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Le sida est indéniablement l’un des plus graves problèmes de santé publique de l’ère
moderne. Mais derrière les données présentées comme vérités immuables au sujet de
cette maladie se cache une réalité beaucoup plus sombre faite de mensonges, de
manipulations, de désinformation et surtout de fuite en avant de la part des tenants de
la théorie officielle désignant un virus appelé VIH comme responsable de la maladie du
sida. Trois décennies et quarante millions de morts après l’apparition de ce fléau
médiatico-sanitaire, cette théorie s’est transformée en dogme qu’il est aujourd’hui
interdit de toucher au risque de s’exposer à l’opprobre de l’orthodoxie scientifique et
médiatique. Heureusement, une dissidence s’est mise en place. Ce sont aujourd’hui
quelques centaines des plus éminents scientifiques au monde, dont trois prix Nobel, qui
s’opposent à la théorie officielle sur le sida qu’ils démontent tour à tour à coup d’études
scientifiques pointues ou à l’aide de simples observations de bons sens. C’est grâce à
eux qu’on peut aujourd’hui faire la lumière sur ce qui s’avère être la plus grande erreur
médicale de l’Histoire.
“S’il existait des preuves que le VIH est la cause du sida, il devrait y avoir des
documents qui, ensemble ou séparément, le démontreraient avec une forte
probabilité. Or, il n’existe rien de la sorte.” Dr Kary Mullis, biochimiste, prix Nobel
de chimie 1993
L’anecdote est troublante, elle est pourtant très révélatrice de la nature de ce dossier.
Outre Mullis, nombreux sont les scientifiques à avoir pointé du doigt les incohérences
de la théorie officielle (1). Le Dr Peter Duesberg, un éminent microbiologiste, pionnier
de la virologie et de la rétrovirologie, et membre élu de la prestigieuse National
Academy of Sciences, a été le premier à jeter un pavé dans la mare en soutenant dès
l’année 1987 que le sida n’est pas d’origine virale. Il affirme à la suite de ses recherches
que l’immuno-déficience est un syndrome d’origine strictement toxique lié
essentiellement à une consommation à long terme de drogues dures et aux
conséquences biochimiques de la pauvreté et de la malnutrition. Le Dr Duesberg
détaille une nouvelle fois ces affirmations dans un livre choc paru en 2012, “L’invention
du virus du Sida”. L’ouvrage, qui recèle d’autres révélations tonitruantes sur la question,
a été violemment critiqué par une partie de la communauté scientifique sans jamais
faire l’objet d’une remise en question nette et irréfutable.
Nous avons tous en tête ces images du virus VIH illustrées dans les livres scolaires ou
dans les revues scientifiques. Là encore, ce qui nous a été présenté comme un fait
scientifique établi ne correspond à aucune réalité empirique. Ces images, ou
micrographies électroniques, ne sont en rien celles d’un virus du sida puisqu’à ce jour le
VIH n’a jamais été isolé dans le sang d’un malade et observé en microscopie
électronique. Des milliers de chercheurs se sont attelés à la tâche des années durant,
ils ont systématiquement échoué.
Ainsi, Il n’y a jamais eu d’observation du virus directement dans le sang d’un malade
alors que pour n’importe quel autre virus, un simple prélèvement chez un malade
présentant une charge virale importante permet de démontrer formellement l'existence
de l’agent pathogène.
“Il y a trop de failles dans la théorie selon laquelle le VIH est la cause du sida” Pr
Luc Montagnier, biologiste, virologue, prix Nobel de médecine 2008
Outre le Dr Duesberg qui a été l’un des premiers à conclure à l’impossibilité théorique
d’une contamination par voie sexuelle, d’autres scientifiques sont arrivés à la même
conclusion en menant des expériences sur le terrain. Deux études majeures sortent du
lot :
Dans l’étude prospective qui a démarré en 1990, 175 couples étaient concernés dont
26% n’ont jamais utilisé de préservatifs. Sur les six années qu’a duré ce volet de
l’enquête, aucun cas de séroconversion n’a été détecté, pas même chez les couples
n’ayant jamais utilisé de préservatifs. En six ans de rapports sexuels, aucune femme ni
aucun homme séropositifs ne sont parvenus à contaminer leur partenaire, cela vaut
d’être répété parce que c’est en total désaccord avec tout ce qui est affirmé sur le sujet
depuis des années par l’orthodoxie du sida et dans les médias.
L’une des plus grandes erreurs dans ce dossier a été de considérer le sida comme une
nouvelle maladie, apparue soudainement dans les années 80. Comme le rappellent les
Drs E. de Harven et P. Duesberg dans leurs ouvrages, l’immuno-déficience existe
depuis toujours et ses causes sont parfaitement connues et documentées depuis plus
de 70 ans, à savoir la malnutrition et l'utilisation à long terme de substances
dangereuses pour l’organisme (drogues, transfusion sanguine et certains
médicaments). Cela explique pourquoi la maladie frappe dans la quasi-totalité des cas
en occident des consommateurs longue durée de drogues dures.
