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SOMMAIRE

SOMMAIRE………………………………………………………………………………………………………1
INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………..2
I. LA DIVERSITE DES PRODUITS MINIERS EN COTE
D’IVOIRE………………………………………………………………...3
II.1 L’état actuel des produits miniers en Côte d’Ivoire…………………..3
II.2 Le rend de quelques produits miniers en Côte d’Ivoire………………3
II. VERIFICATION DES TECHNIQUES D’EXPLORATION ET
D’EXPLOITATION MINIERE…………………………………………..6
II.1 Les techniques d’exploration minière………………………………...6
II.1.1 La cartographie géologique………………………………………...7
II.1.2 La modélisation 3D………………………………………………...7
II.1.3 L’analyse géophysique..…………………...……………………….7
II.1.4 L’utilisation des drones…………………………………………….7
II.1.5 L’imagérie satllite………………………………………………......8
II.2 LES TECHNIQUES D’EXPLOITATION
MINIERE……………………………………………................................8
II.2.1 L’exploitation minière à ciel
ouvert……………………………………………………………………...8
II.2.2 L’exploitation minière souterraine…………………………………9
II.2.3 L’extraction par lixiviation………………………………………..10
II.2.4 L’exploitation minière par remblayage
hydraulique………………………………………………………………11
III. LES DIFFICULTES RENCONTREES DANS L’ACTIVITE
MINIERE………………………………………………………………..11
IV. QUELQUES SOLUTIONS POUR MINIMISER LES DIFFICULTES ET
PROMOUVOIR UNE ACTIVITE MINIERE
DURABLE………………………………………………………………12
CONCLUSION…………………………………………………………...14

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INTRODUCTION

Depuis quelques années, la Côte d’Ivoire s’est donnée pour ambition de


diversifier son économie principalement dominée par l’agriculture. L’un des
secteurs sur lesquels peut compter le pays est celui des Mines, les chercheurs
ayant confirmé la grande richesse en matières premières du sous-sol ivoirien.
Si ce secteur est encore très jeune, et loin du niveau des leaders miniers de la
région (Ghana, Mali, Burkina-Faso), la Côte d’Ivoire a de quoi espérer, car
elle est dans une bonne dynamique.Dès lors,

Quelle est la divrsité des produits miniers en Côte d’Ivoire ?

Quelles sont les techniques d’explorations et d’exploitations minière ?

Quelles sont les difficultés rencontrées dans l’activité minière ?

Existent-ils des solutions pour minimiser ces difficultés pour une activité
minière durable ?

Notre travail consistera à répondre à ces interrogations.

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I. LA DIVERSITE DES PPRODUITS MINIERS EN COTE D’IVOIRE

I.1. L’état actuel des produis miniers en Cote d’Ivoire

La bonne santé du secteur minier ivoirien se manifeste par les derniers chiffres
publiés par le gouvernement, et qui datent de 2016. Au cours de cette année, le
pays a produit 25 tonnes d’or, sa principale ressource minière. Cette
performance, faut-il le souligner, représente des hausses de 6,4% par rapport à la
production aurifère de 2015 (23,5 t), de 25% par rapport à celle de 2014 (20t) et
de 92% par rapport aux 13 t produites en 2013. En cinq ans, la Côte d’Ivoire a
réussi à doubler sa production d’or.

Dans le même temps, la production de manganèse (deuxième produit minier


exploité dans le pays) était de 263 178 tonnes en 2015, ce qui constitue une
baisse de 25% par rapport aux 362 000 t produites en 2014 (en 2013 la
production était de 120 496 t). Cette baisse n’est toutefois pas surprenante à
cause de la chute mondiale des prix du manganèse. En outre, le pays a exporté
en 2015, 13 936 carats de diamants, extraits de manière artisanale. Ce secteur
n’a repris ses activités qu’en avril 2014.

