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M.Sami Zguira
Neurosciences comportementales :
Étude plus global, la recherche des bases biologiques des
comportements;
Exp : le rôle des systèmes neuroniques dans l’élaboration de
comportement intégrés …
Neurosciences cognitives :
Étude des mécanismes neuronaux des activités mentales comme le
langage, les représentations mentales, la conscience ou les
relations entre cerveau et pensée.
L’organisme est stimulé en permanence par notre environnement
Les yeux réagissent à la lumière
Le nez capte les odeurs,
Les oreilles sont sensibles aux bruit
La langue perçoit les saveurs des aliments,
La peau sensible à la température, à son contact avec les objets et
permet d’identifier leurs caractéristiques.
Ces organes sont associés à nos sens. Ce sont les organes sensoriels
Quand un organe sensoriel est stimulé, il génère des messages nerveux
de nature électrique, ces messages se propagent des organes sensoriels
vers le cerveau ou la moelle épinière et on les appelles :
« messages sensitifs afférents » qui empruntent le circuit des nerfs
sensitifs.
Il y a plusieurs types d’infos qui sont fournies au
SNC (encéphale + moelle épinière) :
Vision
Organe interne / muscle :
Tact
Ex: sensation de douleur
Audition
Olfaction
Gustation
Le système
nerveux
• Le plus important
système de
contrôle.
• Communique avec
tous les autres
systèmes.
Quelles sont le 3 fonctions fondamentales du système nerveux ?
• Intégration: Encéphale et la
m. épinière traitent et
interprètent l’info sensorielle
• Répondre de manière
appropriée :
– En envoyant des commandes
motrices aux effecteurs
(muscle, glande).
information sensorielle
Voies afférentes
Neurones sensitifs
Intégration
Interneurones
Neurones moteurs
Voies efférentes
réponse motrice
11
A quoi sert le SN ?
De quoi se compose le SN ?
Le système nerveux
périphérique (SNP) :
• Comporte tout ce qui se
trouve à l’extérieur du http://www.ac-
creteil.fr/Colleges/93/j
SNC. Transmet l’info moulinmontreuil/biofla
sh/animation/systnerv
13
eux/systnerv3.html
Le Système Nerveux Central (SNC)
Sympathique
Parasympathique
Le SNP
Formé de nerfs provenant
SNC
Transmission Perception
Nerfs
Transport de
l’information
Transduction
Récepteur
spécialisé
Signal électrique
Signal
physique
Elaboration des messages efférents
Construction du
mouvement
SNC
Transmission Commande
Nerfs
Transport de
l’information
Transduction
Effecteur
spécialisé
Signal électrique
Mouvement
B) Des commandes sont construites par le SNC
(encéphale + ME)
1e cas :
Stimulation Réponse
2e cas :
Stimulus
Voies afférentes Voies efférentes
(récepteurs vers SNC) (SNC vers effecteurs)
Système Nerveux
Périphérique
(SNP) S. Nerveux somatique S. Nerveux autonome
(muscles squelettiques)
(muscles lisses ou
cardiaque et glandes)
Sympathique Parasympathique
(Urgences) (Repos)
30
Psychophysiologie de la motricité
L’encéphale
Le cortex cérébral
Les fissures sont les profondes
rainures qui subdivisent chaque
hémisphère cérébral
Le cortex cérébral
Le cortex cérébral
Lobe Frontal
Lobe pariétal
Lobe occipital
Lobe temporal
Le lobe frontal
Aire
prémotrice
Cortex
(fonctions moteur
moteur) Aire
Aire du langage articulé primaire
sensitive
(aire de Broca) Cortex
somésthésique
Aire Aire
préfrontale auditive
Aire visuelle
Aire de l’association
Aire de
Wernicke
Homonculus
L’aire corticale motrice
L’aire sensitive
Les mouvements volontaires
• L’ordre du mouvement vient des neurones de l’aire corticale motrice
capillaire sanguin
Les gliocytes du SNC : astrocyte
1) les astrocytes :
- en forme d’étoile
51
Tissu nerveux
3) les épendymocytes :
- forme rectangulaire avec cils
- tapissent les cavités de
l’encéphale et de la moelle
épinière
- rôle : favoriser la circulation du
liquide cérébro-spinal tissus de l’encéphale
épendymocytes ou de la moelle épinière
52
Tissu nerveux
53
Tissu nerveux
corps cellulaire
gliocytes
neurolemmocytes ganglionnaires
neurofibre
54
La conduction saltatoire
La sclérose en plaques :
56
Tissu nerveux
57
Tissu nerveux
Axone: Axone
Axone (suite):
Terminaison d’un axone
59
Tissu nerveux
60
•
Types
Neurones multipolaires :
de neurones
– plusieurs dendrites et 1 axone.
