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Le présent module est conçu sur base des plusieurs théories émises dans la cadre de
développement ainsi que sur base de certaines pratiques de terrain. L’étudiant ayant suivi
développement
- Conduire une analyse des toutes les parties prenantes dans une action de
- Connaître l’importance des risques dans la gestion d’un projet et savoir comment
- Accompagner les communautés, le secteur public et privée dans toutes les étapes d’un
projet de développement.
Plan du cours
Chapitre 1. Le cycle d’un projet
1 .1 . Qu’est ce qu’un projet
1.2. Les différentes phase dans un projet
1.3. La gestion du cycle de projet
1.4. La nuance entre projet, programme, projets d’urgence projets de relèvement et les
projets de développement
Situation du Situation
départ/initiale caractérisé souhaité sur le
par les conditions de vie Projet : plan social,
médiocres dans le domaine action/activi économique,
social, économique, té a mener
culturel, sanitaire,
infrastructure….
1
Cité par Tony NOCE et Patrick PARADOWSKI, Elaborer un projet, guide stratégique de l’intention à l’action.
Lyon, Chronique sociale, 2005, p14
1.2. Les étapes d’un projet
Un projet c’est comme un cycle de vie qui passe par la conception, la naissance, la
croissance et la mort.
La structure de tout projet passe par différentes phases qui correspondent, plus ou
moins à différentes étapes temporelles. Ces étapes ne sont pas toujours strictement
linéaires ou chronologiques, mais peuvent varier ou interagir entre elles dans le cycle de
gestion ou le cycle de vie des projets de développement.
Le cycle de projet comprend une séquence logique qui commence par une stratégie
convenue (= Programmation), basée sur l’idée d’une action précise (= Identification). Celle-
ci est formulée (= Elaboration - Formulation), les fonds nécessaires sont recherchés (=
Financement), elle est exécutée (= Exécution et Suivi) et évaluée (= Evaluation).
Programmation
IDENTIFICATION
EVALUATION
ELABORATIO
N
FORMULATIO
N
EXECUTION ET SUIVI
Financement
Schéma du cycle de projet selon le modèle de la Banque Mondiale
Etape 1 : Programmation
C’est la première étape, elle va au delà de l’identification ou de la proposition d’un seul
projet. Il s’agit de définir les objectifs, les orientations et les principes généraux de
l’organisation, en fonction de l’analyse des problèmes et potentiels de la population et de
la propre institution. En quelques mots, c’est la direction que vont suivre les collaborations
et interventions de notre organisation.
Etape 2 : Identification
Cette étape consiste a l’analyse des problèmes, analyse des besoins, analyse intérêts des
personnes impliquées, analyse des objectifs ainsi que l’analyse des alternatives. On
identifie et on examine les idées du projet et les aspects qui y sont liés. Durant cette
phase on peut procéder a une enquête sous forme diagnostic participatif, des études
sectorielles, thématiques ou de préfaisabilité du projet en vue de passer a la formulation
d’une intervention.
Etape 3 : Elaboration - Formulation
Cette étape consiste a examiner tous les aspects importants de l’idée du projet en étroite
collaboration avec les principales parties intéressées. Durant cette phase, les plans de
travail sont élaborés avec précision, dont le Cadre Logique, avec ses indicateurs de
résultats, les indicateurs d’impact, ainsi que les calendriers d’activités et de ressources.
Ces documents sont la base de la proposition pour la recherche de financement. De leur
qualité dépendra donc la possibilité de trouver des partenaires ou des bailleurs pour le
financement et l’exécution du projet.
Etape 4 : Financement
Apres avoir franchis ces étapes ci haut citées, il faut maintenant penser au
financement du projet. Pour obtenir ces fonds, une bonne planification du projet n’est
pas suffisante.
Cette etape est souvent un point critique pour les projets des plusieurs organisations.
Si le projet est a soumettre a un bailleur de fonds externe, Il faut aussi que sa
présentation soit adaptée aux exigences particulières de chaque agence donatrice. Cela
implique de documenter comme il se doit la proposition et la trajectoire institutionnelle
qui devrait permettre d’exécuter le projet avec succès.
Etape 5 : Exécution et suivi
Une fois les moyens matériels et humains réunis, ils sont utilisés
pour atteindre les objectifs du projet. Durant cette phase, on suit
les avancés réelles du projet pour pouvoir l’adapter aux changements
de l’environnement du projet(contexte). Le suivi et l’évaluation sont
les outils principaux de la garantie du bon déroulement du projet. Le
suivi nous permet de juger si l’avancement du projet correspond à
ce qui a été planifié et de savoir s’il faut y introduire des
changements pour s’adapter à des imprévus non pris en compte dans
la planification initiale. Le suivi mesure avant tout les activités et les
résultats.
