Vous êtes sur la page 1sur 10

OSEM3 - Induction électromagnétique

Capacités exigibles
 Evaluer le ux d'un champ magnétique uniforme à travers une surface s'appuyant sur un contour fermé orienté
plan.
 Utiliser la loi de Lenz pour prédire ou interpréter les phénomènes physiques observés.
 Utiliser la loi de faraday en précisant les conventions d'algébrisation
Introduction
Nous venons de voir qu'un circuit électrique peut être soumis à des forces d'origine électromagnétique, les forces de
Laplace si :
 Ce circuit est parcouru par un courant électrique
 une partie ou l'ensemble du conducteur est soumis à un champ magnétique extérieur souvent noté B⃗ ou B⃗ .
0 ext

Nous allons étudier dans ce chapitre les principes physiques sous jacents au fonctionnement :
 des alternateurs
 du freinage électromagnétique
 d'une dynamo
 des moteurs électriques
 etc....
qui reposent tous sur la notion d'induction électromagnétique.
1 Quelques expériences introductives

1.1 Le principe du four à induction


Approche documentaire
Voir la vidéo http ://www.youtube.com/watch?v=fwj8-0B1tUw
Questions
1. Comment expliquer que le métal chaue lorsqu'on le met au sein d'un bobinage parcouru par un courant alternatif?
Lorsque le métal est placé dans le bobinage, on observe avec l'ampèremètre qu'un courant le parcourt : on appelle ce
courant un courant induit ou courant de Foucault. Le métal chaue alors simplement par eet Joule, car, métal ayant
une résistance électrique R, la puissance thermique dissipée par eet Joule est égale à P = RI .
J
2

2. Quels sont les ingrédients qui créent un courant induit dans le métal?
On observe que le courant qui traverse le bobinage doit être alternatif car, dans le cas d'un courant continu même fort,
il n'y a pas de courant induit et donc pas chauage du métal. C'est donc un champ magnétique variable au cours du
temps qui crée un courant induit et donc le chauage du métal.
Que retenir ?
On peut former un courant électrique induit dans un conducteur si on place ce conducteur dans un champ magnétique
variable au cours du temps. Dit autrement, on peut créer de l'induction avec un circuit électrique xe dans un champ
magnétique variable.
1.2 Le freinage par induction
https ://www.youtube.com/watch?v=AmCx172SmmI
Approche documentaire
Voir la vidéo http ://www.youtube.com/watch?v=AmCx172SmmI
Description de l'expérience
Deux bobines reliées à un générateur de courant continu créent un champ magnétique permanent (c'est à dire qui ne
varie pas dans le temps).
Lorsqu'un pendule métallique oscille dans ce champ magnétique , il est rapidement ralenti. C'est le freinage par induction
notamment utilisé dans les TGV.
Interprétation
Dans le référentiel du pendule, les électrons du métal "voient" un champ magnétique variable dans le temps, en raison du
mouvement du pendule par rapport aux bobines. Ainsi, dans le référentiel du pendule, on se retrouve dans une situation
similaire à celle du four à induction. Par conséquent, un courant induit va apparaître dans le pendule. Ce courant induit,
en présence du champ magnétique permanent créé par les bobines, donne naissance à des forces de Laplace qui ici freinent
le pendule.
Que retenir ?
Un circuit mobile dans un champ magnétique permanent conduit à l'apparition de courants induits.
Conclusion expérimentale
L'apparition de courants induits dans un conducteur se produit :
 si le circuit est mobile est dans un champ magnétique permanent, c'est à dire indépendant du temps.
 si le circuit est xe dans un champ magnétique dépendant du temps.
1.3 Notion de f.e.m d'induction
Nous venons de voir sur deux expériences des exemples concrets de manifestations de l'induction électromagnétique.
L'induction se traduit, comme on l'a vu, par l'apparition de courants induits dans un circuit électrique uniquement si il
y a présence d'un champ magnétique (variable dans le temps pour un circuit xe, champ magnétique variable dans le
temps pour un circuit mobile).
Ainsi, en présence d'induction, tout se passe comme si un générateur apparaissait dans le circuit induit. La f.e.m associée
est appelée f.e.m d'induction.
f.e.m d'induction et schéma électrique équivalent
Une fem d'induction e peut apparaître dans un circuit électrique dans deux cas :
 si un circuit xe est placé dans un champ magnétique variable
 si un circuit mobile est placé dans un champ magnétique permanent
Cette f.e.m est représentée par un générateur de tension idéal e qui va apparaitre dans le circuit, par eet d'induction.
A ce moment, le circuit électrique devient donc équivalent à un générateur idéal de tension de fem e(t), source d'un
courant d'intensité i(t) dénie par i(t) = , avec R la résistance électrique du circuit. On schématise ainsi le circuit
e(t)

