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SOMMAIRE
Introduction
1. Généralités
2. Acceptation des missions
3. Incompatibilités & indépendances
4. Planification de la mission
5. Examen du contrôle interne
6. Obtention des éléments probants
7. Continuité d’exploitation & vérifications spécifiques
8. Rapports d’audit & interventions connexes
2
Introduction
3
Introduction
▪ L'audit financier:
➢ est allé en parallèle avec celui de la comptabilité;
➢ représente l'aspect le plus connue des formes
d'audit.
4
Introduction
6
Introduction
➢ L'audit financier:
Mais, l'audit comptable et financier ne se limite pas au seul
commissariat aux comptes obligatoire:
7
Introduction
11
Définition et nature d’une mission d’audit (2/3)
12
Définition et nature d’une mission d’audit (3/3)
• « Audit légal » Vs. « Audit contractuel »
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Autres missions (1/3) : Examen limité
❑Une mission d'examen limité:
❑Les procédures appliquées ne sont pas conçues et n'ont pas pour but de
permettre au Professionnel de fournir une assurance sur ces informations
financières. Toutefois, les utilisateurs de ces informations tirent partie de
l'intervention d'un professionnel qui a apporté ses compétences et le soin
nécessaire à leur élaboration.
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Niveaux d’assurance
❑Le terme "assurance" désigne la satisfaction de l'auditeur quant à la
fiabilité d'une déclaration formulée par une partie à l'intention d'une
autre partie.
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Qualités requises de l’auditeur
▪ De la grande portée de la mission d’audit découle un certain nombre
d’exigences :
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Responsabilité de l’auditeur quant aux informations financières publiées
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Limites inhérentes à l’audit
❑Tout audit est soumis au risque inévitable de non détection d'anomalies
significatives dans les états de synthèse, même s'il a été correctement
planifié et effectué selon les normes requises.
❑Le principe général posé par cette règle est que le commissaire aux
comptes ne peut pas :
▪ accomplir des actes de gestion, ni directement, ni par association ou
substitution aux dirigeants ;
▪ exprimer des jugements de valeur, critiques ou élogieux, sur la conduite de la
gestion prise dans son ensemble ou dans ses opérations particulières.
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Caractère permanent de la mission
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Travail en équipe et intervention personnelle
❑Les contrôles que requiert l’exercice du commissariat aux comptes exigent,
sauf exception, que le commissaire aux comptes, titulaire du mandat, ou
cosignataire dans le cas d’une société de commissaires aux comptes, se fasse
assister par des associés, des collaborateurs salariés ou des experts
indépendants.
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Acceptation des missions
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Acceptation & maintien des missions
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Acceptation & maintien des missions
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Acceptation & maintien des missions
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Acceptation & maintien des missions
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Acceptation & maintien des missions
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Acceptation & maintien des missions
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Planification et orientation de la
mission
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Planification et orientation de la mission
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Planification et orientation de la mission
▪ Objectif de la planification :
• Obtenir une connaissance satisfaisante de l’entreprise ;
• Identifier très tôt les problèmes comptables ou d’audit importants ;
• Identifier les risques ;
• Orienter la mission d’audit (approche par les risques).
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Planification et orientation de la mission
• Principales étapes de la planification :
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Planification et orientation de la mission
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Planification et orientation de la mission
• Activité de l’entreprise ;
• Prise de connaissance des risques majeurs liés à l’activité de l’entreprise ;
• Relecture des rapports de l’exercice N-1 et discussion des points relevés et
des réserves ;
• Transmission des connaissances entre les membres de l’équipe (anciens aux
nouveaux) ;
• Nouveautés de l’exercice N ;
• Lecture des instructions d’audit en cas de « job référé ».
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Planification et orientation de la mission
2. Prise de connaissance générale de l’entreprise, de son secteur et
des normes applicables :
• Activité de l’entreprise et secteur : nature des activités, principaux clients et
fournisseurs, situation économique du secteur d’activité, réglementation
particulière au secteur d’activité, etc...;
• Organisation et structure : actionnariat, implantations géographiques,
organigramme général et par fonction, structure du groupe, activité des
principales filiales, etc....;
• Politiques générales : politique financière, commerciale et sociale ;
• Organisation administrative et comptable : systèmes de traitement de
l’information financière, procédures comptables et administratives, contrôle
budgétaire, service d’audit interne, etc...;
• Politiques comptables et méthodes d’évaluation : stocks, amortissements,
provisions …etc.
