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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Dr Claudel NOUBISSIE

STOP !
Assez de mensonges sur le VIH-SIDA !

Volume 1

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Dr Claudel NOUBISSIE , STOP ! Assez de mensonges sur le VIH-SIDA, Volume I, Nouvelle


édition
©Éditions SENG’A, 2020

TOUS DROITS RÉSERVÉS


Toute reproduction totale ou partielle du présent ouvrage par tous les moyens présentement connus ou
à être découverts, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l’auteur.
Toute utilisation non expressément autorisée constitue une contrefaçon exposant l’individu ou
l’établissement coupable à des poursuites judiciaires

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

« Un ignorant n’est pas celui qui n’a rien appris, mais celui qui a appris des choses qui sont
erronées ! »

Auteur inconnu

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

AVERTISSEMENT !

Le lecteur découvrira, au fil du texte, des indications textuelles signalées par des
exposants numériques (exemple : 1), présentant la référence des articles mentionnés, à
l’appui de telle ou telle affirmation. Ces dernières références sont utiles à deux niveaux.
✓ Premièrement, pour l’auteur, elles constituent un précieux garde-fou : lorsque
chaque assertion se doit d’être étayée, il est moins facile de dire n’importe quoi et
de faire passer des boniments de camelots pour des faits avérés.
✓ Deuxièmement, pour le lecteur, elles permettent de remonter à la source des
évidences présentées et ainsi de vérifier ou d’approfondir des propos qui
pourraient être jugés suspects ou engageants.
Ces notes de fin d’ouvrage ne sont nullement nécessaires à la compréhension du texte.
Elles peuvent être totalement ignorées ou consultées sur un mode ponctuel et
parcimonieux.

Ne lisez pas ce texte si vous êtes satisfait de vos connaissances concernant le VIH -
SIDA !

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

ATTENTION

Pour faire suite à certaines mauvaises interprétations, il est capital de comprendre que
cette publication vise uniquement à dénoncer le scandale caché derrière la thèse officielle
concernant le VIH - SIDA.

En aucun cas, ce scandale ne devrait pousser quiconque à NE PAS SE PROTÉGER


sachant qu’il existe des dizaines et des dizaines de MST très contagieuses qui, quant à elles,
sont véritablement identifiées, isolées et dangereuses.
La meilleure des protections étant d’avoir des relations sexuelles saines, avec un seul
partenaire.

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

SOMMAIRE

AVANT PROPOS ................................................................................................................... 10


PARTIE I .................................................................................................................................... 16
PARTIE II................................................................................................................................... 22
DÉFINITION DES TERMES ......................................................................................... 26
EXTRAITS DE NOTICES DES TESTS DU VIH .................................................. 33
QUE REPRÉSENTENT LES TESTS DU SIDA ? .................................................. 37
CITATIONS DE QUELQUES CHERCHEURS...................................................... 40
PARTIE III ................................................................................................................................. 41
HISTORIQUE ...................................................................................................................... 46
PARTIE IV ................................................................................................................................. 49
M. VIH, VOTRE TRANSMISSION EST INTERROMPUE !............................ 55
QUELQUES ÉTUDES ...................................................................................................... 62
CONTRADICTION ........................................................................................................... 65
AUTRES ÉTUDES ............................................................................................................ 67
PARTIE IV ................................................................................................................................. 77
REFERENCES.......................................................................................................................... 87

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

AVANT PROPOS

Si vous lisez ces lignes, c’est que nous avons au moins deux choses en commun :
La médecine vous intéresse et vous avez envie de savoir, de comprendre,
d’analyser, et d’interpréter les « soi-disant » mensonges qui concernent cette
maladie qui se transmet « médiatiquement » comme le disait Coluche à savoir : le
VIH-SIDA. Enfin, quand je dis en commun, je veux dire en commun avec moi au
moment où je commençais mes études de médecine.

Pour moi, tout a effectivement commencé il y a 2 ans. J’effectuais quelques


recherches farfelues sur le web lorsque je suis tombé sur ce fameux prix : Le Prix
Huw Christie qui promettait 100 000 dollars de récompense pour le scientifique
au monde qui réussirait à démontrer l’évidence du VIH au microscope
électronique chez un patient atteint du SIDA, offerts le 19 juillet 2002 par
Alexander Russell.
À l’époque, j’ai trouvé ça tellement stupide de la part de cet homme, et je me disais
: « Il veut perdre son argent ou quoi ? Ou alors est-il totalement idiot ? Une
maladie qu’on combat depuis les années 80 et dont on a identifié la cause il vient
en 2002 défier les scientifiques du monde entier de prouver l’existence du virus
[VIH] à l’origine de cette maladie !!! Les gens ont vraiment de l’argent à gaspiller
ici dehors ! » telle était ma réaction !

Mais, force est de constater que jusqu’à ce jour, aucun scientifique du monde
entier n’a réclamé ce prix, même pas le Pr Luc Montagnier de l’institut pasteur,
ni même le Pr Robert Gallo, tous codécouvreurs du VIH, en précisant que leur
découverte provenait de l’échantillon d’un même patient !

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Je me suis alors dit : « 100 000 dollars ne représentent-ils rien pour ces chercheurs
??? C’est quand même bizarre tout de même qu’aucun chercheur ne veuille fermer
la bouche de ce Monsieur Russell en bouffant son argent (comme on le dirait au
quartier), ceci par une simple démonstration chez un patient atteint du SIDA chez
qui, une simple prise de sang allait suffire à isoler le virus, puis à le purifier et
ensuite à l’observer au microscope électronique, quoi de plus simple ! ».

En poussant un peu dans mes recherches (ce qui est très facile à faire avec un peu
de volonté et la ferme détermination de trouver la vérité dans tout ça), je me suis
rendu compte qu’en effet, en 1983, un groupe de chercheurs et médecins de
l’Institut Pasteur en France, dirigé par Luc Montagnier, découvre un nouveau virus
chez un patient présentant les signes et les symptômes qui précèdent souvent le
SIDA. Ils appellent leur découverte virus associé à la lymphadénopathie ou
LAV¹, et ils envoient des échantillons à l’équipe de Robert Gallo aux États-Unis.

En 1984, le 23 avril plus précisément, lors d’une conférence de presse tenue à


Washington deux semaines avant la publication des articles, Margaret Heckler,
alors secrétaire aux Services de Santé, annonce que Gallo et ses collègues ont
découvert un virus qui est la cause « probable » du SIDA (la cause probable !).
Celui-ci, dénommé HTLV III, est probablement un virus de la classe des HTLV
[Virus T-lymphotropique humain]. Il publie son travail le 4 mai 1984 dans la revue
Science2 3.

On s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa
« découverte » un échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offert
quelques mois auparavant. Il arriva la même mésaventure à Robin Weiss, le grand
spécialiste britannique du SIDA, qui fut obligé de reconnaître que sa propre
découverte du virus résultait du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un échantillon de la
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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

culture de Luc Montagnier. On peut ainsi constater que, de part et d’autre de


l’Atlantique, les trois équipes les plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à annoncer
qu’une très vague présomption à partir de cultures cellulaires issues d’un même
patient !

Il n’y a d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas un seul article dans lequel
on pourrait trouver la conclusion selon laquelle un tel rétrovirus a été isolé, et que
ce virus est la cause du SIDA.

J’ai tout de suite compris pourquoi Alexander Russell était si confiant en


promettant 100 000 dollars pour celui qui réussirait à démontrer la présence de
particules rétrovirales (VIH) chez un patient atteint du SIDA ! En effet, aucun
scientifique au monde jusqu’à ce jour n’a jamais réussi à isoler le VIH chez un
patient atteint du SIDA, même avec une charge virale élevée⁴ ! Bizarre n’est-ce
pas ! Vous vous demandez sûrement : et d’où proviennent alors ces photos du VIH
très jolies avec des couleurs et des caractéristiques précises du virus ? Et les tests,
comment ont-ils été élaborés si le virus n’a jamais été isolé ? Ceux-ci ne seraient
jamais spécifiques dans ce cas ! Nous y reviendrons et nous apporterons des
réponses concises et exhaustives à ces interrogations tout au long de ce livre.

Les médias se sont immédiatement acharnés sur cette soi-disant « découverte » en


déclarant le lendemain même : « on a enfin trouvé la cause du SIDA, c’est le VIH
! c’est lui l’assassin » tout en oubliant le mot « probable » qui avait tout son sens
dans la phrase et nous allons comprendre pourquoi tout au long de ce livre. En
guise de rappel historique, Le SIDA est « apparu » au début des années 80 à San
Francisco exclusivement chez des homosexuels masculins jeunes qui
développaient des Pneumonies à Pneumocystis Carinii [PPC] parfois mortelles.

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Ces premiers cas publiés par le Dr Gottlieb avaient deux choses en commun : ils
étaient homosexuels et usagers de drogues lourdes [cocaïne, amphétamines, nitrite
d’amyle], tous éléments constituant des agents de stress immunologique qui, bien
que liés au comportement sexuel, ne sont pas transmis par voie sexuelle. Il reçut
alors en 1981 l’appellation GRID (Gay Related Immune Deficiency : Déficience
Immunitaire Liée à l’Homosexualité : DILH). (Un virus homophobe, bizarre !)

Les puissants lobbies homosexuels aux USA furent consternés par cette
appellation stigmatisant la communauté homosexuelle. À l’été 1982, ils
sommèrent la CDC de revoir le nom de cette « nouvelle maladie », et c’est là que
débuta alors aux États-Unis l’usage du sigle AIDS, qui signifia d’abord Acquired
Immune Deficiency Syndrome puis Acquired Immunodeficiency Syndrome. Le
terme AIDS avec la notion d’Acquired (acquis) est réputé être donné par le
chercheur Bruce Voeller, homosexuel, mort lui-même d’une complication liée à
cette maladie⁵. Le nitrite d’amyle est une drogue utilisée exclusivement dans le
milieu homosexuel masculin, la plupart du temps par inhalation. Les recherches
sur animaux et sur culture de lymphocytes ont démontré que les nitrites sont
immunotoxiques, cytotoxiques et cancérigènes⁶ ⁷ ⁸ ⁹ ¹⁰.

En fait, aucune des maladies étiquetées sous le nom SIDA n’était nouvelle.
Certaines d’entre elles étaient, bien avant l’ère du SIDA, connues pour frapper les
utilisateurs de drogues et les hémophiles et l’on connaissait déjà, les effets de la
malnutrition sur l’immunité surtout en Afrique. Ce qui était nouveau, c’était le
développement exponentiel de leur prévalence chez les homosexuels masculins.
Étant un débutant dans la recherche pour ne pas dire un novice, et cherchant à tout
prix à comprendre un peu cette histoire de VIH-SIDA, je me suis naturellement
lancé dans une recherche effrénée de connaissances et de références scientifiques
concernant cette pathologie et je fus bouleversé par ce que j’ai « découvert ! », ou
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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

du moins ce que j’ai pu lire dans la littérature scientifique, puisque je n’ai rien
découvert, il suffit de lire, lire au bon endroit ! « Un scientifique n’est pas un
répétiteur de ce qu’il a lu dans des livres, mais quelqu’un qui est capable de
produire de façon intrinsèque un avis critique au vu de ce qu’il apprend et de ses
propres expériences ! »

J’ai depuis obtenu mon diplôme de docteur en Médecine, mais je n’ai jamais oublié
la difficulté des premiers temps. Dans cet ouvrage, je n’ai pas la prétention d’être
un expert en virologie, en santé publique, en hématologie ou en quoi que ce soit.
Je ne suis un expert en rien, je n’ai fait aucune découverte ! Je suis juste un
simple citoyen ordinaire qui a mené des recherches dans la littérature scientifique
afin de comprendre pourquoi « tout » le monde atteste que le VIH est la cause du
SIDA pourtant il existe énormément d’incohérences dans cette hypothèse et il ne
faut pas être un diplômé de HARVARD aux USA ou avoir un QI de 180 ou même
être atteint de la Diplômite (Infection causée par une abondance de Diplôme)
pour le remarquer, il suffit d’être cohérent et pas besoin de diplôme pour ça !

Tout au long de cet ouvrage qui peut paraître polémiste, populiste ou même
encore de propagande comme certains le diront compte tenu de l’OMERTA et du
DOGME qui règne sur le VIH = SIDA = MORT, je mets juste à la disposition du
public, désinformé par les médias de masse qui distillent le plus souvent des
informations incohérentes et absolument non scientifiques, une revue de la
littérature aujourd’hui appelée « dissidente » vis-àvis de la thèse officielle,
composé de scientifiques chevronnés sur les rétrovirus tels que :

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Pr Peter Duesberg, de l’université de Beckeley en Californie, considéré comme


le scientifique le plus compétant au monde sur les rétrovirus, auteur de l’ouvrage
« Inventing the AIDS virus »,

Pr Étienne de Harven, professeur émérite d’anatomopathologie à l’Université de


Toronto auteur de l’ouvrage « les 10 plus gros mensonges sur le SIDA ».

Pr Kary Mullis, prix Nobel de Chimie en 1993, inventeur de la PCR (Polymerase


Chain Reaction) et bien d’autres chercheurs…

Cet ouvrage n’a pas la prétention d’être considéré comme étant un article
scientifique, mais constitue ce qu’on appelle un essai. Il sera étendu en 5 volumes
afin de brosser de façon complète tous les mensonges concernant le VIH-SIDA,
véhiculés par les médias et les plus hautes instances de la santé, financés pour la
plupart par les industries pharmaceutiques (nous y reviendrons). Ce premier
volume est consacré aux tests de dépistage du VIH qui permettent de déclarer
qu’un individu est séropositif.

Dr Claudel NOUBISSIE

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

PARTIE I

FACTEURS POUVANT DONNER DES RÉSULTATS DE


TESTS VIH FAUSSEMENT POSITIFS

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« Tout ce qui brille n’est pas or »

Auteur inconnu

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L’establishment SIDA est arrivé à convaincre beaucoup de gens que les tests dits « du SIDA »
(Elisa, IFA et Western Blot) sont sûrs à « 99.5 % ».
Sachant que les tests dits « du SIDA » ne mesurent pas la contamination par un virus (VIH),
mais plutôt la présence d’anticorps (signe que votre organisme est en train de lutter avec succès
contre le virus), Christine Johnson présente dans cet article une liste de situations reconnues
pouvant faire réagir positivement ces tests.
Elle s’est basée pour cela sur la littérature scientifique et donne les références (numéros en
exposant).

Comment savoir si la séropositivité des tests dits « de SIDA » est le témoin du VIH ou bien
seulement d’un ensemble de réactions faussement positives à divers anticorps n’ayant rien à voir
avec le VIH ?

