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Sommaire

I:Introduction générale à la machine de vapeur

I -1:Définition d’une machine à vapeur


I -2:Les installations industrielles à vapeur

I -3:Principes généraux de fonctionnement

I -4:Utilisation

I -5:Rendement

I -6:Cycle théorique d’une machine a vapeur

I -6-1:Le cycle de Carnot

I -6-2: Le cycle de Rankine

I -6-3:Cycle avec surchauffe

I -6-4:cycle avec resurchauffe

I -6-5:cycle avec régénération

II- La partie pratique

Calcul :
II.1- cycle idéal de Rankine

QC QF WT WP ηth ηCarnot

II.3 - Cycle avec surchauffe

QC QF WT WP ηth ηCarnot

II.4 - cycle avec resurchauffe QC QF WT WP ηth ηCarnot

II.6 - Cycle avec régénération

QC QF WT WP ηth ηCarnot

III- Conclusion
I:Introduction générale à la machine de vapeur
Au début du XIXe siècle, les machines à vapeur étaient assez répandues mais les
principes physiques fondamentaux régissant leur fonctionnement restaient obscurs.
Plusieurs chercheurs se cassèrent les dents sur le problème de l'efficacité des machines
à vapeur. Une grande avancée sera due aux travaux du physicien Français Sadi CARNOT
(1796-1832). En1824, il publie le livre "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur
les machines propre a développer cette puissance" Les idées développées par Carnot sont
le fondement de la thermodynamique, mais basées sur une prémisse erronée : Carnot est
convaincu de l'existence du calorique. Il conçoit une machine idéale, la plus efficace possible,
réversible, fonctionnant avec un gaz parfait et dont l'efficacité ne dépend que des températures
des sources chaude et froide (selon ce qu'on appellera le cycle de Carnot). Le cycle de Carnot
est composé de deux courbes isothermes réversibles et de deux courbes adiabatiques
réversibles.
Le livre de Carnot passe inaperçu. Ce n'est que dix ans plus tard qu'Emile
CLAPEYRON
(1799-1864) en trouve une copie et en fait la publicité.
Ce projet étudié pour une application numérique du turbine à vapeur qui entrainer dans
les cycles de machine à vapeur pour amélioré la qualité de vapeur à la sorti du turbine

I -1:Définition d’une machine à vapeur


La machine à vapeur est une invention dont les évolutions les plus significatives datent
du XVIIIe siècle. C'est un moteur à combustion externe qui transforme l'énergie thermique de
la vapeur d'eau (produite par une ou des chaudières) en énergie mécanique.
la machine à vapeur a été supplantée par la turbine à vapeur, le moteur électrique et
le moteur à combustion interne pour fournir de l'énergie mécanique.
Figure 2 : Turbine à vapeur

I -2:Les installations industrielles à vapeur


Ces installations sont en général constituées d’une :

 Chaudière : permettant de produire de la vapeur à haute température et à haute


pression
 Turbine : où la vapeur vient se détendre en cédant une partie de son énergie sous forme
de travail. Le travail ainsi récupéré sur un arbre moteur est transmis aux alternateurs de
manière à le convertir en énergie électrique.
 D’un condenseur : où la vapeur est ramenée à l’état liquide à basse pression et basse
température. A l’origine, les premières machines à vapeur ne possédaient pas de
condenseur et la vapeur détendue était rejetée directement dans l’atmosphère ce qui
donnait ces jolis panaches de fumées blanches. L’idée du condenseur est due à Rankine
qui donnera son nom au cycle thermodynamique décrit plus bas. L’intérêt du condenseur
est de permettre une détente jusqu’à une pression inférieure à la pression atmosphérique
ce qui augmente le travail récupéré

 Pompe : refoulant le liquide condensé dans la chaudière pour que le cycle puisse
recommencer.
3

Chaudière

Schéma d’industrielle à vapeur


2 pH

I -3:Principes généraux de fonctionnement :


La turbine à vapeur est un moteur thermique à combustion externe, fonctionnant selon le
cycle thermodynamique dit de Clausius-Rankine. Ce cycle se distingue par le changement
d’état affectant le fluide moteur qui est en général de la vapeur d'eau.