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Planification et orientation de la mission
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Planification et orientation de la mission
2. Prise de connaissance : dossier permanent/dossier annuel :
▪ Ainsi, on y trouve :
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Planification et orientation de la mission
3. Effectuer une revue analytique préliminaire :
• En phase de planification, il s’agit d’une revue portant sur plusieurs exercices dont
l’objectif est d’obtenir une bonne compréhension de l’évolution de l’activité, du secteur,
des objectifs stratégiques, et des risques liés.
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Planification et orientation de la mission
3. Effectuer une revue analytique préliminaire :
• l’intégrité ;
• l’éthique et la compétence du personnel ;
• la philosophie des dirigeants et le style de management ;
• la politique de délégation des responsabilités, d’organisation et de formation ;
• l’intérêt manifesté par le top-management et sa capacité à indiquer clairement les
objectifs.
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Planification et orientation de la mission
4. Évaluer l’environnement de contrôle :
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Planification et orientation de la mission
5. Évaluer les risques :
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Planification et orientation de la mission
5. Évaluer les risques :
▪ Exemples de risques inhérents :
• La nature des marchandises vendues fait que les quantités doivent être
estimées (ne peuvent pas être comptées, pesées ou mesurées avec précision)
• Les prix de vente changent fréquemment ;
• La structure de tarification est complexe ;
• Importance et fréquence des opérations en monnaies étrangères ;
• Dates de transfert de propriété différente de la date de réalisation des ventes
(livraison)
• Évaluation des travaux en cours ;
• Confusion de patrimoine (existence d’un dirigeant/associé majoritaires) ;
• Insuffisance du personnel administratif.
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Planification et orientation de la mission
5. Évaluer les risques (suite) :
• La prise de connaissance générale, l’évaluation de l’environnement de
contrôle ainsi que la revue analytique préliminaire devraient
permettre l’identification d’un certain nombre de risques que l’on
peut classer en trois catégories :
• Risques généraux :
• risques généraux liés à la situation économique et financière ;
• risques généraux liés à l’organisation générale de l’entreprise ;
• risques généraux liés à l’attitude de la direction.
• Risques inhérents spécifiques à chaque cycle d'audit significatif ;
• Risques de fraude (actifs susceptibles de détournement, cumul des
fonctions…etc).
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Planification et orientation de la mission
6. Déterminer le seuil de signification préliminaire :
• Définition : c’est le montant à partir duquel des omissions ou inexactitudes,
isolées ou cumulées, auraient pour effet, compte tenu des circonstances, de
modifier ou influencer le jugement d’une personne raisonnable se fiant aux états
de synthèse.
• Le seuil de signification préliminaire s’apprécie à deux niveaux :
➢Niveau global qui correspond aux états de synthèse pris dans leur ensemble :
SSP (ajustement et général) ;
➢Niveau d’un compte ou groupe de compte : erreur tolérable.
• L’estimation du SSP est faite lors de la phase de planification initiale ;
En fin de mission, si on détermine un seuil de signification plus bas, les
procédures
• d’audit effectuées peuvent s’avérer insuffisantes d’où la remise en cause du SSP
tout au long de la mission.
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Planification et orientation de la mission
6. Déterminer le seuil de signification préliminaire :
• Le seuil de signification est fixé par référence :
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Planification et orientation de la mission
6. Déterminer le seuil de signification préliminaire :
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Planification et orientation de la mission
6. Déterminer le seuil de signification préliminaire :
• Exemples :
• Lorsqu’une entreprise a des résultats stables, il sera possible d’estimer le
résultat avant impôt en fonction du résultat de l’année dernière ou des
résultats intérimaires annualisés ;
• Lorsque le résultat de l’année dernière ne reflète pas un niveau normal,
essentiellement en raison d’un événement quantifiable exceptionnel
(redressement, grève…), il sera possible d’estimer le résultat en fonction de
l’exercice précédent avant prise en compte de l’effet de cet événement
inhabituel ;
• Si les procédures de révision se sont avérées fiables dans le passé, et si nous
estimons qu’elles continueront à l’être pour l’exercice en cours, il peut être
approprié d’utiliser le résultat budgété établi par le client pour déterminer le
seuil de signification.