– La plupart des neurones de l’encéphale et de la moelle épinière.
• Neurones bipolaires :
– 1 dendrite principal et d’un axone.
– Rétine, l’oreille interne et l’aire olfactive du cerveau.
• Neurones unipolaires :
– 1 seul prolongement à partir du corps cellulaire.
– Neurones sensitifs.
Selon le type de connexions établies
• Neurones sensitifs : Recevoir
– Traduisent l’information sensorielle de l’environnement en influx nerveux.
Gaine de myéline
Axone
Gaine de Schwann
Nœud de Ranvier
Arborisation terminale
Terminaisons axoniques
(boutons synaptiques)
• Constitution d’un neurone : véhicule l’information
Dendrites Axone
Nerf
Endoneurium
Axones
Tissu conjonctif *
Axones
Vaisseau sanguin
• Constitution d’un nerf (2)
Potentiel de repos = - 70 mV
• Le neurone et son potentiel membranaire de repos (3)
Extérieur de la membrane :
Ions positifs = surtout Na+ (et un peu de K+)
Surplus d’ions
Ions négatifs = Cl- surtout
positifs
Intérieur de la membrane :
Ions positifs = surtout K+ (et un peu de Na+) Surplus d’ions
Ions négatifs = portéines et ions phosphates négatifs
• Le neurone et son potentiel membranaire de repos (4)
Membrane
plasmique
Prot-
K+ Prot-
K+
Prot- Prot- Milieu
K+ intracellulaire 6 K+ et 12 ions -
K+ Prot-
Prot-
PO4- Prot- K+
Prot-
• Le neurone et les canaux ioniques
Na+
[K ] [Na+] [K+]
[Na+]
(1) On trouve des canaux ioniques passifs : (2) On retrouve une pompe
Na+/K+ qui fonctionne tout le
- A Na+ : toujours ouverts, laisse entrer le Na+ temps
- A K+ = toujours ouverts, laissent sortir les K+
Laisse sortir 3 Na+ et entrer 2
Il y’a plus de canaux à K+ que de canaux à Na+, K+
donc il y’a une sortie nette des charges + :
Elle permet la répartition
l’intérieur du neurone est chargé – et inégale des Na+ et K+ de part
l’extérieur est chargé +. et d’autre de la membrane
• Le neurone et son potentiel membranaire de repos (5)
Dépolarisation
Répolarisation
Hyperpolarisation
Stimulation
PA
Pour générer un PA :
Stimulation > SEUIL (de stimulation)
Pour générer un PA :
Stimulation > SEUIL (de stimulation)
Intérieur de l’axone
A l’endroit où s’exerce le stimulus, on a une ouverture des
canaux à sodium qui provoquent une entrée massive de Na+,
ce qui entraîne un changement de polarité membranaire.
La membrane est plus perméable au Na+ qu’au K+ pendant la
dépolarisation, jusqu’au pic du PA.
