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1.

Les Administrations publiques se caractérisent par le fait


a. qu’elles mènent une activité non marchande
b. qu’elles sont financées à majorité par des prélèvements obligatoires
c. qu’elles mènent une activité marchande

2. Les différences entre finances publiques et finances privées tiennent à :


a. La nature des objectifs c. Les méthodes utilisées
b. Les moyens utilisés d. Les méthodes de gestion
3. L’interventionnisme très diversifié entraîne un système de prélèvements obligatoires
très complexe dont les fonctions sont les suivantes :
a. Fonction financière c. Fonction socio-économique
b. Fonction budgétaire d. Fonction politique
4. Classement économique des dépenses selon l’influence sur l’économie :
a. Dépenses de fonctionnement c. Dépenses de transfert
b. Dépenses de matériel d. Dépenses d’investissement
5. La liquidation de l’impôt consiste à :
a. déterminer le montant de la dette fiscale du contribuable.
b. déterminer le montant de la dette imposable du contribuable.
c. déterminer le montant de la dette fiscale du contributeur.
d. déterminer le montant de la dette fiscale du redevable.
6. Les principes organisationnels des finances publiques sont la :
a. Discipline c. Flexibilité
b. gentillesse d. Transparence et responsabilité
7. Le principe de l’universalité peut être séparé en les principes de :
a. Non contraction des recettes et des dépenses
b. Non affectation des dépenses aux recettes
c. Non affectation des recettes aux dépenses
8. L’état-gendarme
a. Ne doit pas recourir de façon permanente au financement par les aides car il
crée une distorsion de l’équilibre
b. Ne doit pas recourir de façon perpétuelle au financement par les subventions
car il crée une distorsion de l’équilibre
c. Ne doit pas recourir de façon permanente au financement par les emprunts car
il crée une distorsion de l’équilibre
9. Les différentes lois de finances dans l’ordre chronologique
a. Loi de finances initiale, loi de finances rectificative, loi de règlement
b. Loi de finances initiale, loi de finance modificative, loi de règlement
c. Loi de finance initiale, loi de finance rectificative, loi de règlement
10. Politique économique conjoncturelle est
a. l’ensemble des mesures entamées par les pouvoirs publics visant à régulariser
l’évolution globale de l’économie,
b. en agissant sur la stabilité des prix et l’équilibre intérieur.
c. en agissant sur la stabilité des prix, l’emploi et l’équilibre extérieur.

11. Les cavaliers budgétaires sont


a. les dispositions qui ont de rapport avec l’objet des lois de finances.
b. les dispositions contenues dans les lois de finances.
c. les dispositions qui n’ont pas de rapport avec l’objet des lois de finances.
d. Les budgets des cavaliers de l’Etat

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12. Les trois grands objectifs des finances publiques modernes
a. La contrainte globale c. L'efficience de la gestion
b. L'efficacité de l'allocation d. L'efficacité de la gestion
13. L’impôt est une prestation pécuniaire requise des particuliers
d. par voie d’autorité,
e. à titre définitif et sans contrepartie,
f. à titre définitif et avec contrepartie,
g. en vue de la couverture des charges publiques.

14. Les dérogations au principe de l'annualité sont :


h. autorisations d'engagement j. Les budgets annexes
i. Unité de trésorerie k. les reports de crédit.

15. Les déterminants à long terme de l’évolution des dépenses publiques


l. L’industrialisation n. Le progrès technique
m. Le développement économique o. Le progrès politique
16. La recherche de la base d’imposition se fait selon 2 procédés
a. le recensement c. le taux spécifique
b. la déclaration d’existence

17. Le principe de l’annualité pose les problèmes suivants :


a. Le choix du début de l’année budgétaire
b. La Flexibilité
c. Les douzièmes provisoires
d. La Transparence et responsabilité
18. Les fonctions de l’Etat selon R. Musgrave
p. Allocation des ressources r. Fonction de protection
q. Distribution ou répartition s. Fonction de stabilisation
19. La politique fiscale du pays est un des moyens dont dispose l’Etat
a. pour peser sur son évolution sociale et économique.
b. pour peser sur son évolution politique et économique.
c. Aucune réponse
d. Toutes les réponses

