Physique Chimie

CAP
CAP
Physique-Chimie
Physique-Chimie
Livre du professeur
Sous la direction de Gérald LAFFORGUE
Professeur de lycée professionnel
Sous la direction
Professeur associédeà Gérald LAFFORGUE
l’INSPE de Toulouse
Professeur de lycée professionnel
Professeur associé
Philippeà l’INSPE
ASTOR de Toulouse
Aurore AUBERIX
Philippe COUVIN
Suzanne ASTOR
Aurore AUBERIX
Peggy DELTHIL
Suzanne
StephanCOUVIN
GOUT
Peggy DELTHIL
Fabrice MOUNIC
Stephan
Catherine GOUT
THIAUDIÈRE
Fabrice
Professeurs MOUNIC
de lycée professionnel
Catherine THIAUDIÈRE
Professeurs de lycée professionnel
P001-005_9782017096856-liminaire.indd 1 15/07/2019 10:06
P001-005_9782017096856-liminaire.indd 1 15/07/2019 10:06
6626_LivreProf_PC_CAP.indd 1 26/05/2020 14:01

© HACHETTE LIVRE 2020, 58, rue Jean Bleuzen, 92170 VANVES CEDEX
« Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays.

Le Code de la propriété intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L. 122-4 et L. 122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions
strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective », et, d’autre part, que « les analyses et les courtes
citations » dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement
de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite ».
Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, sans autorisation de l’éditeur ou du Centre français de l’exploitation
du droit de copie (20, rue des Grands-Augustins 75006 Paris), constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants
du Code pénal. »

Sommaire
Mécanique
1 Les mouvements.................................................................................................................................. 4
2 Les forces .................................................................................................................................................. 8
Évaluation ................................................................................................................................. 12
Chimie
3 La matière ........................................................................................................................................ 13
4 Les acides et les bases ............................................................................................................. 16
Évaluation ................................................................................................................................. 18
Acoustique
5 Le son .................................................................................................................................................. 19
6 La propagation du son ............................................................................................................. 23
Évaluation ................................................................................................................................. 28
© Hachette Livre 2019 – Physique Chimie CAP – Livre du professeur – La photocopie non autorisée est un délit.
Thermique
7 La température ............................................................................................................................. 29
8 La chaleur ......................................................................................................................................... 31
Évaluation ................................................................................................................................. 33
Optique
9 La lumière ........................................................................................................................................ 34
10 Les couleurs ................................................................................................................................... 38
Évaluation ................................................................................................................................. 42

1 l Les mouvements
Ce que je sais Activité 3
1) a.
1) Lorsqu’un véhicule accélère, sa vitesse augmente.
2) Sa position par rapport au point de départ (distance Vitesse Vitesse
parcourue dans le référentiel choisi) et le temps écoulé Phase initiale finale
depuis sa mise en mouvement ou sa vitesse. (m/s) (m/s) b.
3) La trajectoire d’un objet en mouvement circulaire
� 0 5 Accélération
est un cercle. Il faut s’assurer que l’ensemble des posi-
tions successivement occupées par l’objet sont situées Vitesse
à la même distance d’un point constituant le centre du  5 5
constante
cercle correspondant à la trajectoire.
 5 0 Ralentissement
ACTIVITÉS c. L’accélération de la phase � se fait moins rapidement

que le ralentissement de la phase . En effet, il faut 10 s
Activité 1 à Tiphaine pour passer de 0 à 5 m/s alors qu’il lui faut 5 s
C’est un mouvement circulaire puisque la trajectoire est pour passer de 5 m/s à 0 m/s.
un cercle.
2) a. Tableau ci-dessous.
Activité 2 b. La chronophotographie peut être associée à la phase 3
1) a. Sarah se rapproche d’Axel (si le référentiel est Axel) (phase de ralentissement). Le temps écoulé entre deux
et Axel se rapproche de Sarah (si le référentiel est Sarah). images successives d’une chronophotographie étant
b. La planche du skate est en mouvement par rapport au constant si la distance entre deux photos diminue, c’est
sol (référentiel terrestre) et au repos par rapport à Sarah. que la vitesse diminue.
2) a. et b.
Activité 4
Trajectoire � 
1) Pour calculer la vitesse moyenne il faut connaître la
a. Au repos sur b. au repos longueur du parcours et la durée de ce parcours.
Observateur la piste cyclable sur le skate 2) La vitesse moyenne sur une section dépend de l’incli-
(Axel) (Sarah) naison de la pente.
Exemple de
chronophotographies
Rectiligne uniforme Rectiligne ralenti Rectiligne accéléré

Mouvement
(vitesse constante) (la vitesse diminue) (la vitesse augmente)
1 l Les mouvements 4

TRAVAUX PRATIQUES ● S'entraîner
1 Justine, sa trottinette. Grégoire, son VTT. Le sol (réfé-
TP 1 rentiel terrestre).
Interprétation
2) v10 < v30. 2 La dépanneuse est en mouvement par rapport au sol
Validation et au repos (immobile) par rapport au véhicule qu’elle
Oui, puisque v10 < v30. tracte (sur une portion de ligne droite).
La vitesse moyenne d’un objet capable de rouler est 3 Ayat est en mouvement par rapport à la route (réfé-
d’autant plus élevée que l’angle d’inclinaison de cette rentiel terrestre). Léo est immobile par rapport à Ayat
pente est important. (ou au scooter).
Conclusion
• Mouvement rectiligne accéléré : « trottoirs méca- 4 Antonio est en mouvement par rapport au train.
niques » ou « tapis roulants » dans les aéroports ou les 5 a. Zoé est « en mouvement et avance » par rapport
gares, dans leur phase de démarrage. à la ligne de départ (référentiel terrestre).
• Mouvement rectiligne uniforme : « trottoirs méca- b. Zoé est « en mouvement et recule » par rapport à
niques » ou « tapis roulants » en régime nominal (vitesse Julie qui la dépasse.
constante).
• Mouvement circulaire accéléré : lame de scie circulaire 6 C’est la trajectoire n° 2 (au rayon de courbure de la
(en régime nominal). Terre près). Les deux autres trajectoires présentent des
risques de collision avec la surface de l’océan.
TP 2
Observation et mesure 7 a. Trajectoire rectiligne : de B à C (segment [BC]).
1) Le point O décrit une droite, le point A décrit une suite b. Trajectoire circulaire : de A à B.
d’arches identiques (cycloïde). c. Trajectoire quelconque : de C à D.
Interprétation 8 Rappel : le temps écoulé entre 2 images successives
2) a. Par rapport à O, A décrit un cercle. d’une chronophotographie est constant.
b. Par rapport au tableau métallique, A décrit une • Chronophotographie 1 : mouvement rectiligne ralenti ;
cycloïde. la distance entre 2 photos successives diminue donc la
Validation vitesse diminue.

• Chronophotographie 2 : mouvement rectiligne uni-
1) Calcul d’erreur : e = 1 – L .
2πOA forme ; la distance entre 2 photos successives reste la
2) Au lieu de rouler parfaitement sur la paillasse, le même donc la vitesse reste constante.
disque a partiellement glissé. • Chronophotographie 3 : mouvement rectiligne accé-
Conclusion léré ; la distance entre 2 photos successives augmente
Dans un référentiel terrestre (observateur en bord de donc la vitesse augmente.
route par exemple), la valve d’une roue de vélo décrit
une cycloïde. 14 300
9 v= ≈ 79,44 m/s soit environ 286 km/h.
3 × 60
10 d = v × Δt ; d = 90 × 12 = 18 km.
60
EXERCICES
130
11 d = v × Δt ; d = × 2 ≈ 72,2 m.
3,6
● Testez-vous !
1. B ; 2. B (au rayon de courbure de la Terre près) ; 3. B ; 12 Vitesse instantanée : 80 km/h ;
4. C ; 5. C ; 6. C ; 7. C ; 8. C ; 9. B. vitesse moyenne : 65 km/h.
● À l’oral 13 Pas de corrigé. En fonction des élèves.

a. Mouvement rectiligne : un objet déposé sur le tapis
roulant d’une caisse enregistreuse. 14 Le mouvement circulaire est accéléré à partir de la
b. Mouvement circulaire : un disque « vinyle » sur une verticale (« 12 h ») en tournant dans le sens inverse des
platine. aiguilles d’une montre. Dans le dernier quart de tour, le
c. MRU : la vitesse reste toujours la même ; mouvement est ralenti.
MR uniformément accéléré : la vitesse augmente tou- 15 De A jusqu’à la verticale, le mouvement du pendule
jours de la même manière ; est circulaire accéléré.
MR uniformément ralenti : la vitesse diminue toujours De la verticale à Z le mouvement est circulaire ralenti.
de la même manière.

PROBLÈMES
17 1. S’approprier
Usain Bolt : il a couru 100 m avec le « plus petit temps ».
2. Analyser-Raisonner
a. S’il garde parfaitement sa ligne, le sprinter est en
mouvement rectiligne. Son mouvement est accéléré,
puis uniforme et enfin ralenti à partir du franchissement
de la ligne.
b. Usain Bolt car v = 100 avec le plus petit Δt donc la

Dt
plus grande vitesse moyenne.
3. Réaliser
Temps Vitesse moyenne Vitesse moyenne
Couloir Athlète Pays
(en s) (m/s) (km/h)
1 BROMELL USA 10,06 9,94 35,79
2 SIMBINE Afrique du Sud 9,94 10,06 36,22
3 GATLIN USA 9,89 10,11 36,40
4 VICAUT France 10,04 9,96 35,86
5 BOLT Jamaïque 9,81 10,19 36,70
6 DE GRASSE Canada 9,91 10,09 36,33
7 BEN YOUSSEF Côte d’Ivoire 9,96 10,04 36,14
8 BLAKE Jamaïque 9,93 10,07 36,25
4. Valider b. vitesse (m/s)
9
Oui, c’est bien Usain Bolt avec une vitesse moyenne de
8
36,70 km/h.
7
5. Communiquer 6
5
Médaille d’or : BOLT (36,70 km/h de vitesse moyenne).
4
Médaille d’argent : GATLIN (36,40 km/h de vitesse 3
moyenne). 2
Médaille de bronze : DE GRASSE (36,33 km/h de vitesse 1 Temps (s)
moyenne). 0
0 1 2 3 4 5 6
18 1. S’approprier c. Les points de coordonnées (t ; v) sont alignés. (La
a. Trajectoire rectiligne. représentation graphique est une droite d’équation :
b. La vitesse augmente donc le mouvement est recti- y = 1,56t).
ligne accéléré.
4. Valider
2. Analyser-Raisonner a. La droite passant par les 6 points des mesures est la
a. U = 36 V. représentation graphique d’une fonction linéaire crois-
b. Il s’agit d’une tension continue. sante : la vitesse augmente donc de la même manière.
Le mouvement correspondant est bien rectiligne et uni-
3. Réaliser
formément accéléré
a.
t(s) 0 1 2 3 4 5 5. Communiquer
Vitesse (km/h) 0 5,6 11,2 16,8 22,4 28 Dans un référentiel terrestre, le VAE (et son pilote) dont
les résultats figurent dans le tableau est en Mouvement
Vitesse (m/s) 0 1,56 3,11 4,67 6,22 7.78 Rectiligne Uniformément Accéléré (MRUA).

