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Le travail
psychique
de la formation
Entre aliénation et transformation
René Kaes
Catherine Desvignes
G. Gimenez O.Nicolle
B. Guettier M.Pichon
G. Bayle E. Sechaud
P.H ery N.Vander EIst
D. Hirsch
DUNOD
Dessin de couverture :
© Jacques Van den Bussche
Au fil des années, le profil de chaque livre s’est précisé : chaque volume
rassemble quatre ou cinq auteurs, qui rédigent des chapitres substantiels
d’une cinquantaine de pages chacun. Leurs contributions, coordonnées par
un responsable de l’ouvrage, sont complémentaires ou forment un
contrepoint à l’intérieur du thème principal.
Une table des matières détaillée, une bibliographie soignée, deux index (des
concepts et des noms propres), des mises à jour au fil des retirages et des
rééditions font des ouvrages de cette collection des outils de travail
particulièrement appréciés.
LISTE DES AUTEURS
AVANT-PROPOS XIII
PAR P HILIPPE H ÉRY
Conclusion 76
INDEX 135
AVANT-PROPOS
Par Philippe Héry
DÉSIR DE FORMER,
FORMATION
PAR LE GROUPE
ET TRANSMISSION
DE SAVOIRS
Par René Kaës
Dunod – La photocopie non autorisée est un délit
1. Sur ce rapport, voir les travaux expérimentaux de C. Flament (1959) sur les
correspondances entre structure du groupe, structure de la tâche et systèmes
de représentation.
6 L E TRAVAIL PSYCHIQUE DE LA FORMATION
La fantasmatique de la formation
Pour la part qui me revient, je m’étais intéressé de près à
la fantasmatique de la formation. J’avais regroupé sous cette
nomination les organisations de fantasmes qui soutiennent et
organisent les scénarios inconscients de la formation, chez le
formateur et chez les personnes en formation. La structure
et la fonction de ces fantasmes me paraissaient devoir être
analysés dans la mesure où ils définissent des emplacements
subjectifs dans un dispositif psychique de réalisation de désirs
et de traitement des énigmes relatifs à l’origine, à la violence et
à la sexualité.
J’avais repéré une organisation fantasmatique fondamentale
dont l’énoncé le plus adéquat me semblait être : « On (dé)forme
un enfant. » Je trouvais là un modèle d’énonciation qui pouvait
contenir la formule de la fantasmatique de la formation : « On
forme/on déforme un enfant. » On reconnaîtra ici la formule
par laquelle Freud décrit le fantasme de fustigation en 1919 :
« On bat un enfant » dont j’avais relevé et analysé la structure
et les fonctions organisatrice et distributrice d’emplacements
subjectifs dans les groupes. Ce qui m’intéressait dans cette
conception structurale du fantasme – J. Laplanche et J.-B Ponta-
lis en avaient dégagé les principaux traits –, c’était qu’il devenait
lisible comme un scénario à plusieurs personnages, dont les
emplacements sont permutables, dont l’action se développe sur
le mode de la dramatisation des enjeux de désir et de défense et
qui admet un retournement des positions actives et passives du
Dunod – La photocopie non autorisée est un délit
sujet et de l’objet.
La formule « On forme/on déforme un enfant » se déclinait
dans la clinique sous de nombreuse : « on re-forme un enfant »,
« on transforme, on conforme... un enfant », « on séduit un
enfant », etc.
Sur la base de cette structure organisatrice, plusieurs questions
pouvaient être posées : à quelles représentations, à quels affects
et à quels mouvements régressifs renvoie la formation ? à la
formation de l’embryon (la fantasmatique de la formation a alors
pour scène et contenant le ventre maternel) ? à la formation
10 L E TRAVAIL PSYCHIQUE DE LA FORMATION
l’accompagnent.
Cet investissement narcissique de séduction mutuelle n’est
pas sans lien avec la dimension de l’incestualité dans le lien
de formation. P.-C. Racamier (1991) a défini l’incestuel comme
une relation narcissique associée à un attrait sexuel. Il le décrit
comme ce qui dans la vie psychique individuelle et familiale
« porte l’empreinte de l’inceste non fantasmé, sans qu’en soient
Rêver la forme
Rêver la forme parfaite, idéale, imaginaire, ou entrer dans le
cauchemar des désagrégations. Le processus de la formation,
pour mettre en œuvre des identifications structurantes et pour
s’engager dans un processus de subjectivation doit buter sur les
interdits et les désillusions maturantes, sur les limites au-delà
desquelles s’ouvrent alors les voies d’accès à la symbolisation,
aux différenciations majeures.