Etape 6 : Evaluation
L’évaluation consiste à apprécier - systématiquement et le plus objectivement possible -
un projet en cours ou terminé, selon l’ensemble de ses lignes d’actions, sa conception
initiale, son exécution et ses résultats.
Il s’agit de déterminer la pertinence de ses objectifs et leur degré de réalisation, son
efficacité, son impact et sa durabilité.
NB : Dans la pratique, la durée et l’importance de chaque phase varient selon les projets.
Cependant, la méthodologie reste la même pour tous les projets.
Le processus d’identification dans un projet commence après qu’on ait fait une
programmation. Si le projet est élaboré au sein d’un cadre institutionnel existant, avec
une vision, mission et objectif bien définis comme institution, la programmation
consistera simplement a mettre en place le cadre d’élaboration du projet. C’est ainsi que
d’autres écolesconsidèrent cette phase d’identification et diagnostic comme la première
phase dans les 4 principaux cycles du projet.
Dans l’environnement d’un projet ; il ya des éléments qui peuvent avoir une influence
négative sur le projet (les menaces), et sur lesquels le directeur du projet n'a pas de
contrôle direct. En revanche, il peut y avoir des développements positifs dans
l'environnement que le projet peut ou pourrait mettre à profit. Il est très utile de
reconnaître et d'exploiter ces facteurs positifs (les opportunités) au profit du projet.
Il peut même être possible de stimuler certains de ces développements positifs,
certains par le biais d'activités directes (éducation, formation, etc.), d'autres par le
biais d'autres facteurs influencés.
Pour pouvoir attaquer ces facteurs (positifs et négatifs), le directeur de projet doit se
poser les questions suivantes:
- Quels facteurs pertinents (positifs et négatifs) peut influencer le projet?
- Quelle est l'importance de ces facteurs pour l'accomplissement du projet?
- Quel degré de pouvoir a le projet sur tel facteur?
- Que peut-on faire pour attaquer tel facteur?
- Avec quels partenaires de la coalition peut-on faire appel pour influencer ces facteurs
qui ne peuvent être influencés directement
Les différents facteurs environnementaux dans lequel on veut faire un projet du projet
peuvent être classés par catégorie suivante :
a. Classification des facteurs par «entrée-sortie» :
• les facteurs lies à la fourniture d'inputs (personnel, matériel, équipement, capital,
etc.);
• les facteurs lies à la demande de produits/services par les groupes cibles;
• les facteurs lies aux politiques/législations influençant l'accomplissement du
projet/organisation;
• les facteurs de concurrence et de coopération influençant l'accomplissement du
projet/organisation.
B. La Classification par discipline :
• les facteurs physiques (par ex. les risques de sécheresse affectent l'agriculture);
• les facteurs infra structuraux (par ex. routes, alimentation électrique, lignes de
communication, affectant la commercialisation);
• les facteurs technologiques (par ex. de nouveaux développements technologiques);
• les facteurs commerciaux/économiques/financiers (services financiers, tendances
économiques, etc.);
• les facteurs psychologiques/socioculturels (par ex. les attitudes à l'égard des
risques du crédit);
• politiques/légaux (par ex. la législation gouvernementale sur les taux d'intérêt).
Les facteurs au sein du projet peuvent souvent être contrôlés, mais les facteurs en
dehors du projet ne peuvent généralement qu'être influencés, d'autres facteurs
(souvent des développements macro-économiques) peuvent à peine être influencés, ils ne
peuvent qu'être compris ou appréciés. Certains de ces facteurs (par ex. la politique
d'intérêt de la banque nationale) ne peuvent pas être influencés directement, mais il est
possible de le faire indirectement (par ex. par des contacts avec des bailleurs de fonds
internationaux tels que la Banque mondiale).
Politique et
règlements
Organisation
Sources Demande
de Entrées Processus Sorties des
provisions utilisateurs
Compétition
et
coopération
Exemple d’analyse du projet sur le problème de conflit foncier dans un village
Politique / règlements
Groupes armés actifs actifs
dans le milieu
Competition / cooperation
NB : L’analyse des facteurs peut-être réalisée par le schéma ci haut (analyse de
l’environnement) si l’intervention du projet est précise, ou l’arbre à problèmes si
l’intervention du projet n’est pas encore bien définie.
B. Analyse des parties prenantes dans l’action de développement
L’analyse des acteurs devra être faite comme une sous-étape du développement de la
théorie de changement car tout changement renferme deux éléments : qui change et
quoi changer.
Elle consiste en l’identification des parties prenantes clés dans un processus de
planification ou de changement, une appréciation de leurs intérêts et la manière
probable dont ces intérêts influeront sur le processus de planification. Lors de la
conception d’un projet, l’analyse des parties prenantes permet d’identifier les formes
appropriées de participation des parties prenantes.
- Qui sont les parties prenantes ?
- Les personnes affectées par le problème
- Les personnes ayant un intérêt pour le problème
- Les personnes qui peuvent influencer le problème
- Pourquoi sont-elles importantes ?
