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VIH=Sida : décryptage d’une imposture

Par Mehdi Idmbark, le 15/01/2017

● Il n’y a aucune preuve que le VIH est la cause du sida

● Il n’y aucune preuve de l’existence du VIH

● Le sida n’est pas une maladie infectieuse / sexuellement transmissible

● Les tests de dépistage du VIH n’ont aucune fiabilité démontrée

● Les médicaments contre le sida (antirétroviraux) n’ont aucun effet curatif et


présentent un danger mortel pour les patients

Le sida est indéniablement l’un des plus graves problèmes de santé publique de l’ère
moderne. Mais derrière les données présentées comme vérités immuables au sujet de
cette maladie se cache une réalité beaucoup plus sombre faite de mensonges, de
manipulations, de désinformation et surtout de fuite en avant de la part des tenants de
la théorie officielle désignant un virus appelé VIH comme responsable de la maladie du
sida. Trois décennies et quarante millions de morts après l’apparition de ce fléau
médiatico-sanitaire, cette théorie s’est transformée en dogme qu’il est aujourd’hui
interdit de toucher au risque de s’exposer à l’opprobre de l’orthodoxie scientifique et
médiatique. Heureusement, une dissidence s’est mise en place. Ce sont aujourd’hui
quelques centaines des plus éminents scientifiques au monde, dont trois prix Nobel, qui
s’opposent à la théorie officielle sur le sida qu’ils démontent tour à tour à coup d’études
scientifiques pointues ou à l’aide de simples observations de bons sens. C’est grâce à
eux qu’on peut aujourd’hui faire la lumière sur ce qui s’avère être la plus grande erreur
médicale de l’Histoire.

L’origine virale du Sida, une théorie infondée

Kary Mullis, un biochimiste de renommée mondiale, prix Nobel de chimie et inventeur


de la PCR (outil de détection de virus, d’OGM...), a été confronté à ses premiers doutes
sur la question lorsqu’il a décidé d’écrire un article sur l’utilisation de son invention dans
la recherche sur le sida. Obéissant au procédé classique qui consiste à étayer chaque
affirmation scientifique par les références correspondantes, Mullis s’est plongé dans la
bibliographie médicale pour trouver tout élément pouvant étayer la théorie selon
laquelle le virus appelé VIH provoque la maladie du sida. A sa grande surprise, il
constate que ces références n’existent pas, pour la simple raison qu’aucune étude
scientifique n’a jamais formellement démontré l’origine virale du sida.

“S’il existait des preuves que le VIH est la cause du sida, il devrait y avoir des
documents qui, ensemble ou séparément, le démontreraient avec une forte
probabilité. Or, il n’existe rien de la sorte.” Dr Kary Mullis, biochimiste, prix Nobel
de chimie 1993

L’anecdote est troublante, elle est pourtant très révélatrice de la nature de ce dossier.
Outre Mullis, nombreux sont les scientifiques à avoir pointé du doigt les incohérences
de la théorie officielle ​(1)​​. Le Dr Peter Duesberg, un éminent microbiologiste, pionnier
de la virologie et de la rétrovirologie, et membre élu de la prestigieuse National
Academy of Sciences, a été le premier à jeter un pavé dans la mare en soutenant dès
l’année 1987 que le sida n’est pas d’origine virale. Il affirme à la suite de ses recherches
que l’immuno-déficience est un syndrome d’origine strictement toxique lié
essentiellement à une consommation à long terme de drogues dures et aux
conséquences biochimiques de la pauvreté et de la malnutrition. Le Dr Duesberg
détaille une nouvelle fois ces affirmations dans un livre choc paru en 2012, “L’invention
du virus du Sida”. L’ouvrage, qui recèle d’autres révélations tonitruantes sur la question,
a été violemment critiqué par une partie de la communauté scientifique sans jamais
faire l’objet d’une remise en question nette et irréfutable.

Le VIH, un virus fantôme

Nous avons tous en tête ces images du virus VIH illustrées dans les livres scolaires ou
dans les revues scientifiques. Là encore, ce qui nous a été présenté comme un fait
scientifique établi ne correspond à aucune réalité empirique. Ces images, ou
micrographies électroniques, ne sont en rien celles d’un virus du sida puisqu’à ce jour le
VIH n’a jamais été isolé dans le sang d’un malade et observé en microscopie
électronique. Des milliers de chercheurs se sont attelés à la tâche des années durant,
ils ont systématiquement échoué.

