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Introduction

I. Histoire de la maladie
II. Signe du SIDA et Agent causal
1) Signe
1- Agent causal
III. Mode de transmission
IV. Conséquence du SIDA
V. Lutte contre le SIDA
a- Prévention
VI. Conduite à tenir du sida

Conclusion
Introduction
Le SIDA ou (Syndrome d’Immun défiance Acquise) a été identifié pour la
première fois en Amérique du Nord au début des années 1980. Il est causé par
un virus désigné VIH (le virus de l’Immunodéficience humaine) l’infection par le
VIH a atteint des proportions épidémiques partout dans le monde.
L’organisation mondiale de la santé estime à 36 millions le nombre de décès
causés par ce virus dans le monde entier depuis sa découverte. En 2013,
environ 35,3 millions de personnes étaient atteintes du SIDA au canada plus de
23 000 cas de SIDA ont été recensés par l’agence de santé publique de canada
entre 1979 et 2014. Le VIH est plus percolé au sein de certaines populations à
risque comme les hommes bisexuels et homosexuels et les personnes qui
s’injectent des drogues illicites. L’infection est également plus fréquente dans
les communautés désavantagées sur le plan social.

I- Histoire de la maladie
Le SIDA fut décrit pour la première fois au début de l’année 1980 chez un
groupe d’homosexuels masculin on a par ailleurs qualifié le SIDA de « cancer
gay ». La suite, bien que toujours fortement présent dans la communauté
homosexuelle masculine (on parle parfois d’un homme homosexuel sur 5 en
occident infectée par le VIH), le SIDA s’est développé chez les hétérosexuels de
tout âge, surtout en Afrique.
La pandémie de la république Démocratique du Congo (RDC), dans les années
1920, avant de se propager dans le monde en pleine mutation, en octobre
2014. Les scientifiques suggèrent que l’ancêtre commun du VIH est très
probablement apparu à Kinshasa vers les années 1920. Toutefois, le VIH a été
identifié pour la première fois seulement en 1981é pour la première fois
seulement en 1981.
Le SIDA est apparu au monde le 5 Juin 1981. Ce jour-là, le centre de contrôle
des maladies (CDC) d’Atlanta fait état, chez cinq jeunes homosexuels de
Californie, d’une pneumonie rare qui ne frappait jusqu’alors que des sujets
fortement immunodéprimés. Ces 5 jeunes vont mourir de pneumonie.
Un mois plus tard, un cancer de la peau très rare est diagnostiqué chez 26
homosexuels américains. On parle alors de « cancer goy ». La maladie sera
baptisée l’année suivante du nom de syndrome de l’immunodéficience Acquise
ou SIDA.

2- Définition
Le SIDA signifie Syndrome d’Immunodéficience Acquise. Le terme anglais est
acquired immune déficience Syndrome (AIDS). Le SIDA représente le dernier
stade de l’infection par le VIH (VIH1 ou VIH2)

II- Signe du SIDA et Agent causal


2) Signe
Les symptômes infection par le VIH apparaissent entre 2 et 12 semaines après
la contamination. Le virus infeste alors rapidement les cellules immunitaires du
sérum sanguin. Les symptômes qui apparaissent au cours de cette phase
ressemblent à ceux de la grippe, notamment :
 Une diarrhée ;
 De la fatigue ou de la faiblesse,
 Une fièvre ;
 Des maux de tête ;
 Des douleurs articulaires ;
 Des sueurs nocturnes ;
 Une éruption cutanée ;
 Une augmentation du volume des ganglions ;
 Une perte de poids ;
 Des infections à leurs (dans la bouche ou dans le vagin) persistantes
ou fréquentes.
On distingue les symptômes de l’infection au VIH (en début de
l’infection) et du SIDA proprement dit (lorsque la charge de lymphocytes
CD4 a chuté jusqu’à une certaine valeur).
Symptômes de l’infection au VIH, au début de l’infection (en anglais :
primary HIV infection, ou acute HIV infection).
Le Mayo Clinic estime toutefois qu’une majorité de personnes infectées
par le VIH va représenter environ 1à2 mois après l’infection des
Symptômes ressemblant à la grippe ou à la mononucléose
3- Agent causal
Le SIDA est provoqué par les virus VIH1 ou VIH2, VIH signifie virus
d’Immunodéficience Humaine. Parfois on parle de HIV, il s’agit du même terme
mais en anglais. Le VIH est un rétrovirus (un virus à ARV capable de copier
l’ARN en ADN grâce à une enzyme nommée transcriptase inverse). Il est causé
par un virus, appelé le VIH (ou HIV), virus de l’immunodéficience Humaine… le
virus se retrouve dans le sang, le sperme, le liquide vaginale et le lait maternel
des personnes infectées. Le VIH est également présent dans la salive, la sueur
et les larmes, mais en quantité insuffisante pour la transmission du virus.
Il n’existe aucun cas envers de contamination à la suite d’un éternuement
d’une poignée de main, d’un contact avec des siège de toilette ou de piqûre de
moustique.
Les rapports sexuels non protégés et l’échange de seringues sont les 2 modes
d’infection par le VIH. Le VIH se transmettre au cours de relations sexuelles
hétérosexuelles ou homosexuelles non protégées qu’elles soient vaginales,
anales ou orales. Il importe d’avoir quand même recours à une protection
comme une aigue dentaire (un carré de latex recouvrant le sexe ou l’anus) ou à
un préservatif.

