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Présenté par :
Membres de jury :
Novembre 2022
Dédicace
Pour votre bonté et votre tendresse, Veuillez trouver ici le témoignage de mon profond respect,
de ma reconnaissance, de mon amour et de ma très haute considération.
Je tiens à exprimer toute ma reconnaissance à tous mes amis et aux personnes qui m’ont aidé,
encouragé, soutenu, qui m’ont permis de terminer ce projet de fin d’études du premier cycle.
i
REMERCIEMENTS
« Mon âme, bénis l’Éternel. Et n’oublie aucun de ses bienfaits ! » Psaume 103 :2
Au terme de ce travail, qu’il nous soit d’abord permis de remercier et d’exprimer toute
notre gratitude envers Dieu tout puissant, qui nous a béni tout au long de notre vie et d’avoir
donné le courage et la motivation de finir notre travail.
Nos remerciements les plus sincère vont à l’endroit des personnes ayant contribuées de
près ou de loin à l’accomplissement de ce présent mémoire de fin d’études du premier cycle,
particulièrement envers :
ii
SOMMAIRE
Dédicace................................................................................................................................. i
REMERCIEMENTS ............................................................................................................. ii
INTRODUCTION ..................................................................................................................1
PARTIE I : .............................................................................................................................2
I – Historique .........................................................................................................................2
PARTIE II : .......................................................................................................................... 20
I – Introduction ..................................................................................................................... 27
iii
VII – Opérateurs logiques ..................................................................................................... 43
I - Introduction ..................................................................................................................... 52
II – Le programme ................................................................................................................ 52
PARTIE IV : ........................................................................................................................ 59
DISCUSSIONS .................................................................................................................... 59
CONCLUSION .................................................................................................................... 60
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................................................v
ANNEXES ........................................................................................................................... vi
RÉSUMÉ ............................................................................................................................. xv
iv
INTRODUCTION
La fonction maintenance tient toujours son importance dans la productivité de
l’entreprise. Elle a été considérée pendant longtemps comme une fonction secondaire
entraînante des dépenses non productives. On l’assimilait souvent à l’entretient autrement dit
aux réparations et aux dépannages des matériels d’exploitation.
Cadre d’études
Méthodes et matériels
Le résultat obtenu
Discussions
1
PARTIE I :
CADRE D’ÉTUDES
Chapitre 1 : Présentation de l’ISPM
I – Historique
C’est une institution privée à vocation académique et professionnelle agréer par l’État
suivant l’arrêté N° 3725 du 19 Août 1994 du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la
Recherche scientifique.
À cette époque, son siège se trouvait à Ankadindramamy, il était connu sous le nom
d’ESSTIM ou École Supérieur des Sciences et de la Technologie Informatique à Madagascar
et ne comportait que le département Informatique. C’était le seul institut privé polytechnique à
Madagascar.
Ce département a été créé en 1994 et il est constitué de quatre (04) filières. Ce sont les
filières :
2
2 – Département Droit et Techniques des Affaires :
C’était en 1996 que fut créé ce département, il est aussi titulaire de quatre (04) filières
qui sont les suivantes :
La création de ce département a été en 1995, il est constitué de trois (03) filières qui sont
les suivantes :
Ce fut l’histoire et les départements au sein de l’ISPM, maintenant nous allons faire la
connaissance sur les études et les formations offertes par l’institut.
6 – Études et formations :
L’ISPM est ouvert aux bacheliers, qu’ils soient Malagasy ou Étrangers, et même qu’ils
aient déjà travaillé au sein d’une entreprise et voulant se spécialiser dans l’une des filières
existantes. L’entrée en première année se fait par voie de concours.
3
Actuellement, au sein de l’ISPM on trouve trois (03) cycles d’études et de formations.
Ces cycles étant :
6 – 1 - Le premier cycle :
En premier cycle, les étudiants ont l’obligation de suivre les trois années d’études car à
la fin de cette première formation l’étudiants est promu de l’obtention du diplôme de Licence.
Ces trois années d’études sont suivies d’un stage de trois mois en entreprise, et d’une soutenance
de mémoire sur ce stage pour pouvoir obtenir le diplôme.
6 – 2 - Le second cycle :
Le déroulement de ce cycle s’effectue en deux (02) années d’études, ce qui entraine que
seuls les étudiants qui sont titulaires du diplôme de Licence peuvent continuer cette formation.
Après le second cycle, les étudiants doivent faire six mois de stage en entreprise ou en
bureau d’études à l’issue duquel ils soutiennent un mémoire de fin d’études dont la réussite leur
attribue le diplôme d’Ingénieur.
Le lancement de la formation du troisième cycle a été depuis l’an 2000, pour l’obtention
du diplôme d’Études Approfondies et du Doctorat en Informatique. Seuls les étudiants qui ont
le diplôme d’ingénieur peuvent suivre cette formation.
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7 – Organigramme de l’ISPM :
ISAIA FIC
5
L’objectif de l’ISPM est de former des Ingénieurs BAC + 5, capables de s’intégrer correctement
dans la vie professionnelle au sein d’une entreprise ou bien de bâtir son propre entreprise. Il
délivre également le diplôme de Licence BAC + 3, le DEA et le Doctorat.
L’ISPM possède :
La signification de la toque est : les sortants qui acquièrent un savoir qui mérite un
diplôme d’études supérieurs ;
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8 – Cursus d’études à l’ISPM :
L’ISPM dispense de huit (08) heures de cours par jour du lundi au vendredi, de 07h 45
à 11h 45 pour la matinée et de 13h à 17h l’après-midi, et quatre heures pour le mercredi et le
samedi de 7h 45 à 11h 45. Toutefois, les étudiants sont libérés le mercredi après-midi pour des
travaux personnels ou des travaux à faire en groupe. Ils doivent effectuer deux examens de
contrôle (Mid term exams) et deux examens semestriels. Et les étudiants en cinquième année
doivent passer un examen de fin d’études (ou examen clinique) avant d’entamer leurs stages.
Chaque année l’ISPM réalise des journées portes ouvertes pour présenter aux visiteurs les
recherches effectuées par les étudiants. Les formations à l’ISPM peuvent être présentées comme
suit : (Il faut tenir compte que le diplôme de Licence est délivré à la fin de la troisième année,
ceci est dû au système LMD adopté par l’ISPM.
En vue de tous ces formations dispensées à l’ISPM, les titulaires du diplôme de Licence
et les Ingénieurs sortants de cet institut sont immédiatement opérationnels. L’ISPM et le corps
professoral donnent toutes les meilleures conditions à leurs étudiants pour que ces derniers
puissent s’épanouir dans le monde professionnel.