19 a. v = d = 75 = 3,75 m/s soit 13,5 km/hm/s ÉVALUATION
Dt 20
soit 13,5 km/h.
1. S’approprier
b. Puissance de motorisation du drone : 768 W.
• La distance entre les 2 bornes (2 000 m).
20 • La trajectoire du centre de gravité de l’oiseau • L’heure de passage du véhicule à chacune des 2 bornes
est une droite. La distance entre 2 photos successives (durée du parcours).
semble être la même. Le mouvement de l’oiseau est
5. Communiquer
donc Rectiligne Uniforme. Sa vitesse est constante.
• Un radar tronçon détermine la durée mise par un véhi-
• Pour déterminer la vitesse de l’oiseau, il faudrait
cule pour parcourir une distance bien déterminée.
connaître :
• Un logiciel calcule alors la vitesse moyenne du véhi-
– la longueur réelle de l’oiseau afin de déterminer la dis-
tance d entre 2 positions successives du centre de gra- cule sur ce tronçon à l’aide de la formule : v = d .
Dt
vité de l’oiseau ; • Enfin le logiciel compare cette vitesse moyenne à la
– la durée écoulée Δt entre 2 photos de la chronopho- vitesse maximale autorisée.
tographie.
Remarque : un véhicule peut dépasser la vitesse maxi-
• Le calcul de la vitesse pourrait alors se faire à l’aide de
male autorisée momentanément puis rouler en dessous
la formule : v = d . pendant un certain temps ; la vitesse moyenne du véhi-
Dt
cule pourra finalement être inférieure à la vitesse maxi-
male autorisée.

2 l Les forces
Ce que je sais TRAVAUX PRATIQUES
1) Avec un segment fléché.
TP 1
2) Droite d’action, sens et valeur en Newton.
Observations et mesures
1) L’aiguille du dynamomètre tourne et indique une
valeur différente de 0.
ACTIVITÉS 2)
Activité 1 Masse m
50 100 150 200
1) L’action de l’aiguille sur le tissu est une action de (en g)
contact ponctuelle. Masse m
L’action du plateau du compacteur sur le sol est une 0.05 0.1 0.15 0.2
(en kg)
action de contact répartie.
L’action de l’électroaimant sur la ferraille est une action Poids
0.5 1 1.5 2
à distance répartie. en Newton (N)
L’action du vent sur le parachutiste est une action de Interprétation
contact de contact répartie. 1) Voir tableau.
2)
2) L’action de l’aiguille sur le tissu provoque une défor-
mation.
L’action du plateau du compacteur provoque une défor-
mation.
L’action de l’électroaimant sur la ferraille fait varier le
mouvement (modifier la trajectoire).
L’action du vent sur le parachutiste fait varier le mouve-
ment (ralentir).
Activité 2
1) 6 points de contacts.
2) 6 actions mécaniques. (Poids propre négligé.)
Activité 3 3) La valeur est identique.
1) Validation
P=m×g
Conclusion
On peut observer que la représentation graphique du
poids en fonction de la masse est une droite qui passe
par l’origine. Cela traduit une situation de proportionna-
lité, le poids (en Newton) est proportionnel à la masse
(en kg).
Le coefficient directeur de cette droite est d’environ
10 N/kg, il se nomme g et correspond à l’intensité de la
pesanteur sur terre.
2) a. 1 cm pour 25 000 N, donc 2 cm pour 50 000 N.
b. Voir schéma. TP 2
3) Observations et mesures
Nom de Point Droite Intensité 1) Les valeurs sont identiques.
Sens 2) Les fils sont alignés.
la force d’application d’action (en N)
Interprétation
 Du bas
F patin/bras b Verticale vers 50 000
1) Les sens des deux forces sont opposés.
le haut
2) Les droites d’actions sont identiques, les valeurs sont
aussi identiques.
Activité 4 Validation
Démarche du TP 1. Même droite d’action, sens opposés et même valeur.
2 l Les forces 8

Conclusion 
7 FHomme/Caisse
a. Les droites d’actions confondues.
b. Des sens opposés. 8 1. Poids de l’avion.
c. Des valeurs égales. 2. Action de l’air sur les réacteurs des ailes.
3. Action du réacteur de queue sur l’air.
4. Action du vent sur les ailes (sustentation de l’avion).
EXERCICES 9 P = 80 × 10 = 800 N
● Testez-vous ! Segment fléché de 4 cm
1. B ; 2. C ; 3. A ; 4. C ; 5. C ; 6. C ; 7. B.
● À l’oral
1 1. Action de contact ponctuelle.
Action de contact répartie.
Action à distance.
2. Par un segment fléché.
Caractéristiques : point d’application, droite d’action,
sens, valeur.
10 m = 114,1/10 = 11,41 kg
3. Car la valeur de l’intensité de pesanteur est différente.
4. Un solide soumis en équilibre sous l’action de deux 11 a. Segment fléché bleu : action du sol sur la roue.
forces est en équilibre si : Segment fléché rouge : poids de l’utilisateur.
– les deux forces ont la même direction ; b. Le premier cas car les droites d’actions sont alignées.
– les deux forces ont même intensité ;
– les deux forces sont de sens opposés. 12
5. P = m × g
Poids en Newton et masse en kilogramme.
● S'entraîner
2 a. De contact ponctuelle : stylo sur feuille.
b. De contact réparti : raquette sur la neige.
c. De contact réparti : ait sur parachutiste.

3 a. 4 points.
b. 2 surfaces.
c. 6 actions mécaniques.
4 Dynamomètre 1 : 5 × 0,1 N = 0,5 N
Dynamomètre 2 : 7 × 10 N = 70 N
Dynamomètre 3 : 3 N
5 a. La force exercée par le marteau sur le clou.
b. Système étudié : le clou.
 1. Verticale.
FE/F
6 Distinguer sens et droite d’action. 2. Du bas vers le haut.
3. 5.
 
FA/B FC/D  13 Deux dynamomètres, plaque en carton.
FG/H
 
a. La droite d’action de FA/B et de FC/D est la verticale.

Le sens de FA/B est de bas en haut.

Le sens de FC/D est de haut
 en bas.
b. La droite d’action de FE/F et de FG/H est l’horizontale.

Le sens de FE/F est de gauche à droite.

Le sens de FG/H est de droite à gauche.
2 l Les forces 9

PROBLÈMES 5. Communiquer
J’ai calculé le poids de la poutre à partir des informations
16 1. S’approprier sur sa masse (400 kg), il est de 4 000 Newton or le cro-
a. 3 m. chet peut supporter 5 000 N donc on peut soulever la
b. 120 000 N. poutre en toute sécurité.
2. Analyser-Raisonner 18 1. S’approprier
Lapix, car la tour est trop haute. 100 000 N.
3. Réaliser 2. Analyser-Raisonner
a. Chamberlin : P = 10 500 × 10 = 105 000 N Poids de l’ensemble cabine + passagers et action du câble
Joyer : P = 14 000 × 10 = 140 000 N sur la cabine.
Chamberlin : P = 12 000 × 10 = 120 000 N 3. Réaliser
b. 2 actions, le poids et la réaction du sol sur le tour. a. M = 2 000 + 40 × 75 = 5 000 kg
c. P = 5 000 × 10 = 50 000 N
Nom de Point Droite Intensité
Sens Nom de Point Droite Intensité
la force d’application d’action (en N) Sens
 Du bas Déterminé
 Du bas vers
Fsol/tour A Verticale vers par le calcul Fcabine/câble A Verticale 50 000
le haut du 3) le haut
Du haut Déterminé  Du haut
 P G Verticale 50 000
P G Verticale vers par le calcul vers le bas
le bas du 3)
b.
4. Valider
Oui, le Lapix.
5. Communiquer
Le seul tour respectant nos contraintes est celui de
marque Chamberlin car le Lapix est trop haut pour notre
emplacement (3 568 > 3 000) et le Joyer est trop lourd
(140 000 > 120 000).
a) Porter les équipements de protections : casques et
chaussures de sécurité.
b) 5 000 N.
Le poids de la poutre.
3. Réaliser
a) P = 400 × 10 = 4 000 N
b) Actions du crochet sur la poutre et poids de la poutre.
c) (Les segments fléchés ont pour longueur 2 cm.)
4. Valider
Oui car 50 000 < 100 000.
5. Communiquer
L’ensemble des personnes pourront monter dans la
cabine car la masse totale de 5 000 kg correspond à un
poids de 50 000 Newton or d’après les caractéristiques
techniques du câble, il peut résister à 100 000 Newton,
100 000 > 50 000 donc les quarante personnes pourront
monter dans la cabine sans risques.
(Longueur des segments fléchés : 8 cm) 19 a. Fil électrique gainé, connectiques, deux piles 9 V,
4. Valider un interrupteur.
Oui, il peut l’accrocher. b. L’électroaimant exerce une valeur de 2 N.
2 l Les forces 10

ÉVALUATION
1. S’approprier
a) 3 000 N.
b) Équipements de protection individuel, notamment
chaussures de sécurité et ne pas rester sous la charge.
Le poids du moteur.
3. Réaliser
a) Poids du moteur et action du crochet sur le moteur.
b) P = 350 × 10 = 3 500 N.
c) (Longueur des segments fléchés : 7 cm)
4. Valider
Nom de Point Droite Intensité Non, il ne résistera pas car 3 500 < 3 000.
Sens
5. Communiquer
 Du bas vers La masse du moteur correspond à un poids de 3 500 N
Fcrochet/moteur A Verticale 3 500
le haut or l’action du crochet sur le moteur ne peut résister à
 une force maximale de 3 000 N donc il me faut un appa-
Du haut reil capable de résister à au moins 3 500 N pour pouvoir
P G Verticale 3 500
vers le bas effectuer la manipulation.
2 l Les forces 11

Évaluation - Mécanique
Partie 1 d.
1) 434 daN.
2) a. Le poids de la palette.
b. Son poids et l’action de la corde sur la palette.
3) a. P = 150 × 10 = 1 500 N
b.
c.
Nom de Point Droite Intensité
Sens Longueur des segments fléchés : 6 cm
 4) Oui, car 434 daN = 4 340 N > 1 500 N
Du bas vers
Fcorde/palette A Verticale 1 500 5) La palette a une masse de 150 kg, cela équivaut à
le haut
un poids de 1 500 N sur Terre or la corde peut résister à
 Du haut une force de 4 340 N donc l’opérateur peut utiliser cette
P G Verticale 1 500
vers le bas corde en toute sécurité.
Évaluation - Mécanique MÉCANIQUE 12

3 l La matière
Ce que je sais Conclusion
Il existe environ 110 éléments constituant l’Univers

(118 exactement).
ACTIVITÉS
Activité 1
1) Ophélie a pu identifier des ions dans l’eau à l’aide des
tests. Donc elle a raison.
2) L’utilisation des réactifs nécessite l’usage de gants,
lunettes et blouse. TP 2
Interprétation
Activité 2
1) Ils sont ordonnés en fonction du nombre croissant de 1) Solvant : eau ; soluté : sucre.
protons présents dans le noyau. 2) Carbone, hydrogène, oxygène ; formule chimique :
2) Azote : 7N ; C12H22O11 (2 hydrogènes sont cachés par 2 carbones).
Calcium : 20Ca ; Validation
Chlore : 17Cl : 1) 100/5 = 20 morceaux de sucre.
Phosphore : 15 P. 2) a)
3) Ils commencent tous par C mais, pour les différencier,
il a été ajouté des lettres en minuscules.
Volume
de soda 0,1 0,2 0,4 0,5 1
Activité 3 en L
2) On représente les molécules dans l’espace pour pré- Nombre
voir leur placement les unes par rapport aux autres. de morceaux 2 4 8 10 20
de sucre
Activité 4
Cuivre : Cu ; Li : lithium ; C : carbone ; Li2+ : ion lithium ; b) Coefficient de proportionnalité : 20.
LiCoO2 : dioxyde de cobalt et de lithium ; Al : aluminium. Conclusion
La quantité de sucre dans les boissons est donnée en
grammes pour exprimer une concentration par mL et
pour ne pas que les consommateurs se rendent compte
de leur correspondance en morceaux de sucre, qui les
TRAVAUX PRATIQUES dissuaderait sans doute de les acheter.
TP 1
Observations et mesures EXERCICES
1) I = 0,3 A et la lampe brille.
2) a) On observe un dépôt de cuivre. ● Testez-vous !
b) Elle est plus claire que la solution témoin. 1. C ; 2. B ; 3. A ; 4. A ; 5. A ; 6. A ; 7. C ; 8. A ; 9. C.
Interprétation
1) La lampe brille et l’ampèremètre indique la valeur de ● À l’oral
l’intensité du courant qui traverse le circuit. 1 a. Il est fait en fonction du nombre croissant de pro-
2) a) ions : ion sulfate SO2− tons dans le noyau.
4 et ion cuivre Cu et molé-
2+
cules d’eau. b. Elle donne le type et le nombre d’atomes qu’elle

b) Ce sont les ions Cu2+. contient.
c. C’est un atome ou une molécule qui a perdu ou gagné
Validation
un ou plusieurs électrons.
La solution s’est éclaircie car les ions cuivre Cu2+ se sont d. solvant : liquide qui dissout ; soluté : liquide, solide ou
transformés en cuivre métal Cu qui s’est déposé sur la gaz qui se dissout.
cathode. La solution contenant moins d’ions cuivre, res- e. C’est la masse en grammes d’un produit dissout dans
ponsables de sa couleur bleue, est donc plus claire. 1 litre de solvant.
3 l La matière 13

