Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Au Moyen Age, plus encore qu’à présent, le maniement de forces occultes, les rituels
et la pratique de la magie faisaient partie de la vie courante. Les chevaliers du
Temple d’origine Chrétienne ont vécu auprès des Initiés Juifs et Islamiques. Ils ont
voyagé et se sont établis dans des pays au sein desquels la magie opérative, la
Cabbale, l’astrologie, étaient enseignées. Ils ont collaboré avec les Assashins, auprès
desquels ils ont appris les arts occultes et l’alchimie.
« Pendant les Croisades, des dizaines de milliers d’européens vivant en Terre Sainte
se sont imprégné des croyances mêmes qu’ils étaient venus extirper. La cour de
l’Empereur Hohen-Staufen Friedrich II en Sicile devint une véritable maison de
passage pour les courants de pensée Juif et Islamique. Les Templiers furent un autre
conduit majeur, peut-être le plus important, pour de tels courants. » Temple and the
Lodge, 136
Dans tous les organisations occultes, dans tous les temples, dans tous les royaumes, la
magie et le sacré ont été la base du pouvoir et du culte. Afin d’asseoir leur puissance,
les Atlantes, les Egyptiens, les Babyloniens, les Hébreux, les Arabes, les Africains,
tous les peuples ont essayé de s’approprier les forces et les prérogatives de la nature,
du Ciel et de l’Enfer. L’avidité des princes et des prêtres pour la connaissance
ésotérique était, et est fondée, sur la recherche du pouvoir universel. Ils ont
avidement recherché la communication avec le monde invisible qui était sensée leur
accorder la sagesse, la connaissance du futur et l’appui de l’au-delà. Officiellement,
ni les chrétiens, ni les Juifs ne sont censés pratiquer la divination ou la magie.
On dit que « L’Epée d’Hofburg fut mentionnée pour la première fois dans les
Chroniques Saxonnes dans le récit de la bataille de Lech (Près de Vienne) pendant
laquelle Otto assuma une victoire étonnante sur les hordes Mongoles. L’Epée fut
présentée à Otto à l’occasion de son mariage avec Athelstan’s sister, Eadgita. La
condition attachée à l’acquisition de l’Epée comme une dot était que les villes de
garnison d’Europe devaient devenir villes de commerce. » Epée !3
Cette épée fut transmise d’un souverain à l’autre et on la relie toujours à des
victoires extraordinaires. Elle est remise comme un objet magique et sacré à celui
dont on estime qu’il joue un rôle particulier dans l’histoire politico-religieuse et
probablement dans l’Esprit de Dieu, tel qu’il est compris par les autorités humaines.
« Qu’on ne trouve chez toi personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue,
d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les
esprits, personne qui interroge les morts, car quiconque fait ces choses est en
abomination à l’Eternel. » Deutéronome 18, 10-12
Ils ont donc d’abord eu recours à des subterfuges, à des pratiques magiques pour se
reconnecter au monde subtil. Peu à peu, ils ont sombré complètement dans la
matière et dans l’Ombre et sont devenus incapables de se relier aux plans supérieurs.
Leurs niveaux de conscience leurs rituels et leurs incantations ne leur ont plus permis
de rejoindre les plans spirituels supérieurs. Ils n’ont plus pu atteindre que le plan
astral peuplé d’entités puissantes certes mais loin du raffinement vibratoire des plans
divins. Les Rois-Prêtres ont sombré dans un concubinage obscène avec des entités
démoniaques. Leurs actions, leurs pratiques religieuses étaient un reflet de leur
niveau de conscience, des plans invisibles et des entités avec lesquelles les Rois
communiaient. C’est la raison pour laquelle, les Rois-Prêtres, tout en ressentant
l’appel divin, traduit par certains aspects raffinés de leurs cultures, ont toutefois
pratiqué la loi barbare du sang, les sacrifices humains, et le non-respect de la pureté
des enfants.
MAGIE - DEFINITIONS
La magie est une intervention dans l’ordre des choses. Il n’est pas nécessaire
d’utiliser des bougies et des figurines de cire pour faire de la magie Nous pratiquons
tous la magie, dés l’instant ou nous utilisons notre faculté volitive consciemment pour
intervenir dans la vie d’autrui ou pour changer l’ordre des choses ; il suffit, si l’on en
est capable, d’émettre une PENSEE. Fort heureusement, très peu d’individus
possèdent la capacité de manifester à volonté ; notre monde serait un peu plus
chaotique qu’il ne l’est déjà.