« Source : Auteur »
7
Le schéma suivant représente l’organigramme du cursus d’études à l’ISPM.
INGÉNIORAT
(BAC + 5)
ACTIVITÉS
PROFESSIONNELLES SECOND CYCLE
LICENCE
(BAC + 3)
PREMIER CYCLE
CONCOURS D’ENTRÉE
BACCALAURÉAT
8
L’ISPM présente aussi une spécificité dans le cadre de la formation qui est « le Projet »
qui est obligatoire pour chaque étudiant. Tous les projets sont exposés pendant les journées
portes ouvertes organisées par l’ISPM, les meilleurs iront ensemble au salon de l’ISPM au
Madagascar Carlton.
Voici quelques prix acquis par l’ISPM depuis son existence représentés sous forme de
tableau.
Performances : Le pourcentage du taux des étudiants qui sont embauchés après études est à
hauteur de 95%, les 5% restants ont continués leurs études.
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Chapitre 2 : Présentation de la SMMC
Avant toute analyse, il est opportun de présenter la société à travers son historique, son
identité et ses activités.
Cette étape est fondamentale pour la suite du travail, car avant d’analyser une procédure
quelconque, il faut d’abord connaître la société.
I – Présentation générale
1 – Historique :
Au départ, c’était en 1804, les navires mouillaient en rade à quelques centaines de mètres
de la plage, pour les opérations d’embarquement et de débarquement. À ce moment-là, le port
portait le nom de Société Malgache de Manutention.
En 1896, son exploitation et l’installation du quai sont assurées par la société privée de
transport maritime dite « société Wharf ». Elle a installé un quai d’une longueur de 280 mètres.
Les travaux ont été achevés en 1901.
En 1927, la ville est détruite par un cyclone, le Général Gallieni projetait de faire du port
de Toamasina un port moderne dont la conception a été effectuée par des techniciens des
travaux publics. Il s’agit de construire un grand mur de protection sur le récif corallien.
Vers Août 1934, un premier navire appelé JOFFRE mouillait à la mole B du port de
Toamasina.
Après la société Wharf, son exploitation a été prise en charge par le Réseau National de
Chemin de Fer Malgache (R.N.C.F.M.) à partir de 1935. À cette époque, le port de Toamasina
fut nommé « Régie d’accostage de manutention ». Puis, vers 1936, on installait des
équipements portuaires (grues). Ensuite, des ateliers en bois, atelier en mécanique générale,
chaudronnerie et bâtiment des services portuaires et des douanes dans l’enceinte du port ont été
construits.
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Il fut étatisé, et pris le statut du Port Autonome de Toamasina (P.A.T) en 1963. En 1970,
les décrets N°70-387 du 10 Octobre 1970 lui a attribué le statut d’une entreprise à caractère
industrielle et commerciale, appelée Entreprise Publique Industrielle et commerciale.
En 1974, la gestion du port était assurée par des fonctionnaires en détachement. En 1976,
elle prend le nom de la Société d’Exploitation du Port de Toamasina (S.E.P.T.) par le décret
N°76-430 du 04 Décembre 1976, en héritant des actifs et des passifs du Port Autonome de
Toamasina, dans le cadre du désengagement de l’État du secteur privé, prévu dans le Document
Cadre de la Politique Économique de l’année 1996, pour la privatisation de la gestion des ports
Malagasy. La mise en œuvre de cette nouvelle réforme n’a effectivement été réalisée qu’en
2003 par la création de l’Agence Portuaire Maritime et Fluviale (A.P.M.F.) en Juin 2003.
Pour faciliter la mise en place de la réforme institutionnelle, l’actuel S.E.P.T. est entrée
dans une phase de transition pour une durée de quatre ans, avec la nomination de
l’Administrateur Délégué, qui détient le pouvoir de Président du Conseil d’Administration et
Directeur Général. Pour le port de Toamasina, la mise en œuvre de cette réforme fait naître trois
entités distinctes dont :
Il faut noter que le 17 Octobre 2005, la S.P.A.T. en sa qualité d’autorité concédant, procède
officiellement au transfert des responsabilités du terminal à la M.I.C.T.S.L. société de droit
Malgache. Le 1er Janvier 2008, la S.M.M.C. société de droit Malgache, prend officiellement en
charge les responsabilités des opérations liées aux marchandises conventionnelles.
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2 – Identité de la société :
Appellation : S.M.M.C.
Fax : 53 312 63
E-mail : contact@smmc.mg
Les marchandises conventionnelles sont des marchandises non mise en conteneur, par
exemple le riz, la farine, le ciment, les sacheries qui sont des marchandises emballées dans des
sachets et mises sur palette ou dans des cartons.
3 – 1 – La manutention :
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Dans le langage portuaire, il englobe l’ensemble des activités comme la manipulation des
marchandises, leur stockage, leur emballage et leur livraison.
a – Le débarquement :
C’est le déchargement des marchandises ou des cargaisons des navires provenant des
pays extérieurs vers notre pays, c’est-à-dire que c’est une opération liée à l’importation (pour
le trafic international).
b – L’embarquement :
C’est le chargement des marchandises ou des cargaisons des navires de notre nation vers
les pays extérieurs. Autrement dit, c’est une opération liée à l’exploitation.
c – Le transbordement :
C’est l’ensemble des opérations de débarquement des marchandises qui vont séjourner
dans l’enceinte portuaire, en attendant leurs embarquements sur un autre navire et qui va les
transporter à destination finale.
d – Le dépotage :
e – L’empotage :
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3 – 2 – Le stockage :
a – Arrêt de travail :
L’amarrage veut dire fixation de la corde au bollard implantée sur le quai, lors de
l’accostage d’un navire et le désamarrage, c’est l’enlèvement de cette corde du bollard.
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Une main-shift est une équipe de travail assurant toutes les opérations sur une grue,
opérant pendant un shift de travail. Cette équipe est composée de différentes catégories
d’emplois et de matériels suivant l’opération à effectuer.
c – Manipulation :
o La manipulation sans mise à terre, elle est considérée comme une opération
d’enlèvement directe ou de livraison directe ou de transbordement ;
o La manipulation avec mise à terre, c’est une opération d’enlèvement indirecte.
d – Saisissage et déssaisissage :
e – Location de main-d’œuvre :
Quand on parle de main-d’œuvre, on est tenté de toujours penser aux dockers. Le client
de la S.M.M.C. peut louer des dockers au moment du déchargement et du chargement des
navires, ainsi que tous les autres travaux en dehors des heures normales de travail, mais à
condition qu’il les utilise seulement dans l’enceinte portuaire, car en cas d’accident c’est elle
qui sera tenue responsable.