● S'entraîner 3. Réaliser
2 a. Les boules rouges représentent les protons du a.
noyau, les vertes les électrons autour du noyau et les
bleues, les neutrons du noyau.
b. Le dessin correct est celui de l’hélium car le nombre
de protons est égal au nombre de neutrons et le nombre
de neutrons est correct.
Il faudrait modifier le schéma du carbone en enlevant
1 électron et en rajoutant 1 neutron.
3 Hydrogène : H ; oxygène : O ; carbone : C ;
sodium : Na ; chlore : Cl.
4 Fe : fer ; Cu : cuivre ; F : fluor ; Ca : calcium ; Ne : néon.
5 a. Il représente le nombre de protons.

b. R = 5/1,7 ≈ 3Ω
b. Il contient 26 protons.
c. Il a 26 électrons en mouvement autour de son noyau. 4. Valider
On choisit le test avec le chlorure de potassium pour
6 Toxique : 1er pictogramme ; corrosif : 4e pictogramme ; identifier les ions argent.
dangereux pour l’environnement : 3e pictogramme.
5. Communiquer
7 a. (1) : dioxyde de carbone ; (2) : ammoniac ; On choisit ce réactif qui formera en présence des ions
(3) : méthane. argent un précipité blanc. S’il n’y a pas de précipité, alors
b. (1) : CO2 ; (2) : NH3 ; (3) : CH4. tous les ions argent se seront bien déposés sur la pièce
métallique.
8 (1) : C3H8 ; (2) : C2H6O.
9 2 atomes de carbones, 4 atomes d’hydrogène et 18 1. S’approprier

2 atomes d’oxygène. a) 22 atomes constituent la molécule de paracétamol.
b) C : carbone ; H : hydrogène ; O : oxygène ; n : azote.
10 a. Cl– a gagné 1 électron. b. Fe3+ a perdu 3 électrons.
c. Na+ a perdu 1 électron et F- a gagné 1 électron. Balance, coupelle, fiole jaugée, bouchon, spatule, pis-
sette d’eau distillée.
11 a. SO2−
4 a gagné 2 électrons ; Fe a perdu 2 électrons.
2+
b. Zn2+ a perdu 2 électrons et HO- a gagné 1 électron. 3. Réaliser

a. c = 0,6/0,250 = 2,4 g/L
12 Cu2+ : ion cuivre ; Zn2+ : ion zinc ; Fe2+ : ion fer II ; b. V = 0,7/2,5 = 0,28 L
Fe3+ : ion fer III. 4. Valider
Non, elle lui est inférieure.
13 a. Solvant : eau ; soluté : sucre.
b. c = 10/0,5 = 20 g/L. 5. Communiquer
« Tu dois dissoudre 0,7 g dans un volume d’eau de 0,28 L
14 a. Solvant : eau ; soluté : sel. pour avoir une concentration de 2,5 g/L. »
b. c = 50/0,2 = 250 g/L.
19 Ion bicarbonate : HCO3– ; fluorure : F–.
Tests des ions chlorures, sulfates, potassium, calcium et
magnésium : voir tableau exercice 19.
Test à la flamme pour l’ion sodium.
20
PROBLÈMES
Volume d’eau
0,1 0,2 0,5 1 1,5
en L
Ag+ : ion argent ; NO3– : ion nitrate. Masse de
0,4 0,8 2 4 6
tartrazine en g
C’est du nitrate d’argent car on veut recouvrir la pièce Le coefficient de proportionnalité correspond à la
d’argent. Les ions argent vont gagner 1 électron et vont concentration massique : 4 g/L.
se déposer sous forme solide sur la pièce métallique.
3 l La matière 14

On verse ensuite environ 3 cm3 de la solution préparée
ÉVALUATION dans des tubes à essais pour la tester à l’aide des réactifs.
1. S’approprier 3. Réaliser
La poudre chimique absorbe de l’eau H2O. b. c = 5/0,1 = 50 g/L
2. Analyser-Raisonner 4. Valider
a. 1 : tubes à essais, 2 : bécher. Sulfate de calcium. (Le chlorure de calcium peut aussi
b. Dans la coupelle posée sur la balance, en utilisant être utilisé.)
la spatule, on pèse 5 g de poudre absorbante que l’on 5. Communiquer
introduit ensuite dans une fiole jaugée de 100 mL avec Il y a eu formation d’un précipité blanc en présence de
un entonnoir. On rince la coupelle à l’aide de la pissette chlorure de baryum : les ions sulfate ont été identifiés.
d’eau distillée dans la fiole jaugée. On remplit la fiole De plus, Il y a eu formation d’un précipité blanc en pré-
jaugée aux 2 tiers avec de l’eau, puis, après l’avoir bou- sence d’oxalate d’ammonium : les ions calcium ont été
ché à l’aide d’un bouchon adapté, on homogénéise la identifiés.
solution en la secouant. Enfin, on finit de remplir la fiole
jusqu’au trait de jauge avec de l’eau distillée.
3 l La matière 15

4 l Les acides et les bases
Ce que je sais Conclusion
Oui, puisque l’introduction de CO2 a entraîné une dimi-
1) C’est le pH. nution du pH de l’eau légèrement basique la rendant, à
2) Quand son pH est inférieur à 7. plus long terme, plus acide.
3) Les indicateurs colorés, le papier-PH, le pH-mètre. TP 2
Observation et mesure
1) Le pH de la solution mère est de 2,5.
ACTIVITÉS 2) Celui de la solution diluée est de 3,5.
Interprétation
Activité 1
La dilution de la solution mère a entraîné une augmen-
1) a. Le matériel nécessaire est : 1 balance, 1 bidon jaugé
tation du pH.
de 4 L, 1 récipient pouvant contenir 400 g, une grande
spatule, 1 agitateur. Validation
b. Il doit porter des gants, des lunettes de protection et Oui, car après avoir été dilué 10 fois le pH est supérieur
une blouse. à 3 (pH = 3,5).
2) m = 2 × 200 = 400. Il doit donc peser 400 g pour Conclusion
préparer sa solution. Il faudrait diluer encore la solution pour augmenter
encore son pH.
3) m = 400 = 100. Il doit utiliser 100 g. La concentra-
4
tion massique est donc de 100 g/L.
4) Oui, car 0,9 < 2.
EXERCICES
Activité 2
1) La solution mère est basique. ● Testez-vous !
2) 50 × 20 = 10. On a prélevé 10 mL de la solution 1. B ; 2. C ; 3. B ; 4. B ; 5. C ; 6. C.
100
mère que l’on a complété avec 40 mL d’eau. ● À l'oral
3) a. La dilution a entraîné une baisse du pH. 1 a. Pour mesurer le pH d’une solution, on peut utiliser le
b. Oui, car leur pH est toujours supérieur à 7. papier-pH (le moins précis) ou le pH-mètre (le plus précis).
Activité 3 b. La solution est acide (pH < 7).
1) L’eau de mer est basique (pH > 7). c. Il augmente sans dépasser 7.
2) C’est la phénolphtaléine, la solution passerait de la d. La couleur devient moins intense, le pH diminue sans
couleur rose pâle à incolore. descendre en dessous de 7.
3) a. Le symbole du générateur est : .
● S'entraîner
b. Les électrons circulent dans le sens des aiguilles d’une
2 a. Sang : légèrement basique ; suc gastrique : acide ;
montre.
suc pancréatique : basique ; urine : acide ; bile : basique ;
larme : légèrement basique.
b. La plus acide : suc gastrique ;
TRAVAUX PRATIQUES la moins acide : le suc pancréatique.
TP 1 3 a. Les eaux les plus acides se trouvent au pôle Nord.
Observations et mesures b. Les eaux les moins acides se trouvent au pôle Sud.
1) La mise en marche provoque un dégagement gazeux 4 Batterie : 0, détergent : 11, lait : 7, soude : 14.
de CO2.
2) Elle passe du rose pâle à l’incolore. 5 Soda : 3, savon : 9, dentifrice : 6, café : 5.
Interprétation 6 a. La référence est E330 et cela correspond à l’acide
1. Le changement de couleur de l’indicateur indique une nitrique.
diminution du pH. b. L’hélianthine sera l’indicateur coloré qui permettra
2. Le dioxyde de carbone entraîne une baisse du pH. d’évaluer le pH.
Validation
C’est la formation d’acide carbonique H2CO3 qui entraîne 7 a. Elle est d’environ 7.
la destruction des coraux. b. En ajoutant du jus de citron, le pH diminue.
4 l Les acides et les bases 16

8 a. Le pH de la solution initiale est d’environ 11. ÉVALUATION
b. Le pH tend vers 7.
9 Le pH de la solution fille va augmenter. 1. S’approprier
La solution est acide.
10 a. Pour préparer une solution de 100 mL diluée 5 fois
il faut prélever 100 = 20 mL de la solution mère. a) On effectue une dilution des eaux acides par de l’eau,
5
b. Le pH de la solution fille sera plus petit. le pH va augmenter jusqu’à se stabiliser vers 7.
b) Le protocole doit s’effectuer dans l’ordre suivant :
11 Le protocole doit s’effectuer dans l’ordre suivant :
Versez environ
3, 1, 6, 5, 2, 4. 40 mL d’acide
dans le bécher Mesurez Complétez avec
12 Cn = 4 = 0,8. 2
étiqueté
3
le pH.
6
l’eau distillée.
5
« solution
La concentration massique vaut 0,8 g/L.
amère ».
Mettez Versez
une blouse, le contenu
Mesurez
PROBLÈMES 1 des lunettes 5 de la pipette 9
à nouveau le pH.
de protection dans la fiole
et des gants. jaugée.
14 1. S’approprier Prélevez dans
a. Les précautions à prendre sont le port de gants, de Fermez
le bécher
lunettes et d’une blouse. Agitez pour « solutions
7 la fiole avec 8 4
mélangez. mère d’acide »
b. Les éléments présents sont le carbone C, le sodium un bouchon.
10 mL d’acide
Na, l’oxygène O et le calcium Ca. chlorhydrique.
3. Réaliser
8, 5, 4, 2, 3, 6, 1, 7. 3
a) Le rapport de dilution vaut : d = 3000 = 0,000 1.
3. Réaliser
a. À 40°, la solubilité est de 32,5 % soit 325 g pour 1 L b) Le taux de dilution est donc de 0,01 %.
de solution. 4. Valider
b. Pour 30 litres, il faudra 325 × 30 = 9 750 g soit 9,75 kg. Oui, le rejet est possible puisque le pH est très proche
de 7, donc quasiment neutre.
4. Valider
Non, car la concentration massique est trop élevée. 5. Communiquer
Le rejet d’acide dans l’environnement est dangereux
5. Communiquer
pour la faune, la flore et la santé, passible de peine (2 ans
Sa préparation est trop concentrée, il faudrait la diluer et
d’emprisonnement et 75 000 E d’amende). Diluer le
mesurer son pH pour vérifier la conformité.
condensat va permettre de neutraliser le condensat et
15 1. Non car certaines plantes sont incompatibles : la donc autoriser son rejet.
bruyère supporte un pH allant jusqu’à 6 et la lavande
supporte un pH qui commence à 6,5 par exemple.
2. 100 kg pour 100 m² revient à 1 kg soit 1 000 g pour
1 m², le pH va donc passer de 5 à 6,5.
3. et 4. Le « test pH » indiquera une couleur vert foncé
mais n’indiquera pas si le pH vaut 6 ou 6,8 par exemple.
5. Les plantes pouvant être plantées sont : les acacias, la
lavande et les rosiers car 6,5 appartient à leur intervalle
de « bien-être ».
16 Protocole :
– prélever 100 mL de l’eau de la piscine et l’introduire
dans un bécher ;
– plonger un pH-mètre dans la solution ;
– comparer avec la valeur donnée par l’application.
4 l Les acides et les bases 17