20. Quels sont les objectifs de la politique économique conjoncturelle ?


a. Forte croissance, Stabilité des prix
b. Faible taux de chômage, Balance commerciale excédentaire
c. Faible taux de chômage, Balance commerciale
d. Aucune réponse
e. Toutes les réponses

21. Les opérations de la procédure d’imposition


a. l’assiette, le recouvrement de l’impôt, la liquidation de l’impôt
b. Le recouvrement de l’impôt, l’assiette, la liquidation de l’impôt
c. l’assiette, la liquidation de l’impôt, le recouvrement de l’impôt

22. La capacité d’autofinancement de l’Etat est mesuré par


t. recettes fiscalescourantes/depenses gouvernementales
u. recettes fiscales/depenses gouvernementales
v. déficit/PIB
w. Prélèvements obligatoires/PIB

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23. La préparation du budget de l’Etat comporte
x. la phase administrative z. la phase financière
y. la phase parlementaire

24. L'exécution des recettes et des dépenses publiques est organisée, dans les pays
francophones, autour des trois catégories d'agents suivants :
aa. les ordonnateurs, cc. les comptables
bb. les inspecteurs financiers dd. les contrôleurs financiers
25. les Finances Publiques est
ee. la science des moyens par lesquels l'Etat se procure et utilise les ressources
nécessaires à la couverture des dépenses publiques, par la répartition entre les
individus des charges qui en résulte.
ff. la science des moyens par lesquels l'Etat se procure et utilise les ressources
obligatoires à la couverture des dépenses publiques, par la contribution entre les
individus des charges qui en résulte.
26. La procédure des fonds de concours concerne les dons faits par :
gg. une personne privée ou publique à l’Etat.
hh. une personne morale à l’Etat.
ii. une personne singulière à l’Etat.

27. Le Budget de l’Etat est :


a. un outil de politique économique.
b. un symbole de l’incarnation du pouvoir politique.
c. un instrument de réforme de l’Etat.

28. Les fonds de concours


a. permettent à une personne de faire bénéficier l'Etat d'un financement dans le but
que soient exécutées des dépenses qu'elle souhaite mais qu'elle a la capacité ou la
volonté d'exécuter elle-même.
b. admettent d'affecter la participation d'un organisme public ou privé, ou d'un
particulier à une dépense déterminée de l'Etat.
c. permettent à une personne de faire bénéficier l'Etat d'un financement dans le but
que soient exécutées des dépenses qu'elle souhaite mais qu'elle n'a pas la capacité
ou la volonté d'exécuter elle-même.

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Rang Assertion Vrai Faux

1. Le budget n’est pas un document comptable.

2. Le budget est un acte a priori, la comptabilité est, par définition, a posteriori.

L’universalité budgétaire impose que le budget décrive, pour la durée de


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l’exercice, l’ensemble des dépenses et des recettes.

Si le budget est au cœur de la juridicité des finances publiques, il joue aussi un


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rôle politique et économique de premier plan.

5. La finance publique concerne le financement, le budget et la comptabilité.

Les finances publiques relèvent des sciences sociales et ont pour objet l'étude
6. du phénomène financier public dans sa globalité : ressources, charges,
trésorerie, procédure budgétaire et comptable, politique budgétaire.

La politique budgétaire est la politique que met en œuvre un gouvernement


7. pour agir sur l'économie du pays en utilisant son pouvoir de fixer les recettes
de l'Etat et les priorités dans la répartition des dépenses publiques.

La politique monétaire est l'action par laquelle l'autorité monétaire, en


général la banque centrale, agit sur l'offre de monnaie dans le but de remplir
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son objectif de triple stabilité, à savoir la stabilité des taux d'intérêts, la
stabilité des taux de change et la stabilité des prix.

La politique budgétaire est expansionniste lorsque le Gouvernement dégrade


le solde public (hausse des dépenses, baisse des recettes) avec l'espoir
9.
d'accroître l'activité économique, tout en sachant que l'augmentation de la
dette publique devra être contrebalancée par de futures rentrées fiscales.

Lorsque qu'une économie est en croissance trop rapide et l'inflation en


hausse, une banque centrale peut prendre des mesures pour refroidir
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l'économie en augmentant les taux d'intérêt à court terme, ce qui constitue
une politique monétaire restrictive.

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