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2. Parmi ces grands principes des finances publiques, le principe d'origine jurisprudentielle
est le principe de/d’
a. annualité b. sincérité c. spécialité
a. Le Président de la République
3. Qui certifie les comptes de l'État ? b. Le Parlement
c. La Cour des comptes
15. Qui est l’intrus parmi les principes suivants des finances publiques :
a. Discipline b. la regulation c. Flexibilité d. Transparence et responsabilité
a. Le droit de rejeter toute proposition de loi de finance qui risque d’aggraver les charges ou de
réduire les recettes
b. la possibilité du gouvernement d’ouvrir des crédits supplémentaires par décret
c. l’habilitation de créer des comptes spéciaux de trésor à condition de valider ces actes lors de la
prochaine loi de finances
d. La possibilité de présenter une loi de finances rectificative en cas d’un changement
25. L’emprunt qui sert à payer les fonctionnaires est considéré comme
a. Faux b. Vrai
27. Quelle lecture fait ont du déficit budgétaire selon que l’on soit au 19ème siècle ou à
l’époque d’aujourd’hui ?
Jadis, le déficit budgétaire a été très mal vu car l’Etat ne s’occupait que des secteurs régaliens notamment
à la sécurité des biens et des personnes, alors que tout ce qui est économique revient au secteur privé.
Aujourd’hui et depuis la 2ème guerre mondiale le déficit budgétaire n’est plus considérer comme un efface
pour l’économie sauf qu’il ne faut pas dépasser un certain seuil. Et pour bien comprendre le déficit
budgétaire il faut le liée à l’équilibre budgétaire, qui n’est plus aujourd’hui un équilibre comptable mais
plutôt l’équilibre général qui tient compte de l’humain.
a. Vrai b. Faux
30. La lettre de cadrage rappelle les données générales de la politique monétaire définie par
le gouvernement.
a. Vrai b. Faux
La lettre de cadrage rappelle les données générales de la politique budgétaire définie par le
gouvernement : niveau de déficit budgétaire, limitation de croissance de charge de l’Etat.
31. Lequel des deux a un rôle plus important l’ordonnateur ou comptable ?
a. L’ordonnateur b. Le comptable
32. Il est reconnu au comptable seul le maniement de denier public, l’est-il dans tous les cas?
a. Oui b. Non
33. Qu’est-ce que la déchéance quadriennale ?
a. Une créance à l'égard de l’Etat, quelle que soit sa nature, s'éteint au bout de quarante ans.
b. Une créance à l'égard de l’Etat, quelle que soit sa nature, s'éteint au bout de quatre ans.
c. Une créance à l'égard de l’Etat, selon sa nature, s'éteint au bout de quarante ans.
34. Un bien public est
a. un bien que le public doit payer c. plus coûteux qu'un bien privé.
b. non rival en consommation. d. payé par le gouvernement.
35. L'incidence économique d'une taxe unitaire est
a. généralement supportée par les acheteurs.
b. généralement supportée par les vendeurs.
c. généralement supportée par le gouvernement.
d. indépendamment de l'incidence légale de la taxe.
e. aucune de ces réponses
36. Une défaillance du marché peut se produire lorsque
a. un pouvoir de monopole existe sur le marché.
b. des marchés sont absents.
c. les consommateurs peuvent influencer les prix.
d. un risque moral et une sélection adverse existent
e. tout ce qui précède.
37. Le comptable n’est pas le subordonné de l’ordonnateur, mais son
a. égal b. presque. c. égal ou presque.
38. La procédure de l’état exécutoire est le système de droit commun pour certaines créances
de l’Etat, c’est-à-dire pour toutes les opérations de recettes : elle s’applique dans tous les
cas où la loi n’en a pas décidé autrement.
a. Vrai b. Faux
39. Supposons qu’un État n’est pas endetté au départ et que le taux d’intérêt est égal à 3 %.
Le gouvernement décide de réduire les impôts de 100 millions d’euros cette année et de
rembourser cette dette dans un an. Ainsi, l’État devra :
A. augmenter les impôts de 3 millions d’euros l’année suivante
B. augmenter les impôts de 103 millions d’euros l’année suivante
C. augmenter les impôts de 97 millions d’euros l’année suivante
40. La procédure de l’état exécutoire est le système de droit commun pour certaines créances
de l’Etat, c’est-à-dire pour toutes les opérations de recettes : elle s’applique dans tous les
cas où la loi n’en a pas décidé autrement.
A. Vrai B. Faux