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REPUBLIQUE TUNISIENNE

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR


ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

---*****---
INSTITUT SUPERIEUR DES ETUDES TECHNOLOGIQUES
DE SILIANA

COMPTE RENDU SUR

LES ESSAIS IN-SITU


Réalisé par : Encadreur :

BOURAMA TANGARA
SYLLA ISMAILA N.AMRI

-Année Universitaire 2023-2024-

1
Sommaire :
I. Introduction : ..............................................................................................................................3
II. Les différents essai In-Situ et leur modes opératoire : ..................................................................4
II.1 L’essai pressiométrique : .....................................................................................................4
II.1.1 Mode opératoire : ........................................................................................................4
II.1.2 Appareilles ...................................................................................................................6
II.2 L’essai pénétrométrique : ....................................................................................................7
II.3 Le pénétromètre statique : ..................................................................................................7
II.3.1 Objectif ........................................................................................................................7
II.3.2 Mode opératoire : ........................................................................................................7
II.3.3 Appareillage.................................................................................................................9
II.4 Le pénétromètre dynamique : ........................................................................................... 10
II.4.1 Objectif de l’essai ....................................................................................................... 10
II.4.2 Mode opératoire : ...................................................................................................... 10
II.4.3 Les principales caractéristiques des deux pénétromètres normalisés.......................... 12
II.4.4 Exploitation des résultats ........................................................................................... 12
II.5 L’essai scissométrique : ..................................................................................................... 13
II.5.1 Objectif de l’essai ....................................................................................................... 13
II.5.2 Mode opératoire : ...................................................................................................... 14
II.5.3 appareillage: .............................................................................................................. 15
III. L’importance des essais In-Situ : ............................................................................................ 17
IV. Conclusion : .............................................................................................................................. 17

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I. Introduction :
La détermination des caractéristiques d'un sol nécessite la réalisation d'essais.
Certains essais (relatifs au comportement à court terme), peuvent être effectués
de deux façons :

- Au laboratoire après prélèvement d’échantillons intacts (ou non remaniés) ;

- Au sein du massif de sol, par un essai en place ou in situ.

Les essais permettant la détermination des caractéristiques à long terme sont


réalisés au laboratoire sur des échantillons de sol intacts. Les avantages de
l’essai in situ sont les suivants :

- Son exécution est rapide, donc on peut le multiplier pour permettre une
meilleure reconnaissance du sol ;

- Il est parfois le seul à réaliser lorsqu’on ne peut pas extraire des échantillons
intacts ;

- Il donne des résultats globaux par rapport aux essais de laboratoire qui
donnent des résultats discontinus.

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II. Les différents essai In-Situ et leur modes opératoire :
II.1 L’essai pressiométrique :
L'essai pressiométrique peut être réalisé dans tous les types de sols saturés ou non, y compris
dans le rocher (avec plus d’incertitude) et les remblais. L'essai pressiométrique consiste à
dilater radialement dans le sol une sonde cylindrique et à déterminer la relation entre la
pression p appliquée sur le sol et le déplacement de la paroi de la sonde.

II.1.1 Mode opératoire :


Le contrôleur pression-volume est rempli d'eau et connecté à la sonde de mesure par des
tubulures coaxiales en rilsan. Il permet d'envoyer l'eau, jusqu'à une pression d'au moins 5 MPa
d'un gaz comprimé et de mesurer le volume injecté par un tube gradué Les sondes les plus
utilisées sont les sondes AX de 44 mm et BX de 58 mm. Elles comportent trois cellules fermées
par un unique cylindre métallique revêtu dans sa partie centrale d'une membrane en caoutchouc.
Le cylindre étant lui-même recouvert par une gaine en caoutchouc. La division en trois cellules,
deux cellules de garde entourant la cellule de mesure, permet d'assurer une déformation
cylindrique plane de cette dernière. On distingue les sondes à gaine souple, des sondes avec
tubes fendus. La sonde avec tube fendu est une sonde placée à l'abri d'un tube fendu
longitudinalement selon six génératrices. L’usage du tube fendu ne doit pas être systématique
mais réservé aux cas où les autres méthodes s’avèrent très difficiles à mettre en œuvre.
L’enregistreur est obligatoire, il est équipé d’une horloge interne, d’une imprimante et d’un
support d’enregistrement qui peut être relu par un ordinateur.