- sont-ils des alliés, indécis ou opposants ?
- Peuvent-elles être influencées ?
L’analyse des parties prenantes vise a :
✓ découvrir les intérêts des parties prenantes par rapport au problème que l’on
tente de résoudre.
✓ identifier les conflits d’intérêts
✓ identifier les relations que l’on peut établir entre les parties prenantes
✓ trouver le type de participation appropriée des différentes parties prenantes
aux différents stades du processus de planification.
La participation des parties prenantes doit permettre à celles-ci de jouer un rôle actif
dans la prise de décision et dans les activités qui en découlent et qui auront un effet
sur elles.
L’analyse des parties prenantes passe par les étapes suivantes :
Etape1 :Brainstorm (dresser la liste) de toutes les parties prenantes par rapport à votre
question; écrivez les dans le tableau appelé “tableau d’analyse des parties prenantes”.
Etape 2 :Appliquer 3 questions pour filtrer la liste/juger les parties prenantes:
A quel degré la partie prenante est-elle d’accord ou en désaccord avec votre position
?(Attitude)
Comparativement aux autres, avec quelle importance la partie prenante considère le
problème ? (Importance : L’importance indique la priorité à donner pour satisfaire les
besoins et les intérêts des parties prenantes au cours de la planification et de sa mise
en œuvre aux fins de leur réussite.)
Comment est-il influent sur le problème, comparé aux autres parties
prenantes? (Influence : L’influence est le pouvoir qu’ont les parties prenantes sur le
processus de planification et de mise en œuvre. C’est la mesure dans laquelle des
personnes, des groupes ou des organisations sont capables de persuader ou de forcer
d’autres personnes, groupes ou organisations à prendre des décisions et à entreprendre
des actions.)
Pour faire un jugement bien éclairé pour répondre à ces questions, vous devez
compléter cette démarche par une recherche approfondie. Peut-être allez-vous
subdiviser les catégories des parties prenantes en groupes qui partagent la même
position ou le même intérêt.
Etape 3 :Transférer les informations dans la matrice de priorité de l’audience
Exemple du tableau d’analyse des parties prenantes pour notre cas de problème foncier
ci haut étudié
1.Tableau d’analyse des parties prenantes
Parties prenantes Attitude de la Importance du Influence de la
partie prenante projet pour la partie prenante
par rapport au partie prenante sur le problème
problème
Autorités 0 F H = élevée
religieuses
Pour
Pour
au problème
Très Principaux
contre opposants
De cette matrice vous pouvez identifier qui sont vos plus alliées ou opposants les plus
significatifs et qui ont plus d’influence neutre que vous pouvez faire passer de votre
côté. Les groupes des parties prenantes ne sont pas fixes dans leurs positions et la
matrice peut vous aider à voir comment créer un pouvoir additionnel à votre stratégie
pour :
- Pour les alliés ayant un intérêt élevé et une faible influence : créer des alliances
- Pour les alliés avec influence élevée mais faible intérêt : les convaincre de l’importance
de la question
- Ceux ayant une influence neutre/opposants doux : convaincre cette partie prenante à
adhérer à votre position
- Pour les alliés avec peu d’influence : vous pouvez les aider à augmenter leur influence.
Principalement pour les opposants ayant une grande influence : vous pouvez essayer de
réduire l’influence cette parties prenante.
Analyse de la structure
Notons que le projet est exécuté a travers une structure bien déterminé, mais aussi
une structure peut être mis en place au même moment qu’un projet. La manière dont
cette structure est organisé a des répercussions sur le déroulement des activités et
même sur les résultats du projet. C’est pourquoi il ya nécessité d’effectuer d’abord une
analyse du cadre institutionnel de la structure chargé d’exécuter le projet ; au même
titre que les 2 autres analyses précédentes (analyse des facteurs et analyse des
acteurs).
L’analyse de la structure est faites en général sous forme de diagnostic organisationnel.
Definition du diagnostic organisationnel
Le diagnostic organisationnel(DO) est un processus systématique d’évaluation des
capacités d’une organisation.
Selon MDF , une organisation est un complexe des personnes ou de groupe qui
conformément a des règles et procedure communémentaccepté s’efforcent de realiser
un ou plusieur objectifs pre etablis.
La CRDI definit une organisation comme une entité composé de gens qui poursuivent
ensembles des objectifs connus.
Une organisation doit posseder une capacité organisationnelle qui se definit comme le
potentiel de cette organisation a etre performante, nottament sa capacité a definir et a
atteindre des objectifs efficacement d’eune manière efficiente, pertinente et durable.