Le Dr Etienne De Harven, anatomo-pathologiste et vétéran de la microscopie


électronique, explique dans son livre, “Les dix plus gros mensonges sur le Sida”,
comment les images du virus, présentées par ses célèbres “découvreurs”, Luc
Montagnier et Robert Gallo, comme celles du VIH, n’étaient en réalité qu’un fragment
cellulaire obtenu à partir de ce qu’on appelle une culture de cellules, produite en
laboratoire. Une technique considérée depuis longtemps comme insuffisante pour
conclure à l’isolement d’un rétrovirus.

Ainsi, Il n’y a jamais eu d’observation du virus directement dans le sang d’un malade
alors que pour n’importe quel autre virus, un simple prélèvement chez un malade
présentant une charge virale importante permet de démontrer formellement l'existence
de l’agent pathogène.

“Il y a trop de failles dans la théorie selon laquelle le VIH est la cause du sida” Pr
Luc Montagnier, biologiste, virologue, prix Nobel de médecine 2008

En l’absence de l’isolement et de l’identification du VIH, l'hypothèse selon laquelle le


Sida serait causé par un virus (plus exactement par un rétrovirus) se trouve de facto
annulée. Il n’y a donc aucune raison de considérer le sida comme une maladie
infectieuse.

La maladie (fausse) jumelle


Des milliers de cas de sida séronégatifs (sans VIH détecté) ont été répertoriés dans le
monde. Embarrassée et incapable d’avancer une explication logique à ce
phénomène, l'orthodoxie médicale a fini par statuer : il s’agit d’une nouvelle maladie,
la lymphocytopénie T CD4 idiopathique. C’est exactement comme le sida mais ce
n’est pas du sida puisque son origine est inconnue, CQFD.

Le Sida n’est pas une maladie sexuellement transmissible

Outre le Dr Duesberg qui a été l’un des premiers à conclure à l’impossibilité théorique
d’une contamination par voie sexuelle, d’autres scientifiques sont arrivés à la même
conclusion en menant des expériences sur le terrain. Deux études majeures sortent du
lot :

L’étude de Nancy Padian sur la transmission du VIH chez les couples


sérodiscordants ​(2)
Nancy Padian est epidémiologiste. Elle a réalisé la plus importante enquête sur la
transmission du VIH parmi les couples hétérosexuels sérodiscordants (un partenaire
séropositif et l’autre séronégatif). L’étude, conduite entre 1985 et 1996, a porté sur 360
hommes et 82 femmes infectés et leurs partenaires sains. Sur les dix années qu’a duré
l’expérience, personne n’a contracté le sida, et le nombre de cas de séroconversion
était quasiment nul!

L’étude était séparée en deux parties, la première, transversale, et la seconde,


prospective. L’étude transversale a conclu que la constante de risque de contamination
de l’homme vers la femme était de 0.0009% seulement (soit 1 cas pour 1 111 rapports
sexuels). De femme à homme, cette constante baissait à 0,0001% (soit 1 cas pour
9000 rapports sexuels). Les rares cas de contamination observés étaient fortement
suspectés par Padian d’avoir utilisé des drogues par voie intraveineuse, d’avoir eu des
relations anales ou présentaient des MST, trois facteurs qui peuvent donner lieu à un
résultat positif au test VIH.

Dans l’étude prospective qui a démarré en 1990, 175 couples étaient concernés dont
26% n’ont jamais utilisé de préservatifs. Sur les six années qu’a duré ce volet de
l’enquête, aucun cas de séroconversion n’a été détecté, pas même chez les couples
n’ayant jamais utilisé de préservatifs. En six ans de rapports sexuels, aucune femme ni
aucun homme séropositifs ne sont parvenus à contaminer leur partenaire, cela vaut
d’être répété parce que c’est en total désaccord avec tout ce qui est affirmé sur le sujet
depuis des années par l’orthodoxie du sida et dans les médias.