D’un autre côté, dans un continent où une simple observation des signes cliniques
permet à un médecin de décréter qu’un patient a attrapé le virus, deux des maladies
(infectieuses) les plus répandues en Afrique, la malaria et la tuberculose, se trouvent
très couramment confondues avec le sida (7). Ainsi, en observant la carte de
l’Organisation Mondiale de la Santé sur la prévalence de la malaria et de la tuberculose
dans le monde, on remarque qu’elle recouvre parfaitement celle de l’épidémie du sida.
Il est raisonnable à ce stade de se poser la question suivante : S’il n’y pas de virus, que
détecte au juste ces tests de dépistage?
Il faut savoir que les tests VIH ne cherchent pas le virus lui-même, leur rôle est de
mesurer le taux d’anticorps produit par l’organisme pour lutter contre ce virus. Ainsi, un
résultat positif à ces tests ne veut pas dire “VIH détecté” mais “présence d’anticorps
spécifiques aux VIH”. Or, cette spécificité ne peut absolument pas être prouvée, comme
l’ont d’abord démontré les travaux du groupe de Perth sur la recherche VIH/Sida (8) (9),
fondé par Eleni Papadopoulos, biophysicienne et sommité dans son domaine, qui ont
conclu à l’invalidité des deux principaux tests VIH, le “Western blot” et “Elisa”. Mais il n’y
a pas que ça.
La journaliste scientifique Christine Johnson a réalisé une importante enquête qui lui a
permis d’établir une liste d'environ 70 conditions médicales pouvant donner lieu à des
résultats positifs au test VIH. Parmi ces conditions, on trouve la toxicomanie, la
tuberculose, la malaria, l’hépatite, certains vaccins et même une simple grossesse
(l’intégralité de la liste est consultable ici ( 9)). Cela explique pourquoi seuls les
prostituées toxicomanes de l’étude de Root-Bernstein étaient séropositives, et pourquoi
les rares cas de séroconversion chez les couples étudiés par Nancy Padian étaient liés
à la consommation de drogues. Sans parler de l’Afrique où des maladies tropicales
endémiques, facteurs de faux positifs aux tests, sont parfois incorrectement
diagnostiquées et étiquetées “sida”.
Il est clair qu’un si grand nombre de facteurs à l’origine de résultats positifs à des tests
dits spécifiques ne peut être que la preuve de leur manque absolu de fiabilité. Il suffit
d’ailleurs de jeter un coup d’oeil à la notice d’utilisation de ces tests, il y est clairement
spécifié qu’une personne testée positive est seulement “présumée infectée” et que les
résultats des dépistages ne peuvent en aucun servir de diagnostic définitif prouvant la
présence du VIH. Cela n’empêche pas aujourd’hui ces tests d’être le principal outil de
“détection” du VIH dans le monde.
L’absurdité de cette question des dépistages est poussée à son paroxysme lorsque l’on
sait qu’il n’y a pas d’harmonisation internationale en matière de diagnostics du VIH. Le
“Western blot”, à titre d’exemple, considéré comme le test le plus fiable du marché,
comporte dix bandes alignées correspondant à des protéines dites identifiant le VIH.
Dans certains pays, deux bandes sont suffisantes pour conclure à la présence du virus,
d’autres pays ont besoin de trois bandes, voire quatre, si bien qu’une même personne
peut être considérée séropositive à Bamako ou à Casablanca et parfaitement saine à
Londres ou à Rio de Janeiro. En poussant cette logique de l’absurde encore plus loin,
un simple trajet en avion suffirait à “guérir du sida”, ou bien à l’attraper, si le voyage est
fait dans le sens inverse.
Un virus sélectif
En occident, le VIH touche majoritairement les hommes. En Afrique, en revanche, il
touche les hommes et les femmes de manière égale. Cette bizarrerie ne trouve
actuellement aucune explication valable chez les pro VIH puisqu’un virus n’est rien
d’autre qu’un assemblage inerte de protéines et ne peut en aucun cas avoir
l'intelligence de choisir son hôte en fonction de son sexe.
En plus d’être hautement toxique avec des effets secondaires semblables à une
chimiothérapie agressive (nausée, perte de cheveux, dégénérescence musculaire…),
ce médicament ne présente aucun effet curatif ni aucune action antivirale démontrés
(10). Un étude publiée dans le très sérieux magazine scientifique The Lancet avait
conclu dès 1994 à l'inefficacité et surtout à la dangerosité de l’AZT. Les travaux du
groupe de Perth, mené par Eleni Papadopoulos, sont arrivés à la même conclusion
dans une étude de référence réalisée en 1999 consacrée à la pharmacologie
moléculaire de la zidovudine (11).