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g – 1 - Les matériels roulants :
Entre outre, les matériels roulants, le Service Manutention peut avoir à da disposition
d’autres matériels en cas de besoin. Ces accessoires sont les suivants :
Il est à remarquer que ces matériels ont une grande importance, surtout au niveau de
l’activité d’acconage qui est l’une des activités de la S.M.M.C.
4 – L’organigramme de la S.M.M.C. :
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Figure 5: Organigramme la S.M.M.C.« Source : Département Organisation- S.M.M.C, édition du 21 Septembre 2009 »
DIRECTION GENERALE
DÉPARTEMENT
MAGASIN LUBRIFIANT/
MAGASIN D’OUTILLAGES HUILES ET ACCESSOIRES
DE MANUTENTION
Le Département Maintenance des Matériels est composé de trois (03) services à savoir :
Il est à noter que chacun de ces trois services s’occupe de la disponibilité en bon état de
marche des matériels, des travaux d’entretien et de répartition mécanique des matériels et des
engins de la S.M.M.C ; la différence réside dans les matériels qu’ils utilisent.
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Chapitre 3 : Présentation du thème
Pour ma part, j’ai été accueilli au sein de la Société de Manutention des Marchandises
Conventionnelles pour faire mon stage. J’ai effectué ce stage au sein du Département de
Maintenance des Matériels d’Exploitation. Durant la période de stage, nous avons participé à
des interventions de dépannage, de révision et d’entretien des engins (Tracteurs, élévateurs).
Les Tracteurs sont des matériels d’exploitations très efficaces et très importants que la
SMMC utilise pour la manutention des marchandises. La maintenance de ces Tracteurs
s’effectue suivant un entretien périodique qui est présent au sein du département. C’est pour
cela que nous avions convenu que pour ce mémoire de fin d’études du premier cycle le thème
est « ÉTUDES POUR OPTIMISER LES TRAVAUX DE MAINTENANCE D’UN
TRACTEUR CLAAS 330 AXOS AVEC ASSISTANCE INFORMATIQUE ».
Nous avons la certitude que ce projet sera un atout bénéfique pour accroître notre
connaissance et notre expérience, cela nous sera amplement bénéfique puis que notre cursus de
formation est basé sur l’électromécanique et informatique industrielle.
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PARTIE II :
MÉTHODES ET MATÉRIELS
Chapitre 3 : La maintenance
La maintenance des matériels d’exploitation est un enjeu clé pour la productivité des
entreprises aussi bien que pour la qualité des services. C’est un défi industriel impliquant la
remise en cause des structures figées actuelles et la promotion de méthodes adaptées à la nature
des matériels.
I – Définition de la maintenance
Coût optimal qui conditionne l’ensemble des opérations dans un souci d’efficacité.
Plusieurs sont les personnes qui ont tendance à confondre entretien et maintenance, mais
c’est quoi exactement la maintenance et l’entretien ? Entretenir, c’est subir le matériel. C’est-
à-dire, dépanner et réparer un parc matériel, afin d’assurer la continuité de la production.
Maintenir, c’est maîtriser. C’est-à-dire, choisir les moyens de prévenir, de corriger ou de
rénover suivant l’usage du matériel, suivant sa criticité économique, afin d’optimiser le coût
global. Les services « entretien » mutent vers la maintenance.
1 – Objectifs de la maintenance :
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2 - Organisation des entreprises concernant la maintenance :
- La centralisation ;
- La décentralisation.
2 – 1 – La centralisation :
Avec la centralisation, toute la maintenance est assurée par un service. Les avantages
sont :
2 – 2 – La décentralisation :
3 – 1 – La maintenance corrective :
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3 – 2 – La maintenance préventive :
Elle est définie comme étant, la maintenance ayant pour but de réduire la probabilité de
défaillance ou de dégradation d’un bien ou d’un service rendu. Les activités correspondantes
sont déclenchées selon un échéancier établi à partir d’un nombre prédéterminé d’unités d’usage
(maintenance systématique) et/ou de critères prédéterminés significatifs de l’état de dégradation
du bien ou du service (maintenance conditionnelle).
Elle est définie comme étant, la maintenance préventive exécutée en suivant les
prévisions extrapolées de l’analyse et de l’évaluation de paramètres significatifs de la
dégradation du bien. Cette méthode nécessite de connaître le comportement du matériel, les
usures, les modes de dégradation et le temps moyen de bon fonctionnement entre deux avaries.
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4 – Organigramme de la maintenance :
MAINTENANCE
MAINTENANCE MAINTENANCE
PRÉVENTIVE CORRECTIVE
DÉFAILLANCE
PRÉVENTIVE PRÉVENTIVE
SYSTÉMATIQUE CONDITIONNELLE
DÉFAILLANCE
PANNE
PARTIELLE
Dépannage Réparation
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5 – Les opérations de maintenance :
Contrôle :
Échange standard :
Remplacement d’une pièce ou d’un sous-ensemble défectueux par une pièce identique,
neuve ou remise en état préalablement, conformément aux prescriptions du constructeur.
Inspection :
Révision :
Test :
Visite :
Examen détaillé et prédéterminer de tout (visite générale) ou partie (visite limitée) des
différents éléments du bien et pouvant impliquer des opérations de maintenance du premier et
du deuxième niveau ; il peut également déboucher sur la maintenance corrective. Ces
interventions correspondent à une liste d’opérations définies au préalable (Protocole de visite)
qui peut entraîner des démontages d’organes et une immobilisation du matériel.
Remarque : Les opérations de surveillance sont nécessaires pour maîtriser l’évolution de l’état
réel du bien.
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6 – Le dépannage :
6 – 1 – Définition :
Le dépannage est une action sur un bien en panne, en vue de le remettre en état de
fonctionnement compte tenu de l’objectif, une action de dépannage peut s’accommoder de
résultats provisoires et de conditions de réalisation hors règle de procédures, de coûts et de
qualité, et dans ce cas il sera suivi de la réparation.
6 – 2 – Conditions d’applications :
Le dépannage est une opération de maintenance corrective, qui n’a pas de conditions
d’applications particulières. La connaissance du comportement du matériel et des modes de
dégradation n’est pas indispensable même si cette connaissance permet souvent de gagner du
temps.