L’enquête de Robert Root-Bernstein ou le paradoxe des prostituées ​(3)

Ph.D., professeur de physiologie et historien des sciences, Robert Root-Bernstein a


mené une enquête pour collecter les nombreuses études réalisées sur trois continents
et une dizaine de pays déterminant la prévalence du VIH et du sida chez les
prostituées. Il a ensuite corrélé les résultats et en a publié les grandes lignes dans le
Wall Street Journal en 1993. En voici les conclusions :

- Il n’y pas de cas de séropositivité ou de sida chez les prostituées qui ne se


droguent pas
- Les prostituées testées positives au VIH sont presque systématiquement des
droguées par voie intraveineuse.
- Les prostituées ne transmettent pas le VIH, y compris les prostituées
séropositives, pourvu que leurs partenaires ne soient pas des drogués par voie
intraveineuse.
De manière surprenante, le groupe social le plus exposé à ce virus qu’on dit
sexuellement transmissible, à savoir les travailleuses du sexe, ne l’atrappe pas, ne le
transmet pas et ne tombe pas malade du sida. Il ressort également que la plupart des
cas de contamination impliquent l'utilisation de drogues, ce qui veut dire que les causes
réelles de l’immuno-déficience ou donnant lieu à un résultat positif au test VIH sont à
chercher ailleurs.

L’expérience médiatique du Dr Willner


Constatant que la raison scientifique ne suffit pas à convaincre, Robert Willner,
Docteur en médecine et P.h.D., a opté pour le coup médiatique. En octobre 1993,
Willner s’injecte lors d’une conférence de presse à Arrecife, en Espagne, du sang
d’un patient hémophile séropositif. La transfusion s’est faite du patient à Willner en
direct à la télévision espagnole. Willner n’a jamais été contaminé. Il réitère
l’expérience un an plus tard (vidéos ​ici​ ​(4)​ et ​ici​ (​ 5))​ à Hollywood, en Californie. Même
résultat, pas de contamination. Le Dr Willner décèdera d’une crise cardiaque six mois
plus tard.

L’immuno-déficience, un syndrome de nature toxique

L’une des plus grandes erreurs dans ce dossier a été de considérer le sida comme une
nouvelle maladie, apparue soudainement dans les années 80. Comme le rappellent les
Drs E. de Harven et P. Duesberg dans leurs ouvrages, l’immuno-déficience existe
depuis toujours et ses causes sont parfaitement connues et documentées depuis plus
de 70 ans, à savoir la malnutrition et l'utilisation à long terme de substances
dangereuses pour l’organisme (drogues, transfusion sanguine et certains
médicaments). Cela explique pourquoi la maladie frappe dans la quasi-totalité des cas
en occident des consommateurs longue durée de drogues dures.

Au tout début de l’épidémie, la maladie touchait uniquement la communauté


homosexuelle, alors en plein mouvement de libération gay. A l’époque, le point commun
systématique entre les malades était l’utilisation du Poppers, un vasodilatateur
initialement destiné à traiter certaines maladies du coeur mais dont l’usage a été
détourné par la communauté gay à des fins récréatives et aphrodisiaques. Très prisée
des homos nighclubbers des grandes villes américaines, cette drogue compte parmi
ses ingrédients des substances extrêmement toxiques dont le nitrite d’amyle. Des
études ont formellement démontré à partir de 1988 ​(6) ​que l’ingestion de ces
substances de manière répétée était la cause des deux maladies emblématiques du
début de l’épidémie du sida aux Etats-Unis : le sarcome de Kaposi (qui a pour
symptôme ces fameuses taches sur le corps) et la Pneumocystose.

Par ailleurs, considérer la nature toxique et non virale de l’immuno-déficience jette un


éclairage nouveau sur la question du sida en Afrique. Le continent meurt-il d’une
maladie sexuellement transmissible ou plutôt des conséquences de la pauvreté? On
sait maintenant que la malnutrition est l’une des principales causes menant à une
dépression immunitaire, or, il se trouve que l’écrasante majorité des personnes
touchées par le sida en Afrique sont pauvres et souffrent de malnutrition. Par extension,
90% de la prévalence globale du sida correspond à des zones de misère et de grande
pauvreté.

