauf la gestion des
ressources humaines qui n'est pas encore considérée. La version actuelle du modèle a été
réactualisée en 2006.
4 - Offre
Une typologie de l’offre en matière de "tableau de bord du DSI" met en évidence deux familles
d'outils :
Nous examinons ici essentiellement le premier type d’outils dits de pilotage et dédiés au
métier de la DSI, que nous illustrons à travers les offres de i-COsoft, Business Objects, SAS
ou encore Oracle. Mais nous présentons également le deuxième type d’outils dits de
supervision à travers les offres de Computer Associates et BMC Software. Enfin, signalons
que parmi les outils de supervision, on peut citer également les outils de gestion du patrimoine
applicatif, dits aussi de APM (Application Portfolio Management) tels que ceux de Sodifrance
(via sa filiale Mia-Software), Metrixware ou encore Cast Software.
Ces deux familles d'outils sont d'ailleurs complémentaires : les outils dits de pilotage ont
besoin d’interfaces vers les outils de supervision afin de déduire certains indicateurs de
pilotage à partir d’indicateurs techniques.
Il existe aussi des outils tels que les outils de gestion de parc d’une part et les outils de APM
(Application Portfolio Management) de gestion du portefeuille d’applications ou encore outils
de gestion du patrimoine applicatif.
Les outils de gestion de parc couvrent la gestion technique des matériels, logiciels et
applications (cycle de vie, renouvellement, taux d’utilisation, taux de couverture des besoins).
On peut citer à ce titre des offres telles que celles de PS’ Soft, Kimoce, HP (qui avait racheté
Peregrine en 2005), Business Line, KDD, Staff&line, Isilog, Axios, etc. Les outils de gestion du
patrimoine applicatif sont également référencés comme contribuant à la Gouvernance IT, car
ils permettent d'identifier les dysfonctionnements applicatifs, d'analyser la qualité des
applicatifs, de réaliser les analyses d'impact en cas de changement. On peut citer pour ces
derniers l’exemple de Sodifrance qui, via sa filiale Mia-Software commercialise une solution
qui intègre en particulier Report Center, tableau de bord pour le DSI et équipe plusieurs
grands comptes. Mais il existe aussi IBM (via Application Portfolio Management Services),
Cast Software, Metrixware, Metaware ou encore Compuware qui se positionnent également
sur ce même créneau et fournissent des outils d’analyse du parc applicatif de l’entreprise.
Les outils de gestion de parc d’une part et les outils de gestion du patrimoine applicatif sont
tout deux rattachés aux outils de suivi et de supervision technique.
i-COSoft
La société i-COsoft, créée en 2002, propose i-COsoft BI for IT, une solution de management
de la performance de la direction informatique qui peut s’appuyer pour le reporting décisionnel
sur les offres de Cognos (spécialiste BI) ou de Pentaho (acteur BI Open source).
Les 5 packages fonctionnels qui composent l’offre BI for IT sont les suivants :
• "IT Finance and Cost Control" permet au contrôleur de gestion de maîtriser les coûts
et la rentabilité des activités de la DSI : les services rendus aux clients "internes" ou
"externes", les projets, etc. En particulier, il existe une base de données de budgets
informatiques en ligne qui permet au DSI de comparer ses investissements
informatiques par rapport à la moyenne de son secteur d’activités,
Les solutions d’i-COsoft ont été développées pour fonctionner en mode ASP (Application
Service Provider). Accessibles depuis un navigateur Internet (Microsoft Internet Explorer ou
Netscape), les écrans de saisie et de visualisation de résultats peuvent être lancés de
n'importe quel poste client. Cette architecture favorise le déploiement des applications, les
mises à jour et les personnalisations.
Business Objects
Dans le cadre de son activité de consulting en management, Cap Gemini assure des missions
de conseil auprès des DSI pour les accompagner à la conception de leur tableau de bord.
L’offre "Pilotage DSI" qu'elle a développée avec Business Objects est plus une démarche
qu'un outil packagé. Il s'agit de répondre essentiellement à deux exigences de la DSI, la
valorisation de son action auprès de la Direction Générale et l'aide à la satisfaction des
usagers.