Intérieur de l’axone
Le point dépolarisé reprend rapidement sa polarité car :
➢ fermeture des canaux à Na+
➢ Ré-ouverture des canaux à K+ (augmentation de la
perméabilité membranaire au K+)
PA
Étape 3: Hyperpolarisation
• Les canaux de K+ restent longtemps ouverts et
beaucoup de K+ peut quitter le neurone
• La potentiel descend à moins de -70 mV
• C'est un état d'hyperpolarisation ou le
neurone ne peut pas répondre à un autre
stimulus
Étape 4: Retourne au repos
• Le potentiel de repos est rétabli par les
pompes Na+/K+ qui retournent les ions de Na+
à l'extérieur et ramènent le K+ à l'intérieur
Sommaire:
-50
• Le neurone et le potentiel d’action : les périodes réfractaires
Influx nerveux =
propagation du PA
Nœud de Ranvier
Conduction saltatoire
• Le neurone et le potentiel d’action : propagation du PA ou influx nerveux le
long de l’axone
Neurone
présynaptique
Neurone
postsynaptiqu
e Neurone
présynaptique
Neurone
postsynaptique
• La synapse (4)
2 types de synapses
Synapse chimique
Synapse électrique
Sécrétion de substances
Assez rares chez l’homme.
chimiques (neuromédiateur)
Déroulement de la synapse
chimique
Les étapes de la synapse
Repos
Bouton terminal
du neurone
présynaptique Membrane
postsynaptique
Fente
synaptique
Arrivée du potentiel d’action
Canaux TD à
Ca2+
Vésicule
présynaptique
Bouton terminal
(synaptique)
Neuromédiateurs
Fente synaptique
Na+ K+ Cl-
Récepteurs
Membrane post-synaptique
Canal
Canalionique
ioniqueouvert
fermé
Ce ne sont pas toujours des canaux à sodium qui s’ouvrent.
Selon le type de canal qui s’ouvre, le neurotransmetteur peut avoir deux
effets contraires :
La sortie de K+ fait
augmenter la polarité
Ouverture de canaux à Na+
Neurotransmetteur excitateur
==> PPSE (potentiel postsynaptique excitateur)
Neurotransmetteur inhibiteur
==> PPSI (potentiel postsynaptique inhibiteur)
Le GABA est un
neurotransmetteur
inhibiteur
Un neuromédiateur d’excitation induit une dépolarisation (PPSE=potentiel postsynaptique excitateur)
17
Un neuromédiateur inhibiteur induit une hyperpolarisation (PPSI=potentiel postsynaptique inhibiteur)
Un potentiel postsynaptique excitateur (PPSE)
ou motoneurone
• La sommation spatiale :
Comme une cellule nerveuse peut recevoir plusieurs synapses: possibilité d’avoir
ajout de plusieurs PPSE en même temps.
• La synapse
Arrivée de messages
nerveux présynaptiques
successifs
Molécules de
neurotransmetteurs
Un motoneurone peut
innerver plusieurs fibres
Unité motrice musculaires. L’ensemble
des fibres musculaires
innervées par les
Jonction ramifications d’un même
neuromusculaire motoneurone constitue
une unité motrice. La
synapse entre un
motoneurone et une
fibre musculaire est dite
jonction neuromusculaire: lieu de communication
entre les systèmes nerveux et musculaire.
Le processus de la contraction
musculaire est initié par une
stimulation nerveuse,
provenant du cerveau ou de la
moelle épinière. L’impulsion
nerveuse arrive aux extrémités
du nerf, formant
l’arborisation terminale de
l’axone, adjacent au
sarcolemme.
137
Quand la
stimulation arrive au
niveau du bouton
synaptique, il y a
sécrétion d’un
neurotransmetteur,
l’acétylcholine
(ACh), qui se fixe
sur les récepteurs
spécifiques du
sarcolemme.
Si une quantité suffisante d’ACh
se fixe sur les récepteurs, un signal
électrique apparaît qui peut se
transmettre à l’ensemble de la fibre
musculaire grâce à l’ouverture de
canaux ioniques membranaires
permettant l’entrée du sodium
dans la cellule.
