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NB: il est important de savoir dans quel régime nous sommes avant
de traiter un quelconque problème.
En physique, un régime transitoire est le régime d'évolution d'un système qui n'a pas encore atteint un état
stable ou le régime établi. Un régime transitoire peut apparaître lors d'une modification d'un système. Il peut
être caractérisé par un taux d'amortissement, un temps de relaxation ou encore un facteur de qualité.
Dans la base , , , la
position du point ( , , ) d’une
particule dans l’espace est repérée
0
par son rayon vecteur tel que:
=! = + + (1.1)
Avec !
=( #
+ #
+ # )$/#
(1.2)
Le volume élémentaire s’écrit : ′
&' = & & & (1.3)
= * cos +
: = * sin + @ (1.8)
=
Dans la base A , ) , B , la
position du point ( , +, C) d’une
particule dans l’espace est
repérée par son rayon vecteur
tel que:
=! = A (1.9)
Le volume élémentaire s’écrit :
&' = #
sin + & &+&C (1.10)
&, = #
sin + &+&C (1.11)
= sin + cos C
23 4 56 &6 78,,896 : = sin + sin C @ (1.12)
= cos +
1.3.4. Les coordonnées polaires
H H H
∇= + + (1.15)
H H H
Coordonnées cartésiennes
H 1 H H
∇= + + (1.16)
(
H* )
* H+ H
Coordonnées cylindriques
H 1 H 1 H
∇= + + (1.17)
A
H )
H+ B
sin + HC
Coordonnées sphériques
∆ " "
sd sd sd
std su d svd
En coordonnées cartésiennes,
Le résultat obtenu est un champ scalaire.
#
G 3 ∆ 9 8& &WX G _ _∙G . (1.23)
" "
s d |} s d |} s d |}
{ std
∆Gt ysd|
sud svd
w∆Gu @
s d |~ @
En coordonnées cartésiennes, ∆ " "
~ s d |~
∆Gv z d st su sv
d d d
y s |• " s |• " s d |•
d
q ∬ ∙ &, (1
1.24)
ϕ = ∬ƒ E ∙ dS
∭‰ U. T Q‰ = ∯‹ T. Q‹ (1.25)
Cette relation fait intervenir les valeurs du champ en tous les points
de la surface S, ou celles de la densité de charge, en tous les points du
volume τ.
Cette équation est utilisée par exemple dans l’étude des distributions de
charges dans le vide.
¦ = § T . Q© 1.30
¨
∬« U⋀T . Q‹ = ∮¨ T . Q© (1.31)
Application:
∬„ E⋀ . Q‹ = 0, on en déduit que ;
∮- m . Q© = n (1.32)
Les dipôles (les composants électriques) sont reliés les uns aux
autres par des fils qui sont des matériaux conducteurs de courant
électrique, constitués:
°=
Œ
²=
Œ Œ
± ³ ¢=
´
° : densité linéique ² : densité surfacique de ¢: densité volumique
de charges charges de charges
Figure 1.2: Répartition non uniforme des charges: (a) ligne chargée ; (b)
surface chargée ; (c) volume chargé
º»
¼½ = : vecteur unitaire dirigé de A vers B.
ĺ»Ä
avec;
#
ÄÅÆÄ : la distance entre les deux charges et
ÇÈ = 8,85 ∙ 10Ê$# K ∙ 4Ê$ la permittivité dans le vide ou constante
diélectrique du vide.
$
avec £ = = 9 ∙ 10Ì 4 ∙ K Ê$
¾¿Àš
Cette interaction est portée par la droite qui relie les deux charges.
Cours Electromagnétisme L3-PC (2017-2018) Chapitre I: Rappels Page 12/20
Figure I.3: Forces entre charges électriques de signes identiques ou opposés
a. Champ électrostatique
Les champs étudiés jusqu’à présent sont soit présents dans le vide,
soit créés par des distributions de charges dans le vide,
indépendamment de toute considération sur des milieux matériels. Mais
certains problèmes, font appel à la traversée d'interfaces entre deux
milieux matériels.
On considère une interface plane séparant deux milieux 1 et 2
portant une charge surfacique ² mais sans charges volumiques. La
relation entre les champs $ et # de part et d’autre de cette interface
peut être obtenue en considérant les deux cas ci-dessous:
• Milieu rectangulaire C coupé en deux (zone 1 et zone 2) de façon
symétrique par une surface S de côté l et de faible épaisseur e suivant z,
la formule de Stokes donne:
§ . &5 = 0
¨
$ = $• + $/ et # = #• + #/
§ . &5 = ( $/ − #/ )5 +( $• − #• )6 =0
¨
=( &ô†
#Ù − $Ù )ô + 2ö 6 ÷ ô Surface de
séparation
Puisque ÷ est continue en chargée õ
ü
&ô#
faisant tendre e vers 0, alors la
Surface de
composante normale donnée par Milieu Gauss
l’équation (1.19) est discontinue cylindrique de
hauteur 6
2
à la traversée de l’interface.
õ
#• = $• +
ÇÈ
1.6.5. Energie potentielle électrostatique
1.6.5.1. Cas d’une charge ponctuelle
Soit un champ E( ) et V(M) son potentiel associé, définis en tout point
M de l’espace.
L’énergie potentielle électrostatique est égale au travail qu’il faut fournir
pour amener une charge électrique q de l’infini à une position M.
ì =æ
Il faudra donc exercer sur la charge Ÿ une force extérieure opposée à la
force électrique due au champ :
Kçt’ = −Ÿ
Le travail fourni est alors la somme des travaux élémentaires de la force
extérieure Kçt’ le long du chemin qui mène la charge de l’infini à M.
å å
ì = æ = è Ké / ∙ &5 = −Ÿ è ∙ &5 = −ŸùZ( ) − Z(∞)û
ø ø
Comme le potentiel, l’énergie potentielle est définie à une constante
près. Et puisque le potentiel est pris nul à l’infini, Z(∞) = 0 , on a :
ì = ŸZ( )
De la relation
å å å
ì = −Ÿ è ∙ &5 = − è Ÿ ∙ &5 = − è K ∙ &5
ø ø ø
On obtient :
K = −9 8& ( ì )
NB : Une charge électrique ponctuelle isolée ne peut avoir une énergie
potentielle. Mais, en interagissant avec le champ d’une autre charge ou
ÇÈ
Gauss.
ÇÈ
Oestrogratsky), on a:
= è # &' + § Z ∙ ∙ &,
ì
2 ” ó
Z( ) varie en 1 , ( ) varie en 1 , et &, varie en # #
& ì 1
d’énergie égale à:
= = ÇÈ #
&' 2
( , h); Æ( , h) créé
matériel quelconque et à tout instant.
Le champ électromagnétique est le couple
{ U ∙ m = Žn
(
1
y
yU⋀m = − 2 @
\
zU ∙ Æ = 0 3
y
y
xU⋀ = È ` + ÇÈ ·/ e 4
·
Ex2: &WX 3h Æ = 0 ⟺ + È ÇÈ ·/ e =0
·
&WX ` È
H H
+ È ÇÈ &WX =0 ⟺ + È ÇÈ &WX =0
Hh Hh
⟺ È &WX È &WX
l’absence de charges (¤ = n)
En régime permanent en électrostatique (indépendant du temps) et en
D _ ∙ = 0@ = −_ Z
_⋀ = 0
la dernière équation permet d’écrire