Ces découvertes, on s’en doute, ne furent pas sans susci-
ter entre nous des malaises et des replis. Elles exigèrent un
travail qui ne ménageait ni nos identifications héroïques, ni
nos fantasmes incestueux, ni nos connivences narcissiques. Il
nous fallait penser comment tous ces enjeux pulsionnels et
fantasmatiques de la formation sont mobilisés et mis en travail
dans les dispositifs groupaux que nous mettions en œuvre avec
une visée de formation. Nous prenions aussi la mesure que toute
formation s’inscrit à la fois dans des effets de subjectivation,
dans l’espace de l’intersubjectivité et dans celui des effets de
groupe, par exemple dans l’illusion groupale partagée, ou dans
des contrats narcissiques pathogènes.
Nous partagions cette idée à laquelle le dispositif de groupe
nous confrontait nécessairement : il n’y a pas de formation stric-
tement « individuelle », toute formation est multiréférentielle,
processuelle, conflictuelle, à l’épreuve de la double réalité de la
D ÉSIR DE FORMER , FORMATION PAR LE GROUPE ET TRANSMISSION... 13
Un modèle du groupe
dans la formation.
S UR LA SPÉCIFICITÉ DE LA FORMATION
À UNE FONCTION PSYCHANALYTIQUE
Au terme de ce chapitre, je voudrais reprendre et réélaborer
trois propositions que j’avais formulées il y a quelques années à
propos de la spécificité de la formation à la fonction psychana-
lytique lorsque celle-ci trouve son champ d’application dans le
travail en situation de groupe. J’y ajoute une note sur la position
du psychanalyste lorsqu’il exerce une fonction de formateur.
perverse.
Cette proposition introduite le second point sur lequel je vou-
drais attirer l’attention. Former, avons-nous dit, c’est transmettre
une formation, une forme et un processus. C’est une opération
qui ne s’anime que par les mouvements du transfert et du
DESTINS DE LA PERTE,
FORME(S) ET FORMATION
1. ...que je suis amené à questionner ici pour m’en être trouvé dans le passé
concerné, comme pour l’avoir constatée chez un certain nombre de collègues
de sociétés et de formations psychanalytiques diverses, et aussi bien chez des
personnes engagées dans différentes formations de « psychistes », comme
également dans notre formation de psychodramatistes du CEFFRAP.
40 L E TRAVAIL PSYCHIQUE DE LA FORMATION
qui les proposent, les refusent ou les réservent, les liens avec
les autres sujets groupés autour des mêmes objets, les liens à
l’institution hébergeant cette expérience, et favorisant ce qui lui
apparaît, après-coup, se révéler un mouvement subjectivant, ou
au contraire un assujettissement. C’est dans ce mouvement-là
que se met en place pour le sujet la capacité d’envisager les
enjeux existentiels de sa formation personnelle : par exemple et
entre autres, celui d’entrevoir la question de l’inconnu dans la
transformation subjective qui s’avère être au cœur de son propre
projet formatif.
B ILDUNG / TRAINING
Dans le monde de la psychanalyse, les conceptions de la
formation se sont originairement formulées en deux langues :
l’allemand et l’anglais. C’est d’elles dont nous héritons les deux
termes à travers lesquels ces conceptions se sont déployées, et,
au moins partiellement, actualisées. Dans la langue de Freud, de
Ferenczi, d’Abraham etc., la formation c’est la Bildung, dans
celle de Jones, de Glover, d’Anna Freud, etc. (pour ne citer que
ceux-là dans chacun des cas) la formation est presque toujours
un training1 , parfois une education. Mais Bildung et training
renvoient à une sémantique bien différenciée.
Bildung (dérivation de Bild, essentiellement : une « image »,
parfois une « forme ») nous arrive, pour dire vite, parée
de l’idéal formatif des philosophes allemands du XVIIe au
XIX e siècles. Elle descend de la mystique médiévale germanique,
où elle désigne un long effort personnel analogue à l’imitatio
Dei de la catholicité, évidemment dans un lien à un Vorbild,
un modèle de référence, un Mentor, un prototype sanctifié.