Côté financier, la chute vertigineuse des prix des matières premières n’a
aucunement affecté les résultats de la Côte d’Ivoire en 2015. Les revenus
miniers pour cette année ont été évalués à 730 millions d’euros (479 milliards
FCFA), soit une hausse de 24% par rapport à 2014. En 2016 l’industrie minière
mondiale s’est un peu stabilisée, le chiffre d’affaires déclaré par le secteur
minier ivoirien a été évalué à 483,69 milliards de F CFA en 2016.

Le secteur minier a permis cette année de créer 6600 emplois directs et 18 000
emplois indirects.

I.2. Le classement des produits miniers en Cote d’Ivoire

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L’or
Le secteur aurifère est celui qui compte le plus grand nombre de projets en
développement. Si la Côte d’Ivoire ambitionne d’avoir 17 mines opérationnelles
en 2020, elle en compte actuellement moins d’une dizaine.

Dans le nord, Randgold Resources (30e plus grande compagnie minière au


monde selon PwC) opère sur la mine Tongon, dans laquelle elle détient une
participation de 89%. Cette mine, la plus importante du pays en phase
d’exploitation (depuis 2010), a produit en 2016 260 556 onces d’or et l’objectif
de la compagnie est de produire 285 000 onces en 2017.

La mine d'or Tongon, détenue à 89 % par Randgold Resources.

Au sud, un autre géant minier, Newcrest Mining (20e plus grande compagnie
minière au monde selon PwC) détient le projet Bonikro, via une participation de
89,9% dans la société LGL Mines CI SA. Cette mine a produit au cours de
l’exercice 2016 de la compagnie, terminé en juin, 137 696 onces d’or.

Hormis ces deux projets, il faut également citer la mine Agbaou sur laquelle la
compagnie canadienne Endeavour Mining a produit en 2016, 181 365 onces.
Endeavour a acquis il y a quelques années la mine d’or Ity qui a produits ses
premières onces d’or en 1991. La société qui est en partenariat avec l’Etat et le
Groupe Didier Drogba, souhaite y utiliser la technologie de traitement de
minerai carbon-in-leach (CIL). Elle prévoit de commencer la production à mi-
2019 à un taux annuel de 235 000 onces sur les cinq premières années.

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Sur le projet Sissingué, la compagnie minière Perseus Mining prévoit de
démarrer la production en décembre 2017. Elle est également présente sur le
projet Yaouré. Ce projet est né en 2015, de la découverte d’un gisement de 6,8
millions d’onces, considéré comme le plus grand gisement aurifère du pays.

Le manganèse
En ce qui concerne le manganèse, la compagnie minière Dharni Sampda (ex
Taurian) détient deux permis miniers sur le projet Bondoukou. La société a
suspendu en juillet 2015 les opérations sur la mine. Dharni est également présent
sur le projet Kaniasso.

Outre Bondoukou et Kaniasso, on peut également citer comme projet de


manganèse celui de Lauzoua, repris en 2009 par le groupe China Geological and
Mining Corporation (CGM), est rentré en production en avril 2013.

Mine de manganèse de Lauzoua.

En septembre 2016, l’Etat a signé une convention avec la société Shiloh


Manganese, pour développement d’une quatrième mine de manganèse dans la
région de Poro. Cette mine hébergerait des réserves de 4 millions de tonnes avec
une durée d’exploitation estimée à 15 ans.

Le diamant
Pour ce qui est du diamant, l’exploitation est faite de manière artisanale. Après
la levée de l’embargo sur son diamant en avril 2014, le pays a repris les activités
d’extraction notamment dans le district du Woroba. Un projet dénommé «Droits
de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA II)», a permis de
délimiter une quinzaine de villages pour l’exploitation de cette pierre précieuse.

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Des chercheurs de diamants à Tortiya.

En outre, plusieurs autres sites de production de diamant opèrent dans le pays,


en l’occurrence celui de Djawara, géré par la compagnie coopérative Bobi, et le
camp minier de la SODEMI.

Le nickel
En novembre 2016, la compagnie ivoirienne NOCI, a déclaré vouloir investir
jusqu’à 365 millions $ pour le développement d’un projet de nickel situé à
l’ouest du pays.