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Planification et orientation de la mission
6. Déterminer le seuil de signification préliminaire :
• Exemples :
• Si le résultat est proche de zéro ou oscille entre bénéfice et perte,
il est possible de retenir un pourcentage du chiffre d’affaires ou de
la marge ;
• Si les résultats d’exploitation sont si mauvais que la liquidité et la
solvabilité deviennent un handicap majeur, il est possible de
retenir un pourcentage des capitaux propres ;
• Si les capitaux propres sont proches de zéro, il est possible de
retenir un pourcentage du total bilan.
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Planification et orientation de la mission
7. Identifier les composants significatifs :
• Déterminer les composants (cycles ou comptes) significatifs, qui
peuvent par leur valeur et/ou leur nature receler des erreurs
significatives, en se basant sur :
• L’importance des comptes par rapport au seuil de signification et à la
probabilité d’erreurs ;
• La revue analytique ;
• La part que représente un compte donné par rapport aux comptes annuels ;
• Comptes qui sont fortement affectés par les jugements (provisions pour
dépréciation des clients ou des stocks) ;
• Comptes qui font appel à des techniques comptables complexes (par
exemple, la valorisation des stocks dans une entreprise à cycle long de
production) ;
• Comptes qui présentent des anomalies apparentes (par exemple, comptes
d’attente à régulariser, comptes affectés par un changement de législation).
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Planification et orientation de la mission
8. Préparer le calendrier d’intervention, la répartition des tâches et le
budget :
• Calendrier d’intervention :
Planification/Interim/Pré-final/Final
• Le budget :
Quantification des travaux en heures. Comparaison avec le budget de
l’Ordre des Experts Comptables.
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Planification et orientation de la mission
9. Documenter la stratégie d’audit & préparer les programmes de travail :
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Planification et orientation de la mission
10. Préparer le plan de mission :
• Le plan de mission est un document de synthèse qui récapitulent les
travaux et décisions prises au niveau de la planification.
• Exemple de trame du plan de mission :
• 1 - Données de base sur l'entité
• Présentation générale
• Description de l'activité
• Stratégie et évolution
• Noms et coordonnées des dirigeants et principaux interlocuteurs
• Données comptables caractéristiques (sur au moins 3 exercices)
• Événements significatifs de l'exercice
• Politique d'arrêté des comptes
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Planification et orientation de la mission
10. Préparer le plan de mission :
• Exemple de trame du plan de mission (suite) :
• 2 - Données de base sur la mission
• Réglementation particulière, méthodes spécifiques
• Actualisation et appréciation du système de contrôle interne
• Détermination des seuils de signification
• Détermination des domaines sensibles (à partir de l'approche
par les risques et à partir de l'examen analytique)
• Outils internes sur lesquels l'auditeur peut s'appuyer
(procédures, service d'audit interne, outils informatiques)
• Stratégie d’audit
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Planification et orientation de la mission
10. Préparer le plan de mission :
• Exemple de trame du plan de mission (suite) :
• 3 - Organisation de la mission
• Travaux sur le contrôle interne
• Référence aux travaux de tiers
• Travaux particuliers
• Contrôles substantifs
• Coordination avec le co-commissaire
• Équipe et budget
• Interlocuteurs
• Calendrier
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Planification et orientation de la mission
11. La planification de la mission : un travail continu
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Evaluation du contrôle
interne
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Evaluation du contrôle interne
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Evaluation du contrôle interne
1. Définition du contrôle interne :
▪ Les différentes définitions institutionnelles données au contrôle
interne peuvent être résumées par les caractéristiques suivantes :
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Evaluation du contrôle interne
• Composantes du contrôle interne :
• Le contrôle interne est constitué des éléments suivants :
• l’environnement de contrôle ;
• le processus d’évaluation des risques de l'entité ;
• le système d'information, y compris les processus opérationnels
afférents, relatif à l’information financière et à sa communication ;
• les activités de contrôle ;
• le suivi des contrôles.