comme suit : R

1.4 Loi de modération de Lenz


Capacités exigibles
Utiliser la loi de Lenz pour prédire ou interpréter les phénomènes physiques observés
Retour sur le four à induction
Dans l'expérience du four à induction, un courant induit apparaît dans le métal, en présence d'un champ magnétique
variable. Une analyse plus ne, que nous ferons par la suite, montrerait que le courant induit produit un champ magnétique
propre qui s'oppose au champ magnétique extérieur. Plus précisément, le courant induit tend à faire diminuer la variation
du champ magnétique B⃗ qui lui a donné naissance. Dit autrement, la conséquence (champ magnétique créé par les
courants induits) s'oppose à la cause (variation du champ magnétique de la bobine).
Retour sur l'expérience du freinage par induction
Dans cette expérience, le mouvement du pendule est la cause de l'apparition de courants induits dans ce dernier. Le
courant induit s'oppose à la cause qui lui a donné naissance en s'opposant à cette cause, c'est à dire en s'opposant à ce
mouvement, ce qui créé le freinage.
Loi de modération de Lenz
Le courant induit qui apparaît dans un circuit tend, par le champ magnétique qu'il créé, à s'opposer aux causes qui lui
ont donné naissance. Plus précisément, le courant induit dans un circuit tend, par le champ magnétique qu'il créé, à
modérer la variation du champ magnétique qui lui a donné naissance.
2 Loi fondamentale de l'induction

Maintenant que nous avons déni les deux situations limites de manifestation de l'induction, nous allons maintenant
nous interesser à la façon d'évaluer la fem d'induction d'un circuit et ainsi schématiser un circuit électrique où prend
place l'induction par un schéma électrique équivalent.
2.1 Notion de ux d'un champ magnétique
Capacités exigibles
Evaluer le ux d'un champ magnétique uniforme à travers une surface s'appuyant sur un contour fermé orienté plan.

2.1.1 Dénition
A tout instant t , nous pouvons associer à une surface plane Σ et à un champ de vecteurs B⃗ , supposé uniforme sur Σ,
la quantité algébrique Φ dénie par :

Φ(t) = B(t).S⃗
n = B(t)S cos α

où ⃗n est un vecteur unitaire normal (cad perpendiculaire) à la surface orientée Σ. L'angle α est l'angle entre le vecteur

B et ⃗n.
On appelle Φ le ux du champ magnétique à travers la surface Σ plane et orientée. Par défaut et convention, la surface
Σ est orientée dans le sens direct par rapport au contour C sur lequel elle s'appuie, qui correspond au sens obtenu avec
la main droite selon la règle du "tire bouchon" ou "la règle du pouce de la main droite".