Mr KAPLAN distingue deux formes de capacité organisationnel :
- la capacité d’absorption d’une organisation qui est sa capacité de mettre en ouevre et
suivre un projet selon les prescriptions des bailleurs. En fait, il s’agit de fournir un produit
ou un service dont les critères sont souvent defnis par d’autres partie prenante
- la capacité robuste d’une organisation c’ est la capacité d’une organisation a fonctionner
comme une entité autonome et resiliente, sa capacité a agir, à innover, a s’adapter au
contextechageantet a agir pour faire evoluer
On constate souvent une très grande différence entre ce que les gens expriment
comme problème et ce qu'ils font pour le régler. Les gens n'expriment pas clairement
leurs besoins. Ils le font à travers leurs faits et gestes et par les tâches qu'ils
accomplissent. Notons aussi que les problèmes ne doivent pas être exprimé comme «
manque /absence de solutions ». Lorsque on exprime un problème comme manque de
solution, ceci biaise toute la démarche car on décrit ce qu´il faut faire, et non pas le
problème existant.
augmentation du taux de
Effets mortalité lie a la mve
2. faite une analyse des parties prenantes suivant l’attitude, l’importance et l’influence
des celles-ci.
Dans le diagramme apparaissent en général quelques objectifs qui ne peuvent pas être
réalisés par le projet. Ces objectifs doivent former partie d´autres projets. Pour les
objectifs qui semblent peu réalistes, et il sera nécessaire de trouver d´autres solutions
au problème posé, ou bien de renoncer à trouver une alternative.
cooperation de la population
avec les equipes de riposte
Chaque stratégie définit comment aborder chacun des problèmes « racines principales
», c´est à dire comment affronter chacune des causes principales du problème central.
L´idée est de choisir la (ou les) stratégies de la future intervention, la plus pertinente
et faisable, en se référant aux critères accordés par les parties prenantes. Par
exemple: priorités des parties intéressées (en incluant les femmes et les hommes),
probabilité de réussite, budget disponible, pertinence de la stratégie, période à couvrir,
contribution du projet à la réduction des inégalités, y compris celles entre hommes et
femmes, etc...
Selon l´ampleur et la quantité de travail que cela implique, la (les) stratégie(s) choisie(s)
peuvent se traduire par une intervention de la taille d´un projet, ou d´un programme
composé de différents projets.
L’analyse des alternatives permet:
- d’identifier les solutions alternatives qui pourraient constituer la base de la stratégie
du projet,
- de sélectionner une ou plusieurs stratégies,
- de déterminer la stratégie définitive pour la planification et la réalisation du projet
Exemple: des différentes stratégies pour un projet de hausse de revenu des petits
producteurs du riz
les agronomes
travaux champpetres
Partipation des jeunes dans les
Champs supervisés par
prix des intrants reduits
bière du riz
l la fabrication des beignets de riz et
Capacité des agriculteurs renforcé dans
Inflation maitrisée
entretenu
Route beni- butembo –goma
dans la communauté
Elevage de poules et porc développés
Pour notre exemple, quatre alternatives de dressent clairement si nous voulons faire un
projet de hausser le revenu des petits producteurs de riz a beni :
Alternative 1 : jouer au niveau de la baisse du cout de production
Alternative 2 : jouer au niveau de la hausse de productivité des champs
Alternative 3 : jouer au niveau d’augmentation du prix de riz par kilo
Alternative 4 : encourager la pratique d’autres alternatives qui peuvent aussi permettre
de consommer autrement la production du riz
Il ya aussi, une autre manière de faire une analyse qualitative et quantitative des
alternatives par un tableau
Appreciation: 1 à 3 : 1= mauvais ; 2= bon , 3= tres bon ; ou 1= faible, 2= moyen et 3= elevé
Une fois la base du projet mis en place a travers la phase d’identification du projet,
commence alors l’étape de l’élaboration et formulation du projet. Cette élaboration se
fait généralement sous forme d’un outil de planification appelé cadre logique.
L´ACL est une méthode de planification par objectifs et non pas un simple tableau. Elle
comporte différentes étapes parmi lesquelles, l´élaboration du tableau est seulement un
des éléments, même s’il est important.
Au delà d´un simple tableau, cela devrait être une méthode de planification participative.
On n´insiste jamais assez sur ce caractère participatif, puisque malgré toute la
rhétorique le concernant, il est aussi le plus souvent et le plus rapidement oublié. Toutes
les techniques que propose l´ACL sont des techniques de discussion de groupe, et au sein
de ces groupes, il est fondamental que les présumés collectifs bénéficiaires aient une
place privilégiée.
Il faut insister sur le fait que les projets ne se préparent pas dans un bureau ni de façon
individuelle. Les projets s´identifient et s´élaborent en équipe, et dans la mesure du
possible, les bénéficiaires doivent être représentés au sein de ces équipes. Si on n’inclue
pas cet élément, la plupart des étapes que nous allons développer n’auront plus de sens.
Avantage de la méthode du cadre logique :
• Elle oriente l´analyse systématique et logique des éléments clés liés entre eux qui
forment un projet bien construit.