1. Anticorps anti-glucidiques 26 32 65
2. Anticorps spontanés 18 32
3. Immunisation passive par gammaglobulines ou immunoglobulines (Utilisées
prophylactiquement contre une infection immunisante)17 26 31 35 39 55 56 73
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4. Lèpre 15 38
5. Tuberculose 38
6. Mycobactérie aviaire 38
7. Lupus érythémateux disséminé 28 36
8. Insuffisance rénale 26 36 61
9. Insuffisance rénale avec hémodialyse 23 29 54 69
10. Traitement à l’interféron de patients hémodialysés 67
11. Grippe 49
12. Vaccin antigrippal 16 24 26 33 43 56
13. Herpès simplex 40
14. Herpès simplex 224
15. Infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) 24
16. Infection virale récente ou vaccination contre maladie virale 24
17. Grossesse chez des femmes multipares 26 49 56 66 71
18. Malaria (Paludisme) 19 25
19. Taux élevés de complexes immuns circulants 19 46
20. Hypergammaglobulinémie (taux élevés d’anticorps) 46 53
21. Faux positifs pour d’autres tests, y compris le test RPR (Rapid
Plasma Reagent) pour la syphilis 23 30 46 61 62
22. Polyarthrite rhumatoïde 49
23. Vaccination anti hépatite B 34 41 53 56
24. Vaccination antitétanique?53
25. Transplantation d’organe 14 49
26. Transplantation rénale 22 26 48 61 69
27. Anticorps anti lymphocytaires 44 59
28. Anticorps anti collagène (qu’on trouve chez les hémophiles, les
Africains et les lépreux) 44
29. Test positif pour le facteur rhumatoïde, anticorps antinucléaires (présents
tous deux dans les polyarthrites rhumatoïdes et d’autres affections associées) 27 66 75
30. Maladies auto-immunes : lupus érythémateux disséminé, maladies du
tissu conjonctif, dermatomyosite 23 42 53 56 57 62
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31. Infections virales aiguës 26 53 56 61 62 66


32. Néoplasies (Cancers)53
33. Hépatite ou autre maladie du foie d’origine alcoolique 23 26 45 53 56 61 66
34. Cholangite sclérosante primaire 61 66
35. Hépatite 67
36. Anémie à cellule falciforme (chez les Africains : Drépanocytose)47 51 53
37. Anticorps à forte affinité pour le polystyrène (utilisé dans les tests kits) 16
53 75

38. Transfusions sanguines, transfusions répétées 26 49 54 56 62 76


39. Myélome multiple26 56 66
40. Anticorps HLA (vis-à-vis des antigènes leucocytaires de classe I & II) 20
23 266 56 59 61 62 66 76

41. Anticorps « anti-smooth muscle » 61


42. Anticorps anti membrane cellulaire 61
43. IgM (anticorps) anti hépatite A61
44. IgM anti hépatite B (HBc)61
45. Préparations d’immunoglobulines humaines datant d’avant 1985²³
46. Hémophilies23 62
47. Affections hématologiques malignes, lymphome 22 26 56 61 66
48. Cirrhose primaire du foie 26 54 56 66
49. Syndrome de Stevens-Johnson22 26 61
50. Fièvre-Q avec hépatite associée74
51. Échantillons de sérum inactivé par la chaleur37 61 62 64 70
52. Sérum sanguin surchargé de lipides (hyperlipémie)62
53. Sérum venant de sang hémolysé (dont l’hémoglobine a quitté les globules
rouges) 62
54. Hyper bilirubinémie 23 26
55. Globulines produites au cours de gammapathies poly clonales (qui se
rencontrent dans les groupes à risque du SIDA)23 26 61
56. Réactions croisées pour d’obscures raisons chez des individus sains²³
57. Ribonucléoprotéines humaines normales26 61
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58. D’autres rétrovirus 21 26 27 61 68


59. Anticorps anti mitochondriaux 26 61
60. Anticorps antinucléaires 26 51 66
61. Anticorps anti microsomes 47
62. Anticorps anti leucocytes T 26 61
63. Protéines du papier filtre26
64. Virus d’Epstein-Barr (mononucléose infectieuse)50
65. Leishmaniose viscérale?58
66. Relation Sexuelle Anale (Réceptrice)52 77

Après avoir consulté cette liste qui présente les conditions médicales pouvant entrainer des «
faux positifs » aux tests dits « de SIDA » (ÉLISA et WESTERN BLOT) et compte tenu du fait
que ces tests ne détectent jamais le virus, mais plutôt les anticorps dirigés contre ce virus, il va
de soi que lorsque l’on labelle un patient « séropositif » sur la base de ces tests, la première
démarche à suivre serait d’abord d’éliminer tous ces facteurs de positivité du test avant de lui
coller l’étiquette SÉROPOSITIVITÉ = VIH = SIDA = MORT, avec tout le stress que cela
implique, quand l’on sait qu’il s’agit d’un test pouvant être rendu positif par l’une des 66
conditions citées par Christine Johnson dans cet article.
Dans le chapitre suivant, nous expliquerons pourquoi la séropositivité n’est pas un signe
d’infection par le VIH.

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

PARTIE II

LA SÉROPOSITIVITÉ EST-ELLE UN SIGNE


D’INFECTION PAR LE VIH ?

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

« Un mensonge répété dix fois reste un mensonge ; répété dix mille fois il devient une vérité.

Adolf Hitler

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

ATTENTION

Pour faire suite à certaines mauvaises interprétations, il est capital de comprendre que cette
publication vise uniquement à dénoncer le scandale caché derrière la thèse officielle
concernant le VIH-SIDA. En aucun cas, ce scandale ne devrait pousser quiconque à NE
PAS SE PROTÉGER sachant qu’il existe des dizaines et des dizaines de MST très
contagieuses qui, quant à elles, sont véritablement identifiées, isolées et dangereuses. La
meilleure des protections étant d’avoir des relations sexuelles saines, avec un seul
partenaire.
Les objectifs de cette partie sont triples :

1. Développer l’esprit critique de nos médecins et surtout des patients


2. Définir ce que c’est que "la séropositivité" ;
3. Savoir à quoi correspond le fait d’être "séropositif".

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Dans la première partie de ce livre (qu’il faut urgemment lire si ce n’est pas encore le cas), nous
avons présenté une liste de 66 conditions médicales pouvant chacune entraîner un test dit du «
SIDA » faussement positif, c’est-à-dire pouvant faire en sorte que le test d’un patient soit positif
et qu’il soit déclaré « Séropositif » sans que cela n’ait un rapport avec le VIH. Cela a soulevé
beaucoup d’interrogations, de polémique et même d’injures à mon endroit.
Étant donné que votre santé est notre priorité, nous commençons cet article qui démontre que
LA SÉROPOSITIVITÉ N'EST PAS FORCÉMENT UN SIGNE D'INFECTION PAR LE VIH
en donnant la définition de certains termes qui créent beaucoup de confusion chez les patients
et même chez certains médecins, afin que le reste soit plus digeste et mieux compréhensible.

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

DÉFINITION DES TERMES

ADN : Molécule, présente dans toutes les cellules vivantes, qui renferme
l’ensemble des informations nécessaires au développement et au fonctionnement
d’un organisme.
Anticorps : Protéine complexe utilisée par le système immunitaire pour détecter
et neutraliser les agents pathogènes de manière spécifique.
Antigène : Macromolécule naturelle ou synthétique qui, reconnue par des
anticorps ou des cellules du système immunitaire d’un organisme, est capable de
déclencher chez celui-ci une réponse immunitaire.
Diplômite : Infection causée par une abondance de Diplôme
Dogme : Affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible
par une autorité politique, philosophique ou religieuse.
ELISA : Examen de laboratoire pouvant être utilisé tant pour évaluer la présence
d’un antigène que celle d’un anticorps dans un échantillon, c’est un outil efficace
à la fois pour déterminer des concentrations sériques d’anticorps (comme pour le
test du VIH), que pour détecter la présence d’un antigène.
Infection : Envahissement puis multiplication de microorganismes au
sein d’un organe du corps vivant.
Mensonge : Énoncé délibéré d’un fait contraire à la vérité, ou encore dissimulation
de la vérité (dans ce dernier cas, on parle plus particulièrement de mensonge par
omission).
Omerta : Loi du silence

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Placebo : Substance inerte, dépourvu d’activité pharmacologique spécifique, que


l’on substitue à un médicament pour contrôler ou susciter les effets psychologiques
accompagnant la médication
Rétrovirus : Virus dont la multiplication repose sur la transcription de l’ARN en
ADN, à la différence des autres virus, qui font le contraire.
Séropositif : Terme fréquemment employé pour désigner le statut sérologique des
personnes infectées par le Virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH).
Système Immunitaire : Système biologique constitué d’un ensemble coordonné
d’éléments de reconnaissance et de défense qui discrimine le « soi » du « non-soi
».
Virus : Entité biologique nécessitant un hôte, souvent une cellule, dont il utilise le
métabolisme et ses constituants pour se répliquer.
Western Blot : Méthode de biologie moléculaire permettant la détection et
l’identification de protéines spécifiques dans un échantillon biologique (sérum ou
autre extrait). C’est un outil de diagnostic complémentaire.

AUTRES DEFINITIONS

Anti Retro Viraux (ARV) : Ces agents détruisent la formation de l’ADN. Ils n’agissent pas
contre des virus seulement, mais contre tout l’ADN qu’ils peuvent rencontrer dans le corps
humain. Il n’y a en fait aucun médicament qui soit vraiment spécifiquement antiviral,
contrairement à ce que l’on croit généralement.

Approbation rapide : Autorisation donnée à des traitements pharmaceutiques avant que des
études à long terme n’aient été faites et avant que l’efficacité et l’innocuité du produit aient pu
être établies. De nombreux effets secondaires des inhibiteurs de la protéase (IP) ont été
découverts après que l’autorisation rapide ait été accordée.

Éducation concernant le SIDA : Présentation de toutes sortes de croyances qui excluent toutes
les informations contenues dans cette brochure.
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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Épidémie de SIDA : Le mot épidémie correspond à une maladie contagieuse qui se répand
rapidement dans toute la population. Pendant les 33 ans de son histoire, le SIDA est resté à 97
% confiné aux groupes à risque originaux et ne s’est pas répandu dans la population. La mortalité
pour cause de SIDA est moins de 10 % de la mortalité annuelle due au cancer.

99 % des gens qui habitent sur le continent Africain, qui est souvent décrit comme dévasté par
le SIDA n’ont pas le SIDA. Le SIDA ne remplit aucun des critères qui permettent de définir une
épidémie.

Charge virale : Nom donné à un test de laboratoire qui n’isole pas et n’identifie pas le virus et
n’a pas été approuvé par la FDA comme méthode de diagnostic. Ce test est néanmoins utilisé
de façon routinière pour diagnostiquer l’infection au SIDA et prescrire une médication.

Chronique et contrôlée : Une phrase qui est utilisée pour décrire le but de la science officielle
qui espère qu’avec les nouveaux médicaments, le SIDA pourra être une maladie chronique que
l’on contrôle comme le diabète.

Combattre le SIDA : en fait, ce combat correspond à trouver des fonds pour soutenir la
recherche et les institutions qui vivent du SIDA.

Effets secondaires : Les effets négatifs produits sur la santé des patients par des traitements
pharmaceutiques. En fait ces effets secondaires sont les effets directs qui sont dus à la toxicité
des médicaments.

Facteur de risque : D’après les médias et les agences gouvernementales, tout le monde court
le risque d’attraper un jour le SIDA. Pourtant, depuis plus de 15 ans, 97 % de tous les cas de
sida en Amérique sont restés confinés chez les hommes homosexuels utilisant des drogues dures
(virus homophobes à la fin !) ou chez les hémophiles qui ont reçu de nombreuses transfusions
sanguines. En 1987 déjà, le Centre de Contrôle des Maladies admettait que le risque pour une
personne hétérosexuelle qui ne faisait pas partie d’un groupe à risque était de moins de 1 pour 5
millions, ce qui est moins que le risque d’être frappé un jour par la foudre (moins de 1 sur 1
million) ! Mais il fut décidé en 1988 de présenter le SIDA comme une maladie qui pouvait
frapper tout le monde afin de mobiliser le soutien financier des populations et de générer de la
compassion pour les victimes.

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Infecté par le SIDA : Une phrase incongrue, rendue populaire par les médias, qui décrit des
gens qui ont été testés positifs pour les anticorps contre VIH. Il n’y a pas réellement d’infection
du SIDA. (Médias de désinformation)

Inhumain : Terme utilisé pour décrire l’utilisation de placebo dans des études en double
aveugle. Pendant des décennies, les études en double aveugle ont été reconnues comme des
pratiques scientifiquement valables pour évaluer l’efficacité d’un traitement. Depuis le temps
du SIDA, l’utilisation de placebo est considérée comme inhumaine.

Intervention précoce (aussi appelée prophylaxie) : Traitement pharmaceutique d’une maladie


que l’on donne avant qu’aucun symptôme de cette maladie ne soit apparu. La présomption que
la maladie va apparaître est fondée uniquement sur des statistiques faussées et ne tient aucun
compte de l’état de santé de l’individu. Les traitements précoces qui correspondent au concept
de frappe fort et vite ont souvent des effets extrêmement nocifs sur la santé de l’individu.

Maladie mortelle : Décris la condition qui mène à la mort. Pourtant, selon l’O.M. S, 95 % des
gens dans le monde entier qui sont décrits comme ayant le SIDA vivent en bonne santé. Selon
le rapport de 1996 du Centre de Contrôle des Maladies, le nombre d’Américains qui vivent avec
le diagnostic de SIDA a augmenté depuis plus de 10 ans. Bien que l’on ait affirmé que les
inhibiteurs de la protéase et autres nouveaux médicaments étaient responsables du nombre
croissant de survivants, ce nombre avait déjà augmenté de plus de 600 % deux ans avant que ces
traitements ne soient utilisés.

Mutation : une explication rendue populaire pour expliquer pourquoi les effets positifs des
médicaments contre le SIDA sont de courte durée. Cette explication présume que le virus mute
en des souches qui résistent aux médicaments chimiques. Il n’y a aucune preuve scientifique qui
permette d’étayer cette idée.

Non progresser : Personnes qui sont séropositives, ne prennent aucun médicament


pharmaceutique et sont en bonne santé. De nombreux scientifiques pensent que ces personnes
sont atteintes par une souche virale moins virulente ou imaginent qu’elles ont un gène spécial
qui les protège de la maladie. Beaucoup de fonds sont consacrés à la recherche de ce gène
présumé.

Personne bien informée : Personne séropositive qui a obtenu des informations des
organisations du SIDA sur les traitements pharmaceutiques et qui les suit. Ces informations,
évidemment, ne tiennent aucun compte de tous les faits décrits dans ce livre.
29
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Personne refusant de voir la réalité : Terme appliqué à tous ceux qui remettent en question
l’hypothèse du SIDA et aussi à tous ceux qui refusent des traitements pharmaceutiques toxiques
et choisissent de vivre.

Programme de vaccination contre le SIDA : Une recherche qui a coûté des milliards de dollars
pour créer un vaccin et n’a jamais abouti. Comme les personnes qui ont participé à des études
pour le vaccin sont devenues séropositives après vaccination, les chercheurs ont vu qu’il n’y
avait aucun moyen de distinguer entre les anticorps induits par le vaccin et des anticorps se
produisant naturellement.

99 % de précision : C’est ce que l’on dit à propos des tests de séropositivité. Sans tenir compte
du manque de spécificité, du fait que l’on n’a jamais isolé le virus et des réactions positives
pouvant être dues à d’autres causes, une précision de 99 % veut dire qu’au moins 3 ou 4
résultats positifs sont des faux positifs. Par exemple, les chiffres du Centre de Contrôle des
Maladies affirment qu’un Américain sur 375 est séropositif. Sur les 37.400 personnes testées, 1
% (374) peut être considéré comme un faux positif en raison de la précision de 99 %.

Séropositif : Décris quelqu’un qui est testé comme étant positif à des anticorps que l’on pense
être dirigés contre le VIH. Le fait d’être séropositif ne prouve pas qu’il y ait réellement une
infection par le VIH, mais, dans la population, le résultat de ce test correspond souvent à une
sentence de mort.

SIDA : Habituellement considéré comme une maladie, le SIDA est en fait un nom qui regroupe
29 maladies déjà connues qui sont regroupées sous ce titre seulement parce que la personne
présente un test positif aux anticorps contre le VIH.

SIDA déclaré : Il suffit, pour avoir un diagnostic de SIDA déclaré, d’être séropositif et d’avoir
l’une des maladies qui sont incluses dans la définition officielle. Cela peut aller d’une simple
candidose jusqu’à un cancer terminal.

Spécialistes de l’intervention précoce : De nombreux fonctionnaires des organisations du


SIDA font la promotion de traitements pharmaceutiques en excluant tout autre traitement. De
nombreuses organisations (comme Le Projet Sida de Los Angeles) ne permettent pas à ceux qui
travaillent pour eux de délivrer la moindre information sur des traitements non chimiques ou
des modes de vie sains qui permettraient de se passer de médicaments pharmaceutiques.

30
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Survivant à long terme : Une personne qui est séropositive et reste vivante pendant plus de 3
à 5 ans. Beaucoup des survivants qui ont pris des médicaments pharmaceutiques vivent avec des
effets secondaires importants comme des diarrhées chroniques, des nausées, une perte de poids,
des anémies ou des affections du système nerveux.

Test du SIDA : Ce test mesure les anticorps contre le VIH et pas l’infection par ce même
virus. Les anticorps ne peuvent ni causer ni donner une possibilité de prédire la maladie. Les
tests ne sont pas spécifiques, donnent de nombreuses réactions faussement positives et ne
correspondent pas à un virus qui a été isolé. Il n’y a donc pas de test qui permette de détecter le
SIDA.

Utilisation de compassion avec accès rapide : Cela correspond à utiliser des médicaments
expérimentaux qui ont été interdits jusque-là sans faire d’études cliniques approfondies. Ainsi
la thalidomide, qui a été interdite en 1960 pour des malformations qu’il produisait chez les fœtus
a été récemment acceptée pour être utilisée contre certains symptômes du SIDA.

Maintenant que vous avez ces quelques définitions, nous pouvons débuter. Prenez une tasse de
café, asseyez-vous confortablement sur votre chaise, et allons-y….