l
L'unité d'un ux est le weber.
Conséquences directes
Si le champ magnétique varie dans le temps, le ux du champ magnétique à travers toute surface fermée Σ est également
dépendant du temps.
2.1.2 Interprétation du ux magnétique
 L'intensité du ux magnétique est d'autant plus importante que le champ magnétique est important sur la surface
Σ, que l'aire de Σ est importante et que Σ est orientée perpendiculairement au champ magnétique.
 Le signe du ux est positif si les vecteurs B⃗ et ⃗n forment un angle inférieur à , donc si les lignes de champ
π

magnétique traversent Σ dans le sens de ⃗n ; il est négatif si l'angle entre B⃗ et ⃗n est compris entre et π, donc si
2
π

les lignes de champ magnétique traversent Σ dans le sens "opposé" à ⃗n. 2


2.1.3 Flux magnétique à travers une bobine ou un solénoïde de N spires
Si l'on considère le ux magnétique à travers une bobine plate de N spires ou à travers une solénoïde épais de N spires,
on simpliera le porblème et nous considèrerons que le ux magnétique global est égal à N fois le ux à travers une seule
spire du système. Cette simplication revient à dire que tout se passe comme si, dans la bobine et le solénoïde, les N
spires étaient exactement identiques et parallèles les unes par rapport aux autres.
On obtient que le ux global de B⃗ s'écrit
Φ(t) =
P
Φ (t) = N × Φ
spire k une spire
⃗ n).
= N × B.(S⃗
k

2.1.4 Bilan sur le calcul du ux d'un champ magnétique à travers une surface S
On va généraliser l'expression du ux⃗ d'un champ magnétique uniforme à l'expression du ux d'un champ magnétique
non uniforme à travers une surface S = S⃗n.
Méthode de calcul d'un ux du champ B⃗ non uniforme à travers un circuit de contour C
 On oriente arbitrairement le circuit et son contour C . Cette orientation permet de dénir le sens de l'intensité
i.
 On dénit la normale ⃗n du contour C dans le sens correspondant à celui donné par la règle du tire bouchon (ou
par le pouce de la main droite). Ainsi, la normale ⃗n et son sens dépendent de l'orientation du contour (C) du
circuit induit.
 On considère une surface élémentaire dS associée au⃗circuit induit , représentée par un vecteur
dS = dS⃗n
avec ⃗n le vecteur unitaire normal à la surface . ⃗
 On dénit le ux élémentaire du champ magnétique B à travers une surface⃗ élémentaire dS⃗ . Cela donne
dϕ = B.dS = BdS cos α , avec α l'angle entre B et ⃗n.
⃗ ⃗
 On calcule le ux total de B⃗ à travers la surfaceR ⃗S du⃗ circuit
R par
ϕ= B.dS = BdS cos α

2.2 Approche expérimentale du phénomène d'induction


2.2.1 Induction par un aimant mobile
On branche une bobine ou un solénoïde sur un galvanomètre (ampèremètre) et on passe à travers la bobine un aimant.
Plus précisément, on approche un aimant droit de cette bobine le long de son axe.