• Elle assure que soient bien posées les questions fondamentales et que les faiblesses
soient analysées, en apportant une meilleure information, plus pertinente.
• Elle améliore la planification en mettant en évidence les liens qui existent entre les
éléments du projet et les facteurs externes.
• Elle facilite une compréhension commune et une meilleure communication entre ceux qui
prennent les décisions, les responsables et les autres parties impliquées dans le projet.
• Elle offre des procédures standards pour collecter et évaluer l´information.
• L´utilisation du Cadre Logique et du suivi systématique assure la continuité de
l´approche en cas de remplacement au sein de l´équipe du projet.
La clarté de la définition de ce que l´on prétend réaliser aide à l´exécution postérieure
Les limites de l´Approche du Cadre Logique :
• L´usage de l´ACL tend à nous noyer dans les détails techniques de la méthode et à nous
faire perdre de vue la vision globale du POURQUOI et POUR QUI du projet. Il est
parfois nécessaire de prendre du recul par rapport à la méthodologie.
• L´ACL est un outil analytique, neutre en ce qui concerne la répartition des fonds, des
opportunités d´emploi, de l´accès aux ressources, de la participation locale, du coût
et de la faisabilité des stratégies et des technologies ou des effets sur
l´environnement. Par conséquent elle ne garantit pas que toutes ces questions seront
dûment prises en compte.
• Une certaine rigidité peut apparaître dans la conduite du projet lorsque les objectifs et
les facteurs externes spécifiques à la situation de départ sont maintenus de manière
dogmatique. Cela peut être évité par des révisions régulières du projet grâce
auxquelles on peut réévaluer et ajuster les éléments clés.
• Il tend à être utilisé par l´institution qui finance comme un instrument de contrôle et
non de planification.
• Le Cadre Logique est seulement un outil parmi d´autres qui peuvent être utilisés durant
la préparation, l´exécution et l´évaluation du projet et ne remplace pas l´analyse du
groupe bénéficiaire, l´analyse coûts - avantages, la planification temporelle, l ´analyse
d´impact, etc.
Hypothèses
Objectifs
spécifiques
Résultats Hypothèses
Activités Hypothèses
Conditions préalables
Leoui
facteur externe est-il important
? non
OUI NON
Modifier la stratégie du projet ,
ajouter des activités qui peuvent
influencer cette supposition ou la Le projet n’est pas réalisable
rendre superflue,
M1 M2 M3 M4 M5 M6 M7 M8
1 Organiser un atelier de Directeur
formation des agriculteurs
1.1 Achat des matériels logisticien x
didactiques et distribution
invitations
1.2 Préparation du module et Animateur x
facilitation de l atelier principal
- il ya des activités incompatibles qui ne peuvent pas être programmé au même moment
- la planification n’est pas toujours la réalisation suite aux imprévus. C’est pourquoi il
faut une certaine flexibilité et au besoin prévoir suffisamment de temps dans le
chronogramme.
3 .3. La budgétisation
La budgétisation c’est la présentation même des moyens matériels et non matériels
nécessaire pour exécuter les activités planifiés et pour l’administration du projet. On peut
distinguer :
• Les ressources humaines et
• Les ressources matérielles.
Les « moyens » sont constitués de l’ensemble des ressources identifiés. Une fois ce
ressources identifiés ; ils sont traduits en termes financier et s’appellent « coûts »
Ils devront être présentés dans un format standard qui indiquera les contributions de
toutes les parties impliquées (bailleurs, organisations exécutrices, bénéficiaires, etc.)
Il est nécessaire que les activités soient suffisamment élaborées pour estimer les moyens
matériels et non matériels dont on aura besoin, y compris les moyens et coûts nécessaires
pour les activités de gestion. Les coûts engendrés par la compilation des données relatives
aux indicateurs doivent être examinés avec attention.
Dans tous les cas, les moyens et les coûts détaillés dans le tableau de planification servent
surtout à visualiser cette information de façon simple et accessible. Le calendrier de
ressources et le budget du projet, en tant que compléments du tableau de planification,
approfondissent ces aspects du projet avec un meilleur niveau de détail.
NB : Le budget du projet peux directement etre incorporé dans le cadre logique comme
ci haut évoqué ou même présenté dans un autre tableau de ressources.
IL est important d’avoir à l’esprit que l’organisme chargé de l’exécution devra assumer
tous les coûts ordinaires pour poursuivre la fourniture des services, au delà de la vie
du projet.
Les coûts ordinaires peuvent être couverts (entièrement ou partiellement) grâce aux
ressources supplémentaires générées par les activités du projet.
Par ailleurs, un projet peut avoir plusieurs sources de financement. Dans ce cas, Le plan
budgétaire du projet doitpermettre d’attribuer les coûts aux différentes sources de
financement avec une identification claire de la contribution de chaque bailleur.
De manière générale, le budget d’un projet comporte principales rubriques :les couts
directs et les couts indirects.