Mais par la suite, aux âges classique puis romantique, et enfin
pour les fondateurs de ce monument de civilisation que fut
1. ...Mémoire qui convoquera aussi, et bien que le temps ait passé, le souvenir
du caractère précisément tragique de la fin du premier de ces deux auteurs, en
regard du thème de cette étude, et notamment de ses dernières parties.
D ESTINS DE LA PERTE , FORME ( S ) ET FORMATION 55
qui est dans l’original tantôt Theorie, tantôt Lehre (« doctrine, enseignement »)
sous la plume de Freud. Ainsi écrit-il ici Neurosentheorie, et là Neurosenlehre,
ici Sexualtheorie, et là Sexuallehre. Au-delà de la thématique des schibboleth,
ou de celle des définitions programmatiques de la psychanalyse exposées
par Freud lui-même, on ne s’est pas encore (me semble-t-il) interrogé avec
précision sur l’arrière-plan rhétorique, ni donc fantasmatique, ni groupal
ou encore politique de tels choix lexicaux, bien que parfois d’autres textes
contemporains ou les travaux historiographiques nous en donnent quelque
idée.
60 L E TRAVAIL PSYCHIQUE DE LA FORMATION
DE L’ASSUJETTISSEMENT
À LA SUBJECTIVATION
DANS LE TRAVAIL
PSYCHIQUE GROUPAL
« Tant qu’il n’a pas été analysé dans une cure elle-même indi-
viduelle, le fantasme individuel altère ou paralyse la perception
et l’intelligence de tout ce qui se rapporte au fonctionnement de
l’appareil psychique » (Anzieu, 1973, p. 93).
p. 52).
Il poursuit :
I LLUSTRATION DE L’ ASSUJETTISSEMENT
AU GROUPE OU À SOI - MÊME
Nous relatons ici un groupe de formation au CEFFRAP, dit
groupe avec psychodrame, en session de quatre jours avec A.-M.
Blanchard : il y a onze participants.
Une thématique commune retient notre attention curieuse-
ment liée à des souvenirs de vacances ou au travail des parents
dans un monde rural, il y est question du sacrifice nécessaire
des animaux pour les consommer, pour les manger. Les cris
des bêtes qu’on tue et le silence après leur mort évoquent Le
Silence des agneaux, le film (Denne, 1990) d’après le roman de
T. Harris (1988), le traumatisme de l’enfant identifié à l’animal
sacrifié, en danger dans le monde des adultes cruels et barbares,
ou identifié au parent en danger lors des disputes violentes
du couple parental. Le désir de déjouer ou de rompre une
chaîne, une filiation pathologique a amené certains participants
à renoncer à avoir un enfant. Transmettre dans une filiation
comporterait le risque de répétition intégrale plus que l’espoir
de transformer.
Un jeu est proposé à la troisième séance de cette session :
un groupe de naufragés sur une île déserte doit subvenir à ses
besoins de nourriture de manière crue en tuant des animaux,
car n’y est plus, le supermarché avec ses produits enveloppés et
aseptisés. Il s’agit de chasser un porc sauvage ou un sanglier ou
un métis. Une participante Anne prend le rôle du porc chassé.
Dunod – La photocopie non autorisée est un délit
C ONCLUSION
Nous formateurs sommes ignorants du groupe qui va commen-
cer. Cependant nous sommes dans un avant, le contre-transfert
précédant la rencontre avec le patient, avec le groupe, avec ce
que nous sommes, et le corpus théorique qui nous habite.
Nous connaissons le dispositif mis en place, les règles énon-
cées qui permettent au groupe de fonctionner. Nous le connais-
sons, nous l’avons intégré au cours de nos expériences de groupe
comme participants, puis comme formateurs.
