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NUMÉRO SPÉCIAL ANNIVERSAIRE D'OR

Prise de décision naturaliste

Gary Klein, Klein Associates, Division de l'ARA, Fairborn, Ohio

Objectif :Cet article décrit les origines et les apports de la décision naturaliste
approche de recherche de création (NDM). Contexte : La recherche sur le NDM a vu le jour dans les années 1980.
pour étudier comment les gens prennent des décisions dans des contextes du monde réel. Méthode : Les résultats et
les méthodes utilisées par les chercheurs du NDM sont présentées ainsi que leurs implications. Résultats:
Le cadre NDM met l’accent sur le rôle de l’expérience pour permettre aux individus
catégoriser les situations pour prendre des décisions efficaces. Conclusion : Le NDM se concentre sur le terrain
Les contextes et son intérêt dans des conditions complexes fournissent aux praticiens des facteurs humains des
informations sur les moyens d'améliorer les performances. Application : L’approche NDM a
été utilisé pour améliorer les performances grâce à des révisions de la doctrine militaire, une formation qui
se concentre sur les exigences de décision et le développement des technologies de l’information
pour soutenir la prise de décision et les fonctions cognitives associées.

ORIGINES DU NDM
Un apport majeur de la décision naturaliste
making (NDM) a été de décrire
comment les gens prennent réellement des décisions dans le monde réel
paramètres. Cette affirmation peut paraître étrange car
Lorsqu’ils comparaient les options, ils employaient rarement des
techniques d’évaluation systématique.
Mais qu’ont­ils fait à la place ? Les chercheurs étaient
il est peu probable que l'on découvre comment les gens ont
réellement pris leurs décisions en menant des expériences pour
tester des hypothèses dérivées de données statistiques et mathématiques.

les chercheurs en décision avaient mené des expériences
et développé des modèles pendant des décennies avant la
l’émergence du NDM en 1989. Cependant, cette recherche a
principalement identifié les moyens optimaux de rendre
décisions (définies comme des choix parmi des alternatives)
dans des contextes bien structurés qui pourraient être soigneusement
contrôlé.
Le paradigme des heuristiques et des biais (par exemple Kahne­
man, Slovic et Tversky, 1982) a démontré que
les gens n'ont pas adhéré aux principes d'optimisation
performance; les répondants s'appuyaient sur les stratégies
modèles de stratégies de choix idéal. Même les chercheurs en
décision qui ont réalisé des études sur le terrain
contextes, en faisant appel à des participants expérimentés, principalement
les performances sont évaluées selon des normes formelles. (Pour
une discussion plus complète de cette histoire, voir
Lipshitz, Klein, Orasanu et Salas, 2001.)
Malheureusement, les méthodes de formation et les systèmes
d'aide à la décision se sont développés en accord avec les
les normes formelles n’ont pas amélioré la qualité des décisions et
n’ont pas été adoptées sur le terrain. Personnes
trouvé ces outils et méthodes fastidieux et

heuristiques par opposition aux stratégies algorithmiques, même lorsque celles­ci

sans rapport avec le travail qu'ils devaient accomplir (Yates,
les stratégies ont généré des écarts systématiques par rapport Veinott et Patalano, 2003).
les jugements optimaux tels que définis par les lois de probabilité, Les premiers chercheurs du NDM ont essayé une méthode différente

les axiomes de la théorie de l'utilité attendue et
Statistiques bayésiennes.
Ainsi, en 1989, il était assez clair que les gens ne
prendre des décisions. Ils n'ont pas généré d'alternative
options et les comparer sur le même ensemble de dimensions
d’évaluation. Ils n'ont pas généré d'estimations de probabilité et
d'utilité pour différents cours de
action et les élaborer dans des arbres de décision. Même
approche. Au lieu de commencer par des modèles formels de prise
de décision, nous avons commencé par mener
des recherches sur le terrain pour tenter de découvrir les stratégies
utilisées par les gens. Au lieu de chercher des moyens pour que les gens
étaient sous­optimaux, nous voulions découvrir comment les gens
étaient capables de prendre des décisions difficiles dans des
conditions difficiles telles que le temps limité, l'incertitude,
des enjeux élevés, des objectifs vagues et des conditions instables