D’un autre côté, dans un continent où une simple observation des signes cliniques
permet à un médecin de décréter qu’un patient a attrapé le virus, deux des maladies
(infectieuses) les plus répandues en Afrique, la malaria et la tuberculose, se trouvent
très couramment confondues avec le sida ​(7)​​. Ainsi, en observant la carte de
l’Organisation Mondiale de la Santé sur la prévalence de la malaria et de la tuberculose
dans le monde, on remarque qu’elle recouvre parfaitement celle de l’épidémie du sida.

Au bout du compte, on se retrouve avec un faisceau de maladies dont on connaît


parfaitement les causes mais qu’on va arbitrairement estampiller “sida” (malaria,
tuberculose…) ou maladies infectieuses (sarcome de Kaposi, pneumocystose…),
empêchant d’apporter aux malades les traitements adéquats tout en alimentant la
paranoia autour du syndrome de l’immuno-déficience, dont les causes sont par ailleurs
tout aussi connues. A la source de cette énorme confusion : les tests de dépistage du
VIH.

Des tests trompeurs

Il est raisonnable à ce stade de se poser la question suivante : S’il n’y pas de virus, que
détecte au juste ces tests de dépistage?

Il faut savoir que les tests VIH ne cherchent pas le virus lui-même, leur rôle est de
mesurer le taux d’anticorps produit par l’organisme pour lutter contre ce virus. Ainsi, un
résultat positif à ces tests ne veut pas dire “VIH détecté” mais “présence d’anticorps
spécifiques aux VIH”. Or, cette spécificité ne peut absolument pas être prouvée, comme
l’ont d’abord démontré les travaux du groupe de Perth sur la recherche VIH/Sida ​(8) (9)​​,
fondé par Eleni Papadopoulos, biophysicienne et sommité dans son domaine, qui ont
conclu à l’invalidité des deux principaux tests VIH, le “Western blot” et “Elisa”. Mais il n’y
a pas que ça.

La journaliste scientifique Christine Johnson a réalisé une importante enquête qui lui a
permis d’établir une liste d'environ 70 conditions médicales pouvant donner lieu à des
résultats positifs au test VIH. Parmi ces conditions, on trouve la toxicomanie, la
tuberculose, la malaria, l’hépatite, certains vaccins et même une simple grossesse
(l’intégralité de la liste est consultable​ ​ici​ ​ (​ 9)​​). Cela explique pourquoi seuls les
prostituées toxicomanes de l’étude de Root-Bernstein étaient séropositives, et pourquoi
les rares cas de séroconversion chez les couples étudiés par Nancy Padian étaient liés
à la consommation de drogues. Sans parler de l’Afrique où des maladies tropicales
endémiques, facteurs de faux positifs aux tests, sont parfois incorrectement
diagnostiquées et étiquetées “sida”.

Il est clair qu’un si grand nombre de facteurs à l’origine de résultats positifs à des tests
dits spécifiques ne peut être que la preuve de leur manque absolu de fiabilité. Il suffit
d’ailleurs de jeter un coup d’oeil à la notice d’utilisation de ces tests, il y est clairement
spécifié qu’une personne testée positive est seulement “présumée infectée” et que les
résultats des dépistages ne peuvent en aucun servir de diagnostic définitif prouvant la
présence du VIH. Cela n’empêche pas aujourd’hui ces tests d’être le principal outil de
“détection” du VIH dans le monde.

L’absurdité de cette question des dépistages est poussée à son paroxysme lorsque l’on
sait qu’il n’y a pas d’harmonisation internationale en matière de diagnostics du VIH. Le
“Western blot”, à titre d’exemple, considéré comme le test le plus fiable du marché,
comporte dix bandes alignées correspondant à des protéines dites identifiant le VIH.
Dans certains pays, deux bandes sont suffisantes pour conclure à la présence du virus,
d’autres pays ont besoin de trois bandes, voire quatre, si bien qu’une même personne
peut être considérée séropositive à Bamako ou à Casablanca et parfaitement saine à
Londres ou à Rio de Janeiro. En poussant cette logique de l’absurde encore plus loin,
un simple trajet en avion suffirait à “guérir du sida”, ou bien à l’attraper, si le voyage est
fait dans le sens inverse.