Souvent, les interventions de dépannage sont de courtes durées mais elles peuvent être
nombreuses. De ce fait, les services de maintenance, soucieux diminué leurs dépenses, tentent
d’organiser les actions de dépannage. D’ailleurs, certains indicateurs de maintenance, pour
mesurer son efficacité, prennent en compte le problème du dépannage.
6 – 3 – Cas d’applications :
Ainsi, le dépannage peut être appliqué par exemple sur des équipements fonctionnant
en continu dont les impératifs de production interdisent toute visite ou intervention à l’arrêt.
7 – La réparation :
7 – 1 – Définition :
7 – 2 – Conditions d’applications :
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Une défaillance peut être :
1er niveau : Réglages simples prévus par le constructeur au moyen d’éléments accessibles sans
aucun démontage ou ouverture de l’équipement, ou échanges d’éléments consommables
accessibles en toute sécurité, tels que voyants ou certains fusibles. Ce type d’intervention peut
être effectué par l’exploitant du bien sur place, sans outillage et à l’aide des instructions
d’utilisation. Le stock des pièces consommables nécessaires est très faible.
2ème niveau : Dépannage par échange standard des éléments prévus à cet effet et opérations
mineures de maintenance préventive, telles que graissage de contrôle de bon fonctionnement.
Ce type d’intervention peut être effectué par un technicien habilité de qualification moyenne
sur place, avec outillage portable défini par les rechanges transportables nécessaires sans délai
et à proximité immédiate du lieu d’exploitation.
3ème niveau : Identification et diagnostic des pannes, réparations par échange de composants
ou d’éléments fonctionnels, réparations mécaniques mineures et toutes opérations courantes de
maintenance préventive telles que réglage général ou réalignement des appareils de mesure. Ce
type d’intervention peut être effectué par un technicien spécialisé sur place ou dans le local de
maintenance, à l’aide de l’outillage prévu dans les instructions de maintenance ainsi que des
appareils de mesure et de réglage, et éventuellement des bancs d’essais et de contrôle des
équipements et en utilisant l’ensemble de la documentation nécessaire à la maintenance du bien
ainsi que les pièces approvisionnées par le magasin.
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Chapitre 4 : Le Tracteur CLAAS 330 AXOS
I – Introduction
1 – Généralité :
Les tracteurs/ tracteurs agricoles CLAAS de la gamme 300 sont exclusivement conçus
pour une utilisation professionnelle conformément aux règles reconnues de la pratique agricole
dans le cadre de travaux agricoles.
Le tracteur AXOS 330 est conçu et adapté pour remorquer, pousser, déplacer, porter des
outils/équipements/charges autorisés par le constructeur, commander certains outils ou
compacter à l’aide d’outils (poids) autorisés par le constructeur dans le cadre d’une exploitation
agricole.
2 – Conseils de sécurité :
Le tracteur ne doit être utilisé, entretenu et remis en état que par des personnes ayant
une parfaite connaissance du tracteur et informées des risques éventuels. Ne laisser personne
utiliser le tracteur en dehors du personnel qualifié et formé à sa conduite.
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Assurer de bonnes conditions de travail tant au niveau de la sécurité que confort.
II – Caractéristiques techniques
1 – Dimensions :
Distance entre centre de la roue arrière et toit pour version toit haut : 1910 mm (b)
Distance entre centre de la roue arrière et toit pour version toit bas : 1761 mm (b)
Longueur :
Empattement (distance entre centre de la roue arrière et centre de la roue avant) : 2489 mm (c)
Garde au sol :
Poids :
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Figure 8: Dimensions tracteur AXOS 330 « source : CLAAS axos.pdf »
(b) : Hauteur
(c) : Empattement
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2 – Cabine :
Climatisation
Constructeur : Perkins
Nombre de cylindres : 4
Alésage/levage : 105/127 mm
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Réserve de couple : 39%
Fabricant : CLAAS
Figure 12: Mécanisme de marche du tracteur AXOS 330 « source : CLAAS axos.pdf »
31
III – Entretiens du tracteur CLAAS 330 AXOS
1- Entretien journalier :
À vérifier :
2 – Entretien périodique :
Lors d’une intervention PE1, les tâches à faire sont le remplacement des éléments
sensible et la vérification des éléments essentiels.
D’abord, le tracteur doit être placé sur un sol horizontal. Puis, vidanger l’huile du moteur
à chaud et laisser égoutter.
32
Figure 13: Vidange huile moteur
« Source : Auteur »
33
Figure 15: Filtre séparateur gaz oil FF 167
34
- Vérification de fonctionnement du frein parc ;
- Vérification du niveau d’électrolyte de batterie ;
- Contrôle de serrage des cosses batterie ;
- Contrôle visuel fusible ;
- Vérification klaxon ;
- Vérification état de la batterie ;
- Vérification circuit de charge alternateur ;
- Vérification fonctionnement éclairage ;
- Vérification état des pneus ;
- Vérification des tuyaux flexible ;
- Vérification de l’étanchéité du circuit hydraulique ;
- Lavage matériel.
Lors d’un petit entretien niveau 2, ceci sont les actions à faire :
D’abord, le tracteur doit être placé sur un sol horizontal. Puis, vidanger l’huile du moteur
à chaud et laisser égoutter.
Lors d’un petit entretien niveau 3, les actions à faire sont les mêmes que lors du petit
entretien niveau 1.
D’abord, le tracteur doit être placé sur un sol horizontal. Puis, vidanger l’huile du moteur
à chaud et laisser égoutter.
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- Vérification état câble accélérateur ;
- Vérification garde pédale de frein ;
- Vérification garde pédale d’embrayage ;
- Vérification de fonctionnement du frein parc ;
- Vérification du niveau d’électrolyte de batterie ;
- Contrôle de serrage des cosses batterie ;
- Contrôle visuel fusible ;
- Vérification klaxon ;
- Vérification état de la batterie ;
- Vérification circuit de charge alternateur ;
- Vérification fonctionnement éclairage ;
- Vérification état des pneus ;
- Vérification des tuyaux flexible ;
- Vérification de l’étanchéité du circuit hydraulique ;
- Lavage matériel.
2 – 4 – Grand entretien :
Pendant le grand entretien dit GE, on remplace tous les filtres et on procède à quelques
vérifications.
Avant de commencer, faire le vidange d’huile moteur, huile boîte de vitesse, huile
réducteur et huile pont avant.