Évaluation - Chimie
1) a. Le bain est acide (pH < 7). 4) a. Non car il ne donne qu’un intervalle de pH.
b. Il est nécessaire de porter une blouse, des gants et des b. Le bain doit devenir rouge.
lunettes de protection.
5) Le bain d’arrêt est une solution d’acide citrique à
c. Les éléments constituants l’acide citrique de formule
15 g/L.
C6H8O7 sont le carbone C, l’hydrogène H et l’oxygène O.
Suivant le volume désiré, il faut donc déterminer la
2) a. Le bon modèle moléculaire est le c). masse d’acide citrique à utiliser m = Cm × V.
b. Le matériel utilisé est : une fiole jaugée avec bouchon, Il faudra ensuite dissoudre cette masse dans le volume
une balance, une spatule, une coupelle, un entonnoir et souhaité et mesurer le pH de cette solution régulière-
une pissette. ment pour vérifier son efficacité avec un pH-mètre ou
c. Le bon ordre est : 8, 5, 4, 2, 3, 6, 1, 7. estimer son pH avec l’ajout du rouge de méthyl. Le pH
3) a. Pour 100 mL de bain, il faut 15 × 0,100 = 1,5 g doit toujours rester inférieur à 6,5. Un changement de
d’acide citrique. couleur au rouge de l’indicateur coloré permet égale-
c. La solution est jaune, le pH vaut 3,5. ment de vérifier que le bain n’est plus efficace.
Évaluation - Chimie CHIMIE 18

5 l Le son
Ce que je sais
1) Les sons se propagent dans tous les milieux matériels Activité 4
solides, liquides ou gazeux. Ils ne se propagent pas dans – Connecter une paire d’oreillettes à un smartphone.
le vide. – Introduire une des deux oreillettes dans une extrémité
2) La lumière se propage plus vite que le son dans l’air. d’un tuyau souple puis un sonomètre dans l’extrémité
opposée.
– À l’aide d’une application type « Tone Generator »,
ACTIVITÉS produire un son de fréquence donnée en réglant le
volume sonore du smartphone au maximum.
Activité 1
– À l’aide du sonomètre, mesurer le niveau d’intensité
1) Tous les sons que l’application « Tone Generator »
acoustique L (en dB) à la sortie de l’oreillette.
est capable de générer ne sont pas audibles par l’oreille
– Placer successivement un bouchon antibruit de
humaine (inaudibles au-delà de 20 000 Hz). Entre
chaque type à l’intérieur du tuyau entre l’oreillette et
20 Hz et 20 000 Hz, l’intervalle des fréquences des sons
le sonomètre et réitérer la mesure de niveau d’intensité
audibles varie selon les élèves.
acoustique.
2) Plus la fréquence augmente, plus le son est aigu.
– Calculer l’atténuation phonique obtenue pour chaque
Activité 2 type de bouchon antibruit puis comparer les valeurs :
1) a. Les personnes âgées de plus de 30 ans sont moins le type de protection le mieux adapté pour un atelier de
sensibles aux sons aigus. menuiserie sera celui qui aura l’atténuation phonique la
b. Les personnes âgées de plus de 60 ans sont atteintes plus élevée.
de surdité pour des signaux sonores de fréquence f supé-
rieure ou égale à 2 080 Hz.
1 1 =
2) T = 1 ms = 0,001 s d’où f = = 1 000 Hz.
T 0,001 TRAVAUX PRATIQUES
3) La sonnerie ne permet pas à Izia d’être discrète car
quel que soit l’âge les pertes auditives ne sont pas assez TP 1
importantes à 1 000 Hz pour que la perception du signal
sonore soit significativement altérée (à 1 000 Hz, on
1) Le volume sonore diminue lorsque la résistance R
reste dans la zone « Audition normale » quel que soit
augmente.
l’âge).
2)
Activité 3
1) L < 65 dB. Résistance Niveau d’intensité Intensité
2) a. R (en Ω) acoustique L (en dB) I (en mA)
Distance à la source
0,5 1 2 4 8
sonore d (en m) 0 66,3 23,6
Niveau d’intensité
76,2 72,6 67,2 61,1 56,1 50 65,4 16,8
acoustique L (en dB)
b. 100 64,5 12,6
Interprétation
Le niveau d’intensité acoustique L diminue quand l’in-
tensité I du courant électrique diminue.
Conclusion
Lors du réglage du volume sonore d’une enceinte sans
fil, l’action sur le bouton de réglage modifie la valeur
de la résistance variable : si la valeur de la résistance
augmente, l’intensité du courant électrique et le niveau
d’intensité acoustique diminuent (et réciproquement).
3) Graphiquement, on détermine que le niveau d’inten-
sité acoustique est supportable (L < 65 dB) si la distance
à la source sonore est au minimum égale à 3 m.
5 l Le son 19

TP 2 Montage 2 :
Avec Avec
Sans
bouchon bouchon
bouchon
antibruit antibruit
antibruit
en mousse en silicone
Niveau
d’intensité L = 98,2 dB L1 = 49,9 dB L2 = 74,2 dB 3 C – Relier le microphone à l’oscilloscope.
acoustique A – Disposer le microphone face à la caisse de résonance
Interprétation du diapason.
Bouchon antibruit en mousse : D – Frapper les branches du diapason à l’aide du mar-
atténuation phonique = 98,2 – 49,9 = 48,3 dB. teau.
Bouchon antibruit en silicone : B – Observer le signal à l’écran de l’oscilloscope.
atténuation phonique = 98,2 – 74,2 = 24 dB.
4 a. un son pur : enregistrement .
Conclusion b. un son complexe : enregistrement .
Les bouchons antibruit en mousse seront les mieux c. un bruit : enregistrement �.
adaptés pour l’atelier de menuiserie car ils permettent
une atténuation phonique plus élevée (à 4 000 Hz) que 5 a. T = 2 ms.
1 1 =
les bouchons antibruit en silicone. b. T = 0,002 s d’où f = = 500 Hz.
T 0,002
6 a. Sons audibles par l’oreille humaine : sons 2, 3 et 5
(fréquences comprises entre 20 Hz et 20 000 Hz).
EXERCICES b. Parmi les sons audibles :
– le son 2 (f = 50 Hz) est le plus grave (fréquence la plus
● Testez-vous ! faible) ;
1. A ; 2. C ; 3. B ; 4. C ; 5. A ; 6. C : un sonomètre ; – le son 5 (f = 5 kHz = 5 000 Hz) est le plus aigu (fré-
7. B : décibel (dB) ; 8. B : au seuil de dangerosité. quence la plus élevée).
● À l’oral 7 A : L4 = 108 dB
1 a. Plus la fréquence diminue, plus le son est grave. B : L2 = 98 dB
b. Pour déterminer l’atténuation phonique due à des C : L1 = 75 dB
bouchons antibruit, il faut : D : L3 = 64 dB
– produire un son à l’entrée d’un tuyau souple en matière 8 a. Le seuil de fatigue auditive (L = 80 dB) est dépassé
plastique à l’aide d’une paire d’oreillettes connectée à
sur la ligne de conditionnement et dans l’atelier de
un téléphone portable ;
menuiserie.
– avec un sonomètre, mesurer le niveau d’intensité
b. Le port de protections individuelles contre le bruit est
acoustique à la sortie du tuyau sans et avec des bou-
obligatoire dans l’atelier de menuiserie car le seuil de
chons antibruit ;
dangerosité (L = 85 dB) est dépassé.
– calculer la différence entre les deux mesures.
c. Le seuil de douleur correspond au niveau à partir 9 a. Le modèle 1 est le plus adapté pour protéger des
duquel le bruit provoque une sensation douloureuse sons de fréquence f = 250 Hz.
pour nos oreilles. b. Le modèle 2 est le plus adapté pour protéger des sons
de fréquence f = 1 000 Hz.
● S'entraîner
2 À l’aide du matériel mis à disposition, on peut envi-
sager les dispositifs expérimentaux suivants :
Montage 1 : PROBLÈMES
L’indication « 10 V » correspond à une tension élec-
trique.
Visualiser et traiter le signal sonore émis par l’alarme
à l’aide d’une application smartphone, ou d’un micro-
phone relié à un oscilloscope, ou un système ExAO.
5 l Le son 20

3. Réaliser 3. Réaliser
a. L’enregistrement correspond à un son pur car le signal
est sinusoïdal.
b. À partir de l’enregistrement, on observe que 5 motifs
élémentaires se répètent en 4 ms. On en déduit la
période T (durée d’un motif élémentaire) :
T = 4 = 0,8 ms soit T = 0,000 8 s
5
1 1
c. f = T = 0,000 8 = 1 250 Hz
4. Valider
500 Hz < f < 2 000 Hz. La fréquence du signal est dans
l’intervalle préconisé par les experts.
5. Communiquer
L’alarme de recul émet un signal sonore de fréquence 4. Valider
comprise entre 500 Hz et 2 000 Hz mais c’est un son Car l’atténuation phonique est plus élevée avec le
pur. L’alarme de recul n’est donc pas conforme aux modèle 1 qu’avec le modèle 2 pour des fréquences com-
recommandations des experts. prises entre 250 Hz et 1 500 Hz.
12 1. S’approprier 5. Communiquer
L’indication « 10 A » correspond à une intensité électrique. Si les sons produits dans la menuiserie sont graves ou
L’indication « 2 200 W » correspond à une puissance. médium, choisissez préférentiellement le modèle 1.
2. Analyser-Raisonner Si les sons produits dans la menuiserie sont aigus, choi-
Alex doit mesurer le niveau d’intensité acoustique avec sissez préférentiellement le modèle 2.
un sonomètre.
14 À partir de l’enregistrement, on détermine la période
3. Réaliser T puis la fréquence f du signal sonore :
L = 105 dB.
• Période T = 2 × 0,02 = 0,04 ms
4. Valider
soit T = 0,000 04 s
Au niveau mesuré (L = 105 dB), Alex dépasse la durée
d’exposition journalière maximale (4 min). 1 1

• Fréquence f = T = 0,000 04 = 25 000 Hz
5. Communiquer
Alex doit obligatoirement porter des PICB car il dépasse Le son du sifflet sera perceptible uniquement par les
les valeurs limites d’exposition au bruit. chiens car la fréquence f n’appartient pas au domaine
des fréquences audibles par l’oreille humaine (entre
13 1. S’approprier 20 Hz et 20 000 Hz).
Le modèle 1 est le plus adapté pour protéger des sons de
fréquence f = 250 Hz.
Pour déterminer l’atténuation phonique due à un casque
antibruit, il faut : ÉVALUATION
– placer un haut-parleur (alimenté par un GBF) dans un
caisson acoustique ; 1. S’approprier
– introduire la sonde d’un sonomètre dans le caisson à À 100 dB(A), la durée maximale d’exposition quoti-
l’opposé du haut-parleur ; dienne est fixée à 15 minutes.
– produire un son à l’aide du haut-parleur alimenté par 2. Analyser-Raisonner
le GBF et mesurer le niveau d’intensité acoustique sans – Connecter une paire d’oreillettes à un smartphone.
puis avec le casque antibruit placé devant la sonde du – Introduire une des deux oreillettes dans une extrémité
sonomètre ; d’un tuyau souple puis un sonomètre dans l’extrémité
– calculer la différence entre les deux mesures. opposée.
– À l’aide d’une application type « Tone Generator »,
produire un son de fréquence donnée en réglant le
volume sonore du smartphone à 80 % du volume
maximal.
– À l’aide du sonomètre, mesurer le niveau d’intensité
acoustique L (en dB) à la sortie de l’oreillette.
5 l Le son 21

