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I :
I 1l'(r) U'(0)
I Mais U'(0; =g
l
, donc la valeur limite ,le (tlr) AUIA r quan{ r tenci vers zdro
s
I 12 r:
2
la valeur de A Uf A en 0. Par consdquence, 1'6quation (5ien r = 0 perit
I
.
remplacdepar:
I AU A AzU
ot orz
(6)
reprdsentation par les differences finies de (5) est simplifide par la conelition
tr
I AUIAr = 0 en
h
E
i
E se simplifie :
r:
F Une complication identique se pose aussi en
i savoir
0 avec la forme de A2U en
nn6es sph6rico-polaires,
F
:
I Azu 2 AU:
grz r Or
cot
r 00
aU
rz
1 azu
a;z
+ I a?u
1-rm;oT
r"
-45-
E
6 (u* - IJo) I { a, r)2, of tlla est la valeur moyenne de u sur la sphdre a, ,ul
ar' Le facteur 6 existe car ox, oy et oz rencontrent ra sphdre en 6 pointt
cependant le probldme est symdtrique par rapport d l,origine (c,est
d di
inddpenclant de tvlrl,t'd*-
0 et 0) aruseriduit r; 2 au avec au -=tlan
., r\
Ar2- a, f
Par l'argument prdcddent, il s'ensuit que l'dquation de conduction de la chaleurE
r: 0 devient :
au __ n dzlJ
at or2
il est d'intiret cle noter que les probldmes symdtriclues cie transfert de la ch
pour les cylindres creux et les sphdres
crelrses (qui exciuent r: o) peuvent
rdsolus par des eiqr-rations plus sirnples que
il"
celles consid6r6es, parce q
. t,l
ti,l
&{
changement de ,ariable incldpendante
ddfini par R : rog r transforme I
I$I
f-t,1
cylinclrique
,,1
DU=+_
ot
2
A U
,a , aw
=q1y
fuwile 3"4:
or2 At ^)
ar-
I
La fonction U est sohrdoir Ce l,rjquaticn :
I
I
-46-
I
I
o2tJ+ 2 au ,0(x<1,t>0
;,dx- x Ox
AU
;:0enx:0,1>0;
ox
U:0enx=1 , t>0
{-+0
(,, ' uf a *'), >6e en x '= 0 par
^1_ a2 u
t 0x'
le-ci peut 6tre approchde par I'dquation des differences :
"i
"" _'
/-\
uo, j+ 1. ,: Uo,j : 3(U-,, j-ZUo,j +Ur,.i)
_--:::.----.=1
(7)
At -:I-
(a
.. ")'
(u'.,,, - ur",,,)
est approchde par
z(ax)
il s'ensuit que U-1; = IJ1;, car
-47-