Le projet hébergerait des réserves de 60 millions de tonnes de minerai avec une


teneur en nickel de 1,74%. Les ressources de nickel latéritique de la Côte
d’Ivoire sont estimées au total à environ 298 millions de tonnes.

Et d’autres secteurs prometteurs

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Hormis l’or, le manganèse, le nickel et le diamant, les recherches ont également
prouvé que le sous-sol ivoirien est riche en bauxite, en cuivre, du coltan, ou
encore en minerai de fer.

Le pays hébergerait selon les estimations 2,740 milliards de tonnes de ressources


de fer réparties à Mont Klayo-Tia, Gao et Monogaga. Et les ressources de
bauxite sont évaluées à 1,214 milliard de tonnes (Divo, Bénéné, Toumodi) et
celles de coltan à 145 tonnes (Issia, Touvré).

II. VERIFICATION DES TECHNIQUES D’EXPLORATIONS ET


D’EXPLOITATIONS MINIERES

II.1 Les techniques d’exploration minière

Les techniques d’exploration minière incluent la cartographie géologique,


l’analyse géochimique, la modélisation 3D, l’utilisation de drones et l’imagerie
satellitaire, l’analyse géophysique ; chacune de ces techniques permet de
rechercher, de localiser et évaluer les gisements

II.1.1. La cartographie géologique


La cartographie géologique joue un rôle essentiel dans l’exploration minière en
identifiant les formations géologiques propice à la formation du gisement. Elle
permet de localiser les zones riches en minéraux, de déterminer leur nature et
leur potentiel économique, facilitant ainsi l’exploitation minière efficace et
durable.
II.1.2. L’analyse géophysique
L’analyse géophysique intervient en utilisent différentes méthodes pour étudier
les propriétés physiques du sous-Sol. Cela permet de détecter des anomalies
géophysiques associées à la présence de ressources minérales. Elle joue un rôle
crucial dans l’exploration minière en permettant de détecter des éléments
chimiques associés aux minéraux économiquement valorisable. Elle consiste à
prélever des échantillons sol, de roche ou d’eau pour les analyser en laboratoire.
Cette analyse permet de déterminer la présence, la concentration et la
distribution des minéraux ciblés, ce qui aide à identifier les zones
potentiellement riches en ressource minérale.

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II.1.3 La modélisation 3D
joue un rôle essentiel dans l’exploration minière en permettant de créer des
représentations virtuelle détaillées du sous-sol. Elle intègre des données
géologiques, géophysiques et géochimique pour générer des modèles
tridimensionnels qui permettent de visualiser les gisements minéraux de minière
précise. Cela facilite la planification des opérations minière, permet d’optimiser
l’extraction des ressources et contribue à une exploitation plus efficace et
durable.

II.1.4 L’utilisation des drones


Dans l’exploration minière, l’utilisation des drones offre de nombreux
avantages. Ils peuvent être équipés de caméras et capteurs spéciaux pour
cartographier des zones inaccessibles ou dangereuses, surveiller les travaux ou
inspecter les infrastructures minières.

II..1.5 L’imagerie satellite


L’imagerie satellite joue un role tres important dans l’exploration minière en
fournissant des données géospatialle à grande echelle. Les satellites captent des
images haute resolution de la surface terrestre, permettant de detecter les
caracteristiques géologiques et de reperer des indices mineraux. Cette imagerie
est utilisé pour cartographier les zones riches en ressource, evaluer leur
extension et planifier les activités en exploration minière

II.2 LES TECHNIQUES D’EXPLOITATION MINIERE

L’xploitation minière comprend plusieurs techniques dont chacune est utilisée


en fonction des caracteristiques géologiques et des conditions spécifiques de
chaque site minier

II.2.1 L’exploitation à ciel ouvert


C’est une technique d’extraction minière qui consiste à creuser de large fosse
ouverte à la surface de la terre pour extraire les minéraux.
Elle comprend cinq (05) étapes que sont :