Mais davantage que son inefficacité ou sa dangerosité, le plus effrayant avec ce
médicament c’est son caractère pernicieux. L’AZT génère de manière troublante chez
les patients les mêmes symptômes que ceux du sida lui-même. Il s’attaque en effet au
système lymphatique intestinal et à la moelle osseuse, deux des organes du système
immunitaire, provoquant immanquablement un déficit immunitaire généralisé, et par là
même, induisant le mal qu’ils est censé soigner. Le vrai coupable est ainsi impossible à
confondre.
Pour essayer de comprendre comment tout ceci a pu avoir lieu, il est important de
remonter aux origines de l’affaire. Le 23 avril 1984, la Secrétaire d’Etat à la santé de
l’administration Reagan, Margareth Heckler, annonce officiellement la découverte du
VIH lors d'une conférence de presse retransmise à la télévision. Même si
habituellement une pareille affirmation doit reposer sur les résultats de plusieurs études,
validées par la communauté scientifique et publiées dans des revues de référence, tout
ce processus a été court-circuité au profit de ce qui s’apparente à un coup médiatique.
Cet empressement s’explique par l’importance pour le CDC, le Centre de contrôle des
maladies infectieuses américain, de retrouver une légitimité après des années
d’errance. En effet, des millions de dollars ont été alloués à cet organisme dans les
années 70 pour la recherche contre le cancer et les virus sans donner de résultats. Par
temps de crise économique, l’existence même du CDC s’en est trouvée menacée. Mais
l’arrivée d’une maladie providentielle a complètement changé la donne. Le CDC a vite
fait d’établir un lien avec un virus fictif justifiant l’allocation de nouveaux budgets et
entérinant une légitimité nouvelle pour l'institution et l’action du gouvernement à travers
elle.
“Le sida est une maladie qui se transmet médiatiquement” Coluche, humoriste
En 2000 eut lieu à Durban, en Afrique du sud, la 13ème Conférence mondiale sur le
sida qui a été marquée par le discours historique du président sud-africain alors en
exercice, Thabo Mbeki. Devant un public abasourdi, le chef d’Etat a invité la
communauté scientifique et les autorités sanitaires à remettre en question la validité
de la théorie officielle VIH/Sida. Une première venant d’un dirigeant d’une nation.
A la suite de son discours, Mbeki a créé un comité consultatif pour la réévaluation des
données sur le sida. Il a également ordonné la suspension de l’utilisation de l’AZT et
des autres médicaments antirétroviraux, jugés dangereux et inefficaces, et a appelé à
une remise en cause de l’utilisation des tests VIH compte tenu de leur manque de
fiabilité.
Conclusion
Après trente ans de recherche qui ont englouti plusieurs dizaines de milliards de dollars,
aucun vaccin n’a pu être mis au point, et il ne peut en être autrement en l’absence d’un
virus et en raison de la nature même de la maladie dont il est question. L’échec du
combat contre le sida persistera tant que l’establishment scientifique et politique
s’entêtera à fonder ses travaux et à mener ses efforts sur la base d’une hypothèse de
départ qui est fausse, et tous les budgets du monde n’y pourront rien. La solution ne
viendra pas d’une quelconque nouvelle découverte, mais simplement d’un retour en
arrière pour une réinterprétation de l’information existante, toutes les réponses étant
déjà sous nos yeux. Un pas que les théoriciens officiels du VIH ne veulent toujours pas
franchir tant ça les impliquerait dans le scandale sanitaire le plus gigantesque de
l’Histoire. Pendant ce temps, l'hécatombe continue. Le bilan des victimes s’alourdit
chaque jour, non pas, vous l’aurez compris, à cause du sida mais en raison de l’omerta
maintenue autour de la maladie.
Références
(1)
http://www.sidasante.com/themes/hemophiles/vih_cause_du_sida_papadopulos.
htm
(2) https://liamscheff.files.wordpress.com/2009/11/padian-10-year-sex-study.pdf
(3)
http://www.sidasante.com/themes/transmissibilite_de_la_seropositivite/le_parado
xe_des_prostituees.htm
(4) https://www.youtube.com/watch?v=26vbwILsLsY
(5) https://www.youtube.com/watch?v=BtGTXM1L-js
(6) https://archives.drugabuse.gov/pdf/monographs/83.pdf
(7) http://www.rethinkingaids.com/portals/0/TheCD/E-G/gilk.pdf
(8) http://www.virusmyth.com/aids/hiv/epwbtest.htm
(9) http://www.virusmyth.com/aids/hiv/vttests.htm
(10) http://www.virusmyth.com/aids/hiv/epazt2.htm
(11) http://www.virusmyth.com/aids/hiv/epazt2.htm
(12) http://www.sidasante.com/themes/hemophiles_et_sida.html
(13) https://www.youtube.com/watch?v=-dT0BugXqsU
(14) https://www.youtube.com/watch?v=bAPZnPuPuwc