Adresser la correspondance à Gary Klein, Klein Associates Division, Applied Research Associates, Inc., 1750 Commerce Center
Boul. N., Fairborn, OH 45324 ; gary@decisionmaking.com. FACTEURS HUMAINS , Vol. 50, n° 3, juin 2008, p. 456­460. EST CE QUE JE
10.1518/001872008X288385. Copyright © 2008, Société des facteurs humains et de l'ergonomie.
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PRISE DE DÉCISION NATURALISTE
(voir Orasanu et Connolly, 1993). Des chercheurs en
domaines tels que la médecine (Elstein, Shulman et
Sprafka, 1978) et les affaires (Isenberg, 1984)
déjà étudié ce genre de questions.
Le programme de recherche fondamentale à l'Armée
Institut de Recherche sur le Comportemental et le Social
Les sciences ont commencé à financer plusieurs chercheurs du
NDM au milieu des années 1980. La marine américaine
s'est intéressé aux décisions naturalistes à la suite de l' incident
de l'USS Vincennes en 1988,
au cours duquel un croiseur Aegis de l'US Navy a détruit un
Avion de ligne commercial iranien, le prenant pour un attaquant
hostile. L'armée et la marine voulaient
pour aider les gens à prendre des décisions à enjeux élevés dans
une pression de temps extrême et dans des conditions
dynamiques et incertaines.
La première conférence NDM, en 1989, a réuni
chercheurs étudiant la prise de décision sur le terrain. Dans un
chapitre issu de cette réunion,
Raanan Lipshitz (1993) a identifié pas moins de neuf
Modèles NDM développés en parallèle.
L’une d’elles était la théorie du continuum cognitif de
Hammond (Hammond, Hamm, Grassia et
Pearson, 1987), qui affirme que les décisions varient
dans la mesure où ils s'appuient sur des informations intuitives et
processus analytiques. Conditions telles que le montant
de l'information et du temps disponible déterminer où
les décisions relèvent de ce continuum et la question de savoir si
les gens s'appuient davantage sur des modèles ou sur des
relations fonctionnelles. Un deuxième récit de la prise de décision
était le modèle de contrôle cognitif de Rasmussen (1983), qui distinguait
les activités basées sur les compétences, celles basées sur les règles,
et un comportement basé sur la connaissance opérant au sein
le contexte d’une échelle de décision qui a permis
chemins de coupure heuristiques. Un troisième modèle, le modèle
de décision fondé sur la reconnaissance (Klein, 1989), est discuté
plus en détail plus tard.
En travaillant séparément, nous sommes tous parvenus à des
conclusions similaires. Les gens ne généraient pas et ne comparaient
pas d’ensembles d’options. Les gens utilisaient leur expérience antérieure
catégoriser rapidement les situations. Les gens s’appuyaient sur
une sorte de synthèse de leur expérience…
appelez­le un schéma, un prototype ou une catégorie – pour
porter ces jugements. Les catégories proposées
des pistes d’action appropriées. La notion statique de
les décisions comme des paris, ce qui dépeint les gens comme
attendant passivement le résultat de leurs paris,
ne correspondait pas aux dirigeants qui essayaient activement de façonner
événements.
Les chercheurs du NDM ont étudié les gens sur le terrain
contextes, tels que les commandants de la Marine, les jurés, le nucléaire
opérateurs de centrales électriques, chefs de petites unités de l'armée,
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anesthésiologistes, pilotes de ligne, infirmières et ingénieurs
routiers. De ce point de vue, faire un
prendre une décision, c'est s'engager dans une démarche
action là où des alternatives plausibles existent, même si le
personne n’identifie ni ne compare ces alternatives.
Le mouvement NDM a changé notre conception
de la prise de décision humaine, d'une approche générale
indépendante du domaine à une approche basée sur la
connaissance illustrée par les décideurs
qui avait une expérience considérable. Le processus de prise de
décision a été élargi pour inclure une
étape de perception et de reconnaissance des situations,
ainsi que la génération de réponses appropriées, non
il suffit de choisir parmi les options proposées. Cette perspective
a profité des progrès de la cognition
psychologie telle que la représentation des connaissances
concepts de scripts, de schémas et de modèles mentaux,
pour opposer le comportement d'un expert à celui d'un novice.
Pour fournir un compte rendu plus complet de la vision NDM de
prise de décision, je décrirai le modèle de décision fondé sur la
reconnaissance ; je connais mieux
qu'avec les autres, et il a reçu une juste appréciation
quantité d'attention. Cependant, les neuf NDM
Les modèles répertoriés par Lipshitz (1993) montrent une forte
ressemblance familiale.
Modèle de décision basé sur la reconnaissance
Le modèle de décision basée sur la reconnaissance (RPD)
décrit comment les gens utilisent leur expérience dans le
forme d'un répertoire de motifs (Klein, Calder­wood et Clinton­
Cirocco, 1986). Ces modèles
décrire les principaux facteurs causals intervenant dans le
situation. Les modèles mettent en évidence les plus pertinents
indices, fournir des attentes, identifier des éléments plausibles
objectifs et suggérer des types de réactions typiques à cet égard.
type de situation. Quand les gens ont besoin de faire un
décision à laquelle ils peuvent rapidement adapter la situation
les modèles qu’ils ont appris. S'ils trouvent un clair
match, ils peuvent réaliser le parcours le plus typique
d'action. De cette façon, les gens peuvent réussir
prendre des décisions extrêmement rapides. Le modèle RPD
explique comment les gens peuvent prendre de bonnes décisions
sans comparer les options.
Cependant, le modèle RPD ne se limite pas à
correspondance de motifs. Comment une personne peut­elle évaluer un
option sans la comparer avec d’autres ? Nous avons trouvé
que les commandants de pompiers que nous avons étudiés