Ainsi, des millions de personnes ne présentant parfois aucun symptôme de maladies


sont déclarées porteuses du VIH, avec toutes les conséquences sociales et
psychologiques que cela implique tant le sida est mal perçu dans nos sociétés, sur la
base de tests qui n’ont aucune validité scientifique et cherchant un virus dont l’existence
n’a jamais été prouvée. Plus grave encore, ces tests exposent les patients injustement
diagnostiqués séropositifs à l’un des traitements les plus toxiques de l'histoire de la
médecine moderne.

Un virus sélectif
En occident, le VIH touche majoritairement les hommes. En Afrique, en revanche, il
touche les hommes et les femmes de manière égale. Cette bizarrerie ne trouve
actuellement aucune explication valable chez les pro VIH puisqu’un virus n’est rien
d’autre qu’un assemblage inerte de protéines et ne peut en aucun cas avoir
l'intelligence de choisir son hôte en fonction de son sexe.

AZT : le remède poison

“L’AZT est du sida sur ordonnance” Peter Duesberg, microbiologiste, virologue


et rétrovirologue.

La zidovudine, ou AZT, est un médicament antiviral dit spécifique au sida, et le principal


outil de médication destiné au soin de cette maladie dans le monde. Mis sur le marché
en catastrophe en 1987, au coeur de la psychose autour du VIH, l’AZT fut en réalité mis
au point dès 1964 et a été proposé pour soigner le cancer. Cependant, il a essuyé un
refus catégorique de mise sur le marché par la commission chargée des accréditations
des médicaments anticancéreux. Et pour cause, les effets observés lors des tests
cliniques étaient dévastateurs. Sur les souris, le médicament s’était avéré
systématiquement mortel. Mais de manière surprenante, l’AZT fut finalement autorisé
quelque vingt années plus tard sous la pression d’une opinion publique terrifiée qui
enjoignait les autorités à trouver un remède à cette peste des temps modernes que
serait le sida.

En plus d’être hautement toxique avec des effets secondaires semblables à une
chimiothérapie agressive (nausée, perte de cheveux, dégénérescence musculaire…),
ce médicament ne présente aucun effet curatif ni aucune action antivirale démontrés
(10)​​. Un étude publiée dans le très sérieux magazine scientifique The Lancet avait
conclu dès 1994 à l'inefficacité et surtout à la dangerosité de l’AZT. Les travaux du
groupe de Perth, mené par Eleni Papadopoulos, sont arrivés à la même conclusion
dans une étude de référence réalisée en 1999 consacrée à la pharmacologie
moléculaire de la zidovudine ​(11)​​.
Mais davantage que son inefficacité ou sa dangerosité, le plus effrayant avec ce
médicament c’est son caractère pernicieux. L’AZT génère de manière troublante chez
les patients les mêmes symptômes que ceux du sida lui-même. Il s’attaque en effet au
système lymphatique intestinal et à la moelle osseuse, deux des organes du système
immunitaire, provoquant immanquablement un déficit immunitaire généralisé, et par là
même, induisant le mal qu’ils est censé soigner. Le vrai coupable est ainsi impossible à
confondre.

“L’AZT est à l’origine d’un génocide pharmaceutique” Etienne de Harven,


anatomo-pathologiste et expert en microscopie électronique

Malheureusement, l’AZT (et d’autres médicaments du même genre) continue à être


prescrit à des millions de gens ne présentant parfois aucun soucis de santé mais qui
ont eu la malchance d’être diagnostiqués séropositifs. Tous les patients mis de manière
prolongée sous AZT finissent par mourir. Plus la dose est forte, plus la durée de vie
raccourcit. En revanche, les personnes testées séropositives ayant choisi d’arrêter le
traitement ou refusé de le prendre en premier lieu vivent en bonne santé sans jamais
qu’un sida ne se déclare. Les cas de ce genre sont innombrables et observables
partout dans le monde.

Le cas des hémophiles sidéens (12)


Une étude a été menée en Grande-Bretagne entre 1980 et 1992 auprès des
hémophiles séropositifs ou atteints du sida. Au début de l’expérience, leur taux de
mortalité était stable. Mais 2 ans après avoir commencé un traitement aux
antirétroviraux (AZT..), le taux de mortalité a été multiplié par 20.