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1- Planification : Elle implique l’identification du site, l’évaluation des
reserves de minéraux, l’estimation des méthodes d’extraction appropriée.
2- Préparation du site : Les opérations de deboisement de decapage de la
végétation et de nivellement du terrain sont réalisé pour préparer la
zone d’extraction
3- Forage et dynamitage : Des trous sont forés dans la roche pour placer les
explosifs, qui sont ensuite declencher pour fragmenter la roche et faciliter
l’extraction
4- L’extraction : Les camions pelles et chargeuses sont utilisées pour enlever
les minérai et les stériles de la fosse. Le minerai est ensuite transporté vers
l’unité de traitement
5- Restauration du site : Une fois l’extraction terminée des mesures de
réhabilitation sont prises pour restaurer le site en replantant la végétation,
en remblayant les fosses et en veillant à ce que les impacts
environnementaux soient minimisés.
Il est important de noter que chaque site d’exploitation à ciel ouvert peut
avoir plusieurs caractéristiques spécifiques et des procédures adaptées en
fonction des conditions géologiques et des réglementations locales.

II.2.2 L’exploitation minière souterraine


Elle est une méthode d’extraction utilisé pour recupérer des minéraux situés en
dessous de la surface de la terre.
Elle comprend sept (07) étapes que sont :
1- Accès au gisement : Des puits et des galeries sont creusés depuois la
surface de la terre pour aceder aux gisements minéraux. Cella peut
necessiter le forages de puits verticaux ou la construction de rampe
d’accès à plus faible angle
2- Infrastructures minières : des tunels te des galeries sont crées pour relier
les puit d’accès et permettre la circulation du personnel, du matériel et des
minéraux extraits.

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3- Excavation : Différentes méthodes d’excavations sont utlisées telles que
l’abattage à l’explosif, la decoupe mécanique ou l’utilisation de machine
d’extraction spéciales pour extraire les minérai et les stériles
4- Soutènement : Des techniques de soutènement, comme l’installation de
piliers, de planche de bois, de boulons d’encrage ou de beton projeté, sont
utilisés pour renforcer les parois et le toit des galeries.
5- Transport :Les minéraux extraits sont transportés à la surface à l’aide de
convoyeurs, de SKIP(Wagonnets) ou d’autres systèmes de transport
spécifique à chaque site.
6- Traitement du minérai : Une fois à la surface le minerai est traité dans une
unité de traitement pour en extraire les mineraux precieux.
7- Réhabillitation : Une fois l’exploitation terminée des mésures de
réhabilitation sont prises pour retaurer le site en comblant les galeries, en
remettant en état des zones affectées et en veillant à la sécurité du future
site.
Il convient de noter que chaque opération d’exploitation minière peut varier en
fonction des caractéristiques géologiques du gisement, de la méthode
d’excavation choisie et des reglementations spécifique à chaque région.

II.2.3 L’extraction par lixiviation insitu


C’est une technique utilisée pour extraire les mineraux enfouis dans les
formations rocheuses sans avoir à les extraire physiquement
Elle fonctionne comme suit :
1- Forage des puits : Des puits sont forés dans le gysement minéral jusqu’à
la tonne cible
2- Injection de solutions : Des solutions chimiques, telles que des agents
lixiviants, sont injectés dans le gisement à travers les puists. Ces solutions
permettent de dissoudre les mineraux ciblés dans la roche.

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3- Récuperation des solution : les solutions chargées sont collectées à travers
d’autres puits ou de drains
4- Traitement des solutions recuperées : les solutions recupérées contenant
les mineraux dissous sont traités pour extraire les mineraux precieux
Notons que cette technique est utilisée pour l’extraction des mineraux tels
que l’or, l’aluminium, cuivre et sa mise en œuvre necessite une planification
detaillée por eviter les impacts environnementaux négatifs et assurer la
securité du personnel et de la communauté environnante.