évaluaient un plan d'action en utilisant la simulation mentale pour
imaginer comment il se déroulerait dans le cadre de l'action.
contexte de la situation actuelle. Si ça pouvait marcher,
alors les commandants pourraient lancer l'action. Si
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ça a presque marché, ils pourraient essayer de l'adapter sinon
envisager d'autres actions qui étaient un peu moins
typique, continuant jusqu'à ce qu'ils trouvent une option qui
je me sentais à l'aise. Ce processus illustre Herbert
La notion de satisfaction de Simon (1957) – rechercher
la première option réalisable plutôt que d'essayer de trouver
la meilleure option possible. Parce que les incendies se multiplient de
façon exponentielle, plus les commandants peuvent réagir rapidement,
plus leur travail est facile.
Par conséquent, le modèle RPD est un mélange d’intuition
Et analyse. La correspondance de modèles est intuitive
partie, et la simulation mentale est la conscience,
partie délibérée et analytique. Ce mélange correspond à la
description du Système 1 (rapide et inconscient)/Système 2 (lent
et délibéré) de la cognition mise en
présenté par Kahneman (2003), Epstein (1994) et
d’autres (pour un aperçu, voir Evans, 2008). Purement
stratégie intuitive reposant uniquement sur la correspondance de modèles
serait trop risqué car parfois le schéma
la correspondance génère des options erronées. Complètement
une stratégie délibérative et analytique le serait aussi
lent; les incendies seraient hors de contrôle à ce moment­là
les commandants achevèrent de délibérer.
Nous avons formulé le modèle RPD sur la base
d'entretiens approfondis avec les commandants des pompiers. la réunion initiale du NDM, les modèles expérientiels
sur des incidents récents et difficiles et trouvé
que le pourcentage de stratégies RPD en général
variait entre 80 % et 90 % (Klein, 1989) (voir figure 1). D'autres
chercheurs ont reproduit ces
conclusions (voir Klein, 1998).
Plus important encore, nous avons testé la prédiction de
le modèle RPD selon lequel, pour les décideurs expérimentés, la
première option qu'ils envisagent est généralement satisfaisante.
Klein, Wolf, Militello et Zsambok
(1995) ont découvert que les joueurs d'échecs n'étaient pas
générer des mouvements qu’ils évalueraient ensuite.
Au contraire, les premiers mouvements qui leur sont venus à l'esprit ont été
bien mieux que ce à quoi on pourrait s'attendre par hasard.
Ces résultats soutiennent l'hypothèse de la RPD selon laquelle
la première option envisagée est généralement satisfaisante.
Ces résultats ont ensuite été reproduits par Johnson et
Raab (2003).
Apports du NDM
Les exigences de la recherche NDM ont stimulé
le développement de la recherche cognitive sur le terrain et
méthodes d'analyse des tâches cognitives, telles que décrites par
Crandall, Klein et Hoffman (2006). Ces méthodes ont
contribué au domaine des facteurs humains et de
l'ergonomie en permettant aux praticiens de
explorer les fondements cognitifs de différents
types de travaux.
Juin 2008 – Facteurs humains
Le NDM a affecté la doctrine de l’Armée. Le courant
édition du Manuel de terrain de l'Armée sur le commandement
et Control(FM 101­5) comprend pour la première fois
une section sur la prise de décision intuitive, largement influencée
par les recherches sur le modèle RPD.
Schmitt et Klein (1999) ont adapté la
Modèle RPD aux orientations de planification militaire. Leur
Cette stratégie réduit le temps de planification sans sacrifier la
qualité du plan (Ross, Klein, Thunholm, Schmitt,
& Baxter, 2004) et est devenu la base de la prise de décision
tactique dans les forces armées suédoises
(Thunholm, 2006).
Le domaine de la NDM a également fourni des conseils
pour former la prise de décision et les compétences cognitives
associées. Cannon­Bowers et Salas (1998) ont
décrit l'éventail des enseignements tirés de la
TADMUS (prise de décision tactique sous
Stress) initié par la Marine suite au
Décision d'abattre l'USS Vincennes . Ceux­ci incluent
des méthodes pour fournir une inoculation contre le stress
ainsi que des approches pour les individus et les équipes
formation à la décision.
Le mouvement NDM a connu une évolution surprenante
adoption rapide de ses conclusions. Dans les 10 ans suivant
ont été acceptés comme compte rendu standard de la décision
faite par la plupart des praticiens. Conférences NDM
ont lieu tous les 2 à 3 ans, en alternance entre les États­Unis et
l'Europe. En outre,
l'ingénierie cognitive et la prise de décision
Groupe technique, formé pour fournir un débouché aux
La recherche NDM est devenue l'une des plus importantes et
le plus actif au sein de la Société des facteurs humains et de
l’ergonomie.
Où va le NDM ? Parce que cognitif
les méthodes de recherche sur le terrain se sont révélées si efficaces pour
générant des informations sur la prise de décision, ils
sont utilisés pour étudier d’autres « macrocognitifs »
fonctions, telles que la conscience de la situation, la recherche
de sens, la planification et la replanification, et la manière dont elles
sont liés (Klein, et al., 2003). La macrocognition, la
l'étude des adaptations cognitives à la complexité, peut
reflètent la prochaine étape de l’évolution du NDM. Les fonctions
macrocognitives sont réalisées au niveau de
personnes. Ces fonctions sont également assurées par
équipes, comme le soulignent Letsky, Warner, Fiore,
Rosen et Salas (2007), qui s'appuient sur la recherche NDM
sur les modèles mentaux partagés et les connaissances des
équipes (par exemple Cooke, Salas, Kiekel et Bell, 2004). Le
l’intérêt croissant pour la macrocognition suggère que
les locaux de NDM stimulent la recherche et
applications qui couvrent un domaine plus large et interdépendant
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PRISE DE DÉCISION NATURALISTE 459

