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Réécritures:

1. Réécrivez le texte suivant en conjuguant :


a. au passé simple les verbes soulignés,
b. au plus-que-parfait les verbes en gras,
c. à l’imparfait les verbes en italique.
Soyez particulièrement attentifs aux accords !

« Je sors d’une cassette en bois peint les lettres que maman m’envoie, elles sont
parsemées de mots tendres, elle y évoque « notre amour », « notre séparation ».
[…] Je reste quelque temps sans bouger, recroquevillée au bord de mon lit… Et
puis, tout en moi se révulse, se redresse, de toutes mes forces je repousse ça, je
le déchire, j’arrache ce carcan, cette carapace. »

2. Réécrivez le texte en remplaçant « Mouloud » par « elles » et en


faisant toutes les transformations nécessaires.

« Il y a quelques jours, Mouloud est mort. Depuis dix ans il vivait dans la rue,
dans notre quartier. Il avait sa grille de métro, au croisement de deux rues, dans
un renfoncement, juste à côté de la boulangerie. C'était son territoire. Sur le
trajet de l'école élémentaire, pendant quelques années, je l'ai vu là, tous les
matins et tous les soirs. Les élèves le connaissaient bien. Au début, on avait peur
de lui. Et puis on s'y était habitués. On le saluait. »

3. Réécrivez ce passage en remplaçant « il » par « ils ».

« Parfois elle se demandait d’où il venait, s’il était marié, s’il avait des enfants,
mais elle n’avait jamais osé l’interroger. Il n’aurait certainement pas répondu. Il
donnait également des leçons à deux de ses sœurs et, parfois, il regroupait ses
trois élèves dans la même pièce. »
CORRECTION

1. Réécrivez le texte suivant en conjuguant :


d. au passé simple les verbes soulignés,
e. au plus-que-parfait les verbes en gras,
f. à l’imparfait les verbes en italique.
Soyez particulièrement attentifs aux accords !

« Je sortis d’une cassette en bois peint les lettres que maman m’avait envoyées,
elles étaient parsemées de mots tendres, elle y évoquait « notre amour »,
« notre séparation ». […] Je restai quelque temps sans bouger, recroquevillée au
bord de mon lit… Et puis, tout en moi se révulsa, se redressa, de toutes mes
forces je repoussai ça, je le déchirai, j’arrachai ce carcan, cette carapace. »

2. Réécrivez le texte en remplaçant « Mouloud » par « elles » et en


faisant toutes les transformations nécessaires.

« Il y a quelques jours, elles sont mortes. Depuis dix ans elles vivaient dans la
rue, dans notre quartier. Elles avaient leur grille de métro, au croisement de
deux rues, dans un renfoncement, juste à côté de la boulangerie. C'était leur
territoire. Sur le trajet de l'école élémentaire, pendant quelques années, je les
ai vues là, tous les matins et tous les soirs. Les élèves les connaissaient bien. Au
début, on avait peur d’elle. Et puis on s'y était habitués. On les saluait. »

3. Réécrivez ce passage en remplaçant « il » par « ils ».

« Parfois elle se demandait d’où ils venaient, s’ils étaient mariés, s’ils avaient
des enfants, mais elle n’avait jamais osé les interroger. Ils n’auraient
certainement pas répondu. Ils donnaient également des leçons à deux de ses
sœurs et, parfois, ils regroupaient leurs trois élèves dans la même pièce. »

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