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TD de Finances Publiques

Question 1 : Faire une croix dans la cellule idéale

Vrai Faux
La finance publique ne concerne que le financement et la comptabilité 

En phase d’inflation ou de choix politique et économique de stabilité monétaire, une politique de


rigueur est appliquée par une politique :
- budgétaire plus expansive et relèvement du poids de la fiscalité
- monétaire plus rigoureuse.
La règle de la pénultième année consiste en une évaluation forfaitaire des recettes sur la base de
résultats du dernier budget exécutif au moment où l'on prépare le projet budgétaire.

Question 2 : Quels sont les principaux principes budgétaires ?


Question 3 : D’un point de vue keynésien, toute crise économique appelle à une relance de la demande
effective. Comme le revenu global (Y) est égal à la consommation (C), aux investissements privés (I), aux
dépenses publiques (G) et aux exportations nets (X-M). Que peut-on peut escompter pour la relance de la
demande ?
Question 4 : En ce qui concerne le vieillissement et le service public, et précisément pour le défi des
ressources humaines : quel est l’impact financier de la réforme des retraites ?

EXERCICE 1 : Choisir la/les bonne(s) réponse(s)

1. La phase comptable des recettes comprend


A. la prise en charge, le contrôle et le recouvrement.
B. le contrôle, la prise en charge et le recouvrement.
C. la prise en charge, le contrôle et l’ordonnancement.

2. En matière de dépenses publiques, les ordonnateurs :


A. Contrôle, engage et ordonnance.
B. Engagent, contrôlent et ordonnancent.
C. Engagent, liquident et ordonnancent.

3. La procédure générale d’exécution des dépenses publiques est :


A. L’engagement, l’ordonnancement, la liquidation et le paiement
B. L’engagement, la liquidation, l’ordonnancement et le paiement
C. La liquidation, l’engagement, l’ordonnancement et le paiement

4. La période complémentaire est celle au-delà de la fin de l'exercice, durant laquelle


A. les dépenses ordonnancées à la fin de l'exercice peuvent être payées.
B. les dépenses ordonnancées avant la fin de l'exercice peuvent être payées.
C. les dépenses ordonnancées antérieurement peuvent être payées.

5. La pratique du douzième provisoire est une dérogation au principe de :


A. L’annualité de l’exécution budgétaire
B. Le budget de législature
C. L’annualité de l’autorisation budgétaire

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EXERCICE 2 : Choisir la/les mauvaise(s) réponse(s)

1. Les fonctions des prélèvements obligatoires sont :


A. Fonction financière C. Fonction socio-économique
B. Fonction de stabilisation D. Fonction politique

2. Les grands objectifs des finances publiques modernes sont :


A. La contrainte globale C. L'efficacité de la gestion
B. L'efficacité de l'allocation D. L'efficience de la gestion

3. La fonction de stabilisation consiste à agir sur l’évolution économique à travers :


A. une politique de relance C. une politique de fermeté
B. une politique de rigueur D. une politique sociale

4. Le principe d’annualité budgétaire a la signification suivante :


A. Le budget est voté chaque année
B. Les autorisations d’engagement s’appliquent sur douze mois
C. Les dispositions de la loi de finances s’appliquent sur l'année parlementaire
D. Les dispositions de la loi de finances s’appliquent sur une année civile
5. En finances publiques, un cavalier budgétaire est une disposition législative
A. qui a sa place dans le cadre d'une loi de finances.
B. qui n'a pas sa place dans le cadre d'une loi de finances.
C. proscrite afin de ne pas éviter un "gonflement" des projets de loi de finances
D. proscrite afin d'éviter un "gonflement" des projets de loi de finances
6. Les APU se caractérisent par le fait
a. qu’elles mènent une activité non marchande
b. qu’elles sont financées à majorité par des prélèvements obligatoires
c. qu’elles mènent une activité marchande

7. Les différences entre finances publiques et finances privées tiennent à :


a. La nature des objectifs c. Les méthodes utilisées
b. Les moyens utilisés d. Les méthodes de gestion
8. L’interventionnisme très diversifié entraîne un système de prélèvements obligatoires très complexe
dont les fonctions sont les suivantes :
a. Fonction financière c. Fonction socio-économique
b. Fonction budgétaire d. Fonction politique
9. Classement économique des dépenses selon l’influence sur l’économie :
a. Dépenses de fonctionnement c. Dépenses de transfert
b. Dépenses de matériel d. Dépenses d’investissement
10. La liquidation de l’impôt consiste à :
a. déterminer le montant de la dette fiscale du contribuable.
b. déterminer le montant de la dette imposable du contribuable.
c. déterminer le montant de la dette fiscale du contributeur.
d. déterminer le montant de la dette fiscale du redevable.