Nous nous soumettons à ces règles comme les participants,
en lien avec notre association de formation. L’intertransfert
nous lie avec notre co-formateur, dans un registre de nécessaire
D E L’ ASSUJETTISSEMENT À LA SUBJECTIVATION 77
DU PLAISIR
ET DE LA SOUFFRANCE
DANS LA FORMATION
Par Nadine Vander Elst et Guy Gimenez
I NTRODUCTION
Lorsqu’on parle de formation, il est classique d’évoquer le
Dunod – La photocopie non autorisée est un délit
S ÉQUENCES CLINIQUES
L’exemple clinique que nous allons présenter provient d’un
séminaire résidentiel, dispositif qui permet à une trentaine de
participants de faire une expérience du groupe, en groupe, dans
un dispositif qui alterne les séances de petits groupes (en général
trois) d’une dizaine de participants et de deux psychanalystes
– avec des jeux psychodramatiques dans les petits groupes –
et des séances en grand groupe de l’ensemble des participants
et des six psychanalystes, là sans psychodrame. Ce séminaire
dure cinq jours. Pour rappel, les jeux psychodramatiques, dans
nos dispositifs, sont élaborés à partir d’un scénario qui est
une construction groupale et joués par ceux des participants
qui le désirent et éventuellement par un des deux psycha-
nalystes. Chacun lorsqu’il prend un rôle choisit une identité
imaginaire, qui se traduit concrètement par le choix d’un statut
social/professionnel, d’une place dans la famille, d’un prénom
et d’un âge fictifs.
D U PLAISIR ET DE LA SOUFFRANCE DANS LA FORMATION 81
Commentaire
On voit bien, dans ce scénario, que la violence initiale repérée
dans le groupe à travers la production de rêves et les histoires
de vies évoquées dans le groupe (agression, intrusion, viol) se
figure dans le vol d’objets fondateurs que chacun semble vouloir
Dunod – La photocopie non autorisée est un délit
Commentaire
L’approche de la fin de la formation réactive chez les parti-
cipants la question de leur demande, de leur désir, du chemin
parcouru ensemble, mais aussi peut-être la question du deuil
qu’ils auront à faire du groupe qui va bientôt s’arrêter. Est ainsi
figurée, en miroir, dans la proposition de jeu, la situation même
de la formation : le départ ensemble, le fait de perdre ses repères
et de devoir affronter les angoisses archaïques de « se perdre »,
D U PLAISIR ET DE LA SOUFFRANCE DANS LA FORMATION 83
Commentaire
L’intervention de la psychodramatiste, liant ce qui vient d’être
joué et le vécu actuel du groupe, a valeur d’interprétation : il
figure l’accueil (accueil dans la maison-institution) du groupe
(l’expédition) et de chacun et répond au mouvement de pertur-
bation lié à la situation de groupe de formation (perdus dans la
84 L E TRAVAIL PSYCHIQUE DE LA FORMATION
constituer un modèle.
Voici ce que nous repérons de façon spécifique dans les
formations au CEFFRAP.
C ONCLUSION
Nous avons tenté de montrer, à partir d’une situation clinique
issue d’une session de formation par le psychodrame psychana-
lytique de groupe, que le plaisir et la souffrance font intimement
partie de l’expérience formatrice.
DU GROUPE AU DIVAN
FAUTEUIL
En quoi l’expérience psychanalytique du groupe
et du psychodrame modifie-t-elle l’économie de l’écoute
et du travail interprétatif dans la clinique de la cure
individuelle ?
: « Le travail psychique de
L ORS DU COLLOQUE INTITULÉ
la formation, entre aliénation et transformation », des psy-
chanalystes de générations et d’appartenances analytiques dif-
férentes1 ont travaillé en table ronde autour de questions qui
L ES SPÉCIFICITÉS DE L’ EXPÉRIENCE
PSYCHANALYTIQUE DE GROUPE ET
DU PSYCHODRAME PSYCHANALYTIQUE
Dans le travail analytique groupal (Kaës, Missenard et al,
1999), les membres du groupe se retrouvent face à des souve-
nirs, des inquiétudes, voire des angoisses, qui sont réactualisés
tout autrement que dans un cadre analytique individuel. Cette
expérience psychanalytique, du fait de la précarité identitaire,
de l’intensité des mouvements régressifs et de l’ébranlement
des assises narcissiques qu’elle peut générer, place les sujets
dans une économie psychique spécifique. Elle confronte tout un
chacun – analystes et participants – à l’inconnu de soi, de l’autre
et du groupe. Elle engage la pluralité à l’intérieur de soi.