Éléments à remplacer :
37
Figure 18: Filtre à air 1er et 2ème
« Source : Auteur »
38
Figure 20: Remplissage d’huile pont avant
« Source : Auteur »
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Chapitre 5 : La programmation en Python
I – Introduction Générale
Python est un langage portable, dynamique, extensible, gratuit, qui permet (sans
l’imposer) une approche modulaire et orientée objet de la programmation. Python est développé
depuis 1989 par Guido Van Rossum et de nombreux contributeurs bénévoles.
Python est un langage de programmation interprété, c’est-à-dire que les instructions que
vous lui envoyez sont « transcrit » en langage machine au fur et à mesure de leur lecture.
L’interpréteur Python doit être déjà installé.
Il existe plusieurs implémentations de Python dont CPython (en C), PyPy (en Python),
IronPython (en C#, pour .Net).
3 – Utilités de Python :
On peut faire presque tout avec Python grâce à des bibliothèques spécialisées. Par
exemples, on peut faire de calcul scientifique (librairie Numpy), des graphiques (librairie
matploid), de la bio-informatique (librairie Biopython). On peut trouver beaucoup de
bibliothèques en ligne.
4 – Scripts :
Un programme est une séquence d’instructions. Dans le cas d’un programme en langage
Python, on parle souvent de script Python. Un script se présente sous la forme d’un fichier texte
avec l’extension .py.
5 – Mode interactif :
II – Variables en Python
Une variable est un espace mémoire dans lequel il est possible de stocker une valeur.
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Sous Python, il n’est pas nécessaire d’écrire des lignes de programme spécifiques pour
définir le type des variables avant de pouvoir les utiliser. Il vous suffit en effet d’assigner
(d’affecter) une valeur à un nom de variable pour que celle-ci soit automatiquement créée avec
le type qui correspond au mieux à la valeur fournie.
Exemple :
Nom = "Messi"
Age = 35
Taille = 1.75
+ Addition a+b
- Soustraction a-9
* Multiplication 2*a
/ Division 19 / 2
// Division entière 19 // 2
** Exponentiation a ** 3
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V – Chaîne de caractères
Exemple :
1 – Nombre de caractères :
Renvoie la valeur 5
2 – Sous-chaîne :
0 1 2 3 4
-5 -4 -3 -2 -1
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Dans un « slicing », on peut avoir plusieurs caractères en inscrivant l’indice de départ
et l’indice de fin (non inclus), séparés par un « : ». On peut omettre l’un des deux indices (ou
même les deux) pour commencer dès le début ou le terminer jusqu’à la fin.
3 – Concaténation :
Exemples :
VI – Opérateur de comparaison
== Égal n == 5
!= Différent x != 0
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not Non not a > b
VIII – Opérateur in
Soit l’instruction :
prenom = ‘Franco’
Expression Résultat
IX – Écriture et lecture
1 – Écriture :
2 – Lecture :
On peut effectuer une conversion pour avoir par exemple un nombre entier ou un
nombre réel. Voici deux exemples :
44
X – Les instructions
1 – Instruction if :
if benefice > 0 :
benefice > 0 est la condition et si c’est vrai, l’instruction dans print sera exécutée.
2 – Instruction if…else :
Voici un exemple :
if benefice > 0 :
print("Le bénéfice vaut : ", benefice) # instruction exécutée si la condition est vraie
else :
print("Au revoir") # instruction exécutée après if. Elle est toujours exécutée.
3 – Utilisation de elif :
if age < 18 :
else :
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Remarque :
Les instructions composées (if par exemple) ont toujours la même structure : une ligne
d’en tête terminée par un « : », suivie d’une ou de plusieurs identités sous cette ligne d’en tête.
4 – Boucle :
Une boucle est une instruction qui permet de répéter plusieurs fois une opération. En
Python, on peut réaliser des boucles avec les instructions while et for.
4 – 1 – Instruction while :
Elle permet de répéter une ou plusieurs instructions tant qu’une condition est vraie.
Exemple :
n=1
while n <= 5 :
n=n+1
Bonjour
Bonjour
Bonjour
Bonjour
Bonjour
Au revoir
4 – 2 – Instruction for :
46
Elle fait un parcours sur la « sequence » (chaîne de caractères, liste, etc…) et attribue
chaque valeur obtenue à la variable « element ». Les instructions sont exécutées pour chaque
valeur de la variable « element ». Voici un petit programme :
chaine = ‘Bonne’
print(lettre)
print("Au revoir")
Au revoir
5 – Instruction range( ) :
Elle permet de créer une séquence ordonnée de nombres entiers. On peut l’utiliser dans
une instruction for.
Exemple :
47
Dans l’expression range(1, 7), 1 est le départ et 7 est la fin (non comprise). L’expression
range(1,7,2) permet de créer une séquence des nombres entiers décalés de deux(02). Le résultat
est donc : 1
XI – Les fonctions
L’un des concepts les plus important en programmation est celui de fonction. Les
fonctions permettent en effet de décomposer un programme complexe en plusieurs sous
programmes plus simples, lesquelles peuvent à leur tour être décomposées en fragments plus
petits et ainsi de suite.
D’autre part, les fonctions sont réutilisables si nous disposons d’une fonction capable
de calculer une racine carrée, par exemple, nous pouvons l’utiliser un peu partout dans nos
programmes sans avoir à la réécrire à chaque fois. Des fonctions appelés « fonction prédéfini »,
sont déjà mise à notre disposition. Nous avons déjà vu quelques-unes par exemple :
instructions
48
Nous avons défini une fonction très simple qui calcule et affiche les dix (10) premiers
termes de la table de multiplication par 7. Il faut mettre les parenthèses même si notre fonction
n’a aucun paramètre. Pour utiliser cette fonction, il suffit de l’appeler par son nom. Exemple,
table7( ), le résultat de l’appel est : 7 14 21 28 35 42 49 56 63 70.
n=1
while n < 11 :
n = n+1
La fonction table7() ne permet d’afficher que les termes de la table par 7. Nous avons
défini une nouvelle fonction plus intéressante car elle permet d’afficher n’importe quelle table.