Ce cycle comprend au moins les étapes suivantes :

 L’eau est chauffée, vaporisée et surchauffée ;


 L’eau liquide est mise en pression par une pompe et envoyée vers la chaudière ;
 La vapeur est envoyée vers la turbine, où elle se détend en fournissant de l’énergie
mécanique ;
 La vapeur détendue est condensée au contact d'une source froide sous vide partie

Le fluide utilisé est donc le même que celui de la machine à vapeur à pistons, mais la turbine
en constitue une évolution exploitant les principaux avantages des turbomachines à savoir :

 Puissance massique et puissance volumique élevée ;


 Rendement amélioré par la multiplication des étages de détente.

La turbine à vapeur est l’aboutissement d’un type de machines thermiques introduit par les
machines à vapeur à piston. Les contraintes inhérentes à leur conception restreignent,
actuellement, leur usage aux centrales électriques de forte puissance et à des applications
spécifiques telles que l’aéronautique ou les industries utilisant la vapeur sortant de la turbine.
Dans ce cas on obtient de l'électricité bon marché car l'énergie thermique n'est pas
« gaspillée » dans un condenseur. On appelle ces turbines, « turbines à contrepression ». On
rencontre cette utilisation, en particulier, dans les sucreries, entre autres, de cannes, où le
combustible est gratuit et surabondant : c'est la bagasse, la canne à sucre écrasée dont on a
extrait le sucre.

I -4:Utilisation :
Une turbine à vapeur utilise de la vapeur surchauffée ou de la vapeur saturée à haute pression
produite par une chaudière. En détendant cette vapeur à travers les différents étages de la
turbine, on la convertit en une force mécanique qui est transmise par un arbre moteur à une
génératrice électrique.

Les turbines sont de deux types : à écoulement axial ou à écoulement radial. Celles à
écoulement axial sont les plus courantes pour la production d’électricité. La vapeur est dirigée
par la tuyère sur les pales en rotation ou sur les godets disposés radialement sur une roue en
rotation. La longueur des pales est petite par rapport au diamètre de la turbine. Dans les
turbines à haut rendement, il y a plusieurs étages provoquant une détente de la vapeur à
différents niveaux de pression. Le vide à l’échappement peut être obtenu en alimentant
chacun des étages de la turbine avec la vapeur qui sort de l’étage précédent en les disposant
sur un même arbre-moteur et en le montant dans une tuyère continue. Les turbines de grande
puissance doivent être exploitées dans des conditions où la vapeur qui sort d’un étage contient
moins de 10 à 13 % d’eau. Sinon, les gouttelettes d’eau peuvent sérieusement éroder les pales
de la turbine et même les parois de la tuyère. Certaines turbines comprennent des étages
intermédiaires spécialement destinés à enlever l’humidité de la vapeur. Ce type de dispositif
est utilisé quand on est limité en température dans la production de vapeur surchauffée. Le
contenu en eau de la vapeur en sortie de turbine dépend, entre autres, de la pression de vapeur
d’alimentation.

On augmente le rendement du cycle en surchauffant la vapeur. La réchauffe de la vapeur est


parfois une façon d’augmenter le rendement de la turbine, puisqu’il s’agit d’une moyen de
resurchauffer la vapeur après sa détente d’un étage et avant d’entrer dans l’étage suivant.

I -5:Rendement
Le rendement croît avec la pression de la vapeur et avec la température de surchauffe.
Cependant, l’augmentation de ces caractéristiques est limitée par la teneur en eau de la vapeur
en fin de détente. En effet, la courbe de détente peut atteindre la courbe de saturation avec
formation de gouttelettes qui nuisent à l’efficacité des derniers étages de détente. La teneur en
eau liquide du mélange doit être limitée à 15 ou 20 %. In fine, c’est la pression dans le
condenseur qui fixe, de ce fait, les pressions et température limites, admissibles.

Ce cycle est inférieur au cycle idéal de Carnot et des améliorations ont été imaginées pour
tendre vers celui-ci. Ainsi, le réchauffage de l’eau, entre le condenseur et la chaudière, par de
la vapeur soutirée à différents étages de la turbine, permet de faire tendre la phase de
chauffage isobare vers une transformation équivalente sur le plan thermodynamique à une
isotherme. L’efficacité du dispositif mais également son coût croissent avec le nombre
d’étages de soutirage et d’échangeurs associés ; de ce fait, le nombre d'étages dépasse
rarement sept unités. Le gain de rendement est de l’ordre de 5 %. Ce dispositif impose de plus
l’installation d’un réchauffeur d’air sur la chaudière.