Ce mensonge est certainement le plus inique de tous ceux qui sont dénoncés dans ce livre, car il
a permis de faire croire à des millions de personnes qu’elles étaient malades et contagieuses.
[…] Dans son article intitulé, IL EST POSSIBLE DE PASSER DE SÉROPOSITIF À
SÉRIEUXPOSITIF (le terme « sérieuxpositif » que nous trouvons génial, est dû à un médecin
séropositif qui, pour des raisons évidentes, veut préserver son anonymat), Alfredo Embid
affirme:
« JE SUIS SÉROPOSITIF, JE SUIS CONTAMINÉ PAR LE VIRUS DU SIDA.
- FAUX ! INFORMEZ-VOUS... « ON » VOUS A DIT QUE VOUS ÉTIEZ
SÉROPOSITIF. »

Vous en faites la confession, rongé par une angoisse tout évidente qui, dans de nombreux cas,
est empreinte d’un sentiment de culpabilité. Vous pensez être contaminé par la maladie la plus
terrible de ce siècle, condamné à mort puisque vous croyez qu’être séropositif veut dire être
contaminé par un virus fatal (le VIH) qui mène inévitablement à cette mort horrible qui, à

31
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

plusieurs reprises, vous est présentée à la télévision aux heures des repas. Votre déjeuner ne
passe pas. Vous venez sans doute de recevoir une mauvaise nouvelle qui va changer
radicalement votre vie et va déprimer votre système immunitaire.
Mais, calmez-vous ! Et à propos. Comment l’avez-vous appris ? Par votre médecin, à la suite de
tests? ... Accordez vous un moment de répit.
Nous vous conseillons de consacrer un peu de votre temps à examiner d’autres opinions et points
de vue différents et y réfléchir (dans votre propre intérêt).

AUSSI INCROYABLE QUE CELA PUISSE VOUS PARAÎTRE, CE DIAGNOSTIC


N’IMPLIQUE NULLEMENT QUE VOUS SOYEZ CONTAMINÉ PAR UN VIRUS
CONDUISANT À UNE MORT FATALE, TEL QUE L’ON A ÉSSAYÉ DE VOUS LE
FAIRE CROIRE, CAR :
1. Les tests ne mesurent pas la contamination par le virus ;
2. Les tests n’indiquent même pas que vous ayez des anticorps (signe que votre organisme
est en train de lutter avec succès contre le virus), ni même que vous ayez été en contact
avec lui;
3. Les tests montrent des erreurs aberrantes telles que 80 % de faux positifs avec le test
ÉLISA et dans le cas des plus perfectionnés et considérés à tort comme « infaillibles »
(Western Blot), ils présentent des réactions croisées avec d’autres maladies (66 comme
nous l’avons vue dans la partie 1) et des situations que nous commençons tout juste à
comprendre maintenant ;
4. Et de plus, il s’avère que le rôle même du virus dans le SIDA n’est pas clair du tout. Il
existe des cas de SIDA chez des séronégatifs (comme nous le verrons dans la partie 3)
et des cas de séropositivité sans SIDA.
Les tests du VIH sont si peu spécifiques que les fabricants eux-mêmes annoncent que leurs tests
ne peuvent servir à affirmer ou infirmer la présence du « VIH ».
Ils signalent également qu’il y a de nombreuses sources possibles de faux positifs, en tout une
soixantaine (cf. partie 1 pour la liste).

32
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

EXTRAITS DE NOTICES DES TESTS DU VIH

1. « Ne pas utiliser ce kit comme seul fondement d’un diagnostic d’infection par le VIH »
(Référence : EPITOPE, ORGANON TEKNIKA. Human Immunodeficiency Virus Type 1
[HIV-1]. HIV-1 western Blot Kit. PN201-3039 Revision # 6, page 11.)

2. « Le test Monitor Amplicor VIH n’est pas conçu pour être utilisé comme test de dépistage
du VIH ni comme test de confirmation d’un diagnostic de l’infection par le VIH »
(Référence : ROCHE. Amplicor HIV-1 Monitor test. Roche Diagnostic Systems, 13-06-
83088-001, 06/96.)

3. « Le test destiné à révéler l’existence d’anticorps du virus associé au SIDA (VIH) n’est pas
un diagnostic de SIDA ou de maladies de type SIDA (AIDS). Un résultat négatif n’exclut
pas la possibilité de contact ou d’infection par un virus associé au SIDA. Un résultat positif
ne prouve pas que la personne testée ait contracté le SIDA où soit sur le point de déclarer
le SIDA ni qu’elle le contractera ». (Référence : Bio-Rad, 1989. 21 see ref 4)

4. Le test Amplicor VIH PCR a été testé seulement à l’aide de spécimens de sang intégral.
Ses performances en présence d’autres spécimens n’ont pas été évaluées et pourraient
fournir des résultats faussement positifs ou faussement négatifs La détection du VIH peut
dépendre de la quantité d’ADN pro viral du spécimen. Les méthodes de collecte du
spécimen et les facteurs propres au patient tels que l’âge, l’état sanitaire, les facteurs de
risques, etc. peuvent affecter les performances du test. Comme pour tout autre test de
détection visant à établir un diagnostic, les résultats de l’Amplicor VIH doivent être
interprétés en tenant compte des informations cliniques et des données obtenues en
laboratoire. »

5. « Le test Élisa du VIH ne peut suffire à lui seul à diagnostiquer le SIDA, même si l’examen
des spécimens régissant suggère que l’anticorps au VIH est très probablement présent »
(Références : ABBOTT LABORATORIES. Human Immunodeficiency Virus Type 1.
HIVAB HIV-1 EIA. Abbott Laboratories, Diagnostics Division. January, 1997)

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Lorsqu’on observe ces extraits de NOTICES de tests du VIH, il ne faut pas être un
diplômé de HARVARD aux USA ou avoir un QI de 180 ou même être atteint de la Diplômite
(Infection causée par une abondance de Diplôme) pour remarquer que même les fabricants des
tests affirment que, le fait d’être "séropositif" ne signifie pas forcément que la personne soit
atteinte d’un virus (VIH), ou même que cette personne aura le SIDA. Sans doute, beaucoup de
professionnel de la santé n'ont même jamais entièrement lu ces notices.
Ce qu’il faut SOIGNEUSEMENT ENLEVER DE SA TÊTE, est que ces tests
détectent directement la présence du virus (VIH) dans le sang, il n’en est rien !

AUCUN TEST DU VIH NE DÉTECTE UN VIRUS !!!


Ils détectent plutôt des anticorps non spécifiques, raison pour laquelle il existe beaucoup de
conditions (en tout 66) pouvant entraîner des résultats aux tests faussement positifs puisque ces
conditions-là peuvent aussi entraîner la production de ces anticorps et rendre les tests positifs,
sans que cela n’ait quelque chose à voir avec le VIH.
Il y a encore plus grave : le test de type « WESTERN BLOT » est utilisé pour confirmer une «
séropositivité » lorsque celle-ci a été détectée par 1 ou 2 tests de type « ÉLISA ». C’est donc un
test considéré comme plus fiable. Un test western Blot comprend 10 bandes alignées (comme
vous le voyez sur l'image), correspondant aux dix protéines que l’on a définies comme étant
typiquement et exclusivement relatives au « VIH ».

Image 1. Western Blot test

34
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Image 2. Interprétation des résultats d’un Western Blot Test

L’harmonisation internationale des diagnostics étant inexistante, selon le pays où l’on réside, le
même sérum (sang), analysé dans des conditions identiques, peut fabriquer un « séropositif » ou
un « séronégatif », au gré de la législation en vigueur. Sur les dix bandes de tests que compte le
Western Blot, il suffit d’en avoir 2 qui soient jugées « positives » pour être déclaré infecté
en Afrique. Il en faudra 3 en Grande-Bretagne et 4 en Australie. Incroyable n’est-ce pas ? Ou on
est infecté par le VIH ou on ne l’est pas !
On ne peut pas être "séropositif" au Cameroun parce que c’est 2 bandes, et devenir
"séronégatif" juste en allant en France ou en Grande-Bretagne par ce que chez eux c’est plutôt
3 et 4 bandes respectivement. Nous trouvons cela totalement non scientifique et même curieux !
Cela dit, il faut signaler que ces tests inspirent si peu confiance qu’aux Etats-Unis, la FDA (Food
and Drug Administration) n’a apporté sa caution à aucun d’entre eux. […]. De nombreux
chercheurs du monde entier s’interrogent sur la théorie officielle, y compris sur le diagnostic.
Parmi eux se trouvent des Prix Nobels, des membres de l’Académie Américaine des Sciences,
des Professeurs émérites d’immunologie et de santé publique, des microbiologistes, des
anatomopathologistes, des biologistes, des professeurs agrégés en philologie, en droit, des
35
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

spécialistes en bio statistique, en épidémiologie et de nombreux médecins généralistes possédant


de l’expérience dans le traitement du SIDA. Ces chercheurs ont ainsi formé un comité
scientifique international appelé « Rethinking AIDS », « repenser le SIDA » en français, dont je
suis membre. Ainsi donc, concentrez toute votre attention sur les lignes qui vont suivre, car nous
allons vous apporter les preuves de telles affirmations.

INFORMEZ-VOUS. CECI, APPAREMMENT SI SIMPLE, EST DÉJÀ EN SOI UN


TRAITEMENT EFFICACE. DE PLUS, NOUS PENSONS QUE REMETTRE EN QUESTION
L’HYPOTHÈSE OFFICIELLE « SÉROPOSITIF = CONTAMINATION PAR UN VIRUS
MORTEL = MORT ASSURÉE À PLUS OU MOINS LONG TERME », EST LE PREMIER
TRAITEMENT ET LA BASE DE TOUTE THÉRAPIE QUI AMÉLIORE LE SYSTÈME
IMMUNITAIRE.
Ce n’est pas une affirmation que nous avançons à la légère. Dans un groupe de soutien, constitué
spontanément et formé par des malades du SIDA et des séropositifs, nous avons pu constater
que l’état général de ces derniers présentait une nette amélioration (fait reconnu par leurs
familles et amis) et ceci après une seule séance d’échange de points de vue et sans aucun
traitement. Nous pouvons affirmer (en nous basant sur notre propre expérience, mais surtout sur
celle de différents groupes internationaux de dissidents) que la contre-information est la base de
la guérison. Cesser de vous considérer comme un condamné à mort peut vous sauver la vie.
Parfois (si vous ne présentez aucun symptôme réel), le simple fait de recueillir des
informations sur diverses opinions représente un traitement très efficace et bon marché, comparé
à certaines des options présentées par quelques médecines « naturelles ».Il est important pour
vous de connaître plusieurs points concernant les tests sur lesquels vous basez votre
condamnation à mort. C’est ça l'essence même de l'esprit critique que devrait avoir tout médecin,
tout en sachant que le doute est tout à fait scientifique ! Il n’y a pas de DOGME EN SCIENCE
!

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

QUE REPRÉSENTENT LES TESTS DU SIDA ?

Les tests n’indiquent pas que vous soyez contaminé par le virus. Ils ne mesurent ni ne détectent
le VIH. Les « tests au VIH » mesurent (soi-disant, selon l’hypothèse officielle dans le meilleur
des cas) les anticorps (c’est-à-dire vos défenses contre le VIH). Les « tests au VIH » ne sont pas
la preuve d’une infection par un virus. « Les anticorps ne sont pas les signes évidents de la
présence d’un virus, ni même les signes avant-coureurs rationnels d’une maladie virale. Tout au
contraire, les anticorps sont là pour neutraliser et ramener le virus à l’inactivité. » (Peter
Duesberg, « la lacune du VIH dans les statistiques nationales du SIDA. » Rethinking Aids- Oct.
/Nov. 1993).

1. LES TESTS ENTRAÎNENT DES RÉSULTATS CONTRADICTOIRES DE FAUX-


POSITIFS.
Examinez avec nous quelques études publiées antérieurement qui remettent en question le
diagnostic de la séropositivité du test ÉLISA et vous verrez qu’elles présentent une majorité de
faux positifs par rapport à certains tests plus élaborés comme le Western Blot (Peter Duesberg.
« La lacune du VIH dans les statistiques » rev. med. com. nº 35).
- En Russie en 1991, le test ÉLISA donna lieu à 30 000 tests positifs dont seuls 66 furent
confirmés par le Western Blot.
Si les études russes présentent pour vous peu de fiabilité, tournons-nous alors vers les
études américaines d’où proviennent, soi-disant, les meilleurs travaux scientifiques.
- 83 % des Aspirants à l’Armée des États-Unis détectés « positifs » par le test ÉLISA (10
000/12 000) s’avèrent être de faux positifs. (Burke et al. New Eng.J. Med. 319, 961-964, 1988).
- 7 donneurs de sang sur 10, traités par un vaccin du virus influenza en 1991 (virus de la
grippe), deviennent positifs par ÉLISA et de faux positifs par le Western Blot. (Mac Kenzie,
W.R., et al. 1992, JAMA 268, 1015-1017).
-

2. LE TEST WESTERN BLOT (WB) considéré comme FIABLE À 100 %, PRÉSENTE


DES RÉACTIONS CROISÉES ET N’EST DONC PAS NON PLUS VALABLE.

37
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Les tests d’anticorps les plus perfectionnés Western Blot (WB) sont eux aussi remis en question
pour leur imperfection. Dans de nombreuses situations normales ou pathologiques, mais
indépendantes du VIH, ils ne mesurent qu’un taux de protéine élevée. Mais malgré tout, on les
considère comme les preuves irréfutables de la séropositivité et donc d’une soi-disant infection
par le virus (VIH).
D’autre part, les résultats de ce test pour un même échantillon de sang envoyé aux
meilleurs laboratoires sont contradictoires, comme l’a démontré le Dr Brialy lors de sa
conférence à Omnimed (Revue Biotechnology. Vol 11 nº 6. Juin 1993).
Nous tenons à signaler que ces études ont été publiées dans les meilleures et plus prestigieuses
revues scientifiques du monde entier :
- Lancet,
- JAMA (Journal of the American Medical Association),
- New England Journal of Medecine,
- AIDS,
- Biotechnology, etc.

CONCLUSION
Nous en avons assez d’entendre des aberrations telles que : « JE SUIS SÉROPOSITIF, JE
SUIS CONTAMINÉ PAR LE VIRUS DU SIDA. »
De nombreux chercheurs du monde entier sont persuadés que cette idée manque de fondements
scientifiques, mais le plus grave c’est qu’elle est fortement contaminante et engendre «
médiatiquement » le SIDA. Tout ceci nous a poussés à écrire cet article.
En premier lieu, ce travail est destiné à vous tous qui êtes touchés par les terribles effets
secondaires d’un tel diagnostic. Ce diagnostic, selon nous, n’est pas un diagnostic scientifique,
mais une forme « médicalisée » de « Vaudou ».
En second lieu, ce travail s’adresse à vous, les thérapeutes, qui devez (ou devrez) faire face à ce
genre de demandes. Nous vous rappelons que la fonction première du thérapeute (Médecin) est
selon le serment d’Hippocrate « Primum non nocere », c’est-à-dire « premièrement ne pas nuire
» qui parfois oublié, parfois violé, trouve normalement son application dans les thérapies
prescrites. Il devrait également s’étendre, précisément dans notre cas, au propre diagnostic qui
peut aussi engendrer des maladies iatrogènes (provoquées par la médecine). Ainsi donc, si on

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

vous a diagnostiqué « séropositif » (ce qui n’a plus grand sens, comme vous pouvez le constater),
autrement dit que vous êtes contaminé par un virus mortel (ce qui est encore moins sûr), tôt ou
tard vous allez vous déprimer. Cette dépression aura sur vous des répercussions au niveau
psychologique et entraînera aussi une baisse de vos cellules de défense. Un diagnostic qui
produit stress, panique, peur et vous fait vous sentir comme un condamné à mort
entraînant automatiquement une immunodépression. Quand le diagnostic est émis par le sorcier
ou le médecin en qui vous avez placé toute votre confiance, cette condamnation prendra forme.
Ceci est la base du VAUDOU qui tue avec la même efficacité que le diagnostic du médecin. Et
si par hasard le vaudou manque son but, une séropositivité à laquelle s’ajoute un taux
relativement bas de lymphocytes T4 (CD4) établira que vous devez prendre de l’AZT... et l’AZT
marquera la fin de vos globules rouges, blancs, des cellules de rénovation rapide.
Et c’est l’histoire du poisson qui se mord la queue : un diagnostic vaudou qui engendre une
dépression immunitaire aggravée par un traitement contre le SIDA qui, à son tour, produit une
déficience immunitaire.

Incroyable ?
Pas vraiment, si vous tenez compte des bénéfices obtenus par les inventeurs des tests et des
traitements.

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

CITATIONS DE QUELQUES CHERCHEURS

1. « Le SIDA ne mène pas inévitablement à la mort. Il est important de dire cela aux gens.
Les facteurs psychologiques sont très importants pour le maintien d’une bonne fonction
immunitaire. Si vous affaiblissez quelqu’un psychologiquement en lui disant qu’il va mourir,
vos mots vont le condamner ». Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine 2008 pour la
découverte du VIH;

2. « Le VIH ne provoque pas le SIDA. Ce que personne ne comprend, c’est que tous les
rapports écrits par le Pr Gallo sur le VIH ont été déclarés frauduleux. L’hypothèse du VIH était
basée sur ces rapports » Pr Peter Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire de renommée
mondiale, Université de Californie, Berkeley, Membre de L'Académie Nationale des Sciences
Américaine ;

3. « Il n’y a aucune preuve scientifique que le VIH est la cause du SIDA. Il n’y a pas le
moindre document dans la littérature scientifique qui puisse le prouver ! » Pr. Kary Mullis, Prix
Nobel De Chimie 1993, pour la découverte de la PCR (Polymerase Chain Reaction);

4. « Le SIDA est une grande illusion qui est maintenue parce qu’il y a beaucoup de gens
qui gagnent beaucoup d’argent grâce à elle. Enlevez la question financière et toute la mythologie
s’effondrera ». Charles Thomas, PhD, ancien directeur du département cellulaire du Scripps
Research Institute.
5. « Je ne serai pas surpris s’il y avait une autre cause du SIDA et même qu’aucun VIH ne
soit impliqué. » Walter Gilbert, Professeur de Biologie moléculaire, Prix Nobel de Chimie
1980.