Un Adepte cesse de pratiquer la magie lorsqu’ il/elle a complètement lâché prise, n’a
plus de désirs, et marche complètement abandonné à son destin . Dans ces
conditions, le Moi étant un aspect du Tout, l’Adepte devient un canal du Plan et de la
perfection.
- J’ai compris que je suis une partie du Tout, dont je connais et respecte la Volonté
Souveraine. Je sais que je suis aimé de l’Ame universelle, donc compris, nourri et
chéri. En conséquence, je vis dans la confiance et l’innocence, et reçois les dons et
bénédictions de l’univers à chaque instant et dans chaque aspect de ma vie.
Les Croisades ont duré deux siècles et ont définitivement changé le cours de l’histoire
de l’Europe. Le rôle et le pouvoir visibles des Papes Catholiques Romains ont été
renforcés tandis que la population était soumise à une manipulation intellectuelle et
religieuse intense. Mais en secret, des modifications profondes du credo et de la foi
des Chrétiens ont été initiées. Les contacts et échanges qui prirent place avec les
mystiques de l’Islam et du Judaïsme ont alimenté le besoin d’un retour à la Tradition
ésotérique et réintroduit les sciences occultes dans la culture européenne.
Entre 970 et 1020, une série de chefs-d’œuvres a été produite par l’une des écoles de
peinture les plus influentes d’Europe, située sur une île au milieu du Lac de
Constance, dans l’Abbaye Bénédictine de Reichenau. Sous la responsabilité des
moines Bénédictins et commissionnés par l’Empereur, par des Rois et des
Archevêques, les moines-artistes ont copié sur fond d’or des textes liturgiques et les
ont ornés de précieuses enluminures.
L’une des œuvres les plus importantes de cette série est l’Apocalypse de Bamberg,
dont on attribue la commande à l’Empereur Otto III (décédé en 1002) et qui reproduit
le texte de l’Apocalypse. Ce chef d’œuvre comprend 57 miniatures sur fond d’or et
100 lettres dorées. L’empereur mourut avant la fin de sa réalisation et son successeur
Henri II en fit don à l’Abbaye Collégiale de Saint Stephane à Bamberg en 1020.
Le texte de l’Apocalypse annonce l’émergence d’un monarque, représentant du Christ
sur terre :
"Et je vis le ciel qui était ouvert; il parut un cheval blanc; celui qui le monte est
appelé Fidèle et Véritable,et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme
une flamme de feu; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes. Il avait un nom écrit que
personne ne connaît, si ce n’est lui-même." Apocalypse19: 11
« Puis, je vis un grand trône blanc, et celui qui était assis dessus…Et je vis descendre
du Ciel, d’auprès de Dieu, la Ville Sainte, la Nouvelle Jérusalem, préparée comme
une épouse qui s’est parée pour son époux…. Et celui qui était assis sur le trône dit:
"voici je fais toutes choses nouvelles…Je suis l’Alpha et l’Omega, le commencement
et la fin. A celui qui a soif, je donnerai de la source de l’Eau de la Vie gratuitement. »
Apocalypse 21 :2-6.
Une série de Papes succède à Sylvestre. Jérusalem tombe une fois de plus aux mains
des infidèles Turcs en 1071. Urbain II assume le rôle de pape en 1088. Soutenu par la
majorité des souverains européens, il se focalise sur la réunification des Eglises
d’Orient et d’Occident, séparées depuis le Grand Schisme en 1054. Au Moyen-Orient,
l’Empereur Alexius I Comnenus (règne : 1081-1118) fait face aux Turcs, qui
reprennent Jérusalem en 1076 date to check et marchent sur Constantinople. En
1095, à l’occasion du Concile de Plaisance, Alexius propose l’union des nations et des
Eglises Chrétiennes orientale et occidentale pour lutter contre les hordes
musulmanes. Urbain II en profite pour asseoir son pouvoir et pour utiliser à bon
escient l’énergie guerrière des chevaliers.
Le 27 novembre 1095, le pape Urbain II, après avoir convaincu les monarques au
pouvoir, fit un appel au peuple et aux chevaliers, leur demandant de conquérir la
Palestine, afin de libérer à la fois le Saint Sépulcre et les Chrétiens du joug Musulman.