Ce constat est dramatique tant ses implications suscitent l’horreur et l’indignation. La


thèse de l’épidémie virale n’ayant aucun fondement, il convient au vu de ces éléments
de parler d’un empoisonnement pharmaceutique à grande échelle. C’est d’autant plus
révoltant que même dans les cas où le sida est avéré, notamment en Afrique, aucun
médicament de type AZT n’est nécessaire puisque de simples mesures d’hygiène et de
bonne nutrition visant le renforcement du système immunitaire suffisent à guérir de la
maladie. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, cette thèse est soutenue par
Luc Montagnier lui-même, le co-découvreur du prétendu VIH et par conséquent l’un des
piliers de l’orthodoxie du sida. Les déclarations qu’il a faites dans ce sens dans
l’excellent documentaire ​House of Numbers​ ​(13)​​ (extrait de l'interview ​ici​ (14)​​) n’ont
pourtant bénéficié d’aucune couverture médiatique sérieuse malgré leur nature
explosive. Les choses sont restées les mêmes, la thèse fallacieuse VIH=Sida est
toujours d’actualité, de même que le recours aux tests de dépistage trompeurs et aux
médicaments mortels.

Le sida, une construction de chiffres

Pour essayer de comprendre comment tout ceci a pu avoir lieu, il est important de
remonter aux origines de l’affaire. Le 23 avril 1984, la Secrétaire d’Etat à la santé de
l’administration Reagan, Margareth Heckler, annonce officiellement la découverte du
VIH lors d'une conférence de presse retransmise à la télévision. Même si
habituellement une pareille affirmation doit reposer sur les résultats de plusieurs études,
validées par la communauté scientifique et publiées dans des revues de référence, tout
ce processus a été court-circuité au profit de ce qui s’apparente à un coup médiatique.
Cet empressement s’explique par l’importance pour le CDC, le Centre de contrôle des
maladies infectieuses américain, de retrouver une légitimité après des années
d’errance. En effet, des millions de dollars ont été alloués à cet organisme dans les
années 70 pour la recherche contre le cancer et les virus sans donner de résultats. Par
temps de crise économique, l’existence même du CDC s’en est trouvée menacée. Mais
l’arrivée d’une maladie providentielle a complètement changé la donne. Le CDC a vite
fait d’établir un lien avec un virus fictif justifiant l’allocation de nouveaux budgets et
entérinant une légitimité nouvelle pour l'institution et l’action du gouvernement à travers
elle.

“Le sida est une maladie qui se transmet médiatiquement” Coluche, humoriste

Loin du rationalisme scientifique, la suite s’apparente davantage à une psychose


généralisée relayée et intensifiée par les médias. Au fil des années, l’épidémie
“médiatique” du sida atteint des proportions telles que plus aucun retour en arrière pour
une approche plus mesurée des données n’est possible. Des prévisions d’un
catastrophisme invraisemblable faisant état d’une pandémie mondiale et d’une
importante réduction de la population générale ont été régulièrement avancées par les
agences internationales. Avec le temps, toutes ces données se sont avérées largement
surévaluées voire totalement irréalistes. A titre d’exemple, en Afrique du sud, où la
prévalence du sida est très importante, la population du pays a presque doublé entre
1986 et 1999, soit le coeur des années sida, passant de 22 à 39 millions d'habitants.
Idem en occident où il n’est plus question de pandémie puisqu’actuellement, le risque
d’exposition de la population générale à la maladie est tellement infime qu’il n’est même
pas mesurable.

James Chin, un éminent épidémiologiste et ex-haut responsable de l’OMS opérant dans


le suivi et le contrôle des maladies infectieuses, a été le premier à dévoiler la
manipulation à grande échelle des données statistiques sur le sida, évoquant une
“construction de chiffres”, très loin d’une épidémie réelle. Dans un livre intitulé “The
AIDS pandemic : the collision of epidemiology with political correcteness” (La pandémie
du sida : la collision entre l’épidémiologie et le politiquement correct), Chin accuse
clairement des organismes comme ONUSIDA d’avoir gonflé les chiffres sur la
propagation et la morbidité de la maladie dans le monde tout en démontrant
l’impossibilité théorique d’une épidémie mondiale.