III- Mode de transmission


 Le VIH se transmet par le sang, le sperme (et le liquide séminal qui
s’écoule au début de l’érection), les sécrétions vaginales et le lait (une
forme de transmis mère-nouveaux-né).
La plupart des cas de VIH-sida sont dus à un rapport sexuel vaginal ou anal
(plus rarement buccal). Il faut noter que les personnes souffrant d’autres
MST (syphilis, herpès, chlanrydia), vont transmettre plus facilement le VIH et
seront elle-même plus facilement contaminées. Le VIH ne se transmet pas
dans l’air, l’eau ou à travers les piqûres d’insectes.
Des chercheurs suisses ont montré en novembre 2013 que la transmission
du VIH s’effectuait principalement par des personnes non Traitées (qui ne
prennent pas des médicaments contre le VIH/SIDA. La prévention et le
dépistage précoce sont ainsi primordiaux pour envoyer la propagation de la
maladie cette étude a porté sur une commuté homosexuelle masculine
 La transmission mère-enfant du VIH peut se développer Pen
 Dans la grossesse mais surtout lors de l’accouchement ou pendant
l’allaitement en cas d’absence de traitement, l’enfant a une probabilité
d’environ 25% d’être contaminé par le VIH par la mère (si elle est VIH-
positive). En cas de traitement chez la mère (médicalisé) d’un
accouchement suivi pour les mères VIH-Positives et si la mère n’allait pas
ce chiffre de 25% peut tomber à 1% le virus peut être aussi être transmis
lors de seringues et aiguilles contaminés, le virus peut être aussi transmis
lors de la transfusion sanguine, mais actuellement le risque est très bas
en tout cas dans les pays industrialisés, car les banques de sang sont
dépistées pour rechercher des anticorps contre le VIH probablement
apparu déjà en 1971 à New York. Sur la côte ouest, notamment à San
Francisco, des cas de SIDA seraient déjà apparus en 1976.

IV- Conséquence du SIDA


Le VIH affaiblissant progressivement le système immunitaire, la maladie
entraîne ensuite l’apparition d’autre symptômes : perte de poids, fièvre,
infections de la peau, diarrhée et toux sans traitement, la maladie évolue
vers le syndrome de l’immunodéficience acquise, dit sida, stade ultime de
l’infection par le VIH. Le VIH entraîne la baisse de revenue des parents de
l’infectée due à l’achat des produits antirétroviraux du VIH à un employeur
potentiel peut ne pas être embauché un travailleur peut être licencié au
motif de son seul statut VIH ou parce qu’il est supposé qu’il ne puisse pas
exercer les tâches liées à l’emploie, indépendamment de ses capacités
réelles.

V-Lutte contre le SIDA


b- Prévention
Le VIH se soigne généralement au moyen d’une polythérapie antirétrovirale
hautement anti-Haart (Hilty active antirétroviral thérapie), une puissante
combinaison de médicaments anti-VIH. La Haart ne guérit pas le VIH, mais elle
permet de diminuer le nombre de virus présent dans le sang de renforcer le
système immunitaire et de ralentir l’évolution de l’affection. Une polythérapie
comporte au moins 3 médicaments. L’emploi de plusieurs médicaments
agissant d’une manière différente prévient la résistance du virus au traitement
le risque de résistance augmente lorsqu’un petit nombre de médicaments
cesse même pour une courte période.
Lorsqu’une personne a contracté le SIDA, elle peut prendre un éventail de
médicaments antibiotiques antiviraux et antifongiques que d’autre personnes
pas de courtes périodes de temps pendant qu’elles sont malade. Ces
médicaments permettent de combattre les infections opportunistes.
Les personnes souffrant du syndrome de dépérissement peuvent obtenir des
traitements adaptés à la cause de leur perte de poids importante. Des agents
comme les hormones de croissance, les stéroïdes anabolisants et les stimulants
d’appétit constituent des exemples de médicaments utilisés pour traiter ce
symptôme.

VI. Conduite à tenir du sida

Toute personne n’ayant pas été correctement vaccinée se verra proposer une
vaccination (sous réserve, bien sûr, d’absence de contre-indication, donnée qui
sera évaluer par le médecin réalisant la consultation initiale). Pourra être asso-
cié à cette vaccination l’injection d’anticorps anti-hépatite B, permettant d’ob-
tenir une protection immédiate contre le risque de transmission de l’hépatite
B, avant même que la vaccination soit efficace.

 Seule la mise en route d’un suivi est préconisée. Une sérologie de l’hépa-
tite C et un dosage des transaminases seront régulièrement réalisés pour
rechercher les stigmates du début d’une infection par le virus de l’hépa-
tite C. Si une transmission du virus de l’hépatite C est ainsi mise en évi-
dence, un traitement sera rapidement entrepris. Il a alors toutes les
chances d’être efficace.

Conclusion
Pour conclure, il est nécessaire d'insister sur l'importance du dépistage. Il faut
absolument sensibiliser les plus jeunes aux dangers du SIDA, car cette épidémie
est partout, comme une épée de Damoclès au-dessus de nous tous. Parfois, la
confiance en un partenaire ne suffit pas : on s'ignore souvent séropositif.
Aucune vaccination n'est disponible à ce jour, et aucun traitement ne permet de guérir du
SIDA.
Il faut penser à se protéger, et surtout, en parler et se faire dépister.

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