L’offre Pilotage DSI couvre les quatre axes du Balanced Scorecard : l'axe financier, l'efficacité
opérationnelle, l'évolutivité (incluant les RH), la dimension client (perception des performances
délivrées par les clients de la DSI).
Autour de cette offre, Cap Gemini et Business Objects comptent une dizaine de clients en
France.
Par ailleurs, Business Objects qui a racheté en 2006 ALG Software, propose une approche
plus applicative au travers de BO Profit : il s’agit d’une application financière qui vise à
optimiser la gestion des coûts via la méthodologie ABC (Activity Based Costing).
Les 2 approches, l’une basée sur la méthodologie Balanced Scorecard, l’autre sur l’Activity
Based Costing sont complémentaires.
SAS
La société SAS a développé en propre une solution appelée "Gouvernance IT". Elle assure la
transparence financière de gestion des coûts informatiques (connaissance des coûts des
services et prestations proposés aux clients, opportunités d’économies...), vise l'amélioration
des performances globales de la DSI (automatisation des processus et réduction de charges
pour une meilleure efficacité, mise en adéquation des ressources avec les besoins de
l’entreprise, amélioration de la qualité de service), ainsi que l'efficacité financière et qualitative
des services (accroissement des contrôles, gestion et définition d’un catalogue de services).
Les clients de SAS dans le domaine de la gouvernance du SI sont essentiellement des grands
comptes dans la banque et l’industrie. SAS Strategic Performance Management compte
450 sites dans le monde et 15 sites en France, SAS IT Management Solution (regroupant
SAS IT Invoice Management, SAS IT Service Level Management et SAS IT Resource
Management inclus) compte 925 sites dans le monde et 90 sites en France. Enfin, SAS ABM
(IT Costing) est installé sur 2 375 sites dans le monde et 105 sites en France.
ORACLE
La société Oracle propose désormais une plate-forme BI unifiée OBIEE, Oracle Business
Intelligence Enterprise Edition, qui est agnostique du point de vue de la base de données
(celle-ci est issue de Siebel Analytics). Oracle délivre pour élaborer des tableaux de bord
3 offres qui s’accompagnent d’un modèle de données, de tableaux de bord et de catalogues
de données :
• Oracle Fusion Intelligence for e-Business Suite qui s’adosse directement à l’ERP
Oracle e-Business Suite et ne nécessite pas de Data Warehouse (on y trouve en
particulier DBI Daily Business Intelligence qui délivre des indicateurs sur Oracle
e-Business Suite),
• Oracle Fusion Intelligence for PeopleSoft qui récupère des données de l’ERP
PeopleSoft et nécessite un Data Warehouse dédié,
• Oracle BI Applications qui récupèrent des données du CRM Siebel (CRM Analytics),
des ERP Oracle e-Business Suite, PeopleSoft ou encore SAP et nécessitent un Data
Warehouse dédié.
Oracle sur chacune de ces offres est susceptible de délivrer des indicateurs sur le budget IT,
les RH (Ressources Humaines), les Projets. En revanche, il ne se positionne pas sur des
indicateurs relatifs à la maintenance ou l’exploitation .
Parmi les clients de cette solution, Computer Associates compte essentiellement des grands
comptes dans des secteurs très diversifiés.
• la gestion des niveaux de service qui permet de mesurer le SLA (Service Level
Agreement : niveau de service dans le cadre d’un contrat passé avec les utilisateurs
finals) et les tendances (ex. : mesure du temps de réponse sur transaction, temps de
résolution d’un incident, etc.), le OLA (Operation Level Agreement : niveau de service
dans le cadre d’un contrat passé entre les équipes informatiques), le UC
(Underpinning Contract : niveau de service dans le cadre d’un contrat passé avec des
sous-traitants),
• la gestion des incidents et des problèmes (issue de l’offre Remedy) qui établit des
liens entre les infrastructures des applications et la gestion d’impact,
• la gestion des identités assure la gestion d’annuaire, la gestion des utilisateurs et des
profils, la gestion des accès et mots de passe ("Single Sign On", etc.), l’audit et la
gestion de la continuité de service,
BMC Software compte plus de 1 000 clients en France et 15 000 clients dans le monde.