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Evaluation du contrôle interne
2. Différentes sources d’information :
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Evaluation du contrôle interne
71
Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
• Cycles significatifs : ce sont les cycles qui traitent des données ayant une
incidence significative sur les états de synthèse.
• Ventes
• Encaissements
• Achats
• …….
• Les cycles comptables significatifs
• Les cycles qui présentent un intérêt ou une utilité pour l’audit.
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Evaluation du contrôle interne
• L’étendue des travaux à ce stade est limitée à ce qui est nécessaire pour
comprendre le flux séquentiel des données dans le cycle de façon
suffisamment détaillée pour pouvoir identifier les endroits où des erreurs
pourraient se produire dans les traitements, et en conséquence, ou des
contrôles sont nécessaires pour atteindre les objectifs de contrôle.
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Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
3.2. Compréhension du flux des opérations significatives :
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Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
3.2. Compréhension du flux des opérations significatives :
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Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
3.2. Compréhension du flux des opérations significatives :
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Evaluation du contrôle interne
• Méthodologie du diagnostic :
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Evaluation du contrôle interne
• Recueil de l’existant :
78
Evaluation du contrôle interne
• Recueil de l’existant :
79
Evaluation du contrôle interne
▪ Recueil de l’existant :
➢Procédure :
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Evaluation du contrôle interne
• Recueil de l’existant :
➢Techniques de description des procédures :
• Narratif
• Nécessaire quand il est difficile d’utiliser un flow-chart
• Compréhensible de tous
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Evaluation du contrôle interne
• Recueil de l’existant :
➢ Techniques de description des procédures :
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Evaluation du contrôle interne
• Recueil de l’existant :
➢Test de cheminement :
83
Evaluation du contrôle interne
• Recueil de l’existant :
84
Evaluation du contrôle interne
• Compréhension du flux des opérations significatives : Cas du cycle Achats-Fournisseurs
86
Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
87
Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
88
Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
89
Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
3.4. Identification et compréhension des contrôles pertinents :
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IV. Evaluation du contrôle interne
❑ Principes du système de contrôle interne
organisation
indépendance permanence
la qualité du
universalité
personnel
séparation
des information
fonctions
IV. Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
3.4. Identification et compréhension des contrôles pertinents:
❑ Les 7 principes de contrôle interne :
✓ Principe d’organisation :des responsabilités et des objectifs bien définis,
des moyens de contrôle, et une séparation des fonctions
✓ Principe d’intégration : étapes successives de circulation des documents,
informations et hommes ;
✓ Principe de permanence : contrôle constant sur toute l’année, protection
contre les déviations et les déformations;
✓ Principe d’universalité : doit concerner tous les lieux, toutes les personnes :
un maillon défectueux influe sur le reste;
✓ Principe d’indépendance : respect des objectifs du contrôle interne
indépendamment de l’importance des méthodes et moyens ;
✓ Principe d’information : fiable, utile, claire et vérifiable;
✓ Principe d’harmonie : adaptation du contrôle interne au fonctionnement de
l’entreprise, aux sécurités recherchées et au coût/efficacité.
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Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
• 3.4. Identification et compréhension des contrôles pertinents :
• Préventif/Détectif ;
• Manuel/Informatique ;
• Pilotage/Application.
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Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
• 3.4. Identification et compréhension des contrôles pertinents :
• Contrôles de pilotage :
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Evaluation du contrôle interne
3. Mise en œuvre de l’évaluation du contrôle interne :
• 3.4. Identification et compréhension des contrôles pertinents :
✓Exemples de contrôles de pilotage sur le cycle des achats :
B) Si nous estimons que les contrôles sont efficaces mais non utiles (non
matérialisés ou non conservés)
- Les tests sur les contrôles ne seront pas efficaces si le temps et l’effort nécessaire (pour
avoir l’assurance raisonnable que les contrôles ont fonctionné) sont anormalement élevés
par rapport à l’effort d’audit des comptes concernés au moyen de seuls tests de
validité…Dans de tels cas :
les tests de validités sont conçus en fonction du fait que nous ne attendons pas à des
erreurs, mais sont suffisamment étendus pour avoir la chance de détecter les erreurs
importantes pour l’audit.