3. Réaliser 5. Communiquer
L = 97,7 dB. On peut adresser à Hugo les conseils suivants :
4. Valider – régler le volume sonore du smartphone à la moitié du
Hugo dépasse la durée maximale d’exposition au maximum ;
niveau mesuré (durée très inférieure à 2 heures pour – limiter la durée d’écoute quotidienne avec ses oreil-
L = 97,7 dB). lettes ;
– faire des pauses dans ses écoutes.
5 l Le son 22

6 l La propagation du son
1) Les sons se déplacent plus vite dans les solides que

dans les liquides et les gaz.
2) Les ultrasons ont des fréquences supérieures à
20 000 Hz.
ACTIVITÉS
Activité 1
1) Lors d’une sortie dans l’espace, les spationautes com-
muniquent avec la Terre grâce à des ondes radio. – Placer le haut-parleur (alimenté par le GBF) dans le
2) carton.
– Introduire la sonde du sonomètre dans le carton à
l’opposé du haut-parleur.
– Produire un son à l’aide du haut-parleur alimenté par
le GBF et mesurer le niveau d’intensité acoustique sans
obstacle entre le haut-parleur et le sonomètre.
– Réitérer la mesure du niveau d’intensité acoustique en
plaçant successivement une puis deux plaques de verre
dans le carton entre le haut-parleur et le sonomètre.
– Calculer l’atténuation phonique due à chaque type de
vitrage puis comparer les résultats.
Activité 2
1) 1 : onde sonore
2 : microphone
3 : antenne émettrice TRAVAUX PRATIQUES

4 : onde électromagnétique
5 et 6 : antenne relais TP 1
7 : onde électromagnétique Protocole
8 : antenne réceptrice
1) b. L = 98,8 dB
9 : haut-parleur
L’expérience peut présenter des risques auditifs liés à
10 : onde sonore
l’utilisation du buzzer (ou de toute autre source sonore).
2) La communication téléphonique se propage dans l’air. Il convient donc de limiter le niveau d’intensité acous-
Activité 3 tique à un niveau acceptable ainsi que la durée d’exposi-
1) a. t = 5 div × 200 = 1 000 μs tion au bruit lors de l’expérimentation.
b. t = 1 000 μs soit t = 0,001 s Observations et mesures
d = v × t d’où d = 340 × 0,001 = 0,34 m
c. La distance d calculée à la question précédente cor- 2 plaques de
1 plaque de
respond à un trajet aller-retour entre l’émetteur et l’obs- Matériau plexiglas séparées
plexiglas
tacle. par une lame d’air
On en déduit donc que la distance entre l’émetteur et Niveau
l’obstacle est égale à la moitié de d soit 0,17 m = 17 cm. d’intensité
2) Le télémètre comporte un émetteur et un récepteur L1 = 89,3 dB L2 = 88,2 dB
acoustique
d’ultrasons. L’onde émise se réfléchit sur l’obstacle (ou la (en dB)
paroi) visé(e) et revient vers l’appareil qui :
– mesure de manière très précise le temps mis par l’onde Atténuation
98,8 – 89,3 98,8 – 88,2
pour effectuer l’aller-retour ; phonique
= 9,5 dB = 10,6 dB
– calcule puis affiche la distance à laquelle se trouve (en dB)
l’obstacle (ou la paroi) visé(e).
Interprétation
(voir tableau ci-dessus)
6 l La propagation du son 23

Validation EXERCICES
L’atténuation phonique ne double pas avec deux plaques
de plexiglas au lieu d’une. ● Testez-vous !
Conclusion 1. B ; 2. A ; 3. C ; 4. C ; 5. A ; 6. B.
L’atténuation phonique étant plus élevée avec un double
vitrage qu’avec un simple, il est donc préférable d’instal- ● À l’oral
ler des doubles vitrages dans une maison (amélioration 1 a.
de l’isolation acoustique aux bruits extérieurs).
Milieu de
Émetteur Récepteur
TP 2 propagation
Protocole
Les ultrasons n’étant pas perceptibles par l’oreille
humaine, on élimine donc tout risque auditif grâce à leur
utilisation lors de l’expérience. Microphone
Haut-parleur
Observations et mesures Haut-parleur Air Microphone
1) À l’écran de l’oscilloscope, on observe deux signaux en

décalage l’un par rapport à l’autre (l’un correspondant b. Lorsqu’elle rencontre une paroi, une onde sonore peut
au signal émis, l’autre au signal reçu). être transmise, absorbée et réfléchie.
c. Un isolant phonique est un matériau qui permet
2) θ = 18 °C d’absorber une grande partie de l’énergie véhiculée par
Interprétation un signal sonore, et ainsi de limiter la transmission du
1) t = 6 div × 100 = 600 μs soit t = 0,6 ms son.
0,2 d. L’atténuation phonique d’un isolant correspond à
2) v1 = d d’où v1 = ≈ 333 m/s la différence entre les niveaux d’intensité acoustique
t 0 ,0006
Validation mesurés sans et avec cet isolant.
1) v = 331 + 0,6 × θ ● S'entraîner
d’où v = 331 + 0,6 × 18 = 341,8 m/s 2 À l’aide du matériel mis à disposition, on peut envi-
sager l’expérimentation suivante :
v 1 333
2) = ≈ 0,97 soit une erreur de 3 % sur la – Relier le microphone à l’oscilloscope.
v 341,8
mesure de v1. – Placer le microphone et le réveil (la sonnerie est en
marche) sous la cloche à vide.
Conclusion – Observer le signal à l’écran de l’oscilloscope.
Le dispositif expérimental mis en place et le protocole – Mettre en marche la pompe quelques instants pour
suivi ont permis de déterminer la vitesse du son dans faire le vide sous la cloche puis l’arrêter.
l’air avec un pourcentage d’erreur de 3 %. – Observer les modifications d’amplitude du signal à
l’écran de l’oscilloscope.
3 Le vide partiel sous la cloche a été réalisé lors de la

seconde expérience car le niveau d’intensité acoustique
mesuré est plus faible.
0,5
4 a. v = d d’où v = = 2 500 m/s.
t 0,0002
b. La colonne est en calcaire.
5
Milieu de
Émetteur Récepteur
propagation
Pot de yaourt Pot de yaourt

à gauche à droite
Fil tendu
(personnage : (personnage :
source) destinataire)

6 11 1. S’approprier
La laine de coton est plus adaptée que la laine de verre
pour des sons de fréquence f = 2 000 Hz.
7 – Placer le haut-parleur (alimenté par le GBF) dans

le carton.
– Introduire la sonde du sonomètre dans le carton à
– Produire un son à l’aide du haut-parleur alimenté par
– Placer un haut-parleur (alimenté par un GBF) dans un
caisson acoustique.
– Introduire la sonde d’un sonomètre dans le caisson à
– Réitérer la mesure du niveau d’intensité acoustique en
plaçant une plaque en bois dans le carton entre le haut-
parleur et le sonomètre. Puis pour chaque fréquence du tableau :
– Calculer l’atténuation phonique due à la plaque en bois – Produire un son à l’aide du haut-parleur alimenté par
(différence entre les mesures sans et avec la plaque). le GBF et mesurer le niveau d’intensité acoustique sans
8 a. Atténuation phonique : – Réitérer la mesure du niveau d’intensité acoustique
« Laine de coton » : 92 – 50 = 42 dB en plaçant une plaque en laine de verre dans le caisson
« Liège » : 92 – 61 = 31 dB entre le haut-parleur et le sonomètre.
b. La laine de coton absorbe une plus grande partie de – Calculer l’atténuation phonique due à la plaque en
l’énergie du signal sonore que le liège (atténuation pho- laine de verre (différence entre les mesures sans et avec
nique plus élevée avec la laine de coton). la plaque).
3. Réaliser
PROBLÈMES
Valeur minimale : 2 000 m/s
Valeur maximale : 4 500 m/s
� Calculer la vitesse de propagation du son dans le
béton.
 Comparer la valeur obtenue avec le minimum requis
de 3 500 m/s. 4. Valider
3. Réaliser Car l’atténuation phonique est plus élevée avec la laine
de coton qu’avec la laine de verre pour des fréquences
0,2
v = d d’où v = = 4 000 m/s. comprises entre 300 Hz et 1 500 Hz.
t 0,000 05
5. Communiquer
4. Valider Si l’objectif est d’isoler des sons de fréquences infé-
3 500 m/s < v < 4 500 m/s. rieures à 250 Hz ou supérieures à 2 000 Hz, choisissez
Le béton est de bonne qualité. préférentiellement un isolant en laine de verre.
5. Communiquer Si l’objectif est d’isoler des sons de fréquences comprises
La réfection du mur n’est pas à envisager car le béton est entre 250 Hz et 2 000 Hz, choisissez préférentiellement
de bonne qualité. un isolant en laine de coton.

12 • Dans l’air à 20 °C, les ultrasons se propagent à la
vitesse v = 340 m/s.
• Le capteur de niveau comporte un émetteur et un
récepteur d’ultrasons. L’onde émise se réfléchit sur la
surface du liquide et revient vers le capteur qui :
– mesure de manière très précise le temps mis par l’onde
pour effectuer l’aller-retour ;
– calcule la distance à laquelle se trouve la surface du
liquide ;
– en déduit la hauteur de liquide dans la cuve par diffé-
rence avec la hauteur intérieure de la cuve.
Émetteur : haut-parleur
• Calcul de la distance du trajet aller-retour : Récepteur : sonomètre
d = v × t d’où d = 340 × 0,04 = 13,6 m Milieu de propagation : air
• Calcul de la hauteur de liquide dans la cuve :
Atténuation phonique due à des bouchons d’oreille :
h = 11 – d d’où h = 11 = 13,6 = 4,2 m – connecter une paire d’oreillettes à un smartphone ;
2 2
– introduire une des deux oreillettes dans une extrémité
• Expression en pourcentage de la hauteur de liquide par d’un tuyau souple puis un sonomètre dans l’extrémité
rapport à la hauteur intérieure de la cuve : opposée ;
4 ,2 ≈ 0,38 soit 38 % – à l’aide d’une application type « Tone Generator »,
11 produire un son de fréquence donnée en réglant le
• Réponse à la problématique : volume sonore du smartphone au maximum ;
L’alarme couplée au capteur dysfonctionne car elle se – à l’aide du sonomètre, mesurer le niveau d’intensité
déclenche alors que le niveau de liquide est supérieur à acoustique à la sortie de l’oreillette ;
10 % de la hauteur intérieure de la cuve. – placer un bouchon d’oreille à l’intérieur du tuyau
entre l’oreillette et le sonomètre et réitérer la mesure de
13 Atténuation phonique due à un casque antibruit : niveau d’intensité acoustique ;
– placer un haut-parleur (alimenté par un GBF) dans un – calculer l’atténuation phonique due aux bouchons
d’oreille (différence entre les deux mesures).
caisson acoustique ;
– introduire la sonde d’un sonomètre dans le caisson à Émetteur : oreillette
l’opposé du haut-parleur ; Récepteur : sonomètre
– produire un son à l’aide du haut-parleur alimenté par Milieu de propagation : air
puis avec le casque antibruit placé devant la sonde du Déterminer la protection auditive la plus efficace :
sonomètre ; Comparer les atténuations phoniques obtenues : le type
– calculer l’atténuation phonique due au casque anti- de protection le plus efficace sera celui qui aura l’atté-
bruit (différence entre les deux mesures). nuation phonique la plus élevée.