Cet appel déclencha la première croisade qui débuta en 1096.
Le premier assaut, conduit par Pierre l’Hermite, rassembla une foule anarchique de
20 000 volontaires sans connaissances ou direction militaire. Après avoir au passage
attaqué des communautés juives, ils succombèrent aux Turcs.
Il est certain qu’une partie des Croisés était soulevée et mue par des motivations
profondément religieuses ou du moins par la croyance dans la rédemption qui leur
était promise en récompense de leur sacrifice. Mais, à la longue, les croisades
devinrent l’arme des pouvoirs en place, tant politiques que religieux.
Poussés par leur soif de pouvoir et leur interprétation erronée du message spirituel les
Templiers ou/et ceux qui les soutenaient, rois, nobles, papes ont assailli le Proche
Orient. Dans leur esprit, il fallait conquérir et régner sur et à partir de la Jérusalem
physique. La première croisade pris fin avec la conquête de Jérusalem en juillet 1099.
(note : on trouve aussi une version plus dramatique: vendredi 25 juin à midi, heure de
la Crucifixion). Godefroi de bouillon, l’un des leaders, refusa la royauté mais fut élu
avocat du Saint Sépulcre de Jérusalem. Moins d’un an plus tard, son frère fut
couronné sous le titre de Baudouin I de Jérusalem.
CAPUT
On dit parfois que les Croisés s’emparèrent de la Lance de la Destinée, celle-la même
qui a plus tard fasciné et motivé Hitler. Est-ce le même objet que ce dernier
a emprunté aux Autrichiens ? Mais le trésor des Templiers était d’un autre ordre.
L’une des accusations portées aux Templiers avait trait à la possession d’un objet
magique, le Baphomet, qu’ils honoraient et consultaient.
L’une des plus infâmes pratiques de magie noire consiste à utiliser des têtes d’enfants
pour capturer l’âme d’un esprit ou d’un défunt. La tête est un support qui permet au
magicien de contraindre une âme ou un démon à « parler » ou à l’assister. De
nombreux auteurs affirment l’existence des têtes magiques dans le monde chrétien
du Moyen Age. Ces outils magiques étaient connus sous le nom charmant de ‘têtes
enchantées’ ou « têtes de Mahomet ». Gerbert d’Aurillac, ancien évêque de Reims, ou
Sa Sainteté Sylvestre II en auraient possédé une, une sorte d’automate savant. Selon
H.P. Blavatsky, dans Isis Dévoilée , « le pape Sylvestre II fut accusé publiquement de
sorcellerie par le cardinal Benno, pour avoir fabriqué une « Tête d'airain
divinatoire » . Ces têtes et autres statues parlantes, trophées de l'habileté magique
de moines et d'évêques, n'étaient que des reproductions des dieux animésdes temples
anciens. » On cite aussi le cas d’Albert le Grand comme l’heureux propriétaire de
l’une de ces abjections.
N’oublions pas que Sylvestre II étudia les mathématiques, la musique, les sciences au
Monastère de Santa Maria de Ripoll, en Andalousie. Là, il perfectionna ses
connaissances occultes auprès des cabalistes et magiciens juifs et islamiques. Hormis
le désir de placer un Roi qui pourrait s’inscrire dans la lignee sacree à la tête de la
Ville Sainte, il est aisé d’imaginer que Sa Sainteté était aussi à la recherche de
reliques, de cadavres avec lesquels il pourrait exercer ses talents, satisfaire ses désirs
obscènes de magicien et se connecter vibratoirement avec la Lignee et ses memoires
Les renseignements donnés par les moines chroniqueurs ont permis au Pape de suivre
le chemin emprunté par la Lignée Royale. Chercheurs de reliques, de mémoires,
Sylvestre II et les Templiers se sont consciemment et magiquement reliés avec la
Lignée Royale Sacrée.
Lorsque les Templiers s’arrogèrent le droit de faire des fouilles sous le temple de
Jérusalem, ils mirent à jour des sépultures. Dans ces tombes se trouvaient les corps
d’Initiés qui reposaient depuis des siècles. L’un d’entre eux au moins, Sage et
Prophète, a retenu leur attention. À Jérusalem, les Chevaliers ont sorti de terre l’un
des corps qui ont ancré les mémoires de la Lignée et de l’ADN du Dragon.