Vivez la situation dans un contexte changeant

Rechercher plus
Non
Information La situation est­
elle familière ?
Réévaluer
Situation
Oui

La reconnaissance a quatre aspects

Plausible Pertinent
Oui
Objectifs Indices

Sont
Actions 1…
Des attentes Attentes
n
violées ?
Non

Simulation mentale de
l'action (n)

Oui mais
Est­ce que ça marchera?
Modifier
Non

Oui

Mettre en œuvre

Figure 1. Modèle de prise de décision basée sur la reconnaissance. (La prise de décision en action : modèles et méthodes.
GA Klein, J. Orasanu, R. Calderwood, CE Zsambok, éditeurs. Copyright © 1993 par Ablex Publishing Corporation.
Norwood, NJ. Reproduit avec la permission de Greenwood Publishing Group, Inc., Westport , CT.)

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REMERCIEMENTS sur l'analyse des tâches cognitives. Cambridge, MA : MIT Press.

Elstein, AS, Shulman, LS et Sprafka, SA (1978). Résolution de problèmes médicaux :

Je remercie Robert Hoffman, Danny Kahneman, Beth
Veinott et Raanan Lipshitz pour leurs commentaires et
critiques très utiles lors de la révision d'une version
antérieure de ce manuscrit. J'apprécie également les
suggestions utiles de trois évaluateurs anonymes.
LES RÉFÉRENCES
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implications pour la formation individuelle et en équipe. Washington, DC :
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(2004). Le modèle de décision basé sur la reconnaissance. Revue militaire,
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technologie sur le commandement et le contrôle : l'état de l'art et l'état de la pratique
(CD­ROM). Washington, DC : Programme de recherche sur le commandement et
le contrôle (CCRP). Disponible sur http://www.dodccrp.org/html4/events_past.html#2006
Yates, JF, Veinott, ES et Patalano, AL (2003). Décisions
difficiles, mauvaises décisions : sur la qualité des décisions et l'aide à la décision. Dans
SL Schneider et J. Shanteau (Eds.), Perspectives émergentes sur la recherche sur
le jugement et la décision (pp. 13­63). New York : La Presse de l'Universite de
Cambridge.
Gary Klein est le scientifique en chef de Klein Associates, un
groupe qu'il a formé en 1978. La division Klein Associates fait
désormais partie d'Applied Research Associates. Le Dr Klein
a obtenu son doctorat. Il a obtenu son doctorat en psychologie
expérimentale à l'Université de Pittsburgh en 1969. Il a été
professeur adjoint de psychologie à l'Université d'Oakland
(1970­1974) et a travaillé comme psychologue de recherche
pour l'US Air Force (1974­1978).
Date de réception : 1er octobre 2007
Date d'acceptation : 6 février 2008