On fait généralement un essai tous les mètres, mais ce n’est pas évidemment une obligation.
L'essai consiste à appliquer progressivement par palier, une pression uniforme sur la paroi du
forage et à mesurer l'expansion de la sonde V en fonction de la pression appliquée p. Il permet
d'obtenir le module pressiométrique EM, la pression limite Pl, la pression de fluage Pf et la
pression de contact avec le terrain P1. La pression pr mesurée au CPV est augmentée
progressivement par paliers de pression de pas constants et au plus égaux à une valeur de l'ordre
du dixième de la pression limite estimée. Chaque pression est maintenue constante dans les
cellules de mesure et de garde pendant 60 secondes. A chaque palier, on visualise et on
enregistre la pression appliquée et le volume injecté dans la sonde à 1, 15, 30 et 60 secondes.
L'essai peut être considéré comme terminé s’il comporte au moins huit paliers et si une des
conditions est satisfaite

- la pression pr de 5MPa est atteinte

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- le volume de liquide injecté dans la cellule centrale est d’au moins 600cm 3 pour les
sondes standards.

On veillera à ce qu’il y ait, pour les essais où la pression est < 5MPa,

- au moins trois paliers au-delà de la pression de fluage

- au moins quatre paliers avant cette pression de fluage.

Les valeurs de pression pr lues au manomètre et de volume Vr lues au CPV sont corrigées
(pour tenir compte de la pression hydrostatique au niveau de la cellule centrale, de la
résistance propre de l'ensemble membrane-gaine et de la dilatation propre des tubulures pour
les pressions importantes > 2,5 MPa) et permettent de tracer la courbe pressiométrique
corrigée.

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Courbe pressiométrique corrigée en fin de palier
I phase de mise en contact de la paroi de la sonde avec le sol
II phase pseudo-élastique
III phase des grands déplacements

II.1.2 Appareilles

L’appareillage comprend un contrôleur pression-volume appelé CPV, des tubulures et une


sonde.

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II.2 L’essai pénétrométrique :
Les pénétromètres sont constitués de train de tiges à l'extrémité desquelles sont placées des
pointes coniques d'un diamètre supérieur ou égale à celui du train de tige. L'essai consiste à
enfoncer l'ensemble (pointe + tiges) dans les terrains afin de déterminer la résistance limite du
sol. Il existe deux types de pénétromètres : les pénétromètres statiques qui sont enfoncés dans
les terrains à vitesse lente et régulière et les pénétromètres dynamiques qui sont enfoncés par
battage.

II.3 Le pénétromètre statique :


L'essai de pénétration statique s'applique à tous les sols fins et les sols grenus dont la
dimension moyenne des éléments ne dépasse pas 20 mm. La longueur de pénétration est
limitée à la force de réaction de l'appareillage (généralement de 100 kN). Il est surtout utilisé
pour le dimensionnement des pieux mais peut également servir à la classification des sols.