II.2.4 L’exploitation par remblayage hydraulique


C’est une méthode d’extraction minière ou un mélange d’eau et de deblais
utilisé pour remplir les vides crées par l’exploitation souteraine. Cela permet de
soutenir les parois et d’extraire les mineraux en toute sécurité.
Elle comprend six (06) étapes que sont :
1- Présentation du chantier : Une zone souterraine est selectionnée pour
l’exploitation. Des galeries d’acès et des puits sont crées pour facliter le
transpors des materiaux
2- Forage de puit d’injection : Des puits d’injection sont crées afin
d’introdure le melange eau-deblais dans les vides souterrains
3- Extraction des mineraux : Les mineraux sont extraits à partir des zones
exploitées
4- Injection du melange eau-déblais : Le melange eau-déblais est ensuite
pompé danIls les vides souterrains, remplissant ainsi les espaces laissés
par l’extraction des mineraux.
5- Consolidation : le melange d’eau et de déblais se solidifie
progressivement pour soutenir les parois et stabiliser la zone exploitée
6- Répétition du processus : Les étapes d’extraction et remblayage sont
répétées dans différentes parties du chantier pour continuer l’exploition
minière

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Il est important de noter que les détails spécifiques du processus peuvent varier
en fonction des conditions géologique et des procédures de l’exploition minère

III. LES DIFFICULTES RENCONTREES DANS


L’ACTIVITE MINIERE

L’activité minière fait face à plusieurs difficultés. Parmi celles-ci, on peut citer :
1. Acces aux gisements éloignés : Les gisements miniers peuvent etre situés
et difficiles d’accès, ce qui augmente les couts de transport et pose des
défis logistiques.

2. Gestion des déchets miniers : L’xploitation minière génère des déchets


miniers, tels que les résidus et stériles, qui nécessitent une gestion
adéquate pour éviter les impacts environnementaux négatifs

3. Problèmes environnemlentaux : L’activité minière peut entrainer des


dégradation de l’environnement, tels que la pllution de l’eau et de l’air, la
destruction des habitats naturels naturels et la perte de biodiversité.

4. Cout élevés : L’exploration et l’exploitation minière nécessitent des


inverstissement importants en terme de matériel, de mains d’œuvres et
d’infrastructures, ce qui peut rendre l’activité couteuse.

5. Conflits socio-économique : L’exploitation minière peut entrainer des


tensions et des différends avec des communautées locales en raison de la
perte de terre, des questions de droits fonciers, des impacts sur les moyens
de subsistance et des diparités éconmiques.

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Il est important de développer les politiques et des pratiques responsables pour
minimiser ces difficultés et promouvoir une activité minière durable.

IV. LES SOLUTIONS POUR MINIMISER LES


DIFFICULTES RENCONTREES DANS
L’ACTIVITE MINIERE

 Pour minimiser les activités minière, il est possible de :


 Promouvoir l’utilisation de source d’énergie renouvelable
 Encourager la recyclage et la reutilisation des matériaux extraits
 Renforcer les reglementations environnementales et de promouvoir une
meilleure gestion des déchets miniers.
 Optimisation des profils de fosse à ciel ouvert de manièer à maxibmiser
des volumes des minerai et minmiser des volumes de stérile
 Modélisation de mise en œuvre de réseaux de galeries souterraines de
manière à maximiser les escavations creuser en zone minéralisée et
minimiser des galeries creuser en stériele.
 Optimistaion des forages et des schémas de tir de manière en abattre que
la couche minéralisée (minisant la salissure et donc le génération de
stériles).
 Réutilisationdes stériles et des residus de traitement comme produit de
remblayage des excavations minières (souteraines ou à ciel ouvert ) ou
comme granulais.

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CONCLUSION

Au terme de notre étude nous retonnons que l’activité minière


est un vaste champ de travaux faisant appel à plusieurs
sciences qui, chacune d’entre elle à un but précis dans
l’exploration et dans l’exploitation minière. Pour avoir plus de
détail sur un gisement chaque science applique ses méthodes.

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