Lorsque nous appellerons cette fonction, nous devrions bien évidemment pouvoir lui indiquer
quelle table nous souhaitons afficher. Cette information que nous voulons transmettre à la
fonction au moment de l’appel est appelé un argument. Nous avons déjà rencontré à plusieurs
reprises des fonctions intégrées qui utilisent des arguments. La fonction sqrt(a) par exemple,
calcul la racine carrée de a. Dans cette appel, la valeur de a est donc l’argument de la fonction
sqrt. Dont la définition d’une telle fonction, il faut prévoir une variable particulière pour
recevoir l’argument transmis. Cette variable s’appelle un paramètre. On lui choisit un nom et
on le place entre les parenthèses qui accompagnent la définition de la fonction. La fonction
table telle que définie ci-dessus utilise le paramètre base pour calculer les dix premiers termes
de la table de multiplication correspondante. Pour utiliser cette fonction, il suffit de l’appeler
avec un argument. Exemple d’application :
table(2)
2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
table(5)
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
49
Une fonction qui renvoie une valeur peut s’utiliser à la droite de « = » dans des
expressions telle que « a = math.sqrt(b) ». On comprend aisément que dans cette expression, la
fonction sqrt renvoie une valeur (la racine carrée de b) qui est directement affecté à la variable
a.
y = x*x*x
return y
L’instruction return définit ce que doit être la valeur renvoyée par la fonction. En
l’occurrence, il s’agit du cube de l’argument qui a été transmis lors de l’appel de la fonction.
La valeur renvoyée par une fonction en Python n’est pas forcément un élément scalaire. Une
fonction peut par exemple renvoyer une liste.
Une application avec interface graphique ou GUI (Graphical User Interface) permet à
l’utilisateur d’utiliser l’application avec beaucoup plus de facilité et de souplesse qu’une
application textuelle en lignes de commandes. Par exemple, il est beaucoup plus facile de cocher
ou décocher dans une cage plutôt que dire « Oui » ou « Non » dans un cas en entrant un texte.
On peut aussi être libre d’entrer les données dans un ordre prédéfini.
Le module tkinter nous permet de créer une application graphique avec Python. Il est
d’ailleurs déjà présent dans presque toutes les distributeurs Python. C’est pour cette raison
qu’on l’utilise. D’autres modules permettent aussi de créer des applications graphiques avec
Python. Par exemple, il y a le wxpython et PyQT.
2 – Programmation événementielles :
Un programme graphique attend généralement des évènements telles que la saisie de
texte dans un champ de saisie, le changement d’état d’une case à cocher, le clic sur un bouton,
etc… et répond de manière approprié. Pour cela, il doit lancer une boucle d’évènements, qui
est une boucle infinie et qui permet de surveiller les différents évènements susceptibles de se
produire et de choisir la réponse correspondante.
50
3 – Fenêtre et widgets :
Lorsqu’on crée un programme, on crée une fenêtre qui contient généralement des
étiquètes, des champs de saisie, des boutons, des cases à cocher. Ces derniers sont appelés des
widgets (window gadgets) et ils permettent à l’utilisateur d’interagir avec le programme.
pack( ) : place les widgets les uns contre les autres et redimensionner la fenêtre automatique.
On peut utiliser l’option side et les variables de tkinter bottom, left, top, right pour positionner
facilement les widgets les uns par rapport aux autres.
grid( ) : place les widgets dans une sorte de grille. On utilise les lignes et les colonnes pour
positionner les widgets.
5 – Quelques widgets :
LabelFrame : zone qui peut contenir d’autres widgets et qui possède un Label
Tk : fenêtre principale
51
PARTIE III :
LE RÉSULTAT OBTENU
Chapitre 6 : Le logiciel
I - Introduction
La maintenance des tracteurs est une enjeu clé pour la société. Pour effectuer la
maintenance, il nous est imposé de bien suivre la méthode qu’il faut. Il ne faut pas confondre
le type d’entretien à faire puis que chaque entretien se fait à l’intervalle de 250 heures. Nous
prélevons ces heures de travail des tracteurs par leur compteur. Pour ces raisons, l’idée est venue
de créer ce logiciel de manuel d’entretien de tracteur CLAAS 330 AXOS.
II – Le programme
Le programme a été réalisé sur Python3, dont le but est de faciliter l’ordonnancement
des travaux d’entretien à faire. Pour résumer, dans ce programme il nous suffit d’entrer les
données du compteur d’un tracteur, c’est-à-dire l’utilisateur doit entrer l’heure indiquée sur le
compteur du tracteur et donner l’heure initial (heure indiquée lors de l’acquisition du tracteur
ou bien l’heure du dernier entretien, le GE), puis le logiciel nous informe du type d’entretien à
effectuer et les outillages nécessaires pour l’intervention. Le programme comporte plus de 200
lignes.
1 – Extrait du programme :
import sqlite3
fen = Tk()
fen.geometry("1125x550")
fen.resizable(False, False)
fen.config(bg="#4065A4")
fen.iconbitmap("logo.ico")
52
Mise en place de la fenêtre :
fen.mainloop()
menu_bar = Menu(fen)
liste_menu.add_command(label="Quiter", command=fen.destroy)
menu_bar.add_cascade(label="Menu", menu=liste_menu)
fen.config(menu=menu_bar)
contenu.place(x=5, y=5)
contenu1.place(x=310, y=5)
contenu2.place(x=25, y=225)
53
Verifier = Label(contenu1, text="Eléments à vérifier :", font=fontLabel, fg="white",