5 - Synthèse et recommandations
• impliquer dès le début la direction générale et les directions métier vis à vis de la DSI :
les deux seront nécessaires pour alimenter les tableaux de bord de la DSI en
particulier pour donner leur appréciation par rapport aux différents services rendus par
celle-ci. De plus, la direction générale verra un intérêt à mesurer l’action de la DSI et
les directions métier seront motivées par les perspectives d’amélioration des services
rendus par la DSI,
A propos de
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i-cosoft
Bâtiment Gérard Mégie,
Avenue Louis Philibert
13857 AIX EN PROVENCE cedex 3
Tél : 04 42 12 43 05
Site web : www.i-cosoft.com
Contact commercial : Christophe SUFFYS
contact@i-cosoft.com
La société Repères
i-cosoft est éditeur du logiciel BI for IT® destiné à Date de création : 2002
mesurer et piloter la performance de la DSI. Il permet
de modéliser les KPI et les interpréter au sein de Nom du dirigeant : Michel VAUDESCAL
tableaux de bord, d’établir un bilan comparatif des Effectif : 15 personnes
investissements de la DSI, de lancer des enquêtes afin
Nombre de clients : 50
de connaître la qualité perçue par les utilisateurs du SI,
de mettre en œuvre des modèles de calcul des coûts
et de refacturation des activités. L’offre -i cosoft est
unique par son spectre fonctionnel ainsi que par son
architecture modulaire qui permet une mise en œuvre
"pas à pas" facilitée par un modèle 100 % SaaS.
Descriptif de l’offre
La suite BI for IT® est organisée autour de 5 packages • Portfolio and Projects Optimization
fonctionnels qui couvrent les différents métiers de la Ce package assiste le directeur de projet
DSI : dans le choix des projets prioritaires au
regard de la stratégie d’entreprise par un
• IT Alignment and Control système de criblage.
Véritable cockpit du directeur informatique, ce
• IT Finance and Cost Control
package permet de piloter l’activité
informatique et de maîtriser les processus en Ce package s’adresse au contrôleur de
prenant en compte 2 niveaux d’alignement gestion du SI et permet de maîtriser les
distincts : la stratégie de l’entreprise et les coûts et la rentabilité des activités de la
Business Process. DSI.
• Services Optimization • Infrastructure and Security Business
Impacts
Ce package assiste le responsable support à
optimiser les services rendus par la DSI : suivi Ce package permet de piloter l’activité à
de la satisfaction des utilisateurs partir des risques IT : optimisation des
informatiques, respect des contrats de service, prises de décision, amélioration de la
amélioration de la performance du service communication, gestion des risques
support. métiers.
Liste de clients
Problématique de la DSI :
Trouver une solution d’amélioration de la performance et de la communication entre : le client et son fournisseur, le
management et son équipe, le "Service Client" et ses utilisateurs.
Contraintes :
Capitaliser sur l’investissement déjà réalisé (analyse d’attentes, SLA, help desk, svp, service desk, infogérant) sans
alourdir le processus actuel (automatisation des interfaces, automatisation du reporting, communication utilisateur).
Solution implémentée :
• BI for IT® - Package fonctionnel Services Optimization ®,
• Fonctionnalités principales utilisées : Questionnaires Generator, SD Analyser, Questions Library, Report,
Dashboard.
Problématique de la DSI :
• Aligner la vision "production" de l’entreprise avec la stratégie du département,
• Piloter les indicateurs clés de la performance du département.
Contraintes :
• Applications de gestion et Sources de données hétérogènes (gestion de projet, gestion budgétaire, help desk),
• Multilinguisme.
Solution implémentée :
• BI for IT® - Package fonctionnel IT Alignment and Control ®,
• Fonctionnalités principales utilisées : Cartes Stratégiques, IT Balanced Scorecard, Report, Dashboard,
Qualité de service.