ÉVALUATION
1. S’approprier
La sous-couche intercalée entre le béton et le parquet
en bois est un isolant phonique qui permet de limiter la
transmission du son par le sol.
– Placer le haut-parleur (alimenté par le GBF) dans le
carton. 3. Réaliser
– Introduire la sonde du sonomètre dans le carton à Atténuation phonique :
l’opposé du haut-parleur. – Liège : 87 – 72 = 15 dB
– Produire un son à l’aide du haut-parleur alimenté par – Fibre de bois : 87 – 68 = 19 dB
4. Valider
La fibre de bois assure une meilleure isolation phonique
– Réitérer la mesure du niveau d’intensité acoustique
que le liège (atténuation phonique plus élevée avec la
en plaçant successivement une plaque en liège puis une
fibre de bois).
plaque en fibre de bois dans le carton entre le haut-
parleur et le sonomètre. 5. Communiquer
– Calculer l’atténuation phonique due à chaque plaque « Monsieur le promoteur,
(différence entre les mesures sans et avec la plaque). Suite aux mesures effectuées en laboratoire, nous vous
– Comparer les atténuations phoniques obtenues : l’iso- conseillons de choisir des plaques de sous-couche en
lant le plus efficace sera celui qui aura l’atténuation pho- fibre de bois qui assurent une meilleure isolation pho-
nique la plus élevée. nique que celles en liège. »

Évaluation - Acoustique
1) a. Les indications « 9 – 60 V » et « 13 mA » corres- 2) – Réaliser un montage en série comprenant le
pondent respectivement à une tension et une intensité générateur 12 V/CC, l’interrupteur et le buzzer.
électrique. – Placer le sonomètre à 3 m du buzzer (mesurer la dis-
b. L’alarme sonore doit être alimentée en courant tance à l’aide du mètre ruban).
continu. – Brancher le générateur au secteur puis fermer l’inter-
c. Le niveau d’intensité acoustique doit être au mini- rupteur.
mum égal à 75 dB à 3 mètres de l’alarme qui sonne – À l’aide du sonomètre, mesurer le niveau d’inten-
(L = 65 + 10 = 75 dB). sité acoustique L (en dB) du son émis par le buzzer à 3
mètres de distance.
3) 1. a. L1 = 65 dB. b. Atténuation phonique minimale du mur en plâtre

2. a. I = 40 mA. avec doublage = 35,8 – 4 = 31,8 dB.
b. L2 = 71,8 dB. 4) La fréquence du signal sonore est identique pour le
3. a. Le son est pur car le signal est sinusoïdal. buzzer et l’alarme choisie par la responsable.
b. T = 0,50 ms soit T = 0,000 5 s 5) « Madame,
1
Même si la fréquence du signal sonore est identique
3. c. f = 1 d’où f = = 2 000 Hz.
T 0 ,000 5 à celle de l’alarme, le buzzer ne peut pas être installé
4. a. Atténuation phonique minimale du mur en plâtre en tant que tel dans l’espace de bureau car le niveau
= 71,8 – 36 = 35,8 dB. d’intensité sonore mesuré à 3 m est inférieur à 75 dB. »
Évaluation - Acoustique ACOUSTIQUE 28

7 l La température
Ce que je sais 9 a. La thermistance, les fils de connexions et le mul-
timètre en position ohmmètre.
1) Thermomètre.
2) De particules (atomes, molécules et ions). b. Circuit série avec le matériel.
10 Voltmètre, fils de connexion et thermocouple.
11 a. R = 100 + 0,4 × 0 = 100 Ω

ACTIVITÉS b. R = 140 Ω
Activité 1 12 a. 750 °C
θ = 460 – 273 = 187 °C b. 10 mV
θ = 150 – 273 = – 123 °C
13 À l’équilibre thermique, le thermomètre indique sa
Activité 2
température qui est aussi celle du corps dont on veut
La mesure de la température s’effectue à distance par
déterminer la température.
mesure de sécurité, on peut utiliser le thermomètre à
infrarouge ou la caméra thermique. 14 a. Glace à 0 °C.
Activité 3 b. Aucune agitation.
1) Bois, plastique… 15 a. 7 °C, sensation de froid pour une personne à 37 °C.
2) La température est identique.
b. 7 °C.
3) Sensation de chaud : gain d’énergie, sensation de froid
perte d’énergie. 16 Si la personne est malade sa température est plus
Activité 4 élevée que la nôtre, nous ressentons une sensation de
1) R = 1 500 Ω chaud par gain d’énergie.
2) U = 1 500 × 0,001 = 1,5 V 17 a. La pièce gagne de l’énergie, la main en perd.
3) La tension est plus petite que 2 volts, la chaudière ne b. La température du métal est identique à celle de votre
se met pas en marche. main.
18 Il faut attendre l’équilibre thermique (voir ques-

tion 13).
EXERCICES
19 Schéma 1.
● Testez-vous !
20 Rouge.
1. B ; 2. A ; 3. B ; 4. A ; 5. B ; 6. A ; 7. C.
21 Représentation 1.
● À l’oral
1 a. Elles sont « décalées » de 273 unités.
b. À liquide, à sonde et à infrarouge.
c. La température correspond à l’agitation thermique PROBLÈMES
des particules.
2 T = 37,5 + 273 = 310,5 K R = 1 153 Ω
4. Valider
3 T = – 13,5 + 273 = 259,5 K
La caractéristique de la sonde PT 1 000 doit être une
4 θ = 300 – 273 = 27 °C droite passant par les points :
A (0 ; 1 000) et B (100 ; 1 380).
5 θ = 3 - 273 = – 270 °C
6 a. θ = 0 – 273 = – 273 °C C’est la durée nécessaire pour que la température du
b. T = 0 K bloc soit égale à – 20 °C et que le bloc ait perdu le maxi-
mum d’énergie.
7 Position 2.
8 a. 750 °C. Les particules microscopiques du bloc gagnent de l’éner-
b. Le laser permet de viser le lieu de mesure. gie et celles de l’aliment en perdent.
7 l La température 29

3. Réaliser ÉVALUATION
a. Courbe bleue : bloc.
b. Température produite : 5 h : 7,5 °C et 15 h : 5 °C. 1. S’approprier
4. Valider R = 0,4 × 0 + 100
Un bloc de masse m = 500 g permet de conserver 50 % 2. Analyser-Raisonner
de la masse du produit par 24 heures. a. Le tuyau de cuivre : gagne de l’énergie et l’eau chaude
a. 4 blocs. qui sort du ballon : perd de l’énergie.
b. 4 bloc/kg. b. Mesurer la valeur de la résistance électrique de la
5. Communiquer sonde à l’aide de l’ohmmètre, pour différentes tempéra-
tures. Pour cela utiliser de l’eau dont on fixe et connaît
Masse de produit kg 1 2 3 4 5 la température.
Nombre de blocs 4 8 12 16 20 4. Valider
La caractéristique de la sonde PT 100 est une droite qui
25 Protocole 1 : comparez les mesures données par un passe par les points A (0 ; 100) et B (100 ; 140) : la sonde
thermomètre et celles données par l’application. fonctionne correctement, le garagiste n’a pas à rempla-
cer la sonde.
26 Sonde à thermocouple Type K.
5. Communiquer
Il faut comparer les valeurs obtenues avec celles don-
nées par le fabriquant pour une sonde neuve.
Réaliser une série de mesures de R en faisant varier la
température θ a laquelle est soumise la sonde.
Représenter graphiquement les points de coordonnées
(R ; θ), et vérifier que les points obtenus sont alignés sur
une droite passant par A et B.
7 l La température 30

8 l La chaleur
Ce que je sais ● S'entrainer
2 Le dessin 1 modélise l’état initial et le dessin 2
1) Solide liquide et gaz.
2) Fusion, vaporisation, liquéfaction, solidification, subli- montre la propagation de l’agitation thermique de
mation, condensation. proche en proche.
3 a. Convection : air chaud entre le sèche-cheveux et
les cheveux. Conduction : air sortant du sèche-cheveux
et l’embout.
ACTIVITÉS b. Conduction : flamme et aliment, aliment et plat.
Convection : air au contact du chalumeau et du plat.
Activité 1 Rayonnement : gaz en combustion
1) L’eau sous forme de gaz est le corps chaud, le dioxyde
4 a. Conduction : plat et aliment ; air intérieur du four
de carbone est le corps froid.
2) Liquéfaction. et aliment ; Convection : air intérieur du four et les parois.
3) La température sur la scène diminue. L’eau liquide en Rayonnement : résistance et aliment.
suspension (brouillard) se vaporise en prenant de l’éner- b. Conduction.
gie à l’air ambiant, la température de l’air diminue. 5 a. Vaporisation par évaporation.
Activité 2 b. Solidification.
1) Le corps chaud est le pot imperméable et le corps c. Liquéfaction.
froid est le sable mouillé.
6 a. –120 °C : solide, – 20 °C : liquide, 0 °C : liquide et
2) La température diminue au cours du temps jusqu’à
100 °C : gaz.
atteindre 15,5 °C.
b. Inflammable et danger pour le milieu aquatique.
3) Lorsque toute l’eau s’est évaporée, le pot ne perd plus
d’énergie mais en gagne : la température du pot aug- 7 –1 540 °C : solide, 0 °C : solide, 100 °C : solide,
mente jusqu’à atteindre celle de l’air ambiant. 1 600 °C : liquide et 3 000 °C : gaz.
Activité 3
8 1 : dispositif de chauffage, 3 : tube à essai, 5 : potence,
1) I = 24/11 = 2,2 A
7 : chronomètre, 8 : thermomètre.
2) Fusion et solidification.
3) Partie croissante de 20 °C jusqu’à la température de 9 a. Fusion.
fusion - pallier - partie décroissante jusqu’à 20 °C. b. Consomme de l’énergie.
Activité 4 c. 1 : la paraffine est solide sa température augmente,
Il est nécessaire d’adapter la masse d’eau chaude à la 2 : changement d’état, 3 : la paraffine est liquide sa tem-
masse de l’aliment à décongeler. pérature augmente.
10 a. À 20 °C : liquide ; à - 98 °C : liquide et solide.
b. Corps pur : présence d’un pallier horizontal lors de la
solidification.
EXERCICES
● Testez-vous !
1. B ; 2. B ; 3. C ; 4. B ; 5. B ; 6. A ; 7. A. PROBLÈMES
● À l’oral 12 1. S’approprier
1 a. Transfert d’énergie entre deux corps de tempéra- Pour éviter d’entartrer les fers à repasser, on utilise de
tures différentes. l’eau distillée.
b. Augmentation de l’agitation thermique (tempéra- 2. Analyser-Raisonner
ture) ; augmentation des distances entre particules
Toutes les minutes.
(changements d’état).
c. Fusion, vaporisation, sublimation. 3. Réaliser
d. Lors d’une congélation, la solidification de l’eau distil- b. L’eau devient solide à 0 °C.
lée s’effectue à la température constante de 0 °C (sous 4. Valider
la pression atmosphérique). Pour l’eau salée, il n’y a pas L’eau de pluie testée est pure car la solidification s’effec-
de pallier horizontal. tue à température constante.
8 l La chaleur 31