Obéissants à leurs instincts de magiciens, les Templiers ont profané la sépulture et
les corps embaumés de ces Initiés auxquels ils ont soustrait les têtes. Par cette
action, les Templiers ont reconnu leur incapacité à se relier d’eux-mêmes aux
archives de l’univers, aux trames mémorielles de notre système planétaires et à
Dieu. Ils ont aussi avoué par leurs méfaits leur inaptitude à manifester leur
puissance personnelle.
C’est cette TETE au POUVOIR DIVIN qui constitue le centre du trésor Templier.
Comme nous l’avons déjà mentionné, les Chevaliers, friands de reliques en
possédaient de nombreuses. Mais nous nous consacrerons dans ce chapitre
au « Chef » dont la fonction principale était d’ancrer le pouvoir de la Loge qui la
possédait.
Ce trésor a été caché dans un lieu tenu secret jusqu'à ce jour (L’Auteur n’a pas
décidé s’il était temps de révéler ce lieu), tandis que le regard d’un public crédule
est volontairement dirigé vers l’Ecosse. Paradoxalement, si l’on projette sur la
Chapelle Rosslyn un rayon d’énergie à dessein de transmutation historique et
mondiale, l’énergie ricoche et aboutit instantanément ailleurs… La fameuse Chapelle
Rosslyn, savamment décorée de symboles mystiques afin d’attirer l’attention, a été
l’objet d’une propagande internationale, au travers de best sellers et des medias.
Enfin, tandis qu’un portrait aseptisé des Vieux Chevaliers est offert, l’intérêt du
public est dirigé vers les groupes Templiers et leurs descendants.
Les Chevaliers et leurs branches descendantes ont utilisé cette tête et ses mémoires
en lui attachant des entités et en la nourrissant au travers des siècles par des
bacchanales magiques et obscènes. Tout en la sustentant, ils ont contraint l’âme
attachée à ce corps physique. Ces têtes (tête=chefs) ont été honorées certes par
les chevaliers, mais ne leur appartenaient pas. Au travers de ces reliques, les
Templiers se sont emparés du pouvoir des défunts, car elles leur donnaient accès
aux âmes des décédés, certaines d’entre elles parmi les plus puissantes de
l’histoire humaine. Près de l’un des corps, les Templiers saisirent également un
trésor dont ils se servirent plus tard pour asseoir leur organisation.
Les têtes ayant appartenu à des époques différentes permettent également d’établir
des contacts, des ponts vibratoires avec d’autres espaces-temps. Cela a facilité les
recherches et exploits des chevaliers en ce qui concerne le chevauchement
multidimensionnel. Jusqu'à aujourd’hui, la disparition de la flotte templière,
comportant au moins 17 navires, reste un mystère. Leur flotte a-t-elle disparue dans
un couloir multidimensionnel ?
Lorsque les Templiers ont perdu leur statut, la Tête a été secrètement passée d’un
Ordre à l’autre, assurant la chaîne du pouvoir terrestre. Après avoir séjourné non
loin de l’Europe, le Caput a suivi les voyages organisés par les Ordres Secrets.
N’oublions pas qu’après leur chute, les Templiers ont essaimé tout autour du globe,
et notamment en Ecosse, au Portugal et aux Amériques. Au Portugal, ils ont ressurgi
sous la forme des Chevaliers du Christ. Parmi les Grands Maîtres et membres réputés
figurent Vasco de Gama et le Prince Henry le Navigateur. Christophe Colomb qui est
sensé avoir découvert les Amériques était marié avec la fille d’un Chevalier du Christ,
qui lui a fourni information et cartes. C’est donc sous la bannière de la
croix patte que les trois caravelles de Christophe Colomb sont arrivées au Nouveau
Monde.