bg="#4065A4")
Type = Label(contenu2, text="Type d'entretien", font=fontLabel, fg="#4065A4", bg="white")
Initial = Label(contenu, text="Initial :", font=fontLabel, fg="white", bg="#4065A4")
Actuel = Label(contenu, text="Actuel :", font=fontLabel, fg="white", bg="#4065A4")
Prochain = Label(contenu, text="Prochain :", font=fontLabel, fg="white", bg="#4065A4")
Nature = Label(contenu2, text="Nature :", font=fontLabel, fg="white", bg="#4065A4")
Mise en place des titres et des textes :
validation.grid(row=0, column=0, columnspan=2)
Travaux.grid(row=0, column=0, columnspan=2)
Type.grid(row=0, column=0, columnspan=2)
Initial.grid(row=1, column=0, sticky=E, padx=5, pady=5)
Actuel.grid(row=2, column=0, sticky=E, padx=5, pady=5)
Prochain.grid(row=3, column=0, sticky=E, padx=5, pady=5)
Nature.grid(row=1, column=0, sticky=E, padx=5, pady=5)
Elements.grid(row=1, column=0, sticky=W, padx=5, pady=5)
Verifier.grid(row=3, column=0, sticky=W, padx=5, pady=5)
Création des zones d’entrer pour les données :
Init = StringVar(fen)
InitEntre = Entry(contenu, font=fontEntre, justify="center", textvariable=Init)
Actu = StringVar(fen)
ActuEntre = Entry(contenu, font=fontEntre, justify="center", textvariable=Actu)
Proch = StringVar(fen)
ProchEntre = Entry(contenu, font=fontEntre, justify="center", textvariable=Proch, state="read
only")
Natu = StringVar(fen)
NatureEntre = Entry(contenu2, font=fontEntre, justify="center", textvariable=Natu, state="rea
donly")
Mise en place des entrées :
InitEntre.grid(row=1, column=1, padx=5, pady=5)
ActuEntre.grid(row=2, column=1, padx=5, pady=5)
ProchEntre.grid(row=3, column=1, padx=5, pady=5)
NatureEntre.grid(row=1, column=1, padx=5, pady=5)
Création des zones pour les résultats :
54
table = ttk.Treeview(contenu1, columns=(1,2,3,4), height=7, show = "headings")
table1 = ttk.Treeview(contenu1, columns=(1), height=10, show = "headings")
table.grid(row=2, column=0, padx=5, pady=5)
table1.grid(row=4, column=0, padx=5, pady=5)
table.heading(1, text="Désignation")
table.heading(2, text="Référence")
table.heading(3, text="Unité")
table.heading(4, text="Quantité")
table1.heading(1, text="Eléments à vérifier")
table.column(1, width = 400)
table.column(2, width = 280, anchor=CENTER)
table.column(3, width = 40, anchor=CENTER)
table.column(4, width = 60, anchor=CENTER)
table1.column(1, width=385)
Les boutons :
Valider = Button(fen, text="Valider", font=("Arial", 16), bg="white", fg="#4065A4",
command=valider)
Valider.place(x=120, y=150)
Voir = Button(fen, text="Voir", font=("Arial", 16), bg="white", fg="#4065A4",
command=voir)
Voir.place(x=135, y=295)
L’image du tracteur en bas :
Image = PhotoImage(file="tracteur.png").zoom(5).subsample(13)
canvas = Canvas(fen,width=300, height=200, bd=0, bg="#4065A4", highlightthickness=0)
canvas.create_image(155, 104, image=Image)
canvas.place(x=5, y=335)
55
2 – Aperçu du logiciel :
56
Figure 26: Interface du programme
« Source : Auteur »
57
Figure 28: Interface du programme
« Source : Auteur »
58
PARTIE IV :
DISCUSSIONS
Chapitre 7 : Rapport de stage
I – Déroulement du stage
Le stage pratique s’est déroulé depuis septembre 2022 à octobre 2022. Ce stage a été
très enrichissant en expérience, puisque grâce à ce stage nous avons effectués plusieurs
interventions, au sein du département Maintenance des Matériels d’Exploitation.
Durant le stage, nous avions un horaire de travail à suivre. L’horaire est de 8h à 12h le
matin et de 14h à 18h l’après-midi.
Dès le début du stage, nous avions déjà commencés à travailler. La matinée du premier
jour, la tâche qui nous avait été soumise était de faire le lavage d’un élévateur et de deux
tracteurs. Nous avons eu aussi la chance de pouvoir assister à ces interventions citées suivantes :
- Entretien de tracteurs
- Démontage et montage après remplacement de l’embrayage de 5 tracteurs CLAAS AXOS
330
- Graissage des élévateurs
- Graissage camion MAFI
- Démontage et montage de l’élément de manutention d’un élévateur Yale 8T
- Entretien tuyauterie hydraulique d’un élévateur TEREX
- Remplacement câble inverseur de marche d’un tracteur CLAAS AXOS 330
- Réparation vérin de direction de l’élévateur Yale 8T N°2
- Graissage véhicule de société
- Dépannage tracteurs
- Lavage matériels
59
CONCLUSION
L’objectif de nos études est d’améliorer les travaux d’entretien et la maintenance des
tracteurs CLAAS 330 AXOS au sein de la SMMC. On a pu concevoir un logiciel pouvant
ordonner les types d’entretien qui concorde ou qui correspond à un tracteur selon ce qui est
indiqué sur son compteur. L’avantage de l’initiation de l’outil informatique, c’est que l’on est
plus obligé à consulter des plusieurs documents, mais on peut tout simplement savoir ce que
l’on doit faire en entrant des données dans un logiciel. Les expériences reçus durant le stage ont
conduit à l’aboutissement de ce projet. Les études effectuées au sein de la SMMC Toamasina
ont permis d’améliorer la connaissance dans le domaine mécanique et de faire quelques pas en
avant vers le professionnalisme.
Pour conclure, nous sommes persuadés que ce projet facilitera beaucoup le travail des
mécaniciens au sein du département Maintenance des Matériels d’Exploitation de la SMMC.
Nous sommes fiers de l’expérience que nous avons acquise au long de la période de stage.
Nous espérons la collaboration n’en reste pas là, mais se développera toujours pour une future
meilleure.