100
Evaluation du contrôle interne
✓rapport coût/bénéfice.
101
Evaluation du contrôle interne
5. Conséquences de l’évaluation du contrôle interne :
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OBTENTION DES ÉLÉMENTS
PROBANTS
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Obtention des éléments probants
105
Obtention des éléments probants
1. Les techniques de contrôle
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Obtention des éléments probants
107
Obtention des éléments probants
• Découpage des comptes :
➢Le contrôle des comptes se fait à travers le découpage du bilan et du compte
de résultat en sections.
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Obtention des éléments probants
• Découpage des comptes :
• Exemples de sections :
- Capitaux propres ;
- Provisions pour risques & charges ;
- Dettes de financement ;
- Immobilisations ;
- Stocks ;
- Clients & comptes rattachés ;
- Fournisseurs & comptes rattachés ;
- ……
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Obtention des éléments probants
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Obtention des éléments probants
• 1.1.1. Les assertions concernant les flux :
• Survenance : les opérations et les événements qui ont été enregistrés se sont
produits et se rapportent à l’entité ;
• Droits et obligations : l’entité détient ou contrôle les droits sur les actifs, et les
dettes correspondent aux obligations de l’entité ;
• Exhaustivité : tous les actifs, les passifs et les fonds propres qui auraient dû
être enregistrés l'ont bien été ;
• Valorisation et affectation : les actifs, les passifs et les fonds propres sont
portés dans les états de synthèse pour leur bonne valeur et tous les
ajustements résultant de leur valorisation ou de leur affectation sont
enregistrés de façon appropriée.
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Obtention des éléments probants
• 1.1.3. Les assertions concernant la présentation :
✓L’observation physique ;
• Définition :
• L’examen analytique (revue analytique) est défini comme étant l’analyse des
fluctuations par rapport aux budgets aux chiffres des années précédentes et à
tous autres chiffres de référence appropriés. Il comporte également
l’évaluation des explications de vraisemblance en relation avec d’autres
informations et avec la connaissance qu’à le chef d’entreprise des
événements et faits en liaison avec son entreprise.
• Techniques :
• La revue de vraisemblance.
• Les comparaisons de données absolues.
• Les comparaisons de données relatives (ratios).
• Les analyses de tendances.
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Obtention des éléments probants
• 1.2.1. L’examen analytique
✓ Les données analysées doivent être constituées sur des bases comparables.
✓ Incapacité de cerner avec précision les relations mesurables existant entre les données
analysées (pour absence de comptabilité analytique ou de statistiques par exemple).
✓ Les données analysées sont susceptibles d’être influencées par un trop grand nombre de
facteurs : difficulté de cerner la contribution de chaque facteur et possibilité de
compensation.
116
Obtention des éléments probants
• 1.2.2. L’observation physique
• Définition :
• L’observation physique consiste en l’examen des procédures et de leur mise en
œuvre. C’est notamment l’un des moyens utilisés pour s’assurer de l’existence d’un
actif.
• Domaines d’application :
✓ Les stocks.
✓ Les immobilisations corporelles.
✓ Les effets.
✓ Les espèces en caisse.
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Obtention des éléments probants
• 1.2.2. L’observation physique
✓si l’IP a eu lieu avant la clôture, l’auditeur doit non seulement y assister mais
procéder à un contrôle des mouvements entre la date d’inventaire et la clôture de
l’exercice. En outre, il devra s’assurer que les fiches de stocks ont été correctement
ajustées des écarts d’inventaires et que ceux-ci ne sont pas dus à une mauvaise
séparation des périodes. Enfin, la séparation des exercices devra également être
vérifiée à la fin de l’exercice.