" Le premier campement anglais à s'être établi au début du XVIIe siècle dans ce qui
est devenu par la suite les Etats-unis a été Jamestown (Virginie). (...). La propriété
des terres et des finances américaines a été assumée dès le début par la VIRGINIA
COMPANY, fondée en 1606 par le roi Jacques 1er (Ramsès-Piso-Bush). Jacques a
nommé Bacon chevalier et lui a assigné plusieurs rôles importants, dont Lord
Chancelier d'Angleterre. Pendant le règne de Jacques 1er, les Templiers, les
Rosicruciens et autres sociétés secrètes ont groupé leurs forces sous un seul nom - la
franc-maçonnerie.(...). Qui possède les actifs qui sont apparemment ceux de la
Virginia Company ? réponse : LE VATICAN. Le 3 octobre 1213, le roi Jean d’Angleterre,
en tant que "proprietaire de la Corporation Sole anglaise", a proclamé l'autonomie
pour tous les droits souverains de l'Angleterre (note de l’auteur : de la Virginia
Companie) et les a assignés au pape qui, en tant que vicaire du Christ, a proclamé sa
domination sur le monde entier. En retour, le pape a accordé le pouvoir exécutif sur
tous les territoires à la couronne britannique. En d'autres mots, la Couronne est la
directrice générale et le Vatican est le propriétaire (bien que le véritable propriétaire
soit celui qui contrôle le Vatican) » Refe\f
LE POUVOIR DU CAPUT
Les Dragons étaient les Créateurs et les Initiateurs de l’histoire terrestre. Le Sang
Royal est donc le Sang du Dragon et de ses descendants. La Lignée du Dragon, dont les
Mérovingiens ne sont qu’un maillon, ne recherchaient pas la consécration par une
Eglise, un pape ou une autorité quelconque, car ils étaient rois et prêtres de droit
divin et représentaient l’Ordre Universel. Ils portaient en outre, dans leur sang, l’ADN
du Dragon, tel qu’il avait été transmis et conçu pour un cycle de l’humanité.
La tête, dans laquelle sont logés le cerveau et les glandes principales, est le siège de
l’énergie et de laPrésence du Père. C’est dans la tête, reliée au chakra ou vortex
coronal que se trouve l’origine, l’émetteur-récepteur de la Volonté Divine, donc du
pouvoir absolu et total. Le Caput volé par les Templiers ayant appartenu à une âme
particulière, de sang royal et adombrée par l’Esprit , Moteur du Plan Divin, ce méfait
était, pour les Templiers, le moyen le plus sûr et le plus facile de s’inscrire dans la
marche de l’histoire de l’humanité et d’exercer le pouvoir.
- Le Dragon
- La Mère ou Déesse-Mère
Ces trois énergies passent par trois vortex ou plus exactement systèmes de vortex
terrestres. Pour simplifier, nous parlerons de trois vortex ou trois chakras :
Le sacrifice des Etres puissants, glorieux ou innocents et vierges pour insuffler la vie à
un temple ou donner la force à une armée, le sacrifice de saints chrétiens dont le
sang était répandu pour baptiser une nouvelle église en sont des exemples.
Lorsque les guerriers buvaient le sang de leurs frères sur le champ de bataille, ils
ingéraient les éléments de force et de bravoure des décédés. Mais en volant la tête
d’un individu, le magicien lui prend, au moins symboliquement, la volonté, la
puissance originelle de manifestation et le pouvoir politique et spirituel.
LE TEMPLE
Les dynasties pharaoniques du Dragon ont laissé des traces tangibles de leur passage
et de leur connaissance de l’architecture. Mais le récit de la construction du Temple
de Salomon rapporté dans la Bible laisse les archéologues perplexes. NOTE .Au
moment où les Rois David et Salomon sont supposés avoir vécu, la ville de Jérusalem
n’était qu’une petite bourgade sans importance. Selon les fouilles, Salomon n’avait
aucun palais dans lequel il aurait pu abriter son fabuleux harem.
Salomon était l’un des maillons importants de la chaîne. Notons au passage qu’il ne
pratiquait strictement la loi mais si l’on accepte la légende maçonnique, dont nous
parlerons plus tard, la construction de ce joyau aurait été laissée à la discrétion d’un
souverain étranger, Hiram de Tyr.
Le célèbre récit de la mort d’Hiram Abif, au cœur des rituels maçons, parle aussi de
la destinée de la LIGNEE et du Roi ainsi que de l’association du Roi avec la
CONSTRUCTION du TEMPLE.
Hiram Abif est un personnage composite dont l’origine exacte est encore inconnue. Il
ne s’agit certainement pas du Roi de Tyr, lequel, selon le récit Biblique, fur choisi par
Salomon pour l’assister dans la construction du temple. Ce roi se nomme Hiram :
« Hiram, roi de Tyr, envoya ses serviteurs vers Salomon, car il apprit qu’on l’avait oint
pour Roi. » I Rois, 5 :1.