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11. Les principes organisationnels des finances publiques sont :
a. La Discipline c. La Flexibilité
b. La gentillesse d. La Transparence et responsabilité
12. Le principe de l’universalité peut être séparé en les principes de :
a. Non contraction des recettes et des dépenses
b. Non affectation des dépenses aux recettes
c. Non affectation des recettes aux dépenses

13. L’état-gendarme
a. Ne doit pas recourir de façon permanente au financement par les aides car il crée une
distorsion de l’équilibre
b. Ne doit pas recourir de façon perpétuelle au financement par les subventions car il crée une
distorsion de l’équilibre
c. Ne doit pas recourir de façon permanente au financement par les emprunts car il crée une
distorsion de l’équilibre

14. Les différentes lois de finances dans l’ordre chronologique


a. Loi de finances initiale, loi de finances rectificative, loi de règlement
b. Loi de finances initiale, Loi de finance modificative, loi de règlement
c. Loi de finance initiale, loi de finance rectificative, loi de règlement

15. Politique économique conjoncturelle est


a. l’ensemble des mesures entamées par les pouvoirs publics visant à régulariser l’évolution
globale de l’économie,
b. en agissant sur la stabilité des prix et l’équilibre intérieur.
c. en agissant sur la stabilité des prix, l’emploi et l’équilibre extérieur.

16. Les cavaliers budgétaires sont


a. les dispositions qui ont de rapport avec l’objet des lois de finances.
b. les dispositions contenues dans les lois de finances.
c. les dispositions qui n’ont pas de rapport avec l’objet des lois de finances.
d. Les budgets des cavaliers de l’Etat

17. Les trois grands objectifs des finances publiques modernes


a. La contrainte globale c. L'efficience de la gestion
b. L'efficacité de l'allocation d. L'efficacité de la gestion
18. L’impôt est une prestation pécuniaire requise des particuliers
d. par voie d’autorité,
e. à titre définitif et sans contrepartie,
f. à titre définitif et avec contrepartie,
g. en vue de la couverture des charges publiques.

19. Les dérogations au principe de l'annualité sont :


h. les autorisations d'engagement j. Les budgets annexes
i. Unité de trésorerie k. les reports de crédit.
20. Les déterminants à long terme de l’évolution des dépenses publiques
l. L’industrialisation n. Le progrès technique
m. Le développement économique o. Le progrès politique
"La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts "
Georges CLEMENCEAU
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21. La recherche de la base d’imposition se fait selon 2 procédés
a. le recensement
b. la déclaration d’existence
c. le taux spécifique

22. Le principe de l’annualité pose les problèmes suivants :


a. Le choix du début de l’année budgétaire
b. La Flexibilité
c. Les douzièmes provisoires
d. La Transparence et responsabilité

23. Les fonctions de l’Etat selon R. Musgrave


p. Allocation des ressources r. Fonction de protection
q. Distribution ou répartition s. Fonction de stabilisation
24. La politique fiscale du pays est un des moyens dont dispose l’Etat
a. pour peser sur son évolution sociale et économique.
b. pour peser sur son évolution politique et économique.
c. Aucune réponse
d. Toutes les réponses

25. Quels sont les objectifs de la politique économique conjoncturelle ?


a. Forte croissance, Stabilité des prix
b. Faible taux de chômage, Balance commerciale excédentaire
c. Faible taux de chômage, Balance commerciale
d. Aucune réponse
e. Toutes les réponses

26. Les opérations de la procédure d’imposition


a. l’assiette, le recouvrement de l’impôt, la liquidation de l’impôt
b. Le recouvrement de l’impôt, l’assiette, la liquidation de l’impôt
c. l’assiette, la liquidation de l’impôt, le recouvrement de l’impôt