II.3.1 Objectif
L’essai de pénétration statique : est un essai géotechnique réalisé en place en vue d’obtenir les
paramètres de sol suivants :
- La résistance à la pénétration d’un cône normalisé ;
- Eventuellement le frottement latéral mobilisé sur un manchon cylindrique
A partir des paramètres mesurés, l’essai de pénétration statique permet d’apprécier entre
autres :
- La succession des différentes couches de terrain, et éventuellement leur nature
- L’homogénéité d’une couche ou la présence d’anomalies ;
- Certain caractéristiques des sols traversés ;

II.3.2 Mode opératoire :


L'essai de pénétration statique consiste à enfoncer dans le sol, à vitesse constante, un train de
tiges terminé par une pointe munie d'un cône et à mesurer de manière continue la résistance à
la pénétration qc de ce cône. L’appareillage est constitué d’une structure de réaction qui
transmet au train de tiges un effort de fonçage qui, pour les pénétromètres statiques
classiques, est de 100 kN, d’une pointe qui a un diamètre égal à celui des tiges et qui est
enfoncée dans le sol à une vitesse constante généralement de 20 mm/s, des systèmes de
mesure qui enregistrent au moins la longueur de pénétration et la résistance à la pénétration du
cône et éventuellement le frottement latéral local.

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On peut, en plus, mesurer : l'effort total de pénétration Qt et l'effort de frottement latéral local
Qs sur un manchon situé au-dessus du cône. L’effort total Qt est la force nécessaire, à une
profondeur donnée, pour enfoncer le train de tiges muni à sa base de la pointe conique.
L’effort apparent total sur le cône Qc, à une profondeur donnée, est la force nécessaire pour
enfoncer la pointe conique. La contrainte qc est égale à :

Ac : surface de la base du cône.

L’effort total de frottement latéral Qst, à une profondeur donnée, est la différence entre Qt et
Qc

Le frottement latéral unitaire local, à une profondeur donnée, est la force Qs nécessaire à
l’enfoncement du manchon par sa surface latérale As

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Le rapport de frottement Rf (friction ratio), à une profondeur donnée, est défini par

Certains auteurs ont proposé des abaques de classification des sols développés à partir des
mesures effectuées au pénétromètre statique, qc et Rf. Cette approche nécessite une bonne
connaissance de la géologie du site ou l’exécution préalable d’un sondage carotté proche des
essais de pénétration statique. Un des abaques souvent utilisé est celui de Robertson et
Campanella (1983).

II.3.3 Appareillage
L’appareil de pénétromètre statique comporte :

-une structure de réaction

-un vérin de fonçage a vitesse constante

-un de tige

-une point munie d’un cône fixe éventuellement, d’un manchon de frottement et/ou d’un
capteur de pression interstitielle

-Des dispositifs de mesure de l’effort sur le cône du frottement latéral local de l’effort total et
éventuellement de la pression interstitielle

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II.4 Le pénétromètre dynamique :
Deux pénétromètres dynamiques, type A et B, ont été normalisés. Ces deux types de
pénétromètres permettent d'apprécier :

- la succession de différentes couches de terrain ; - l'homogénéité d'une couche ;

- la position d'une couche résistante ou d'un bed-rock connus. Ces essais doivent être exécutés
parallèlement avec d'autres essais qui leur serviront d'étalonnage. Il est déconseillé de calculer
la capacité portante de fondations avec les seuls résultats des essais de pénétration dynamique.
En accompagnement d'autres essais, seuls les résultats du pénétromètre dynamique A
permettent d'évaluer un ordre de grandeur de la capacité portante de fondations. Les résultats
de l'essai au pénétromètre dynamique B permettent seulement d'orienter le choix des
fondations.

II.4.1 Objectif de l’essai


Le pénétromètre dynamique noté DPT, est un moyen simple, rapide et économique
d’investigation des sols in situ. Il permet de définir lors d’une compagne de reconnaissance :

• L’homogénéité du site ;

• La cote du substratum ;

• Une valeur approchée de la force portante en vue de pré-dimensionner des fondations.

L'essai DPT est le plus simple et le moins coûteux des essais in situ, ce qui explique qu'il est
le plus utilisé.