D’autre part, afin de permettre d’augmenter la pression et la température malgré le problème


de l’humidité en fin de détente, il est possible de renvoyer la vapeur détendue jusqu’à la
pression de vapeur saturante vers la chaudière pour procéder à une resurchauffe dans un
échangeur supplémentaire. Ces étapes peuvent être multipliées pour faire tendre la phase de
surchauffe vers une isotherme et donc de s’approcher d’un cycle de Carnot. Dans la pratique,
les installations comprennent généralement une seule resurchauffe. Le gain de rendement peut
atteindre 5 % .

Le cycle comprend fondamentalement deux changements d’état (évaporation et


condensation). Le diagramme de phases de l’eau permet d’envisager un cycle à un seul
changement d’état par l’utilisation d’une chaudière supercritique. En effet, au delà du point
critique (environ 220 bars et 350 °C) ne se produit plus de changement d’état et les phases
liquides et gazeuses ne peuvent plus être distinguées. Les cycles supercritiques nécessitent
généralement une double resurchauffe pour limiter l’humidité en fin de cycle. Le gain de
rendement est encore de 2 à 3 % et se justifie plus facilement avec le renchérissement des
combustibles

I -6:Cycle théorique d’une machine a vapeur :


I -6-1:Le cycle de Carnot
Comme la température d’un mélange liquide-vapeur reste constante lorsqu’on le chaude à
pression constante, la réalisation d’échanges de chaleur isotherme (caractéristique importante
du cycle de Carnot) est relativement aisée avec la vapeur. Une machine à vapeur basée sur un
cycle de Carnot est schématisée en (figures 7et 8)
L’efficacité du cycle moteur de Carnot n’est atteinte que lorsque la turbine et le compresseur
fonctionnent de façon isentropique. En pratique, comme nous l’avons vu, la puissance de la
turbine est toujours plus faible et celle du compresseur toujours plus grande qu’elles ne
pourraient l’être. Si l’on connaît l’efficacité isentropique η t de la turbine on peut exprimer sa
puissance en fonction des propriétés de la vapeur :
WTurbine réelle= WC→D réel= (hDréel− hC) = ηT (hD′ − hC)
I -6-2: Le cycle de Rankine
En pratique, l’utilisation du cycle de Carnot comme ci-haut pose plusieurs difficultés:
 La compression d’un mélange diphasiques est technologiquement difficile (§9.3.2) ;
 Dans le condenseur, il est difficile d’interrompre la condensation à un endroit précis
(le point A en (figures 7 et 8 ) plus haut, dont le titre est proche mais différent de 0).
William Rankine, ingénieur anglo-saxon digne de ses compatriotes, propose en
1859 une modification du cycle en poursuivant la condensation jusqu’à saturation
et en ne compressant l’eau qu’à l’état liquide. Une machine basée sur ce cycle est
décrite en (figures 9 et 10)
Le cycle de Rankine utilise donc une pompe à eau liquide plutôt qu’un compresseur en
mélange liquide/vapeur. Technologiquement, une pompe est plus simple à concevoir,
fabriquer, et opérer qu’un compresseur. Autre avantage, la compression
d’un liquide est plusieurs dizaines de fois plus économe en énergie que celle du
mélange.
Toutefois, cette économie d’énergie n’est pas sans contrepartie : à la sortie de la
pompe (point B), l’eau est à température bien plus faible qu’elle ne l’était à la sortie
du compresseur en (figure 7). C’est la chaudière qui devra ramener l’eau à l’état de
liquide saturé. Autrement dit, il faut fournir une dépense supplémentaire considérable sous
forme de chaleur pour compenser la baisse de puissance de compression
On peut remarquer qu’une partie importante de la chaleur apportée par la chaudière (c’est-à-
dire qch.= (hC− hB) n’est plus apportée à température constante.
Nous avons vu qu’un apport de chaleur à basse température se traduit toujours par un
rendement plus faible.
Toutefois, en pratique, cet apport de chaleur peut rendre possible l’exploitation de
sources de chaleur à basse température, comme les gaz d’échappement rejetés au-dessus de la
chaudière. Ainsi, dans certains cas, la chute du rendement thermodynamique (ηmoteur) peut être
compensée par une augmentation du rendement de la chaudière (ηchaudière), qui peut extraire
plus d’énergie au combustible pour le transmettre à la vapeur.
Rankine s’est ainsi écarté volontairement du cycle de Carnot, et a ce faisant réduit le
rendement thermodynamique global (même si cette baisse peut souvent être compensée par
une augmentation du rendement de la chaudière). Par contre, en faisant
disparaître le compresseur, sa modification permet de réduire fortement la taille et la
complexité de l’installation
I -6-3:Cycle avec surchauffe :
Pour réduire la consommation spécifique (SSC) d’une centrale, il est souhaitable
d’augmenter la puissance développée par la turbine pour un débit de vapeur donné.
Pour cela, il existe plusieurs options :
 Augmenter l’enthalpie à l’entrée de la turbine (c’est-à-dire augmenter la pression
de saturation dans la chaudière).
Malheureusement, cela impose à la chaudière d’être plus résistante et plus coûteuse ; et de
plus, cela réduit la quantité de chaleur spécifique qu’il est possible d’y apporter, puisque
l’enthalpie de vaporisation hLV décroît avec la température ;
 Réduire l’enthalpie à la sortie de la turbine (c’est-à-dire diminuer la pression dans
le condenseur).
Cela nécessite une turbine de plus grande taille, favorise l’insertion de bulles d’air
dans le circuit de vapeur, et surtout, réduit le titre de l’eau en sortie de turbine ;
 Augmenter l’enthalpie (et donc la température de la vapeur) après sa sortie de la
chaudière.
Cela permet d’utiliser pleinement les capacités de la turbine, dont les limites métallurgiques
(généralement autour de 1000 K) dépassent déjà souvent celles des
chaudières.
C’est cette dernière option qui est très souvent choisie. On nomme cette modification la
surchauffe : la vapeur est surchauffée à la sortie de la chaudière 10, à pression
constante, à travers une série de tubes portés à plus haute température (figures 11et 12).
L’avantage principal de la modification est la diminution de la consommation spécifique : la
puissance fournie est augmentée pour un débit de vapeur donné, grâce à une modification
relativement peu complexe à mettre en œuvre. Autre avantage, l’augmentation de la
température moyenne à laquelle la chaleur est apportée tend à augmenter le rendement
thermodynamique. Enfin, il devient possible de décaler la plage d’utilisation de la turbine
entièrement dans le domaine de la vapeur surchauffée : l’érosion des pales par l’eau liquide
est ainsi évitée.