Ce phénomène, appelé dépolarisation, est
à l’origine du potentiel d’action,
indispensable pour qu’apparaisse la
contraction musculaire.
Après la
dépolarisation du
sarcolemme
l’impulsion
électronique se
propage à l’intérieur
de la cellule par le
réseau des tubules
transverses (tubules
T) et le réticulum
sarcoplasmique.
L’arrivée du potentiel d’action entraîne la libération des ions
calcium (Ca2+) stockés dans le réticulum sarcoplasmique
Flexion et extension d’un
membre
Inactif pendant
une flexion
Neurone moteur
du triceps inhibé
Neurone moteur
du biceps activé
FLEXION
Les neurones dont le corps cellulaire est vert génèrent des PPSE,
ceux en rouge génèrent des PPSI
Lorsque le neurone responsable de la flexion est actif, le neurone
responsable de l’extension est au repos.
Que faudrait-il ajouter pour que le neurone responsable de l’extension
soit bien au repos au cours d’une flexion?
Neurone
inhibiteur
Le contrôle réflexe de la
motricité
I. La notion de réflexe
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nécessite la
présence d’au
Réagit au stimulus moinsl’information
Transmet 5 éléments
sensorielle
du Récepteur au SNC
1 Récepteur
sensoriel Neurone afférent
Centre d’intégration
dans le SNC
Efférence motrice
➢polysynaptique
Il existe 1 ou plusieurs neurones d’association,
appelés aussi interneurones, entre afférences
sensorielles et efférences motrices
Interneurone ou
Efférence motrice
Le système nerveux autonome Le système nerveux somatique
SN de la régulation du SN de la relation avec le
milieu intérieur milieu extérieur
Les réflexes viscéraux
Les réflexes somatiques
régissent l ’activité des
stimulent les muscles
muscles lisses, du muscle
squelettiques.
cardiaque et des glandes, de
même que diverses Exemples : réflexe de
fonctions. retrait de la main d ’un
objet brûlant, réflexe
Exemples : réflexe
rotulien, mettre les
salivaire, réflexe
mains en avant quand
pupillaire, transpiration...
on tombe...
Par définition
Les réflexes spinaux ne font intervenir que des
neurones de la moelle épinière et se produisent
sans que l’encéphale y participe.
➢ La moelle épinière est alors le centre
d’intégration dans l’arc réflexe.
R
CI : ME
E
II. Les réflexes spinaux somatiques
Le système nerveux somatique fonctionne grâce à
des réflexes qui impliquent des boucles neuronales
dans lesquelles les neurones moteurs ont leurs corps
cellulaires dans la moelle épinière
?
E: Mn
: CI
Q
ue
lle
Les Mn reçoivent
3 sources d’informations
afférentes.
2 1
3
Les reçoivent des afférences provenant :
Mn Source 1
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La densité de
récepteurs varie en
fonction des muscles :
Densité importante
➢Muscles de la main et
des doigts
➢Muscles extra oculaires
Densité faible
➢Muscles posturaux
Les fuseaux Ganglion spinal
neuromusculaire (FNM)
sont innervées par des
terminaisons sensorielles
de 2 types de neurones
dont les corps cellulaires
sont situés dans un
ganglion spinal de la racine FNM
dorsale de la moelle
épinière.
On distingue donc 2 types
d’afférences sensorielles
Afférences fusoriales de type Ia ou
terminaisons sensitives primaires
afférences de type Ia
Elles sont activées
par l’allongement
de la région de la
fibre sur laquelle
elles reposent.
afférences de type II
Afférences fusoriales de type II ou
terminaisons sensitives secondaires
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afférences fusoriales
au cours de l’étirement
du muscle
II
Ia
Excitation des Mn
Contraction du
muscle
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2. Activation
1. Étirement du des neurones
muscle qui sensoriels
stimule les FNM
3. Transmission de
5. l ’information aux
Contraction Mn du muscle
du muscle 4. Activation étiré
des Mn
C’est ce type de circuit monosynaptique que teste le
neurologue lorsqu’il percute votre tendon situé sous le
genou à l’aide d’un petit marteau, provoquant en retour la
contraction réflexe du quadriceps.