II.4.2 Mode opératoire :

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La pénétration dynamique consiste à enfoncer dans le sol, par battage et de manière quasi-
continue, un train de tiges muni à son extrémité d’une pointe fixe ou mobile. Le nombre de
coups de mouton correspondant à un enfoncement donné (e =10cm ou 20cm) est noté au fur
et à mesure de la pénétration de la pointe. On distingue deux types d’appareils à savoir :

• Essai de pénétration dynamique de type A (Norme NF P 94–114) qui peut être réalisé dans
tous les sols fins et grenus dont la dimension moyenne des éléments ne dépasse pas 60 mm.
Cet essai est limité à une profondeur de 30 m (figure 1). • Essai de pénétration dynamique de
type B (Norme NF P 94–115) qui peut être réalisé dans tous les sols fins et grenus dont la
dimension moyenne des éléments ne dépasse pas 60 mm. L'essai est limité à une profondeur
de 15 m (figure 2). On utilise pour le battage un mouton de masse M, tombant d’une hauteur
de chute donnée et fixe H. Le mouton frappe une enclume solidaire d’un train de tiges et
produit l’enfoncement dans le sol. On note le nombre de coups N nécessaires pour faire
pénétrer la pointe sur une hauteur h donnée. Les caractéristiques spécifiques des deux
appareils sont indiquées dans le tableau (1). Généralement cette hauteur est prise égale le plus
souvent à 20, 25, 30 ou 75cm. En résultat, la résistance à la pénétration dynamique qd est
déterminée.

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II.4.3 Les principales caractéristiques des deux pénétromètres normalisés.

II.4.4 Exploitation des résultats


La résistance dynamique de pointe à la pénétration qd sous l'action du choc du mouton est
donnée conventionnellement par l'expression suivante (formule des Hollandais) :
𝑀. 𝑔𝐻 𝑀
𝑞𝑑 = .
𝐴. 𝑒 𝑀 + 𝑀′
Avec :
M : masse du mouton (kg)
g : accélération de la pesanteur (m/s²)
H : hauteur de chute libre du mouton (m)
A : aire de la section droite de la pointe (m²)
e : enfoncement par coup = 0,10 / Nd10 (m)
M’: masse cumulée, de l'enclume, des tiges, de la pointe.
Les résultats des essais sont représentés par des graphiques donnant, en fonction de la
profondeur atteinte par la pointe :
• Soit le nombre de coups N nécessaires pour obtenir un enfoncement e déterminé,
• Soit directement la résistance de pointe qd

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Ces diagrammes fournissent un « profil continu » de la résistance du terrain à la pénétration,
qui peuvent être utilisés pour dimensionner des fondations, où pour identifier des aléas
géologiques préjudiciables à la construction (lentilles d'argiles, surface de glissement, ...).

II.5 L’essai scissométrique :


L'essai scissométrique, réalisé au sein du sol en place, consiste à introduire dans le sol un
moulinet et à lui transmettre un mouvement de rotation pour établir la relation entre la rotation
du moulinet et la résistance au cisaillement opposée par le sol.

Les essais scissométriques courants sont réalisables dans tous les types de sols fins cohérents
de consistance faible à moyenne.

II.5.1 Objectif de l’essai


L’essai au scissomètre permet de mesurer en place la résistance au cisaillement des sols fins.
Il est réalisé au sein même du terrain à l’aide d’un moulinet comprenant généralement quatre
pales. Cet essai fait l’objet de la norme française NF P 94-112.

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II.5.2 Mode opératoire :
Le principe de l’essai est représenté sur la figure 1 : un moulinet cruciforme de hauteur H et
de diamètre D est introduit dans le sol jusqu’au niveau où l’on veut exécuter la mesure par
l’intermédiaire d’un train de tubes. L’appareil est immobilisé pendant un court instant puis le
moulinet est entraîné en rotation depuis la surface par l’intermédiaire de tiges placées à
l’intérieur du train de tubes.