• Définition :
121
Obtention des éléments probants
• 1.2.3. La circularisation des tiers
• Portée de la technique :
• Elles peuvent également viser les sociétés de crédit bail, les tiers ayant des
stocks en dépôt.
122
Obtention des éléments probants
• 1.2.3. La circularisation des tiers
• Limites de la technique :
• Une grande attention doit être portée à la préparation des demandes tant en
cible qu’en rédaction, selon l’objectif recherché.
123
Obtention des éléments probants
• 1.2.3. La circularisation des tiers
• Démarche :
✓La circularisation s’effectue en général à la date de clôture des états de synthèse de
l’entreprise ; elle peut cependant être opérée à tout moment ; dans tous les cas, la
période de référence choisie doit être indiquée clairement sur la demande.
✓La sélection des tiers circularisés doit permettre d’avoir un niveau de réponses
suffisant pour donner un caractère probant à la démarche ainsi engagée : donc un
nombre de tiers et des valeurs concernées représentatives (en mouvement ou en
solde).
✓L’auditeur doit soumettre la liste des demandes qu’il envisage d’envoyer à l’entité
afin d’obtenir son accord ; en cas de désaccord, il mettra en œuvre des moyens
compensatoires d’investigation (mais qui n’auront en aucun cas la même force
probante) et appréciera s’il y a lieu l’incidence sur sa mission en terme de
limitation.
124
Obtention des éléments probants
• 1.2.3. La circularisation des tiers
• Démarche :
✓Les demandes peuvent être « ouvertes » (seule la nature des informations
sollicitées est indiquée au tiers) ou « fermées » (la nature et le montant de la
confirmation sont communiquées au tiers) ; ces dernières permettent en
général d’obtenir un taux de réponse plus satisfaisant mais ne conviennent
pas à tous les tiers et surtout ne permettent pas d’obtenir certaines
indications qui pourraient enrichir la qualité du contrôle.
✓Les lettres sont établies sur le papier entête de l’entreprise, signées par un
responsable habilité de l’entité et sont expédiées par l’auditeur (une
enveloppe timbrée destinée à la réponse à l’auditeur étant incluse à l’envoi).
✓Les réponses font l’objet d’un rapprochement avec les données de l'entité ;
en cas d’insuffisance de celles-ci, et après relance, des contrôles de 125
substitution doivent nécessairement être engagés.
Obtention des éléments probants
• 1.2.3. La circularisation des tiers
✓ identification des tiers concernés : par entretien avec la direction, par examen des
comptes d'honoraires, par identification des situations conflictuelles au sein de l'entité,
126
Obtention des éléments probants
• 1.2.4. La validation par rapport aux pièces justificatives
128
Obtention des éléments probants
• 1.2.4. La validation par rapport aux pièces justificatives
129
Obtention des éléments probants
• 1.2.4. La validation par rapport aux pièces justificatives
✓ ordres de fabrication ;
✓ bons de sortie ;
✓ demande d’achat.
✓ la création de pièces, sur ordre de la direction, pour justifier des opérations fictives ;
✓ la création de pièces fictives pour dissimuler des fraudes commises.
• Toutefois, ces documents seront d’autant plus probants que le contrôle interne
sera fiable et important : circulation du document entre plusieurs mains avec
apposition d’un visa à chaque manipulation ou vérification.
130
Obtention des éléments probants
• 6.1.2.4. La validation par rapport aux pièces justificatives
• Le recours aux sondages :
Ou
✓Echantillonnage statistique.
131
Obtention des éléments probants
• 6.1.2.5. Les recoupements internes
• Plus il y’aura de sources d’informations différentes, meilleure sera la véracité d’un
élément. En effet, l’auditeur pourra être satisfait lorsque l’authenticité d’une
opération sera confirmée grâce au rapprochement de chiffres ou de faits
provenant de sources différentes.
• Exemples de recoupements internes :
✓ Rapprochement entre amortissements et provisions au bilan et dotations et
reprises au compte de résultat.
✓ Rapprochement des charges de personnel au compte de résultat d’une part
avec les journaux de la paie, les déclarations à la CNSS et les déclarations à
l’IGR, d’autre part.