Le deuxième livre des Chroniques (2 :14 et 4 :16) mentionne un certain Huram Abi ou
Huram AbiV, le « v » final n’apparaissant que dans certaines traductions. Ces noms
signifieraient Huram mon père ou Huram son père. Le mot Abi pourrait aussi désigner
un Maître ou un Conseiller.
Notons également l’interprétation de Knight et Lomas dans Hiram Key. Les auteurs
affirment que « Hiram signifie « Noble » ou « Royal » en Hébreu tandis qu’Abif a été
identifié comme un terme de vieux français qui signifierait « celui qui est perdu », ce
qui donne la description littérale suivante : « Le Roi qui était perdu ». 121
Ce qui est certain est que ce personnage apparaît abruptement dans les documents
maçonniques au début du XVIIIe siècle, en 1723. Il se trouve surgir du néant au même
moment qu’un nouveau grade dans la jeune Grande Loge de Londres, basé sur la
légende d’Hiram Abif. C’est aussi la période pendant laquelle les Loges Ecossaises et
londonienne se disputent le pouvoir.
Le nouveau grade, basé sur une histoire teintée de mystère et de symboles, avec un
fond vaguement biblique, permit à la Loge de Londres, créée à des fins politiques, de
se donner l’image d’un organisme occulte, qui marquerait le réveild’une lignée
traditionnelle. Ce désir de reconnaissance correspond au modèle répétitif des
fondateurs de sociétés mystiques à l’imagination fertile.
Néanmoins, les images et symboles repris par tous les étudiants de l’occulte sont
toujours une émanation, une interprétation de la Tradition unique et originale. Ils
sont aussi un résultat de la psyché de groupe de l’humanité et traduisent des
intuitions de la vérité.
Le souverain est celui qui construit le Temple. Son rôle, contrairement à celui des
sujets, ne se limite pas à la construction du temple personnel, mais à la construction
du temple divin ou Nouvelle Jérusalem, le temple spirituel et définitif, qui ouvre la
voie à la manifestation du Plan Divin.
Les souverains qui ont successivement représenté la Lignée n’étaient que des
intermédiaires, des points d’ancrage. Non seulement les souverains étaient humains
et donc sujets à la mort terrestre mais surtout le temps de l’avènement du Roi et de
la manifestation de la Nouvelle Jérusalem n’était pas venu. C’est pourquoi le roi
meurt et ressuscite. En Egypte, le rite funéraire du pharaon défunt est concomitant
avec le rite de couronnement du nouveau Roi. A sa mort le souverain défunt devient
Osiris et se retire sur Orion, tandis que le nouveau Pharaon endosse l’identité de
Horus le fils. Les deux personnages voyagent ensemble sur Orion où ils séjournent
avec les dieux. Le jeune pharaon, probablement assisté d’un narcotique, repose
inerte dans un sarcophage pendant plusieurs jours. Il ressuscite magiquement au lever
du jour, tandis que l’étoile du matin pointe à l’horizon .
Hiram Abif symbolise tous ceux qui, bien que de Sang Royal, ne participent qu’à la
construction du temple temporaire. Tout comme les pharaons qui font partie de la
Lignée, leur passage sur terre se termine par un avortement de leur projet, un
meurtre, une remise en cause par les circonstances. Ils sont voués à l’échec, car le
temps n’est pas propice. Des événements extérieurs, symbolisés par les ruffians, vont
donc précipiter la mort du Maître qui a refusé de révéler les secrets. 000000
Qu’en est–il du personnage de Jésus ? Nous ne discuterons pas dans cet ouvrage le
problème de l’authenticité de l’histoire de Jésus. Que ce dernier ait existé ou soit lui
aussi un personnage enjolivé ou créé par les manipulateurs de l’histoire pour fonder
une nouvelle religion ne change pas notre propos.
La Bible nous dit que Jésus avait douze apôtres. Les apôtres représentent les douze
extensions de l’Ame-Jésus. Jésus ou Joshua signifie « fils de Nun », fils du poisson. Au
premier siècle, Jésus introduit une nouvelle doctrine qui va dominer l’ère du poisson.