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

PARTIE III
LE SIDA EST- IL CONTAGIEUX ?

41
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

« Il est humain de se tromper, mais il est diabolique de persévérer dans l’erreur ! »

Sénèque

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Nous sommes le 24 février 2015, la communauté scientifique internationale retient son souffle,
car il se tient à Seattle aux USA, la Conférence Annuelle sur les Rétrovirus (classe de virus à
laquelle appartient le VIH) et les infections opportunistes (CROI) où vont être présentés les
résultats définitifs de l’essai ANRS IPERGAY qui a été mené auprès de 414 homosexuels âgés
en moyenne de 35 ans, en France et au Canada. La moitié des participants ont pris un placebo
(médicament sans effet pharmacologique démontré, administré dans le but de plaire au patient),
alors que l’autre moitié devait prendre du TRUVADA, un antirétroviral (ARV) testé comme
traitement préventif chez des Homosexuels exposés au risque d’infection par le VIH à raison de
2 comprimés 24 heures avant un rapport sexuel et 2 autres 24 à 48 heures après. Environ 70 %
des participants n’utilisaient généralement pas de préservatif, a précisé le professeur Jean-
Michel Molina, de l’Hôpital Saint Louis de Paris qui a coordonné l’essai clinique. Les
homosexuels de l’étude avaient en moyenne dix rapports sexuels par mois avec plusieurs
partenaires. Après un suivi de près de 13 mois, 16 des 414 participants ont été infectés par le

43
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

VIH, dont 14 dans le groupe placebo et 2 dans le groupe traité au TRUVADA. Après calcul, les
chercheurs estiment donc qu’avec un tel traitement, le risque d’infection par le VIH est diminué
de 86 %. « C’est même mieux que ce que pourrait faire un vaccin », s’est félicité le professeur
Molina, lors d’une conférence de presse avant de rappeler que « le préservatif reste pour l’heure
la meilleure prévention. » Les chercheurs ont par ailleurs précisé que les personnes infectées «
n’ont été contaminées qu’après un an et demi » et avaient interrompu leur traitement puisqu’elles
« n’avaient plus de trace du médicament dans le sang ». Tout le monde était content bien sûr,
enfin on avait trouvé le médicament pour empêcher de façon statistiquement significative la
contamination par le VIH. Mais en tant que scientifiques avertis et ayant toujours un sens pointu
de la critique lors de la lecture d’un article scientifique, l’équipe de SOS MÉDECINS
CAMEROUN s’est posée plusieurs questions à savoir :
POURQUOI CETTE ÉTUDE A ÉTÉ RÉALISÉE UNIQUEMENT CHEZ LES
HOMOSEXUELS ALORS QU’ELLE EST BASÉE SUR LA PRÉVENTION DE
L’INFECTION PAR LE VIH ? ET LES HÉTÉROSEXUELS ALORS ? NE SONT-ILS PAS
AUSSI À RISQUE ? POURQUOI SUR LA NOTICE DE CE MÉDICAMENT (TRUVADA)
IL EST MARQUÉ QUE CETTE PRÉVENTION N’EST RÉSERVÉE QUE POUR LES
HOMOSEXUELS ET POUR LES TOXICOMANES ? LE VIH CHOISIT IL DONC SES
CIBLES ? Vraiment Bizarre !

En effectuant des recherches poussées, les réponses à ces questions ont été trouvées, ce qui nous
a donné l’envie de rédiger cette troisième partie, qui est en concordance avec les 2 précédentes
à lire pour une meilleure compréhension de celle-ci.
Installez - vous bien dans votre fauteuil. Nous allons vous amener avec nous dans un voyage au
cœur d’un sujet passionnant de la médecine comme si vous y étiez à savoir : LA
CONTAGIOSITÉ DU SIDA. Nous sommes sûrs que pour vous, la réponse à cette question est
claire : LE SIDA EST CONTAGIEUX BIEN SÛR !

Mais, posez-vous les questions suivantes : comment en êtes-vous sûr ? De qui l’avez-vous
appris ? Avez-vous vérifié cette information ? Par quels moyens ? C’est même d’abord quoi le
SIDA ? Quelle est la différence entre le SIDA et le VIH ? Autant de questions dont nous sommes
surs que les réponses ne sont pas claires dans vos têtes.
Dans un village Camerounais, on dit souvent, lorsque tu te retrouves dans un trou, il y a 2
choses à faire :

44
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

1. Cesser de le creuser davantage !


2. Se poser la question : comment est-ce que j’ai fait pour me retrouver dans ce
trou ?
Et pour répondre à cette question, il faut forcement revenir à l’historique de ce trou, ainsi, pour
planter le décor, nous allons vous faire un bref rappel historique de la découverte du SIDA et du
VIH, pour comprendre comment nous avons fait pour nous retrouver dans ce trou, car c’est le
seul moyen d’en ressortir.
Oubliez tout ce que vous connaissez concernant le SIDA ne serait-ce que l’instant de la
lecture de ce texte et à la fin de votre lecture, vous ferez une comparaison entre les informations
que vous aurez retenues ici et celles que vous connaissez déjà, et vous ferez votre propre analyse.
C’est ça la base même de la lecture critique, qu’on apprend malheureusement pas assez dans les
facultés de médecine
CONSÉQUENCE: la plupart des médecins, lorsqu’ils sortent de l’école, atteint de la
diplômite (infection causée par une abondance de diplôme), ils deviennent juste de bon
répétiteurs qui récitent parfaitement ce qu’ils ont lu et appris dans des livres en se prenant pour
des génies, sans questionner leurs connaissances pour savoir si elles sont vraies ou fausses.

Vous êtes prêts? On peut y aller ? Allons-y…

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

HISTORIQUE

En 1983, un groupe de chercheurs et médecins de l’Institut Pasteur en France, dirigé par


le Pr Luc Montagnier, découvre un nouveau virus chez un patient présentant les signes et les
symptômes qui précèdent souvent le SIDA à savoir :
Habituellement considéré comme une maladie, le SIDA est en fait un nom qui regroupe
une trentaine de maladies déjà connues ; il suffit, pour avoir un diagnostic de SIDA, d’être
séropositif (ce qui ne veut pas dire grand-chose comme nous l’avons vue dans la partie 2) et
d’avoir l’une des maladies qui sont incluses dans la définition officielle. Cela peut aller d’une
diarrhée chronique à un cancer terminal. Les chercheurs et médecins de l’Institut Pasteur en
France ont appelé leur découverte Virus associé à la Lymphadénopathie ou LAV
(Lymphadénopathie étant un terme barbare qui veut juste dire des ganglions), et ont envoyé des
échantillons à l’équipe du Pr Robert Gallo aux États-Unis.1
En 1984, le 23 avril plus précisément, lors d’une conférence de presse tenue à
Washington deux semaines avant la publication des articles, Margaret Heckler, alors secrétaire
aux Services de Santé, annonce que le Pr Gallo et ses collègues ont découvert un virus qui est la
cause « probable » du SIDA (LA CAUSE PROBABLE !). Celui-ci, dénommé HTLV III, est
probablement un virus de la classe des HTLV [Virus T-lymphotropique humain]. Il publie son
travail le 4 mai 1984 dans la revue Science 2

On s’apercevra par la suite que le Pr Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa
soi-disant « découverte » un échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offert
quelques mois auparavant. Il arriva la même mésaventure à Robin Weiss, le grand spécialiste
britannique du SIDA, qui fut obligé de reconnaître que sa propre découverte du virus résultait
du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un échantillon de la culture du Pr Luc Montagnier. On peut
ainsi constater que, de part et d’autre de l’Atlantique, que les trois équipes les plus en pointe sur
le sujet, n’ont réussi à annoncer qu’une très vague présomption à partir de cultures cellulaires

1 ( Luc Montagnier, Françoise Barré-Sinoussi, JeanClaude Chermann, Françoise Rey, Marie-Thérèse Nugeyre,
Sophie Chamaret et al : « Isolation of a T-lymphotropic Retrovirus From a Patient at Risk for Acquired Immune
Deficiency Syndrome (AIDS) », Science, vol. 4599, no 220.)
2 (Gallo RC, Salahuddin SZ, Popovic M, Shearer GM, Kaplan M, Haynes BF, Palker TJ, Redfield R, Oleske J, Safai

B, « Frequent detection and isolation of cytopathic retroviruses (HTLV-III) from patients with AIDS and at risk for
AIDS », Science, vol. 224, no 4648, 1984, p. 500-503 ).
46
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

issues d’un même patient ! Il n’y a d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas un seul article
dans lequel on pourrait trouver la conclusion selon laquelle un tel virus (VIH) a été isolé, et que
ce virus est la cause du SIDA. En effet, aucun scientifique au monde jusqu’à ce jour n’a jamais
réussi à isoler le VIH chez un patient atteint du SIDA, même avec une charge virale élevée
(Virol. 1997, 230:125-133) Bizarre n’est-ce pas ! (Dans la partie 4, nous vous présenterons des
cas de SIDA chez des patients séronégatifs. Vous vous demandez sûrement d’où proviennent
alors ces photos du VIH très jolies avec des couleurs et des caractéristiques précises du virus ?
Et les tests, comment ont-ils été élaborés si le virus n’a jamais été isolé ? Qu’est-ce que ces tests
détectent alors si ce n’est le virus (VIH) ? (Confère partie 1 et 2 pour les réponses à ces
questions.) En guise de rappel historique, Le SIDA est « apparu » au début des années 80 à San
Francisco exclusivement chez des homosexuels masculins jeunes qui développaient des
Pneumonies (infection des poumons) à Pneumocystis Carinii [PPC] parfois mortelles. Ces
premiers cas publiés par le Dr Gottlieb avaient deux choses en commun : ils étaient homosexuels
et usagers de drogues lourdes [cocaïne, amphétamines, nitrite d’amyle], tous ces éléments
constituant des agents de stress immunologique qui, bien que liés au comportement sexuel, ne
sont pas transmis par voie sexuelle.
Cette nouvelle maladie reçut alors en 1981 l’appellation GRID (Gay Related Immune
Deficiency ): Déficience immunitaire liée à l’Homosexualité : DILH). (Un virus homophobe,
bizarre !) Les puissants Lobbies homosexuels aux USA furent consternés par cette appellation
stigmatisant la communauté homosexuelle. En été 1982, ils sommèrent la CDC (Centers for
Diseases Control) de revoir le nom de cette « nouvelle maladie », et c’est là que débuta alors
aux États-Unis l’usage du sigle AIDS (SIDA en français), qui signifia d’abord Acquired Immune
Deficiency Syndrome puis Acquired Immunodeficiency Syndrome. Le terme AIDS avec la
notion d’Acquired (acquis) est réputé être donné par le chercheur Bruce Voeller, Homosexuel,
mort lui-même d’une complication liée à cette maladie3
En fait, aucune des maladies étiquetées sous le nom SIDA n’était nouvelle. Certaines
d’entre elles étaient, bien avant l’ère du SIDA, connues pour frapper les utilisateurs de drogues
et les hémophiles (Maladie caractérisée par une anomalie de coagulation du sang) et l’on
connaissait déjà, les effets de la malnutrition sur l’immunité surtout en Afrique. Ce qui était
nouveau, c’était le développement exponentiel de leur prévalence chez les Homosexuels
masculins. Aux États-Unis, le dossier de Santé publique n° 15 de juin 1996 nous révèle que les

3 (Bruce Raymond Voeller Obituary [archive] dans le New York Times, 24 février 1994, consulté le 8 mai 2011).
47
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

modes de contamination du VIH sont les suivants (par ordre décroissant) : Homosexuels (43,3
%), Toxicomanes (26,9 %), non identifiés (11,9 %), Hétérosexuels (10,3 %), Enfants (1,3
%), autres (6,3 %).
Ce même document révèle que, 76 % des séropositifs aux États-Unis sont des hommes,
notamment des Homosexuels. (Une maladie sexuellement transmissible qui choisirait le sexe de
ses victimes. Très intelligent ce virus.)
Toutes les maladies vénériennes (syphilis, blennorragie, herpès génital ou anal…), dès qu’elles
ont été sexuellement transmises, provoquent une infection dont les symptômes sont évidents au
bout de quelques jours, et cela sans faire de distinction entre les individus ou alors elles
disparaissent tout simplement lorsque le système immunitaire de l’organisme arrive à s’en
débarrasser. Les premiers cas de SIDA furent observés et décrits à Los Angeles, en 1981.
L’auteur du premier rapport sur ces cas initiaux, Michael Gottlieb, avait clairement indiqué que
ces patients étaient homosexuels, et faisaient tous usage de nitrite d’amyle (Poppers : une drogue
aphrodisiaque).
En outre, il indiquait que ces malades ne s’étaient jamais rencontrés et n’auraient donc pas pu se
contaminer l’un l’autre. Qu’est-ce qui a bien pu faire penser à Michael Gottlieb qu’il venait de
découvrir une nouvelle maladie infectieuse ? Rien ne permet de répondre à cette question, et le
mystère reste entier. Une parabole aidera à mieux saisir l’importance de la question :
Imaginons qu’un médecin ait pour mission de surveiller la santé d’une centaine
d’ouvriers travaillant tous dans une usine de colorants. C’est une vieille usine, mal ventilée, et
où l’on manipule une abondance de sels de plomb. Après quelques années, le médecin identifie
une dizaine de cas de saturnisme (intoxication au plomb) parmi ces ouvriers. Va-t-il en conclure
que le saturnisme est une maladie contagieuse parce que les malades travaillaient tous dans la
même usine ? Où va-t-il conclure que ses patients ont tous été exposés au même risque toxique
et ont par conséquent tous développés la même maladie ? La réponse est trop évidente…
Comment expliquer que le docteur Gottlieb n’ait pas raisonné de la même façon, et n’ait
pas immédiatement compris que ses premiers patients du SIDA avaient tous été exposés aux
mêmes conditions toxiques et par conséquent avaient tous développé la même pathologie ?

48
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

PARTIE IV

LE SIDA ÉVOLUE-T-IL COMME UNE ÉPIDÉMIE ?

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

“La vie et le mensonge sont synonymes.”

Fiodor Dostoïevski

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Le mot épidémie correspond à une maladie contagieuse qui se répand rapidement dans
toute la population sans distinction d’âge, de sexe, etc. (Exemple : la grippe). Dans son ouvrage
« Out of Control: AIDS and the Corruption of Medical Science » publié en 2006, Celia Farber
s'interroge ainsi : « Si le VIH se répand comme un feu de brousse et qu’il tue aveuglément, alors
pourquoi n’avons-nous pas été témoin d’une recrudescence du SIDA dans la population
Hétérosexuelles ? ».
On suppose que le SIDA a atteint des proportions « épidémiques » parce qu’on est
convaincu qu’il est causé par un agent infectieux, le VIH, transmis par le sang et autres liquides
organiques, comme le sperme ou le lait maternel. Or, ces modes de transmission font qu’il est
plus difficile d’attraper le VIH que la grippe ou n’importe quel virus qui se trouverait dans l’air.
Pourtant, on persiste à affirmer que la population générale est à risque élevé, en particulier, les
hommes et les femmes sexuellement actifs, les personnes qui sont en contact avec des produits
sanguins infectés et les enfants nés de séropositives. Étant donné que ces hypothèses sur la
propagation du SIDA et sur le risque élevé associé aux modes de transmission sont largement

51
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

répandues, on pense et c’est logique que le SIDA se transmette rapidement et uniformément


dans la population générale. En suivant cette logique et en supposant que le SIDA se comporte
comme n’importe quelle maladie infectieuse, il devrait remplir les cinq conditions d’une maladie
infectieuse (Horton, 1996).
Ainsi, le SIDA devrait :
1. Se propager de manière aléatoire chez les deux sexes ;
2. Apparaître rapidement, en l’espace de quelques mois ;
3. Permettre d’identifier des « microbes (VIH) actifs et en abondance dans tous les cas
»;
4. Tuer ou inhiber plus de cellules que l’organisme ne pourrait en produire ;
5. Avoir une structure symptomatique similaire chez toutes les personnes infectées.

