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La gargouille est la gardienne du lieu sacré. Sa laideur est telle que même le Mal en est effrayé.
Tous ceux qui se sont laissés tenter par le vice et la luxure ne peuvent pénétrer dans le lieu sacré et le profaner. Toutes leurs turpitudes
sont rejetées par les gargouilles, gardiennes de la sainteté du lieu.
Ces fameux blocs de pierres taillés en forme d’animaux fantastiques avaient pour but de rappeler aux fidèles qu’ils devaient
constamment se méfier du démon.
Les gargouilles représentaient alors un démon de pierre esclave et enchaîné par l’homme. Leurs lignes monstrueuses et repoussantes
rappelaient aux hérétiques ( non-chrétiens, magiciens, sorcières, excommuniés) que la protection divine était déjà sur le bâtiment. La
gargouille apparaît comme un symbole de la vie nocturne, de l'obscur, du monstre en soi, des démons ravageurs. C'est aussi un
symbole positif qui, à bien des égards, s'apparente au dragon. Il représente la vie cachée au fond de soi-même, il est en même temps
un gardien vigilant, un cerbère et un séducteur, comme tous les diables par ailleurs.
La gargouille est un démon qui protège des démons. C'est la pensée magique qui cherche à combattre le feu par le feu.
La légende raconte que les gargouilles hurlaient à l'approche du Mal.
Les stryges ou striges (du grec strigx, « oiseau de nuit »), sont des démons femelles ailés, mi-femme mi-oiseau, qui
poussent des cris perçants. Elles apparaissent dès l'Antiquité dans la croyance romaine (les premiers textes portant
sur le sujet ont en effet été écrits en latin et semblent se référer à une ancienne croyance populaire).
Les stryges s'en prennent essentiellement aux nouveau-nés, soit qu'elles sucent leur sang, soit qu'elles les enlèvent
de leurs serres crochues... Elles sont pour cela souvent confondues avec les vampires. Elles sont également
associées aux cimetières. Selon Pline, elles empoisonnaient les enfants avec leur lait.
Le mot « strige » servit aussi d'injure dans le monde romain.
La déesse Carna, qui veillait sur les gonds des portes des maisons, avait pour fonction d'écarter ces monstres
grâce à des incantations magiques.
Les Saxons étaient convaincus que les stryges mangeaient ou suçaient le sang des vivants ; et que pour s'en
préserver, il fallait à tout prix brûler celles qu'ils avaient surprises, et en manger la chair.
Chez les arabes, la stryge prend le nom de goule (ou ghole) et se repait de la chair corrompue des cadavres.
D’un point de vue purement architectural, la gargouille est une conduite horizontale ornée d’un motif qui sert à
rejeter les eaux pluviales en avant d’un mur.
Donc, non seulement, la gargouille rejette les eaux de pluie mais en même temps tous les vices.
Du temps de Dagobert, suivant une vieille légende, un dragon horrible était né du limon des eaux à la suite d'un long
débordement de la Seine. Ce dragon terrorisait les foules et se plaisait comme tout dragon qui se respecte à
dévaster la contrée. Personne ne voulait le combattre mais l’évêque Saint Romain décida de débarrasser la ville de
ce monstre. Il pénétra dans l’antre de la bête et la soumit d’un signe de croix. Le condamné à mort (seul à avoir
accepté de l’accompagner) passa l’étole du prêtre au cou du démon puis le ramenèrent en ville où il fut brûlé sur la
parvis de la Cathédrale.
Ce monstre vaincu par Saint Romain portait le doux nom de « Gargouille ». Voilà, vraisemblablement, l'origine du
nom donné à ces figures monstrueuses et fantastiques que les sculpteurs-imagiers représentèrent dans les
gouttières des églises gothiques (même si certaines églises romanes en possèdent également). Certaines
personnes ajoutent que lors de son exécution, le feu du bûcher, au contact du feu interne du dragon, pétrifia le
corps de la Gargouille.
Le condamné, au milieu, tire sur l'étole de Saint-Romain pour ramener la Gargouille vers la ville. L'évêque, sur la droite bénit la scène. Des
spectateurs, effrayés, s'enfuient.
C'est une des images les plus belles de la légende de la gargouille. Le saint évêque foule aux pieds le monstre. A ses côtés, le prisonnier tient
l'étole en guise de laisse.
En arrière plan, une vue de la ville telle qu'elle était au début du XVIe siècle avec, à droite, le Château reconnaissable à ses tours. Plus loin, au
sommet de la colline, le prieuré Saint-Michel et l'abbaye de Sainte-Catherine du Mont sous son aspect de forteresse.
Les gargouilles sont là en réalités pour rappeler aux humains que leurs surveillants (des êtres surnaturelles de type
"kingu rouge") sont toujours présent sur terre et pire encore. Ils sont camouflés sous des dimensions parallèles ou
prendre de formes différents dans le monde actuelle. C’est à la fois triste et surprenant mais la réalité est ainsi.
Par la force des choses durant mes recherches j’ai côtoyé des médiums de diverses régions du globe. Ils m’ont
énormément éclairé sur le chemin.
Je n’ai rien contre la religion Christianisme et le Judaïsme, mais l’église et le Vatican semble servir ce peuple venu
d’ailleurs et ils ont manifestement créé les corps (que nous avons aujourd’hui) permettant à notre conscience de
s’y incarner. La théorie de Darwin est encornée de plus d’après mes recherches il n’avait pas du tout été honnête
dans sa volonté de révélé au monde la vérité. Il n’est pas le seul.
En résumé aujourd’hui, je vous invite à vous méfier des informations disponibles sur les livres, sur les informations
TV, sur Internet encore plus ! Fiez-vous à votre cœur ! Jésus n’avait jamais dit « si quelqu’un vous gifle, tendez
l’autre joue » ! Mais : « si quelqu’un vous gifle, montrez l’autre face (la face spirituelle)» décodé par Serge Reiver.
Pour aller plus loin, voyez-vous j’ai toujours porté de Dalai Lama (représentant religieux bouddhiste) comme un
être avec doué d’une intelligence divin. Or j’ai compris qu’il avait été placé par la CIA et ses recommandations
aujourd’hui l’ont démasqué en demandant aux pratiquants de rejeter des frères.
Pour moi, les paroles d’un saint homme ne doit jamais encourager la violence ou alors c’est un faux ! Ce qui est
saint est la tolérance et l’amour. Vivre en paix et prospérer avec respect son prochain c’est là la bonne voie.
Bon découvert à vous mes frères.
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