27. La capacité d’autofinancement de l’Etat est mesuré par


t. recettes fiscalescourantes/depenses gouvernementales
u. recettes fiscales/depenses gouvernementales
v. déficit/PIB
w. Prélèvements obligatoires/PIB

28. La préparation du budget de l’Etat comporte


x. la phase administrative
y. la phase parlementaire
z. la phase financière

29. L'exécution des recettes et des dépenses publiques est organisée, dans les pays francophones, autour
des trois catégories d'agents suivants :
aa. les ordonnateurs,
bb. les inspecteurs financiers
cc. les comptables
dd. les contrôleurs financiers
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30. les Finances Publiques est
ee. la science des moyens par lesquels l'Etat se procure et utilise les ressources nécessaires à la
couverture des dépenses publiques, par la répartition entre les individus des charges qui en
résulte.
ff. la science des moyens par lesquels l'Etat se procure et utilise les ressources obligatoires à la
couverture des dépenses publiques, par la contribution entre les individus des charges qui en
résulte.

31. La procédure des fonds de concours concerne les dons faits par :
gg. une personne privée ou publique à l’Etat.
hh. une personne morale à l’Etat.
ii. une personne singulière à l’Etat.

32. Le Budget de l’Etat est :


jj. un outil de politique économique.
kk. un symbole de l’incarnation du pouvoir politique.
ll. un instrument de réforme de l’Etat.

33. Les fonds de concours


 permettent à une personne de faire bénéficier l'Etat d'un financement dans le but que soient
exécutées des dépenses qu'elle souhaite mais qu'elle a la capacité ou la volonté d'exécuter elle-
même.
A. admettent d'affecter la participation d'un organisme public ou privé, ou d'un particulier à une dépense
déterminée de l'Etat.
B. permettent à une personne de faire bénéficier l'Etat d'un financement dans le but que soient
exécutées des dépenses qu'elle souhaite mais qu'elle n'a pas la capacité ou la volonté d'exécuter
elle-même.

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Rang Assertion Vrai Faux
1. Le budget n’est pas un document comptable. 

2. Le budget est un acte a priori, la comptabilité est, par définition, a posteriori. 

L’universalité budgétaire impose que le budget décrive, pour la durée de l’exercice,


3. 
l’ensemble des dépenses et des recettes.
Si le budget est au cœur de la juridicité des finances publiques, il joue aussi un rôle
4. 
politique et économique de premier plan.
5. La finance publique concerne le financement, le budget et la comptabilité. 
Les finances publiques relèvent des sciences sociales et ont pour objet l'étude du
6. phénomène financier public dans sa globalité : ressources, charges, trésorerie, 
procédure budgétaire et comptable, politique budgétaire.
La politique budgétaire est la politique que met en œuvre un gouvernement pour agir
7. sur l'économie du pays en utilisant son pouvoir de fixer les recettes de l'Etat et les 
priorités dans la répartition des dépenses publiques.
La politique monétaire est l'action par laquelle l'autorité monétaire, en général la
banque centrale, agit sur l'offre de monnaie dans le but de remplir son objectif de triple
8. 
stabilité, à savoir la stabilité des taux d'intérêts, la stabilité des taux de change et la
stabilité des prix.
La politique budgétaire est expansionniste lorsque le Gouvernement dégrade le solde
public (hausse des dépenses, baisse des recettes) avec l'espoir d'accroître l'activité
9. 
économique, tout en sachant que l'augmentation de la dette publique devra être
contrebalancée par de futures rentrées fiscales.

Lorsque qu'une économie est en croissance trop rapide et l'inflation en hausse, une
10. banque centrale peut prendre des mesures pour refroidir l'économie en augmentant les 
taux d'intérêt à court terme, ce qui constitue une politique monétaire restrictive.
En phase d’inflation ou de choix politique et économique de stabilité monétaire, une
politique de rigueur est appliquée :- par une politique budgétaire plus restrictive
(réduction des dépenses publiques et du déficit budgétaire) et relèvement du poids de
11. la fiscalité pour réduire la demande intérieure ou réduire les déficits publics. - par une 
politique monétaire plus rigoureuse (hausse des taux des crédits dissuasive).

Lorsque le niveau élevé de l'investissement public aggrave le déficit budgétaire, cela


12. ne stimule pas nécessairement la croissance, parce que la hausse du déficit des 
finances publiques bride l'activité économique.

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