-Les couts directs, sont ceux qui sont liés directement aux activités du projet
conduisant aux résultats. Dans cette rubrique on trouve : le cout d’achat d’équipement
et matériel du projet direct servant a l’atteinte des résultats, les intrants, les couts de
formations, le cout de suivi ….
- Les couts indirects sont ceux qui ne sont pas liés directement aux activités mais
contribuent de manière indirecte a l’atteinte des résultats. Il s’agit des couts liés au
personnel ; les couts administratifs ; l’achat des certains équipements de bureau , …
Procédure d’élaboration du budget :
- Dresser la liste des activités dans le format d’un calendrier de ressources et moyens.
Chacune des activités de cette liste, doit ensuite être examinée pour garantir que les
moyens nécessaires à la mise en œuvre de l’activité concernée sont correctement
prévus. Cette liste peut être détaillée.
Lors de l’élaboration du budget, il faut aussi éviter des écarts très importants au sein
des certains rubriques sensibles, par exemple le rubrique du personnel. Trop d’écart
entre le salaire du personnel peut être a la base du malaire et cela peut avoir même de
conséquences au niveau des résultats du projet.
Il ya aussi des personnels du projet qui travaillent partiellement dans le projet ; dans ce
cas, ils sont budgétisés proportionnellement au temps que ceux-ci consacrent pour les
activités du projet. Pour le personnel qui travaille en 100% dans le projet, ceux-ci seront
aussi budgétisé en 100% dans le projet.
Les termes ci haut cité ; sont dans plusieurs cas utilisé l’un a la place de l’autre prêtant
ainsi parfois une confusion. Nous pouvons dégager la nuance entre ces concepts selon
l’objectif
- suivi : mesurer de façons continue l’avancement dans l’exécution d’un projet
- supervision : c’est une forme de suivi qui vise a accroitre la performance. Il est
généralement programmé et annoncé.
- contrôle : c’est une forme de suivi qui consiste a vérifier l’exécution faite par
l’exécutant. Il peut être programmé et ponctuel et aboutir a la sanction.
-l’inspection : c’est une forme de suivi qui vise a s’assurer du respect des instructions
- le monitoring : c’est la collecte des données sur une situation précise.
Toutes ces méthodes visent la comparaison.
• Constitue une mesure directe et non ambiguë du progrès réalisé — plus (ou moins) est
certainement meilleur.
• Est pertinent — il mesure des facteurs qui reflètent les objectifs.
• Varies en fonction des régions, des groupes et du temps, et est sensible aux
changements intervenant dans les politiques, programmes et institutions.
• N'est pas facilement déstabilisé par des événements qui n'y sont pas liés, et ne peut
pas être facilement manipulé de manière à indiquer un succès lorsque ce n'est pas le cas.
• Peut être suivi (mieux s'il est déjà disponible), est souvent disponible, et son suivi
n'est pas trop
Si c’est possible, les différentes étapes de l’analyse des données doivent être réalisées
à différents niveaux de gestion du programme, et ce en fonction de qui devra utiliser
l’information. Cette approche conduira à une meilleure compréhension des données et
suscitera un plus grand intérêt à mettre en oeuvre les changements suggérés, basés sur
les résultats du suivi. Par exemple, faites participer les coopératives de pêcheurs et le
personnel du projet à l’analyse des données sur les prises de pêche.
L’analyse peut être réalisée de manière continue, périodique ou irrégulière suivant les
nécessités de l’information. L’important est de s’assurer que les résultats sont
disponibles quand on en a besoin.
Présentation de l’information
Puisque l’objet du suivi est l’amélioration des activités d’un projet en cours, le suivi doit
souvent entraîner des changements dans le projet. Ceci peut s’effectuer par :
La conception de nouvelles activités et la révision ou l’abandon de celles existantes,
sur la base de l’évaluation de l’information du suivi.
L’organisation de discussions rétroactives avec les participants intéressés par les
résultats du suivi.
L’utilisation des résultats dans le cadre de l’apprentissage institutionnel, et pour
renforcer les expériences.
Le stockage des données comme base de référence pour les examens et évaluations à
venir.
Entretien du système de suivi
Le suivi devra être part entière de tout projet. Des ressources financières suffisantes
doivent être affectées au suivi des activités, de même qu’à la formation, au soutien et à
la supervision du système de suivi.
Les évaluations des interventions à couverture totale font surtout appel à une
comparaison de la situation du groupe de population concerné avant et après la mise en
œuvre du programme
5. 3. Types d’évaluation
L’évaluation peut être classées de plusieurs manière selon qu’il s’agit de la provenance de
l’équipe, de la période a laquelle elle est réalisée …
Selon la provenance de l’équipe :
- l’évaluation interne : c’est celle qui est initié par une équipe ou personne interne même
dans le projet et sert en premier lieu d’avoir son propre image. Elle est aussi appelés
auto évaluation.