Ces différents mouvements mobilisent les participants d’un
groupe particulièrement dans son temps inaugural. A. Missenard
(1972) a ainsi conceptualisé la mise en œuvre d’un processus
d’identification « en urgence » entre les sujets d’un groupe, en
réponse à ce moment d’indifférenciation originaire. Pour R Kaës
(2002, p. 103) :
de clivage), résultat d’un conflit qui divise le Moi entre son auto-
conservation et les parts de lui-même qu’il va devoir abandonner...
pour réaliser le désir d’être intégré à un groupe uni. »
culpabilité.
son père qu’il n’a jamais revu, et son accueil par sa famille
maternelle. Le nom de son père a été, dit-il : « effacé ». Des
parcours formatif.
Des questions telles que le respect du cadre et la place de
l’argent sont sous-tendues par « des positions inconscientes qui
sont aussi le fruit de la rencontre, au niveau intrapsychique, de
l’histoire institutionnelle et de l’histoire de chacun, analyste et
patient » (Frisch, Bleger, Sechaud, 2010, p. 117).
Les dispositifs groupaux mettent ainsi en lumière la part
d’identité archaïque et les contrats narcissiques que chacun
inscrit au sein de ses propres institutions familiales, sociales,
professionnelles... et également les sociétés d’appartenance
118 L E TRAVAIL PSYCHIQUE DE LA FORMATION
C ONCLUSION
Prise et déprise, liaison et déliaison, plongée dans l’inconnu et
remontée vers la représentation sont autant d’expériences vécues
par l’analyste dans le jeu psychodramatique et dans le groupe.
Nous avons ici tenté de spécifier le bénéfice de telles expériences
Dunod – La photocopie non autorisée est un délit
LA POSITION
DU PSYCHANALYSTE
DANS UNE FONCTION
DE FORMATEUR
A B EJARANO 6
Bildung 41, 52
A BRAHAM 52, 54
B ION 18, 81, 86
accompagnement en position méta
22 B LEGER 117
adolescence 11
affiliation XIX, 10, 27, 32, 61, 80,
C
86, 91, 116
agir en séance 113 C ASEMENT 88
aliénation XVII, XVIII C ASTORIADIS -AULAGNIER 32
allégeance 56 ce qui se transmet dans la
alliances défensives 20 formation 24
alliances inconscientes 16, 17, contrat narcissique 10, 12, 20, 26,
20–22, 76, 103, 106, 109, 110, 27, 32, 33, 118
112, 118, 119, 122 critiquer l’idéologie de l’intégration
Dunod – La photocopie non autorisée est un délit
F H
fantasmatique de la formation 9, 10 héritage 86
F ERENCZI 52, 54 H ÉRY 27, 81
filiation 85, 87, 91 H IRSCH 126
fin impossible 38, 39 histoire du CEFFRAP 1, 4
F LAMENT 5
fonction de référence 127
fonctions de l’institution 27
I
formand 47, 55, 57, 59, 60 idéal du Moi 67, 69
formation à une tâche 14 idéalisation 122
I NDEX 137
R
T
R ACAMIER 11
R ANK 48 théorie de la Forme 5, 30
rapports de similitude et de T OROK 54
différence entre formation et training 41, 52
psychothérapie 24 training-group 5
réaction formative négative 34 transfert 66, 67, 69, 75
réalisation immédiate des désirs 31 transformation XVIII, 67, 70
reconn-essence 56, 61 transmission XVII, XIX, 80, 85, 87,
reconnaissance 15, 23, 26, 30, 32, 92
33, 61, 86, 87, 118, 119, 121, transmission des savoirs
122 psychanalytiques 127, 128
référence psychosociale 6 transmission transgénérationnelle
répétition 67, 71, 72, 75 108
reproduire et/ou transformer 25 trauma 96
résistances au travail travail analytique groupal 96
psychanalytique en situation travail de l’originaire 92
de groupe 3 travail de la perte 48, 54, 62
rêve 96 travail de subjectivation 102
rêver la forme (idéale) 10–12 travail des pulsions 10
R ICŒUR 26 travail psychanalytique dans la cure
ROUSSILLON 88, 89 et dans le groupe 16
I NDEX 139
V
VALABREGA 58 W
valeur structurante du contrat
narcissique 14 W INNICOTT 88