5. Communiquer 3. Réaliser
L’eau de pluie testée est un corps pur qui est liquide à a. Par conduction. Corps chaud : eau salée et corps froid :
température ambiante. mélange réfrigérant.
b. Solidification à partir de 2 minutes.
13 1. S’approprier 4. Valider
Résistor ou résistance électrique. a. – 8 °C.
2. Analyser-Raisonner b. Pour des températures négatives (entre 0 °C et – 8 °C)
a. Avant : solide et après : liquide. l’eau salée est liquide.
b. La batterie. 5. Communiquer
3. Réaliser Le salage des routes permet d’éviter la formation d’eau
I = 12/0,5 = 24 A solide pour des températures légèrement négatives, en
4. Valider effet le mélange eau- sel reste liquide aux températures
Le fusible n’est pas adapté. prévues.
5. Communiquer
15 • Le moteur du ventilateur et le résistor chauffant
Le système de dégivrage permet la fusion du givre. Le
sont branchés en dérivation.
résistor chauffe par effet joule et par conduction, l’éner-
gie thermique est transférée à l’ensemble de la plaque
de givre. A
Résistance
variable
B
Fusion
2. Analyser-Raisonner Résistor
Le morceau de sucre gagne de l’énergie et le café en 230 V M
perd.
Moteur
3. Réaliser
Le sucre dans le sachet ne subit aucune modification. • Le ventilateur du moteur permet de faire circuler de
4. Valider l’air froid dont la température augmente par conduction
a. Température de fusion non atteinte. et par rayonnement infrarouge en passant sur le résistor.
b. Dissolution (pas de changement d’état). Un échange thermique entre l’air de la pièce et cet air
chaud se fait par convection.
5. Communiquer
Le sucre ne peut pas fondre dans l’eau car la tempé-
rature de fusion est trop élevée. L’eau dissout le sucre,
16 • À l’aide d’un chronomètre et d’un capteur de tem-
celui-ci n’a subi aucun changement d’état physique.
pérature, on mesure la durée pour laquelle la tempéra-
ture reste inférieure à 0 °C.
• Le paramètre le plus influent est celui de la tempéra-
ÉVALUATION ture extérieure au sac. Si la température de l’air dans la
pièce est supérieure à 0 °C, ou que le sac est exposé par
1. S’approprier exemple au Soleil, des échanges thermiques se réalise
a. Solidification. par convexion et rayonnement. Ces échangent se pro-
b. L’eau solide est glissante, risques d’accident. page par conduction à travers la paroi du sac et les ali-
2. Analyser-Raisonner ments en contact avec cette paroi.
a. Chronomètre, bêcher thermomètre, tube à essai.
b. Toutes les minutes.
8 l La chaleur 32

Évaluation - Thermique
1) a. – 38 °C. 4) a. La réponse dépend de l’antigel préparé par l’ensei-
b. Mélange. gnant.
c. Cancérogène, tératogène. b. Connaître la température la plus basse pour laquelle
2) a. Un liquide de refroidissement gagne de l’énergie les conclusions sont valables.
thermique. c. La réponse dépend de l’antigel préparé par l’ensei-
b. Par conduction. gnant.
c. Solide.
Évaluation - Thermique THERMIQUE 33

9 l La lumière
1)
1) La lumière se propage en ligne droite dans le vide.
2) On modélise un rayon lumineux par un segment de
droite, avec une flèche qui indique le sens de propaga-
tion.
3) Les sources primaires sont des corps qui produisent la
lumière qu’ils émettent.
Les objets diffusants sont des corps qui ne produisent
pas de lumière mais qui renvoient la lumière reçue. On
dit que ces corps diffusent la lumière.
ACTIVITÉS 2) Sur l’image à droite l’amphore est vue sur le côté,

alors que l’image de gauche la montre de face. On
Activité 1
observe l’amphore sous deux angles différents car les
1) Son image dans le miroir � a le bras gauche levé.
rayons lumineux provenant de l’amphore parviennent
Son image dans le miroir  a le bras droit levé.
jusqu’à l’appareil photographique en traversant les deux
2) a.
surfaces de l’aquarium. Le dessin montre les trajets sui-
vis par la lumière depuis l’amphore jusqu’à notre œil.
Activité 3
1) a. Non, car 300 g/L > 250 g/L.
2) a. i1 = 40 ° et i2 = 28°.
b. n = 1,37.
c. 240 g/L
d. Mauvais réglage du réfractomètre.
Activité 4
Une partie du faisceau lumineux est perdue par réfrac-
tion de la lumière à l’interface de verre et eau.
TRAVAUX PRATIQUES
b.
TP 1
Observation
Une partie du faisceau subit une réflexion, l’autre partie
traverse l’interface tout en étant déviée.
3) Dans la première situation, la lumière diffusée par

l’objet à subit une seule réflexion avant d’arriver à
l’observateur. Mesures
Dans la deuxième situation, la lumière diffusée par i (en°) 0 10 20 30 40 50
l’objet à subit deux réflexions successives avant d’arriver
à l’observateur. r (en °) 0 10 20 30 40 50
9 l La lumière 34

Interprétation – pour un même milieu � la valeur de l’angle de réfrac-
i=r tion i2 diminue quand l’indice de réfraction n2 augmente.
Validation 2 (1) rayon incident, (2) normale, (3) rayon réfléchi, (4)
Il se réfléchit sur la paroi de la pyramide formant un
surface de séparation et (5) rayon réfracté.
angle de 90 ° avec le rayon incident.
Conclusion 3 Schéma 1.
L’observateur doit se trouver à l’horizontale.
4 Une source lumineuse est orientée vers la surface
TP 2 réfléchissante d’un miroir. Le rayon incident subit une
Observation réflexion avec un angle de 44° par rapport à la verticale.
Une partie du faisceau subit une réflexion, l’autre partie
5 (a).
traverse l’interface tout en étant déviée.
Mesures 6
Eau Eau Eau
Milieu Eau sucrée à sucrée à sucrée à
250 g/L 500 g/L 750 g/L
Indice de
1,33 1,37 1,42 1,48
réfraction
i2 (en °) 60,43 57,6 54,55 51,4

7 Les angles d'incidence et de réflexion sont égaux à
Interprétation
50.
Lorsque l’indice du milieu augmente, l’angle de réfrac-
i1 = 50°, r = 50° et i2 = 35°.
tion diminue.
Validation 8 na < nb.
Oui, car l’indice de réfraction des liquides lave-glaces
9 i2 > i1.
varie entre à 1,35 et 1,40 donc plus grand que l’indice
l’eau et plus petit que celui l’eau sucrée à 750 g/L. Et 10 (a) n1 < n2 et (b) n1 > n2.
dans cet ordre de grandeur, il y a le phénomène de

réfraction.
Conclusion
Sachant que l’indice de réfraction des liquides lave- PROBLÈMES
glaces varie entre 1,35 et 1,40 le phénomène de réfrac-
tion a alors lieu. Une partie de l’intensité lumineuse est 12 1. S’approprier
perdue ce qui enclenche les essuie-glaces. Le rayon incident MA du rayon réfléchi AO passe légère-
ment au-dessus des pieds qui ne peuvent donc être vus
par le gérant.
EXERCICES 2. Analyser-Raisonner
Se positionner devant un miroir vertical. Repérer la partie
● Testez-vous ! visible du corps et reculer ou avancer.
1. B ; 2. A ; 3. B ; 4. B ; 5. A ; 6. B. ; 7. C ; 8. C. 3. Réaliser
● S'entraîner d = 2,05
1 a. Le rayon incident est le rayon arrivant sur la sur- B

iB
face de séparation ou réfléchissante, le rayon réfléchi est rB 0,05 m
le rayon après la réflexion, le rayon réfracté est le rayon 1m O
ayant traversé l’interface tout en étant dévié de sa tra-
rA
jectoire.
b. Le rayon incident, réfléchi et la normale sont dans le A 1,75 m
même plan i = r. iA
c. La valeur de l’angle de réfraction i2 dépend des indices 1m
de réfraction des deux milieux.
Pour un même angle d’incidence i1 : M
– si n1 > n2 : l’angle de réfraction i2 est plus grand que i1
et inversement ;
9 l La lumière 35

4. Valider 2. Analyser-Raisonner
L’image que voit le gérant est modifiée : il se voit de la • Réalisez le montage ci-dessous.
tête aux pieds.
5. Communiquer
Il est utile qu’une personne recule devant un miroir
incliné pour voir une plus grande partie de son corps :
l’image réfléchie qu’elle voit est modifiée.
Le milieu le plus réfringent est celui qui a le plus grand
indice de réfraction.
a. i1 < i2.
b. Verser chaque solution dans une cuve différente.
Réaliser le montage suivant.
Allumez la source lumineuse et positionnez-la de

manière que l’angle d’incidence i1 soit égal à 30°.
3. Réaliser
b. r = 30°
a. c.
3. Réaliser
i1 = 30° et i2 = 46°
4. Valider
i1 < i2 donc n1 > n2, le technicien devra choisir le bidon 1
qui contient le milieu le plus réfringent.
5. Communiquer d. n = 1,50
Pour déterminer le milieu le plus réfringent entre deux 5. Communiquer
solutions, réalisez le montage décrit précédemment. Pour déterminer l’indice de réfraction du milieu, il faut
Mesurez l’angle d’incidence i1 et de réfraction i2. L’angle réaliser le montage de la question 2, puis mesurer l’angle
le plus grand correspond au milieu le moins réfringent. de réfraction pour un angle d’incidence donnée. L’indice
est déterminé à partir d’abaque ou de tableau de corres-
14 1. S’approprier pondance entre i2 et n2.
Une partie est réfléchie, une partie traverse la plaque en
étant dévié.
9 l La lumière 36

Un rayon lumineux est envoyé à travers l’air vers le miel
ÉVALUATION contenu dans une cuve.
1. S’approprier 3. Réaliser
a. L’indice de réfraction. a. i1 = 30° et i2 = 20°
b. Phénomène de réfraction. b. r = 30°
c. Schéma ci-contre.
a. Il subit le phénomène de réfraction et de réflexion. 4. Valider
b. n2 diminue. a. La ruche 3 car i2 le plus petit.
Un demi-cylindre contenant du miel est placé sur un b. La ruche 3 car n2 le plus grand.
disque gradué en degrés, comme indiqué sur le schéma 5. Communiquer
ci-dessous. Pour déterminer le miel le plus sucré, il faut réaliser
l’expérience décrite dans la question 2c.
Mesurez l’angle de réfraction pour chaque miel. Le plus
sucré est celui dont l’indice de réfraction est le plus
grand, donc l’angle de réfraction est le plus petit.
9 l La lumière 37

10 l Les couleurs
Ce que je sais Il faut ajouter un résistor de 150 Ω en série avec
chaque DEL pour ne pas dépasser l’intensité maximale
Les lunettes apparaissent en noir car elles absorbent les
Imax = 0,02 A que peut supporter la DEL.
rayonnements ultraviolets.
La tension de fonctionnement d’une DEL est de l’ordre
de 2 V.
ACTIVITÉS Loi d’ohm : U = RI = (UPile – ULED) = R × 0,02
= 4,5 – 2 ≈ R × 0,02
Activité 1 = R ≈ 2,5 / 0,02
1) Lampes de gauche : blanc « jaune ». Lampe de droite : = R ≈ 125 Ω
blanc « naturel ». Il est prudent de choisir minimum 150 Ohms.
2) On observe sur l’écran les couleurs de l’arc-en-ciel. Observations et mesures
3) La meilleure lampe pour avoir une lumière proche de 1) Une lumière blanche.
celle émise par le soleil est la lampe  dont le spectre
2) La relation entre la taille du pixel et la distance d est
couvre tout le spectre du soleil.
de l’ordre de 1 pour 1 000 (1 cm pour 10 m).
Activité 2 Interprétation
1) Éclairage correspondant à chaque tasse : Les spectres des trois DEL couvrent la presque totalité
A : DEL rouge. B : DEL bleue. du spectre visible : la lumière émise peut être assimilée
C : DEL blanche. D : DEL rouge et verte. à une seule source de lumière blanche par l’œil humain.
E : DEL verte.
Validation
2) La LED blanche émet des rayonnements sur tout le
Synthèse additive des couleurs : le mélange de radiations
spectre visible : la couleur de la tasse C est sa couleur
rouges et vertes est assimilé par l’œil humain à la cou-
propre. Les DEL rouge, bleue et verte émettent sur une
leur jaune.
grande partie du spectre visible : la couleur blanche de la
tasse D est une couleur apparente proche de la couleur Conclusion
propre. Applications des pixels de DEL BRV : écran de téléphone,
de téléviseur, projecteur de scène…
Activité 3
Lorsque l’écran est blanc, les trois DEL rouge, verte et TP 2
bleue sont allumées. Observations et mesures
Protocole : Spectre de la lampe à filament �, de la source lumi-
• Fixer les trois LED bleu, verte et rouge ensemble. neuse de TP d’optique  et de la lampe fluorescente  :
• Brancher les trois DEL en dérivation sur la pile pour les
allumer.
• Reculer et observer ces DEL jusqu’à ce que l’on ne
puisse plus différencier les couleurs, et vérifier qu’elles
peuvent être assimilées à une seule lampe blanche. Spectre de l’écran d’ordinateur , de l’écran de télé-
Schéma électrique du montage : phone  et du vidéo projecteur .
Interprétation
Les spectres de la lampe à filament �, de la source lumi-
neuse de TP d’optique  et de la lampe fluorescente
 sont comparables à celui du soleil.
Validation
Un écran de téléviseur est constitué de DEL rouges, vertes
et bleues. Le spectre d’un écran blanc d’un téléviseur est
donc comparable à celui de l’écran d’un ordinateur , de
TRAVAUX PRATIQUES l’écran d’un téléphone  ou de la lumière émise par un
vidéo projecteur .
TP 1 Conclusion
Sécurité Les écrans (ordinateur, téléphone, téléviseur) fonc-
10 l Les couleurs 38