Or, dans le cas du SIDA, la plupart de ces conditions ne sont pas remplies.
Aux États-Unis et en Europe, les hommes sont atteints plus que les femmes, en particulier
les homosexuels. En 1988, l’épidémiologiste torontois, Éric Mintz, mettait déjà en doute
l’hypothèse de l’épidémie : « Si le temps de latence médian entre le moment où on devient
séropositif et le moment où le SIDA se déclare est de 7 ans (ou de 15, comme on l’a récemment
prétendu), alors l’épidémie en question a déjà 20 ans. Étant donné qu’elle a commencé à
plafonner, elle se trouve probablement à mi-parcours. Si elle ne s’est pas déjà largement
répandue dans la population Hétérosexuelle, pourquoi s’attendre à ce que cela se produise
justement au moment où le bassin des groupes à risque est en train de diminuer ? » (Mintz, 1988
: 28)
Une chose est sûre, la maladie n’apparaît pas rapidement ; en fait, pour la plupart, elle n’est
jamais apparue, même plusieurs années après que le diagnostic a été posé. Cela est évident si
l’on sait qu’aux États-Unis, chaque année, seulement 1 % des séropositifs meurent du SIDA
(Peter Duesberg, Inventing The AIDS Virus, 1987). De plus, il n’est pas toujours possible
d’identifier dans tous les cas des microbes VIH actifs et en abondance. La CDC (Centers for
Disease Control) a montré que, dans 10 % des cas de SIDA diagnostiqués, il n’y a aucune trace
d’anticorps du VIH (Shenton, 1998 : 11). Les cellules ne meurent pas en nombre suffisant pour
causer la maladie et la mort. Les lymphocytes T4 (CD4) se reproduisent en 500 fois moins de
temps qu’il n’en faut au VIH pour les « infecter » et les « détruire ». Ceci signifie simplement

52
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

que le VIH ne pourra jamais gagner la bataille. « C’est comme de dire que l’on va conquérir la
Chine en abattant trois soldats par jour. » (Peter Duesberg)
Enfin, en Afrique, les symptômes associés au SIDA sont très différents de ceux qu’on
voit en Amérique du Nord et en Europe, bien que cela soit partiellement expliqué par le fait que
les déficiences immunitaires liées aux conditions d’hygiène, au manque d’eau potable et à
l’alimentation et notamment la malnutrition rendent la population africaine plus vulnérable aux
maladies endémiques. Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont,
depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport
étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les
suivantes :
1. Le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
2. Il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
3. La culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la
maladie ;
4. Le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade
expérimentalement.

Dans le cas du SIDA :

1. Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de
la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être
considéré comme cliniquement significatif.

2. Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains [CD4],
qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est
réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans 1
lymphocyte (CD4) sur 1 000 000, et seulement dans des cultures auxquelles au moins 10
000 000 de cellules sont ajoutées et qui sont exemptés d’anticorps, qui autrement
neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon
naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de
SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser 1 seul virus !

53
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

3. Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus


pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient
séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le
virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. (Une
fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est
lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. C’est en réalité un assemblage toujours en expansion
de trente-cinq maladies distinctes, dont certaines remontent au 16e siècle. La tromperie, bien
sûr, existe depuis bien plus longtemps ! En plus de 400 ans, il n’y a jamais eu de preuve que
cette longue liste de maladies très variées pouvait avoir pour cause un unique microorganisme.
Dans les cas de SIDA complètement déclarés, même pendant les quelques heures avant la mort,
le virus est extrêmement difficile à déceler et dans 50% de ces cas il ne peut pas être décelé du
tout ! On nous demande de croire, sans la moindre preuve, qu’un virus peut faire quelque chose
qu’aucun autre microbe n’a jamais fait. On nous demande de baser notre croyance sur la foi ou
la spéculation, tout comme on nous demanderait d’accepter une nouvelle religion.

54
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

M. VIH, VOTRE TRANSMISSION EST INTERROMPUE


!

En 1984 en Allemagne, 4 femmes ayant reçu du sperme de donneurs contaminés par le VIH
produisirent des anticorps du VIH ; cependant, aucune n’a contracté le SIDA ou transmis le virus
à son mari. Bien qu’elle concerne un petit nombre de personnes, cette étude est d’une importance
exceptionnelle, parce qu’elle porte sur une injection presque directe du virus, elle met au premier
plan la grande difficulté à transmettre le virus et aussi pourquoi, même si le virus provoquait une
légère grippe, il lui serait impossible de provoquer une épidémie.

Une étude a été faite sur 80 hommes mariés présentant des anticorps au VIH, dont les femmes
furent testées après avoir eu plusieurs centaines de rapports sexuels avec leurs maris. Les
résultats ont montré que seules 12 des femmes devinrent séropositives. Aucun cas de SIDA n’a
été signalé. (Journal de l’Association Médicale Américaine du 1er janvier 1988) Il est intéressant
de constater qu’ils n’ont fait aucun commentaire sur le fait que cette étude est une preuve solide
que le virus n’est pas ce qu’on en dit !

« Plusieurs études ont montré qu’il faut entre 500 et 1000 rapports sexuels non protégés
avant qu’un partenaire séronégatif devienne séropositif ! » (Farber) Solide preuve de
coïncidence, mais pas de transmission.
« La présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la
cause des ordures. » T. C. Fry

FAIT ! « La cause du SIDA a été découverte par décision gouvernementale » (Dr


Michael Lange, spécialiste des maladies infectieuses). La décision n’émanait pas d’un corps
scientifique ou d’un consensus de recherches scientifiques lorsque le nom originel fut donné en
1984 !

FAIT ! Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. C’est en réalité un assemblage
toujours en expansion de trentecinq maladies distinctes, dont certaines remontent au 16e siècle.
La tromperie, bien sûr, existe depuis bien plus longtemps ! (Bien que le Manuel de Merck
mentionne également des maladies telles que les tumeurs malignes, le syndrome néphrétique, la
leucémie, etc., elles aussi sont probablement causées par des immunosuppresseurs, qui font
55
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

avancer le processus par leur interférence avec le fonctionnement normal. En plus de 400 ans, il
n’y a jamais eu de preuve que cette longue liste de maladies très variées pouvait avoir pour cause
un unique microorganisme).

FAIT ! Dans les cas de SIDA complètement déclarés, même pendant les quelques heures
avant la mort, le virus est extrêmement difficile à déceler et dans 50 % de ces cas il ne peut pas
être décelé du tout !

FAIT ! Chaque fois qu’on le trouve, même dans les cas actifs de SIDA, le VIH est en
repos, inactif, dormant !!! Examinons le FAIT précédent et celui-ci d’un peu plus près. On
nous demande de croire, sans la moindre preuve, qu’un virus peut faire quelque chose
qu’aucun autre microbe n’a jamais fait. On nous demande de baser notre croyance sur la
foi ou la spéculation, tout comme on nous demanderait d’accepter une nouvelle religion.
Ce puissant virus peut détruire un être humain sans même être présent ! Il peut causer des
dommages incroyables, démolir de vastes territoires de tissu humain et conquérir les
royaumes de nos organes, tout en étant endormi chez lui sur son canapé. Nous examinons
la destruction ou la disparition de milliards de cellules et on nous demande d’en faire porter la
responsabilité à un fantôme.

FAIT ! Le SIDA est la première maladie de l’histoire médicale dont on prétend qu’elle
survient après que la victime ait développé son immunité.

FAIT ! Les lymphocytes T se reproduisent en cinq cents fois moins de temps qu’il n’en
faut au VIH pour les « infecter » et les « détruire ». Ceci signifie simplement que le VIH ne
pourra jamais gagner la bataille. « C’est comme de dire que l’on va conquérir la Chine en
abattant trois soldats par jour. » (Duesberg)

Vingt ans de recherches intensives sur les rétrovirus ont uniformément confirmé qu’ils
ne tuent pas les cellules, mais plutôt qu’ils provoquent une accélération de leur multiplication,
ce qui est la raison principale pour laquelle ils furent soumis à une enquête aussi minutieuse lors
de la guerre du cancer par le Président américain Nixon. Par conséquent, il est grotesque de
supposer que le VIH pourrait provoquer des maladies diamétralement opposées, qui dans un cas

56
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

détruisent les cellules (Pneumocystose) et dans l’autre provoquent leur prolifération (Sarcome
de Kaposi) !

FAIT ! Le VIH dépend de la division cellulaire pour sa reproduction, par conséquent la


démence (Dementia) ne peut pas s’expliquer sur la base du VIH, puisque les neurones ne se
divisent pas. De plus, on n’a trouvé dans les cerveaux de victimes du SIDA autopsiées que des
« spirochètes » (Syphilis) et des parasites — pas de VIH !

FAIT ! Le VIH n’est pas prolifique et comme tous les autres rétrovirus, son activité est
minimale. Sa culture en laboratoire est un long, difficile et considérable processus. Les rétrovirus
ont probablement été étudiés de façon plus minutieuse que n’importe quel autre microorganisme
et les connaissances qui ont été ainsi rassemblées sont vastes et approfondies. Il n’y a rien dans
ces informations tout à fait complètes qui viennent corroborer l’une des hypothèses avancées
sur le SIDA.

FAIT ! Le VIH n’a jamais été « pris sur le fait » en train de détruire des lymphocytes en
les faisant éclater si vite qu’on ne puisse pas les voir ! Si l’on calcule le nombre d’antigènes P -
24 habituellement signalés, et que l’on reconstitue le virus, il faudrait qu’il y ait un million de
virus par millilitre de sang. Assurément, si vous regardiez ça au microscope, il devrait y en avoir
partout et vous devriez en voir au moins un avant qu’il n’explose !

FAIT ! Les lymphocytes T « contaminés » sont faciles à observer en culture. Ils


continuent à se diviser, ne sont pas détruits, et les cellules n’éclatent pas.

FAIT ! Le SIDA survient soi-disant après l’immunité antivirale, jusqu’à trente ans après
la contamination, et pourtant le VIH est génétiquement le même que tous les autres rétrovirus et
ne possède pas un gène latent spécifique au SIDA.

Aux États-Unis, le SIDA comprend trente-cinq maladies. Au Zaïre, le SIDA a trois


symptômes, c.-à-d. fièvre, amaigrissement et diarrhée ! Impossible ! Toutes les autres maladies
virales connues (rougeole, oreillons, varicelle, etc.) sont les mêmes dans tous les pays. Tout
médecin sait que 2 problèmes sévissent au Zaïre, qui sont caractérisés par ces trois symptômes :

✓ La famine
57
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

✓ Les maladies dues aux parasites !


Le Dr Anthony Fauci, Directeur de l’Institut National des Allergies et des Maladies
infectieuses, de la même espèce que Gallo et l’un de ses partisans, publia en 1985 un document
dans lequel il déclarait que la cause mondiale No 1 de la diminution des cellules T était la
malnutrition. (Je suppose que Fauci va là où il n’y a pas d’argent !)

FAIT ! Le VIH (selon les explications officielles) semble adopter une pathologie qui
change selon les pays qu’il touche. Il paraît que c’est « un virus très intelligent » ! Stupéfiant,
pour un virus qui fait le milliardième de la taille d’une cellule, ne peut pas se déplacer par lui-
même et est en réalité un bout de tissu mort ! Incroyable, pour un microorganisme qui n’a pas
assez de décodage génétique pour gérer quelque chose de plus complexe qu’une montre
électronique ! (Duesberg) Pourtant, il peut savoir si vous êtes blanc ou noir, si vous venez du
Zaïre, de Haïti ou des États-Unis, si vous êtes né ici ou si vous êtes juste en visite avec une carte
verte. Il devrait être engagé par le Service de l’Immigration ! Duesberg signale que l’ADN du
virus emmagasine seulement 9 kilos bases d’informations, littéralement une minuscule partie
des informations qui lui seraient nécessaires pour être aussi intelligent !

FAIT ! En 1989, le New England Journal of Medicine rapportait que le taux de


mortalité était plus bas chez les transfusés séropositifs que chez les transfusés séronégatifs ! Il
concluait également que les taux de mortalité étaient déterminés par le nombre de transfusions
et par d’autres facteurs ! Par conséquent, il est clair que le VIH n’est pas en cause !

FAIT ! Les transfusions de sang contaminé par le VIH ont été dix fois moins nombreuses
depuis 1986 (après la mise à disposition du test VIH en 1985). La période de latence (le laps de
temps entre la contamination et le développement ou l’apparition de la maladie) du SIDA chez
les enfants est estimée à deux ans. Cela aurait dû pratiquement éliminer l’incidence du SIDA
chez les enfants transfusés. Pourtant, les cas de SIDA chez ces enfants ont triplé !!!
En dépit du fait qu’il n’y avait pas de virus dans le sang, le
SIDA a augmenté de 300 % !!! La conclusion est incontestable et indiscutable -- — le
VIH n’est pas la cause du SIDA, il n’est même pas nécessaire au SIDA — mais les transfusions
répétées d’immunosuppresseurs le sont !!!

58
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

FAIT ! Bien qu’on le prétende, il est pratiquement impossible que deux virus (VIH-1 et
VIH-2) qui diffèrent génétiquement de 60 % puissent provoquer le même syndrome.

FAIT ! L’activité du VIH est aussi faible (très, très faible !) chez les porteurs
asymptomatiques (séropositifs) que chez les porteurs symptomatiques (SIDA). Ceci est tout à
fait sans précédent dans le cadre de toute autre maladie connue de la médecine.

FAIT ! Aucun virus n’est susceptible de provoquer plus de trente-cinq maladies


différentes. Si le concept de base est que le VIH détruit la défense du système immunitaire de
l’organisme (ce pour quoi il n’y a aucune preuve), alors il faut s’attendre à ce que des centaines
de maladies soient en fin de compte ajoutées à la liste. L’« épidémie » pourra ainsi s’étendre de
façon à rester sous les feux de la rampe, à raviver la peur et l’hystérie et à augmenter les
bénéfices.
FAIT ! Aucun virus ne pourrait mettre autant d’années à provoquer une première
maladie. On n’en connaît aucun ! Ce n’est pas du tout ce qui caractérise un rétrovirus. Plus ils
prolongeront la période de latence et moins il y aura de chances de découvrir la tromperie et de
leur faire payer leurs crimes.
FAIT ! Le VIH ne remplit aucune des conditions de la pathologie virale classique, si
l’on croit aux hypothèses.
FAIT ! Il est purement paradoxal qu’un virus (qui ne peut se reproduire lui-même)
tue sa cellule-hôte, dont il dépend pour sa reproduction, afin de se multiplier et de se
propager. En fait, c’est impossible !!! Dans ces circonstances, toute épidémie serait étouffée
dans l’œuf.
FAIT ! Les rétrovirus sont entièrement composés de matière génétique et ne donnent pas
signe de vie ; seuls, ils sont incapables de la moindre action.
FAIT ! En réalité, les symptômes de la maladie virale représentent la réaction du corps
agissant pour sa propre défense et sa remise en état en présence de matières étrangères ou
toxiques. Sa réaction à d’autres organismes vivants, lorsque l’habituel équilibre de coexistence
est perturbé, est communément désignée sous le nom d’infection. L’issue de cette perturbation
est déterminée par les forces et les faiblesses relatives de chaque côté.
FAIT ! Il est invraisemblable qu’un simple virus puisse causer tant une affection
provoquant la prolifération des cellules (Sarcome de Kaposi), qu’une affection entrainant la

59
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

destruction des cellules (Pneumocystose) - deux évolutions complètement opposées de la


maladie !

FAIT ! Il serait raisonnable de conclure qu’un individu déjà vulnérable au niveau


immunitaire pourrait succomber à une infection virale. Cependant, dans le cas du VIH, il n’y a
même pas un brin de preuve que le VIH provoque autre chose qu’une légère grippe ! Ceci est
vrai pour tous les rétrovirus et prouvé par 20 ans de recherches intensives.

FAIT ! Les photographies présentées par le Dr Robert Gallo de l’Institut National de la


Santé comme montrant le VIH « en train d’envahir » (mais jamais en train de détruire) une
cellule, étaient en réalité des photos de phagocytose (le processus par lequel la cellule engloutit
le virus) !

FAIT ! Le Dr Gallo a également découvert le HTLV et a prétendu, mais n'a pas réussi à
faire admettre qu’il provoquait la leucémie chez l’homme. Il a également prétendu qu’il se
transmettait sexuellement et que sa période de latence était de 40 ans, mais bien sûr personne
n’en est encore convaincu, puisqu’il faudrait que les victimes atteignent un âge moyen de 60 ans
avant d’en tomber malades. D’ici là, le Dr Gallo et ses théories seront oubliés depuis longtemps,
mais sa réputation pourrait survivre à l’infamie !

FAIT ! Le Dr Gallo a également rapporté que le SIDA venait d’Haïti, en dépit du fait
que des anticorps du VIH ont été découverts aux États-Unis dans des échantillons de sang
congelés il y a 50 ans ! (Ce rapport a provoqué une vague de réactions anti — Haïtiennes aux
États-Unis.) Alors, où était l’épidémie il y a 50 ans ?