La vérité était connue de beaucoup, mais l’exagération des prédictions


épidémiologiques devait servir à l’alimentation de la paranoïa autour de la question du
sida et, par voie de conséquence, à la pérennisation de l’industrie qui s’est développée
autour. Au fil du temps, d’énormes intérêts financiers se sont constitués. Les prétendus
traitements contre le sida représentent des milliards de dollars de recettes pour
l'industrie pharmaceutique qui n’hésite pas à activer ses leviers d’influences et ses
lobbies aux quatre coins du monde pour le maintien de la version officielle sur la
maladie dans les sphères publique, politique et médiatique. Pour ce qui est de la
communauté scientifique, elle est au mieux naïve ou incompétente et au pire, complice
et relais de ce gigantesque mensonge aux implications titanesques. Elle se trouve
aujourd’hui condamnée à une fuite en avant ridicule au regard du nombre incalculable
de données scientifiques qui font se fissurer de toute part cette thèse officielle sur le
sida.

Une dissidence présidentielle

En 2000 eut lieu à Durban, en Afrique du sud, la 13ème Conférence mondiale sur le
sida qui a été marquée par le discours historique du président sud-africain alors en
exercice, Thabo Mbeki. Devant un public abasourdi, le chef d’Etat a invité la
communauté scientifique et les autorités sanitaires à remettre en question la validité
de la théorie officielle VIH/Sida. Une première venant d’un dirigeant d’une nation.
A la suite de son discours, Mbeki a créé un comité consultatif pour la réévaluation des
données sur le sida. Il a également ordonné la suspension de l’utilisation de l’AZT et
des autres médicaments antirétroviraux, jugés dangereux et inefficaces, et a appelé à
une remise en cause de l’utilisation des tests VIH compte tenu de leur manque de
fiabilité.

Conclusion

Après trente ans de recherche qui ont englouti plusieurs dizaines de milliards de dollars,
aucun vaccin n’a pu être mis au point, et il ne peut en être autrement en l’absence d’un
virus et en raison de la nature même de la maladie dont il est question. L’échec du
combat contre le sida persistera tant que l’establishment scientifique et politique
s’entêtera à fonder ses travaux et à mener ses efforts sur la base d’une hypothèse de
départ qui est fausse, et tous les budgets du monde n’y pourront rien. La solution ne
viendra pas d’une quelconque nouvelle découverte, mais simplement d’un retour en
arrière pour une réinterprétation de l’information existante, toutes les réponses étant
déjà sous nos yeux. Un pas que les théoriciens officiels du VIH ne veulent toujours pas
franchir tant ça les impliquerait dans le scandale sanitaire le plus gigantesque de
l’Histoire. Pendant ce temps, l'hécatombe continue. Le bilan des victimes s’alourdit
chaque jour, non pas, vous l’aurez compris, à cause du sida mais en raison de l’omerta
maintenue autour de la maladie.
Références

(1)
http://www.sidasante.com/themes/hemophiles/vih_cause_du_sida_papadopulos.
htm
(2)​​ ​https://liamscheff.files.wordpress.com/2009/11/padian-10-year-sex-study.pdf
(3)
http://www.sidasante.com/themes/transmissibilite_de_la_seropositivite/le_parado
xe_des_prostituees.htm
(4)​​ ​https://www.youtube.com/watch?v=26vbwILsLsY
(5)​​ ​https://www.youtube.com/watch?v=BtGTXM1L-js
(6)​​ ​https://archives.drugabuse.gov/pdf/monographs/83.pdf
(7)​​ ​http://www.rethinkingaids.com/portals/0/TheCD/E-G/gilk.pdf
(8)​​ ​http://www.virusmyth.com/aids/hiv/epwbtest.htm
(9)​​ ​http://www.virusmyth.com/aids/hiv/vttests.htm
(10)​​ ​http://www.virusmyth.com/aids/hiv/epazt2.htm
(11)​​ ​http://www.virusmyth.com/aids/hiv/epazt2.htm
(12)​​ ​http://www.sidasante.com/themes/hemophiles_et_sida.html
(13)​​ ​https://www.youtube.com/watch?v=-dT0BugXqsU
(14)​​ ​https://www.youtube.com/watch?v=bAPZnPuPuwc

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