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Question 1 :

L’homme au travail est paresseux, il n’aime pas prendre des initiatives : il ne va travailler que s’il est
intéressé, et par la crainte de la sanction. Taylor et les autres vont compléter en disant que les conditions
matérielles seules vont augmenter la productivité.

Question 2 :

La productivité augmente dans les deux groupes : c’est le facteur humain qui joue. Celui explique que la
productivité continue à augmenter lorsqu’on fait baisser la lumière. Il y a un biais à l’analyse taylorienne
commandée par la WEC (western electric compagny) :

Question 3 :

L’homme au travail est considéré comme un simple facteur de production. Selon Mayo, l’homme aime le
travail et les responsabilités si les conditions de travail s’y prêtent (c’est la naissance de la GRH qui va
supplanter la fonction personnelle dans les entreprises).

Question 4 :

Les bonus, le report gratuit, les samedis de congés montrent l’attention que la direction et donc l’entreprise
porte à ses ouvrières, ce qui explique l’augmentation de la productivité car les ouvrières voient leurs
différents besoins satisfaits, et que le fait de supprimer ces avantages baisse peu la productivité car
l’organisation en groupe a été conservée (dans le taylorisme, il n’y aurait pas de groupe, mais un travail très
individualisé sans aucune intervention tolérées)

Les ouvrières critiquent néanmoins l’organisation des pauses qui conduisent à une baisse de la productivité
Ceci montre que l’homme au travail n’apprécie que le travail et les responsabilités que dans des conditions
de travail précises.

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