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Lundi 9 Novembre Heejung Ko

Fiche de lecture
Titre: L’homme qui plantait des arbres

Les références précises de l’œuvre

L’auteur: Jean Giono

L’auteur de ce livre s’appelle Jean Giono. Il est né le 30 mars 1895 et mort le 9


octobre 1970. Il est né, il a vécu, et il est mort à Manosque. Il est écrivain, et
scénariste français. La nature provençale tient une grande place dans ses livres.
Il va travailler dans une banque à cause de la pauvreté, et par conséquent, il
arrête ses études en 1911, à 15 ans. Il apprend seul de manière autodidacte. La
1ère guerre mondiale éclate et il est mobilisé. Il revient de la guerre choqué à la
mort de son ami, et devient pacifiste convaincu. Son premier est Colline, écrit en
1929. Jean Giono est emprisonné puis relâché au début de la seconde guerre
mondiale. Ses livres les plus connus sont Les âmes fortes (1950), l’histoire sur le
toit (1953) et l’homme qui plantait des arbres (aussi en 1953). Le livre L’homme
qui plantait des arbres a été traduit en 13 langues. Il s’intéresse au cinéma, et il
écrit les scénarios des films comme Crésus, et L’eau vive.

Editeur : Gallimard Jeunesse

Collection : Folio Cadet – premiers Romans

Date de la publication : La première parution était en 1983.

La rédaction de la fiche

Thème principal
Le thème principal de ce roman est l’environnement puisque le livre raconte
l’histoire d’un berger qui veut protéger la nature et l’environnement. Celui-ci a
planté des arbres pendant trois ans. Il n’a fait cela pour personne, sans être
récompensé par quelqu’un. Il plante des arbres pour protéger et sauver
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l’environnement, et aussi pour que la nature reprenne ses droits et que l’homme
puisse revenir vivre dans des endroits désertés.

Cadre spatio-temporel
L’histoire se passe au 20e siècle entre 1913 à 1947 en Provence entre Mirabeau
et Sisteron, entre les plaines du mont Venaissin et le Mont-Ventoux. Il s’agit de
toute la partie nord du département des Basses-Alpes, le sud de la Drôme et une
petite enclave du Vaucluse. L’histoire se finit avec la mort du personnage.

Résumé
C'est l'histoire d'un narrateur qui rencontre en faisant une randonnée un berger
qui s'appelle Elzéard Bouffier. Le berger vit tranquillement dans sa maison de
pierre avec son chien et son troupeau de moutons. Elzéard passe toutes ses
soirées à trier et sélectionner des centaines de glands. Le jour suivant, il va les
planter soigneusement. Il explique au narrateur qu'il fait cela depuis 3 ans et
qu'il en a planté cent mille. L'endroit étant désert il pense qu’il y en a maintenant
au moins dix mille. Cinq ans après, pour éviter que les moutons ne lui broutent les
arbres, Elzéard se met à l'apiculture. Les arbres sont devenus une forêt, qui a
amené la pluie. Le narrateur rend visite au berger une dernière fois en 1945
quand le planteur a 87 ans. En 1947, Elzéard Bouffier meurt à l'hospice de
Banon.

Personnages
Il y a deux personnages principaux : le narrateur et le berger, Elzéard Bouffier.
D’abord, le narrateur de cette histoire est anonyme. Il raconte l’histoire quand il
rencontre Elzéard et il raconte cette histoire des années après la mort de celui-
ci. Il rend visite au berger plusieurs fois. Il le respecte et est ému par Elzéard
qui se sacrifie pour la nature.

Le berger s’appelle Elzéard Bouffier, et il a 87 ans quand il meurt. Il avait une


femme et un fils mais il les a perdus. Il possède une ferme et vit avec son chien
et les brebis qu’il possède. Cela fait trois ans qu’il plante des arbres tout seul. Il
est généreux, car il plante les arbres pour que la forêt repousse et il fait cela
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sans être récompensé. Et des années plus tard, son sacrifice change la vie des
hommes, quand le narrateur revient.

Les différents thèmes abordes sont la citoyenneté, l’écologie, l’altruisme, et


l’homme et la nature, puisque le berger se sacrifie tout au long de sa vie pour
planter plus de cent milles arbres pour préserver la nature et pour le bonheur
des autres qui vont venir habiter dans le pays aride un jour.

Dénouement
L’auteur choisit une histoire courte et simple pour faire passer un message. Ce
livre est un conte philosophique, et l’auteur critique la société, et dans ce livre, il
y a le message antimilitariste. C’est aussi un conte écologiste, car il y un message
de l’auteur pour sauver et protéger la nature et l’environnement. Jean Giono
défend la nature.

De plus, il y a plein de descriptions sur le berger, le ciel, les montagnes, les


maisons, et la ville, et beaucoup de détails qui nous font facilement imaginer le
cadre de l’histoire.

L’intérêt de l’œuvre, et l’originalité


Ce livre est à la fois un conte écologique et philosophique qui a une morale avec
une histoire délicate.

Avis
Tout d’abord, ce livre m’a beaucoup plu car c’est une belle histoire qui parle d’un
homme qui se sacrifie en plantant des arbres pour le bien de l’humanité. Cela
explique comment l'homme peut changer l’environnement, accomplir aussi des
choses, et cela nous pousse à respecter la nature. Cette nouvelle ouvre le cœur
de l'homme envers la nature, avec beaucoup d'espoir.

Ensuite, Le livre est facile à lire parce que le vocabulaire est assez simple. De
plus, comme il y a des beaux dessins, l’histoire n’est jamais ennuyeuse. J’ai aussi
aimé l’épaisseur du livre ; il est court, donc l'histoire ne semble pas longue.
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Pour conclure, je voudrais conseiller ce livre aux personnes qui aiment la nature,
mais aussi pour les personnes qui ne respectent pas l’environnement, qui ne se
soucient pas de la nature.

L’extrait qui représente l’œuvre

« Tout était changé. L'air lui-même. Au lieu des bourrasques sèches et brutales
qui m'accueillaient jadis, soufflait une brise souple chargée d'odeurs. Un bruit
semblable à celui de l'eau venait des hauteurs : c'était celui du vent dans les
forets. Enfin, chose plus étonnante, j'entendis le vrai bruit de l'eau coulant dans
un bassin.

Il n'a fallu que les huit ans qui nous séparent de cette époque pour que tout le
pays resplendisse de santé et d'aisance. Sur l'emplacement des ruines que
j'avais vues en 1913, s'élèvent maintenant des fermes propres, bien crépies, qui
dénotent une vie heureuse et confortable.

Les maisons neuves, crépies de frais, étaient entourées de jardins potagers ou


poussaient, mélangés mais alignés, les légumes et les fleurs, les choux et les
rosiers, les poireaux et les gueules-de-loup, les céleris et les anémones. C'était
désormais un endroit ou l'on avait envie d'habiter. »

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