FAIT ! Autrefois, on pensait que les rétrovirus provoquaient beaucoup de maladies, mais
des recherches honnêtes et approfondies ont prouvé que la plupart d’entre eux étaient inoffensifs.
Le VIH est soi-disant le premier à avoir contredit ces recherches, pas par une preuve ou une
enquête scientifique, mais par des hypothèses effrénées, sauvages et sans fondement
scientifique !

FAIT ! Aujourd’hui, tout le monde, même ceux qui l’ont découvert, convient que le VIH
à lui seul ne provoque pas le SIDA. Ceci est l’admission tacite que la découverte de la « cause »

60
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

du SIDA était d’emblée infondée et ne se basait pas sur des recherches valables. Évidemment,
ils ne démordent pas de l’idée que le VIH joue un rôle (oui, effectivement... celui de leur faire
gagner des milliards).

FAIT ! Le Dr Robert Gallo est à l’enquête pour avoir volé le virus au Dr Luc Montagnier.
Il n’est pas encore à l’enquête pour tromperie, car ses complices seraient ceux qui devraient le
juger. Quelle chance ! Il faudra probablement une enquête du congrès.

FAIT ! Deux chercheurs du SIDA en Europe ont déjà été déclarés coupables de
tromperie.

61
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

QUELQUES ÉTUDES

LES COUPLES SÉRODISCORDANTS

Les études les plus importantes et les mieux conduites sur les hétérosexuels, y compris celle du
Groupe d’Étude Européenne 4 ont montré que, chez les femmes, la seule pratique sexuelle
conduisant à un risque accru de séropositivité est le rapport anal. La transmission
unidirectionnelle du « VIH » observée dans les pays de l’OCDE est confortée par l’étude de
Nancy Padian portant sur 10 ans (19861996) et intéressant les couples hétérosexuels ou l’un des
membres du couple est séropositif et l’autre membre est séronégatif, phénomène appelé «
couples sérodiscordants ». Il y avait deux parties dans cette enquête : l’une transversale, l’autre
prospective.
Dans l’étude transversale, « la constante de risque de contagion par contact, pour la
transmission d’homme à femmes, a été estimée {0,0009 (1 pour 1 111) ». Les facteurs de risque
pour les femmes étaient : (1) le rapport anal ; (2) le fait que le partenaire ait acquis cette infection
par la toxicomanie (Padian dit que cela signifie que les femmes faisaient probablement, elles
aussi, usage de drogues par voie intraveineuse) ; (3) la présence de maladies sexuellement
transmissibles (les anticorps qui se forment alors peuvent donner lieu à une réaction positive
dans un test « VIH »).5
Parmi les partenaires masculins séronégatifs de 82 femmes séropositives, 2 seulement
sont devenus séropositifs après 10 ans de relations sexuelles la plupart non protégées, mais dans
des circonstances que Padian considère comme douteuses.
Mais même à supposer que les circonstances n’aient pas été douteuses, le risque calculé à partir
de ces 2 cas pour un homme non infecté d’être contaminé par le « VIH » lors d’un rapport sexuel
avec une femme infectée serait inférieur à 1 pour 9 000 rapports. (Donc, cette étude montre qu’il
faudrait 9000 rapports sexuels non protégés avec une séropositive pour le devenir aussi !)

4 European Study Group. (1989). Risk factors for male to female transmission of HIV. Brit. Med.
J. 298:411-414.]
5 [Papadopulos-Eleopulos E, Turner VF, Papadimitriou JM. (1993). Is a positive Western blot proof of HIV

infection? Bio/Technology 11:696-707.]


62
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

Dans l’étude prospective, qui a démarré en 1990, 175 couples sérodiscordants ont été
suivis pendant approximativement 282 couples années. Au début de l’étude, un tiers des couples
utilisaient toujours des préservatifs et, dans les six mois qui ont précédé leur dernière visite de
suivi, 26 % des couples n’en utilisèrent jamais. Il n’y eut aucune séroconversion, pas même chez
les 47 couples n’utilisant pas de préservatifs.

LES PROSTITUÉES

La notion selon laquelle le VIH est un virus « qui ne fait pas de discrimination » est également
incompatible avec les données obtenues dans les études sur les prostituées. Même si, par quelque
moyen inconnu, un agent infectieux transmis sexuellement s’était frayé un chemin dans la
population masculine homosexuelle de certaines grandes villes américaines à la fin des années
70 (comme on l’admet généralement), eu égard au fait que les prostituées comptent des hommes
bisexuels parmi leurs clients et que les pratiques sexuelles « protégées » ne datent au plus tôt
que de 1985, on se serait attendu à ce que le VIH/SIDA se répande rapidement chez les
prostituées et par voie de conséquence dans la population générale. Cependant, la séropositivité
chez les prostituées est presque exclusivement circonscrite à celles qui sont toxicomanes.
Pratiquement, toutes les autres sont et restent séronégatives, la preuve :
En septembre 1985, 56 prostituées n’utilisant pas de drogues intraveineuses (NDIV)
furent testées dans la rue Saint-Denis, la rue de Paris la plus connue pour la prostitution. Plus de
1000 prostituées travaillent dans ce secteur… Ces femmes, âgées de 18 à 60 ans, ont des rapports
15 à 25 fois par jour et n’utilisent pas systématiquement de protection ».
AUCUNE N’ETAIT SÉROPOSITIVE6

À Copenhague, 101 prostituées NDIV, dont un quart étaient « soupçonnées d’avoir


jusqu’à un cinquième de leur clientèle composée d’homosexuels et de bisexuels », furent testées
entre août et octobre 1985. Le nombre moyen de rapports sexuels par prostituée était de vingt
par semaine. AUCUNE N’ETAIT SEROPOSITIVE.7

6 . [Anonymous. (1985). HTLVIII antibody in prostitutes. Lancet ii:1424.]


7[Krogsgaard K, Gluud C, Pederson C, et al. (1986). Widespread use of condoms and low prevalence of sexually
transmitted diseases in Danish non-drug addict prostitutes. Brit. Med. J. 293:1473-1474.]
63
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

En 1985, 132 prostituées (et 55 non-prostituées) qui fréquentaient une clinique de


Sydney spécialisée dans les MST (Maladies Sexuellement Transmissibles) furent testées.
En moyenne, chacune avait eu 24,5 partenaires différents (clients et amants confondus) au cours
du mois précédent, et le nombre moyen de rapports sexuels était de 175 par an. Le nombre
moyen de rapports sexuels annuels des prostituées était de 450. Les partenaires de seulement 14
prostituées (11 %) utilisaient des préservatifs à toutes les rencontres, et 49 % de leurs partenaires
n’utilisaient des préservatifs que dans moins de 20 % des rencontres. AUCUNE FEMME
N’ÉTAIT SÉROPOSITIVE8
La même clinique australienne testa un autre lot de 491 prostituées qui la fréquentaient
entre 1986 et 1988. Chez 231 prostituées (sur les 491 faisant l’objet de l’enquête), 19 % « avaient
des partenaires bisexuels non payants et 21 % avaient des partenaires qui s’injectaient des
drogues ; 69 % utilisaient toujours des préservatifs pour les rapports vaginaux avec les clients
payants mais n’en utilisaient que rarement avec les partenaires non payants. Les préservatifs
étaient rarement utilisés par les clients ou partenaires des 18 % des prostituées pratiquant le
rapport anal ». AUCUNE FEMME N’ÉTAIT SÉROPOSITIVE.
À la date de cette enquête, 10 ans après l’apparition du SIDA, les auteurs faisaient le
commentaire suivant : « En Australie, il n’y a eu aucun cas documenté de prostituée femme
infectée par le VIH par le fait d’un rapport sexuel ». Cela n’empêcha pas ces mêmes enquêteurs
du Sydney Sexual Health Centre de conclure « que beaucoup de femmes travaillant comme
prostituées à Sydney couraient de sérieux risques d’être infectées par le VIH 9

En Espagne, sur 519 prostituées NDIV testées entre mai 1989 et décembre 1990,
seulement 12 (2,3 %) eurent un test positif, ce qui n’était « que légèrement supérieur au taux
enregistré auparavant dans des enquêtes similaires ». Certaines prostituées avaient jusqu’à 600
partenaires par mois et l’apparition de la séropositivité était directement liée à la pratique des
rapports anaux. Les auteurs notèrent aussi « qu’il est frappant et navrant de constater la faible

8 . [Philpot CR, Harcourt C, Edwards J, Grealis A. (1988). Human immunodeficiency virus and female prostitutes,
Sydney 1985. Genitourinary Med. 64:193-7.]

9». [Philpot CR, Harcourt CL, Edwards JM. (1991). A survey of female prostitutes at risk of HIV infection and
other sexually transmissible diseases. Genitourinary Med. 67:384-8.].

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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

proportion des prostituées utilisant toujours des préservatifs, en dépit de plusieurs campagnes de
prévention des mass-médias espagnols contre le SIDA 10
Des données semblables proviennent de deux études écossaises11 de l’étude de 1993 du
Groupe de Travail européen sur l’infection des prostituées femmes par le VIH12 et d’un rapport
rédigé en 1994 sur 53 903 prostituées travaillant aux Philippines et testées entre 1985 et 1992]
Toutes ces études confirment que les prostituées NDIV restent pratiquement à l’abri de
l’infection par le VIH. Par exemple, dans la dernière étude citée, 72 femmes seulement (soit
0,013 %) furent trouvées séropositives. Cependant, on pourrait aussi poser une autre question.
Qu’est-ce que les tests des « anticorps au VIH » mesurent exactement ?

CONTRADICTION

Pourquoi le VIH épargnerait-il les prostituées non toxicomanes ? Si celles-ci ne se retrouvent


pas infectées par le VIH, alors qu’elles « sont sérieusement à risque en face de l’infection par le
VIH », que dire du risque d’infection pour la majorité des femmes qui ne sont ni toxicomanes
ni prostituées ?
Selon des données émanant du Centre National d’Épidémiologie du VIH et de
Recherches cliniques, ce risque est voisin de zéro. Une étude de 1989 testant 10 217 échantillons
de sang de bébés nouveautés (preuves évidentes de rapports hétérosexuels non protégés) n’a
trouvé aucun bébé séropositif ni aucune mère séropositive 13 Si ces femmes demeurent non
infectées, comment leurs partenaires hétérosexuels masculins non toxicomanes s’infectent-ils
par le VIH ?
Selon Simon Wain-Hobson, un éminent expert VIH de l’Institut Pasteur, « le boulot d’un
virus » consiste à se répandre. « Si vous ne vous répandez pas, vous êtes mort ». (Weiss,
1998#1179) Or les études portant aussi bien sur les hommes homosexuels que sur les

10 »". [Pineda JA, Aguado I, Rivero A, et al. (1992). HIV-1 infection among non-intravenous drug user

female prostitutes in Spain. No evidence of evolution to Pattern II. AIDS 6:1365-1369.]

11 [McKeagney N, Barnard M, Leyland A, Coote I, Follet E. (1992). Female streetworking prostitution and HIV
infection in Glasgow. Brit. Med. J. 305:801-804.. ]
12 [Anonymous. (1993). HIV infection in European female sex workers: epidemiological link with use of petroleum-

based lubricants. European Working Group on HIV Infection in Female Prostitutes. AIDS 7:401-8.]
13 [ McLaws ML, Brown ARD, Cunningham PH, Imrie AA, Wilcken B, Cooper DA. (1989). Prevalence of maternal

HIV infection based on anonymous testing of neonates, Sydney 1989. Med. J. Aust. 153:383-386.]
65
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

hétérosexuels prouvent surabondamment que le VIH/SIDA n’est pas transmissible sexuellement


dans les deux sens. Dans toute l’histoire de la médecine, il n’y a jamais eu un tel phénomène.
Puisque la survie des microbes dépend de leur propagation de personne à personne, il est
impossible d’affirmer, sur la base des données épidémiologiques, que le VIH/SIDA est une
maladie infectieuse sexuellement transmissible. Le Pr Stuart Brody, de l’université de Tübingen,
a d’ailleurs montré que les médecins s’abstiennent de tenir compte des données hétérosexuelles
réelles et préfèrent à la place, propager l’idée politiquement correcte selon laquelle tout le monde
est à risque. « La perception idéologique du SIDA pénètrera dans l’esprit du bon peuple
beaucoup plus facilement que les données scientifiques réelles concernant cette maladie ».14
Après avoir parcouru ces études, nous avons compris pourquoi la notice du TRUVADA
(l’ARV censé prévenir de l’infection par le VIH) mentionnait que ce médicament n’est destiné
qu’aux homosexuels et aux toxicomanes, puisqu’ils sont conscients des faits qu’en réalité le
VIH n’est pas transmissible dans la population hétérosexuelle !

14
[Brody S. (1997). Sex at Risk: Lifetime Number of Partners, Frequency of Intercourse, and the Low AIDS Risk of
Vaginal Intercourse. New Brunswick NJ: Transaction Publishers, 1997.]
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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

AUTRES ÉTUDES

TEST DU Dr GIRALDO
Le Docteur Roberto Giraldo constata quelque chose d’étrange quand il commença à travailler
dans le laboratoire d’un prestigieux Hôpital Universitaire de New York, laboratoire spécialisé
dans les analyses sérologiques pour toutes sortes de microbes.
Les instructions techniques pour les tests VIH stipulent que les sérums (sang débarrassé de ses
cellules) à tester doivent être fortement dilués. Or, pour tous les autres virus, les tests d’anticorps
ne demandent pas ou peu de dilution.

Pourquoi cette énorme dilution ?


Giraldo demanda à ses collègues et aux techniciens de laboratoire, il envoya des E-mails partout
dans le monde, téléphona aux firmes productrices de tests et fit de rigoureuses recherches dans
la littérature. Il ne trouva aucune réponse. Pire, ses questions n’éveillèrent pas le moindre intérêt,
sauf chez ceux qui rejettent l’hypothèse virale du SIDA.
Mais ces derniers non plus n’avaient pas de réponse. Giraldo eut alors l’idée d’étudier les sérums
de patients qui, dilués énormément selon les instructions, étaient négatifs pour les anticorps VIH.
Que se passerait-il s’il testait ces sérums selon la manière habituelle de procéder pour les tests
sérologiques d’anticorps, c’est-à-dire sans les diluer ? Ces sérums dilués et négatifs seraient-ils
positifs non-dilués ? Ses recherches lui apprirent que personne ne s’était encore penché sur cette
question. Il essaya donc lui-même. Il rapporta ses expériences dans un article technique publié
dans le numéro d’hiver 98-99 de Continuum. Il testa les sérums non dilués de 83 patients
officiellement séronégatifs.
À son grand étonnement, tous les sérums donnèrent des résultats positifs.
Cette découverte, dit Giraldo, constitue un nouveau et fatal paradoxe pour la théorie virale du
SIDA.

Qui est Giraldo ?


Roberto Giraldo est spécialiste en médecine interne et maladies infectieuses. Il fit ses études en
Colombie dont il est originaire, et sa spécialisation en maladie infectieuse à l’Université de
Londres (Rethinking AIDS, avril 1997). Il fut aussi chef de service de biologie dans une grande
faculté de médecine de Colombie. Depuis 6 ans, il travaille dans le laboratoire d’immunologie

67
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

clinique d’une éminente faculté de médecine de New York. Ses responsabilités quotidiennes
consistent à réaliser les tests destinés à diagnostiquer la présence de VIH, c’est-à-dire les tests
Elista et Western Blot qui détectent les anticorps neutralisant les protéines du prétendu VIH,
ainsi que les tests dits « de charge virale » supposée détecter et amplifier les traces infimes du
génome du prétendu VIH.
Giraldo a longtemps douté de la validité de ces tests, et contesté l’interprétation officielle selon
laquelle un test positif indique une infection VIH. Il considère qu’utiliser ces tests comme
moyens de diagnostic d’une infection VIH est injustifiable. Roberto Giraldo est l’auteur de «
AIDS and Stressors » 1998.

Pourquoi tant diluer ?


