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I- DEFINITION p2
1. La Pénétration p3
2. Le risque en cas de piqûre par une seringue p3
3. La transmission de la mère à l’enfant p3
V- TRAITEMENT p4
1. Antirétroviraux p4
2. Traitement : un rôle dans la prévention p5
CONCLUSION p6
INTRODUCTION
Depuis le début de l’épidémie dans les années 1980, le VIH/SIDA est devenue la
maladie la plus mortelle au monde. Il reste un fléau inacceptable. En effet,
l’épidémie de VIH sévit toujours et le sida est aujourd’hui une des causes
principales de décès dans le monde pour les adolescents et les femmes en âge
de procréation. Depuis plus de 30 ans, des recherches se sont poursuivies pour
mieux cerner cette maladie et développer les traitements et la prévention. Il reste
cependant encore des progrès à réaliser, concernant notamment le regard que la
société pose sur les personnes touchées par le VIH/SIDA.
Dans notre travail, il s’agira pour nous de le définir, de montrer les modes de
contamination de ce fléau et d’énumérer les moyens de s’y prémunir.
I- DEFINITION
1. Qu’est-ce que le VIH ?
Le VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine)
est un virus qui, une fois dans le corps humain, va
infecter et détruire certaines cellules qui
coordonnent l'immunité (défenses de l'organisme contre les microbes). Lorsque
ces cellules sont en nombre insuffisant, l'immunité n'est plus efficace et des
maladies graves, dues à des microbes, peuvent alors se développer. On appelle
ces maladies « opportunistes », parce qu'elles profitent de la disparition de
l'immunité pour se développer. Lorsqu'une personne contracte une ou
plusieurs maladies dites « opportunistes », on dit alors qu'elle a le SIDA c’est
à dire le Syndrome d'Immuno Déficience Acquise.
2. Qu’est-ce que le sida ?
L’abréviation SIDA signifie Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise. Elle décrit
l’ensemble des symptômes et des infections liés à une déficience acquise du
système immunitaire. Il a été prouvé que le sida est la phase finale d’une
contamination au VIH. Des indicateurs comme le niveau d’immunodéficience ou
l’apparition de certaines infections servent à déterminer le passage de l’infection
du stade du VIH à celui du SIDA.
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Ainsi, trois liquides seulement sont susceptibles d'être à l'origine d'une
transmission :
Le sang ;
Les sécrétions sexuelles, c'est-à-dire le sperme, les sécrétions
vaginales féminines, mais aussi le liquide pré-séminal chez l'homme
(liquide sécrété avant l'éjaculation) ;
Le lait maternel.
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On peut également préciser que la transmission lors de chacune de ces
situations à risque n'est pas obligatoire. Il faut cependant la craindre, et agir
comme si elle était systématique.
IV- SYMPTÔMES ET PREVENTION
2. Prévention
Au niveau individuel, on peut réduire le risque d’infection
par le VIH en limitant l’exposition aux facteurs de risque.
Parmi les principales démarches de prévention du VIH,
souvent associées entre elles, figurent :
l’utilisation du préservatif masculin ou féminin ;
le dépistage et conseil pour le VIH et les IST ;
le dépistage et le conseil pour une mise en
relation avec les services de prise en charge de la
tuberculose ;
la circoncision médicale volontaire de l’homme ;
l’utilisation de médicaments antirétroviraux à titre préventif ;
la réduction des effets nocifs pour les consommateurs de drogues par
injection ; et
l’élimination de la transmission mère-enfant du VIH.
V- TRAITEMENT
1. Antirétroviraux
A l’heure actuelle, le traitement antirétroviral ne guérit
pas de l’infection à VIH, mais supprime activement la
réplication du virus dans l’organisme et permet au
système immunitaire de se renforcer et de reconstituer
sa capacité à combattre les infections opportunistes et certains cancers.
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Ces traitements ne permettent pas de guérir le SIDA. Ils augmentent
considérablement l'espérance de vie lorsqu'ils sont bien conduits, mais ne sont
pas sans contraintes : l’OMS recommande d’administrer à vie un traitement
antirétroviral à toutes les personnes vivant avec le VIH : enfants, adolescents,
adultes, femmes enceintes et femmes allaitantes
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un laboratoire d'analyses médicales, et gratuit et anonyme dans les centres de
dépistage.
Il est cependant important de connaître son statut après avoir subi une situation
à risque, ou avant l'arrêt du préservatif avec un partenaire stable.
Il faut savoir que le VIH n'est détectable que trois semaines environ après
l'infection. Se faire dépister quelques jours après une situation à risque n'a
donc pas d'intérêt : il faut attendre un peu.
3. Où se faire dépister ?
Les tests de dépistage se font dans les laboratoires d'analyses médicales,
mais demandent une ordonnance d'un médecin.
Pour un dépistage gratuit et anonyme, il existe des centres spécialisés.
CONCLUSION