l
On peut faire plusieurs observations expérimentales :
 En l'absence d'aimant ou si l'aimant est immobile, aucun courant n'est perceptible dans la bobine (1ère photo)
 Lorsque nous approchons l'aimant et tant qu'il est en mouvement, il apparait un courant dans la bobine (2ème
photo) ce qui se traduit par une déviation de l'aiguille du galvanomètre vers la gauche.
 Lorsqu'on recule rapidement l'aimant , il apparait de nouveau un courant dans le bobinage (déviation de l'aiguille
du galvanomètre) mais dans le sens inverse par rapport à ce qui avait été observé pendant la phase d'approche
de l'aimant.
 On observe les mêmes phénomènes que précédemment si on approche puis recule l'aimant mais en inversant la
position des pôles de l'aimant. Pendant la phase d'approche, un courant apparait alors mais avec une déviation
de l'aiguille vers la droite, puis l'inverse dans la phase de recul de l'aimant.
Interprétation
Un champ magnétique permanent n'a pas d'eet électrique sur un circuit. En revanche, un champ magnétique variable
au voisinage d'un circuit provoque l'apparition de tensions au sein du circuit et donc d'un courant si le circuit est fermé :
C'est l' induction magnétiqueet le courant qui apparaît dans le circuit est le courant induit. La tension qui apparaît
aux bornes de la bobine est la force électromotrice induite ou encore la f.e.m induite.
2.2.2 Induction par un circuit électrique
Précédemment, nous avons vu qu'il susait, pour créer de l'induction (et un courant induit) dans un circuit électrique,
de plonger ce circuit dans un champ magnétique variable. Nous avons jusqu'à présent créé ce champ magnétique variable
avec un aimant en mouvement. Or un aimant n'est pas le seul moyen de créer du champ magnétique (cf chapitre 1). En
eet, on sait qu'un bobinage parcouru par un courant continu crée un champ magnétique permanent. Si on alimente le
bobinage par un courant alternatif , le champ magnétique créé dans le voisinage sera dépendant du temps.
Ainsi, il est certainement possible d'induire un courant électrique (induction) dans un circuit électrique fermé, si ce
dernier est placé dans le voisinage d'un champ magnétique variable créé par un bobinage alimenté en courant alternatif.
Expérience
Si on met côte à côte deux bobines dont la première est alimentée par un GBF (signal sinusoidal choisi) et la seconde
connectée à un oscilloscope, on observe que :
 lorsque les deux bobines sont éloignées l'une de l'autre, aucune tension n'est observée au secondaire
 lorsqu'on rapproche les deux bobines, il apparait une tension au secondaire, sinusoidale et de même fréquence que
celle du GBF apparaissant au primaire
 la fem induite au secondaire est notable uniquement si les bobines sont proches et si leurs axes sont parallèles.
Dans le cas où leurs axes sont perpendiculaires, il n'apparait aucune fem induite ni courant induit même si les
bobines sont très proches l'une de l'autre.
 lorsque la distance entre les bobines devient importante, nous pouvons retrouver une forte fem induite au secon-
daire en introduisant entre les deux bobines un noyau de fer doux : il s'agit d'un barreau ferromagnétique ayant
pour propriétés d'intensier le champ magnétique qui le traverse et de canaliser les lignes de champ.
Principe de l'induction par un circuit électrique
Un circuit électrique parcouru par un courant variable crée un champ magnétique variable en soin voisinage et est donc
source d'induction pour tout circuit se trouvant à proximité . Le circuit qui crée le champ magnétique variable est
appelé l'inducteur ; le circuit sans générateur où apparait le courant induit est appelé l'induit.
C'est le ux magnétique créé par l'inducteur à travers l'induit qui crée l'induction. On peut intensier ce
ux et le canaliser par un élément ferromagnétique.
2.2.3 Notion d'inductance mutuelle et d'autoinduction
Inductance mutuelle entre deux circuits
Lorsque deux circuits électriques se rouvant à proximité l'un de l'autre sont parcourus par des courants variables, quels
qu'ils soient, ils s'inuencent mutuellement par induction. Cela veut dire que le ux magnétique créé par le circuit 1 à
travers le circuit 2 crée de l'induction au niveau du circuit 2 et vice-versa.
On parle alors d'induction mutuelle entre les deux circuits. C'est le ux magnétique créé par chaque circuit à
travers l'autre qui est à l'origine de cette induction mutuelle.
Auto-induction : Le principe
Dans un circuit présentant un bobinage, le ux magnétique propre c'est à dire le ux magnétique créé par le circuit
à travers lui-même est non négligeable. En régime variable (cad dépendant du temps), la variation de ce ux conduit
à l'apparition de courants induits et d'une fem induite dans le circuit lui-même : on parle d'auto-induction. C'est ce
phénomène qui est modélisé en électrocinétique par le dipole appelé "inductance" .
2.3 Lois fondamentales de l'induction
2.3.1 Observations expérimentales
Reprenons les expériences réalisées lorsque l'on approche l'aimant du bobinage et que l'on observe l'apparition de courants
induits et d'une fem d'induction aux bornes du bobinage. Une étude expérimentale plus approfondie montre que :
 Si l'on inverse le sens des pôles de l'aimant en phase d'approche et de recul, on observe les mêmes phénomènes
mais avec un chamgement de signe des courants induits et de la fem d'induction.
 Si on incline l'axe de la bobine par rapport à l'aimant , on constate que la fem induite et les courants induits
diminuent , en valeur absolue. Elle nit même par s'annuler quand on approche l'aimant perpendiculairement à
l'axe de la bobine.
 Si on diminue la taille de la bobine, les eets induits diminuent en valeur absolue.
=⇒ Ces observations convergent vers l'idée que la f.e.m induite est directement liée aux variations du ux magnétique
à travers le circuit
2.3.2 Loi de Faraday
Ce sont les variations du ux du champ magnétique à travers le circuit , c'est à dire à travers la surface s'appuyant sur
le contour fermé du circuit, qui sont responsables de la f.e.m induite.
La force électromotrice e(t) induite dans un circuit sous l'eet d'un champ magnétique B⃗ variable est
l'opposé de la dérivée temporelle du ux magnétique Φ(t) à travers le circuit soit
e(t) = − dΦ
dt