- l’évaluation externe : c’est celle qui est initié par une personne ou équipe externe au
projet
Selon la période on distingue :
- l’évaluation initiale ou évaluation ant post : c’est celle qui est faite au début du projet.
Elle vise parfois a avoir une image objective de la situation du départ du projet et
permet par conséquent d’avoir les données de base d’un projet qui pourront servir de
base de comparaison ultérieurement.
- l’évaluation mi parcourt ou évaluation intermédiaire : c’est celle qui est faite pendant
même la réalisation du projet.
- L’évaluation finale ou évaluation expost : c’est celle qui est réalisée a la fin du projet
et son but est de voir si les objectifs du projet ont été atteints.
2. Evaluation de l’efficacité :
- Elle Analyse la disponibilité, l’utilité et l’utilisation des produits du projet pour les
bénéficiaires.
- Elle Analyse les changements et les améliorations dont bénéficie le groupe cible.
- Elle Se base en partie sur des informations de base qui fournissent des données sur la
situation antérieure au projet.
La question à traiter pour apprécier l’efficacité est : dans quelle mesure l’objectif
spécifique et l’objectif global du projet ont-ils été atteints ?
Mesurer l’efficacité consiste à déterminer si, et dans quelle mesure, les bénéficiaires
profitent des services et biens fournis par le projet conformément à la formulation des
résultats du projet, ainsi que des avantages du projet, conformément à la formulation
de l’objectif spécifique. Les activités ont-elles effectivement conduit aux résultats ?
Les résultats fournis ont-ils procuré les effets escomptés au niveau des
bénéficiaires ? Tous les facteurs internes et externes qui ont influencé
l’accomplissement des résultats et de l’objectif spécifique du projet sont examinés.
Les faits concernant le niveau d’accomplissement, ainsi que l’éventuelle explication
sous-jacente de la réussite ou de l’échec, constituent la base de l’analyse, des
conclusions et des recommandations.
3. La Pertinence :
La question à traiter pour apprécier la pertinence est : dans quelle mesure l’objectif
spécifique et l’objectif global de l’intervention répondent-ils aux besoins et aux
priorités des différentes parties prenantes ?
L’appréciation de la pertinence est différente des quatre autres indicateurs du fait
qu’elle ne porte pas sur les performances réelles d’un projet. Elle examine les
intentions du projet et non ses résultats.
L’objectif spécifique est le but ultime que doit réaliser le projet. Il devrait toujours viser
des avantages durables pour les bénéficiaires. L'objectif global est un but supérieur,
habituellement au niveau de la politique, auquel le projet contribuera, au même titre que
d'autres projets, programmes et politiques.
Les parties prenantes les plus importantes dans un projet sont les bénéficiaires, le
bailleur de fonds et le gouvernement national ou local, ou d'autres typesd'organisations
intermédiaires telles que les ONG. Au cours des phases
d'identification et de formulation, les objectifs des uns et des autres ont dû être
harmonisés pour arriver à un plan de projet qui satisfasse toutes les parties.
Cependant, durant les années de mise en oeuvre du projet, les priorités et objectifs
d'une ou plusieurs parties prenantes ont pu changer, avec pour résultat que
l’objectifspécifique ou l’objectif global du projet ne répond plus à leurs besoins. Une
évaluation effectuée quelques années après la conception originale peut aider à décider si
l’objectif spécifique ou l’objectif global du projet ont besoin d'être ajustés.
4. L’ Impact :
- elle Analyse les effets généraux du projet et la contribution de l’objectif spécifique
pour atteindre l’objectif global.
- elle Met l’accent sur les changements à long terme dans un contexte socio-économique.
- elle Collecte et analyse de l’information au niveau du groupe cible.
La question à traiter pour apprécier l’impact est : quels effets plus larges l’intervention
a-t-elle causés ?
Le cadre logique ne décrit pas seulement les objectifs de l’intervention elle-même,
mais aussi le ou les buts supérieurs, le ou les objectifs globaux auxquels l’intervention
est censée contribuer. L’objectif global est un effet positif escompté del’intervention.
L’objectif global n’est probablement pas le seul effet de l’intervention. Lors de la mise
en oeuvre, d’autres effets positifs ou négatifs, prévus ou imprévus, apparaîtront.
Il n’est pas toujours facile de déterminer dans quelle mesure l’intervention est la
cause d’un effet donné. Une bonne connaissance de la région et du secteur est un
Élément important pour évaluer l’impact. Pour déterminer l’impact du projet, on peut
aussi le comparer à d’autres projets, ou simplement demander l’opinion des
Bénéficiaires eux-mêmes.
5. La Viabilité et durabilité :
La question à traiter pour apprécier la viabilité est : est-il probable que les effets
Positifs de l’intervention continuent après la fin du projet ?