« Les dilutions si extraordinaires des sérums à tester (400 fois pour ELISA, 50 fois pour le
Western Blot) me surprirent depuis le début » dit Giraldo. « Pour la plupart des tests sérologiques
d’anticorps, on utilise du sérum pur, non dilué. C’est le cas, par exemple, des tests ELISA utilisés
pour diagnostiquer les hépatites A et B, la rubéole, l’histoplasmose, le cryptocoque, le tréponème
de la syphilis. Pour certains germes, les tests ELISA requièrent une dilution légère du sérum :
1/16 pour rougeole, varicelle, oreillons, 1/20 pour le cytomégalovirus (CMV) et 1/10 pour le
virus d’Epstein Barr (EBV) ».
Ces légères dilutions affinent sans doute la précision des résultats positifs (identifiant les patients
réellement infectés) et des résultats négatifs (les non infectés).
Pour les tests VIH cependant il n’existe aucune donnée d’isolement de virus pouvant justifier ou
expliquer les niveaux de dilutions.
« Pendant des années, j’ai cherché dans la littérature médicale et dans la documentation des
fabricants pour trouver la raison de ces fortes dilutions. J’ai même téléphoné aux délégués de
ces firmes fabriquant les tests. Ils ne pouvaient, au mieux, que me répondre : “les tests ont étés
étalonné comme ça”. J’en conclus qu’à la question : pourquoi diluer ? Seuls peuvent répondre
les membres de l’équipe Gallo du NIH qui mirent ces tests au point et les présentèrent en 1984.
(Science 4 mai 1984). »
« Je commençais aussi à me poser des questions sur les termes “positif” et “négatif”.
Les gens qui réalisent ce genre de test savent bien que les résultats ne sont pas comme une
ampoule électrique : soit éteinte, soit allumée. Le sérum de certains patients réagit un peu, mais
cependant pas assez pour être qualifié de positif ; et parmi ceux dont le sérum réagit
suffisamment fort pour être qualifié de positif, il y a des réactions plus fortes que d’autres. » (Il

68
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

s’agit donc de réactions graduées.) Giraldo étudia donc la littérature médicale pour comprendre
le sens de ces procédures de dilution pour les tests ELISA et Western Blot.

Pour n’importe quel virus, c’est l’isolement du virus qui détermine les procédures de test, mais
Giraldo ne trouve aucune donnée faisant état de l’isolement du VIH. Il ne découvrit pas non plus
pourquoi le niveau de dilution exigé était si mystérieusement élevé, pourquoi la réaction était
dite positive à partir d’un certain seuil de luminosité, pourquoi il fallait un certain nombre de
réactions protéiques pour qu’un Western Blot soit déclaré positif, pourquoi on n’utilisait pas de
tests antigène VIH.
Ses recherches par contre lui firent connaître les travaux d’une équipe de chercheurs Australiens
dirigée par Eleni Papadopulos - Eleopulos.
Cette dernière a partout cherché les données attestant l’isolement du VIH qui justifieraient les
tests VIH, mais n’a rien trouvé. (R.A. Juin-juillet 1997). Ses travaux amenèrent un autre
spécialiste de l’isolement des virus, Étienne de Harven, à se pencher sur la question. Il arrive
à la même conclusion. (R.A. Nov-Déc 1998).

L’expérience de Giraldo
« Ma curiosité me conduisit à faire une expérience au laboratoire médical de Yorktown Heights,
NY. Je pris d’abord un échantillon de mon propre sang qui, à la dilution mystérieusement requise
de 1/400, s’avéra négatif. Je refis alors des tests avec le même échantillon de sang, mais sans le
diluer (1/1). Ainsi testé pur, le sérum donna à chaque fois une réaction positive.
Ensuite je testais le sérum non dilué d’autres sujets dont le sérum dilué à 1/400 était négatif.
Tous ces sérums, comme le mien, réagirent positivement lorsqu’ils furent testés non dilués.
Mentionnons que, à part mon propre sérum, tous les échantillons de sang étaient envoyés par
des médecins qui demandaient un test VIH.
Mon expérience m’a appris qu’une demande de test signifie généralement que le patient
appartient à un groupe à risque (homosexuel masculin, drogue intraveineuse) ».
Giraldo étudia aussi la quantité d’anticorps que révélaient les résultats des tests. Selon la notice
du laboratoire Abbott, la valeur d’absorption (c’est-à-dire l’intensité de la coloration jaune) est
proportionnelle à la quantité d’anticorps anti VIH-1.
« Je constatais que les sérums qui étaient négatifs quand ils étaient dilués au 1/400, mais positifs
quand ils n’étaient pas dilués avaient une valeur d’absorption plus faible que les sérums qui,
dilués selon les instructions, étaient positifs aux tests ELISA et Western Blot. Ce fait signifie

69
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

sans doute que le sang séronégatif quand il est dilué, mais positif quand il ne l’est pas à un taux
d’anticorps moins élevé que le sang doublement positif quand il est dilué ». Donc tout le monde,
semble-t-il, peut avoir une certaine quantité d’« anticorps anti-VIH » dans le sang. Et tout le
monde peut être, jusqu’à un certain point, déclaré « séropositif VIH ».

Qu’est-ce que cela signifie ?


Quand on suit les instructions officielles de dilution, très peu d’Américains présentent un test
positif pour les anticorps neutralisants les protéines supposés VIH (RA juillet 1996). Environ 1
test positif pour 260 sujets quand on considère la population générale Américaine. Ce nombre
tombe à 1 pour 7,500 quand on exclut les sujets à risque. Seuls les groupes à risque présentent
un taux de positivité appréciable : à peu près la moitié des homosexuels masculins et des drogués
intraveineux des grandes villes sont séropositifs, de même que 75 % des hémophiles (RA Nov.
1997) ; en Afrique, on estime que 10 à 20 % de la population de divers pays est séropositive.
Ces chiffres sont encore plus élevés pour les sujets à risque qui développent une ou des maladies
servant à définir officiellement le SIDA : selon les données originales de Gallo, 88 %
d’homosexuels présentant de telles maladies sont séropositifs (Science, 4 mai 1984) ;

Plus récemment (Genetica 1995), le rétrovirologue P. Duesberg rapporta que 82 % des


homosexuels masculins présentant de telles maladies sont séropositifs.
Les expériences de Giraldo, suggérant que tout le monde a peut-être une certaine quantité d’«
anticorps anti-VIH » dans le sang, donnent une explication rationnelle aux procédures de
dilution mises au point par Gallo pour les tests ELISA et Western Blot : par ces procédures, on
réussit à bien identifier les membres des groupes à risque, spécialement ceux qui présentent des
maladies sidéennes, et à les distinguer des autres personnes. En diluant fortement le sérum et en
utilisant les critères de luminosité exigés par les procédures, on ne trouve un résultat positif que
chez des sujets porteurs d’un taux élevé d’anticorps. Mais, non dilué, un sérum réagit
positivement même si ce sérum réagit négativement quand il est dilué selon les instructions.

L’hypothèse de Giraldo est que les divers sérums réagiraient à des dilutions variables selon leur
teneur en anticorps ; les sujets ayant un taux d’anticorps moindre réagiraient seulement quand
leur sérum est moins dilué ; et d’autres encore ayant très peu d’anticorps ne seraient séropositifs
que si leur sérum n’est pas dilué du tout. L’équipe de Gallo mit au point et breveta ces tests dans
le but d’identifier les sujets qui ont, ou qui sont disposés à avoir, des maladies sidéennes. Gallo

70
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

supposa (mais ne prouva pas) que ces tests mettraient aussi en évidence une infection virale
commune, cause de toutes ces maladies. Elle détermina des procédures de tests qui donnaient
88 % de résultats positifs (43 sur 49) pour les sujets à risque avec maladies sidéennes, 79 % (11
sur 14) pour les sujets à risque ayant un « présida », 40 % (9 sur 22) pour les sujets à risque sans
affection sidéenne, et moins de 1 % (1 sur 164) pour des sujets témoins sans SIDA et
n’appartenant pas aux groupes à risque officiels.
Tout cela signifie que les tests d’anticorps de Gallo (ceux qui sont actuellement utilisés pour
tester la « présence VIH ») ont une certaine précision pour identifier les membres de groupes à
risque, spécialement ceux qui ont des affections sidéennes. Mais rien ne permet de dire que ces
tests aient une quelconque valeur pour diagnostiquer la présence d’un virus particulier.
Selon Giraldo, Eleopulos et de Harven, les chercheurs n’ont pas réussi à isoler un virus
particulier chez les sujets positifs pour les tests ELISA et Western Blot.
Donc, en ce qui concerne l’usage de ces tests pour le diagnostic d’« infection VIH », Giraldo
conclut qu’il n’y a pas de justification valable ni pour les fortes dilutions, ni pour les critères de
luminosité, ni pour le choix de tests anticorps plutôt que de tests d’antigènes ni pour la série de
réactions utilisées pour le Western Blot.

EXPÉRIENCES COMPLÉMENTAIRES ET CHARGE VIRALE

Giraldo reconnaît que bien d’autres questions importantes restent sans réponse. Par exemple, il
n’a pas étudié le test Western Blot ni le test de la « charge virale ».
« N’ayant aucune subvention pour faire ces recherches, je n’ai pu étudier que le test ELISA VIH,
et même sans aller aussi loin que j’aurais voulu. Comme le test Western Blot se réalise à partir
des mêmes protéines que le test ELISA, et qu’il requiert lui aussi une forte dilution (moindre
cependant : 1/50), je pense que j’obtiendrais les mêmes résultats si je faisais le même genre
d’expériences. Mais je n’ai pas eu l’occasion de vérifier cette hypothèse. J’espère trouver des
fonds pour mieux étudier le test ELISA, ainsi que le Western Blot. »
Giraldo aimerait aussi étudier le test de charge virale qui implique également une dilution et
s’accompagne d’autres sérieux paradoxes (RA Oct. 1996) : principalement le fait que pas plus
que les tests ELISA et Western Blot, il ne se base aucunement sur le seul fait valable, l’isolement
du virus.

71
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

De l’avis de Giraldo, le test de charge virale est utilisé spécialement comme un moyen de
démontrer artificiellement la présence de grandes quantités d’ARN de VIH alors que les
méthodes conventionnelles établissent qu’il y en a peu ou pas du tout.

Explication non virale


Aucune preuve de l’isolement du VIH n’existant dans la littérature, et E. P-Eleopulos ainsi que
d’autres scientifiques ayant montré que le SIDA ne se comportait pas épidémiologiquement
comme une maladie contagieuse (Duesberg, "Inventing the AIDS virus"), Giraldo se tourne vers
une explication non virale pour comprendre les réactions positives aux « tests VIH ». Il se réfère
aux travaux d’E. P-Eleopulos. Les éléments du prétendu VIH à partir desquels les « tests VIH »
ont été produits semblent à cette chercheuse être des éléments ordinaires du corps humain. Cela
serait invraisemblable si le « matériel VIH » utilisé pour les tests avait été extrait d’isolats VIH
(c’est-à-dire prélevés sur des cultures consistant exclusivement en particules ressemblant à des
virus et se comportant comme des virus).
Mais E. P-Eleopulos s’aperçut que tout ce qui était présenté dans la littérature médicale comme
des « isolats de VIH » se compose essentiellement de matériel manifestement non viral mélangé
à une minorité de particules déclarées être du VIH. Elle soutient que ces particules correspondent
à la description classique de « microvésicules » cellulaires, et non pas de virus. Elle ne trouve
aucun fait prouvant que ce matériel d’« isolat VIH » soit autre chose que des constituants
cellulaires normaux. Étienne de Harven, spécialiste en microscopie virale est du même avis.
Il semble donc à Giraldo que les tests d’anticorps VIH détectent simplement si l’organisme a été
exposé à des facteurs augmentant la production d’anticorps réagissant à des protéines prélevées
dans les cultures improprement appelées « isolats de VIH ».
Ce peut être tout un éventail de facteurs identifiés par E. P-Eleopulos et d’autres chercheurs
comme étant la cause probable du SIDA : consommation de drogues, traitements de
l’hémophilie (en particulier multiples transfusions), infections et antibiothérapies sans arrêt
répétées (comme chez les homosexuels masculins) et dans le Tiers Monde multiples parasites et
infections chroniques comme conséquence de malnutrition, d’absence d’eau potable et de soins
médicaux élémentaires.
Concernant le test de charge virale, Giraldo n’a pas d’hypothèse à priori, car il n’a pas encore
étudié la question. Il propose des expériences qui aideraient à expliquer la signification de ces
tests. Une chose est désormais certaine : les données existantes ne confirment pas l’hypothèse

72
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

selon laquelle un test VIH positif (ELISA ou Western Blot) est le signe d’une quelconque
infection virale.
Giraldo prétend que tout le monde peut produire une certaine quantité d’anticorps contre les
prétendues protéines VIH. Il n’en conclut pas pour autant que tout le monde, séropositif ou
non, est infecté par du VIH.

Voilà une simple étude, référencée dans la littérature scientifique et qui n’a fait écho nulle
part ! Normal, les enjeux financiers de ces tests sont beaucoup trop importants ! Giraldo
démontre par cette expérience 4 principaux faits :

✓ l’inefficacité

✓ le manque de spécificité,

✓ le manque de reproductibilité,

✓ et plus simplement l’inutilité avérée de ces tests !

Et ce n’est pas tout !

Le test de type « Western Blot » est utilisé pour confirmer une séropositivité lorsque celle-ci a
été détectée par 1 ou 2 tests de type « Élisa ». C’est donc un test considéré comme plus fiable.
Un test western Blot comprend 10 bandes alignées correspondant aux dix protéines que l’on a
définies comme étant typiquement et exclusivement relatives au « VIH ». (Comment est-ce
possible si le VIH n’a jamais été isolé ?? Mystère glorieux). L’harmonisation internationale des
diagnostics étant inexistante, on peut être déclaré séropositif dans certains pays lorsque
seulement 2 bandes ont réagi.
Dans certaines contrées, il en faut 3. Dans d’autres, 4 bandes sont nécessaires.
On voit donc que selon le pays où l’on réside, le même sérum, analysé dans des conditions
identiques, peut fabriquer un séropositif ou un séronégatif, au gré de la législation en vigueur.
Mais il y a plus intéressant encore. Puisque les dix protéines utilisées dans les tests sont
annoncées comme typiques du « VIH », on peut se poser les deux questions suivantes, totalement
à l’opposé l’une de l’autre :

✓ Pourquoi deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors qu’une seule


devrait être suffisante pour diagnostiquer la présence du virus ? (Mystère lumineux)

73
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

✓ Pourquoi seulement deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors que la


présence du virus devrait impliquer obligatoirement la présence des dix protéines
qui lui sont attribuées, donc la réaction de toutes les dix bandes du test ? […]
(Sûrement le Mystère joyeux !)
Cela dit, il faut signaler que ces tests inspirent si peu confiance qu’aux États-Unis, la FDA (Food
and Drug Administration) n’a apporté sa caution à aucun d’entre eux. […] Il est important de
rappeler que, faute de standard international, on peut être classé séropositif ou séronégatif selon
le pays où l’on réside.

Comme l’a affirmé le Pr Gallo, le VIH doit être un virus très intelligent. Apparemment,
il peut faire la différence entre les sexes et, soit il aime les femmes et ne veut pas leur faire de
mal, soit il ne les aime pas et ne veut rien avoir à faire avec elles. Peut-être est-il intimidé par
les féministes ! Dans les groupes à risque vis-à-vis du SIDA, on constate que la prévalence du
SIDA coïncide avec l’importance de l’exposition aux agents de stress immunologique15
Chez les bébés nés de mère s’adonnant aux drogues, les agents de stress immunologique
tel que l’alcool et autres drogues courantes, les infections congénitales et les thérapies anti-
infectieuses sont là aussi présents et portent atteinte à la santé du bébé, notamment à son système
immunitaire16
Dans le tiers-monde, les bébés nés d’une mère mal nourrie souffrent eux-mêmes de
malnutrition avec toutes les désastreuses conséquences biologiques et immunitaires17De même,
la croyance que le SIDA se transmet par voie hétérosexuelle en Afrique ne repose sur rien du
tout !18Cette croyance se fonde sur la constatation qu’en Afrique les femmes sont aussi exposées
au SIDA que les hommes. Mais les conditions de vie en Afrique sont aussi désastreuses pour les
femmes que pour les hommes, et ces conditions s’aggravent chaque jour un peu plus 19
Il est très souvent impossible de distinguer le diagnostic de SIDA en Afrique des
symptômes endémiques des maladies tropicales classiques20 En Afrique, hommes et femmes

15 [ Lower R, Lower J, Kurth R. (1996). The viruses in all of us: Characteristics and biological significance of
human endogenous retrovirus sequences. Proc. Natl. Acad. Sci. U S A 93:5177-5184]
16 [Herzenberg LA, de Rosa SC, Dubs JG, et al. (1997). Glutathione deficiency is associated with impaired survival

in HIV disease. Proc. Natl. Acad. Sci. U S A 94:1967-72].


17 [Abrams D. Lecture to Medical Students. Synapse, 1996.]

18 [Garrett L. AIDS, After The Cure' / Amid setbacks, search for new hope. Newsday, Sunday 1998 June 14th;A07.]

19 [ Zagury D, Bernard J, Leonard R, et al. (1986). Long-Term Cultures of HTLV-III-Infected T Cells: A Model of

Cytopathology of T-Cell Depletion in AIDS. Science 231:850-853.]


20 [CDC. (1992). 1993 Revised Classification System for HIV Infection and Expanded Surveillance Case Definition

for AIDS Among Adolescents and Adults. MMWR 41:1-19.]