I -6-4:cycle avec resurchauffe :


Pour augmenter à nouveau la puissance de l’installation sans augmenter le débit de
vapeur (et donc sa taille globale et le coût de la chaudière), il est possible de chauffer
une deuxième fois la vapeur avant sa sortie de la turbine (figures 13 et 14). C’est
ce que l’on appelle la resurchauffe.
Avec cette modification, la détente dans la turbine est interrompue ; et la vapeur est conduite
dans une nouvelle série de tubes pour porter à nouveau sa température à haute température
(usuellement aux limites métallurgiques de la turbine). La détente est alors complétée jusqu’à
la pression du condenseur.
Le rendement global de l’installation est augmenté si la température moyenne de
chauffage l’est aussi ; il faut donc choisir avec soin la pression de la resurchauffe
Consommation spécifique, elle est diminuée dans tous les cas, avec les avantages
décrits plus haut.

I -6-5:cycle avec régénération :


Lorsque Rankine modifié le cycle de Carnot, il a réduit le travail fourni pour compresser
l’eau, et augmenté la chaleur nécessaire pour l’amener en entrée de turbine.
En contre partie, le rendement thermodynamique a diminué : en effet, lorsque l’eau
pénètre dans la chaudière, sa température est faible. Elle reçoit de la chaleur de façon non-
réversible.
Pour augmenter la réversibilité du cycle (et donc son rendement), il est possible de
réchauffer l’eau progressivement, en utilisant la chaleur en provenance de la turbine
(où la température de la vapeur varie). Cette technique est nommée régénération.
On peut ainsi imaginer un cycle comme décrit en figures 15 et 16 ci-dessous,
où l’eau liquide en sortie de pompe est réchauffée progressivement en refroidissant
la turbine.
Dans le cas limite où toute la chaleur utilisée lors de la régénération est transmise
avec une différence de température infiniment faible, le cycle est réversible et le
rendement du moteur de Carnot est atteint .
MANUPULATION
A1.calcule le titre de la vapeur en sortie de la tribune