60
BIBLIOGRAPHIE
Cours dispensés à l’ISPM :
[4] CLAAS-AXOS-SERIES-BROCHURE.pdf
[7] fr_FR(d61).pdf
Webographie :
[11] https://www.agri-mag.com/2017/06/17/mecanisation-maintenance-tracteur
[12] https://www.google.mg/image-tracteur-dimension
[13] https://www.google.mg/maintenance
v
ANNEXES
LISTE DES ABRÉVIATIONS
AEE : Agriculture et Élevage
APMF : Agence Portuaire Maritime et Fluviale
BP : Basse Pression
bg : background
CAA : Commerce et Administration des Affaires
DTJA : Droit et Techniques Juridiques des Affaires
EMII : Électromécanique et Informatique Industrielle
EMP : Économie et Management de Projet
ESIIA : Électronique, Systèmes Informatiques et Intelligence Artificielle
FIC : Finance et Comptabilité
fg : foreground
GE : Grand Entretien
GCA : Génie Civil et Architecture
IAA : Industries Agro-Alimentaires
ICMP : Industries Chimiques, Minières et Pétrolières
IGGL : Informatique de Gestion, de Génie Logiciel
IMTICIA : Informatique, Multimédia, Technologies de l’Information de la
Communication et Intelligence Artificielles
ISPM : Institut Supérieur Polytechnique de Madagascar
MICTSL : Madagascar International Container Terminal Services Ltd
PAT : Port Autonome de Toamasina
PE : Petit Entretien
PIP : Pharmacologie et Industries Pharmaceutiques
RNCFM : Réseau National de Chemin de Fer Malgache
SMMC : Société de Manutention des Marchandises Conventionnelles
SPAT : Société du Port à gestion Autonome de Toamasina
SEPT : Société d’Exploitation du Port Toamasina
TEE : Tourisme Et Environnement
vi
LISTE DES FIGURES
Figure 1: Organigramme de l'ISPM ........................................................................................5
Figure 2: Logo de l'ISPM .......................................................................................................6
Figure 3: Dans l'enceinte de l'ISPM ........................................................................................7
Figure 4: Cursus d'études de l'ISPM........................................................................................8
Figure 5: Organigramme la S.M.M.C.................................................................................... 17
Figure 6: Organigramme du Département Maintenance des Matériels ................................... 18
Figure 7: Organigramme de la maintenance ..........................................................................23
Figure 8: Dimensions tracteur AXOS 330 .............................................................................29
Figure 9: Dimensions tracteur AXOS 330 .............................................................................29
Figure 10: Cabine tracteur AXOS 330 .................................................................................. 30
Figure 11: Moteur tracteur AXOS 330 .................................................................................. 31
Figure 12: Mécanisme de marche du tracteur AXOS 330 ...................................................... 31
Figure 13: Vidange huile moteur .......................................................................................... 33
Figure 14: Filtre huile moteur SO 242................................................................................... 33
Figure 15: Filtre séparateur gaz oil FF 167 ............................................................................ 34
Figure 16: Filtre gasoil FS 20009 .......................................................................................... 34
Figure 17: Filtre hydraulique HF35314 ................................................................................. 35
Figure 18: Filtre à air 1er et 2ème ......................................................................................... 38
Figure 19: Vidange et remplissage d’huile réducteur............................................................. 38
Figure 20: Remplissage d’huile pont avant ...........................................................................39
Figure 21: Remplissage huile boîte de vitesse ....................................................................... 39
Figure 22: Utilisation instruction range() .............................................................................. 47
Figure 23: Fonction simple sans paramètre ...........................................................................48
Figure 24: Interface du programme ....................................................................................... 56
Figure 25: Interface du programme ....................................................................................... 56
Figure 26: Interface du programme ....................................................................................... 57
Figure 27: Interface du programme ....................................................................................... 57
Figure 28: Interface du programme ....................................................................................... 58
vii
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1: Prix acquis par l’ISPM ..........................................................................................9
Tableau 2: Opérateur sur les nombre..................................................................................... 41
Tableau 3: Indice pour chaque élément d’une chaîne de caractères ....................................... 42
Tableau 4: Opérateur de comparaison ................................................................................... 43
Tableau 5: Opérateur logique ................................................................................................ 43
Tableau 6: Expressions qui emploient in ............................................................................... 44
viii
TABLE DES MATIÈRES
Dédicace................................................................................................................................. i
REMERCIEMENTS ............................................................................................................. ii
INTRODUCTION ..................................................................................................................1
PARTIE I : .............................................................................................................................2
I – Historique .........................................................................................................................2
1 – Historique ................................................................................................................... 10
3 – 1 – La manutention .................................................................................................. 12
a – Le débarquement .................................................................................................. 13
ix
b – L’embarquement .................................................................................................. 13
c – Le transbordement ................................................................................................ 13
d – Le dépotage..........................................................................................................13
e – L’empotage ..........................................................................................................13
3 – 2 – Le stockage ........................................................................................................ 14
c – Manipulation ........................................................................................................ 15
PARTIE II : .......................................................................................................................... 20
2 – 1 – La centralisation................................................................................................. 21
2 – 2 – La décentralisation ............................................................................................. 21
x
3 – Différentes formes de maintenance .............................................................................. 21
4 – Organigramme de la maintenance................................................................................ 23
6 – Le dépannage .............................................................................................................. 25
6 – 1 – Définition ..........................................................................................................25
7 – La réparation ............................................................................................................... 25
7 – 1 – Définition ..........................................................................................................25
I – Introduction ..................................................................................................................... 27
1 – Généralité.................................................................................................................... 27
1 – Dimensions ................................................................................................................. 28
2 – Cabine ......................................................................................................................... 30
3 – Moteur ........................................................................................................................ 30
xi
2 – 2 – Petit entretien niveau 2 ....................................................................................... 35
4 – Scripts ......................................................................................................................... 40
2 – Sous-chaîne ................................................................................................................. 42
3 – Concaténation .............................................................................................................43
1 – Écriture ....................................................................................................................... 44
2 – Lecture ........................................................................................................................ 44
1 – Instruction if................................................................................................................ 45
4 – Boucle ......................................................................................................................... 46
xii
4 – 1 – Instruction while : .............................................................................................. 46
I - Introduction ..................................................................................................................... 52
II – Le programme ................................................................................................................ 52
PARTIE IV : ........................................................................................................................ 59
DISCUSSIONS .................................................................................................................... 59
CONCLUSION .................................................................................................................... 60
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................................................v
ANNEXES ........................................................................................................................... vi
xiii
LISTE DES TABLEAUX .................................................................................................. viii
RÉSUMÉ ............................................................................................................................. xv
xiv
Institut Supérieur Polytechnique Société de Manutention des
de Madagascar Marchandises Conventionnelles
RÉSUMÉ
Un tracteur étant puissant, capable de tirer une grande charge, est un matériel de
manutention très efficace et important au sein de la SMMC. Au début de ce projet, on s’est
demandé ce que l’on pouvait faire pour bien maintenir et entretenir un tracteur, pour que les
temps d’arrêt de travail des tracteurs soient les moindre que possible en cas de maintenance.
En vue de l’amélioration des travaux de maintenance, pour que ceux-ci soient plus
rapide et efficace, nous avons conçu ce projet qui se résume à l’insertion de l’assistance
informatique pour faciliter les interventions des techniciens. Avec l’assistance informatique, les
interventions à effectuer seront bien planifier et donc plus rapide à réaliser. L’informatisation
des documentations est indispensable et facilite l’exécution du travail de maintenance.
xv
ABSTRACT
A tractor being powerful, capable of pulling a large load, is a very efficient and
important material handling equipment within the SMMC. At the beginning of this project, we
wondered what we could do to properly maintain and maintain a tractor, so that the downtime
tractor is done in four (04) levels of maintenance. To find out the level of maintenance to be
carried out, the technicians in the field must note the time indicated on the tractor's counter,
then give it to the department head, after the department head has consulted the documentation,
With a view to improving maintenance work, so that it is faster and more efficient, we
have designed this project which boils down to the insertion of computer assistance to facilitate
the interventions of technicians. With computer assistance, the interventions to be carried out
will be well planned and therefore faster to carry out. The computerization of documentation is
Number of pages: 60
Number of figures: 28
xv