FNM
Ia
Percussion du tendon du quadriceps
quadriceps
Mn
Le réflexe tendineux
Le réflexe myotatique est
donc un réflexe
d’étirement
En effet : la tension (contraction) d’un muscle augmente
de manière réflexe en réponse à son propre étirement.
Activation
du Mn
Mn
Mn
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Axone Ia
Activation
du Mn
Mn
Axone Mn
Axone Mn
Activent la
Afférences partie polaire
fusimotrices contractile des
fibres qu’elles
innervent.
tendon
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Remarque : l ’activation des Mn
et des Mn a des effets opposés
sur la décharge des fibres
sensorielles
- l ’activation des Ia leur activité
Mn seule tend à réduire
- l ’activation des Mn tend à l ’augmenter
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Le contrôle spinal des
unités motrices
B/ Par des interneurones spinaux excitateurs ou
inhibiteurs
L ’inhibition réciproqu
e Les fibres Ia du
muscle étiré
s ’articulent avec
des
interneurones
inhibiteurs en
contact
synaptique avec
les Mn des
muscles
antagonistes (ici
le triceps)
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2
1
++
-+
-
+ contraction
relâchement relâchement
contraction
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Tous les muscles
squelettiques présentent
cette sensibilité réflexe,
particulièrement les muscles
posturaux
Pourquoi?
antigravitaires.
Parce que ça leur permet d ’entretenir leur
contraction et de corriger toute variation
involontaire de façon simple.
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Le Réflexe myotatique et ceux qui l’accompagnent
Ia
Int.
Mn inh.
FNM Antagoniste
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Situation Perturbation
2
1
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Explicati
on
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Résultat
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Réflexe myotatique testé par le réflexe rotulien
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Le contrôle spinal des unités motrices
B/ Par des interneurones spinaux
excitateurs ou inhibiteurs
L ’inhibition réciproque
OTG : Récepteurs
encapsulés présents
au niveau des
jonctions
myotendineuses
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notamment.
L ’OTG est constitué de faisceaux de collagène entourés
par une capsule.
Les fibres de collagène s
fibres
’insèrent :
- sur les fibres musculaires
musculaires
Gray matter
+
- X
Contraction
-inhibiteurs
en contact avec les Mn des muscles synergiques (voie
généralement disynaptique)
Inhibition des muscles agonistes
-excitateurs (une voie polysynaptique)
en contact avec les muscles antagonistes
Excitation des muscles antagonistes
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LE REFLEXE MYOTATIQUE
INVERSE ET L’INNERVATION
RECIPROQUE
Contraction du quadriceps
augmentation de
tension dans tendon
rotulien sur lequel il
s’attache
stimulation des OTG
relâchement du
quadriceps (extenseur) et
contraction des muscles
de la loge post de la
cuisse (fléchisseurs)
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Le contrôle spinal des unités motrices
B/ Par des interneurones spinaux
excitateurs ou inhibiteurs
L’inhibition réciproque
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Transmission de
l ’information
2. Activation
1. Arrivée du du neurone
aux centres
stimulus et supérieurs par
sensoriel
activation du une collatérale
récepteur sensation
5. Con traction
du fléc hisseur
3. Processus
i ntégratif dans le
4. Activation SNC
des Mn
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Le Réflexe ipsilatéral de flexion
Apparaît comme une légère flexion
articulaire ipsilatérale de courte durée,
en réponse à une stimulation tactile légère
de l’extrémité du membre
Réflexe ipsilatéral de flexion.
Son but:
éloigner de façon automatique du stimulus
la partie du corps menacée.