tionnent en trichromie, procédé qui utilise la propriété 11 � Rouge.
physiologique de l’œil humain à réaliser une synthèse  Bleu.
additive à partir des trois couleurs primaires rouge, verte  Vert.
et bleue pour percevoir une lumière blanche.  Magenta.
 Cyan.
 Jaune.
EXERCICES  Blanche.
● Testez-vous ! 12 Lorsque les trois curseurs sont positionnés sur 50 %,
1. B ; 2. B ; 3. C ; 4. B ; 5. B ; 6. C. les couleurs primaires BRV et les couleurs secondaires
MJC apparaissent sombres :
● À l’oral
1 a. Le spectre de la lumière blanche du soleil est
continu et est constitué de rayonnements des diffé-
rentes couleurs visibles par l’œil humain.
b. L’exposition excessive aux ultraviolets (UV) peut pro-
voquer des coups de soleil, le cancer de la peau et des
troubles de la vision.
L’exposition excessive aux infrarouges (IR), qui trans-
mettent de la chaleur, peut provoquer des brûlures cuta-
nées (si la température dépasse 43 °C) et des lésions
importantes dans l’œil.
c. La trichromie est le procédé qui utilise la propriété En faisant varier les couleurs primaires, dans les zones
physiologique de l’œil humain à réaliser une synthèse d’addition, on obtient d’autres couleurs que le magenta,
additive à partir des trois couleurs primaires rouge, verte le jaune ou le cyan.
et bleue pour percevoir le blanc, le noir et toutes les cou-
leurs, en faisant varier l’intensité de trois sources lumi-
neuses RVB.
d. Exemples d’applications à DEL RVB : luminophores des
écrans plats numériques (téléphone, ordinateur) et les
projecteurs de scène de spectacle.

● S'entraîner
2 Le deuxième et le troisième spectre ne sont pas des
spectres de lumière blanche : l’ordre des couleurs n’est
pas celui du spectre du soleil.
13 � Blanc,  Jaune,  Cyan et  Magenta.
3 Avec un spectroscope de poche à réseau.
4 � : A ;  : B ;  : C.
5 Une bougie émet une lumière rouge orangé.
6 Certaines lampes halogènes, fluorescentes et à DEL PROBLÈMES

du commerce émettent une lumière blanche compa-
rable à celle du soleil. 15 1. S’approprier
7 a. La lumière blanche peut être décomposée avec un a) Les deux autres sous-pixels sont rouge et bleu.
CD-ROM, un DVD, les gouttes d’eau dans le cas de l’arc- b) Un pixel d’un écran de téléphone est constitué de
en-ciel, une flaque d’essence… d’une LED rouge et d’une LED bleue de mêmes dimen-
sions et d’une LED verte plus petite.
8 Voir le travail réalisé en classe. 2. Analyser-Raisonner
Les couleurs des trois LED d’un pixel sont les couleurs pri-
9 Lampe, générateur, prisme, fils de liaison, écran et maires bleue, verte et rouge de la synthèse additive. Elles
fente. peuvent ainsi reproduire le blanc, le noir et un nombre
10 Pour se protéger des rayonnements ultraviolets ou important de couleurs en faisant varier leur intensité.
infrarouges il faut utiliser des filtres qui ne laissent pas 3. Réaliser
passer ces rayonnements : lunettes, masque, crème… a) Si toutes les LED vertes sont éteintes, l’addition

des rayonnements « bleu » et « rouge » est perçu 3. Réaliser
« magenta » par l’œil humain. Schéma de l’expérience :
b) Si toutes les LED rouges sont éteintes, l’addition des
rayonnements « bleu » et « vert » est perçu « cyan »
par l’œil humain.
4. Valider
Le cyan et le magenta sont deux des couleurs secon-
daires de la synthèse additive.
5. Communiquer
Le nombre important de pixels dans un écran de télé-
phone permet d’obtenir une bonne résolution des
images.
Les deux couleurs aux extrémités du spectre de la
lumière blanche du soleil sont le violet et le rouge.
A priori le spectre de la DEL blanche est celui qu’il faut
choisir car il est semblable au spectre du soleil.
3. Réaliser
4. Valider
C’est la synthèse additive qui permet d’obtenir sur un
écran blanc une couleur secondaire par projection de
deux couleurs primaires.
5. Communiquer
Pour obtenir du vert, du bleu et du cyan sur l’écran blanc,
il faut simplement positionner un filtre vert à la place du
filtre rouge.
18 • Caméra thermique Infrarouge
Une caméra thermique enregistre les différents rayon-
nements infrarouges émis par les corps et qui varient en
fonction de leur température.
La couleur produite par la caméra est une fausse cou-
leur : à chaque couleur de l’image correspond une tem-
4. Valider pérature.
Dans un espace de travail, une lampe dite “blanc froid” Applications : recherche de victimes dans les catas-
apportant une lueur bleutée est propice au travail de trophes naturelles, recherche de court-circuit électrique
précision : l’association DEL BRV est l’éclairage qui cor- ou de surchauffe dans une armoire électrique, contrôle
respond le mieux. de fabrication systèmes de combustion, surveillance de
nuit, contrôle de l’isolation thermique de bâtiments.
5. Communiquer
• Caméra de vision nocturne
Les trois DEL BRV permettent de réaliser une syn-
Les caméras de vision nocturne, aussi appelées ampli-
thèse additive des rayonnements : l’œil humain perçoit
ficateurs de lumière résiduelle (ALR), sont des instru-
une lumière blanche. Le spectre de la lumière qu’elles
ments optiques permettant de voir dans l’obscurité. Il
émettent contient moins de rayonnements rouges que
existe de nombreuses applications pour smartphone.
celui de la LED blanche : elles émettent donc une lumière
Applications : surveillance de nuit, chasse, navigation,
plus « bleue », ce qui convient mieux pour un espace de
intervention militaire…
travail.
• Caméra à ultraviolet
17 1. S’approprier Une caméra à ultraviolet est équipée d’une lentille
Les couleurs des deux projecteurs sont le rouge et le bleu. appelée filtre de Wood. Ce type de filtre en verre foncé,
2. Analyser-Raisonner presque noir, laisse passer la lumière ultraviolette mais
Les trois couleurs sur l’écran sont le rouge, le bleu et le absorbe la lumière visible.
magenta. Applications : surveillance médicale des maladies de la
peau, étude de l’efficacité de crèmes solaire.

ÉVALUATION 4. Valider
Un éclairage 3 DEL RVB est comparable à la lumière
1. S’approprier blanche du soleil : leurs spectres sont peu différents.
Les couleurs des trois DEL constituant un pixel sont le 5. Communiquer
rouge, le vert et le bleu. Le nombre important de pixels dans un écran permet
2. Analyser-Raisonner d’obtenir une bonne résolution des images.
Les DEL des trois couleurs doivent être allumées pour
projeter de la lumière blanche.
3. Réaliser

Évaluation - Optique
Première partie 4) a. La totalité de la lumière.
1) Le rayon incident se réfléchit sur le miroir. b. Une partie de la lumière.
2) Tension U = 12 volts et puissance P = 20 watts. 5) La lame de verre en position nuit devant le miroir
3) a. Projeter un rayon lumineux incident sur une plaque réfléchit seulement une partie de la lumière, ce qui évite
de verre et comparer l’angle d’incidence et l’angle de que le conducteur soit ébloui.
réflexion.
b. i2 ≈ 22 ° Deuxième partie
1) Les couleurs aux extrêmes du spectre visible sont le
violet, le rouge.
2) Les spectres de ces deux sources peuvent être obte-
nus par décomposition de la lumière avec un prisme ou
un réseau.
3) a. Elle apparaît blanche : c’est la synthèse additive
RVB.
b. Elle apparaît jaune.
4) La rampe de DEL blanches qui émet une lumière
blanche comparable à celle du soleil : son spectre couvre
presque totalement le spectre visible.
5) La rampe 1 composée de DEL blanches émet une
lumière dont le spectre est comparable à celui de la
lumière du jour. La rampe 2 réalise une synthèse addi-
tive rouge-vert-bleu qui émet une lumière blanc froid.
c.
L’intensité lumineuse diminue.
Évaluation - Optique OPTIQUE 42

Physique Chimie

Transféré par

Informations du document

Titre original

Copyright

Formats disponibles

Partager ce document

Partager ou intégrer le document

Options de partage

Avez-vous trouvé ce document utile ?

Ce contenu est-il inapproprié ?

Droits d'auteur :

Formats disponibles

Physique Chimie

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

CAP

P001-005_9782017096856-liminaire.indd 1 15/07/2019 10:06

P001-005_9782017096856-liminaire.indd 1 15/07/2019 10:06

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 1 26/05/2020 14:01

« Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays.

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 2 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 3 26/05/2020 14:01

ACTIVITÉS c. L’accélération de la phase � se fait moins rapidement

Rectiligne uniforme Rectiligne ralenti Rectiligne accéléré

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 4 26/05/2020 14:01

Validation vitesse diminue.

● À l’oral 13 Pas de corrigé. En fonction des élèves.

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 5 26/05/2020 14:01

b. Usain Bolt car v = 100 avec le plus petit Δt donc la

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 6 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 7 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 8 26/05/2020 14:01

c. De contact réparti : ait sur parachutiste.

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 9 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 10 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 11 26/05/2020 14:01

Évaluation - Mécanique MÉCANIQUE 12

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 12 26/05/2020 14:01

Il existe environ 110 éléments constituant l’Univers

cules d’eau. b. Elle donne le type et le nombre d’atomes qu’elle

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 13 26/05/2020 14:01

5 a. Il représente le nombre de protons.

9 2 atomes de carbones, 4 atomes d’hydrogène et 18 1. S’approprier

b. Zn2+ a perdu 2 électrons et HO- a gagné 1 électron. 3. Réaliser

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 14 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 15 26/05/2020 14:01

4 l Les acides et les bases 16

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 16 26/05/2020 14:01

4 l Les acides et les bases 17

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 17 26/05/2020 14:01

Évaluation - Chimie CHIMIE 18

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 18 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 19 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 20 26/05/2020 14:01

d’exposition journalière maximale (4 min). 1 1

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 21 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 22 26/05/2020 14:01

1) Les sons se déplacent plus vite dans les solides que

3 : antenne émettrice TRAVAUX PRATIQUES

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 23 26/05/2020 14:01

1) À l’écran de l’oscilloscope, on observe deux signaux en

3 Le vide partiel sous la cloche a été réalisé lors de la

Pot de yaourt Pot de yaourt

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 24 26/05/2020 14:01

7 – Placer le haut-parleur (alimenté par le GBF) dans

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 25 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 26 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 27 26/05/2020 14:01

3) 1. a. L1 = 65 dB. b. Atténuation phonique minimale du mur en plâtre

Évaluation - Acoustique ACOUSTIQUE 28

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 28 26/05/2020 14:01

11 a. R = 100 + 0,4 × 0 = 100 Ω

18 Il faut attendre l’équilibre thermique (voir ques-

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 29 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 30 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 31 26/05/2020 14:01

6626_LivreProf_PC_CAP.indd 32 26/05/2020 14:01

Évaluation - Thermique THERMIQUE 33