X=674942

2 : puissance développée par la turbine

Wt=m.* Δ h=m.*(h4-h3)

m.=200000/3600=55.55kg/s

Wt=55.55*(1795.95411-2759.89307)

Wt=-53546.8kw

3/puissennce requise par la pompe :

Wp=m.*(h2-h1)

Wp=55.55*(181.90244-173.90099)

Wp=444.4805kw

4/ taux de chaleur fourni a la chaudier

Qc=m.*(h3-h2)
Qc=55.55(2759.89307-181.90244)=143207.229kw

5/Le rendemement de cycle de Reankine et comparai cycle de Carnot

η renkine=-Wnet/Qc=-(Wt-Wp)/Qc=-(-53546.8+444.4805)/143207.229=0.37=37%

η carnot=1-Tf/Tch=0.85=85%

Donc η renkiune< η carnot

B/examiner le cycle avec surchauffe a 480c°

1-puissance devloppee par la turbine


Wt=m.(h4-h3)=200000/3600*(2038.7704-3349.55435)=-70314.29kw

Wp=m.(h2-h1)=55.55*(181.90244-173.90099)=444.4805kw

Qc=m.(h3-h2)=55.55*(3349.55435-181.90244)=175963.0636kw

RendementR=-Wnet /Qc=-(-70314.29+444.4805)/175963.0636=0.4=40%

Rendementc=1-Tf/Tc=480-41.53448/480=0.91=90%

Conclure :

Une plus grand teravail w rendement augment

C/examiner l’effet de la tempurature de surchauffe sur le rendement

Rendement avec T=400° =0.38=38%

Rendement avec T=450°=0.39=39%

Rendement avec T=500° =0.4=40%

Rendement avec T=550°=0.4=40%

Rendement avec T=600°=0.41=41%

Rendement avec T=650°=0.42=42%

Rendement avec T=700=0.43=43%


Conclure :nous notions que plus de température augmente le rendement
D/ examiner Le cycle avec resurchauffe a 440°

Wt1=m.(h4-h3)=55.55*(2742.95325-3349.55435)=-33696.69111kw

Wt2=m.(h6-h5)=55.55(2465.32477-3353.42179)=-49333.7894kw

Wp=m.(h2-h1)=55.55(181.90244-173.90099)=444.4805kw

Qc=m.(h3-h2)+ m.(h5-h4)= m.(h5-h2)=55.55(3353.42179-181.90244)=1.76177.8999kw

Rendement η

η =-(Wt1+Wt2+Wp)/Qc=0.46=46%

E/ cyclre de regeniration :

Wt1=m.(h4-h3)=55.55*(2742.95325-3349.55435)=-33696.69111kw

Wt2=(1-y)m.(h6-h5) avec y=(h1-h8)/(h5-h8)

Y=(697.0776-174.62212)/(3353.42179-174.62212)=0.16
Wt2=(1-0.16)*55.55(2428.74905-3353.42179)

Wt2=-43145.23kw

Wp1=m.(h2-h1)=55.55(705.43305-697.70775)

Wp1=464.1508 kw

Wp2=(1-y)m. (h8-h7)=46.46(174.62212-173.90099)

Wp2=33.6479kw

Qc=m. (h5-h2)=55.55(3353.42179-705.43305)

Qc=147095.7745kw

Rendement η

η =wnet/Qc

η =-(-33696.69111-43145.23+464.1508+33.6479/147095.7745=0.51=51%

Remarque : le cycle de Rankine avec régénération améliore la qualité de vapeur et le


rendement

III- Conclusion :

L’efficacité e du cycle de RANKINE sera améliorée soit :

 en augmentant la pression PH
 en abaissant la pression PB au condenseur

(Le titre x à la sortie de la turbine diminuant dans les 2 cas)

 La surchauffe et la resurchauffe présentent un intérêt celui d’augmenter le titre de vapeur


en fin de détente dans la turbine et de la rendre proche de 1 ce qui, comme on l’a vu, est
hautement souhaitable pour un bon fonctionnement de cette dernier (réduction de l’effet
de freinage par les gouttelettes d’eau, ainsi que des problèmes de corrosion.

En principe d’améliore encore l’efficacité de cycle

la resurchauffe entrain visiblement l’amélioration du rendement et augmenter le titre de


vapeur en fin de détente dans la turbine.

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