Le phénomène d'induction est ainsi fondamentalement lié aux variations du ux magnétique.
Régles d'algébrisation et d'orientation
Les grandeurs e et Φ étant algébriques, il faut être prudent dans la façon dont on utilise les conventions. Il faut :
 que le sens algébrique de e soit le même que le sens d'orientation du circuit induit C et donc que le sens algébrique
de i. Cela revient à prendre la convention générateur pour la fem.
 Le sens de la normale ⃗n dénissant Φ est le sens direct relativement à l'orientation de (C); il s'obtient à partir
de la règle du tire-bouchon ou du pouce de la main droite.
Circuits électriques équivalents et f.e.m induite
Une portion de circuit AB de résistance R et de fem d'induction e est soumis à la loi d'Ohm généralisée soit
UAB = e − Ri

On se placera toujours pour le générateur de fem e , en convention générateur, c'est à dire dans le même sens que i
induit.
Cela donne le schéma électrique équivalent :
2.3.3 Lois de Lenz
Toutes les expériences réalisées en inductions montrent que les eets induits vérient la loi de modération de Lenz
Enoncé :
" Un phénomène d'induction tend toujours, par ses conséquences, à modérer les variations du ux magnétique qui l'ont
engendré" .
ou encore
" Les eets produits par un phénomène d'induction s'opposent toujours à leurs causes"
Application : Approche et recul d'un aimant dans la direction d'une spire fermée.
Capacités exigibles
Utiliser la loi de Faraday pour prédire ou interpréter les phénomènes physiques observés, en précisant les conventions
d'algébrisation
3 Exercice d'application : Plaque à induction

Pour comprendre le fonctionnement du chauage à induction, on modéliser la casserole par une spire immobile, circulaire
de rayon a et de résistance R, placée dans un champ magnétique B⃗ = B cos(ωt)⃗e . Le champ B⃗ est orthogonal à la
surface formée par la spire.
0 z

Questions
1. Calculer le ux de B⃗ à travers la spire. On précisera les conventions choisies.
Capacités exigibles
Évaluer le ux d'un champ magnétique uniforme à travers une surface s'appuyant sur un contour fermé orienté plan.
2. Déterminer la fem d'induction dans la spire.
Capacités exigibles
Utiliser la loi de Faraday pour prédire ou interpréter les phénomènes physiques observés, en précisant les conventions
d'algébrisation
3. Déterminer le courant circulant dans la spire.Comment est modié le résultat si on modélise la casserole par une
bobine constituée de N spires?
4. Montrer que le résultat précédent peut s'interpréter à partir de la loi de Lenz.
Capacités exigibles
Utiliser la loi de Lenz pour prédire ou interpréter les phénomènes physiques observés
5. Exprimer la puissance de chauage de cette plaque?
6. Justier la présence du convertisseur de fréquence présent dans la plaque?

Vous aimerez peut-être aussi