Cette rotation provoque le cisaillement du sol au voisinage des pales et une surface de
cisaillement se développe à l’interface entre le cylindre de sol entraîné par le moulinet et le
massif de sol en place. La surface cisaillée est pour l’essentiel constitue par la surface latérale
du cylindre, mais comprend également les deux surfaces horizontales d’extrémité.

Pendant la rotation du moulinet, on note, en fonction de l’angle  de rotation du train de tiges,


les valeurs du couple de torsion. La courbe représentant les variations du couple de torsion M
en fonction de l’angle de rotation  du train de tiges a généralement l’allure de celle de la
figure 2. On suppose qu’il y a rupture du sol lorsque le couple maximal Mmax est atteint. A ce
moment maximal correspond la résistance au cisaillement maximale 𝜏𝑚𝑎𝑥 . Dans le cas des
sols argileux saturés, cette résistance correspond à la cohésion non drainée Cu, dans certains
cas, on mesure également la résistance au cisaillement du sol remanie 𝜏𝑟 à laquelle

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correspond la cohésion remaniée Cr. Le couple de torsion M est directement relié à la
résistance au cisaillement du sol  par la relation : 𝜏 = 𝑀/ 𝐾 Où K module d'inertie de la
surface cisaillée par rapport à l'axe de rotation du moulinet, en faisant l'hypothèse d'une
distribution uniforme de cisaillement sur la surface latérale du volume circonscrit à la partie
tournante du moulinet.

II.5.3 appareillage:
L’appareillage comporte trois parties principales : le moulinet, un train de tubes creux pour
foncer le moulinet dans le sol et de tiges intérieures pour l’entraîner en rotation, puis un
dispositif de surface générant les efforts nécessaires et permettant la mesure du couple de
torsion (couplemètre). L’appareil normalisé est décrit ci-dessous.

• Moulinet : il est constitué essentiellement de quatre pales rigides en acier, planes et


rectangulaires, soudées à 90° sur un axe appelé noyau (figure 3).

• Train de tubes et de tiges : le moulinet est foncé dans le terrain par l’intermédiaire d’un train
de tubes. Il est entraîné en rotation par un train de tiges rigides placées à l’intérieur du train de
tubes. Afin de limiter les frottements parasites lors de l’essai, ce train de tiges est maintenu
par des bagues, qui s’appuient sur l’intérieur des tubes. L’opérateur doit vérifier avant chaque
sondage que ce système fonctionne correctement, c’est à dire sans frottement excessif.

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• Dispositif de surface : il comporte deux parties distinctes : -un bâti ancré (figure 4) ou
parfois lesté, qui permet de mobiliser la réaction de fonçage ; -un couplemètre, système
nécessaire pour exercer et mesurer le couple de torsion entraîner en rotation le moulinet par
l’intermédiaire du train de tiges.

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III. L’importance des essais In-Situ :
Les essais in situ sont une partie importante de l'étude du site car ils aident à obtenir une
meilleure compréhension des caractéristiques et du comportement du sol et de la roche dans
les conditions réelles du site. Les résultats obtenus à partir d'essais in situ sont utilisés pour
évaluer les propriétés géotechniques du sol et de la roche, qui à leur tour sont utilisées pour la
conception et la construction de divers projets de génie civil tels que des bâtiments, des
routes, des ponts, des barrages et des tunnels.

Les essais in situ peuvent également fournir des informations sur la présence de risques
naturels tels que glissements de terrain, liquéfaction et affaissement. En comprenant les
propriétés géotechniques du site, les ingénieurs peuvent concevoir des fondations, des
terrassements et d'autres structures géotechniques appropriés pour minimiser le risque de
défaillance et assurer la sécurité et la stabilité des structures tout au long de leur durée de vie.

IV. Conclusion :
Au terme de notre recherche nous pouvons dire que les essais in-situ sont indispensable dans
le cadre de n’importe quel projet afin de connaitre le comportement du sol en place ainsi de la
lithologie et caractéristiques du sol.

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