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CHPITRE 1O : LE DIHYBRIDISME
½L ¼ bL
½b
½l ¼ bl
> 2ème croissement (autofécondation)
Parents : F1 (noir poil court) X F1 (noir poil
court)
Phénotypes : (BL) (BL)
Gamètes : ¼ BL , ¼ Bl ¼ BL , ¼ Bl
¼ bL , ¼ bl ¼ bL , ¼ bl
¼ BL ¼ Bl ¼ bL ¼ bl
¼ BL
( ) ( ) ( ) ( )
¼ Bl
( ) ( ) ( ) ( )
¼ bL
( ) ( ) ( ) ( )
¼ bl
( ) ( ) ( ) ( )
Parent homozygote
Parent dominant
recessif
(Génotype inconnu)
¼ BL ¼ Bl ¼ bL ¼ bl
1bl ¼ ¼ ¼ ¼
Résultats :
¼ noir court ; ¼ noir large ; ¼ blanc court ; ¼ blanc long
Le résultat est un rapport phénotypique (1 : 1 : 1 : 1)
2ème hypothèse : l’individu (BL) est de
génotype hétérozygote pour l’un des
deux loci
Parents : noir à poil court X blanc à poil long
Phénotypes : (BL) (bl)
Génotypes :
Gamètes : ½ BL ; ½ bL 1bl
½ BL ½ bL Résultats :
½ noir court ; ½ blanc
1bl ½ ½
court
Le résultat est un
rapport phénotypique
(1 : 1)
3ème hypothèse : l’individu (BL) est de
génotype homozygote pour les deux loci
Parents : noir à poil court X blanc à poil long
Phénotypes : (BL) (bl)
Génotypes :
Gamètes : 1 BL 1bl
1 BL Résultats :
100% (BL)
1bl 1
Conclusion
Un test cross à partir d’individu hétérozygote
donne un rapport phénotypique de (1 :1 :1 :1)
Remarque :
1 :1 :1 :1 est le résultat du test cross dans le cas
d’une ségrégation indépendante de deux gènes.
Exercice 2
Chez la tomate, la hauteur des plantes dépend d'une
paire d'allèles (D-d) ; les plantes de grande taille sont
porteuses de l'allèle dominant D. D'autre part, la pilosité
des tiges dépend d'une paire d'allèles (H-h); l'allèle
dominant H provoque la formation de tiges velues.
CHPITRE 11:
LE POLYHYBRIDISME
Polyhybridisme
Trihybridisme
Soit trois gènes :
Phéno (a⁺b⁺c⁺) X (a b c)
Géno
⁺ ⁺ ⁺
8 gamètes
1/8 a⁺b⁺c
1/8 a b c⁺
1/8 a⁺b c
1/8 a b⁺c⁺
1/8 a b⁺c
1/8 a⁺b c⁺
1/8 a⁺b⁺c⁺
1/8 a b c
2ème croissement
Le tableau de croissement de 8 types de
gamètes pour chaque parent sera avec 64
cases. Pour déterminer les fréquences
génotypiques puis identifier les phénotypes
et les regrouper, une autre méthode plus
adaptée est celle des embranchements.
La méthode des embranchements
Il est plus facile de considérer chaque caractère, chaque paire
de phénotypes et chaque paire d’allèles séparément puis
combiner les résultats par la méthode des embranchements
sur la base de ségrégation indépendante.
phénotype : (a⁺b⁺c⁺) X (a b c)
génotype :
1abc
Polyhybridisme
Dans le croisement impliquant n’importe quel nombre de paires d’allèles qui
ségrégent indépendamment, la définition des gamètes, des génotypes et des
résultats phénotypiques est assez complexe.
Par exemple:
dans le croissement AaBb X AaBb -- n=2 ;
AaBbCc X AaBbCc -- n=3 ;
AaBBCcDd X AaBBCcDd -- n=3. puisque les deux parents sont homozygotes
pour le gène B
CHPITRE 12 : LE DIHYBRIDISME
Limite supérieure :
CHPITRE 11:
LE TEST 3 POINTS
M : BOULDJADJ.R Année Universitaire 2018-2019
Présentation
D’après la F1 :
cn+ est dominant sur cn
vg+ est dominant sur vg
b+ est dominant sur b.
2- Nombre de gènes :
Nous prenons chaque caractère séparément :
P2
vg+ cn+ b+ vg cn b P2
vg+ cn+ b+ vg cn b
Et voici le génotype de la F1 : vg+ cn+ b+
vg cn b
Additivité des distances
Nous remarquons que les
deux distances
intermédiaires ne sont pas
additives : 9,7 + 10,8 =
20,5 et non pas 19,5.
Schématisons un triple
hétérozygote avec l’ordre
correct des gènes et en
délimitant deux
intervalles : l’intervalle I
entre le gène vg+/vg et le
gène cn+/cn, l’intervalle
II entre le gène cn+/cn et
le gène b+/b. Considérons
les possibilités suivantes :
Lorsqu’il n’y a pas de C.O, on obtient les classes 1 et 2.
Ce sont les catégories parentales.