La viabilité et durabilité d’un projet peut se mesurer par les facteurs suivants :
-Appropriation par les bénéficiaires : dans quelle mesure les bénéficiaires du projet
(considérant les femmes et les hommes) participent à son élaboration et sont impliqués
de façon à ce que le projet obtienne leur appui et soit durable une fois terminé?
- Durabilité économique et financière : dans la mesure où les avantages additionnels du
projet sont supérieurs à leurs coûts, le projet représente un investissement durable à
long terme. La questions clés a poser est: comment vérifie t-on que les bénéfices du
projet justifient les coûts engagés, et que le projet présente le moyen le plus durable en
réponse aux besoins des groupes cibles, hommes et femmes inclus?
- La Technologies appropriées : il s’agit de faire en sorte que les technologies utilisées
par le projet puisse continuer à fonctionner à long terme (par exemple la disponibilité
des pièces de rechange, réglementation suffisante en matière de sécurité, les capacités
locales des femmes et des hommes pour ce qui est de l’utilisation et de l’entretien).
- Aspects socioculturels : on essaie de voir comment le projet prendra en compte les
normes et attitudes socioculturelles locales, et quelles sont les mesures établies pour
que les groupes cibles puissent accéder de manière appropriée aux services et bénéfices
qui dérivent du projet pendant et après son exécution.
- Egalité entre hommes et femmes : on tente de savoir comment le projet tiendra
compte des besoins et des intérêts spécifiques des femmes et des hommes, comment
permettra t-il aux hommes et aux femmes d’accéder de façon durable et équitable aux
services et infrastructures établis par le projet, et comment il contribuera à réduire les
inégalités entre femmes et hommes à long terme.
- Protection de l’environnement : dans quelle mesure il préserve ou nuit à
l’environnement, et donc, favorise ou freine la réalisation des bénéfices à long terme.
- Capacités institutionnelles et de gestion : la capacité et l’engagement des organismes
chargés de la mise en oeuvre du projet et de maintenir la prestation des services au
delà de la période de la période de financement par les bailleurs. La question clés est de
savoir comment s’assure t-on que les responsables de la gestion du projet disposent des
capacités et ressources (humaines et financières) nécessaires, et peuvent fournir les
services à long terme? Si ces capacités sont insuffisantes, quelles sont les mesures
prévues pour les développer durant l’exécution?
- la Politique d’appui (en cas de participation d’institutions publiques au projet) : la
cohérence du projet avec les politiques (générales et locales) sectorielles en vigueur, et
le degré avec lequel le gouvernement ou les autorités locales démontrent leur soutient
pour la continuité des services du projet au delà de la période de financement du
bailleur.
METHODES RESULTATS
Constat du MOYENS
réalisé
1 2 3
RESULTATS
Autres critères
Il est important d’élaborer une stratégie de collecte de fonds pour nous aider à
identifier nos besoins, à choisir la meilleure approche et à planifier. Une stratégie de
collecte de fonds n’est pas la même chose qu’une proposition de projet. Une stratégie de
collecte de fonds examine la façon dont l’organisation réunira des fonds pour tout son
travail. Une proposition de projet est utilisée pour réunir des fonds destinés à un projet
seulement et ce n’est qu’un élément de la stratégie de collecte de fonds de
l’organisation.
Le processus d’élaboration de la stratégie assurera que nous prenons bien
en compte toutes les choses qui pourraient influencer le succès de la collecte de fonds.
La stratégie devrait être rédigée par les membres du personnel participant à la collecte
de fonds puis approuvée par le conseil d’administration. Beaucoup de petites
organisations, ainsi que d’autres qui n’ont pas encore développé leurs travaux de collecte
de fonds, pourraient ne pas employer un collecteur de fonds. Les grandes organisations
pourraient employer un ou plusieurs collecteur(s) de fonds. Les organisations pourraient
envisager d’employer un collecteur de fonds si elles pensent que cette personne, dont le
rôle principal est de réunir des fonds, peut collecter plus d’argent que le montant de son
salaire et des charges correspondantes.
Les collecteurs de fonds efficaces doivent être informés de ce qui se passe dans le
reste de l’organisation. Les autres membres du personnel devraient être au courant du
travail de collecte de fonds qui est en cours de réalisation de telle sorte qu’ils utilisent
les fonds à bon escient. Pour cette raison, si possible, d’autres membres du personnel
devraient participer à l’élaboration de la stratégie de collecte de fonds et aider les
travaux de collecte de fonds.
L’élaboration de la stratégie de collecte des fonds passe par les étapes suivantes :
Notes bibliographiques
1. Cristina Carles M. et Miguel Verdedjo E., Avancer en planifiant : un guide
pratique pour l’élaboration des projets, République Dominicaine,
2. Agence canadienne de développement international, manuel pour les projets :
pourquoi et comment utiliser des indicateurs tenant compte des écarts entre
les hommes et les femmes , 200, promenade du Portage, Gatineau (Québec)