Ses disciples sont ‘pécheurs d’hommes’ et le miracle de la multiplication des poissons
peut être interprété comme l’arrivée subite d’un groupe de nouveaux disciples. Mais,
il est trop tôt par rapport au calendrier divin pour instaurer le Royaume. Jésus devra
donc s
Logiquement, le Roi revient, ressuscite, comme dans le mythe éternel de toutes les
religions terrestres :
« Tué par Typhon, notre père Osiris est enfermé dans son sarcophage au plus profond
de chaque homme. Il est la racine d’un corps glorieux qui ne ressuscitera qu’avec
l’aide de notre Mère Savante Isis dont les larmes sont un baume de vie. Tué par les
trois mauvais compagnons, Maître Hiram renaît au sein du nouveau maître. Les deux
surveillants arrachent le corps immortel (Feu + air) au corps périssable (terre + eau).
Le relèvement d’Osiris et celui de maître Hiram hors de leurs sépultures sont deux
images de cet objectif. La résurrection du Christ prendra le relais des enseignements
antiques. » Secrets de la Franc-maçonnerieEgyptienne, 234
Celui qui s’est incarné sous de multiples visages, symboliques et physiques, comme le
représentant Royal du Père, a accepté de léguer son pouvoir aux humains pendant des
siècles. Il a permis l’utilisation de son Essence, de ses mémoires, de son pouvoir, au
travers de son Sang, le sang du Dragon, mais aussi de ses Têtes.
Lorsque le temps est venu, au moment de la Résurrection, selon les cycles astraux et
solaires, le Roi revient et reprend son pouvoir. Lorsque le Roi reprend sa Tête, il
réveille en lui les mémoires et la commande du Père. Plus rien ne peut l’arrêter et ne
peut ralentir l’établissement de son Royaume, car son Royaume est la manifestation
de la Volonté du Père.
La Tête véritable, objet de vénération et objet d’usure des Sociétés Occultes a été
retrouvée et son pouvoir repris par son propriétaire. En vertu de cet acte de volonté
imprimé par un rite sacré, effectué inter-dimensionnellement au moment de
l’Equinoxe de Printemps (20/03/05), le pouvoir a été retiré officiellement de la main
des Ordres Occultes pour passer sur les épaules du successeur au Trône..
En vertu de cette décision, tous ceux, individus et groupes qui se sont arrogé, au
travers des siècles, le titre de Père de droit Divin, ou d’héritier, sont condamnés à se
plier à l’ordre naturel ou à s’effacer. Leurs organisations occultes, religieuses,
politiques accepteront la transmutation ou disparaîtront.
L’Ordre du Temple n’est pas le seul groupe religieux connu qui se soit donné le droit
de conserver les mémoires d’autres âmes. Les Tibétains conservaient et ornaient
(merci pour cette gentillesse) les crânes de leurs adeptes :
« La décoration rituelle de ces crânes débuta aussi loin qu’au 14 e siècle. On dit que
pendant la crémation d’un moine puissant, sa tête roulait hors du feu puis s’arrêtait
aux pieds des moines qui assistaient a la cérémonie. Cela était considéré comme un
signe attestant que le crâne ne devrait pas être détruit mais glorifié et utilisé comme
point focal de méditation (Note de l’Auteur : Je pense que le ‘signe’ était
uniquement un prétexte utilisé par les magiciens et les faibles qui usurpent le pouvoir
des défunts !) Aujourd’hui, on croit encore que les crânes peuvent être utilisés pour
capturer et enfermer la chair et le sang d’un démon. » (Short description of Gods,
Goddesses and ritual Objects of Buddhism and Hinduism in Nepal. Published in 1999
by the Handicraft Association of Nepal in Kathmandu).
Selon Nicholas de Vere, « le culte de la tête coupée, qui était part entière dans le
culte Celtique, a commencé avec les Druides, et par conséquent avec les Scythes. Des
exemples montrant que la tête est le siège de l’âme ainsi que la source de la sagesse
mystique, pourvoyeur de dons et richesses, sont exprimés tant dans la légende de la
tête de Bran le Beni que dans celle de Bendigaid Fran, Archi-druide de Bretagne. Cela
est répété dans le Mabinogion ; et les documents des jugements des Templiers, qui
possédaient une tête dont on disait qu’elle parlait avec une sagesse transcendante.
Cette tête, ainsi que celle de Bran, ont toutes deux été citées comme étant des
aspects du Graal avec lequel Bran et les Templiers sont associés. » Dragon Legacy, 79.