✓ Rapprochement entre le chiffre d’affaires commercial et le chiffre d’affaires
comptabilisé.
✓ Rapprochement entre le chiffre d’affaires déclaré à la TVA et le C.A.
comptabilisé. 132
Obtention des éléments probants
• 1.2.6. L’appréciation des évaluations
✓ Pour certains postes il suffit à l’auditeur d’en vérifier l’existence, sans pour
autant que leur expression en unités monétaires ne pose problèmes : caisse,
banque…
✓ Pour d’autres postes par contre, le contrôle de l’existence se double d’une
appréciation des évaluations.
• Exemples :
✓ Cas des stocks : une fois le contrôle des quantités effectué, il convient
d’apprécier tant les principes d’évaluation retenus par l’entreprise que leur
application pratique.
✓ Cas des immobilisations : vérification du respect de la valorisation des
immobilisations, à l’entrée et à la clôture.
133
Obtention des éléments probants
• 1.2.7. La lettre d’affirmation
134
Obtention des éléments probants
135
Obtention des éléments probants
• 1.3. Les programmes de travail
❷L'examen d'ensemble des états de synthèse a pour objet de vérifier que le bilan,
le compte de produits et charges, l'état des soldes de gestion, le tableau de
financement et l'état des informations complémentaires :
✓ sont cohérents, compte tenu de la connaissance générale de l'entreprise, de
son secteur d'activité et du contexte économique,
✓ concordent avec les données de la comptabilité,
✓ sont présentés selon les principes comptables et la réglementation en
vigueur,
✓ tiennent compte des événements postérieurs à la date de clôture.
136
Obtention des éléments probants
• 1.3.1 Audit des comptes clients
Programme de travail indicatif :
• Revue analytique
• Procédures alternatives
✓ Règlement subséquent ;
✓ Examen des pièces justificatives ;
✓ Test sur le cut-off
137
Obtention des éléments probants
• 1.3.1 Audit des comptes de stocks
✓Revue analytique
138
Obtention des éléments probants
• Généralités
• Traitement comptable
• Incidence sur les travaux de l’auditeur
139
Obtention des éléments probants
2.1. Généralités
• Types :
142
Obtention des éléments probants
143
Obtention des éléments probants
144
Obtention des éléments probants
3.1. Synthèse des travaux :
Cette étape vise à s'assurer que le plan de mission (et ses adaptations) a été mené
à terme ; elle est, à ce titre, de la seule compétence du signataire.
✓revue et visa par le chef de mission des travaux effectués et des conclusions
intermédiaires émises,
✓examen des points soulevés et des solutions apportées,
✓synthèse des redressements et reclassements suggérés (acceptés ou non),
✓examen des points en suspens s'il en reste et de leur impact sur l'opinion,
✓éventuellement, formalisation sur la base d'un questionnaire d'aide à la revue
des remarques suggérées par le déroulement de la mission. 145
Obtention des éléments probants
3.2. Contrôle des états de synthèse :
146
Obtention des éléments probants
3.3. Note de synthèse :
La note de synthèse est le pendant du plan de mission.
Elle récapitule la démarche d'audit et les termes justifiant l'opinion émise ; on retrouve
généralement dans ce document, les paragraphes suivants :
✓rappel des données caractéristiques de l'entité, de son activité,
✓rappel des données caractéristiques de l'exercice et notamment les faits et
chiffres marquants,
✓rappel de la stratégie d'audit (dont les risques identifiés) et des seuils de
signification retenus,
✓rappel des contrôles menés,
✓résumé des reclassements et redressements sollicités (acceptés ou non par
l'entité),
✓mention des incertitudes éventuelles, des changements de méthodes, des
événements postérieurs à la clôture significatifs,
✓état des communications faites ou à faire,
✓teneur de l'opinion. 147
Rapports d’audit
1.1. Rapport général : forme
149
Rapports d’audit
1.3. Rapport général : datation
150
Rapports d’audit
1.4. Rapport général : signature en cas d’un seul CAC
151