Metrixware
87, Avenue François Arago
92017 NANTERRE Cedex
Tél : 01 55 69 32 24
Fax : 01 46 69 08 32
Site web : www.metrixware.fr
Contact commercial : contact@metrixware.fr
La société Repères
Depuis 1995, Metrixware, éditeur français de la suite
logicielle System Code, offre à ses clients des Date de création : 1995
solutions de Gouvernance IT et de Management du
portefeuille applicatif leur permettant de disposer de la
meilleure visibilité sur l'état de leur patrimoine Nom du dirigeant : Rachid BOUMAZA
applicatif, d'en faire le bilan qualitatif, de fonder leur
choix de management sur des éléments factuels, pour Chiffre d’affaires : 2 Millions d’Euros
le piloter de manière optimale en regard des enjeux
fonctionnels, économiques et techniques.
Positionnée sur le marché de l’Application Portfolio Nombre de clients : 30
Management et de la Gouvernance IT, Metrixware met
aujourd’hui en œuvre ses solutions auprès de grands
comptes comme BNP Paribas, Generali, Société
Générale, CNP Assurances, Banque de France,
Alcatel Lucent, Orange Business Services, Caisse
d’Epargne, etc.
Descriptif de l’offre
System Code permet de rapidement analyser le
patrimoine applicatif pour mieux le connaître et le • Aide au développement et à la
maintenir, en mesurer la qualité et la performance maintenance : System Code permet la
pour l’améliorer, et enfin fournir aux décideurs reprise de connaissance de l’existant du
informatiques les tableaux de bord adéquats pour parc applicatif, de maîtriser et faciliter la
anticiper les dérives, gérer les risques et maîtriser compréhension des applications en
l’évolution de chaque application en regard des enjeux proposant une vision complète, fiable et à
métiers, techniques, humains et financiers. jour du patrimoine applicatif, de ses liens,
des interactions entre ses composants.
• Gouvernance et Management du
Portefeuille d’Applications (tableaux de • Poste du développeur, pérennisation
bord) : System Code offre aux décideurs des développements : en complément de
informatiques une visibilité inédite sur la System Code, les modules SC for Eclipse
valeur, les coûts et les risques de leur et SC for Mainframe s’intègrent
portefeuille d’applications, à travers des directement dans l’environnement du
tableaux de bord pertinents, intuitifs et développeur pour lui fournir un diagnostic
collaboratifs. sur la qualité des applications en cours de
développement.
• Indicateurs de performance et de qualité :
System Code fournit les indicateurs permettant
de mesurer la qualité et la performance des
applications et de leur architecture, afin d’aider
le Manager d’Applications à identifier les
risques et les axes d’amélioration.
© 2008 CXP Page 24/26 Livre Blanc – Avril 2008
Le Tableau de bord du DSI
Couverture fonctionnelle
Dans le cadre de la démarche CMMI d’amélioration des processus de développement et de maintenance, BNP
Paribas SIG (Systèmes d’Information Groupe) a voulu mettre en place une solution d’analyse et de mesure de la
qualité du code, pouvant s’adapter à un haut niveau d'exigences techniques et fonctionnelles. La couverture de
l’ensemble des environnements techniques de BNP Paribas (mainframe et nouvelles technologies) était un critère
déterminant pour le choix final.
Generali
Dans sa recherche continue de répondre au mieux aux besoins exprimés par les directions métiers et ses clients,
la DSIS (Direction des Systèmes d’Information et Support) de Generali a entrepris une vaste transformation de son
informatique. Pour définir et mettre en place le futur Système d’Information, désormais transverse aux quatre
entités (Generali Conseils, Generali Proximité, Generali Patrimoine et Generali Collectives), la DSIS mène des
travaux de convergence nécessitant une démarche de gouvernance et d’amélioration continue par la mise en
place de tableaux de bord, afin de piloter le Système d’Information de manière optimale en regard des enjeux
métiers, techniques et financiers de Generali.
Pour répondre à cet objectif, Generali a choisit System Code pour optimiser ses activités informatiques et ses
investissements grâce aux tableaux de bord et les indicateurs de performance fournis par la solution. La Direction
Informatique pourra de ce fait, décider et piloter de manière objective, en considérant également les risques
potentiels.
le CXP - 12, rue Godot de Mauroy - 75009 Paris - Tél. : +33 1 53 05 05 53 - www.cxp.fr