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STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

sont exposés aux mêmes agents de stress immunologique. Par conséquent, quelle que soit la
préférence sexuelle, tout Africain est exposé au SIDA. Ceci est vrai également de toutes les
régions où les conditions de vie sont comparables à celles existant en Afrique.
De même, la transmission périnatale du VIH de la mère à son bébé est totalement théorique.
Même les tenants de l’hypothèse VIH/SIDA reconnaissent que la transmission verticale (de la
mère à l’enfant) est extrêmement inefficace21

L’UNAIDS, l’UNICEF et l’OMS, toutes trois agences de l’ONU, sont actuellement


lancées dans une campagne mondiale de propagande visant à empêcher les mères séropositives
d’allaiter leurs bébés au prétexte que l’abandon de cette pratique saine entre toutes permettrait
d’empêcher la transmission du VIH au bébé22 Et pourtant, une étude récente de 167 publications
traitant de cette question a conclu que « l’analyse de cette base de données n’apporte aucune
certitude sur un rôle éventuel de l’allaitement maternel dans l’épidémiologie du SIDA »23
L’hypothèse de la transmission du VIH par le lait maternel a été scientifiquement
invalidée24 Il est illogique et choquant de dissuader les mères séropositives d’allaiter leur bébé.
Une telle politique, fondée sur une hypothèse d’abord non démontrée puis scientifiquement
démontrée fausse, est dangereuse et constitue une faute. Elle viole le droit des femmes à allaiter
leurs bébés et le droit des bébés à se nourrir du lait de leur mère.25
La conclusion logique de ce qui précède est que le caractère transmissible et contagieux
du SIDA n’a jamais été scientifiquement démontré. Il s’agit simplement d’une supposition qui
s’est transformée en DOGME ! Dans la partie 4 de notre publication, nous allons essentiellement
nous focaliser sur le SIDA en lui-même, sur cette maladie qui ravage nos patients dans les
hôpitaux, ses véritables causes

21 [Anonymous. (1993). HIV infection in European female sex workers: epidemiological link with use of petroleum-
based lubricants. European Working Group on HIV Infection in Female Prostitutes. AIDS 7:401-8.]
22 [ Samrith C. Official HIV and AIDS Case Report. Phnom Penh : World Health Organisation, 1997.]

23 [Lundberg GD. (1988). Serological diagnosis of human immunodeficiency virus infection by Western Blot testing.

JAMA 260:674-679]
24 [Phair J, Jacobson L, Detals R, et al. (1992). Acquired Immune Deficiency Syndrome Occuring Within 5 Years

of Infection with Human Immunodeficiency Virus Type-1: The Multicenter AIDS Cohort Study. J. Acquir. Immun.
Defic. Syndr. 5:490-496.].
25 [Lemp GF, Porco TC, Hirozawa AM, et al. (1997). Projected incidence of AIDS in San Francisco: The peak and

decline of the epidemic. J. Acq. Immune Def. Syndr. Hum. Retrovirol. 16:182189.]
75
STOP ! Assez de mensonges sur le VIH -SIDA !

76
PARTIE IV

LES 10 PREMIERS MENSONGES DU SIDA


« Vous le savez mieux que moi, toute la médecine officielle, depuis la variole, la tuberculose,
jusqu’à la plus vulgaire entérite, est la proie de systèmes préconçus qui, pour se soutenir,
cherchent des faits et au besoin, en inventent, ou en imaginent. Vous avez beau aller à
contre sens (…) et la foule inconsciente approuvera gouvernementalement. On a beau
écrire pour prouver qu’on se trompe et que l’on trompe, rien n’y fait : pauvre esprit
humain ! »

Pr Antoine Béchamp
1er mensonge : Le sida est une nouvelle maladie.

Aussi bien le grand public que la majorité des professionnels de la santé sont persuadés que le
sida est un phénomène épidémique apparu soudainement au début des années 80, causé par
l’émergence d’un nouveau virus. Le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida n’est pas à
proprement parler une maladie. Un syndrome n’est qu’un ensemble de signes et de symptômes
survenant simultanément chez le patient, qui se caractérise par une forte diminution, voire un
effondrement, des défenses immunitaires. Depuis longtemps les deux principales causes
d’immunodéficience acquise étaient parfaitement connues et documentées : la malnutrition et
l’usage de substances dangereuses pour le système immunitaire (drogue, certains
médicaments, sang transfusé).

2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH

Lorsque l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de consulter la littérature scientifique
relative au virus proprement dit, on est frappé par le fait qu’aucune de ces investigations n’a
jamais réussi à mettre directement en évidence la présence de la moindre particule virale, et en
particulier pas la moindre particule rétrovirale, chez un malade du sida. […]
C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier qui a la première annoncer la
découverte d’une activité virale, en 1983, à partir de prélèvements effectués sur un malade du
sida. L’année suivante, l’équipe de Robert Gallo, aux États-Unis, fit une annonce similaire. On
s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa « découverte »
un échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offert quelques mois auparavant. Il
arriva la même mésaventure à Robin Weiss, le grand spécialiste britannique du sida, qui fut
obligé de reconnaître que sa propre découverte du virus résultait du fait qu’il avait, lui aussi,
reçu un échantillon de la culture de Luc Montagnier. On peut ainsi constater que, de part et
d’autre de l’Atlantique, les trois équipes les plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à annoncer
qu’une très vague présomption à partir de cultures cellulaires issues d’un même patient ! Il n’y
a d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas un seul article dans lequel on pourrait trouver
la conclusion selon laquelle un tel rétrovirus a été isolé, et que ce virus est la cause du sida.

3e mensonge : Le VIH est la cause du sida

Revenons au début des années 80. Les premiers cas de sida ont été détectés aux États-Unis au
sein de la communauté homosexuelle et chez les toxicomanes par voie intraveineuse. Il est
nécessaire de préciser que ce n’est pas le fait d’être homosexuel qui constitue un facteur de
risque vis-à-vis du sida. Seul le style de vie de certains homosexuels masculins est de nature à
provoquer une immunodéficience. […] Différentes drogues circulaient abondamment (cannabis,
cocaïne, amphétamines, LSD, barbituriques, héroïne…), mais les vedettes incontestées étaient
les « poppers », petites fioles contenant du nitrite d’amyle, un puissant vasodilatateur possédant
des vertus apparemment aphrodisiaques. À l’origine, ce produit était un médicament utilisé
comme dilatateur coronarien dans le traitement des crises d’angine de poitrine. La communauté
homosexuelle détourna les nitrites de leur usage thérapeutique pour en faire leur stupéfiant le
plus prisé, et cela dès les années 60. […] Dès qu’ils sont dans le sang, les nitrites se transforment
en oxyde nitrique et endommagent les parois internes des vaisseaux sanguins, ce qui explique
leur implication dans un cancer des capillaires : le sarcome de Kaposi. Bien qu’interdits, les
poppers ont continué jusqu’à aujourd’hui à être disponibles, que ce soit en empruntant des noms
innocents comme « nettoyant pour cuir », ou bien en plein jour, par exemple dans les sex-shops.

Le phénomène s’est même aggravé par la suite puisqu’ils ont été adoptés par certains
hétérosexuels en quête de performances. Malgré l’évidence que l’usage des poppers était associé
à la majorité des cas de sida chez les homosexuels, aux États-Unis, certains médias appuyés par
les organismes de santé publique diffusèrent dès 1983 auprès de la communauté gay des
informations disculpant totalement les nitrites.

Cette attitude peut être qualifiée de criminelle. Il a fallu attendre 1994 pour que Robert Gallo,
« codécouvreur » du « VIH » et (riche) promoteur du premier test de dépistage, admette lors
d’une conférence du NIDA (National Institute on Drug Abuse) que le sarcome de Kaposi,
maladie typique de la communauté homosexuelle, ne pouvait être causé par un virus, mais que
les poppers devaient en être la principale cause. Cet aveu tardif n’a absolument rien changé à
l’attitude officielle.

4e mensonge : Les médicaments antiviraux sont bénéfiques

En 1987 apparut le premier médicament antiviral prétendument spécifique au sida : l’AZT.


L’azidothymidine, ou AZT fut découvert dès 1964 et proposé en vue d’une utilisation dans les
thérapies anticancéreuses. Ses effets dévastateurs (et systématiquement mortels chez les souris
de laboratoire !) ont suscité un rejet catégorique de la part des autorités chargées de
l’accréditation des nouveaux médicaments anticancéreux.

Autres temps autres mœurs : le besoin de fournir aux malades du sida une thérapie […] on
accorda de toute urgence l’autorisation surprenante de mettre sur le marché l’AZT, malgré sa
très haute toxicité. Les autres antiviraux : Chacun possède son propre système d’effet génétique,
mais le principe est le même. (Confère Volume 2 pour plus de détails sur les ARV)

5e mensonge : La séropositivité est un signe d’infection par le VIH

Ce mensonge est certainement le plus inique de tous ceux qui sont dénoncés dans cet ouvrage,
car il a permis de faire croire à des millions de personnes qu’elles étaient malades et
contagieuses. […] Le test de type « Western Blot » est utilisé pour confirmer une séropositivité
lorsque celle-ci a été détectée par un ou deux tests de type « Élisa ». C’est donc un test considéré
comme plus fiable. Un test western Blot comprend dix bandes alignées correspondant aux dix
protéines que l’on a définies comme étant typiquement et exclusivement relatives au « VIH ».

L’harmonisation internationale des diagnostics étant inexistante, on peut être déclaré séropositif
dans certains pays lorsque seulement deux bandes ont réagi. Dans certaines contrées, il en faut
trois. Dans d’autres, quatre bandes sont nécessaires. On voit donc que selon le pays où l’on
réside, le même sérum, analysé dans des conditions identiques, peut fabriquer un séropositif ou
un séronégatif, au gré de la législation en vigueur.

Il est important de rappeler que, faute de standard international, on peut être classé séropositif
ou séronégatif selon le pays où l’on réside. Sur les dix bandes de tests que compte le Western
Blot, il suffit d’en avoir deux qui soient jugées « positives » pour être déclarées infectées en
Afrique. Il en faudra trois en Grande-Bretagne et quatre en Australie. Il y a plus grave. Les tests
sont si peu spécifiques que les fabricants eux-mêmes annoncent que leurs tests ne peuvent servir
à affirmer ou infirmer la présence du « VIH ». Ils signalent également qu’il y a de nombreuses
sources possibles de faux positifs, en tout une soixantaine. […]

6e mensonge : Le SIDA est contagieux

Toutes les maladies vénériennes (syphilis, blennorragie, herpès génital ou anal…), dès qu’elles
ont été sexuellement transmises, provoquent une infection dont les symptômes sont évidents au
bout de quelques jours, et cela sans faire de distinction entre les individus. Les cinq premiers cas
de sida furent observés et décrits à Los Angeles, en 1981. L’auteur du premier rapport sur ces
cinq cas initiaux, Michael Gottlieb, avait clairement indiqué que ces cinq patients étaient
homosexuels, et faisaient tous usage de nitrite d’amyle (poppers). En outre, il indiquait que ces
cinq malades ne s’étaient jamais rencontrés et n’auraient donc pas pu se contaminer l’un l’autre.

Qu’est-ce qui a bien pu faire penser à Michael Gottlieb qu’il venait de découvrir une nouvelle
maladie infectieuse ? Rien ne permet de répondre à cette question, et le mystère reste entier. Une
parabole aidera à mieux saisir l’importance de la question : imaginons qu’un médecin ait pour
mission de surveiller la santé d’une centaine d’ouvriers travaillant tous dans une usine de
colorants.

C’est une vieille usine, mal ventilée, et où l’on manipule une abondance de sels de plomb. Après
quelques années, le médecin identifie une dizaine de cas de saturnisme parmi ces ouvriers. Va-
t-il en conclure que le saturnisme est une maladie contagieuse parce que les malades travaillaient
tous dans la même usine ? Où va-t-il conclure que ses patients ont tous été exposés au même
risque toxique et ont par conséquent tous développé la même maladie ? La réponse est trop
évidente… Comment expliquer que le docteur Gottlieb n’ait pas raisonné de la même façon, et
n’ait pas immédiatement compris que ses cinq patients avaient tous été exposés aux mêmes
drogues toxiques, et par conséquent avaient tous développé la même pathologie ?

7e mensonge : Le VIH est la source de nombreuses maladies

Le virus de la rougeole n’est présent que chez les rougeoleux, celui de la grippe chez les grippés,
etc. Avec le « VIH », une nouvelle ère a commencé : celle des virus polyvalents, polymorphes
et tout-puissants, capables de causer non seulement une importante variété de maladies
infectieuses (dues à l’immunodéficience), mais aussi des pathologies n’ayant rien à voir avec le
système immunitaire. En tout, c’est une trentaine de maladies qu’est supposé provoquer ce tueur
invisible, plus proche monstrueux et pitoyable aliens des films de science-fiction que d’un
microorganisme. Comment les biologistes et les professionnels de la santé ont-ils pu avaler cette
couleuvre qui remettait en cause tout ce qu’ils avaient appris jusque-là ? Il faut croire que leur
faculté de raisonnement a été anesthésiée par les beaux discours venant des mandarins et des
laboratoires pharmaceutiques.

Car il faut le souligner, dès que l’on fait partie de l’élite scientifique, on peut se permettre
d’émettre l’hypothèse la plus délirante en étant certain d’être suivi par l’ensemble d’une opinion
publique informée par des médias en recherche permanente de surenchère et de sensationnel.
Apporter la moindre preuve est inutile : seule compte la notoriété.

8e mensonge : Il vaut mieux savoir que l’on est séropositif

Le stress aigu a parfois des conséquences salutaires, car il permet de réagir efficacement en face
d’un danger immédiat (fuir ou combattre). En revanche, le stress permanent est une source de
déséquilibre entrainant une cascade d’événements préjudiciables. Les perturbations
psychologiques provoquées par l’annonce d’une séropositivité et les réactions émotionnelles qui
en découlent induisent des réactions physiologiques dommageables pour la santé, en
affaiblissant les réactions naturelles de défense de l’organisme. C’est ainsi que la boucle de
régulation hormonale mettant en jeu les glandes surrénales et certaines glandes endocrines du
cerveau (hypophyse, hypothalamus, épiphyse) se trouve fortement perturbée en cas de stress
intense, l’une des conséquences étant une surproduction de certains messagers chimiques
(neuromédiateurs), comme le cortisol qui est une hormone immunosuppressive. Le stress
affaiblit donc l’activité du système immunitaire, mais provoque aussi de nombreuses autres
perturbations […]

9e mensonge : L’épidémie du SIDA est dévastatrice

Les organismes de santé publique s’accordent à donner des informations apocalyptiques sur la
progression du sida dans le monde. Elles sont relayées avec beaucoup de complaisance (et sans
vérification) par l’ensemble des médias et par les organisations dont le sida est la raison
d’exister.

Cette montée de la terreur s’est faite par étapes successives :

1. Attribuer à un virus l’immunodéficience acquise a été le premier pas. Un


pas décisif qui a permis d’imposer l’idée que le sida était une maladie infectieuse,
donc transmissible.

2. Mettre au point des tests de séropositivité a servi ensuite à prétendre


pouvoir détecter une infection au sein de population en bonne santé (et inventer en
même temps le sida hétérosexuel).

3. Dans un troisième temps, le nombre des maladies censées être causées par
le « VIH » a progressé par paliers, passant de trois à trente en quelques années.

4. En plus, la définition même du sida a été profondément modifiée à quatre


reprises (1982, 1987, 1992 et 1998) par les CDC (Centers for disease control and
prevention) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), chaque nouvelle
définition entrainant une escalade catastrophique de l’apparente épidémie.

5. Enfin, les statistiques basées sur des extrapolations acrobatiques ont


permis d’augmenter chaque année les chiffres de la contamination, surtout dans les
pays où les contrôles sont les plus difficiles à opérer.

Quelle est la situation actuelle, lorsque l’on s’en tient aux faits ? Dans les deux régions du monde
où le sida a fait ses premières apparitions, les États-Unis et l’Europe de l’Ouest, la prétendue
épidémie a fait long feu. En Océanie, elle n’a même jamais débuté. En revanche, les statistiques
officielles annoncent une flambée des infections dans plusieurs zones qui avaient été longtemps
épargnées. [Chacune de ces régions sera analysée par la suite, de même que les statistiques.]

10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord

Plusieurs centaines de scientifiques, et non les moindres, ont préféré prendre des risques sur des
carrières qui s’annonçaient souvent très prometteuses plutôt que d’accepter les nombreux
mensonges et incohérences distillés par les instances officielles, Duesberg, Papadhópoulos, De
HARVEN, ,etc..

À SUIVRE…
REFERENCES

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DU MÊME AUTEUR

La fonction marketing à l’hôpital (2017)


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