D’autres effets peuvent se surajouter
selon que le stimulus réflexogène est
léger, intense ou prolongé.
quand la stimulation est forte, un
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LE REFLEXE IPSILATERAL DE FLEXION
+
+
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C ’est donc un réflexe de retrait, de défense
qui affecte la musculature squelettique en réponse à
des stimuli généralement douloureux ou agressifs
-réels (quand on se pique ou se brûle légèrement)
-ou perçus (flexion du tronc si quelqu ’un veut vous
donner un coup de poing dans l’abdomen)
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Connections
des AFR
-indirectes excitatrices avec les Mn des muscles
fléchisseurs du membre stimulé,
-indirectes inhibitrices avec les extenseurs du
même membre
Le Réflexe de flexion est polysysnaptique.
Il comporte au moins 1 interneurone (généralement
plus) latence supérieure à 2.5-3 msec
Les mouvements engendrés sont donc fonction
de l’intensité et de la durée de la stimulation
(contraction et durée de contraction ◆ avec
l’intensité)
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LE REFLEXE DE FLEXION
FAIT INTERVENIR
PLUSIEURS SEGMENTS
DE MOELLE EPINIERE
Les interneurones
intercalés entre la
voie afférente et les
Mn susceptibles de
fonctionner comme
voie efférente
assurent la réponse
en fonction de
l’intensité du
stimulus (cf.réseau)
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Souvent les réflexes ne se limitent pas au membre
stimulé et la flexion ipsilatérale s’accompagne d’une
extension controlatérale.
L’arc réflexe fait intervenir une chaîne
d’interneurones qui excitent les extenseurs et
inhibent les fléchisseurs contralatéraux
C ’est le réflexe de flexion-extension croisée
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LE REFLEXE DE FLEXION-EXTENSION CROISEE
Flexion Extension
www.physiologie.s taps.univ-mrs.fr
Réflexe de
flexion/extensi
on croisée
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Réflexe de
flexion/extensi
on croisée
+
+ +
- + - +
Membres
- - + inférieurs
+
Flexion Extension
www.ph ysiologie.staps.univ-mrs.fr
St Réflexe de
flexion/extensi
on croisée
+ +
- + + + Particulièrement important
+ - pour la maintien de l’équilibre
- + Flexion h o
mo
la
té
re
(-quadriceps, + muscles
+ - loge post de la cuisse)
Extension controlatérale
(+quadriceps, - muscles loge
post de la cuisse)
Membres
supérieurs
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Il peut y avoir
généralisation du
réflexe à l’ensemble
des autres membres
(toujours pour maintenir la posture nécessaire à la
flexion du membre stimulé)
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Car il existe des
neurones spinaux qui
établissent des
connexions
longitudinales à + ou
– longue distance
d’un segment
médullaire à l’autre,
sans jamais sortir
de la ME (cf.
S1-U1-Phy1).
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Les réflexes à partir des AFR
sont pour la plupart des
réflexes deprotection
conduisent à la réalisation de
mouvements coordonnés
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Nous avons vu que les afférences des Mn proviennent:
directement des neurones des ganglions sensoriels
d’interneurones spinaux
excitateurs ou inhibiteurs, faisant partie de circuits
impliqués dans les programmes moteurs spinaux.
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Le contrôle spinal des unités motrices C/
Par les niveaux supra spinaux
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Dans le réflexe myotatique, l’inhibition réciproque est
réalisée par des collatérales d’une même afférence.
Les informations descendantes supra spinales utilisent
ce type de circuit pour prendre le pas sur les
réflexes myotatiques.
1. Vous commandez volontairement la flexion du coude
2. L’action résultante sur les muscles antagonistes
extenseurs (étirement) devrait s’opposer à la flexion.
3. Ce n’est pas le cas car les voies descendantes qui
activent les Mn alpha des fléchisseurs activent des
interneurones inhibiteurs en contact avec le Mn
alpha des extenseurs.
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Modélisation de circuits neuronaux susceptibles
de rendre compte de l’alternance
flexion-extension au cours de la locomotion
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